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[RP] Le domaine de Vonlichtenchein et Félinia

Felinia
Von possédait un domaine magnifique à l'extérieur de la ville.
Une bâtisse assez ancienne, qui s'était transmise de génération en génération.
Etant Toulousain, véritable Toulousain depuis peu Vonlichtenchein y avait emménagé.
Ce domaine devenait officiellement leur demeure principale.



Vous me direz il doit y avoir des palissades, des murs protégeant la propriété, des chiens, et bien non, rien de tout ça.
L'accès de la demeure était libre et pour cause, Von était Maréchal, Félinia soldat.
Et la devise de Félinia était "Que chacun soit libre".
Elle ne supportait pas l'idée d'être enfermée, c'était pour elle un supplice.
Elle aimait recevoir et comptait bien voir leurs amis débarquer chez eux à l'improviste pour un petit coucou amical ou même pour quémander un petit service.

Le hall de la demeure était un peu sombre mais très spacieux.
Savamment aménagé, ils avaient des goûts simples finalement fidèles à eux mêmes.



Poursuivons la visite si vous le voulez bien.
A droite une voûte énorme en grosses pierres, on pouvait deviner une cuisine gigantesque, de quoi cuisiner pour bons nombres de convives.



Le lieu préféré de Félinia était le salon.
Il se trouvait à gauche en entrant.
Un lieu de repos, de détente, un endroit romantique comme elle les aimait.



Je vous ferais grâce de la literie de nos deux amoureux et du baquet aux abblutions, nous verrons cela plus tard.

Par contre l'extérieur de ce petit havre de paix est à visiter.
Une énorme étendue d'herbe folle à perte de vue.

Un jardin que Félinia essayait tant bien que mal d'entretenir quand elle avait le temps.



Un bois privé ou il faisait bon s'y promener à cheval, ou même à pied, c'était le cas de Félinia qui ne savait point monter.



Un petit étang, pas très grand où il était si agréable en été, de se baigner sans avoir les regards indiscrets.



Le lieu préféré de von était près de ses chevaux, il avait une passion pour cet animal et surtout le sien, Snel, un pur sang d'un noir de jais.
Un fougueux n'obéissant qu'à lui, lunatique au possible.

Félinia avait une magnifique jument blanche qui répondait au doux nom de Déesse.
Une jument d'une grande douceur a condition de ne pas la monter.
Hors Félinia en rêvait.
Mais pour cela il fallait d'abord qu'elle apprenne....
Tout ce petit monde dormait à l'écurie.



Et gambadait dans le parc, avec enclos biensûr, dans la journée.
Felinia
ETANG

Ce matin là, Féli s'était levée tardivement, Von était parti depuis bien longtemps.
Prenant un petit déjeuner rapide, elle se demandait ce qu'elle pouvait bien faire.
Elle attendait la visite sous peu de Bashir, qui devait monter sa tente dans le parc.
En aucun cas, il ne viendrait le matin même, le temps de la démonter et de charger une charrette, sûrement qu'il serait là que dans l'après midi.
Elle opta donc pour une nage dans l'étang, tranquille, en guise de réveil et de toilette.
Une serviette sous le bras, des vêtements propres et la voilà prenant la direction de l'étang.
Elle déposa ses affaires sur l'herbe, se déshabilla et lentement entra dans l'eau.


Ouhhhhhhhh ! Elle est froide !

Nageant dans l'étang, elle profita du calme du lieu, les oiseaux chantaient, le vent soufflait légèrement dans les feuillages.

Après un moment dans l'eau elle en sortit et s'allongea nue dans l'herbe, offrant son corps au soleil levant.
Une fois sèche elle revêtit une robe magnifique qui lui allait à ravir.


Felinia
ECURIE

Elle se dirigea vers l'écurie pour sortir les chevaux.
Il avait été convenu avec Von que Snel, son pur sang, devait être mis à l'écart des autres chevaux dans un enclos à part.
Celui ci avait été préparé par Von et il avait déjà mis son cheval à gambader.
Il était impossible de l'approcher, tant il était mauvais et lunatique.
Seule chose qu'il avait pour lui, il était splendide.




Elle alla vers les autres chevaux qui l'attendait dans leur box.
Tout d'abord Déesse, sa jument blanche


Bonjour, ma belle !

Tout en lui flattant l'encolure

Oui ! Tu es belle !

Elle ouvrit le box et la conduisit dans l'enclos principal.
Elle en fit de même pour deux autres chevaux, de robe marron, des bêtes magnifiques, une jument Constellation et un autre mâle Tonnerre.
Une fois tout ce petit monde dans l'enclos, elle resta émerveillée à regarder sa jument, si fière, si belle, si libre.....


Bashir
La curieuse suite d'un homme cuivré, aidant un gamin robuste au point de ressembler à un homme, faisait tache dans le paysage. Le domaine en vue, comme l'avait annoncé l'infirmière, était sans enceinte. Cela surprit fortement l'ottoman. Chez lui, les officiers s'enfermaient pour ne pas voir les gens qu'ils méprisaient. Comment l'Effendi Capitaine pouvait donc faire pour se protéger ?

Laissant son âne humain terminer le trajet dans la propriété, Bashir ouvra donc le chemin. Il fit le tour du bâtiment, et prit la direction des arbres qui poussaient mollement derrière. De Grands arbres, un espace agréable tant distant de l'humanité. Seul les écuries donnaient la réplique à ce besoin de solitude. LA petite clairière serait l'endroit idéal pour s'installer. IL fit signe au gamin de poser tout, et de laisser son souffle reprendre possession d'un corps robuste, mais trop jeune. L'ottoman brulait de reprendre la main, et ne s'en priva pas.

reste assis, et repose toi. Je ferai le reste... Tu ne seras d'aucune aide.

Le gamin ne se fit pas prier, certain sans doute que les écus étaient compris cette halte. L'homme le l'Est oublia un temps ses plaies, et se mit au travail, comme il l'aurait fait dans les plaines chaudes et sèches d'Anatolie. Son campement serait à nouveau dressé, fier et immuable sans son accord. Et dans un fracas de bois qui s'entrechoquèrent, de cordages qui grincèrent, de cuirs qui chantèrent, la toile se leva.



Les liens étaient tendus à point, et les lampes brulaient déjà, dégageant cette odeur caractéristique d'un huile animale. Les moutons ne manquant pas, il ne serait jamais à cours... et puis, se mêlant à cet édifice odorant, les senteurs puissantes des chevaux, au loin... IL sera l'heure de les prendre en mains, ensuite ! Mais pour l'heure, le thé. Le feu crépita rapidement, et l'eau chauffait déjà. L'ottoman lança une bourse au jeune homme qui ne l'avait pas quitté des yeux pendant l'élévation de la tente.

Tiens... Comme convenu... Tu mangeras à ta faim pour une semaine !

Lui, il se privera une semaine, mais le coup de main valait ce sacrifice... Le gamin ne perdit pas son temps en remerciement et fila aussi vite qu'un lièvre qui a senti un renard. Bashir prit le temps de délacer sa ceinture de tissu, et but un peu... en rêvant...
Felinia
CUISINE

Félinia ne vit pas passer bashir et pour cause elle était à la cuisine.
Elle préparait un bon ragoût de mouton aux petits légumes du jardin, fraîchement cueillis.
Son chaudron était plein et la bonne odeur se répandait dans toute la cuisine.
Elle mit le couvert pour elle et Von qui manquait pas de venir déjeuner à la maison tous les midis.
Elle eut le temps d'aller chercher un panier de beaux fruits, au marché.
Soudain elle crut entendre du bruit.
Armée du stylet entre ses reins et de son cimeterre, elle alla voir d'où provenait tout ce tintamarre.

Apercevant Bashir


Héééééééééé ! Te voici enfin !
Quelle joie !


Elle ne put contenir son bonheur et lui sauta au cou de façon si naturel.
Puis se rendant compte de son geste impulsif, elle s'écarta promptement.


Désolée !
Sois le bienvenue chez nous !
Dorénavant chez toi également !
Je suis heureuse que tu sois là et je remercie Von de t'avoir autorisé à t'installer, sans son approbation, je n'aurais rien pu faire.


Elle lui sourit et regarda le jeune homme.

Je vois que tu as de la main d'oeuvre.

Ayant reçu sa bourse d'écus, le jeune, heureux, la salua vivement et courut comme un lapin.
Seulement Félinia toute naïve qu'elle était, elle n'était pas dupe cet argent Bashir l'avait gagné en travaillant.
Oui mais voilà, depuis ses blessures il n'avait pu s'y rendre et elle savait qu'il venait de donner ses économies.


Elle le regarda espiègle

Tu vois, la gentillesse c'est pas plus difficile que ça !
Et tu me disais être sans coeur, à d'autre.


Elle lui sourit

Ne t'en fais pas je t'apporterais de quoi manger le temps que tu puisses te débrouiller seul.
Ce midi au déjeuner j'ai préparé un ragoût de mouton aux petits légumes tu m'en diras des nouvelles.
Je te l'apporterais ici, car je suppose que tu refuseras de le manger avec nous.
Quand dis tu ?



Elle aimait ces parfums qui embaumaient la tente, un mélange étrange et envoûtant.
La lueur des lampes dansait dans les yeux noirs de son ami.
Elle se sentait apaisée dans cette atmosphère.


Elle sortit de sa rêverie d'un coup

Bon je dois y retourner si je veux pas que ça colle !

Elle releva le bas de sa jupe, et telle une enfant à qui on a promis une surprise qu'elle attendait, elle courut le sourire aux lèvres.
Elle était d'une grande beauté et la voir courir ainsi, avec autant de légèreté, on aurait dit un papillon....
Vonlichtenchein
Von arriva prêt de la maison, ayant laisser son destrier dans un enclos à l'écart, il décida de faire une petite halte pour le voir, il s'approcha, l'animal le voyant fit de même d'un pas lent la tête baissé, Von lui sourit.

Allez fait pas cette tête Snel, c'est pas si mal que cela.

Quand il fut assez proche de lui, il le caressa puis reprit.

Tu sais bien si cela n'était pas pour Félinia, tu ne serais pas là nous devons tout deux faire un effort pour que l'autre puisse se pavaner.

Snel poussa un hennissement comme si il comprenait.

Cela ne dura pas croit moi, je t'en fait le serment ici même je finirai par résoudre cette situation, tu me connais assez pour le savoir, rappel toi la dernière fois dans cette situation, sans Arthuria je ne serai plus, elle ne m'a pas laissé mourir au combat comme je voulais en sauvant mon Duché de l'époque, non j'ai survécu, elle n'a pas voulut abandonner. Là je ne sais guère ce que je ferai, je n'ai pas de solution pour le moment, je l'aime tant et la quitter comme cela elle ne le supportera pas, de plus il serait trop content.

Il repoussa un hennissement.

Oui je sais, tu aurais bien aimé le maltraité un peu mais tu vois tu es là, tu l'aurai tuer à force, déjà qu'il ne tient pas debout face à des hommes alors face à toi.

Il éclata de rie.

Je vais aller voir ma douce maintenant et sache que je ne supporterai pas longtemps cette situation, elle est aveuglé par je ne sais quel phénomène, trop gentil avec tout le monde c'est une chose que j'aime chez elle, moi qui me suis un peu trop refermé sur moi-même avec toutes nos aventures. Mais j'arriverai à la sortir de cet état d'envoûtement, quitte à devoir donner ma vie pour cela je le ferai.

Il salua son cheval et repartit en direction de la maison.
Bashir
Le corps droit, il avait laissé parler l'infirmière. IL écoutait à peine, perturbé par son odeur : elle sentait le mouton cuit. Une sorte de nostalgie lui serra le cœur, car sa mère avait ce don d'accommoder les bêtes les plus vieilles, et faire des chairs les plus dures le plus fondant des miels... Il revint pourtant à la réalité. il grimaça sous son poids, et sentit qu'elle tirait un peu sur la plaie la plus large. Heureusement qu'elle ne resta pas pendue ainsi plus longtemps que le temps pour un lézard d'attraper une mouche bleue.

Bayan, ne te mets pas en peine pour moi. Apprend d'abord que gentillesse et pragmatisme n'ont rien à voir... Mais gratitude, en revanche, fais partie de mon vocabulaire. Je ferai donc honneur à ta cuisine.

L'ottoman s'inclina, le front encore perlant de l'effort qu'il venait d'accomplir. Il aurait souhaité lui dire davantage, mais il ne savait pas faire dans la demie mesure. Alors, il préféra la laisser parler, comme souvent. IL hocha la tête, par deux fois. Puis alors qu'elle s'en retournait vers le grand bâtiment de pierre, il lui lança avant qu'elle ne disparaisse :

Je passerai d'abord voir mes chevaux, Bayan... et je dois laver ce corps ensuite... Laisse donc ton plat devant ma couche, près des grand coussins.

La légèreté de l'infirmière semblait contredire la dureté de Bashir, mais qui a jamais pu jurer de connaitre les alchimies des cœurs, qu'il mériterait d'être lapidé pour mensonge. L'ottoman essuya son front d'une manche rapide, et se dirigea vers les écuries.
Felinia
CUISINE et LA TENTE

De retour en cuisine, et il était temps, elle remua à nouveau le ragoût.
Elle savait que Von, ne tarderait plus.
Elle mit une bonne gamelle de ragoût et prit deux belles pommes.
Lorsqu'elle sortit elle tomba nez à nez avec Von.


Bonjour amour !

Elle l'embrassa

Je vais déposer ça à Bashir et je reviens, installes toi, j'arrive.

Elle se dirigea prudemment à sa tente, il n'y était pas.
Il devait être avec les chevaux, elle déposa la gamelle et les pommes près des coussins.
Promptement sans passer par l'enclos elle rejoint son fiancé.
Vonlichtenchein
Von n'était plus très loin de la demeure lorsqu'une légère brise souffla que le fit s'arrêter, l'odeur que transporté ce courant d'air il l'a connaissait mais où l'avait-il déjà perçu, une chose était sur cela venez de plus loin mais n'appartenait pas à son domaine, au moment où il allait voir de quoi il s'en retourné, sa belle et douce Félinia sortit de la maison.

Il répondit à son baiser, puis il comprit d'où venait l'odeur celle de Bashir enfin celle de sa tente, il ne fit aucun geste, aucune parole et laissa Félinia s'éloigner.


Et ben il a pas perdu de temps et après il joue au grand blessé, il arrive à la tromper mais pas moi.

Il éclata de rire en pensant à certaines paroles.

Il a fait fort avec le coup du tu veux pas partir avec moi c'est pas grave, je viens vivre chez toi après elle me demande pourquoi je n'arrive pas à le supporter. Sur ce je vais rester sur le pas de la porte à attendre ma douce.
Felinia
CUISINE

Elle revint heureuse et pétillante, elle avait chez elle tout ce dont elle avait besoin.
Les deux hommes qui comptaient le plus à ses yeux étaient réunis auprès d'elle.
Restait une chose importante à faire, faire en sorte qu'ils se supportent voir mieux, qu'ils s'apprécient.
Féli y tenait beaucoup et elle allait tout mettre en oeuvre pour y arriver...


Ca y est amour !
Ben, tu n'es pas rentré ?
Viens on va passer à table, je sais que tu dois retourner à la caserne.
Tu sens cette horreur ?
Je t'ai préparé un bon ragoût.


Elle entra dans la maison et alla servir Von directement au chaudron qu'elle avait préablablement retirer du feu, bien évidemment.

Tu sais, ça y est Bashir s'est installé.
J'espère qu'il va se plaire chez nous.
Je ne l'ai pas vu quand je suis allée lui amener la gamelle, il a dû aller voir les chevaux, sans doute.


Elle le servit, prit son assiette et alla se mettre une louchette.

Je suis heureuse qu'il soit là, merci de l'avoir accepté au domaine.
Ca prouve ta grande bonté d'âme j'en attendais pas moins de toi.


Elle prit son repas en se demandant ce que pouvait bien faire Bashir.
Son regard se tourna vers Von et lui sourit


Alors tu aimes ?
Bashir
L'eau fraiche de l'étang avait fait merveille. L'ottoman se sentait propre, et avait prit le temps de regarder l'état de sa blessure principale. Bien qu'il manquât un bon morceau de viande, l'ensemble semblait vouloir cicatriser, et se solidifier. Les douleurs finiraient bien par s'enfouir, elles aussi... IL sortit de l'eau et se sécha avec vigueur, avant de replacer un linge proprement découpé et plié en quatre sur la blessure, et se rhabiller. Il voulait être sain devant les chevaux. Il était donc prêt.

Arrivé devant les boxes, l'homme cuivré se tint immobile. Il cherchait à ressentir, en premier lieu : l'odeur acre des animaux, le parfum sucré du foin, et la litière acide donnait à atmosphère ce plaisir si particulier qu'aucun palefrenier aurait jamais redouté, contrairement aux autres cavaliers. Il en était bien un, de sa connaissance, qui avait cette perversité toute paysanne, mais il était si tant à part, ce chevalier, que sa seule existence confirmait l'impossibilité du reste.

Il s'avança enfin, d'abord vers les chevaux bais... Curieux, visiblement de nature, ils tendirent leurs naseaux vers cet étranger qui s'approchait. Dans un frémissement qui trahissait leur caractère bonhomme, les chevaux l'observaient. Le plus curieux retroussait sa lèvre supérieure. Signe évident d'une envie de reconnaitre les odeurs de l'intrus... L'ottoman s'avança vers celui-ci, jusqu'à distance de contact. IL ne bougea pas et laissa faire l'animal, qui s'empressa de lui renifler le crâne, le cou, le torse... Puis, comme s'il était convaincu, il lui donna une sorte de bourrade sur l'épaule, d'un museau à la fois doux et fort.

Toi, tu dois être Yıldırım... Sur de lui, comme le tonnerre !


Bashir finit par tendre sa main, et la posa sur le chanfrein de l'animal. Et d'un. L'autre, dans le box voisin, se fit moins craintif et, comme si le premier avait donné un signal de confiance, tendit son cou pour demander à l'homme cuivré de s'approcher aussi. Ce qu'il fit. Cette fois ci, il tendit aussitôt sa main, et flatta doucement l'encolure. La jument secoua un peu la tête, signe de décontraction, et se laissa caresser.

Et toi ? Je sais déjà... Constellation... Tu seras pour moi Yıldız. L'étoile du Monde !


Le poil légèrement plus clair que le mâle, d'une douceur pouline et d'une grande pureté, semblait se confondre avec la main de l'ottoman. L'épaule de l'animal se secoua d'un frisson musculaire, puis il se retourna afin de se désaltérer... Bashir se recula et se dirigea vers le troisième. Elle lui avait dit que cette jument blanche avait un caractère difficile, et qu'elle redoutait de jamais la monter... Il fallait s'assurer, vérifier, infirmer...
Vonlichtenchein
Von l'écouta parler de l'autre encore, a peine arrivé il fallait qu'il supporte cela. Il sourit et attendit qu'elle s'installe à table pour commencer à manger.

Je sais qu'il est là, j'avais senti quelque chose de différent dans le domaine.
Pour se plaire je pense que cela ira pour lui ne t'inquiète pas tant.
Tu doit avoir raison il a dut aller voir les chevaux après tout c'est pour cela qu'il est là non ?

Ce n'est pas par bonté que je l'ai fait mais pour toi rien de plus, je te l'ai déjà dit. Il a de la chance que tu fais tout pour lui.

Et comme je te l'ai dit tant qu'il ne chamboule pas notre vie et qu'il effectue ses taches je ne dirais mots.


Il reprit quelques bouchées

Oui c'est très bon, tu es doué pour la cuisine.

Il lui sourit.
Felinia
CUISINE

Elle fronça les sourcils et le fixa

Pour la cuisine, dis tu ?
Et pour le reste ?


Elle mangea son ragoût avec appétit.
Prit un morceau de pain pour terminé et le regarda finir


Souhaites tu un fruit ?
Vonlichtenchein
Von ne compris pas sa réaction, il avait encore dit une chose de mal ?

Nous parlons bien cuisine là, donc oui tu es doué pour la cuisine.

Mais il n'y a pas que cela, la liste est trop longue pour tout détailler.
Tu es doué dans tout ce que tu entreprends, tu y mets tout ton coeur pour faire du mieux possible et cela te réussit.
Je t'aime pour tous ces petits détails aussi, contrairement à moi où je me suis focalisé que dans certains domaines toi tu arrives partout.

Pour le fruit oui merci j'en veux bien un tu as quoi à me proposer ?
Felinia
Elle se leva, touchée par ses dires et alla chercher deux pommes.

Tiens ! Tu veux croquer la pomme avec moi ?

Elle lui sourit et avant qu'il ne réponde l'embrassa langoureusement

Surtout te mets pas en retard amour, je sais que tu as du travail.
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