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[RP] Une Odeur de Paix: La Signature à MB

---fromFRvpat
L’ex commandant Vpat, et l’ex lieutenant de la 1ère compagnie des Aigles de Thouars, mort depuis et renaissance aujourd’hui, n’en croyait pas ses yeux ni ses oreilles.
De son nouveau corps, il prit note des paroles du Comte….
Comment le comte pouvait faire cela à tous les braves soldats Poitevins qui avaient donné leur vie pour le Poitou.
Tant de victoire et tant de dispute pour n’en résumé qu’une erreur.
Oh oui, Vpat à fait des erreurs. Oh oui, il c’est trompé dans ses ennemies. Aujourd’hui, il a eu la confirmation.
Mais c’est terminé tout cela, aujourd’hui il revit, et il compte bien un jour reprendre ce pourquoi il c’est battu.
Vpat a été sur toutes ces batailles en tant que logisticien de l’Armée des Aigles de Thouars, croyant se battre pour une juste cause et ce qu’il voit aujourd’hui l’attriste énormément.
Peut importe ce qu’il c’est passé, aujourd’hui, une chose compte revenir au top et reprendre ce nœud avec les plus grands Poitevins, il s’y attachera, qu’on se le dise.
Pas de gain, pas de grandeur.
Tout les Poitevins morts à Montreuil-Bellay se retourneront dans leur tombe.
L’ex Commandant finissait de parler pour Vpat, bientôt le nouveau Commandant parlera et surtout agira.
Un jour sur l’éternité représente un mois sur terre.


Qu’Aristote protège le Poitou et qu’il pardonne le comte de cette injustice envers tous ses soldats
pnj
La duchesse consort Patity fit atteler carrosse et mander escorte pour se rendre à Montreuil Bellay. Elle était passée souvent devant ce château sans jamais s'y arrêter.

La carrosse allait à douce allure , la duchesse consort profitant du paysage par la fenêtre... A la vue des étendards angevins et poitevins flottants sous le même vent, son coeur s'arrèta de battre.
Tant d'années, pour voir cela ...
La duchesse fit stopper le carrosse, voulant profiter de cette vivion plus longtemps, finissant le chemin à pieds.

Quelques minutes plus tard, la duchesse entrait dans la salle où tous semblaient être réunis ... Elle salua son époux, d'un sourire puis sa soeur Kilia, d'un regard doux, la remerciant. D'un signe de tête, elle salua Alatariel et Joffrey aussi que les messieurs présents ... De la porte elle avait entendu les propos d'un sire qu'elle ne connaissait pas, se retirant au plus vite ...
Aussi se tourna t-elle vers Mackx, le présumant comte du Poitou...
Elle s'inclina devant lui dans une révérense et s'adressa à lui...


Messire le Comte, je suis enchantée de vous rencontrer en un tel moment.
Je suis toute confiante pour cette paix. Mon époux , ma soeur et vous même y avez mis beaucoup de temps, de travail.
Ce n'est que le début, mais il ne tient qu'à nous pour qu'elle s'enracine et dure dans le temps, au delà des générations futures.
Ho, certes, certains dénoncent ce traité , mais toute paix doit connaitre un début.
Dans ce traité, les choses peuvent ne pas parraitre équilibrées, le Poitou n'obtient pas le noeud mais l'Anjou prend le risque de le perdre.
Ce traité n'est que la base de cette paix heureuse entre nos deux peuples, point la finalité... Le chemin sera encore long, sinueux parfois, gai à d'autres moments mais pour le savoir encore faut-il laisser, à ce début de paix,voir le jour.

Messire Le comte, je suis heureuse de vous rencontrer car vous êtes homme à faire la paix, non seulement, sur un papier mais aussi avec votre coeur.
Je peux comprendre les craintes de certains poitevins, ceux ci, je ferai en mon pouvoir pour les rassurer, mais je sais aussi que certains poitevins, tout comme certains angevins, ne veulent de cette paix car ils n'aiment que trop la guerre, d'odeur du sang et de la mort.

En homme raisonable, vous tentez de mettre fin à la souffrance des peuples en cela, vous êtes un grand homme... Tout comme mon époux.

Patity adressa un dernier sourire au comte, un sourire confiant, puis se rapprocha de son époux en signe de soutien.
Faooeit
Le comte Faooeit, désarmé, arrivait sur son cheval, seul, la posture droite et en tenue d'apparât. Il entrait à Montreuil, l'air hautain et méprisant envers les Angevins qu'il croisait, les regardant de haut. Puis, il continuait sa marche jusqu'à arriver sur le lieu des négociations, ayant pris soin de quitter son cheval avant. Entrant dans la salle très indiscrètement, il s'adressait alors aux grands notables angevins présents, les coupant dans leur conversatioin: Bonjour à tous, Angevins, je suis pour ma part Son Infinie et Toute Puissante Grandeur Faooeit de Surgères, huitième Comte du Poitou, Comte de Saintonge et d'Oléron, et Baron de Luçon. En tant que futur Comte du Poitou dans quelques jours, sachez que non seulement ce traité n'aura plus cours, mais en plus de ça, l'Anjou sera durement châtiée pour ses éternels méfaits envers le malheureux et pauvre Poitou, ayant terriblement souffert de ces terribles agressions mesquines que l'on connaît tous. Tous les Poitevins sont motivés, confiants, engagés et unis dans cette quête de Grandeur Poitevine, ou du moins, de la reconquête de l'Honneur du Poitou à nouveau bafoué. Vous penserez sans doute que ces paroles sont celles d'un noble poitevin aigri et inoffensif, rabâchant sans arrêt les mêmes paroles, et pourtant... C'est tout un comté qui partage mon avis, mes désirs, mon rêve. Tout un comté uni pour la toute première fois de son histoire derrière une seule et unique liste. Angevins, signez ce traité, et vous ne comprendrez pas ce qui vous arrivera quand des milliers de Poitevins fouleront votre sol marqué par les traces des chevaux et des hommes lourdement armés, dans l'unique but de mettre un terme à toute cette mascarade. Puis il prit un verre et, avant de le boire, terminait par: Bon, je ne suis pas là pour débattre de cet traité, je sais qu'il est votre fierté, la marque de votre victoire bien qu'officiellement, vous vous efforcerez de dire le contraire avec de belles paroles diplomatiques... Je suis seulement venu pour vous annoncer un combat imminent, tout comme j'ai annoncé jadis au Poitou mon arrivée future sur le trône poitevin.
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---fromFRFitzounette
Montreuil-Bellay. Un si joli nom. Une terre accueillante. Un havre de paix souillé par le sang et la haine.
L'enfant que l'on a apprêté spécialement pour l'évènement affiche une mine contrariée. Pourquoi donc faire tant de simagrées alors que tous savent que cette paix n'est que transitoire ? Elle regarde les siens. Joffrey est revenue du sud tout spécialement. Alatariel s'inquiète. Kilia et Vadikura devisent avec les Comte du Poitou, affichant satisfaction et cultivant l'espoir. Tant de travail.
Un petit sourire mélancolique s'affiche sur le visage de la môme. Tous les jours elle s'est entretenue avec sa tante Kilia, partageant ses doutes, son impatience, ses déceptions, puis la voyant malgré le temps qui passe et les difficultés qui s'accumulent toujours plus combattive et désireuse de trouver un compromis, le meilleur pour tous. Pour quel résultat ? Une paix à laquelle un seul et unique Poitevin veut croire ?
Elle reste dans un coin. Elle était des négociations et malgré son jeune âge, s'est engagée dans la voie du pardon, tentant d'ignorer les veuves, les orphelins, la douleur des familles. Tentant de rejeter sa propre éducation.
Les Poitevins n'ont de cesse de parler d'honneur. Et où placent ils cet honneur ? Dans la vengeance sans cesse renouvelée ? Dans l'ignorance de leur propre histoire ? Dans les rancœurs attisées par des fous ivres de guerre ?
La vision Manichéenne et réductrice des adultes la fait sourire. Les Poitevins sont les gentils et les Angevins sont les méchants, si l'ont veut bien les écouter. Théorie totalement inverse si l'on se place de l'autre côté de la frontière. Et les adultes sont également incapables de voir plus loin que le bout de leur nez, tant ceux ci se complaisent aveuglément dans cette mascarade. Le nez au vent, elle aperçoit un étendard au loin. Celui de l'instigateur de cette dernière guerre. Un sourire plus triste encore apparait sur des traits tirés par l'inquiétude. Il vient narguer ceux qui ne veulent plus voir le sang couler.
Comment leur dire qu'une guerre de plus ne changera rien ? Comment le faire comprendre qu'entretenir cette spirale infernale n'apportera aucune solution ?
C'est alors que le pédant Faooeit intervient. Cette fois, un sourire narquois. Un peu moqueuse elle ne peut cette fois se contenir et respecter le devoir de réserve qu'elle s'est elle même imposée. Une petite révérence :


Votre grandeur, la bienvenue à Montreuil-Bellay. Vous m'avez l'air un peu fatigué, ou peut être enivré... Je n'entends point vos paroles...
Êtes-vous en train de menacer la noble assemblée ici présente ? Est ce donc là l'image que vous souhaitez donner de la noblesse Poitevine ? Impolie et manquant de savoir vivre ? Je ne m'étonne donc plus du peu de prestige dont bénéficie votre contrée. L'image que vous donnez en ces lieux n'a rien de flatteuse. Et nous savons tous que le rôle de la noblesse est de représenter le peuple.
Mon jeune âge me permet pour ma part de ne pas céder à un excès de rancoeur. Laissez moi si vous me le permettez votre grandeur, vous offrir un verre de bon vin d'Anjou pour vous détendre et mettre un terme à ces fautes de goût. Puis, laissez-moi vous dire que vous n'aurez rien à gagner dans cette attitude provocatrice et malsaine, que de vous couvrir de honte.

Car je l'affirme et espère m'exprimer au nom de tous : nous, Angevins de la nouvelle génération, sommes pacifiques. Nous, avons démontré devant la Sainte Eglise et la Pairie notre désir de mettre fin à ces horreurs et que nous aspirons à une nouvelle ère, celle de l'essor et du renouveau. Nous, ne souhaitons pas nous enfermer dans une spirale destructrice.

Je ne ferais pas insulte à votre éducation votre grandeur. Vous et moi savons bien quelle est l'origine de la haine entre nos pays, et elle tient en un nom, Mique le Sorcier. Car ce sont bien les armées Poitevines et Tourangelles qui ont déferlé sur la toute jeune Anjou, initiant ce qui est encore aujourd'hui une guerre des tranchées, pillant, violant, tuant sans vergogne des innocents. Ce fait est indiscutable. A moins que vous traitiez les historiens de Rome de menteurs...

Une nouvelle guerre ne rachètera jamais l'honneur souillé par la sorcier. Cette guerre vous coûtera hommes et biens en quantité, plongera votre économie dans le marasme, blessera dans sa chair des familles, ternira encore un peu plus votre image au niveau du contexte diplomatique.

Je vous en prie votre grandeur, épargnez votre peuple de cette folie. Ou qu'Aristote et tous les saints nous préserve de votre accession au trône. Car ce que j'entrevois, c'est que cette guerre ne prendra fin que quand nos deux contrées, épuisées, ruinées, se seront effondrées.

De plus, les Poitevins ne doivent pas être les objets de votre vengeance personnelle.


L'enfant fixe la cicatrice du Comte Saintongeais, puis le regarde droit dans les yeux.
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Fitzounette est un papillon de lumière !
Alatariel
Alatariel salua le Comte et le remercia pour son attention... ses paroles étaient douces et il semblait compréhensif... pour elle tout allait pour le mieux... jusqu'à ce que les Poitevins s'en mêlent. La diplomate s'enfonça les ongles dans la main pour ne pas faire un esclandre... Comment osaient-il venir ici... Faeooit... lui, encore et toujours... Fitzounette répondit avec beaucoup de tact... mais comme elle le disait elle était jeune... la diplomate toisa le Poitevin... et ne put se retenir

Vous mènerez le Poitou dans la guerre contre l'avis de Paris ? Contre l'avis du Roy même ? La belle affaire, votre grandeur ! Massacrer l'Anjou ? bien... et que ferez vous quand les caisses du Poitou seront vidées par la paie des soldats, quand les moisiront sur pied par manque de personne pour les récolter ? Que ferez vous lorsque vos hommes, rentrerons d'Anjou, écœurés par l'attente interminable sur un nœud, harcelés jours et nuits par les Angevins cesseront de vous suivre ?
Vous trouvez l'honneur du Poitou bafoué dans cette histoire? Mais dans six mois quand le Poitou sera contraint par la faim ou le Roy à signer cette paix et à la respecter, votre honneur ne sera plus rien, et vous n'aurez plus de moyens de le laver.
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Absente jusqu'à fin mai
pnj
Patity vit l'arrivée de sir Faooeit, un sourire illumina son visage, elle avait espéré sa venue.
De sa tirade, elle perçut au derrière multitudes de craintes, mais aucune haine véritable. Elle voyait un homme appelant à la vengeance mais qui cachait surtout sa peur de faire confiance.

Elle l'entendit parler de sang angevin pour laver affront, pour faire la paix.
Alors que d'autres lui répondaient, elle se pencha vers un page et lui chuchota ordre...
Le page, bien que surpris s'exécuta et revient quelques instants plus tard avec un coussin où reposait un poignard.

Patity fit signe au domestique de le mettre à disposition du sir Faooeit , puis elle s'approcha de lui non avoir poser une main apaisante sur l'épaule de Fitzounnette en lui souriant .

Bien en face de Faooeit, Patity s'adressa à lui, plongeant son regard dans le sien...


Cher Faooeit, je sais quel homme vous êtes. Pas l'homme que vous vous évertuez de paraitre, mais l'homme sage, celui que j'ai appris à connaitre lors de votre précédent mandat. Un homme ferme, dur mais avec grande sagesse... Un homme qui croyait en la justice, en la paix, en la tolérance , l'acceptation des différences.

Vous voulez du sang angevin ??? Prenez ce poignard et plongez le en mon sein... N'hésitez point, je vous le demande... c'est du sang angevin, à peine innocent... Ensuite, dites aux personnes ici présentes que cela lave les affronts, que vos craintes sont disparues, que la paix peut s'installer.
Mais regardez mon époux, ma sœur aussi ... Et dites moi qu'ils seront un jour vous pardonnez, que jamais ils ne chercheront vengeance ...

Dans une paix quelle qu'elle soit, il y a deux vainqueurs , le peuple angevin et le peuple poitevin.
Dans une guerre ou la continuation de celle ci, il n'y aura deux perdants, ces deux même peuples...

Messire l'arme est à vous, le sang que vous en tireriez est celui de la duchesse consort, point celui de n'importe quelle gueuse angevine ...

Lavez ici même, par mon sang, les affronts du passé , c'est moi qui vous le demande... et prenez cela comme gage de bonne volonté de la part de l'Anjou pour aller vers la paix...

Seulement en me tuant, sachez aussi que vous perdriez l'unique personne qui vous comprend, comprend vos craintes... L'unique personne qui apprendra votre défense contre les siens pour vous soutenir si cette paix, les accords qui en découlent n'étaient point respectés.
De cela, je vous ai donné parole et de cette je respecterai.

Le choix est à vous ... Vous voulez du sang angevin, il est à vous mais par pitié, laissez enfin ces peuples vivre en paix .


Elle ne lacha pas le regard de Faooeit et attendait ...
Gerfried
Un ricanement sonore se fit entendre près de la scène du futur meurtre. Le baron de Cossé eut un sourire torve en voyant son vieil ennemi déblatérer comme il en avait l'habitude.

- Décidément, tu ne changeras jamais. Le batard de Surgères, toujours à promouvoir notre destruction. Mais qu'on se le dise, le batard ne fera rien, il n'a jamais rien fait. Et les douves de Saumur se rappellent encore de sa dernière visite, quand tu étais venu seul pour nous défier. Mais il y a un pas à franchir entre les insultes au-dessus des remparts de Surgères et le meutre de sang-froid.

Un tintement familier. Les gardes se raidissent. Ca va dégénérer en bataille rangée à ce rythme. Les ragondins montrent les dents autour de leur maître, qui vient de mettre la main sur son épée. Dehors, les Brandebourgeois se tiennent prêts.

- Nous sommes ici entre gens de paix. Baillant le Gland l'a bien compris, lui qui préfère nous narguer à bonne distance. Kiriell lui est venu rapidement, du reste comment a t-il franchi nos frontières ? Quant à Vpat... une fois encore, les Poitevins rappellent leurs spectres. Je ne souffrirai pas que vous fassiez la loi dans la maisonnée de Grakovic et d'Artémisia. Faites ce que vous avez à faire, mais faites-le vite, avant que je ne vous chasse. Et allez rapporter ce message aux rats qui vous soutiennent dans votre folle entreprise.

Gerfried cracha par terre, soulevant la réprobation de toute la noble assemblée.

- Quand on se comporte comme un chien enragé, qu'on ne s'étonne pas d'être tué comme tel.
pnj
Patity se retourna en un froissement de jupes vers Gerfried... Cela sentait fort la poêle à frire... Le regard noir, ses yeux étincelants de colère, elle lui fit reparquer calment pourtant ...

Sir Gerfried, vous dites très entre gens de paix, pourtant au vu des armes que vous portez ainsi que vos gens, j'ai quelque peu du mal à vous croire.

Vous reprochez au comte Faooeit la haine , les insultes que vous même semblez être prolifique.
Si je peux comprendre ce que je peux comprendre ce que cachent les paroles de sir Faooeit, pour ce qui est des vôtres, je n'ai point la même aptitude.

Que vous ayez quelques rancoeurs, vis à vis du comte, elles ne peuvent qu'être personnelles et n'ont lieu d'être en cet endroit.

Faites sortir vos gens de ces lieux vous même pouvez restez si tenté que vous vous sentiez capable d'aligner deux mots sans insultes ni haine envers nos hôtes.

Enfin, sachez messire Gerfried que vous êtes en ces lieux , en tant qu'invité , témoin de cet évènement et non en tant que décideur et que votre allègeance envers le duc ne vous donne aucun drit de remettre ses décisions ou ses actes en balance, pour assoir votre inamitiés personnelles.

Patity se retourna vers sir Faooeit

Ici, une seule arme sera ou ne sera pas utilisée et seul sir Faooeit en a la décision ... Quelque soit celle ci, il quittera ses lieux sans encombres.
Ceci ne pourra être considérer comme meurtre puisque je suis consentante mais comme gage vers la paix.

Sir Gerfried, peut être dans votre amour pour la paix et les peuples , vous proposez vous que faire le même sacrifice ???

Donner sa vie pour la paix, plutôt que pour une guerre sans vainqueur, est peut être un concepte trop innovateur pour vous ???
Vadikura
Grand bâillement d’un duc.

Bon les roquets ont finis leur numéro, un dernier applaudissement peut être ?

Baron de Cossé, vous êtes en zone neutre, la seule arme autorisé est votre langue. Puis vous devriez essuyer cette bave, vous avez ressemblance avec le comte Faooeit… on dirait deux chiens enragés !


Détournant son regard vers les gardes

Que toutes armes soient prises dés maintenant, je ne supporte pas le non respect des consignes données!

Puis regard vers sa femme

Madame, aucune arme, j’ai dit…il en est ainsi !

Comte si nous paraphions ce traité maintenant, le spectacle me semble terminer!
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Duc de Charney
Ficus 1er, Penthiévres parce qu'il en faut bien!
---fromFRFitzounette
Une odeur de souffre s'est mise à flotter. Comme l'a dit une fois son ami Ken_cohiba, Angevins et Poitevins en concentration, carnage à l'horizon... Malgré la main rassurante de sa marâtre sur son épaule, la môme contraint à grand peine un frisson d'effroi à la vue du poignard. Instinctivement elle prend la main de Patity. Des souvenirs du Périgord surgissent, celui de celle ci la protégeant de son corps au péril de sa vie.
Le Duc intervient et demande que l'arme soit consignée. Elle murmure.


Que le Très-haut nous préserve, je n'aurais jamais laissé faire telle infâmie...
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Fitzounette est un papillon de lumière !
Mackx
Ah, ils étaient arrivés ... Mackx se demandait combien de temps il leur faudrait, mais ils étaient là. Les deux extrémistes des deux camps, ceux qui avaient une épée à la place du coeur et un bouclier à la place du cerveau, ceux qui nous pouvaient accepter que les choses changent et qui étaient nostalgiques du bon vieux temps où on pouvait s'insulter les uns les autres par pigeons ou pages interposés.
Il hésita, leur répondre ou les laisser hurler ? Il leur avait déjà répondu plus qu'à son tour et Dame Patity avait l'air d'avoir la situation en main. De toute façon, pour quelques rageurs illuminés, il y a avait pas mal d'autres, qui, en silence, étaient heureux de voir enfin les choses changer.


Oui Duc, paraphons le, cela traîne depuis trop longtemps.

Et d'un geste, le poitevin appela un valet porteur d'une plume et d'un encrier et parapha le texte avant d'y apposer son sceau.

Citation:
Maxime d'Alesme, dict Mackx, Comte du Poitou



A vous Duc !
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Gerfried
Révérence émotive devant la duchesse consort.

- Veuillez m'excuser votre Marâtreté, cela fait deux jours que nous pourchassons une armée de brigands bretons. Nous avons bien essayé de les défier au jeu de l'oie, mais ils sont mauvais perdants et ils ont bien failli occire Lucasd. Alors, nous sommes obligés de garder vêture de guerre. Et puis, vous portez bien une arme, non ?

Révérence ironique devant le duc. Même les ragondins s'esclaffent.

- Veuillez m'excuser votre Duchesté, mais vous êtes bien le seul à parler de paix. Faooeit annonce la guerre, vous croyez encore que ce traité sera appliqué. Fort bien. Moi, je ne le crois pas : que le duc de Montsoreau ou un quelconque Penthièvre rosse un Poitevin et je gage que de traité il n'y aura plus. Libre à vous de penser chimères, du reste c'est votre rôle. Quant à parler de spectacle... attendez dix jours et vous verrez.

En se relevant, Gerfried fait son plus beau sourire à cette assemblée de beaux parleurs et d'idéalistes de la vingt-cinquième heure. Bien heureux celui qui survivra au buffet.

- Un dernier détail : le vicomte de Pons a pris possession de la colline au sud. Voulez-vous que nos puissantes armées aillent l'en chasser ?
Vadikura
Avant de se pencher à son tour pour parapher le traité, leva la tête.

Tsssss.....les chiméres....bestiole bizarre en effet!

Prit plume et tampon!

Citation:


Vadikura, Vicomte de Charnée, Duc d'Anjou




Voila, que le parchemin puisse ouvrir la voie d'un partenariat, vision utopique pour certain mais vision d'avenir pour nos jeunes génération!
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Duc de Charney
Ficus 1er, Penthiévres parce qu'il en faut bien!
Gerfried
Gerfried fit un signe au seul ragondin de sa meute qui sache écrire.

- Tu prends copie de ce " partenariat " et tu le fais apporter à Poitiers par la seconde meute. Ils me rapporteront les réactions, sans se faire tuer si possible. Oh, et tâche aussi de l'envoyer à la dame de Malemort, j'ai besoin de son conseil.

Grognement inintelligible.

- De quoi j'me mêle ? C'est srictement amical entre nous ! Et elle est déjà mariée en plus. Prends des nouvelles du ragondin doré au passage !
Cosmik_roger
La jeune génération, dans un coin de la pièce, considérait la vision d'avenir et observait le nombre de belliqueux à portée de regard. L'avenir était à la fois sombre et prometteur. Quel paradoxe...

Puis Cosmik Roger alla saluer son amie Fitzounette.
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