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[RP]Honneur&Vilainie: Histoire d'une guerre

Klanacier


A quelques lieux au nord de Lodève, Frontière du Languedoc et du Rouergue


Le Roc castel était encore occupé et le vent faisait encore danser l’oriflamme Languedocien de l’armée Castahna.
Le site offrait une position de défense idéale, et les fortifications consistaient en quelques murailles de pierre et de bois montées entre les dolmenies naturelles. A l’arrière des fortifications, le chapelle castrale Notre-Dame-de-Roc-Castel offrait le repos spirituel et la bénédiction du Très haut aux combattants.

La vue dégagée en contrebas laissait encore entrevoir des armes et boucliers brisés dans le fracas des combats ayant eu lieu quelques jours plus tôt, l’odeur du sang avait été lavé par les pluies de ses derniers jours et la frontière semblait avoir retrouver un semblant de quiétude.




Nord du Languedoc, Dans le vallon de Vals-près-le-Puy


L’Armée brigande Alternative avait traversé le Rouergue et le nord du Languedoc à travers la campagne durant une semaine. Seuls quelques éclaireurs Languedociens avait pu en déterminer la position approximative.

Partie de Millau avant la seconde bataille du Roc Castel, l’armée lançait depuis 2 jours déjà des assauts sur la ville du Puy en Velay depuis sa position de Vals-près-le-Puy.

Les brigands avaient eu l’audace de lancer une première offensive dans la matinée du Dimanche au dépend de tout savoir vivre Aristotélicien.
Une seconde offensive avait eu le même résultat, les ponots fortement mobilisés sur les remparts de la cité usaient de cailloux et de chaux pour repousser les Brigands qui tentaient par vagues successives de franchir les fortifications à grand renfort de béliers ou d’échelles.

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Timeo
A Lodève...Après une grande bataille

Plusieurs jours que les brigands avaient étais repoussés, grâce à l'armée de Tina, mais également et surtout grâce à la mobilisation générale des Lodèvois...

Tim en était...Il s'était battus à chaque fois, étant pourtant très mauvais une épée à la main...
Deux attaques avaient eu lieu...à quelques jours d'intervalle...

La première...Sanglante en tout point, Tim y avait vus tombés de nombreux amis, s'écroulant les uns après les autres sous les flèches, les épée et les haches brigandes...La bataille avait fait rage toute la nuit...Tim quand à lui, s'était battus simplement ne blessant personne, se contentant de repousser les brigands, ne voulant point tué en ses temps, ne point arrivé au même niveau que ces chiens perdus qui les attaquais...
Néanmoins, Tim avais assisté impuissant à la défaite de Neko face à un colosse qui l'avait blessée, lui brisant quelques côtes mais lui plantant également son épée dans le bras...
Fou de rage il s'était jeter sur lui, mais n'avais réussi à rien...

Puis l'aube s'était levée...Annonçant ainsi la fin de la bataille...

On avais alors ramasser les blessés, les soignant, et tim en larme avait pus de nouveau serrer son aimée contre lui, la laissant au bon soin de sa mère...
Ce n'était toutefois pas finit...Tim se retrouvais maintenant à la tête d'une section, malgré son inexperience, malgré le peux de force qu'il avait...
Une routine s'installe, faite de rapport, de recrutement, et bientôt Tim fut fière de voir qu'il était à la tête d'un groupe de brave guerriers...
Les nuits passent et les brigands eux, ne passent point...

Nouvelle attaque...Tim assoupis n'entend point la horde arrivé...Il ouvre les yeux sur une bataille qui déjà à commencé...Ses hommes se battent déjà autour de lui, avec plus ou moins de succès...Tim, se rappelant les blessures de Nek se jette dans la mêlée, et se bat comme un lion...

Soudain une jeune femme, une enfant presque, du moins un peux plus jeune que lui, se trouve devant lui, au prise avec un soldat qu'elle met vite en déroute...Tim...Fourbe pour le coup profite qu'elle reccupère pour lui envoyer son bouclier en pleine figure...Elle est au sol, le nez brisé, inconsciente...
La bataille continus, les pierres font leurs effets et l'armée brigande peu à peu est mise en déroute...Et la le jeune Tim aperçoit l'auteur des blessures de Nek...
Ivre de rage, le Lodèvois plonge sur lui, plantant son épée dans ses côtes, le blessant gravement...
Sous l'effort, la fatigue...Tim s'écroule inconscient...

La clameur le réveil...On le relève, lui annonce que la bataille est gagnée...Tim sourit, et regarde son épée rougit par le sang....

Et le voila, quelques jours plus tard, en compagnie de puritains, ramassant et brulant les corps brigand, traite à Aristote par leurs agissement, il marche, ramasse chaque objet qui peux encore servir...Il marche fier de sa ville, fier du combat qu'elle à menée, et tous sur le coups pourrons l'entendre crier: Lengadoc per totjorn !!!!!

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Laurine.
Citation:
[Le Puy … vue de l’intérieur]

Cela faisait plusieurs jours que le Ban avait été levé et que la Garçonne pestait… Levé d’accord, enfin même, mais levé où ? et quand ? Plutôt que de partir à l’aventure elle débitait. Ou plutôt faisait débiter, une noble comme elle ca faisait des pâtés pas de quartiers…
De la bonne viande débité serait toujours ca de pris pour la Mairie qui semblait apprécier ses prix, un peu plus que les salaires qu’elle pratiquait mais ca c’est une autre histoire que nous vous conterons volontiers le moment venu.

Etait-ce le fait d’une volonté stratégique de la part des autorités comtales ou une maladresse des brigands mais le fait que le Ban ait été levé de manière aussi imprécise fit que la Vescomtessa del Roure se trouva un beau matin nez à nez avec une oriflamme bien malvenue aux portes de la ville. Dire que son sang ne fit qu’un tour serait un euphémisme. Nous épargnerons les oreilles de nos lecteurs les plus sensibles en ne reprenant pas ici la bordée d’injures que la Garçonne déversa à cette vue. A faire rougir un corps de garde ostien en entier parait-il

Etrangement ce jour là elle reçu un tract impersonnel de la part du Coms. Décidément …
N’écoutant que son cœur ponot palpitant elle se saisit de son plus bel hachoir, l’affuta au point qu’il aurait été hasardeux d’en éprouver le fil et se rendit sans délai sur les remparts.

Et là… là son cœur se remit à battre la chamade. Tout le Puy était là comme une seule femme. Le Puy ville déserte, inactive, moribonde prétendaient certains, la ville la moins peuplée du Languedoc, la plus éloignée des intérêts politiques montpeliero-narbonno-beziero-centriques était debout, fière, bravache, prête à recevoir l’envahisseur avec tout les égards qu’il méritait à savoir au mieux le cimetière au pire euh… passons.

Bouzi, Kam, Lady, Toulouse, Lorelei, Carnegie, la folle de curette, quelques soldats de l’ost et pour des raisons hautement stratégiques, un nombre indéfini mais conséquents de ponots pas du tout anonyme s’étaient rassemblés, les mines déterminées et très certainement réjouies de se retrouver ainsi réunis sur les remparts de leur cité. « Qu’ils y viennent » était la phrase qu’on entendait le plus. Les fiers ponots s’organisèrent tant et si bien que lorsque l’ennemi tenta une sortie, c’est le cul nul que la plupart des assaillants regagnèrent leur campement en comptant leurs bosses.

Oh bien sur la bataille ne fut pas gagnée d’avance et les armes forgées par Gigagil montrèrent toute leur robustesse. Parler de chaux et de caillou comme cela a pu être dit par ailleurs est injurieux, paternaliste et... euh ... faux.
Voilà un forgeron qui allait se retrouver tout prochainement avec une commande de hachoirs et qui sait, de clystères.

Car El Medicator une fois de plus faisait des ravages avec ses armes non conventionnelles. A croire que les ponots, même si celui-ci en particulier se prétendait Narbonnais quand il avait beaucoup bu, étaient attirés par des armements quelque peu alternatifs.
La bataille fit rage une bonne partie de la nuit, l’ennemi ayant mené son attaque sur plusieurs fronts dont celui de la révolte depuis l’intérieur.

Au lever du jour un « hourra» général retentit tandis que le dernier des assaillant claudiquait jusqu’à un buisson épineux où il trouva un précaire refuge.

Après les congratulations d’usage et l’organisation des tours de garde, les ponots confiants prirent un peu de repos. Sans nul doute cette journée verrait l’arrivée triomphale d’armées comtales en renforts. Ils n’avaient pu que tirer les leçons de la regrettable affaire d’Alais.

Mais il en fut tout autrement… Durant la journée de vils faquins virent piller le marché avant d’ouvrir des échoppes aux prix exorbitants. Les fins stratèges du Languedoc faisaient goûter au Puy les joies d’un marché montpelliérain au plus fort de la crise. Il était à espérer que les administratifs daignent se pencher sur la question. Laurine fit un petit tour auprès de son fournisseur alternatif de matière première, rue de Traverse, le terrain presque vague en face de l’échoppe où elle officiait précédemment. Ses gens préparèrent de tout autres morceaux de viande en se signant, la mine effarée. Leur maitresse était irrémédiablement folle…

Et ce fut une nuit similaire à la précédente même si cette fois on put entendre les clics clics de la résurrection faire leur œuvre tout comme ils l’avaient fait pour Sofio tout de suite après sa rencontre avec Laurine et ses compagnons.

Se démenant comme une belle diablesse Laurine fit ce que firent un grand nombre de ponots, rouster, rouster et encore rouster sans relâche jusqu’à ce qu’à nouveau un hourra victorieux retentit. On touchait pas au Puy, tudieu de boudiou…

Elle plaça ses pièges de viande avariée, destinés à débusquer de furtifs brigands, et alla festoyer avec ses amis. Avec modération bien sûr car le lendemain serait un autre jour. Et le campement rouergat, affaibli, sale, ensanglanté même, était toujours debout. Et les sentiers menant au Puy, toujours aussi déserts…

Laurine pour l'APP : Agence Ponote de Poutrage
_________________

Lengadòc per Totjorn
Ayerin
[Au lavoir,... va donc te laver la pomme!]

"Au Puy!
Au Puy!!
Au Puy!!!"
Voila ce que lui clamaient en tête ses harpies !

Elles trouvaient la Cabossée un brin pas propre sur elle... mais c'est qu'elle sortait d'zonzon et c'n'était certainement pas en cet endroit qu'l'on vous offrait bains et savons afin d'sentir la rosée du matin.
Elle sentait aussi la chair grillée...et alors...elle n'avait rien demandé la merdeuse...et pourtant...le mal avait été fait.

Marche donc Locarin!
Et ne reviens plus en Languedoc.
T'as la pomme fichée, mal listée et dans nos villes tu n'es pas la bienvenue!
A chacun de ses pas, c'était toujours la même chose, ici ou la-bas, d'elle on ne voulait...mais lui fallait bien prendre propriété, prendre racine en un Duché, Comté...alors que devait-elle faire sans forcément passer par la case prison?

A cela, La Cabossée trouva solution : faire partie d'une entité, faire d'elle sa famille, sa maison, son Duché, sa liberté !
Et en chemin, trainant le pas avec les siens, elle trouva de quoi se sustenter...en une bien jolie caravane qui devint leur Alternative.
Mais alors qu'ils vivotaient, d'amour et d'boutanche de vinasse peu fraiche, vinrent à eux les rumeurs de la ville qui les surplombait !


    "L'armée de brigands "Alternative" est à la porte de la ville.
    Elle cherche à recruter des Ponots contre salaire.

    DITES "NON "!

    FORMER DES LANCES ET SAUVER LE PUY!

    LEVER VOS ARMES ET BATTEZ VOUS POUR QUE LE PUY RESTE LIBRE !"


Et c'est reparti!
Autre grande gueule!
Qui aurait mieux fait de se la mettre en veilleuse...mais non...fallait encore et toujours vendre la peau de l'ours avant de l'avoir occis.
Cette voix n'aurait pas du hurler dans la nuit son mépris. Un mot doux aurait peut-être suffit pour laisser le temps à la caravane d'embarquer ses oubliés et elle aurait, qui sait, passé son chemin.

Feu de camp,...
Réunion de famille mise au plat du jour.
Qu'allait-il faire dès l'aube venue?
Il n'y eu pas besoin d'attendre grand temps, en une voix, la décision fut prise : Sus aux pourris !

Danse avec l'Alternative,...
Sortir du vélin, prendre plume et offrir ces lignes à la Ponote à la bouche bien sale, aussi impropre que le fondement de la Cabossée qui du coup réalisa qu'en faisant ceci, elle obtempérait aux nouvelles invectives sous casque, de ses harpies envahissantes...mais bon gré, mal gré, elle stoppa la caravane aux portes du Puy !


    Dame Eshu,

    Je me présente, La Cabossée, dicte Ayerin et je ne peux tolérer, nous ne pouvons tolérer telle infamie!

    Nous ne sommes guère brigands, brillants non plus faut dire et nous ne tentons nullement d'emporter dans nos rangs vos chers, comment dites vous d'ja?
    Ponots, Ponotes !
    On en ferait quoi?

    Nous n'avions aucune mauvaise intention vous savez!
    Mais ca m'titille l'araignée cette massive propagande!
    Et mon araignée aime pô être dérangée...mais pas du tout...car n'pouvant vous atteindre, c'est Moi qui trinque, mais bref, sachez donc que vot'ville n'a rien d'gouteux à nos yeux!

    On y est pour intégrer d'la bête humaine oubliée afin d'aller s'vautrer plus loin, dans un champs voisin...mais si vous nous demandez de rester à vos côtés Dame Bourgmestre, de l'ost avec, alors pêtre ben qu'l'araignée voudra bien s'poser sur vot'épaule d'brunette!

    Jcogne à vot'porte hein!
    Faites nous entrer...on s'lira du poeme au coin d'un feu...vous, nous, moi, eux...et moi surtout!

    Loca, Dicte Ayerin la Cabossée

Pigeon vole, missive en ton bec!
Et à l'Alternative d'attendre que missive lui revienne. Mais ils attendirent longtemps, fort longtemps...ne vinrent pas les mots jusqu'à eux...aucune main ne fut gentiment tendue...lune après lune, ils durent subir pire vilénie, infamie...alors tombèrent les corps, les leurs, les ponots...pauvres fleurs coupées si tôt...pauvres hommes et femmes...enfants...trinquent les chairs sous les coups portés massivement, lourdement...et ca clique ici, et de l'autre côté, tout comme le fit la rousse Sofio à c'que le vent porta a son oreille...mais si l'on est pas mort, que l'on est que blessé, meme gravement, alors doit-on rester à terre afin de plaire ?
La Cabossée sait que si elle doit tomber et tombera la merdeuse, alors elle se relèvera si mère nature estime, que son heure n'est pas venue!

_________________
--Sexyso
Ils savaient qu'ils allaient être attaqués ça puait la mort a des lieux à la ronde, les hommes de guet avaient vu de loin leur bannières rose et noires..

De l'ouest et du nord deux comtés contre eux ...

Mais des hommes, ils en avaient perdu déjà, moins que leurs ennemis certes mais trop beaucoup trop et leur sang versé ne resterait pas impuni. Forts de leur courage et de leur rage de vaincre ils ouvrirent une taverne aux couleurs de la lune et s'il fallait mourir ils mourraient saouls noyés dans la vinasse et la binouse!

D'ailleurs de nombreux petits malins étaient passés leur saouler la tronche et leur remplir les fouilles à coup d'tournées et d'tournées ! Qu'importe le coeur était là ... le coeur et le courage ...

Surement ce qui avait manqué à certains en d'autres lieux...

Et puis la chance aussi était là côtoyant la générosité des villageois!
Sans eux pas d'boulasse, sans boulasse moins de hargne et d'rage au combat!

Alors la panse remplie d'binouse, le bras armé levé en guise ralliement, le coeur vide de toute peur ils avaient foncé sur les ennemis qui arrivaient...

Une armée noire menée par garcimore
Une armeé rose menée par mimi44

Et leur armée "alternative" avec on drapeau rougis du sang de leurs amis

Des coups avaient été portés de toute part, on les disait affaiblis et couards!

En chantant ils avaient combattus, en chantant certains d'entre eux étaient morts au combat mais en chantant ils avaient repoussés les ennemis et en chantant ils demeuraient là face aux murailles du puy...
Non pour prendre la ville comme le disaient certains! Mais belle et bien parce qu'à les considérer comme des bêtes de sang... ils s'étaient dit ... "pour autant qu'on pense du mal de nous et qu'on nous prête des actions malveillante autant que raison il y est! Battons nous montrons leurs qu'ils ont raison même s'ils auraient pus avoir tort s'ils avaient su fermer leurs gueules "

Citation:

Piller, forniquer, combattre, tuer,
V'là s'qu'on appelle prendre du bon temps!
Nos têtes d'main s'ront pendues au gibet,
Alors qu'la fête batte son plein toute la nuit.

Sans contrainte aucunes nous sommes libres
d'faire notre vie un délice et d'la votre un suplice
Les noeuds sont nos quartiers nocturnes,
Dansles fossés nous nous planquons,
Malgré l'vent et les orages nous y dormons,
La lune pourpre pour seul soleil,
D'votre sang nous parerons not' déesse.

Hier dans les draps d'soie du comte
Aujourd'huiau pied d'un puy d'fortune
Demain d'vant l'chateau d' un autre nobliot
Mais toujours là...
N'vous en inquietez pas!

Et apres avoir vidés vos boutanches d'binouse
A nous en laver le gosier
On s'sentira encore plus fort et courageux.
Alors ensemble nous nous leverons
Et sur vos 'p'tites vies nous march'rons
Allez donc rotir en Enfer!

Que gemissent donc vos pères qu'on égorgent
Et s'lamentent vos femmes baffouées
Qu'les cris d'vos moufflets effrayés
Sont des chants doux à nos oreilles.

Tremblez donc d'vant nos épées et nos haches
Mugissez comme des veaux
Et fuyez sombres couards
ou tombez à nos pieds comme des mouches et crevez

Et quand viendra not' dernière heure,
Qu'le diable nous prenne et nous emporte
C'est alors qu'on l'aura notr' récompense
Bien au chaud loin vos sales gueules de fiottes
Allez Hop...
Pour la route un grand coup d'vinasse, une p'tite sauterie
Et pour ce soir à l'assaut nous v'là 'fin partis!

A la vie à la mort... A ma vie à ta mort


Au petit matin, seul leur drapeau ROUGE flottait encore sur la ville dégoulinant du sang de leurs ennemis.. leurs morts à eux étaient vengés...

Peu de monde pouvait se vanter d'avoir mater en une nuit deux armes d'une coalition ennemie ils l'avaient fait LA LUNE POURPRE était leur déesse, un sacrifice sanglant l'avait honorée cette nuit!
Klanacier


Sur les remparts du Puy, au matin de 23ème jour de juin 1458


Ce matin, aucun brigands n’était monté à l’assaut du puy, contrairement au trois précédentes journées qui avait vu les vagues hostiles user les remparts de la Cité Languedocienne.

Mais les ponots encore mobilisé sur les remparts malgré la fatigue et la faim, pouvait entendre au loin le bruit étouffé d’une bataille.

Les hommes sans foi ni loi d’Alternative avait sans doute préféré passer la nuit a se barricader dans leur campement de Vals près le puy plutôt que de préparer un nouvel assaut. Cela leur avait permis semble t’il de contenir l’assaut et de résister tant bien que mal. L’oriflamme brigands était encore dressé, mais sa teinte était de plus en plus sanglante, et ils allaient sans doute passer la journée à compter leurs morts et leurs blessés laissant ainsi la ville du Puy à un semblant de quiétude.



Quelques part dans les Cèvennes, Camps de commandement Languedocien


La tente de commandement avait été renommé par les soldats du camps « la volière » car il y passait plus d’oiseau que de gradé.
Dans cette guerre, seul des éleveurs de pigeons s’en tirait à bon compte. De la à penser qu’ils avaient fomenté un grand complot, il n’y avait qu’un pas, qu’aucune mauvaise langue n’avait osé franchir.

Les rapports de bataille, et les états des lieux affluaient tout au long de la journée. Apportant au comte et à l’Etat major son lot de nouvelles qu’aucun ne pouvait trouver réjouissante. La guerre ne provoquait que des douleurs, même dans la victoire, il fallait compter les blesser et voir l’humanité se déchirer.

Sun Tzu, dans l’Art de la guerre a écrit:
La guerre est d’une importance vitale pour l’´Etat. C’est le domaine de la vie et de la mort : la conservation ou la perte de l’empire en dépendent ; il est impérieux de le bien régler. Ne pas faire de sérieuses réflexions sur ce qui le concerne, c’est faire preuve d’une coupable indifférence pour la conservation ou pour la perte de ce qu’on a de plus cher, et c’est ce qu’on ne doit pas trouver parmi nous.


L’agitation, la mobilisation c’est tout ce qui pouvait être perçu des décisions prisent dans cette tente. Le secret des décisions n’était révélé qu’au moment des mouvements.
D’ailleurs voilà le comte qui sort de la tente accompagné du capitaine, et des commandants d’armée de la région.

La guerre continue pourvu que la fin soit proche.
_________________
Ayerin
[Nuit que j'aime ta couleur sang]

Pas de roulement de tambour...
Pas de grand rassemblement...
Pas de grand discours désopilant autour de la caravane Alternative en cette nuitée du 24eme jour de Juin, de l'an de grâce 1458!


- Oh, Lune Pourpre, en ton nom, sache que nous louons ton existence et clamons à pleins poumons, cette volonté qui est NOTRE de mettre à feu, à sang notre empire, chaleureuse caravane qui aura tenue corps et âmes à de soldatesques bouffonneries,... Sus aux oriflammes ennemis... Sus au Coms d'un bord a l'autre... Sus a leurs conseillers... Un jour nous aurons votre peau d'emplumés...

La Cabossée dansait autour du feu, hurlant ce chant qui lui martelait les tempes. Voix déchirant la nuit. Voix montant jusqu'aux Ponots défendant leurs remparts. C'était un message à l'attention de ses frères et soeurs, de ses pelés, pour les lunes, les oubliés, les cloisonnés en des geôles Languedociennes sans nulles raisons, mais aussi pour leurs blessés, sans oublier ceux des Ponots qui auront su durant temps de nuits, leur tenir tête !
Mais chant qui ne se veut voler au vent, vers ceux qui clament festivités alors qu'ils devraient se remettre en question, et ne point refaire l'histoire déjà écrite...ou pour se glorifier de vaillantes gloires qui ne devraient point leur revenir !

Pour cette nuit, autre nuit, elle se serait bien mise a poil afin d'offrir cette dernière danse, mais elle craignait que l'évêque blessé aux premières lueurs de l'aube passée, ne traine encore ses miches couvertes dans leur sillage, afin d'offrir d'beaux tableaux à son clergé, ou pire faire appel à d'l'inquisition burlesque,... les voulant voir tous cramer.


Sanguine,
sanguine,
que j'aime ta couleur sanguine... !

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--Sosexy
Sur les remparts du Puy, au matin de 23ème jour de juin 1458 ou
La réalité d'une défaite de deux comtés étouffée par un Klan d'velour...


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L'armée n'avait pas tenté d'entrer au puys cettte nuit là, non et pour cause ils avaient passer la journée a discuter stratégie......
Ils avaient vu au loin les armées en route degageant une poussière sale tant ils avançaient en trainant des pieds et plutôt que de retourner s'en prendre à des paysants protégés d'une muraille ils avait préférré attendre ces armées d'baudets !
Et comme prévu l'attaque avait eu lieux...sur deux fronts ils avaient été attaqués par une armées du languedoc et une du bourbonnais.
Mais les hommes étaient courageux et portés par la boulasse ils levaient leurs armes et tuaient sans état d'âmes.
Citation:
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Lced62. Ce coup l'a probablement tué.
23-06-2010
04:20 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Erwana et de Petheus, l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore, et l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44].
23-06-2010
04:20 : Vous avez été attaqué par l'armée "les Bûcherons Assoiffés"
dirigée par Garcimore et l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44.

D'autres ne laissaient aucun répis à leur ennemis et faisaient des brochettes ....
Citation:
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Ezechiel. Ce coup l'a probablement tué.
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Djun30. Ce coup l'a probablement tué.
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Arcelium. Ce coup l'a probablement tué.
23-06-2010 04:20 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Erwana et de Petheus, l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore, et l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44].
23-06-2010 04:20 : Vous avez été attaqué par l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore et l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44.

D'autres par pitié en laissait repartir certains en claudiquant pour qu'il puisse aller raconter "la nuit de la boulasse"...
Citation:
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Kchair. Ce coup l'a probablement tué.
23-06-2010 04:20 : Vous avez frappé Rv007. Vous l'avez légèrement blessé.

Des amis à eux étaient tombés... ils en dénombrèrent 4 dont 2 lachement executés alors qu'ils étaient immobilisés par des forces occultes
Citation:
23-06-2010 04:20 : Votre bouclier a
été détruit.
23-06-2010 04:20 :
Votre arme a été détruite.
23-06-2010
04:20 : Astros
vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
23-06-2010 04:20 : Vous avez été attaqué
par l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore
et l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44.


Alors oui au petit matin l'oriflamme ROUGE ECARLATE DE LUNES POURPRES était le seul à claquer au vent aux portes du puy... parceque deux armées ennemies avaient battu en retraite devant la tenacité et la force de ces brigands valeureux.

Et oui victoire était méritée!


Il faudrait etre fou pour vouloir la nier ou la minimiser, ou etre tellement honteux qu'il etait impossible de voir la réalité en face.
Les hommes se reposerent peu, beaucoup etaient blessés, souvent legerement mais suffisement pour affaiblir considerablement l'armée qu'importe .... ils se doutaient la nuit suivante ils seraient attaqué par,cette fois, non pas deux mais trois armées...
Ils savaient qu'ils ne tiendraient vraissemblement pas cette fois vu l disproportion des forces deployées contre eux cette nuit pour 1 des leurs il y en aurait au moins 5 en face.

L'issu du combat était connue d'avance mais aucun n'avait reculé!
Aucun n'avait hésité ne serait ce qu'une seconde...

Il mourraient l'épée à la main trempée dans le sang de l'ennemi, en chantant !

Citation:
"Oh lune guide ma main, guide ma lame
que mon bras ne faiblisse pas,
que mon coeur n'ai pour seule crainte
de ne pas te faire honneur
Je mourrai sans aucune peur
les yeux levés vers toi
nos derniers regards glorifiant tes couleurs..sanguines"



La vérité est source respect même dans la défaite...
Klanacier


Vals prés le puy, campement d’Alternative, le XXIIIème jour de Juin 1458


Trois oriflammes de la coalition Languedo-Auvergnate avait pris position dans la région du Puy. Les éclaireurs Brigands ne pouvaient l’ignorer mais tentaient encore de démoraliser les ponot en répandant les rumeurs de leur victoire.
Mais derrière leur fortification de fortune dont une partie était partie en fumée lors de l’assaut du matin, le doute était bien présent, et les cris de douleurs de leurs blessés ne pouvaient être ignoré.

Il avait contenu tant bien que mal un premier assaut mais leurs éclaireurs leur annonçait déjà une seconde attaque plus massive.




Vals prés le puy, Campagne environnante, A l’aube du XXIVème jour de Juin 1458


L’armée des blesons noirs était resté en réserve la veille, lors du premier assaut. Ce matin les unités était donc en rangs serrés pour servir en fer de lance à l’attaque du Campement.

Mais les vigoureux soldats Languedociens ne trouvèrent qu’un camps abandonné jonché de détritus. Aussitôt, les soldats fouillèrent les lieux et rassurèrent les serfs dont les demeures avaient été envahies par la force. Le comte, chef de section de l’armée, se rendit au près du porte étendard pour donner les informations à transmettre aux armées alliées.

Le porte étendard hissa l’oriflamme surplombé d’un fanion Bleu et blanc.

Aussitôt la Capitaine du Languedoc au sud ainsi que le commandant du Bourbonnais Auvergne donnèrent des ordres et leur ligne de front s’étendit.
Ils rattrapèrent la plupart des brigands en fuite.

A la fin de la matinée, Les blesons noir étaient stationné au Puy afin de rassurer définitivement la population, et la majorité des brigands confier à la Medecine d’Oc avant que la justice ne prenne le relais.


Sun tzu dans l’art de la guerre a écrit:
Les grands généraux en viennent à bout en découvrant tous les artifices de l’ennemi, en faisant avorter tous ses projets, en semant la discorde parmi ses partisans, en les tenant toujours en haleine, en empêchant les secours étrangers qu’il pourrait recevoir, et en lui ôtant toutes les facilités qu’il pourrait avoir de se déterminer à quelque chose d’avantageux pour lui.


La bataille finale n’avait pas eu lieu, mais la guerre était enfin terminée.
_________________
Sauvane
Le mensonge salit la plus indiscutable des victoires ...

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Vals prés le puy, campement d'Alternative, le XXIIIème jour de Juin 1458
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Ce soir là, c'était bien les chants de la cabossée qui résonnaient dans la nuit faisant danser les derniers hommes prêts à mourir au combat et réconfortant les blessés qui se remettaient assez vite.

Citation:
Oh, Lune Pourpre, en ton nom, sache que nous louons ton existence et clamons à pleins poumons, cette volonté qui est NOTRE de mettre à feu, à sang notre empire, chaleureuse caravane qui aura tenue corps et âmes à de soldatesques bouffonneries,... Sus aux oriflammes ennemis... Sus au Coms d'un bord a l'autre... Sus a leurs conseillers... Un jour nous aurons votre peau d'emplumés...


En choeurs tous répétaient après elle en s'époumonant:

Sanguine,
sanguine,
que j'aime ta couleur sanguine... !


Chacun savaient que la nuit serait fatidique, aucun n'avait le moindre doute sur l'attitude à avoir...
En chantant ils mourraient... emportant avec eux ce qu'ils pourraient de leur ennemis.

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Face au puy, le champ de bataille..
Récit d'une défaite au goût sucré de victoire
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L'heure étaient venue, l'issue de leur combat était proche, ils avaient repoussé deux armées la nuit précédente et vu tomber beaucoup d'hommes.
Ce soir, leur nombre était dérisoire face aux armées qui pointaient au loin.
Qu'importe... ils se battraient jusqu'à leur dernier souffle, tous libres de leur choix, unis comme une grande famille.

Ils auraient pus dissoudre leur armée et encore sauver leur vie, que nenni, ils n'en ferraient rien et iraient combattre... A la vie à la mort!

Il prirent place fièrement face aux murailles du puy attendant l'assaut final, un nuage de poussière s'élevait au loin se rapprochant rapidement, en quelques minutes deux armées étaient sur eux l'une venue du Bourbonnais, et l'autre venant de l'ouest du Languedoc à l'oriflamme rose.

Ils ne virent pas la troisième armée prévue, Celle des blessons noirs, celle dans laquelle combattait le comte. Sans doute avait il trouvé plus judicieux de protéger sa vie au dépit de celle de ses hommes et de laisser ses maréchaux diriger la bataille à sa place.

Comme prévu, néamoins, le nombre de leur adversaire était démesurément supérieur au leur et c'est un carnage qui eu lieux les soldats n'hésitant pas à occire un seul homme à plusieurs.
Mais les lunes ne moururent pas sans tremper elles aussi leur lame dans le sang adverse.

Citation:
24-06-2010 04:21 : Votre bouclier a été détruit.
24-06-2010 04:21 : Votre arme a été détruite.
24-06-2010 04:21 : Cortina vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Dalev vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Garcimore vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Vous avez été attaqué par Devonia,l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44, et l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore.
24-06-2010 04:21 : Vous avez frappé Yulthebest. Ce coup l'a probablement tué.
24-06-2010 04:21 : Vous avez été attaqué par Erwana, l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44, et l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimor


Sans honte parfois, c'est à 6 qu'ils s'acharnèrent sur une même guerrière des guerrière redoutable des lunes.

Citation:
24-06-2010 04:21 : Votre bouclier a été détruit.
24-06-2010 04:21 : Votre arme a été détruite.
24-06-2010 04:21 : Lovly vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Tinounou vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Anthus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Mimi44 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Daiquiri vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Lovly vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Vous avez frappé Jeansebastien Ce coup l'a probablement tué.
24-06-2010 04:21 : Vous avez été attaqué par Devonia, l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44, et l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore.
24-06-2010 04:21 : Vous avez été attaqué par Erwana, l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44, et l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore.


Les lunes se défendaient dans un même élan, blessant, tuant, puis tombant le regard tourné vers leur déesse .

Citation:
24-06-2010 04:21 : Votre bouclier a été détruit.
24-06-2010 04:21 : Votre arme a été détruite.
24-06-2010 04:21 : Yulthebest vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
24-06-2010 04:21 : Vous avez frappé Augustelumiere Vous l'avez sérieusement blessé.
24-06-2010 04:21 : Vous avez été attaqué par Erwana, l'armée "Invictus" dirigée par Mimi44, et l'armée "les Bûcherons Assoiffés" dirigée par Garcimore


Sanglante et courte fut la bataille, l'armée languedocienne fût repoussée une fois de plus mais celle venant du BA eû raison des dernières lunes de l'armée "ALTERNATIVE " qui tombèrent en chantant.

Les vainqueurs rejoignirent le puy pour y célébrer leur victoire.

Le calme revint sur le champ de bataille, les survivants vinrent rapidement porter secours à leurs amis laissés pour mort au combat. Ceci permit grâce à la grande dextérité de leur médecin Loupphoque de sauver des vies.

Des larmes roulaient sur certains visage, mais sur chacun d'eux se lisait la fierté d'appartenir à cette grande et belle famille des LUNES POURPRES.
Cette aventure les avaient rapproché cette issue les avaient soudés pour la vie, par la mort de leur frères et soeurs.

L'herbe était rougeoyante et poisseuse, il ne restait plus rien que le sang... Leur sang qui viendrait nourrir la terre ponote, la maudissant à jamais.
La lune brillait haute, sa lumière tamisée se reflétait sur le lieu du carnage, l'empourprant d'une parure céleste... Promesse de vengeance...

Censuré ! Pas de HRP dans un RP ! il existe le MP pour ça - {LeFaucheur} Chef Censeur

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Garcimore


Campement de l'armée des bucherons, la veille du deuxième assaut.


Garci était fatigué, non pas à cause des conditions de vie, le temps était plutôt clément et depuis les mois, voir les années qu'il trainait sur les routes il était bien plus habitué à dormir sous sa tente qu'au sein de son domaine.
Non, il était fatigué car il n'était pas à l'aise durant cette campagne.
Plan de bataille inexistant ou quasi, coordination aléatoire, trop de confiance en soi...
Et ça à la guerre de quelque importance qu'elle soit ça ne pardonnait pas, le résultat ne s'était pas fait attendre.

Il vit ses soldats tomber lors des premiers combats, leur assaut fut repoussé par l'alternative.
Pas vraiment une défaite plutôt un match nul. Des pertes équilibrés de chaque coté des belligérants, renforçant de ce fait le rapport des forces en faveur de la coalition puisqu'en face ils étaient en nombre moindre.
Mais ils s'étaient bien défendus et il y avait des pertes, beaucoup trop de pertes à son gout.

Durant la nuit les groupes d'éclaireurs se sont relayés sans arrêt, traquant les éventuels fuyards avec ordre de tuer à vu, mais au petit matin l'étendard de l'alternative était toujours présent et personne n'avait été intercepté.
Les brigands avaient conservé leur armée en place au lieu de tenter de s'enfuir.

Garci eu un léger sourire, tiens c'est inhabituel se dit-il, ils préfèrent rester la jusqu'au bout plutôt que de tenter leur chance séparément dans les bois. Si ils étaient partis nul doute que certains s'en seraient tirés, la ils sont tous morts et ils le savent...


Le deuxième assaut s'annonçait donc

Ses troupes firent mouvement comme prévu, il aperçu au sud l'étendard de l'armée de mimi comme la veille, par contre aucune trace des troupes de grenouillex alors que quelques heures avant klan lui avait confirmé qu'ils seraient présent pour la bataille. On lui avait pourtant assuré que grenouillex malgré ses graves problèmes de santé serait en état de diriger sa troupe et que l'ordre de mouvement était confirmé.
La peste soit des incompétents se dit-il, avant de charger l'ennemi avec ses hommes.


La bataille fut rude encore une fois, même si elle semblait gagnée d'avance.

Un homme s'avança en face de lui et tenta de l'attaquer, il esquiva puis contra le mouvement par une frappe, sans grande conviction. Ce coup suffisait pourtant a mettre l'adversaire hors de combat, il aurait pu, il aurait du, s'arrêter et rester à terre, mais l'homme fit une nouvelle charge.

Cette fois son instinct repris le dessus, il était au combat, il fallait réagir comme il savait le faire et sans arrière pensée, il aurait bien le temps de penser après.
Sa deuxième riposte fut brève et sans appel.

Citation:
24-06-2010 04:21 : Vous avez frappé Leon_blak. Ce coup l'a probablement tué.
24-06-2010 04:21 : Vous avez frappé Leon_blak. Vous l'avez légèrement blessé.
24-06-2010 04:21 : Vous avez engagé le combat contre une armée.
24-06-2010 04:21 : Vous avez engagé le combat contre une armée.




Il releva la tête, la bataille était terminée, tout le monde s'était battu jusqu'au bout, quelques blessés supplémentaires dans notre camp.

L'alternative était détruite et il n'y avait aucun survivant, plus que des corps jonchant le sol du champ de bataille.

Garci donna alors l'ordre d'évacuer tous les blessés, de se replier, puis de démonter le camp et de faire mouvement sur le puy.
Les soldats avaient bien mérité quelques jours de repos et de pouvoir se retrouver pour profiter des tavernes d'une ville.
Lui il allait réfléchir et tirer les leçons des évènements de ces derniers jours.
Ayerin
[Histoire d'une guerre... Nuit ensanglantée du 24Juin]

Histoire d'une guerre qui n'en était pas une...
qui n'aurait jamais du en être, ni au commencement, ni même en cette nuit rouge, comme l'est son corps laminé, à coups de bâton...

Cogne l'ami...cogne défenseur que tu es...Cabosse donc cette trogne qui depuis bien longtemps ne tourne plus bien rond...regard brouillé...ne voit pas l'assaillant, ni ne le devine...en sang, ne le ressent...un carmin comme cette main stigmatisée qui repose sur son palpitant...celle de sa Carmine...mais ne tente rien..."abats ce bras sur ma pomme", pensait-elle s'évanouissant...n'a pas envie de lutter...lutter vaudrait survivre à ses frères, soeurs, frangins, frangines de coeur, à cette famille que cette nuit venait de lui prendre !

Avant de sombrer,...elle les avait vu,...
Tous éparpillés...Corps meurtris...Yeux révulsés,...
Leurs cris fusaient en son crane abattu...battu à mort...laissée pour morte...rouge écarlate, la bouffie Cabossée suffoquait, manquait d'air, suffoquait encore, écoutant le tambour incessant lui marteler les tempes.
Yeux gonflés. Air de rien. Rien dans l'air qu'une opaque fumée marquant la fin de cette caravane l'Alternative.

Mouvement. En avant.
Elle se mouvait. Non!
Elle sentait son dos se mouvoir sur un sol souillé. Oui!
Un homme, c'était un homme ou femme ou autre entité qui semblait la trainer par les arpions jusqu'à une charrette ou elle fut lourdement jetée.
Narines furent titillées. Horrifiée par cette moiteur ressentie sur elle, la merdeuse bouche en grogne, grogne en bouche, gémissait, la douleur se faisant alors ressentir, plus fort.
Flux sanguin incessant. Faible est sa respiration mais elle est bien réelle alors qu'ainsi vautrée parmi ces morts familiers, ses pensées firent chemin vers celle, qui fut tombée hier, gravement blessée, mais planquée par ses soins avant que la charogne Languedocienne ne vienne cueillir cette tour convoitée, aimée, adorée... ...

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Aliyane
Le vent soufflait dans ses cheveux bruns, ses yeux clairs la piquaient, le ciel était obscurcit par des nuages qui cachait la lune...
Mauvais présage, mauvais augure ...
Non simplement la fatalité, le destin, le choix de ses amis... Tous les hommes en forme avaient décidé de prendre le chemin de la bataille quitte à mourir au combat et c'est impuissante qu'elle assistait de loin au massacre.

Des hommes à terre battus à mort, des corps amis , connus , aimés démembrés éviscérés, des cris de douleurs et du sang beaucoup de sang.

La nuit noire devint peu à peu écarlate lorsque les nuages se dissipèrent, et la lune endeuillée semblait drapée de carmin.

Aux premiers signes de fin de batailles, sans bruits les ennemis furent remplacé auprès des corps par les amis.

Sans un mot les corps furent ramassés et déposés sur des charrettes.

Ali, ne sentait plus ses jambes la porter, ses yeux hagards ne sachant où se poser.

Et puis, elle aperçut un mouvement parmi les corps posés sur la charrette une botte noire, elle se précipite.

Recouvertes de sang a moitié seché de poussière, le corps meurtris le visage boursoufflé , elle reconnait leur chef, celle sans qui rien n'aurait pus être.

Regard à droite, a gauche elle cherche de l'aide


DOC quelqu'un a vu l'doc???
--Doc_des_lunes
Doc entendit cri au loin, un appel de desespoir, encore un ...

Il avait miraculeusement échappé a de lourdes blessures et c'etait sans relache qu'il tentait maintenant de soigner ses amis. A peine eut il le temps de finir les bandages d'un des siens, qu'il n'avait reconnu qu' a ses armes tellement le visage etait meurtri, il se leva et courru en direction de cette voix qui lui était si familière, c'était Ali qui l'appelait.

A taton, dans le brouillard et la fumée, il pur rejoindre son amie.


Ali, tu es vivante, quel soulagement. Regarde tous nos compagnons, il n'en reste pratiquement pas un debout ...

Et dire que ce duc sans parole avait promis des soins ... je ne vois encore aucun medecin du Languedoc, en as tu vu de ton coté ? J'ai l'impression qu'ils sont plus occupés a bruler nos morts qu'a soigner nos blessés !

Puis Doc vit un corps tout pres d'Ali.

Non, ne me dis pas que c'est Ayerin, son bouclier, sa robe, je la reconnais.

Doc se precipita sur le corps et l'examina.

Elle est salement amochée mais son coeur bat.
Je ne suis pas sur de pouvoir soigner tout ca, ca va prendre du temps, elle est couverte de plaies.
Elle a parlé, gemi, fait un signe ?

Vite, vite au boulot, du feu, des couteaux, de la ficelle, des tissus, du renfort !

Ca va aller Ayerin, ca va aller, on va te sortir de la.

Calmement, Doc fit mordre un baton a Ayerin et commenca a extraire les premiers debris de lames qu'il avait pu apercevoir dans le bras d'Ayerin. Le couteau rouge, au contact de la peau, laissait dégager une odeur désagréable.
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