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SK Halle de Takayama, Daymio Oda

[RP] Des cochons, des champignons...

Amaterasu
RP ouvert à tous, merci de ne pas se prendre au sérieux


Amaterasu après être passé déposer tout son bardât au So repartie vers son domaine pour une nuit bien méritée. Au petit matin, elle partie pour une petite balade à cheval et fit le tour des lieux, La matinée était fraiche et sa rizière avait était entretenue. L’enclos à cochon était vide aussi elle galopa jusqu’à la foire à bestiaux ou elle en choisi 4 bien mignons et qui avait selon elle de bonne chance de devenir grassouillets.

Après avoir donnée l’adresse du domaine au gamin chargé de les mener à l’enclos elle fit un détour par le marché. Comme toujours il y avait du monde autour des échoppes grassement achalandée. Quelques poissons colorés pas très frais, garnissaient les étalages et les bucherons se faisaient concurrences.

Ce poivrot de Murakawa vendait ses champignons très certainement pressé d’aller en boire l’argent.
Faisant glisser ses zoris vers son étalage, elle eut comme toujours pitié. Loin de son alcoolique de rustre, elle se dit qu’aider un autre alcoolique remplacerait un peu son absence qui se faisait longue.
Les champignons avaient l’air frais et tendre. En rentrant elle les prépara avec quelques herbes aromatiques et constata avec joie que les cochons avaient été livrés et qu’ils trainaient nonchalamment dans l’enclos. Pourtant quelques choses lui semblaient étranges. Les cochons la regardait et tendait leur trompe vers elle. Tiens je ne me souvenais pas qu’ils avaient une trompe, certes elle est bien jolie mais tout de même. Elle sortie pour se rapprochait en se disant qu’elle devait déjà avoir la vue qui baisse. Les cochons accoururent vers elle et de leur trompe lui jetèrent un nuage de fumée rose.

Elle couru donc vers la gargote la plus proche où se trouvait toujours Murakawa pour lui raconter autour d’un verre de Saké ce qu’il se passait à la foire au cochon du Daymio.

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--The_mushroom_experiment
Sur le chemin de la gargote Amaterasu allait bon train pour demander des comptes à Murakawa sur sa marchandise. Le ciel tournait au violet alors que qu'un soleil vert se couchait doucement derriere les maisons de Takayama.
Seul le bruit strident d'un cerisier venait troubler le calme des enfants qui se balançaient doucement dans la brise.

Soudain, alors qu'Amaterasu arrivait sur une petite place ondulante, elle perçut un cri lointain qui semblait se rapprocher. De droite, de gauche, de devant de derriere, rien ne venait, pourtant le son devenait de plus en plus perceptible, un cri rauque, féroce et apeuré, de plus en plus proche. C'est alors que l'idée saugrenue de lever le nez vint à la jeune femme de Takayama. C'est en effet des airs que provenait l'alerte.
Une masse sombre venant du ciel s'approchait à vive allure, comme une pierre velue tombée d'un nuage, criant à perdre halène dans sa chute.

La chose étrange filait droit vers Amaterasu qui dût reculer vivement de quelque pas pour éviter de se trouver à l'endroit exacte du point de chute.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah BRAOUM!
L'objet volant non identifié s'écrasa juste devant Amaterasu dans un bruit assourdissant et en soulevant un épais nuage de poussière.
Alors qu'il se dissipait doucement dans le vent, une forme gigantesque se dessinait, haute de deux bon mètres et large comme un bœuf.

Kof kof kof toussa t elle en agitant une grosse paluche devant son visage, à chaque fois c'est pareil! beugla t il d'une voix grave, animale.

Alors que la poussière se dissipait totalement, Amaterasu découvrit une énorme créature debout sur ses pattes. De la stature d'un ours, elle était couverte d'un pelage gris claire et sa trogne indescriptible était surmontée de deux cornes de bouc aux reflets métalliques. Il était tout occupé à se secouer le pelage pour en ôter la saletés dût à son atterrissage mouvementé.

Une fois qu'il eut finit, il regarda alentour, cherchant manifestement quelque chose. Ce ne fut que lorsqu'il pensa à baisser le regard qu'il découvrit enfin Amaterasu.
Ah!, dit il peu affable, vous voilà enfin! ben c'est pas trop tôt! vous avez vu l'heure qu'il est? Je vous prie de croire qu'Il va pas être content!
Amaterasu Teno, c'est bien vous?
Il la jaugea un instant, faisant rouler ses yeux bêtes de la tête au pieds de la jeune femme. Vous comptez vraiment y aller fagoter comme ça?
Amaterasu
La fumée était épaisse et le bruit assourdissant. Par réflexe elle recula juste a temps. Prise d'une quinte de toux liée à la poussière soulevée. Elle agita prestement son éventail afin de trouver un petit espace d'air respirable.

A la vision de la créature, elle eu un second mouvement de recul. Après les trompes qui avaient poussés sur le groin de ses cochons, découvrir cette chose immonde postée là devant elle, l'amena à ce frotter les yeux pour être certaines qu'elle n'avait pas rêvé. La bestiole était toujours présente et comble de l'horreur, elle s'exprimait d'un ton d'une incorrection sans commune mesure, et connaissait son nom....

Son sang ne fît qu'un tour lorsqu'elle lui répondit sèche et froide en levant la tête compte tenu de la forte différence de taille.


Oui c'est bien moi, Amaterasu Tenno, patriarche du clan Tenno depuis le décès de mon très honorable mari Bushido impérial....

Elle fît mine de verser une petite larme pour l'occasion, on lui avait tellement répété que çà faisait bien...Il ne va pas être content! Et bien c'est comme çà ! Une femme doit apprendre à se faire désirer...
Puis regardant son kimono, elle se demanda ce que la chose pouvait bien reprocher à son accoutrement.

Au lieu de critiquer ma tenue, commence donc par me trouver de la poudre de serre de dragon, je n'en ai plus pour avoir le visage vert comme il se doit en société ! Elle observait alors attentivement les ongles où plutôt les griffes de l'animal en réfléchissant à la façon dont elle devrait s'y prendre pour les lui limer afin de lui faire de plus jolies mains...

Et bouges toi au lieu de dire qu'on est en retard ! Je ne partirai pas d'ici sans être recouverte de ma poudre de serre de dragon.


Elle avait élevé la voix, histoire de lui montrer qu'elle n'était pas à ces ordres malgré la différence de stature évidente.
Afin qu'il comprenne bien que sa décision était irrévocable, elle s'assit par terre, les genoux repliés sous ses cuisses et fît mine d'attendre patiemment.
Elle était minuscule fasse à l'animal qui la protégeait des éclats nocifs du soleil vert.


Finalement...peut être que de la poudre de tes cornes pourraient faire l'affaire....
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--The_mushroom_experiment
A écouter Amaterasu la créature leva un sourcil incrédule. Elle alla même jusqu'à mimer un joueur de violon (ne me demandez pas ce qu'est cet instrument) lorsque celle ci évoqua son défunt mari, et ne manqua pas de manifester ouvertement un ennui profond à la suite du discours.

Et voilà, fit la créature d'une voix caverneuse, qui c'est qui se tape la siphonnée du coin? c'est bibi! Bien sûr qu'on va lui trouver de la poudre de serre de dragon à la petite dame, enchaina le monstre comme on parlerai à un gosse de trois ans, et puis on va l'emmener au pays merveilleux des sucettes et des maisons en chocolat!? Elle est contente la petite dame?
Mais l'air faussement gentillet ne dura qu'un instant, et sous la menace de voir ses cornes réduites en poudre la créature se fit tout soudain bien plus conforme à son apparence.
Bon écoutes Amaterasu, j'ai pas le temps de m'amuser, et crois moi toi non plus. Tu viendras avec moi quoi qu'il arrive, de grès ou de force, et si c'est la seconde méthode que tu préfères cela me va parfaitement.

C'est vrai à près tout quoi. Il n'allait pas se faire enguirlander sous prétexte que la donzelle n'avait pas voulu se bouger. Aussi c'est sans plus d'avertissement que le monstre s'approcha de la jeune femme agenouillée et qu'il s'empara d'elle entre ses grosses mains velu. Il la souleva comme on soulève une jarre de saké vide et, faisant fit de toute résistance, la jeta par dessus son épaule comme un sac de riz à moitié plein. Voilà! Si tu veux attendre, attends ici. Toi tu te bouges pas, comme tu l'voulais, et moi je te conduis devant Lui, comme ça tout le monde est content.
En maintenant sa prise sous son bras, la créature fit demi tour et commença à s'avancer à grands pas vers la sortie de la ville. Sa vitesse s'accélérait, s'accélérait encore, tant et si bien que bientôt le paysage ne fût plus qu'un flou de couleur qui sifflait aux oreilles de la captive.

Tout en accélérant encore, la créature maugréait. Elle ruminait des phrases dont on ne pouvait percevoir que quelques bribes comme "Grogorne va chercher ceci... Grogorne ramène moi ça... toujours pareil... sale boulot... " Takayama s'éloignait, les montagnes défilaient, les forêts passaient comme un fleuve en colère sous les enjambées invraisemblables de la créature. Elle semblait vouloir aller jusqu'aux confins du monde sans plus prêter attention à sa passagère qu'elle n'en aurait prêté à un bout de tissus posé sur son épaule velue.
Amaterasu
Vol ascensionnel dans les airs où comment cette sale bestiole lui fait découvrir les joies de l'ascenseur version animalière(vous ne connaissez pas, moi non plus..). Pourtant elle se débat et tape de ses poings, de ses pieds jusqu'à en perdre une zori, elle le mordrait bien si ce n'était cette amas de poil épais qui la rebute. La voilà donc la tête en bas, posée comme un sac de riz sur une épaule velue dont les poils viennent lui chatouiller les narines et la font éternuer.

ATCHOUM!

Éternuer lorsqu'on a la tête en bas c'est terrible. Bien décidée a ne pas être trimballer comme un vulgaire paquet, elle va chercher dans sa manche le petit Kaiken qui ne la quitte jamais. Elle est bien partie pour le saigner comme un porc. Elle frappe de toute ses forces dans l'épaule avec le petit couteau. Aucune réaction de l'animal et aucune trace de sang n'apparait. Elle regarde alors la lame et se laisse choir désespérée. La lame est toute tordue.

Cheveux au vent, tête en bas, elle soupire désemparée et fini par se résoudre à regarder défiler le paysage de plus en plus vite. Bientôt plus de forêt, un mélange de couleur et l'on entend le
TATACTATOUM de la micheline (encore un truc bizarre) Grogorne lancée à grande vitesse mais en plus chaotique. Elle est tellement secouée, que rapidement la nausée la gagne.

La main de l'animal posée sur son dos pour la maintenir en place lui tient chaud et l'étouffe. Elle entend sa voix étonnement aiguë vu la taille de l'animal qui marmonne et râle.
Bien décidé à ce qu'il la lâche et qu'elle puisse avoir une position confortable, elle prend une voix douce rapprochant tant bien que mal sa bouche de l'oreille du monstre.
Si tu me lâches, promis je resterai sagement assise sur ton épaule.
Elle lui fait les yeux doux même si elle doute qu'il puisse s'en apercevoir.Et même si tu veux, je te coiffe et t'apprête pour que tu sois le plus beau et que tu deviennes le monstre le plus aimé de l'archipel.... Tu auras toutes les femelles à tes pieds et tous les hommes seront a ton service. Elle laisse volontairement un petit temps de répit histoire de vérifier qu'il l'écoute bien.Tu sais que je te trouve très mignon déjà...

Elle espère l'amadouer, pas beaucoup d'issue faut dire lorsqu'on est un petit bout de femme par rapport à un géant pareil.

ATCHOUM!

Nouvelle éternuement lié aux poils et elle lui annonce en redressant la tête en prise à une envie soudaine : Tu aimerais que je t'épile?
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--The_mushroom_experiment
Mais faits attention bordel! beugla Grogorne lorsqu'Amaterasu lui éternua dans le poil, tu n'es pas en train d'arranger ta situation! Et crois moi tu n'as pas besoin de m'avoir sur le râble en plus de ce que tu vas te prendre.
La créature stoppa net en atterrissant sur une plage après avoir enjambé quelques rizières. Elle resta à contempler l'océan, ne sachant manifestement pas quelle direction prendre. Ils pourraient foutre quelques panneaux indicatif tout de même, à chaque fois on se paume ici.
Et toi ferme la un peu!
reprit le monstre à l'adresse d'Amaterasu, n'ajoutes pas la corruption de fonctionnaire à ton cas. J'ai besoin de me concentrer là. Grogorne s'humidifia un doigt et le tendit dans les airs pour tâter la direction du vent. Ah! c'est par là, dit soudain le monstre en ayant apparemment trouvé ce qu'il cherchait. Une petite flexion des genoux, et il reprit sa course folle sur les eaux.
Je te préviens Amaterasu, tu touches à un seul de mes poils et je te pète tout les doigts de la main histoire d'être sûr que tu ne me gonflera plus. Et puis on arrive, plus la peine de faire ta mijaurée.

En effet, le monstre et sa prisonnière était en vue d'une île. Au centre de celle ci s'élevait un grand palais tout fait d'arbre et de verdure, non pas construit de main d'Homme, mais comme s'il avait poussé naturellement. Il était gigantesque, percé de mille fenêtres, haut comme une montagne, des centaines de tours s'élevaient vers le ciel et se perdaient dans les nuages.
Grogorne atterrit devant une porte gigantesque et pénétra dans le bâtiment d'un pas lourd et mesuré. Sans lâcher sa prisonnière il emprunta un long corridor fait d'un entrecroisement de hêtre où des oiseaux aux couleurs invraisemblables voletaient ça et là en portant des globes lumineux. Ils arrivèrent bientôt devant une porte gigantesque qui s'ouvrit d'elle même lorsqu'ils approchèrent.

La pièce dans laquelle ils pénétrèrent était gigantesque. Comme dans un cirque, des gradins étaient disposés en arc de cercle sur sa circonférence. Là étaient assit des centaines d'animaux qui bavardaient bruyamment. Ils étaient tous vêtu de couleurs chatoyantes et se comportaient comme des êtres humains l'auraient fait dans une gargote gigantesque. Au centre de la pièce se trouvait un siège entouré d'une cage de bambou et, trônant au fond de ce décor, un bureau énorme sur une haute estrade.
Lorsque Grogorne atteint la cage, les barreaux s'écartèrent comme par magie. Il desserra l'étreinte d'Amaterasu et la posa sans ménagement sur le siège. Dés lors, tout les animaux alentour firent silence. On n'entendait plus que des chuchotement soupçonneux, et quelques quolibets qui fusèrent de ci de là comme
"assassin!" ou "qu'on la donne à la terrible bête de traal!". Un fruit pourri vola même en sa direction, mais Grogorne empêcha qu'elle n'atteigne son but d'une patte agile.
Le monstre sorti de la cage qui se referma derriere lui, et se posta en garde immobile à coté d'elle.


Une voix forte retenti soudain dans la grande pièce, résonnant sous la haute voute de peuplier et imposant le silence définitif au public présent.
Représentants de Mère Nature! Veuillez faire silence pour l'honorable juge Bouillbassonsama!
On entendit un bruit de sabot provenant de derriere l'estrade. Apparut alors derriere le bureau un énorme cochon à la mine patibulaire mais presque. Il s'installa sur un lourd fauteuil de branches et de mousse, posa un grand bol sur le bureau et renifla en jetant un œil sévère à Amaterasu.

Amaterasu Tenno! grogna t il afin que tous l'entendent, vous êtes ici pour comparaitre devant le grand tribunal de Dame Nature afin de répondre de vos crimes! Il prit une feuille de papier de riz et en fit lecture. Vous êtes accusée du meurtre avéré de plus de cent vingt membres de la communauté porcine, de leur éviscération et démembrement, ainsi que de la revente de leur corps par pièces ainsi détaché.
Le groin du juge sorti de sa lecture et visa Amaterasu. Qu'allez vous plaider?
Amaterasu
Jetée comme une malpropre dans la cage, Ama dévisageait les animaux avec une moue de dédain. Malgré sa situation plus que tragique, elle commençait à en avoir franchement marre de se retrouver entourée de tous ces êtres laids, sales et qui empestaient.
Lorsque l'espère d'horreur à groin s'affala sur le siège elle cru entendre le "Sploc" de la graisse qui se repend largement sur la mousse.
Elle imagina rapidement toute cette bidoche épaisse dans sa boucherie. Certes il aurait fallu retirer le gras...

Elle répondit d'une voie forte


COUPABLE!

Elle laissa passer le brouahaha de l'assemblée et attendit que les gardes fassent en sorte que la pièce retrouve à nouveau le silence. Grogorne devait être agile pour lui éviter tous les fruits pourris qui étaient lançé sur la cage sans vergogne.


Oui je suis coupable d'aimer la bidoche en provenance de toutes les sales bêtes puantes telles que vous dit-elle en montrant du doigt le juge. Vous n'êtes que des porcs sans aucun intérêt aucun, dégoutant, gras et moche. DES SALES PORCS INFECTENT ET CRASSEUX.

Vous êtes juste bon a grogner, cracher, déféquer dans mon champ. Vous bouffez sans arrêt, vous êtes une ruine en nourriture...Aussi je vous mange de bon appétit... Comment souhaitez vous finir?

En cotes de porcs poilées?
En jambonneau, froid ou chaud?
En petit salé
En tranches, en morceaux... cru, cuit?

Je n'aurais de cesse de vous dégraisser pour mieux savourer vos chairs...épaisses et moelleuses... De vos os je ferais des outils, je vous ferais bouillir à petits feux!


Je préserve les plantes, je ne mange pas de riz par contre vous vous ne vous gênez pas pour saccager mes rizières en vous baignant dedans allégrement.


Elle reprit son souffle après la tirade puis changeant totalement de posture d'une voix fluette et triste elle annonça :


Je ne regrette qu'une seule chose, j'ai mangé des champignons, je l'avoue... Elle déglutie en prise à des soubresaut. Je m'excuse auprès de toutes les plantes vertes ou fleuries, auprès de tous les arbres et arbustes...

Elle s'écroula en larmes...
J'ai un terrible penchant pour les champignons... J'essaie parfois de résister à l'envie d'en manger, mais je n'y arrive pas, j'aime trop cela. Ils sont si délicieux avec leur chair ferme et tendre... Oh pardon, pardon les plantes...
Dans la cage de bambou, son maquillage coulait et elle pleurait a chaude larme tout en caressant le bambou de ses barreaux et continuait de parler doucement au bambou.

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