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[RP]Encore les hydres???? Ah ben non, vla aussi le Jargor

Allfears
[Nuit du 3 Juillet en furtif]
Le feu maintenant embrasé la mairie de Millau tout entière. Il n’y avait plus rien à faire ici. L’heure était venue de repartir.
Les coffres était presque vide mais il avait pu en sauvé un des flammes. Chargeant la chariotte il se déplace maintenant avec le groupe en direction de Rodez.
Le château, le juge et le procureur ne sont pas venus en direction de l’hydre, C’est donc l’hydre qui tout naturellement viendra a eux.
A la demande de Garance, Il l’a suivi de près avec à ses coté Jeni. Il lui fallait lui protéger ses fesses à la future comtesse, la seule chose encore en bon état.
Les dents on ne pouvait plus rien faire.
S’avançant en silence entendant du bruit se cacha dans les buissons, couché sur Jeni il attendit que les défenseurs passes.

Arrivé au château une fois de plus peu de résistance a leur encontre. Garance demandant la salle du trône, le garde lui indiquant.
Gwenn ne faisant pas de quartier et tranché tous ce qui était mou.
All n’avait même pas eu besoin de sortir sa lame de son fourreau.


[Dans la place au matin du 4 juillet]
Suivant maintenant les autre de loin, il regarda ce château, jamais il n’était rentré dans l’un deux.
Eh ben on ne se gène pas ici pendant que les paysans travaillent comme des dingues !! Il y en a qui ont le confort ici. Les coffres doivent être bien rempli pour pouvoir s’approprier tous ça.
All laissa la future comtesse allé voir son trône tandis que lui se dirigea vers les pièce du bas.

Ouvrant une par une les portes il trouva enfin le bureau du CAC.
Ah voila le bureau que je chercher !! Voyons voir si ce cher conseiller a bien tenu les comptes et a combien il fait ces échanges commerciaux

Fouillant sur le secrétaire il trouva enfin ce qu’il chercher, le résultat des comptes de trésorerie.


Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Mais c’est quoi ces compte !!!!!!!
All relu une seconde fois les chiffres écrit sur le vélin.
Mais c’est pas vrai il gère comment le comté eux ? -63399 écus comment peut-on avoir -63399 écus avec un château aussi bien entretenu ?
Il se demanda comme le comté faisait pour payer ses soldats, les maréchaux et les miniers.

Sortant du bureau pour aller voir sa comtesse, il monta l’escalierBlaaamm boummm fraac

Manquant de se prendre un trône sur la tête il s’écarta promptement pour l’éviter.
Hey ho la haut on se calme !!!!

Arrivant en salle

Comtesse, comtesse !!! Tira une révérence
Comtesse j’ai une mauvaise nouvelle pour vous
On ne peux rien prendre il vous faudra encore attendre pour euh . au cas où vos dents retombent. On ne sait jamais un jour elles tombent , un jour elles repoussent.
Il faudra bien vous acheter un dentier en or mais bon la ca va pas etre possible
Le comté est en déficit de -63399 écus.

Je vais de ce pas voir s’il y a des marchandises et je fais en sorte de les vendre a fin de remonter un peu les finances.
Retournant a sa tache il regarda comment il pouvait faire pour redonner un peu de sou a ce comté sachant bien qu’il ne pourrait pas tout remonter en un jour.

Quelque transaction par ci
Quelque relation par là il s’attela toute les journée à pouvoir chercher le meilleur compromis.

Bon je ne peux pas mieux faire voyons combien on a récolter aujourd’hui.
All sorti le boulier et commença à refaire les comptes.
Grand sourire se lisant sur son visage, les traits tirés du a la fatigue, faut dire qu’il ne dormait pas beaucoup en ce moment.

Voila nous somme passé de -63399 à -61857 écus. C’est un bon début. Mais nous ne sommes pas les gestionnaires de ce comté
Il va falloir que les paysans demande des comptes maintenant…..
Gwennie
[Au petit matin, le lendemain de la prise du château]

Elle avait erré toute la nuit, à la recherche d’un foutu bureau, s’attardant ici ou là pour farfouiller dans des coffres vides, à la recherche de vêtements potables. Il y avait des limites même pour une bretonne à sentir l’andouille de Guéméné fumée à point.

Bon…c’est nul z’ont aucun gout ici…

Elle se regarda dans un miroir et constata son état avec stupeur.

Ah ouais…quand même…


Pigeon vola…Et hop de se poser.

Juge ????????

Mais …Ouais bon…MAIS OUI !!!!!!!


Y a des grognasses à condamner…Deux. Bon sur qu’elle aurait préféré les tuer…L’un n’empêchait pas l’autre…Pensive elle se regardait dans la glace d’un air de plus en dépité.

Puis hurla.

UN BAIN !!!!!!!!!!!Fissa !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Alors qu’une jeune fille avançait craintive vers elle en tenue propette de serf , elle la regarda d’un air peu amène.


Allez zou !! Un bain chaud, j’ai des gens à condamner !!! Sinon au GNOUF !!!!!!!!!!!!!!!! Pis bordel, après tu dis à tout le petit personnel de piller chaque pièce. TOUTES. Enfin ce qu’il reste. Et décarrez. Prenez des …congés. J’vous libère, pauvres opprimés, vu que vous êtes pas capables de le faire vous mêmes.


Le bain fut préparé, puis fut pris avec rapidité, elle n’était pas là pour couper des melons non plus.

Dégagez !!!!!!!!!!!!


Vaguement habillée d’une seule chemise trop grande pour elle , elle se dirigea tant bien que mal vers son bureau de juge.

Bon…d’abord…un juge comment ça marche???


Elle prit le manuel de base et potassa dans son coin avant de refermer le tout d’un geste sec.

Je sers à rien en gros. Même pas moyen d’entarter les deux gougniffionnes qui ont eu l’outrecuidance d’embêter mon chef adoré Bon je vais être obligée de les tuer un jour alors…


PARFAIT.J’vais donc rendre le seul jugement possible à rendre


En attendant …Elle farfouilla partout à la recherche d’une bouteille, ben oui, y a toujours une boutanche dans les bureau, des fois que.

Mais ne trouvant rien de rien, elle se dit que ce comté commençait carrément à lui faire de la peine…Si les gens savaient…Pffffiou….Passons…

AU GNOUF !!!!!!!!!!!!!BORDELLLLLLLLLLLLLLLLLLLL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle avançait dans les couloirs, direction la salle d’audience , bien décidée à faire son travail épuisant toute la sainte journée. Elle s’installa, saluant Ahl d’un geste ample du bras, puis tapa dans ses mains.

Commençons !!!!!J'ai jamais fait Juge dans un château...A défaut d'autre chose...

_________________
Labaiteuh
[Le pavé dans le lac ricocha finalement jusqu'aux douves de Rodez]

[D-2 juillot]

Mairie, en flamme, abandonnée à sa population.
Que peut on faire de mieux pour nettoyer le monde des représentations du pouvoir...ah je sais...Faire de même avec les châteaux, en haut de cette hiérarchie pyramidale.

L'hydraulique de ses veines étant à son paroxysme, suite au tumulte de ces derniers jours...N'est que croissante en songeant aux jours à venir.

A la va vite, il lance sa roulotte...Lattes de bois bourgeonnants sur le toit de la roulotte, roues enracinées d'avoir passé trop de temps au même endroit...Le printemps fit de ce départ un échec!
Les trois compères passèrent cette nuit a dégagé leur moyen de locomotion...
Lediabolo taillant les jeunes pousses, Chewby au déracinage et moi même m'occupant de Millau le suicidaire, l'homme tronc, qui lachait moult insanités.

Ferme là, toi! Je te veux en vie, Gwen de même...tu es adopté!

Chaussette dans la bouche et tissu autour de la tête aidèrent à lui clouer le bec.

[J-1 juilliot]

Millau repris par les rouerguais qui ont montrés leurs courages, s'attaquant à une batisse vide et propre.
Hydre, jargor et mercenaires sont à Rodez..sur demande d'Harpège qui veut qu'on passe directement par elle pour nos doléances.
Ainsi soit il...

La roulotte s'élance à la nuit tombée en direction du nord ouest.
Cette fois rien ne les empêchera de gagner la capitale.
Population se dirigeant dans le sens inverse, migration! Ah non, exode surement...
Les roues de l'engin callées dans les rails laissés par le gros de la troupe la veille et cette longue ligne droite font qu'il ne tarde pas à s'endormir aux commandes.

De temps en temps, des secousses un peu plus grosses le réveil, quand il regarde si il n'a pas perdu une roue avec un quelconque cailloux, il remarque dans le rails, animaux de compagnie broyés, enfant rarement...Faut dire c'est rapide les jeunes...Et le plus souvent une vieille ou vieux dont la famille à voulu se séparer en les jetant sous les large roues ferrés de son véhicule.

[ D-Jour, le 4 juillet selon mes calculs]

Réveil brutal, la roulotte arrêté là, n'importe comment dans Rodez...La maréchaussé rouerguaise égaré, faut dire ces derniers jours la tête du duché change rapidement, qui le prend par les bras et l'arrache de son cauchemar.

Vous habitez Rodez?
Non et arrêtez de me faire chier avec ça...
Vous avez un écus?
Et puis quoi encore...Vous voulez Mars aussi!

L'homme qui le tient le tire pour le faire descendre du bolide, réflexe naturel, labaiteuh dégaine Phallus et tranche ce membre aventureux.
Voilà! ça t'apprendra à faire la manche!

L'homme, dans un râle plaintif, tombe au sol, un second en profite pour coller un boulet à sa cheville droite avant de reculer hors de porté de lame.

Bande de vers qui ne comprenne rien à rien! regardez, là! La donne à changer! C'EST CHEZ MOI ICI!

Labaiteuh montre le haut du chateau, où l'on distingue trois drapeaux entrain de se hisser... L'un noir avec un écusson doré, une hydre c'est sur, le second noir aussi représentant un monstre aîlé se léchant les pattes, le jargor surement et le dernier rose...juste rose comme les contours DTC.
Sur ce fait, le rouerguais lui enlève de suite ce poid qui encombre labaiteuh, se retourne pour fuir mais trop tard, un coup dans le dos...ouais comme un traite...l'envoie au sol immobile pour l'éternité.

Bon j'ai soif et pas un rond...je vais aller me faire rincer en taverne.

Prenant le chemin de la rue de la soif, il se prend deux pigeons, venant d'une des tours du chateau, en pleine gueule.
Il les lit de suite et se reprend un torgnole monumentale, mentalement parlant, on dit jamais deux sans trois...Pour vérifier cette expression, il fonce à la recherche de la bretonne.

Sa mine décomposée toute fois car ce qui fait le plus peur à une hydre n'est autre qu'une autre hydre...Mis à part le vieil aveugle qui lui le fait de part son mystère.

Il la trouve finalement là ou elle est, le lieu n'ayant pas d'importance, de plus il a ses oeillères...Il utilise un ton sec et grave mais peu sure de son droit de revendiquer.

Gwen! C'est quoi ça! J'ai fait quoi... tu veux quoi?

Labaiteuh lui jette les deux oiseaux et lettres de malheur au nez, ceux ci faisant vite apparaître une flaque de sang en atterrissant sur la table.
Gwennie
[Au château, chez l'hydrique Juge]


Gwen se trouvait plongée dans un état de léthargie intensive. Les dossiers s’accumulaient avec une régularité inquiétante, alors qu’un seul d’entre eux l’intéressait au final et évidemment stagnait au point mort. Aussi se levait-elle tout aussi régulièrement pour cramer la paperasserie au fur et à mesure qu’elle s’entassait.

Ma Justice sera arbitraire ou ne sera pas !!!!!!!!!!


Gwen! C'est quoi ça! J'ai fait quoi... tu veux quoi?



Ecarquillement des yeux devant les pigeons massacrés.

Accusé et réception.

T’es arrivé finalement ? T’as réussi à sortir de la taverne ? C’est aimable à toi….


Elle le toisa de sa petite taille.

Déjà et d’une j’suis au taf…alors ton cirque tu vas le f aire ailleurs. J’suis Juge moi monsieur. J’suis DE BOR DEE…

Toussotement alors qu’elle jettait le dernier dossier au feu.

J’ai même réclamé le poste si tu vois ce que je veux dire…


Le greffier vint lui signifier la pause …Malvenue…Très. Elle perdit un peu de sa superbe mais une flambée de colère froide vient lui tordre les tripes.

Tu me demandes ce que tu as fait ??????tu te fous de ma poire en plus ?????????????

Gwen saisit sa poêle à frire les morues pas fraîches et lui assèna un coup magistral sur la tronche, avant de la lui foutre sur le nez.

L’odeur tu reconnais ?????????????????


Puis tournant les talons, elle indiqua aux gardes encore présents de se saisir de l’ignoble Manouche pour qu’ils l’entrainent à sa suite.

Bordel !!!!!!!!!!!!!!!!!Au gnouf et fissa.


S’arrêtant pensive, elle tendit une clé aux gardes.

Pis non, montez le moi dans ma chambre et enfermez le dedans. Ensuite vous irez chez la bourelle me chercher…un fer à marquer…un brise mâchoire…et des poucettes. Ca devrait suffire.

Un garde osa protester timidement

« mais c’est pas un des vôtres ? »


La juge haussa un sourcil inflexible.

J’vous demande moi ???? peut être Hydre certes mais c’est pas une raison pour se foutre de moi comme ça. Pis venant d’un type qui sert servilement des brigands depuis ce matin, ça me fait bien marrer que vous la rameniez…J’ai jamais torturé dans un château. J’aime bien faire des trucs nouveaux.


Elle jeta un coup d’œil glacial au manouche.

Prépare ta défense, pour ma part, j’ai quasi rendu mon jugement.
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Drunk
Rodez le 04 juillet 1458 : Dans le château tout va bien

Oh punaise t’es trop classe derrière ton bureau de rectrice ma belle.
Ton programme est tout bonnement excellent, on va pas s’ennuyer au moins et apprendre les choses de la vie qui servent.


Ensuite ils avaient arpenter les lieux puis s’étaient couchés et la nuit avait été calme…

Rodez le 05 juillet 1458 : Dans le château tout va bien

Bonjour toi ! Dis donc ils nous ont laissé dormir ? Ils nous ont même pas chatouillé les orteils ? Ils seraient sous l'charme d'not comtesse tu crois ?

Drunk éclata de rire
Ya, ça doit être ça, tous les bouzeux du Rouergue ont du tomber sous l’charme Jagor Hydresque, c’est qu’c’est bon l’Chaos, ça leur change de leur routine, enfin de l’action.
Ceci dit ces moutons ont pas du en dormir d’ la nuit.


Puis il roula une galoche à sa belle, histoire de se revigorer un peu.
Bon on fait quoi c’tantôt, ha oui faut qu’j’vois l’Ange à sa roulotte pour récupérer l’butin de l’autre fois, et puis après j’vais commencer à faire de beaux bûchés dans chaque pièce du château avec le mobilier, histoire de leur laisser un souvenir de notre passage.

Puis le Breton alla faire le tour des remparts et se marra en voyant la nunuche qui avait été jetée dans les douves en train de rameuter les troupes. Il retourna voir sa rectrice préférée.

Il lui expliqua ce qu’il avait remarqué.
T’en es où avec les mises en procès ? Car y en a une qui essaie d’monter une armée, c’est pas interdit ça ? Tu sais c’est la blonde, celle qui a une grande gueule, remarque c’est p’têtre la seule qui s’démène pour sauver l’Rouergue, les paysans pourront lui élever une statue à celle là au moins…

Puis l’ancien alla voir le trésorier du Jargor en attendant les ordres du Chef, pendant le trajet il pensa à la prochaine nuit…
Hé hé la nuit va être longue, à défaut de combat on pourra toujours se câliner avec la Pigeonneuse…
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Dulin
Dulin qui avait vidé quelques tonneaux était monté tout en haut des remparts et criait à tue tête

ATEN "HIPS" TION , LE PI "HIPS" TAINE VA "HIPS" VOUS PAR "HIPS "LEZ


Il agita son épée autour de sa tête, découpant au passage quelques moustiques , regarda sa lame ensanglantée se disant quelle devait faire hachoir en même temps

Puis il s'écroula, rêvant d'armée de commandement , ce qui le fit sursauter


Voilà "hips" , j'ai ' hips" trouvé, en tant que "hips" pitaine, je "hips" vais commander à hips" boire

Il leva le bras ce qui fit que le déséquilibrer et s'écroula a nouveau, tombé dans un sommeil profond
Nemesis
Rodez le 5 juillet, dans calme du bureau de recteur ou presque

Nem faisait une sieste bien méritée dans son bureau.
La gueuse qu'elle était n'avait pas l'habitude des travaux intellectuels il lui fallait récupérer après avoir fourni un intense effort pour concocter le nouveau programme d'enseignement .
Elle prenait donc un temps de repos bien mérité et rêvait d'une longue chevauchée sur le dos d'Hurlink, calée dans les bras de son maitre, cheveux aux vents, le long d'une plage, sous le soleil...
BAM


AIEEEE !!!

SACRENOMDE....

Qu'est-ce que c'est que ca ????

Un pigeon ! un pigeon ???

BON SANG !!!



Se redressant, elle porte la main au point d'impact sur son front, grimace en sentant la bosse poindre sous ses doigts.

Se penchant avec précaution elle ramasse le pigeon, l'achève en lui tordant le cou, récupère le parchemin et balance l'oiseau de malheur par la fenêtre. Après avoir lu le parchemin elle s'apprête à bondir sur ses deux pieds pour filer voir la proc une fois de plus quand Drunk apparait


T’en es où avec les mises en procès ? Car y en a une qui essaie d’monter une armée, c’est pas interdit ça ? Tu sais c’est la blonde, celle qui a une grande gueule, remarque c’est p’têtre la seule qui s’démène pour sauver l’Rouergue, les paysans pourront lui élever une statue à celle là au moins…


Bah justement j'en ai un de plus ! Pour la blonde j'l'ai déjà fait mettre en procès pour avoir viré le capitaine de sa taverne en le traitant de brigand ! mais si ca te fait plaisir va voir Ahl, elle lui en collera un deuxième elle sera ravie. Moi j'y vais de ce pas ! J'vais apprendre au proprio de ce pigeon de malheur que la sieste c'est sacré !

Elle lui plante un baiser sauvage et file directement dans le bureau de la procureur.

Une fois sa requete déposée, elle retourne faire une sieste prenant garde à bien fermer porte et fenetre. A son reveil un pigeon l'attendait devant la porte. Elle en prit connaissance "eh beh efficace la proc!!" se dit-elle avant de se diriger d'un pas pressé au tribunal les yeux encore gonflé de sommeil.

Après avoir témoigné elle alla s'écrouler en taverne, pour une soirée tranquille. Puis à la nuit tombée elle rejoint son dévoué et les hommes du Jargor pour défendre le château.



Rodez le 6 juillet au petit matin, encore une journée calme qui s'annonce


Après un nuit relativement calme à garder le château, Nem regarde ses hommes à moitié endormis faute d'action :

Merci les gars ! Quartier libre jusque ce soir !

après les avoir renvoyés, la jargoroise regarda autour d'elle se demandant que faire ..

Elle s'approcha de son dévoué



bonjour mon beau, y a quoi au programme aujourd'hui ? T'aurais pas une porte cochère sous la main ?
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Drunk
Rodez le 6 juillet au petit matin, encore une journée calme qui s'annonce

Drunk se réveilla tranquillement une fois de plus au côté de Nem, rien à signaler cette nuit du moins au niveau des péquenauds.

bonjour mon beau, y a quoi au programme aujourd'hui ? T'aurais pas une porte cochère sous la main ?

Pour toute réponse Drunk plongea sous les draps et lui fit une démonstration du programme du jour….
Puis sortant la tête :

Ca te va comme début d’programme ?

Puis ils firent ce qu’ils ne prenaient pas le temps de faire assez souvent…
Une fois l’objectif atteint, l’Intendant du Jargor lui dévoila ce qu’il comptait faire.
Voilà c'que j'ai envie d'faire aujourd'hui
Primo : Prendre contact avec nos blessés, pour voir comment va l’moral
Secondo : Peaufiner le recrutement
Tertio : Voir les ordres du jour
Et quar…, quat.., tetra…, quadratio ??? Enfin après ballade sur le marché bras d’ssus, bras d’sous comme ils font les gens d’la haute et effectivement on pourra s’trouver une porte cochère...


Drunk éclata de rire.
Ca te convient ma chère rectrice ?
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Nemesis
Rodez, blablabla, les deux mêmes


Ca te convient ma chère rectrice ?

La Jargoroise fait une petite moue...

Mon cher intendant, tu comprendras qu'avec la position que j'occupes maintenant je peux me permettre de devenir exigeante...
Ton programme ne me convient pas ! Enfin plus exactement, il démarre trop rapidement. Et comme tu le sais je m'entends plutôt bien avec la procureur... Alors si tu ne décale pas les choses pour y mettre un autre primo qui me convienne mieux je file la voir pour te mettre en procès ...


Reprimant un fou rire, elle lui saute dessus et l'embrasse sauvagement ...


Quelques heures plus tard... Le soleil déjà bien haut dans le ciel... toujours à la colle ces deux là...

J'crois que tu as echappé de justesse à un procès mon dévoué... On applique ton programme maintenant ?

Après lui avoir planté un baiser sur les lèvres, elle enfile prestement son haillon prête à attaquer la journée...

Je te laisse le soin du Primo, j'ai déjà entamé le secundo, c'est en bonne voie, mais j'ai encore des choses à voir.
Pour le tertio je pense déjà les connaitre. Pour le dernier ... on se retrouve plus tard ?

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Cerdanne
Rodez le 6 Juillet 1458 Alentour du château…

Cerdanne s’étira mollement, calant ses longues jambes sur les grosses branches de l’ancêtre, qui l’avait vu venir bien des fois se réfugier entre ses bois noueux.

La brune bailla un peu plus fort et marmonna…
A défaut du bruit des vagues, des couleurs ocrés et du ciel bleu, elle se fadait les cris en dents de scie propre assurément à tout mollusque et perplexe les regardait se pavaner, se vautrer comme s’ils avaient trouvé enfin de l’eau de vie…
Remarque à la base, c’était bien ça le Rouergue…
Une eau de vie, sans une ombre de poussière.
Pas un seul adjuvent, ni colorant.

Les couillons …
Oser rajouter du rouge sur Le Rouge du Rouergue.
Enfin tous les gouts sont dans la nature.
Si le chaos pour eux représentait l’infâme couleur uniforme de la plupart de nos voisins….
Faut croire que les pattes de ce beau mollusque sont trop nombreuses et que la tête écoute le dernier bras qui a bavé…

Nos peintres sont les plus fous du royaume.
Ne sont pas prêts à nous apprendre à mélanger les couleurs les hydreux…Crever plutôt que de ressembler à cet amas gélatineux.
Crever plutôt que d’être vendu au plus cupide.

….Tuer la poule aux œufs d’or…
Faut-il être particulièrement stupide.

Elle resta là longtemps à les regarder…
Vue d’en haut...
Tout est différent.
Le sourire accroché aux lèvres, elle sentait la mort roder et curieusement n’éprouvait rien.

De sa mère, pas de nouvelles…
La seule pensée qui la laissait frissonnante.
Les visages connus, inconnus, allaient et venaient.
Les silhouettes familières et tout à coup elle les trouvait différentes.

Pour l’instant, La brune, lovée dans son châtaigner fétiche, observait et attendait la nuit…

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Labaiteuh
[Sa défense...ou celle d'un lieu approprié, l'espace d'un instant pour certains, l'éternité pour d'autres]

Le château n'était que va et vient, tel une fourmilière où l'on a mis un pétard.
Les occupants passant leur temps à courir des tavernes au tribunal...Remparts garnis à la nuit tombée.

Labaiteuh pas très sur de lui en entrant dans le bureau de la juge, l'est encore moins quand elle lui balance au visage un flôt de mots, tous plus justes les uns que les autres...
Là, poële dans la tronche...odeurs familières de poisson...cul à terre, il réfléchit à haute voie.

L’odeur tu reconnais ?????????????????

Raie, vieille, thon, tanche, loche, amour blanc! Ah non! MORUE...Oui je reconnais...

Bordel !!!!!!!!!!!!!!!!!Au gnouf et fissa.

Bordel! Non je ne pratique pas...Gniouf! Je connais, j'ai plusieurs fois pratiqué en cette ville!
J'aime pas la prison...J'aime pas les boulets...si c'est toi qui le veut, j'irai avec plaisir!

Un garde pose sa main sur l'épaule du gitan, le geste de trop. Sa confiance revenant rapidement, réflexe de survie oblige.

Touche pas gadjo!

D'un geste, il sort la lame et tranche...Phallus frustré ces jours ci...oui possible.
Labaiteuh, regarde le bras qui bouge encore sous le coup des nerfs, tandis que le garde sombre dans un coma bien mérité.

Labaiteuh lève les yeux vers gwen tandis qu'elle donne des ordres au garde restant.
Il comprend que la justice hydrique est bien plus simple que la moyenne...elle a tout simplement, pas de règle...Le juge devenant bourreau en moins de temps qu'il ne faut pour le dire...enfin l'avenir!
Garde n'obéissant pas prestement à la juge, labaiteuh prend les initiatives, justice lui aussi il veut rendre.
Scouik!
Nouveau démembrement et là, deux d'un coup, tout un coté s'écroule...En trois morceaux, l'homme touche le sol.
Labaiteuh admire le travail et ce dit qu'il a déjà beaucoup à faire d'un homme tronc...Donc non, celui là ne fera pas partie du spectacle...
Il regarde gwennie.

Prépare ta défense, pour ma part, j’ai quasi rendu mon jugement.

Ma défense est simple...Coupable et je vais chercher moi même les engins de torture...

Il se dirige vers la porte, marque une pose.

Donc tu disais pale, écarteur et poucettes?
Bon je t'emmène, je sais pas ce qu'est ce dernier jouet...

Labaiteuh et gwen prennent la direction de la salle de torture...les profondeurs du castel...
jouets récupèrés, elle l'entraine dans les sommet du château...tour la plus haute, chambre de bonne...Pas l'habitude du luxe les gens du voyage.
Porte close, lucarne ouverte...La scéance commence, gémissement de bête...Torture physique...Plaisir mental...
_________________
Sofio
Tu immerges.....ou pas

La porte du monastère qui lui tend les bras, les moines leurs vins et de l'autre coté le feu, le chaos, elle a entendu le vacarme, pas tout compris encore, trouver Rix primordial savoir comprendre....


château en feu ils sont devenus fous

Elle a suivit le groupe pourtant puis tout s'est mélangé le blanc le noir, quelqu'un a crié dans la nuit, un autre a suivit et haussant les épaules s'est dit nafout nafout......

Dur d'immerger de sa torpeur, semble comme isolée du monde a errer dans la capitale, des jours qu'elle n'a plus vue personne, se replie sur elle même, a juste envie de se retrouver et de le voir.Les portes du château grande ouverte, les gens passent des parchemins sous le bras, des bureaux, proc , juge elle ouvre grand les yeux en voyant les noms du conseil affiché, est t'il possible qu'elle ait dormi tous ce temps, personne n'est venu la réveiller, un baiser et le monde lui aurait paru moins figé, elle dévale les escaliers, s'accroche aux gens qui passent et repassent


Tu peut m'expliquer?

Les gens passent, sans un regard, elle doit passer pour une folle, a ne pas savoir ce qui se passe, la dernière cuite devait être assez forte, son épée a du sang séché ...mais bordel elle cherche du regard quelqu'un qu'elle pourra accrocher lui tenir le bras écouter..

Puis des méandres , quelques souvenirs , mairie, révolte, l'hydre le jargor, le château, oui le château, elle hausse les épaules, regarde vers le ciel, comté du Rouergue, tiens encore contre elle le parchemin reçu de Lord, le froisse et le defroisse,maintenant elle comprend mieux, le sens de son message, elle ne doit pas perdre pied, le ciel ne peut être blanc ou noir, il lui faut trouver Rix, il lui faut trouver un ami qui saura être son bourreau,fermer les yeux, se fourrer le poing dans la bouche, et suivre,pas apte a la réflexion, juste envie pour la première fois de sa vie de se laisser vivre, et mener,le monastère pourra attendre,il existe des chemins dont la croisée arrive un jour, déplie encore le parchemin de Lord pour le relire, serre les dents, ferme les yeux, appercoit encore le rouge du feu, rouvre les yeux en touchant la tenture des murs, doux , soyeux, ses bottes ont clinqué, au loin le ciel semble si bleu, bon sang mais que faut t'il faire, qu'elles sont ces voix qu'elle entend?

Le chemin s'ouvre devant toi, prend la main qui se tend

Elle se fige, se crispe, s'agenouille dans un coin,ployer le genoux,et souffrir,bon sang, la douleur est prenante, comme un étau qui se ferme, enserrant de sa prise, son être et son mal.
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Rix
Rix n’arrêtait pas de descendre et monter ce putain d’escalier. S’il avait pu choper l’architecte délirant qui avait conçu l’ouvrage, il l’aurait obligé à le suivre dans ses allés et venus en marchant sur les mains ! Pourquoi fallait-il toujours que les nobles aient la folie des grandeurs ? Et tout ça pour quoi ? Des salons où on n’osait même pas poser le cul de peur de se ramollir dans le mou des fauteuils, des bureaux qui vous foutaient le mal de tronche avec leurs empilages de parchemins, des salles d’armes au parquet ciré à vous casser les os, bref, il n’y avait guère que le lit à baldaquin pour trouver grâce à ses yeux, pour le fun et surtout parce qu’on pouvait y dormir peinard avec sa belle sans se soucier des moustiques.

Sa belle justement, il ne la voyait presque pas. Pour tout dire, depuis qu’elle était comtesse, il ne lui voyait plus les fesses ! Elle avait toujours mille choses à faire, elle recevait, elle consultait, elle triait, elle se multipliait comme des petits pains, alors lui, il vaquait ailleurs, avec une prédilection pour le tribunal ou officiait Ahl avec une maîtrise sans pareil. Tout le monde ou presque passait à sa moulinette hydrique, là où d’habitude on préférait la balance, chacun sa cuisine, chacun son idée de la justice, et au moins avec elle on se poilait comme des baleines.

Pourtant, on a beau avoir une manivelle, les choses ne tournaient pas aussi rond que ça. Il y eut quelques ratés, quelques comparses se retrouvant les yeux éberlués devant la cour. Mais ce n’était pas ça qui agaçait le chef du Jargor. Tous, ils avaient l’air de s’en donner à cœur joie, depuis trois jours, c’était carnaval, Garance déguisait en comtesse, Ahl en proc, donc, Nem en rectrice, Dul en capitaine, d’autres encore, et puis les assaillants devenus tous des défenseurs du pouvoir acharnés….

Tous ? Il en manquait une. Et pour Rix, pas la moindre, il avouerait volontiers la plus importante, certainement.

Sofio.

Où était-elle ? Elle avait disparu depuis leur arrivée à Rodez. Il ne savait même pas si elle avait attaqué le château avec eux. Il avait demandé, il avait cherché, rien. La connaissant, tout était possible, le monastère, le salon de thé, la biture sous un tonneau, la construction d’une armée pour défendre le Rouergue, ou courir nue dans la forêt… Une chose était sûre, la prise de Millau, puis celle du château, elle avait eu du mal à l’avaler. Sofio était en permanence tiraillée entre des idées de parole, d’honneur, de noblesse et une envie irrépressible de secouer le Royaume qui s’endormait sur des idées bien pensantes l’épée à la main.

Et puis il y avait Lord. Lord qui traînait dans les parages. Qui menait campagne lui aussi, pour réveiller le Rouergue. C’était une option. Elle était bien capable de fuir avec lui sur un coup de tête et se faire passer la bague au doigt dans un moment de délire schizophrénique.

Donc, Rix faisait le yoyo dans l’escalier. Et c’est quand on ne cherche pas qu’on trouve.

Elle était là. Recroquevillée dans un angle. Le visage pâle, les yeux absents. Un Truc chiffonné dans la main. Pas besoin d’un dessin. Il avait tout de suite compris. Il la connaissait trop. C’était même quand elle ne disait rien qu’il la comprenait le mieux. Parce que pour la suivre, hein ?

Il lui tendit sa main.


-Viens.

Il prit la sienne doucement.

-Viens avec nous.

Il la tira vers lui.

-Viens avec moi.
--Les_enfants_terribles
Les enfants du Rouergue avaient entendu que le château avait été pris. Ils établirent alors un camp de base avec des cartes dessinées par eux-mêmes et le matériel nécessaire à la construction de lance pierres et autres catapultes.

Sous l'égide de leur doyen de 17 ans, les jeunes mirent leurs plans à exécution. Certains allaient fronde à la main, d'autres tiraient les catapultes, enfin les plus jeunes tenaient dans leurs petits bras, des draps.

Arrivés au pied du château, ils commencèrent à lancer des cailloux en direction du castel. Dans une joyeuse cohue, les tout petits déployèrent les draps, on pouvait y lire "Sus à l'ennemi", "Nous mangerons l'hydre au miel", "Les tout petits seront grands un jour" et "Nous en profitons pour réclamer plus de gâteaux".
Gwennie
[Bureau de l'hydrique Juge du Rouergue]



Bon…ON s’fait chier dans ce bled pourri, et j’suis pas faite pour être fonctionnaire…Pourquoi pas enseigner aussi ? POUAH !!!!!! L’Histoire…POUAH POUAH POUAH !!!!!!!!!!

Quand je pense aux grands airs que se donnent certains parce qu'ils sont juges!!! Alors que c'est emmerdant comme tout...Et payer à rien foutre en plus!!!!

Elle glandouillait encore dans son bureau, arrosant chaque dossier d’une lampée de gnole.

A ta tienne Peuple du Rouergue !!! Si tu savais l’état de tes finances…A ta tienne !!

Elle regardait le soleil qui brillait encore mornement sur la capitale…Tain même lui faisait la tronche.

De sa fenêtre elle entendit haranguer dans la rue.L’sergent chef se défoulait sur la place publique. Que du bonheur, du style, y avait pas…Elle ecoutait donc, se balançant sur sa chaise ,


Le fruit qui "commençait à être porté" pesait...
-63454,90 écus
lors de la prise du château.

Ce fut d'ailleurs épuisant, nous nous en doutons, ce patient travail de deux mois.... qui a surtout servis à se servir grassement dans des actes de bravoures et d'audaces économiques étonnamment rares.

A moins que persuadés de leurs compétences et amour du Peuple,
ils ne soient que de fats idiots congénitaux...
Ce qui n'est pas à exclure pour quelques-uns d'entre eux.

Peuple du Rouergue, je le prédis sans risque aucun.
Tu vas les entendre se pavaner et prétendre nous avoir chassé.
Se disputant cette gloire guerrière et se distribuant peut-être, encore, quelques autres titres bien ronflants dont cette engeance est friande.


Sur que ça manquerait pas d’arriver…

Elle prit soudain conscience de l’affront qui lui est fait.Elle se pencha à la fenêtre

GALOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je t’ai condamné à foutre le feu au patelin !!!!!!!!!!!!!!

Faut que je fasse tout ou quoi ????????????????????


Elle balança ses derniers dossiers au milieu de la pièce, arrosa le tout généreusement de gnole et y mit le feu. Puis elle récupéra son épée et son bouclier et sortit en fermant la porte à clé.

GARDES !!!!!!!!!!!! J’démissionne…défection…j’en ai plus de gardes ???? Saleté de manouche, il leur a tous fait peur…


Elle avisa des enfants qui jouaient aux grands dehors...au moins etaient ils plus courageux que leurs ainés qui n'attaquaient pas pour reprendre leur bien...

Gaffe les chiards...Y en un bouffeur d'enfants enragé dans le chateau...

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