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Info:
En marge des festivités de Saint-Omer en l'honneur de la naissance de l'héritier de TheGregTerror et Deedlitt, entretien de Béatrice de Castelmaure et Argael, Vicomte de Monestier de Briançon. (ce RP fait suite au RP "L'octroi des couleurs : un rituel courtois")

une visite prévue

Argael
Les joutes étaient finies et de manière honorable « le fier » avait du arrêter son parcourt au porte de la finale. Il se souvint alors d’un entretien avec une jeune damoiselle héritière foncière qui semblait posséder cette seule richesse, tant son esprit capricieux lui semblait perdu. Voila bien une jeune personne qui est à plaindre si mon jugement est bon. Gageons pourtant qu’elle n’échangerait nullement sa place avec sla sécurité contre une vie trépidante choisie.

Il se présenta donc a la suite des animations devant l’entrée du château de Leurs Grandeurs Deedlitt et Grégoire d'Ailhaud-Cassel.



Pardonner moi, Argael de Monestier de Briançon, j’ai reçut une invitation de damoiselle Béatritz de Castelmaure à venir me présenter à elle. Elle m’a assuré avoir trouvé accueil icelieu, et m’a assuré que je pourrais donc la voir.

Pouvez-vous donc lui faire savoir que je suis sur le perron ou alors m’autoriser à entrer et m’indiquer le chemin afin de la retrouver, a moins que je ne patiente, chose compréhensible dans le salon ?


Ses yeux se perdirent lors quelques instant sur le bâtiment, révélant un gout prononcé pour les belles choses. Les murs étaient recouverts de tableaux et autres tapisseries, pour sur la famille propriétaire de ces terres, qu’il ne connaissait que de nom, avait au delà des titres une aisance financière.

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Béatritz
La requête du Vicomte fut fort vite exaucée, car la demoiselle de Tapiolie était peu discrète, et personne n'ignorait au château comment elle avait vanté avec force exclamations réjouies les friandises que le Vicomte de Monestier de Briançon lui avait offertes.
On mena le visiteur dans la chambre qui avait été dévolue à la riche héritière, et elle l'y reçut dans une robe de pourpre toute pamprée d'or. Le motif de ce feuillage sur la damassure de sa robe était fort peu courant, mais non moins élégant. Elle avait une fois encore mis des gants pour recevoir, quoiqu'on fût en intérieur - car elle avait grand honte de ses mains, qu'elle maltraitait méthodiquement lorsque la solitude et l'angoisse lui faisaient ronger ses ongles ou craquer les jointures de ses phalanges.

C'est en ces termes que la jeune fille accueillit le Vicomte :


-« Monseigneur, c'est un plaisir de vous revoir. »
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Argael
Sa venue avait donc été planifié, pour preuve le manque d’étonnement de l’homme de maison. Ce dernier l’enjoignit à le suivre, traversant quelques pièces fortes bien tenues et décorées. Arrivant devant une porte, l’homme frappa et a la surprise du Vicomte la porte s’ouvrit sur les appartements de la jeune damoiselle.

Et bien se dit t’il dans quoi es tu donc entrée, voici chose peux courante que de recevoir en ses propres appartements un inconnu fut t’il noble.

Béatritz de Castelmaure fut aussitôt détaillé par le montagnard, habitude de soldat. Ses yeux de mouvements vifs remarquèrent la tenue de l’héritière pour le moins original mais bien assortie et pour tout dire harmonieux. Des gants, elle devait s’apprêter à sortir sans doute. De ses yeux émeraude, il croisa les yeux bleus de son vis-à-vis avec un petit sourire.

Damoiselle de Castelmaure, pour sur le plaisir est pour moi, car me voici venir à vous sans nulle contrainte, que la joie de vous offrir de nouveau ces sucreries dont je gage que vous voudrez connaitre le nom sous peu.

Que souhaitez-vous donc faire ? Vous vouliez me poser grande question d’importance, me voici donc. Ou donc voulez vous que l’on s’entretienne de ces choses? Au salon ? Dehors même si le temps est couvert et incertain ?


Il n’évoqua bien sur point le lieu sur le perron duquel il se trouvait, grand dieu, ses appartements son intimité, arf ceci pour sur était une tentation dangereuse et porterait sujet a grande rumeur qu’il ne souhaitait point alimenter.
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Béatritz
S'il était inconvenant qu'elle reçût le Vicomte de Monestier dans ses propres appartements, dans sa chambre, la jeune fille n'en avait pas le moins du monde conscience. Elle avait grandi dans un couvent où sa cellule lui servait à tout, aussi bien l'étude que le repos ou la discussion avec les moniales, et toujours lui avait-on dit qu'une chambre était un lieu où vivre, où recevoir, et jamais elle n'aurait songé que c'était là un lieu intime et qu'il serait des hommes pour être mal à l'aise en ces circonstances.

Le Vicomte de Monestier eut un sourire quand il croisa son regard, et elle le gratifia d'une inclinaison de la tête, tout en joignant ses mains gantées devant elle.


-« Ici est très bien pour parler. Voulez-vous vous asseoir ? »

Elle-même prit place sur une malle, que l'on avait couverte de coussins, comme c'était d'usage.

-« Nous n'avions, Monseigneur, aucune question à vous poser, mais nous voulions vous faire part de notre gratitude : votre présent était un délice, et grand dieu, nous en sommes friande !
Mais... »


Elle laissa un instant sa phrase en suspens.

-« Oui, en vérité, il y a bien une chose que nous voudrions savoir. »
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Argael
La jeune héritière l’invita à entrer et à s’assoir, rejetant ses propositions courtoises de salon ou de jardin. « Le fier », hésita, s’assoir n’était guère pour lui, tout comme les galantes compagnies. Il aimait les femmes bien sur, certains affirmant que trop même, qu’elles causeraient sa perte, et pour sur elles lui avaient bien souvent brisé le cœur. Il s’était alors chaque fois remit, ce qui ne tue pas rend plus fort disait le proverbe.

Il s’interrogea donc sur cette invitation qu’elle avait de fait planifiée semblait-il.

Néanmoins l’homme n’était point homme à reculer devant quelconque défi celui pour sur serait au moins courtois et peux être même agréable. Il franchit donc le perron.


S’il plait à votre damoiselle, j’entre donc et viens m’assoir.

Une fois assit, par habitude de soldat et de manière systématique, il analysa son environnement. La chambre était richement décorée, et les draps témoignaient de la richesse de la propriétaire des lieux.

C’est en passant la main dans sa longue chevelure et en fixant avec plaisir cette jeune damoiselle, que Béatritz de Castelmaure lui arracha un sourire non dissimulé. Le nougat avait trouvé écho en son cœur, la chose était heureuse.

Toutefois, juste après ceci, elle lui concéda avoir une question à poser laissant sa phrase suspendue a ses lèvres.

Attendant la suite qui ne venait pas, il fronça légèrement les sourcils, révélant quelques rides sur le front. Se passant calmement la main à sa moustache, il regarda avec force la damoiselle restant un instant silencieux.

Que voulait elle, qu’il lui pose cette question de savoir ce qu’elle voulait ? Qu’elle l’enjoigne à la supplier ? Hésitait-elle tout simplement ?

Il se décida enfin.


Damoiselle Béatritz de Castelmaure, pour sur la question doit être d’importance que vous hésitiez de la sorte. Toute fois je ne suis point homme à forcer les gens si ce n’est mes ennemis, ce que vous n’êtes point, je vous assure. Alors cette question, elle puit restait en suspens que je ne m’en offusquerais point ou être révélait et alors j’y répondrais sans détours si, il n’en va pas de la confidentialité de ma charge de Chef de cabinet royal bien sur. Je ne suis point homme à faire des mystères je vous assure, de pars mon ascension je ne peux prétendre a une certaine éducation courtoise que parfois je trouve emplie de faux semblant et de non dit. Je me suis forgé a force de volonté en restant droit en mes convictions et choix. De fait je n’ai rien à cacher, vous pouvez parler sans crainte. De même, si la question doit rester secrète, je l’emporterai avec moi au jour du jugement qui attend tout Homme sur cette terre, simple mortel que nous sommes.
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Béatritz
L'attitude et la réponse du Vicomte emplirent Béatrice de Castelmaure de perplexité. Comment devait-elle répondre ? D'un côté, cet homme lui était fort plaisant, ne serait-ce que pour ce qu'elle entrevoyait de ses liens avec son entourage, et pour ce qu'il avait su trouver son grand point faible, qu'était sa gourmandise folle.
D'un autre côté elle était fort peinée, marrie même, qu'il n'eût pas cette délicatesse courtoise de la considérer déjà pour ce qu'elle ne serait que quelques semaines plus tard. Elle goûtait mal le "demoiselle", mais c'eût été indélicat de le lui dire - et Béatrice goûtait pleinement ce nouveau jeu qu'était pour elle la discussion courtoise, pleine d'ambages et de non-dits.
Le grand discours dans lequel le Vicomte de Monestier de Briançon s'emporta aurait pu lasser la jeune fille, si elle n'y avait trouvé l'occasion de cerner davantage son interlocuteur. Cela lui plut qu'il profitât de la situation pour glisser quelques renseignements sur sa position dans l'administration royale - dans l'idée de la jeune brune, cela ne pouvait qu'être le fait d'un orgueil fort à propos, et il n'y avait rien de mal à se faire, d'un officier royal, un ami.
Quand il parla, elle sourit donc, et hocha la tête, malgré l'ennui qui perçait parfois sous les détours de la parole. Vraiment, la discussion courtoise se plie mal aux logorrhée, à moins que ce ne fût pour délabyrinther des passions. Quand il eut fini de parler, elle laissa quelques secondes de flottement, regardant dans le vague au-dessus de l'épaule du Vicomte, pour se donner l'air de lui prêter attention, mais d'être, pourtant, au-delà, en un lieu indéchiffrable.


-« Vous êtes de plaisante compagnie pour nous, c'est un fait, et nous apprécions grandement votre droiture, et vos principes. En vérité ce dont nous voulions vous entretenir n'a rien des thèmes propres aux conspirateurs... C'est de la curiosité de notre part, et l'envie de vous remercier en personne des gourmandises que vous nous avez offertes sur la lice, qui nous ont poussé à réfréner notre curiosité jusqu'à vous voir à notre porte. »

Elle faisait traîner, elle s'écartait du sujet, et tout cela fort sciemment.

-« Nous avons vu vos couleurs sur la lice, et presque aussitôt, il nous est apparu que vous seriez le mieux indiqué pour défendre nos couleurs - hélas pour vous vous êtes arrivé trop tard, mais... Mais vos couleurs restent pour nous une énigme, qui se fait insistante. Nous y avons vu, mais c'était petit, et nos yeux parfois nous trompent, le blason de Varces... Avez-vous un lien avec le baron et la baronne de Varces ? »

Croirait-il qu'elle se moquait de lui ? C'était pourtant avec l'air du plus grand sérieux qu'elle avait finalement posé la question qui lui tenait tant à coeur, quoiqu'on pût à juste titre se demander en quoi cette question était sujet de tant de précautions.
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Argael
Apres quelques instants de flottement ou cette jeune héritière semblait s’intéressait à sa personne, elle se décida a son tour de lui répondre.

Il s’agissait donc de curiosité et de remerciement. Curiosité grand dieu était t’il une bête de foire à montrer, tel l’ours descendant de ses montagnes de Briançon en Lyonnais Dauphiné. Ces propos lui fire foncer quelques peu le front faisant apparaitre quelques rides naissantes.

Non il avait mal comprit les propos, sans nul doute et la suite, après un blanc laissé lui donna raison, la curiosité ne venait point de ses origines de naissance mais plutôt de celle de son blason. La chose le surpris, s’étonnant qu’elle ne souhaite point connaitre le nom des gourmandises offerte.

Elle se montra dessus de son retard, elle avait semble t’il apprécié qu’il se joigne a la lutte pour avoir l’honneur de la défendre pour ces joutes. Les raisons en fur bien vite comprise, car finissant sa phrase elle avait reconnu le blason de Varces.

Il lui sourit, la curiosité de la jeunesse associé a de jeunes yeux donné des personnes ouvertes et désireuses de comprendre les rouages de ce monde.


Jeune Béatritz de Castelmaure, je lève donc avec plaisir cette question qui semble revêtir pour une raison que j’ignore un grand intérêt pour vous. J’espère en être au fait au plus vite. J’ai bien un lien avec la Baronne de Varces qui se trouve être ma suzeraine, étant vassal en ses terres de Saint Giraud. Je vous parle ici d’une époque ou la Baronne qui est également Vicomtesse et plus encore était encore damoiselle et point encore promis a son époux Phelippe. Oui je suis donc lié à Varces de part mon allégeance. Je vois que l’hérauderie vous plait grandement cela est tout a votre honneur.

Par contre je ne pourrais vous dires plus que le fait qu’Umiko de Varces est partit en Languedoc pour y retrouver son époux lui donnant des jumeaux. Depuis, les nouvelles se font rares hélas, j’honore cependant au mieux les terres de Saint Giraud.


Il la regarda plongeant son regard émeraude dans ses yeux en lui adressant un petit sourire.


Ais je répondu a votre question au mieux ? Je m’interroge donc de ce que vous fassiez tant de mystère pour m’entretenir de la baronnie de Varces, devrais je savoir autre choses ou alors dois m’attendre à d’autres questions auquel je répondrais avec plaisir ?
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Béatritz
Si la jeune fille eut de l'humeur de ce qu'on connût encore mal qui elle était réellement, et quels tenants articulaient son discours, elle ne le montra pas, pas plus qu'elle ne manifesta son orgueilleux regret de n'avoir point droit à titre plus déférent que "jeune".

Elle afficha une moue affligée et compatissante qui, pour qui la connaissaient, n'avaient guère l'odeur de la plus grande sincérité.


-"Et bien... C'est triste chose que n'avoir plus désormais beaucoup de liens avec votre suzeraine, que nous n'avons pas encore l'heur de connaître en personne. Mais, elle se porte bien, de ce que nous en a dit notre oncle, et nous espérons que cette maigre nouvelle vous réjouira.

En vérité, nous ne nous intéressons pas à la Hérauderie, elle est emplie de fats et d'incompétents, qui ont mis plus d'un mois pour ajouter une simple ligne dans les registres généalogiques de la maison Castelmaure, et ne savent qu'offrir mets et boissons dans l'attente, longue, d'une once d'attention... En vérité, nous sommes certaine qu'hormis boire et manger aux frais de Sa Majesté, ils ne font jamais rien à fond."


Elle soupira.

-"Non, l'héraldique ne nous intéresse pas tant... Mais les blasons connus, que nous retrouvons ailleurs, nous interpellent, et c'est bien là leur rôle, d'être reconnus de loin et de donner des renseignements sur qui les porte, n'est-ce pas ?"

Elle s'égarait, comme toujours ; elle aimait critiquer, cela lui donnait un sentiment d'être supérieure à tous ceux dont elle parlait, et elle en tirait moult griserie... Odieux caractère, que celui de cette jeune fille, en vérité.

-"Il faut savoir que le baron de Varces, Phelipe de Saunhac, est le frère de notre père, Charles de Castelmaure - et son vassal, pour les terres de Giry, en Nivernais. De sorte que fort bientôt, lui et son épouse seront nos vassaux, sur les terres du Nivernais que nous allons hériter. Ainsi, en quelque sorte, serons-nous tous deux liés, par ces liens de vassalités qui s'entrecroisent... Tôt ou tard, nous nous reverrons ; nous imaginons mal que nous puissions ne jamais nous revoir, lors que nous avons tant de choses en commun.
Dès lors, vous connaître mieux nous semblait une bonne chose, et vous-même avez su très vite vous attirer notre amitié - à vous, nous le pouvons dire : notre gourmandise relève du péché le plus grand."

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Argael
Le doyen de Briançon écoutait les propos avec intérêt. Souriant même aux propos de la jeune femme. Ainsi donc, chose étonnante, il semblait acquis que les recoupements héraldiques fait, ils placeraient Varces entre la famille de Castelmaure et sa personne. Encore qu’entre, n’était sans doute point le terme juste, il n’y avait nulle rivalité en tout ceci.

Il attendit qu’elle ait fini avant de répondre.


Damoiselle Beatritz, je serais des plus honoré que de vous revoir, et bien évidement de vous offrir quelques plaisirs gustatifs, car si vous ne semblez point curieuse d’en connaitre le nom, vous les avez à ma grande joie adoptée.

L’on nomme ces friandises le nougat, je vous le dis alors bien volontiers néanmoins nul secret ici à garder ceci pour moi. Si votre père l’autorise, je vous apporterai alors un alcool de mes montagnes qui trouvera je ne doute point un accueil plaisant en votre bouche. Un alcool à base de fleur de mes montagnes que l’on nomme le Génépi.

Je suis ravi à vrai, de me retrouver icelieu avec vous et de faire votre connaissance damoiselle. Mais dites-moi pourquoi donc rester enfermé de la sorte ? Le temps est plus que clément et cet air marin est vivifiant autant pour le corps que l’esprit.

M’accompagneriez-vous en dehors ? Je note que vos gants sont déjà mit vous ne pourriez décemment point refuser.


Il lui sourit sans détour. L’homme si rustre et dur au mal pouvait t’il être n’en était pas moins un homme aimant la nature. Il se leva alors et se dirigeant vers elle, lui tendit sa main, dans l’espoir qu’elle la prenne.
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Béatritz
Elle reçut ces informations avec élégance, inclinant la tête pour marquer qu'elle avait entendu et se trouvait intéressée par les mots et propositions du Vicomte de Monestier de Briançon. Cela faisait sautiller les boucles qui sortaient de sa coiffe, et c'était tout à fait charmant.

Lorsqu'il parla de l'autorisation de son père, Béatrice de Castelmaure ne releva pas. Mais dans son coeur les petits tressautements au rappel de ce père qui était mort, et dont elle attendait de savoir si le Très Haut le renverrait à la vie.

Alors, le Vicomte de Monestier lui tendit la main pour une promenade. Elle hésita.
Ses gants, si elle les portait, c'était pour cacher ses mains qu'elle trouvait laides, et parce qu'elle n'aurait souffert de les ôter que face à une personne pour laquelle elle aurait de la déférence. Son orgueil mettait en péril l'existence même d'un tel être dans toute l'Aristotélité, rois exceptés.

Finalement elle posa sa main sur celle d'Argael de Monestier et se laissa guider vers le dehors.

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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
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