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[RP] Orgie d'un soir, ou lorsque la bacchanale est intense !

Filsdhelios


Le Blond était là, dans les bains, pensant à la jeune Dieppoise qu'il avait invitée. Voilà plusieurs minutes qu'il attendait, et il se demanda si, au final, elle viendrait tout de même. Il sursauta en entendant un frappement à la porte.

Je suis venue suite au message que vous m'avez fait porté. La servante m'a dit que vous étiez dans une tenue digne des statues grecques à l'effigie d'Apollon, d'après ce que m'a raconté un vieillard qui avait beaucoup voyagé.

J'attendrai dans le couloir...


Nerwendile ?!
Il se releva en sursaut, se tapant la tête contre le bord du bassin. Aoutch. J'arrive ! Il sortit en vitesse du bassin, ravi de voir la douce Dieppoise. Il trébucha, alors qu'il était tout proche de ses vêtements. Aoutch.

Il enfila rapidement ses braies, re-boutonna sa chemise, recoiffa ses cheveux. Il respira un grand coup. Calme toi, Fil, calme toi.

Après une seconde respiration, il ouvrit la porte. Il ne devait pas avoir l'air bien fin, debout, ainsi, face à la Dieppoise, la bouche ouverte.

Je... vous... Troisième respiration. Vous êtes resplendissante, Damoiselle. Je vous remercie d'être venue. Je... Pour ma défense, je prenais un bain. Je n'attendais pas que vous me rejoigniez dans l'eau et que... Le Blond prit son courage à deux mains. Il passa doucement les bras autour de de la taille de Nerwendile, et déposa un doux baiser au coin de ses lèvres.

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Filsdhelios, Seigneur de Blonville
--.diablotine.
Que de bruit derriere la fine porte de bois qui donnait sur les étuves! A croire ce jeune blondinet c'était pris un coup de chaud en quelques secondes! .Diablotine. se délectait de l'effet qu'elles pouvaient avoir sur les hommes! Quelle bande de minables!

Et bien alors? C'est pour aujourd'hui ou pour demain?

Déjà que vous n'avez pas voulu qu'on se déshabille se serait tout de même pas du luxe qu'il bouge son arrière-train de Duc déchu!


Et quand Fils apparut en bafouillant ...

Laissez moi rire les filles! Ah! Même pas foutu d'aligner deux mots a la suite sans bafouiller! Par Aristote! Heureusement que c'est un homme de la haute socièté je vous l'dit moi!

Mouhahahahaaaaa!!! Il est pitoyable!

Bon alors? Quand est ce que l'on passe aux choses sérieuses?
--.seraphyne.
Ce la faisait déjà quelques minutes qu'elles attendaient derriere la porte qui menait aux étuves. C'est le moment que choisi .Séraphyne. pour défier son alter-égo et se vanter d'avoir remporté une manche!

Elle battait des ailes et tourbillonnait en signe de victoire! La diablesse faisait un peu moins la fière, plutôt enragée par la décision que venait de prendre Nerwendile.


Bravo, bravoo, bravooo!!! C'est une bonne décision!!!

Il veut mieux apprendre à le connaitre avant de se livrer a lui, hein! Tout de même ce ne serait pas sérieux de se présenter nue, devant cet homme à la réputation qui le précède!


Quand elle vit Filsdhelios sur le pas la porte et qu'il commenca a ouvrir la bouche pour en sortir quelques syllabes, ma foy, plutôt désaccordée, .Séraphyne. était plutôt enjouée, se disant qu'en fin de compte cet homme etait peut etre bien tombé sous leur charme aussi naïve soit-elle.

Oh et bien... Il a juste un peu de mal a parler... Il ne faut pas lui en tenir rigueur...! Il est surement heu... sous notre charme...!

Tu vois, là au moins nous lui montrons notre vraie nature et pas notre fessier!


Avant... Après... Pendant... le baiser au coin des lèvres de la belle...

Ahhh!! Mais... heu... il s'avance... Tournes la tête!!! Tournes la tête!!!

Pas sur la bouche, pas sur la bouche!! Maydey!! Maydey!!

Oh.. Ah... Ouf...! Plutôt gentleman hein les filles en fait...!
--.diablotine.
.Diablotine. aurait plutot elle eu envie de lui happer les lèvres, plutôt que d'assister à cette tentative d'approche plutôt nase!

Un gentleman! Pfff une femmelette oui!

Non mais!!! Qu'est ce que c'est que ca! une baiser au coin des lèvres ! Mais encore?

Vous êtes totalement vieux jeu vous deux! Je vous assure!

Aller restons pas là comme des pintades! Embrassons le! Comme ca cette fois-ci il n'ouvrira plus la bouche du tout!!!! Mouhahahahahaaaaa!!!!
Filsdhelios


Le Blond caressait avec douceur les hanches de la jeune Dieppoise, constatant une nouvelle fois sa beauté. On lui avait dit qu'elle incarnait la perfection même, et il remarquait avec joie qu'on ne lui avait guère menti.

Damoiselle... N'ayez pas peur, je ne vais pas vous manger... Bien que ce serait extrêmement tentant.
Large sourire amusé. Arrêtez donc de trembler.

Il l'embrassa de plus belle, y mêlant fougue et amour.

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Filsdhelios, Seigneur de Blonville
Nerwendile
Mais...je ne tremble pppp...

A peine avoir terminé ce mot, ses lèvres furent irrémédiablement attirées vers celles du Duc. Pour sûr, la fougue y était. Et Nerwendile avait laissé ses bras pantelants le long du corps, mais bien vite, ses mains remontèrent vers les joues du Blond. Elle sentit des goutelettes d'eau sur son visage. Et s'étant un peu plus rapprochée de lui, elle put constater qu'en fait...il avait dû , soit enfiler ses vêtements sans se sécher, soit se baigner sans rien enlever.

A un moment, nul ne sait comment, ils se retrouvèrent du pas de la porte, vers le bac de l'étuve. C'était sûrement dans le long et fougueux baiser qu'il lui donna que le déplacement fut accompli. Ils reprirent leur souffle, fallait bien quand même qu'il y ait une pause...

Des étoiles dans les yeux, Nerwendile plongeait son regard bleu dans les pupilles vertes du Duc. Elle ne savait quoi penser, et d'ailleurs, elle ne s'en souciait pas. Quoique quelques petites voix se faisaient encore entendre dans sa tête.

Je vois que vous avez pris la peine de humer bon...je vous ai peut etre dérangé, non? Un peu trop à l'avance?

Sa houppelande traînait par terre, comme toute houppelande qui se respecte, mais les flaques d'eau avaient raison sur le tissu. Elle regarda par dessus l'épaule du Blond et vit le baquet. Reportant son attention sur l'homme qu'elle avait devant elle, elle posa sa main sur son torse, enfin...plutôt sur la chemise mouillée, et le fit reculer doucement, peu à peu, près du baquet. Au moment critique, elle le fit basculer dans l'eau.

PLOUF !

Pour sûr que sa conscience allait parler...Par contre, elle, elle riait franchement d'une voix cristalline.
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Filsdhelios


Le Blond prolongea le merveilleux baiser échangé. Très vite, les mains de la donzelle vinrent se poser sur ses joues humides. Fil passa ses bras autour de la taille de la jeune fille et caressa avec douceur le bas de son dos, alors que le baiser se poursuivait.
Il l'aimait. C'était certain, le baiser parlait de lui-même.

A un moment, nul ne sait comment, ils se retrouvèrent du pas de la porte, vers le bac de l'étuve. C'était sûrement dans le long et fougueux baiser qu'il lui offrit que le déplacement fut accompli. Ils reprirent leur souffle, fallait bien quand même qu'il y ait une pause...*

Le Blond reporta son attention sur le regard bleu de la jeune fille, regard ensorcelant et envoutant.

Je vois que vous avez pris la peine de humer bon...je vous ai peut etre dérangé, non? Un peu trop à l'avance

Il lui adressa un tendre sourire. Je suis ravi que vous soyez venue, ma Douce... Un nouveau baiser, tout aussi passionné que le premier, fut échangé. Vous me pardonnerez, j'espère, mais je n'ai guère eu le temps de me sécher.

Elle était belle... Et pourtant, ce mot n'était qu'un euphémisme. Et malicieuse. Il s'en rendit compte, à ses dépends, lorsqu'elle posa une main sur son torse et le poussa dans le baquet.

PLOUF !

Il éclata de rire, dans le bassin. Ses vêtements, désormais complétement trempés, lui collaient au corps, et moulaient sa musculature.
Se redressant, debout dans le bassin, il l'attrapa par la taille et la ramena à lui, la faisant pénétrer à son tour dans l'eau.

Avouez que ma manière était un peu plus douce.
Il déposa un léger baiser au coin de ses lèvres. Le Blond se serra contre elle, et pouvait sentir les courbes de la donzelle contre son corps. Il passa ses mains autour de sa taille et caressa avec douceur ses fesses. Avez vous confiance en moi ? Et là, il sentit que son sceptre ducal s'émoustillait dans ses braies. Pourvu qu'elle ne le remarque pas... Fil avait envie d'elle, rien de tel que l'eau pour un merveilleux moment charnel.


*Citation croisée
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Filsdhelios, Seigneur de Blonville
--.seraphyne.
Ca fusait dans tous les sens. Entre excitation, pudeur, gêne et encore excitation! Nerwendile avait repris le dessus avec l'aide de .Diablotine. qui à présent riait, fière d'elle, défiant ainsi .Séraphyne. interloquée et choquée par les manières du prétendu Duc et les leurs!

Mais non! On avait dit connaitre les filles mais pas de cette maniere la! Ah et puis c'est dégoûtant! Il est tout poisseux!

Quelle frivolité ca me depasse! Non mais franchement! Ce qu'il veut c'est juste se soulager et aller ensuite s'en vanter!

Vous êtes franchement naïves les filles!

Ahh non hein!! Pas le bassin!! Mais que fait on ici???

Non, pas l'eau...

Et qu'est ce qu'il a lui a nous peloter comme ca?! Espèce de goujat!
--.diablotine.
Fière d'elle .Diablotine avait commencé à se chamailler comme a son habitude avec .Séraphyne. quand les émotions prirent le dessus et que la voix de son ennemie de toujours commencait à diminuer, jusqu'a devenir un infime couinement, assez désagréable certes, mais en se concentrant bien sur ce Duc et son magnifique regard, il etait facile de ne plus y prêter attention!

MMmmmm... Quel regard... Quel baiser...

Quel homme...

N'ai pas peur, embrasses-le!! Hum... deja aux etuves! Parfait!
Nerwendile
Il l'avait amené également dans l'eau, près de lui. Debout l'un et l'autre, l'eau à mi-taille, elle le laissa lui donner un léger baiser à la commissure des lèvres. Il avait passé ses mains dans son dos, pour descendre plus bas.

Nerwendile porta sa main à sa ceinture qui ceignait sa houppelande pour....hum..non, ce n'est pas ce que vous croyez....pour enlever son aumônière qui y était attachée et le déposa en dehors du baquet.

Je n'aimerais pas que vous me délestez de mes humbles écus. Je les mets en sûreté, pour qu'ils ne rouillent point.

La porte été fermée. Personne ne pouvait entrer. Seuls dans cette bâtisse. Et de surcroît, seuls dans ce baquet rempli d'eau encore tiède. Comment ferait-elle pour s'en aller...Elle n'avait même pas de vêtement de rechange.

Halala...l'amour quand tu nous tiens...

Elle pensa à celles qui l'attendaient à l'auberge. Mais seulement un bref instant. Toujours, elle avait vu ses amis en couple, ou du moins, quand c'était l'heureux temps où Dieppe n'était pas qu'un village de femmes... Et elle n'avait jamais pris la peine d'accoster un homme quand il passait, et encore moins de l'encourager quand celui-ci lui faisait des avances. Elle était tellement prise dans ses fonctions qu'elle aimait par dessus tout. Ce qu'elle voulait, c'était d'être indépendante, libre dans ses mouvements. Mais sa rencontre avec Fil l'avait changée.

Quoi ? Une simple lettre pour demander l'inauguration des festivités de la St-Jean avait déclenché ces sentiments ? Ou plutôt les rencontres lors du commencement des festivités. Enfin...et c'en était là maintenant...

Que cherchait-elle ? Une simple aventure, ou l'une de ces histoires que toutes les jeunes femmes rêvaient, et qui normalement se terminent bien...sauf que pour la plupart, cela ne se terminaient que par des règlements de compte et par la mort d'un des deux amants...

Dans sa tête, un Carpe Diem résonnait.Vis le moment présent, sans penser aux conséquences. De toute façon, l'avenir est incertain, on ne peut le prédire, alors, autant en profiter. Mais ce dont elle était sûre, c'était ses sentiments à l'instant même : Elle l'aimait.

Avez vous confiance en moi ?

La question à laquelle la réponse était difficile à dire. Elle ne le connaissait que par ses fonctions, certaines rumeurs, et autres commérages. Cependant, il ne pouvait la tromper...en tout cas, elle n'en voyait pas l'intérêt...Elle, une simple bergère d'un simple village normand.

Une seule question trottait dans la tête de la donzelle, à part celle que lui posait Fil :

Raison ou sentiments ?
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--.diablotine.
Les sentiments... L'envie... La déraison...

A ce moment là, la belle était partagée entre doutes et excitation. .
Diablotine., elle avait fait un choix! Ce serait les sentiments et la frivolité!

Elle le déshabillait du regard, devinant ses formes au travers de ses vêtements mouillés qui lui collaient à la peau.

Se mordillant le bout des lèvres, prête à bondir à tout instant, elle fit savoir aux deux autres ce qu'elle voulait!


Maintenant que l'on est là, on ne peut plus reculer les filles! On passerait pour des petites allumeuses!

Et puis regardez ce corps! Il est trop charmant! On ne peut pas louper une occasion en or comme celle là!

Regardez moi ce bougre! Il ne demande que ca! Il bave devant notre beauté! C'est du tout cuit!
--.seraphyne.
Sortir de cette endroit plus qu'humide... Se sécher... Se nettoyer... Prendre ses jambes a son cou... Et courir loin, très loin de cet homme...

.Séraphyne. cherchait un moyen de s'échapper. Elles se sentaient piégées. Difficile de faire marche arrière, bien que ce fut la meilleure a faire sur le moment.

Elles sentaient ses yeux se poser sur elles, les déshabiller du regard, ses mains sur son corps... Tout la dégoutait... .Séraphyne. se sentait mal à l'aise...[i]

Il faut partir! Regardes le! Même pas cinq minutes que nous sommes là et il nous pelote deja! Ce ne sont pas vraiment des manières!

On avait dit "apprendre a le connaitre"!!!

Aller faisons demi-tour! En plus, les filles doivent nous attendre a la Chope! Elles nous donneront leur avis!
Nerwendile
Hop, la question ne se posait plus. C'était ses sentiments, un point c'est tout. Pourquoi aller chercher des raisons là où il n'y en a point. Seraphyne ne sera point contente, mais après tout, elle devrait bien se dévergonder un petit peu, l'angelot. Au moins, Diablotine savait s'amuser et prendre son plaisir là où il le fallait.

Avez vous confiance en moi ?

Nerwendile revint à cette question de Fil. Elle s'approcha de lui, et murmura à son oreille.

Oui.

Un simple mot, un simple regard qui en dit long sur la suite des événements. Nerwendile entoura le cou de Fil de ses bras, et posa ses lèvres sur les siennes. Personne ne viendrait troubler ce moment entre eux.
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Filsdhelios


Vous délestez de vos écus... J'ai déjà vos lèvres, et c'est de loin suffisant.

Il l'embrassait avec passion, glissant ses mains sur le corps de la donzelle. Les vêtements trempés de la jeune Dieppoise moulait ses formes, et le Blond put constater qu'elles étaient de loin avantageuses. Il caressait ses hanches avec douceur, passant ses mains sur ses fesses, remontant dans son dos.
Fil lui demanda si elle avait confiance en lui. Quelques secondes, qui parurent une éternité, et un mot sortit dès lèvres de la brunette.

Oui.

Elle passa ses bras autour de son cou, et un nouveau baiser fut échangé. Toujours plus intense que les précédents. Prolongeant le baiser, il déboutonna doucement sa* chemise, et la laissa tomber dans l'eau.
Trois mots furent murmurés à l'oreille de la bergère, trois mots à la fois excitants et dangereux, trois mots mots confirmés par les gestes doux du jeune homme : Je vous aime. Il porta ses mains à la ceinture de Nerwendile, mais pas pour la délester de ses écus, cette fois. Il avait envie d'elle, au plus haut point.


*sa exprimant la chemise de Fil.

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Filsdhelios, Seigneur de Blonville
Nerwendile
Je vous aime.

Ces trois mots firent tressaillir Nerwendile. Etait-ce cela qu'elle cherchait depuis tout ce temps ? Qu'une personne puisse dire qu'elle l'aimait d'un amour passionné comme ce baiser qu'il venait de lui donner ?

Toujours, sa famille et ses amis disaient qu'ils l'aimaient. Mais ce n'était pas pareil. En elle, des autres sentiments firent leur irruption. Du désir...désir de le prendre, désir de goûter à ce moment de bonheur, si court fusse-t-il...mais elle espérait qu'il se répéterait indéfiniment et qu'ils puissent être coupés du monde, loin de ces problèmes politiques, de ces fonctions d'animations, et même de leur famille.
Une bulle dans laquelle tous deux seraient l'un à l'autre pendant un laps de temps infini...

J'aimerai que ce moment s'éternise...

Elle ne se rendit même pas compte qu'il avait enlevé sa chemise, tandis qu'elle passait ses mains sur son torse. Il n'était pas très musclé, mais assez pour un homme de sa corpulence. De toute façon, Nerwendile n'aimait pas trop les hommes qui jouaient les gros bras en portant des troncs de chêne à eux tout seuls. Il fallait davantage que la force pour éblouir la damoiselle.

Aux mots murmurés par Fil, Nerwendile répondit en baisers sur son cou, et s'était rapprochée de celui-ci. Sa houppelande ondulait dans l'eau tiède. Elle en avait oublié d'enlever ses chausses. Tant pis. Ce n'était pas le moment de parler des inconvénients d'un bain.

Elle prit la main de Fil qui s'était posée sur sa ceinture, et lui souriant timidement, elle l'invita à l'enlever complètement. La cordelette disparut aussitôt sur le côté du baquet, jetée négligeamment près de l'aumônière.

Et il semblerait que dans sa tête, une petite voix lui insufflait de prendre les devants. Ainsi, elle obligea Fil à s'asseoir au fond du baquet tandis qu'elle restait encore debout. Leurs regards ne se quittaient plus. Puis, elle se mit à genoux tout doucement près de lui, des scintillements de feu dans les yeux, ou était-ce l'eau qui reflétait la lueur des flammes des candélabres ?
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