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[RP ouvert] Etuves publiques

Ellya


Bains chauds, bains tièdes et bains de vapeur


Voilà ce qu'affichait l'enseigne qui pendait mollement au-dessus d'une double-porte.

Les prix étaient indiqués sur une pancarte à côté. 4 deniers pour avoir accès au bain tiède et 3 pour celui à la vapeur. Un accès total coûtait 9 deniers. Cependant, pour l'entrée de deux personnes, il semblait y avoir une ristourne de trois deniers.

La nonnette, en somme, avait les moyens. Tout comme elle avait, d'ailleurs, une idée lumineuse. Quelques renseignements plus tard, elle se dirigea vers la maison du duc.

Un valet en sorti, les cheveux ébouriffés et une odeur d'alcool et de crasse flottant autour de lui comme un fantôme.

Qué y'a? C'la guerr'?! Z'avez p'vu l'heure?!

Certes, la jeune femme était atrocement matinale. Si elle l'avait voulu, elle aurait pu chanter avant le coq. Bon, il ne fallait pas abuser non plus. Voilà une heure que ce dernier avait frénétiquement fait vibrer ses cordes vocales et fait lever les gens de rien de leur paillasse. Mais pas le duc ni sa maisonnée, apparemment.

Tututut! Il est grand temps!

Après avoir bassiné cinq minutes le pauvre valet sur les effets néfastes de la vinasse sur la conscience de l'heure qu'il est, elle s'imposa dans la bâtisse, souriante. Et excitée.

Quelques pièces plus loin, elle tambourina à la porte de son oncle. Et, de grosses minutes plus tard, elle l'entraînait dans les rues, prétextant une "surprise" particulièrement "urgente" où ils devaient se rendre en "secret".

Sans doute suffisamment persuasive, elle le conduisit devant l'enseigne observée en chemin. Il n'y avait personne encore, la populace attendant souvent la fin de la journée ou d'un banquet pour s'y prélasser comme pour s'y baigner.

Sans l'inviter à se changer dans une des cabines, elle le conduisit vers le bain tiède. idéal. Suffisamment profond.

Tout tournait autour d'une réalité peu glorieuse qu'ils partageaient. Ni l'un, ni l'autre ne savaient nager. Et la Candide avait décidé qu'il valait mieux s'entraîner ici que dans une mer où les vagues auraient été contre eux.


Alors? Alors? Merveilleux, n'est-ce pas!


Sans attendre de réponse, elle l'invita à se pencher au-dessus du bord pour apprécier la profondeur du bassin. "Le plus grand du coin", lui avait affirmé le propriétaire.

Qui faut-il accuser? La fatigue du duc? Les grands gestes de sa nièce? L'eau qui léchait les bords du bassin plus que de mesure? Quoi qu'il en soit, à la vitesse de l'éclair et dans un Plouf sourd, Riwenn coula dans l'eau tiède. Heureusement que celle-ci avait comme vertu de détendre!...

Et la nonne de déglutir péniblement en se demandant ce qu'il convenait de faire dans de telles situations... et d'en appeler saintement au Très-Haut, à défaut d'appeler au secours.




Infos trouvées ici:http://medieval.mrugala.net/Bains/Bains.htm
Edit ortho

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Riwenn


Nuit paisible. Nuit tranquille. Doux songes.

Mais lorsque l'on est un Castel Vilar de la Duranxie, ce genre de choses est rare.

Une fois de plus, le Duc en eut la preuve ce matin-là. Et pour une fois, ce n'estait point ses enfants. Non, cette fois, c'estait sa neboda* Ellya !

Tambourinage de porte alors que le coq venait de chanter peu avant. Voilà ! L'on estait de la famille alors l'on pouvait tout se permettre. Légèrement en colère, Riw enfila une robe de chambre et ouvrit brusquement la porte. Mais Ellya estait une saincte, elle savait y faire - à se demander mesme si ce n'estait pas elle qui avait appris la chose à ses jumeaux et son ainée. Bref, le sourire angélique de la nièce l'apaisa et, après s'estre correctement vestu, il la suivit au travers de la ville vers....vers où ? cela il l'ignorait. Mais bon, il fallait faire confiance aux membres de la famille.

En moins de temps qu'il en faut pour le dire, l'homme se retrouva dans l'enceinte d'un des bains de la ville pour une poignée de deniers. Malheur ! Lui qui n'avait jamais appris à nager. Et à dire vrai, la religieuse lui annonça que l'objet de leur venue estait l'apprentissage de cet art.


Alors? Alors? Merveilleux, n'est-ce pas!

On pouvait dire cela ainsi...Il s'efforça de sourire tandis qu'il estait rapidement invité par sa nièce à regarder l'eau de plus près. Et sans vraiment rien comprendre... Plouf ! Le voilà qui se retrouvait à l'eau.

Cherchant à revenir à la surface, allant de bas en haut, il cherchait à demander de l'aide, mais cela ne captait en rien l'attention.


El....Va....chez...du...cours...

Et l'homme se débattait tant bien que mal, percevant aux travers de sa vision brouillée les prières inutiles en de tels moments de la nonne.

(*nièce)

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Héraldique européenne
--Framboise


La Framboise suivait le Duc comme son ombre, discrètement mais elle était toujours là derrière lui. C'était en quelque sorte sa mission.

Des étuve ouvraient, elle savait que le Duc s'y rendrait.
Ils avaient parlé, un jour tard en taverne, de ce genre de lieu.
Framboise lui avait dit qu'elle aimerait lui faire découvrir ce genre de lieu mêlant la douceur et la volupté.
Alors rien de plus normal de le voir ce jour se rendre à l'ouverture des bains, d'autant plus qu'ils étaient l'œuvre de sa nièce Ellya.

Le spectacle de la chute du Duc tel un poids mort dans l'eau fit rire aux éclats Framboise. Mais elle savait parfaitement que Riwenn ne savait pas nager et par conséquent il pouvait se noyer tout seul paniqué par la situation.
Un Duc mort aux étuves .... quel beau titre pour Le Curieux.

D'un coup la Framboise sortit de l'ombre, écartant du bras la nonnette.
Au passage elle l'embrassa rapidement lui signifiait de se taire sur son identité puisque d'ores et avant elle savait qui se cachait derrière "Framboise".


- Va chercher des draps et vêtements de rechange pour le Duc

Elle eu à peine terminé sa phrase qu'elle se glissa dans le bain chaud pour sortir le Duc de ce mauvais pas.
Elle l'attrapa par le bras, le soutint pour le ramener jusqu'au bord.
Sortie de l'eau elle hissa tant bien que mal le Duc hors de l'eau.
Encore conscient elle le regarda avant de lui dire en riant:


- Je dois vraiment vous apprendre à nager avant de profiter Vôtre Grâce, même si nous devions nous retrouver au bain chaud.
Ellya
Que le très-Haut m'entende...

Mains croisées, regard rivé sur le duc en train de se débattre.

... Lui qui a créé le Tout, la Terre comme l'Eau...

Duc qui se débat toujours, marmonnant des paroles sans le sens. Sans doute perd-il conscience?

... Surtout l'Eau d'ailleurs. Qu'il aide cet homme, plongé dans cet élément, incompétent en la matière de nager...

Regard qui monte vers le ciel, heurte le plafond, décide de revenir sur Riwenn.

... Qu'il le sauve car sinon... bah je serais bien malheureuse.


Et la nonnette d'être bousculée par une amie de longue date.

Toi? Regard vers le plafond, de nouveau. Qu'ainsi soit-il!

Sereine, et ravie que ses prières aient fonctionné, elle couru en direction des vestiaires pour prendre un drap de sortie de bain. Revenue, elle le tendit à son oncle, un sourire gêné aux lèvres devant sa jolie tenue toute abîmée.

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Riwenn


Entr'apercevant la Framboise, Riw sut que Deos avait exhaussée les prières de sa nièce. Une fois qu'elle lui prit le bras, il cessa ses agitations aquatiques pour se laisser guider vers la terre ferme.

Trempé.

D'un, on l'avait pressé. De deux, voilà ce qui en résultait. Mauvais début de journée pour le fils de Thibert et Orwenn.

Lorsque sa nièce lui tendit un linge pour qu'il se sèche, il fut partagé entre une ire qu'il savait passagère et un sentiment de bien-estre suite au sauvetage, qui plus est par celle qui occupait certaines de ses nuits. Le cœur paternel de l'homme lui glissa à l'oreille de choisir la solution la plus douce. Après tout, il estait vivant. Il ne s'estait pas noyé. Et ne point pardonner une religieuse alors que le Très-Haut lui avait laissé la vie sauve ne semblait pas une attitude adoptable, surtout pour le bon aristotélicien qu'il demeurait. Aussi esquissa-t-il un tout petit sourire à l'attention d'Ellya, peut-estre forcé, mais bien présent. Mais il ne lui adressa pour le moment aucune parole.


Je dois vraiment vous apprendre à nager avant de profiter Vôtre Grâce, même si nous devions nous retrouver au bain chaud.

La voix de sa Framboise accrut son calme. Et son sourire prit davantage de franchise lorsqu'il tourna le visage vers elle, toujours assis sur le sol.

Ma chère, je vous remercie d'une part. D'autre part, je crois, sans vouloir dire de sottise, que c'est pour tenter d'apprendre l'art aquatique que ma neboda m'a porté jusque là. Enfin, en conséquence, nous verrons pour le bain chaud plus tard.

Quelle coquine cette Framboise ! Mais Riwenn gardait la teste sur les épaules, bien que tout son corps soit alors inondé. Cette pensée estait peut-estre exagéré, mais le Duc n'avait jamais connu telle situation. Laquelle aurait pu se terminer par sa noyade.

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Héraldique européenne
--Framboise


- Ellya doit vous apprendre à nager?

La Framboise sourit à cette heureuse nouvelle.

-Formidable, vous pourrez ainsi profiter de l'eau et des joies de l'océan avec votre famille. Mais aller dans l'eau ainsi sans aide pour vous supporter est dangeureux. Vous avez failli finir noyer Vôtre Grâce.

Elle lui arrangea ses cheveux en bataille sur son front et l'aida à s'assoir.

Votre nièce vous a apporté des vêtements secs pour tout à l'heure.
Otez ceux que vous portez, ils ne vont pas vous aider à flotter.


Elle hésita un moment à l'aider à se déshabiller. Le Duc avait l'air d'aller plutôt bien, il pouvait se débrouiller tout seul.
Elle éoigna ses mains des boutons de sa chemise et l'embrassa à la commissure des lèvres.

Son regard se leva sur Ellya qui semblait sourire même peut être rire un peu.
Elle lui adressa un large sourire avec de se lever. Elle embrassa la nonette sur la joue et alla s'assoir non loin d'eaux.
Elle lança tout de même une phrase à Riwenn:


- Retournez à l'eau Vôtre Grâce, vous de devez pas rester sur une mauvaise. Sinon vous ne réussirez pas à apprendre à nager.
Gluth_vongluth
Cela faisait plusieurs jours que Gluth et sa belle avait quitter les contrés du Périgord. Plusieurs jours à marcher, à suer, à s'accou... nan ça encore c'est pas trop grave... et a saigner des pieds.
Par tous les temps et par toutes les heures, les paysages et les minutes défilèrent inlassablement.
Certes un voyageur fatigué prend du temps pour se reposer... c'était même le mot d'ordre de ce couple de voyageur... du moins pour Gluth.

Au début il avait trouvé une astuce, picoler sans cesse la veille pour espéré avoir un jour de repos le lendemain et surtout... dormir tranquillement.
Ces jours de repos oui, il les avaient bien, et cela ne gênait personne... mais les nuits, que se soit sur les chemins ou en ville... étaient toujours aussi agités.

Toujours fatigué, essoufflé par les journées interminables à n'avoir même plus la force de travaillé, Gluth s'était fixé un but : prendre une pause pour lui tout seul.

Il chercha un coin dépaysant, à l'abri du quotidien, loin de tout. Il crut d'abord trouvé son bonheur au bord de la petite rivière de Labrit. Bien que d'aspect pas très rassurant, l'endroit avait l'avantage d'être calme et propice à la pêche.
Il y resta quelques heures... le temps de s'être fait la réflexion que d'attrapé les poissons à la main, ce n'était peut être pas une bonne idée.

Il voulu donc faire demi tour... mais ce qu'il redoutait tant avait fini par le trouver très vite.

-MATOUUUUUUU!!!! Où es-tu?!!!

Il fallait trouvé quelque chose, un endroits où il pourrait se caché... mais rien, rien n'aurait empêché le drame de se produire. Sa belle le connaissait par cœur, au point qu'elle pouvait le suivre à l'odeur... les mouches aussi d'ailleurs.

A la vue, entre deux branches, de la sublime silhouette nue de sa belle, Gluth commença à paniqué.
Sans réfléchir, il pris sa respiration et sauta dans l'eau. Non seulement la texture verte qui flottait à la surface lui donnait déjà un bon camouflage... les nénuphars firent de l'endroit la cachette parfaite.

La belle ne resta pas longtemps. Gluth sorti de l'eau, les vêtements trempés... les nénuphars retirés des braies... et la grenouille recrachée... il pouvait maintenant soufflé un coup et partir d'ici.

A la vue de cette individu tout droit sorti............ d'un lac, certains habitants fermèrent leurs volets, d autres cachèrent les yeux de leurs progénitures. Il se senti comme Cavallo, l'ancien cheval de sa Luz : rejeté de la société, bon pour donner aux cochons.
Les taverniers tournèrent leurs pancartes du coté "fermer" même pendant les heures d'ouverture... quelque chose lui disait que c'était de sa faute.

Désemparé et trempé, il s'assis sur une marche devant une bien belle maison. Les larmes laissèrent vite place à la fatigue et il s'assoupit, les bras sur ses jambes et sa tête dessus.

Les heures et la pluie passèrent, les bruis de la ville aussi. A son réveille, Gluth s'aperçu qu'il avait rater deux surprise de taille. La première.... plusieurs taches rouges étaient éparpillé autour de lui... de la tomate d'après le gout.
La deuxième fut un écu, tout propre tout beau, avec un message en dessous :



Je vous en conjure... partez de chez moi... où aller vous lavez.

Voici un écu pour les bains, ou pour le voyage... faites en bonne usage s'il vous plait.


Il y avait une adresse aussi.

Gluth parti donc pour la capital pour essayé de se changer les idées... et d'odeur surtout.

Quelques heures de marches plus tard, il arriva devant la bâtisse. Les bains, il connaissait, cela fit d'ailleur un bout de temps qu'il n'en avait plus vu.
Il y entra sans hésité, enleva ses bottes qu'il déposa sur les étagères fait spécialement pour cela, posa son écu fraichement trouvé sur le comptoir et pénétra ensuite vers les bains chauds.

L'endroit était vide... quoique de toute façon même si cela aurait été le contraire, ça se serait vidé très vite.
Il entra dans une cabine et décolla péniblement ses vêtements de sa peau. D'ailleurs celle-ci avait pris une teinte rose-violette et était dangereusement cloquée.

Une grande peur monta en lui. Il se mit vite à l'eau en serrant des dents et, une fois submerger, il vérifia l'ampleur des dégâts.

Mais il y eut plus de peur que de mal, son engin fonctionnait encore correctement.
Rassurer, le sourire aux lèvres, Gluth ferma les yeux, secoua sa main dans l'eau pour une raison inconnu et se reposa de cette pénible journée.

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Riwenn


Mauvais et bon costé de la chute aquatique : Riw avait failli mourir comme une baleine qui ne supporterait plus l'eau, mais il avait esté sauvé par sa Framboise qui l'avait chéri pendant quelques secondes. Il sourit maladroitement à sa nièce qui lui avait porté de quoi se sécher, n'ayant pas précisé à la sauveteuse que la jeune fille ne savait elle aussi pas se débrouiller dans l'eau. Les cheveux ébouriffés, il se releva et approcha de l'eau, le fruit rouge s'estant assis un peu plus loin derrière lui, ignorant au passage le petit sourire d'Ellya qui avait failli l'occire. Mais la famille demeurait ce qu'elle estait, surtout pour lui. Il lui offrirait le pardon comme une fleur offre ses pétales à la lumière en éclosant. Cela faisait partie de la vie. De sa vie.

Ne pas rester sur un échec...

Il tentait de se donner confiance tout en enlevant tous ses vestements afin de se retrouver nu comme un ver, suivant les conseils de la Framboise. Il les laissa un par un à terre et finit par les éloigner des bains du bout du pied. Il se pencha et regarda l'eau se rapprocher et s'éloigner. Cela lui donnait le tournis, il ferma alors les yeux et tenta de se reprendre. Il s'assit et se planta jusqu'aux genoux dans l'eau et respira profondément.

Chose à éviter ? en tout cas, une odeur nauséabonde s'engouffra entre ses narines et il se mit à tousser de dégoust. Un nénuphar vint s'accrocher à sa jambe, il leva la teste et vit une silhouette à l'autre bout des bains. Sous le coup de l'énervement, il se mit à crier.


Comment un badaud puit-il fréquenter les mesmes bains qu'un noble ? C'est inadmissible ! en espérant que l'autre, homme ou femme, l'avait bien entendu.

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Héraldique européenne
Gluth_vongluth
Haaa le plaisir du bain chaud! Gluth, se sentais... comme un petit enfant à chaque fois qu'il put barbotais dans une eau bien chaude.
Il joua avec un nénuphar qui étais tombé de sa botte quelque temps avant, mais qu'il perdis accidentellement : au début les trois-quatre premières ne génèrent pas tellement la tranquillité du lieu et de l'eau... mais plus les bulles abondèrent, plus l'eau se déchaina, laissant la place à quelques petites vagues... qui emportèrent le regretté nénuphar au lointain.
Après que son mal de ventre fut passer, Gluth voulu profité de cette instant pour s'assoupir quelques minutes. Cela fut de courte duré, une créature humanoïde d'après la silhouette peu visible à travers la brume du lieu, beugla de toute ses forces une phrase incompréhensible qui résonna dans toute la pièce.

Comment un badaud puit-il fréquenter les mesmes bains qu'un noble ? C'est inadmissible !

Il était inacceptable que des établissements aussi propres et aussi fréquentés acceptent des fous, des braillard ou des prophètes dans ces lieux. il fallait qu'il intervienne.

Il nagea vers le fond de l'interminable bassin et..... se senti un peu mal à l'aise. Bien que des corps nue... de sexe féminin le plus souvent... il en avais mainte fois vue... en voir avant de payer des chopes... cela été extrêmement rare (la plus part du temps, cela arrive justement quand il prend des bains... mais bon, sans commentaire).
Il essaya de se présenté, mais les mots ne sortirent pas, il se contenta d'incliné légèrement la tête pour saluer les trois personnes, rougissant comme un jambon.

Apercevant le nénuphar près du bord, il alla le chercher... pour faire genre qu'il n'était pas là pour rien... histoire de ne pas se voilé la fasse.
Il le pointa du doigt, avec un sourire naïf ("souriant comme un con" dirons certains... mais ne soyons pas vulgaire) :

-Haaa..... je l'ait trouvé!... Déso....désoler de vous avoir dérangés.

Il nagea dans le sens opposé, se demandant si l'homme parlait du nénuphar quand il braillé... Confondre une plante et un bateau, c'était forcé, il devait lui manqué un grain.

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Riwenn


Riwenn regarda coi l'homme approcher, récupérer le nénuphar avec un rictus des plus niais et repartir presque aussi rapidement.

Il estait resté silencieux jusqu'alors mais, après un coup d'œil aux deux damisèlas présentes à ses costés, il lança un regard furieux vers l'homme nauséabond qui marquait l'eau de sa puanteur et poussa un cri de fureur.


Ne vous gesnez surtout pas ! Faictes comme si nous n'estions point là !

Namého ! Il y a certaines personnes qui se permettaient certaines choses bien mal vues. Politesse passable. Éducation à revoir. Mais où allait le Royaume ? Que devenaient les gueux de nos jours ? Qui de l'œuf ou de la poule estait apparu en prime ? Mais où est donc Ornicar ? Toutes des questions que le Duc se posait en cet instant, toujours les pieds dans l'eau.

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Héraldique européenne
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