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[RP] Seconde guerre d'influence xuchimèque.

Atecoatl
[Amecameca, le soir]

La nuit est tombée, imposant au monde le règne sans pitié ni concession de Tezcatlipoca, Celui-qui-donne-et-reprend-la-victoire, maître de la nuit et des ténèbres, qui exècre Quetzacoatl au point de libérer chaque nuit des milliers de démons que le dieu donateur des Tonalamatl doit, chaque matin, renfermer dans leurs grottes pour permettre aux humains de reprendre leur existence quotidienne. En cette heure ou toutes les bases du monde connu s'ébranlent et s'effondrent autour de lui, Atecoatl sait que les lourds tributs de sang payés chaque jour donneront la force à Quetzacoatl de repousser encore longtemps ces démons, et de rétablir chaque jour l'équilibre de la grande roue solaire.

Le jeune tecuthli n'aime pas braver la nuit : comme tout le monde, il a peur de ces démons, mais s'efforce de maîtriser sa peur. S'il doit en rencontrer un, probablement défendra-t-il chèrement sa peau, mais cette peur s'efface rapidement : son destin n'est pas de mourir cette nuit. De cela seul, il est certain. N'est-il pas, digne fils de Huehuecoyotl, le meilleur allié à la fois de Tezcatlipoca pour qui il sème la mort, et de Quetzacoatl dont il défend la civilisation ? Elle n'est pas encore venue, l'heure ou les dieux s'en prendront à lui : il leur est trop fidèle et utile.

Il fait quelques pas dans l'obscurité, la main sur la massue, lorsque le monde devient subitement tout blanc autour de lui, et tourne, tourne, tourne, au point de flancher : le sol bouge, les murs s'effondrent, et sa tête se heurte contre quelque chose. Une vive douleur lui tenaille la tête, et il ferme les yeux : c'est à nouveau l'obscurité.


[Songe]

Obscurité ? Non. Tout est jaune. Flou, mais jaune. D'immenses cercles jaunes qui tournent grâcieusement comme s'ils dansaient, qui se rapprochent et deviennent progressivement clair. Le temps d'un clignement d'oeil, et Atecoatl comprend : il se trouve dans un immense champs de maïs, s'étendant à perte de vue tout autour de lui. Ou sont passées les forêts du nord ou s'ébrouaient gaiement les castors unijambistes auprès des rivières joyeuses ? Les déserts arides du lointain levant qu'on apercevait les jours de beau temps du haut de l'altepetl ? Tout n'est plus que maïs, maïs, maïs...

Le jeune aristocrate s'agenouille, arrachant lentement un épi de maïs, sans trop savoir pourquoi. Avec déférence, il regarde cet épi de maïs banal et commun, identique aux milliers d'autres qu'il a vu passer sous ses yeux lorsqu'il était le pochteca fondateur de la seigneurie. Le maïs, il le sait, est la base fondamentale de sa civilisation : il nourrit le peuple, il nourrit les guerriers, il sert aux naissances, aux noces, aux enterrements... N'est-ce pas pour s'assurer des récoltes abondantes qu'on sacrifie aux dieux les plus solides des esclaves capturés, déclenchant à cet effet des guerres ?

Cet épi de maïs est sacré. Tous les épis de maïs le sont.
Ce ne sont pas simplement une nourriture de pauvre.

Il en est là de sa réflexion lorsqu'entre les denses et drus épis de maïs apparaît un coyote, son animal totem, symbole de la mission à laquelle il a décidé de consacrer sa vie. L'animal est visiblement âgé, et s'approche du guerrier sans hésitation ni air menaçant : instinctivement, Atecoatl lui tend l'épi récolté, que l'animal attrape dans sa gueule avant de partir comme il est venu.

Le monde redevient flou, jaune, puis noir, puis blanc, puis...


[Amecameca, tôt le matin.]

Les yeux s'ouvrent. La tête bourdonne, et la première pensée du jeune guerrier est qu'il a chaud : après quelque secondes d'intenses réflexions, il lui semble que c'est son sang qui circule très rapidement dans son corps. Atecoatl se redresse, lentement, avec difficulté, et inspecte son corps tout courbaturé par plusieurs heures passées allongé sur le sol en terre battu de la cité. Il ne saigne pas, et son coeur est encore en place : ce n'est pas un démon qui l'a agressé, et moins encore un dieu. Il se relève, aussi rapidement que son corps fourbu le lui permet, se rémémorant son songe étrange.

Il a rencontré Huehuecoyotl.
Il en est certain.

Atecoatl lève la tête vers le ciel : il est l'heure ou Quetzacoatl vaint les légions de démon d'un Tezcatlipoca qui en profite pour donner et reprendre les victoires des guerriers et des révoltés. Cette petite place non loin de la cité étant éloignée des pyramides et des callis du centre d'Amecameca, nul ne semble avoir aperçu le tecuthli, issu de la plus grande famille aristocrate du Tlaxcalan, dormir à terre comme un serf dont la ferme aurait été brûlée par des guerriers.

Il est l'heure de former son armée.

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Lunran
[Huiloapan, un clan encore "libre"]

Le regard posé sur les nuages au-dessus d'elle, étalée sur le sol, et les mains croisées derrière sa nuque, Lunran conjecturait paisiblement sur les faits divers des gens de son espèce.

Voilà des semaines qu'on s'affolait dans les tavernes, en criant "C'est la guerre, c'est la guerre!". Ce qui ne faisait que hausser un sourcil vaguement interrogateur à la jeune femme. Elle, l'avait rien vu de cette prétendue guerre. La guerre contre qui d'abord ?

Paisiblement, et pas inquiétée du tout, elle continuait de poursuivre ses petites affaires. Soulager un jeunot, ou enlever une mioche, voler des tortillas à droite à gauche, voilà un peu comment se résumait son quotidien.
Mais l'attrait du combat était terriblement présent dans son esprit. Ou plutôt le parti qu'elle pouvait en faire. Imaginez un instant, tout ces corps tombaient au combat, dont les bourses n'attendront plus que d'être cueillies, et toutes ses armes désormais inutile pour leurs morts qu'elle pourrait revendre ! Un sourire flotta sur les lèvres de Lunran.

Pourtant, un autre sujet d'inquiétude pointait dans sa cervelle. Et si c'était les autres, les étrangers, qui gagnaient la guerre ? Et qu'il lui faudrait parler leur langue ? Si personne ne la comprenait, ça risquerait d'être embêtant pour les provocations qu'elle aimait tant. Oh, et !

Elle se releva en position assise et rejeta ses cheveux dans son dos, de la malice dans les yeux. Si elle arrivait à chasser les ennemis (dont elle ignorait même la provenance...) de l'orient, ptèt qu'il y aurait des gens suffisamment crédule pour la récompenser ? Cette idée méritait réflexion, et c'est donc d'un pas enjoué qu'elle se mit à la recherche des personnes qu'elle savait dans les environs.

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Rebelle par Nature
Pénible à ses heures
Voleuse de moult choses
Azouzis
Tlaxcala la fin d'un règne.

Azouzis assoupi dans son espace de relaxation comme beaucoup à cette âge avancé faisait une petite rencontre avec morphé.
Il faisait beau ce jour là, rien ne présageais ce qui allait s'abattre sur la Capitale Orientale.
Azouzis fut réveillé en sursaut par quelques garde.


Tlatoani, Taltoani! Il faut partir les aztèques ont forcer les murs il ne nous reste plus beaucoup de temps!

Azouzis surpris que les remparts cèdent aussi simplement écarquilla les yeux pris ça massue et se senti l'âme d'un jeune de 240 lunes. C'était le grand jour le jour ou il ira mourir pour sa province. Elan de folie, il se lève enfin, pour une fois il allait réalisé quelque chose de beau pour la province a qu'il était grand ce Tlatoani!

Il est là, grand enfin pas trop avec sa vieille carcasse toute courbé... Mais il est là! près a prouver sa valeur devant tout un peuple. Le temps semble s'être arrêté il est là fixant la grande porte d'où allaient d'un instant a l'autre débarquer des centaines de guerriers.
Mais que fait il? il ne parle pas ne bouge pas, ne remue même pas les lèvres ses gardes au pied de l'estrade qui supportait le siège ou il se trouvait le regardaient.
Le regard du rouquin était vide, il alla a la rencontre de ses gardes puis parti sur sa droite. Sûrement une technique pour prendre par surprise quelques guerrier aztèques qui viendraient en courant dans la salle du trône pour le faire prisonnier, malin ce Tlatoani!
il continue pourtant son chemin et s'engage dans un petit passage secret entre deux murs. Il abandonne son peuple... Il ose faire ça... Pauvre d'eux... Il fuis face à l'ennemie! Aucun guerrier digne de ce nom ne l'aurait fait...

Mais en y repensant il n'est pas guerrier... Azouzis quitte donc son post ainsi, avec sa coiffe de Tlatoani Oriental encore en place sur sa tête.

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Gogosse
huiloapan

gogosse préparait sa massus... au début de ce voyage il avait planifier l'utilisé contre les aztecs mais a présent, apres que l'orient l'eu humilier et renier son titre de guerrier, il avait offert son aide a ses ennemis. Comme dis le dicton: les ennemis de tes ennemis sont tes amis et gogosse l'appliquais avec grand plaisir. Durant la dernière journée il avait profité un peu , mais aujourd'hui c'était les préparatif pour l'assaut final, demain les rampart ou lui-meme s'était caché dans le passé vont tombé.

Gogosse trouvais ca drole: il ce disait que si l'orient n'Avais pas voulu de lui comme guerrier, au moin cautch l'avais fait et maintenant l'orient allais le regretter.

il gardais cepandant profil bas, pour ne pas trop attiré l'attention. Plusieur savait qu'il avait changé de camps mais la majorité le croyais encore oriental.

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Gogosse l'homme libre, amis des ennemis de tlaxcalla
Gaby
[Aux alentours d'Ixta]

Sang, massue, couteaux, tortures, l'ermitte ne lésinait pas sur la manière d'abattre ses dindes.Il faut avouer que la vie à l'extérieur du clan l'avait rendu quelque peu aigri, voir stupide.

Il ne supportait plus la vue d'un quelconque être vivant mis à part celui de ses bêtes et gare gare à celui qui se serait aventuré par mégare sur son terrain en plein milieu des arbres.

Il ne supportait pas le bruit
Il ne fut rien d'étonnant qu'il eut ralé lorsqu'il avait entendu du boucan tout près de chez lui mais jamais, au grand jamais, il avait tilté sur le fait que sa province était en guerre.Des armées?Quelles armées? L'Orient n'a toute façon rien pour se défendre, disait-il souvent à ses jeunes dindons.

Ce n'est qu' à la demande de sa capu qu'il aurait bien rejoint les groupes pour défendre Ixta mais malheureusement le jour où il devait aller rejoindre ses compagnons, un panier cassa et le pauvre Gaby passa des journées à essayer de le rabibocher.Au prix où sont les paniers! Fallait pas rêver..D'ailleurs, ce n'était que certains étrangers parlant un langage bizarre qui lui vendaient des paniers à bas prix. Le ténébreux n'avait jamais cherché à comprendre et ce n'est que maintenant qu'il comprenait que son adorable vendeur de paniers devait être une pastèq..enfin aztèque ou quelque chose ainsi.

Oui, il n'avait compris que quelque temps plus tard qu'il était lui aussi devenu une pastèque, bien après l'attaque lorsqu'il avait voulu vendre ses oeufs.Une jeune dindonnière ( Celle qui élève des dindes) avait...brrr..voulu rivaliser avec ses prix si démocratique..Honte et scandale, elle parlait d'un charabia..Misère, et damnation...Il avait tilté que presque une petite semaine plus tard.Difficile de comprendre une aztèque qui vous balande des noms d'oiseaux. Déjà en tant normal, une femme..Mais alors là, c'était le tintouin.

Il se demandait bien quoi faire maintenant...
Polya
[Huamantla-autre clan oriental]

Elle s'en était revenue depuis quelques semaines de Misantla. Toute seule comme une grande qu'elle était, l'amazone avait même réussi à fausser compagnie à une armée aztèque en l'évitant au tout dernier moment avant d'entrer dans son clan.

Huamantla...La prêtresse coyote-guerrière du tonalamatl avait manqué de s'étouffer de colère en voyant de ses propres yeux ce qui était inscrit sur la porte du calpulli. Il fallait noter que depuis quelques temps, l'ex-calpullec réélue calpullec par toute une partie du peuple Huamantlèque, en avait tellement bavé de la félonie de certains qu'elle s'était endurcie...et férocement endurcie. Aussi n'avait-elle pas manqué de relever que l'on voyait écrit en gros à l'entrée du clan le nombre de miliciens que celui-ci employait ainsi que les noms de ses défenseurs. On voyait aussi encore des traces d'une grille de prix établi pour le marché et d'une grille aux embauches ce qui avait provoqué un peu plus son courroux.

Et bien évidemment elle s'était insurgée l'amazone et avait tellement dérangée les instances en place que certaines étaient même venue l'agresser en taverne l'accusant de vouloir sauver le clan. Ils n'avaient rien compris du tout. Elle ne faisait que défendre les lois divines du tonalamatl trop souvent ignorées et bafouées sur Huamantla. Une soeur bien intentionnée lui avait même dit que depuis son retour, tous le monde vendait son champ et qu'elle faisait fuir le clan entier!! sauf que Polya n'était pas dupe, les champs en vente, elle les avait comptabilisés à l'instant même où elle était entré dans son clan...Mais le summum de tout, ce fut lorsqu'elle s'entendit dire que pour être partie sur Misantla avec les guerriers, elle avait abandonné son clan, incitant du monde à partir avec elle. Le tiachcauh Raffaelh fut même accusé d'avoir laissé tomber la défense du clan ...bah il y avait pourtant bien un chef de la défense sur ce clan non ? L'amazone avait bondi en entendant le refrain sur son soi-disant abandon du clan et celui des guerriers partis sur Misantla

Elle se remémorait tout cela la jeune prêtresse, tout comme ces quelques jours auparavant où la plupart des guerriers huamantlèques étaient tombés, permettant d'ouvrir le chemin à leurs frères guerriers orientaux. Elle priait chaque jour, Huehuecoyotl l'accompagnait comme son ombre, partout où elle se rendait.

Elle échangeait aussi régulièrement des colibris et des palabres avec sa famille. Mais autant sa jeune soeur la soutenait et pour cause, celle-ci s'était amourachée d'un Tolan, autant ses frères voyaient la relation de Polya avec un autre membre de la famille Tolan d'un très mauvais oeil. Jusqu'à sa récente mise en garde par son frère ainé Bursrinator. Autant la jeune femme ne craignait pas son frère Guyhom avec lequel elle s'entendait même plutôt bien, autant son aîné Burst, avait-il le pouvoir de la faire capituler. Et il pouvait se vanter de bien être le seul à arriver à faire plier l'amazone. Il faut dire qu'elle lui vouait une admiration et un amour fraternel sans bornes...Elle lui avait fait réponse peu orthodoxe dans le sens où elle le menaça, puisqu'il en était ainsi, de s'établir avec un guerrier aztèque. Hurlement et grognement du Burst. Jamais de la vie, je te renies si tu fais ça. Provocation de la soeurette. Et bien puisqu'un Tolan ça ne te convient pas, débrouille toi pour me trouver un guerrier puisqu'il en est ainsi...sourire mitigé et provocateur de l'amazone envers son aîné. Moue énervée de celui-ci, oeils qui se froncent et se plissent et voix de stentor guerrière qui s'abat sur la jeune femme...Puisqu'il en est ainsi, je vais moi-même me charger de trouver dans tout l'Occident le géniteur de ta descendance...'tite moue de la soeurette qui regarde son frère et lui balance désinvolte tu veux dire, dans l'Orient ? Rugissement du frérot qui fait se reculer de deux pas la jeune femme.Nooon!!! j'ai dit un géniteur occidental!!!

Grincement de dents et Polya part se coucher dans la hutte que lui prête gentiment Raffaelh. Et oui, de colère elle avait brûlé sa hutte avant de se rendre sur Misantla et elle n'a vraiment pas le temps en ce moment d'en refaire une autre. Et au réveil le lendemain matin...une armée cuauh qui campe devant les portes du clan de Huamantla... Et c'est là que questionnement existentiel...Que faire ?

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Polya Matlazatecatl.Ex-calpullec de Huamantla(9 mandats)et ex-tatlocani (2 mandats).
Zazanilli
[Huiloapan]

Elle regarde, observe l'agitation caractéristique de ce potentiel danger. Et sourit.
Oui, c'est amusant, de sentir la détresse d'un autre, de par là se venger de ce qu'elle a pu subir, de ce qu'ils ont pu lui faire subir. La Vérole n'est pas tendre. Et si elle semble faible parfois, soyez-en sûr, elle sera là quand ceux qui l'ont blessée se retrouveront par quoi que ce soit amoindris. Elle pointera du doigt la plaie, forte cette fois, et rappellera ses mauvais souvenirs pour non pas enfoncer de plus belle, mais faire une sournoise leçon de morale qui, si l'autre est un tantinet intelligent (ce qui est rare), entraînera une remise en question douloureuse.

La Teigne sourit, amusée par ceux-ci, ceux-là, qui crient au secours, qui crient au traître, à l'infâme, à la gaminerie.
Et elle sourit. Non, elle ne les aidera pas. Non, elle ne se battra pas.

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Geios
[Tototlan]

Elle était rentrée chez elle. Pas forcément de gaité de coeur, mais elle était rentrée.
Elle avait, avec son armée, traversé tout le pays oriental, prenant à leurs ennemis une mine après l'autre, leur coupant par là-même l'accès à des ressources qui leur faisaient déja défaut.
Elle avait connu quelques combats aussi, qu'elle avait été fière de gagner.

Plus jamais désarmée! se dit-elle

Elle pensait à la prise de Tototlan, lorsqu'ils s'étaient retrouvés, ses amis et elle, une poignée de paysans désarmés, contre l'armée invasive de Nao.
Ils avaient su qu'ils ne résisteraient pas. Ils avaient su qu'ils tomberaient tous au combat...
Mais ils s'étaient tenus en fiers aztèques, et avaient défendu leur clan de toutes leurs forces!
Bien-sûr, ils avaient été battus. Que peuvent faire des paysans jeunes, inexpérimentés et désarmés contre une armée de barbares équipés de massues?
Elle-même avait eu de la chance. Quelques coups de batons l'avaient blessé, mais elle n'avait pas eu à subir le sort de ses amis qui avaient tous été abandonnés pour mort sur le champ de bataille. Des semaines après, ils s'en remettaient à peine...
Elle, elle avait pu travailler à la libération de son clan. Elle avait pu s'engager dans l'armée, lorsque ce fut fait.

Je n'ai plus rien de l'adolescente désarmée qui est partie. La guerre a fait de moi une femme...

Elle observa son bouclier, puis sa massue bien-aimée, et eut un sourire carnassier.

Elle avait dû rentrer, oui. Même si quitter son armée avait été un crève-coeur, elle devait rentrer.
Mais ce n'était pas pour autant qu'elle allait cesser de se battre...
Elle allait repartir. Ses affaires remises en bonne voie, son guerrier d'amour "récupéré" sur la route, elle pouvait à nouveau repartir sur les chemins.

S'il plait au dieux de me le permettre, je reprendrai le combat très vite...

Ils étaient venus bouleverser sa vie tranquille, massacrer les siens, ravager son clan... Il leur faudrait maintenant compter avec elle!
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Maxitampax
[HUILOPAN]

La chieuse avait reçu une lettre du calpullec, de son ami Silk qui s'était courageusement battu à ses côtés en Aztéquie. Elle regarda la lettre avec les sourcils froncés.

Aujourd'hui en faisant son travail de conscrite, elle avait vu dans le clan un groupe louche, réputé pour ses méfaits notoires de vols et prise de calpulli. Il se racontait qu'ils avaient vendu leur âme aux aztèques et trahit leur frère orientaux pour le pouvoir et l'argent.

Max courut dans les rues en espérant qu'il n'était pas trop tard pour Huilopan. Ici les gens s'étaient toujours serré les coudes dans l'adversité et c'est ce qui faisait que ce clan était encore debout parmi les vestiges orientaux.


Bip.....Bippp....BIPppppp (mots assez peu permis pour les oreilles chastes).... Ils ont pris la capitale. Les enfoirés d'aztèques ont pris NOTRE capitale.

Elle savait le groupe de hors la loi dans les murs du clan.
Elle les avait vu franchir les murailles.

Citation:

Lance de Pascaltuning17, Cococcinelle83, Klorys, Moana, Gimlatos, Gogosse, Maoni


Un part un, elle les avait ressensé pour l'inscrire dans son rapport. Ils devaient être de mèche et l'avenir du clan dépendait de leur force.
Max monta sur les escaliers du temple de Huilopan et tapa dans l'énorme assiette de bronze. Un GONG se fit entendre aux quatres coins du clan, Puis elle mit ses mains en porte voix et hurla aux habitants.


FRERES ET SOEURS L'HEURE EST GRAVE.....ON ESSAI DE PRENDRE NOTRE CALPULLI. ICI DEPUIS TOUJOURS NOUS AVONS SU GARDER NOS TERRES ET NOTRE CALPULLI DE TOUS LES ASSAUTS. AUJOURD'HUI LE CLAN A BESOIN DE TOUT LE MONDE. DEFENDEZ DEMAIN.....DEFENDEZ NOTRE CLAN. PRENEZ VOS MASSUES, VOS BOUCLIERS, DES FOURCHES......VENEZ ET UNISSONS NOUS CONTRE L'ENVAHISSEUR.

FORMONS LES RANGS ET MONTRONT LEUR CE QU'EST UN CLAN UNI ET INDIVISIBLE.VIIIIIIIIIIIIIITTEEEEEEEEE!!!!


La chieuse redescendit du temple et courut prendre son bouclier et sa massue profilée, la grosse bertha, qui avait déjà éclaté bien des bouches aztèques.

[Au petit matin]

La nuit avait été très courte pour la chieuse. Elle avait formé les rangs de courageux guerriers clanique. Sans doute les plus sérieux et fidèles de tout l'orient. Elle était fière de son clan et il y avait de quoi. Les guerriers du clan étaient présents, cachés dans tous les recoin.
Le message avait traversé le village aussi rapidement qu'un feu de paille.

Les ruelles n'étaient pas sûrs pour les brigands à cette heure-ci. Même si un villageois pétait en douce en faisant un tant soit peu de bruit, il risquait d'être pris pour un voleur et tué.

Les fourches, les massues, les bâtons....tout avait été pris d'assaut par les villageois.

Max la chieuse avait été sournoisement du côté de la porte du village pour espérer y voir partir les rebuts.
Des alliés de choix avaient été recruté. Les pilliers de tavernes étaient les villageois sans doute les plus intrépides du clan. Toujours présents, ils s'étaient répartis les tâches de surveillance.

Elle scruta les femmes et ce dit, qu'elles avaient de la gueule les guerrières du clan. Les plus belles et sauvages, guerrières de l'orient, étaient là!

Les heures passaient et l'angoisse était à son paroxysme, quand la chieuse vit des ombres quitter le clan dans la nuit noire et obscure....obscure et sombre!!!
Le groupe de gogosse avait quitté les lieux, surement impressionné par le nombres de défenseurs en si peu de temps qui s'étaient unis pour le clan.

Un sourire de conquérante vint se figer sur son visage.
Elle passa dans tous les recoins du clan pour aller voir les guerriers tapis dans l'ombre et prêt à bondir pour leur annoncer la bonne nouvelle.


Ils sont partis mais ne crions pas victoire. Ils peuvent revenir avec des armées aztèques en plus. Formons nos rangs et restons vigilants.

Les mots prononcés furent dit à demi voix comme un secret séculaire que seuls des initiés pouvaient comprendre.
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Pouchka
[Quetzalapa ou le réveil d'un cadavre]

Et qui dit réveil, dit bonnes résolutions, non ? Celle d'étudier, de chasser davantage, et pourquoi pas celle de filer un coup de main à la calpu de Quetzalapa. Oui mais voila, avec un mini rouquin super actif entre les guiboles, ça relèverait de l'exploit. Qu'ont fait les Dieux le jour ou ils lui ont permis d'aligner trois mots. D'autant que le morveux a un vocabulaire plutôt riche pour un gosse de 4 ans. Pour exemple, ce jour j, ça donne un truc dans le genre :


"Mômaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan, y'a lé zens ki se taaaappeuh. Plin !!! Z'on sorti lézarme aile a di Pandore ! Cé koi un lézarme ? Un ptit animal ?"

L'ancêtre exulte ! Des laizmarmes ? Des armes mon bouchon ! Le jour est venu ! Il te faut partir en guerre ! Tu vas deviendres un homme mon fils ! File vers la capitale, et tâche de ramener deux ou trois aztèques vivants au bercail ! On en f'ra de la pâté pour ta grande soeur. La Kala t'en s'ra reconnaissante, crois moi ! Allez jailles ! Ca m'fra des vacances !

Des vacances c'est vite dit, il est temps pour la Puch' de préparer son paquetage, les études attendront.
Un coup d'oeil aux courriers qui se sont entasser. Rappels d'impôts impayés, insultes en tout genre, nouvelles dont elle se fiche pas mal, le tri est vite fait. Ne reste qu'un courrier qu'elle s'empresse de lire.


Citation:
niltzé toi ,humm tu te cache aurais tu peur de moi?? une guerriére comme toi qui as peur d'un azté humm je te reconnais plus là .je suis passer dans ton clan,à deux reprise mais tu etais cacher qu'elle dommage j'aurais voulu de voire pour parler est peut être plus hein avant que l'un de nous meurt au combat ,mais j'éspere une chose que c'est moi qui te tue ou que tu me tue je serais ravie je vais revenire dans ton clan prochainement la j'éspere te trouver

ton admirateur joh^^


Fais moi mal Jouhny Jouhny, Jouhny ! Envole-moi au ciel !!! Niniiin niin.... Moi j'aime l'amour qui fait....

....Boum boum dans le p'tit coeur flétri de la vioque. Faut pas le dire, mais elle s'est attachée à cet énergumène. L'envoyer valser de son fief a été un plaisir, tout comme celui de le prouter dans l'arène. Les autres ont beau dire ce qu'ils veulent, le Joujou, il se relève toujours plus fort. Un guerrier en somme, un vrai.


[Plus tard, à Xaloztoc]

Bon, première surprise. Xalo ne fait plus partie de l'Orient. Qu'on se le dise. L'ancêtre serait-elle la seule à qui l'information ait échappée ?

Seconde surprise, moins digeste, semblerait que mini rouquin se soit fait prouter par une des armées aztèques. Et ça.... ça va se payer très cher.


La vieille : Poutrer par Nours tu dis ?
Le branquignolle : Ouais.
La vieille : Misère. Bon, tu m'fais un bref topo ? S'en est où ?
Le branquignolle : Bof je sais pas, j'me contente de suivre.
La vieille : Ben ça promet.... ça castagne au moins ?
Le branquignolle : Bof, je sais pas, j'me contente de morfler.
La vieille : Ah.... ben.... un p'tit coup de main alors ?
Le branquignolle : Bof, vois avec les autres.
La vieille : Moui, je vais faire comme ça einh. Voir avec les autres.

Et c'est repartit. Départ de Xalo pour Zoquiapan. Jouhny un jour.... Jouhny toujours !
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Gogosse
huiloapan 1 jour avant

gogosse s'amusait de bon coeur, il voyais plein d'orientaux s'Activé a cause de sa venu avec un groupe notoire... tout ca a cause de lui.

pendant qu'il prenait une pulque sur la terrase d'une taverne il regardais le monde s'Activé pour défendre le calpulli contre le mauvais ennemis... si au moin ils savaient qui était les vrai ennemi. Peu importe, gogosse avait pas de temps a perdre sur un simple calpulli, son seul but était la vengeance, gogosse avait eu le temps de ce monté une liste de tete a coupé... et bientot il commencerait. Un seul mot une seul idée VANGENCE!!!


tlaxcalla

il était arrivé enfin a tlaxcalla, la capital ou dans le passé gogosse avait voulu s'installé... il en était si fière voila pas moin de quelque lune,maintenant il savait que cette capital ou était supposé siègé les héro de la société oriental n'était que couverture. Les vrai persone qui controlais le parlement préfèrais resté dans l'ombre de ceux qui avait le courrage de ce montré... il en était pas moin qu'il controlais beaucoup trop d'institution, le CA, l'Armée, et malheureusement pour la population oriental, ils avait le soutient des guerrier, donc impossible de leur retiré leur pouvoir, cela il s'en était bien assuré, maintenant ils osaient meme ce faire passé pour des héro, c'était facile quand on controlais tout les facette du jeu, de ce faire prendre pour une victime. Gogosse n'Aceptais plus ces mensonge, vengance c'Est tout ce qu'il voulais, il patrouillais les chemin de la capital en espérant qu'il ce montrenent la face et qu'ils accepte un duel... c'est seulement dans cette situation que l'on peu reconaitre les vrais.

que ceux qui en on encore le courrage ce montre, on m'a traité de traitre, on m'a répondu que j'avais pas de fierté pour avoir fait ce que j'ai fait, et bien c'est le temps de me la montré cette fierté qui vous a tout couté... a quoi sert la fierté quand on a plus de province!!!

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Gogosse l'homme libre, amis des ennemis de tlaxcalla
Magua
[Xaloztoc, clan conquis mais pas encore vaincu]

Ey-yeh !
Magua poussa un cri de joie, le jeune Mazama venait de se prendre dans le filet qu’il avait tendu sur la piste. Cela n’avait pas été une mince affaire que de le séparer de sa mère à la course, mais le faon s’était fatigué vite, une fois seul et désemparé le rabattre vers le piège avait été un jeu d’enfant.
Couché sur le flanc le petit animal se débattait des quatre fers et s’emmêlait davantage. Magua posa la main sur son épaule.


Ssshhhhh, calme-toi…

Une dernière ruade. L’animal le fixait de ses grands yeux humides.

… il ne faut pas que tu te blesses petit frère.


Il lui entrava les pattes et le jeta sur son épaule puis à regret quitta la forêt pour regagner Xaloztoc.

Magua, le chat sauvage, frère de l’Ocelot s’y sentait tel le Jaguar en cage, humilié et impuissant. Impuissant car frêle et désarmé, humilié car la veille encore il n’avait pu que serrer les poings au passage d’une nouvelle armée ennemie. Deux jours après son arrivée, ironie cruelle, Xaloztoc tombait et depuis elle s’offrait telle une femme sans pudeur aux envahisseurs, un jour Tepe, un jour Cuau qui la traversaient dans un sens comme dans l’autre.
Pire, la mansuétude dont ils faisaient preuve dans leur triomphe s’ajoutait à sa honte. Après avoir été craint, l’Orient faisait maintenant pitié.

Grapillant des nouvelles au passage des conquérants il avait accueillit la chute de Tlaxcala d’un grognement fataliste se disant dans un sourire amer qu’au moins si l’Orient disparaissait l’alliance de ses ennemis n’y survivrait pas. Sans adversaire commun pour consacrer leur unité les coyotes ne tarderaient pas à s’entredéchirer.
Quand aux Tlaxcaltèques d’orient, leur nation ne s’incarnait plus que dans des armées errantes, une poignée de clans assiégés et le cœur de nombreux braves qui, comme lui attendaient le moment propice pour relever la tête.

Son irritation avait dû se transmettre au Mazama qui dans son dos, nerveux, recommençait à bouger. A l’entrée du clan il le posa au sol devant une fontaine où il fit ses ablutions.


Patience petit frère, patience...

Reprenant son fardeau Magua se dirigea vers le temple dont la masse imposante dépassait des toits...
Polya
[Huamantla-3ème jour armée Cuauh à ses portes]

Les questions existentielles, la calpullec elle ne se les pose pas longtemps.Juste l'espace d'une demi-seconde en fait... Premier soir dans la taverne de l'Oasis des Amazones, discussions tranquilles autour d'un bol de pulque avec les frères et soeurs du clan quand...silence...un guerrier aux relents de Cuauh vient s'installer avec eux. Il se présente comme étant le chef d'armée ennemie et d'emblée dit qu'il n'est pas là pour attaquer et qu'il n'en veut pas au clan. Il ne sera même plus la le lendemain matin. Bah voyons c'est pas ça qui fera relâcher la vigilance de Polya. Il la trouve pas bien gentille avec lui. Et puis quoi encore il croit qu'elle va baiser les pieds de l'envahisseur ?

Surprise le lendemain matin!!!!quoique Polya non elle en sourit en coin elle. Qui voila aux portes du clan ce matin là ? Toujours l'armée Cuauh qui campe. Et a même le culot de recruter. Pas de courses de l'amazone jusqu'à son bureau de calpullec et feuille de coco affichée prévenant tout son peuple huamantlèque de ne point répondre. Elle prévient aussi les traitres oui oui parce qu'il y en a sur le clan : tout ceux qui veulent chanter berçeuse à l'envahisseur, qu'ils sortent du clan..Dans cette direction là, terres metzillane vous avez Calpan. Par la-bas, terres aztèques se situe Xaloztoc. Ici on est en résistance et on se battra jusqu'à la mort. Huamantla est orientale.Point.

Et de nouveau ce soir là, revoila le chef d'armée qui entre. Accueil à la Polya.

Ah tiens, vous deviez pas être parti vous ce matin ?

Rhooo c'est pas gentil ça Polya.

J'suis pas là pour être gentille, je constate.

Oui j'ai eu un petit problème et si je suis là demain matin c'est que j'aurais encore un petit problème...

Regard ironique de la calpullec.

Non mais il me prend pour une coincée du bulbe de Peyotl lui ?

Et encore une fois discours comme quoi il veut pas attaquer. Promenade de santé quoi. Polya c'est méchant personne répond à mon annonce.

Oui parce que non seulement tu pars pas mais en plus tu recrutes...

L'amazone est sortie de taverne et s'en va dans son bureau s'occuper des affaires courantes du clan. La résistance est en place et ne bougera pas. Il croit quoi que la défense va s'essouffler ? C'est des coriaces sur Huamantla faut pas croire. La meilleure défense de tout temps de la Province. Et oui, même cette vieille Pouchka l'a dit qu'c'était suicidaire que de venir s'attaquer à Huamantla. Et bien cette fois encore on faillira pas à la réputation du clan et on résistera jusqu'à la mort.

Troisième jour bien avant le lever du soleil, la prêtresse sort du temple où elle passe ses nuits à invoquer Huehuecoyotl qui la suit toujours comme son ombre en ce moment, et les Dieux protecteurs du clan. Elle s'avance vers les murailles et là ...Oh tiens, l'armée cuauh fait toujours du camping devant les portes.

Et nous..on résiste, encore et toujours, personne ne bouge de ses positions. Déterminée la calpullec, plus que jamais.

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Polya Matlazatecatl.Ex-calpullec de Huamantla(9 mandats)et ex-tatlocani (2 mandats).
Venuskingdom
[AXOTLA: après 3 jours de siège Metz]

La menace était double pour Axotla, les Metz d'une part et bien sur le grand aztèque déplumé qui voulait Axotla également.
Voici suite à la demande d'allégeance (entièrement rédigée en anglais merci pour nous autres joueurs francophone), de "l'empereur Aztèque" aux derniers clans orientaux, la réponse que Nunu leur avait faite.


Citation:
A son tour, Nunu fit irruption dans la grande pyramide.
Elle vit assis ici, un homme portant un masque d'or et parlant bien fort.

Il souhaitait qu'elle, entre autres, lui déclare allégeance au nom d'Axotla.

Mais en fait; pourquoi faire?

Y'a un truc qu'elle avait pas du suivre...
Toujours est-il que Nunu pour avoir appris jadis la langue aztèque, s'adressa à lui de la sorte

Heyyyy buddy!!!
You know what?
I'm Nunu, Axotla's calpullec (ça c'est la classe)

[Hey mon pote!!!
Tu sais quoi?
Je suis Nunu, calpullec d'Axotla]

And MY gods gave me the most wonderfull ass of the world!!
So if you want you can kiss my ass buddy!!!

But I'll never kiss yours!!!

[Et MES dieux m'ont donné le plus merveilleux cul du monde!!
Donc si tu veux tu peux m'embrasser le cul!!!
Mais je n'embrasserais jamais le tiens]

Nunu, se fit ensuite plus sérieuse et lui dit.

I'm proud to be an eastern tlaxc
I live being eastern tlaxc
And I'll die eastern tlaxc!

[Je suis fière d'être une tlax orientale
Je vis en étant une tlax orientale
Et je mourrais en étant une tlax orientale]

No way for me and for Axotla to become a part of your possessions!

[Pas moyen pour moi ou pour Axotla de devenir une partie de vos possessions]

Sur ce, Nunu tourna les talons afin de présenter son p'tit cul à Xuchimatzatzin.
Qu'il le regarde bien maintenant car il le reverra pas de sitôt!
Ce p'tit cul là appartient à Axotla

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Johnny59
Des vacances c'est vite dit, il est temps pour la Puch' de préparer son paquetage, les études attendront.
Un coup d'oeil aux courriers qui se sont entasser. Rappels d'impôts impayés, insultes en tout genre, nouvelles dont elle se fiche pas mal, le tri est vite fait. Ne reste qu'un courrier qu'elle s'empresse de lire.


Citation:
niltzé toi ,humm tu te cache aurais tu peur de moi?? une guerriére comme toi qui as peur d'un azté humm je te reconnais plus là .je suis passer dans ton clan,à deux reprise mais tu etais cacher qu'elle dommage j'aurais voulu de voire pour parler est peut être plus hein avant que l'un de nous meurt au combat ,mais j'éspere une chose que c'est moi qui te tue ou que tu me tue je serais ravie je vais revenire dans ton clan prochainement la j'éspere te trouver

ton admirateur joh^^


Fais moi mal Jouhny Jouhny, Jouhny ! Envole-moi au ciel !!! Niniiin niin.... Moi j'aime l'amour qui fait....

....Boum boum dans le p'tit coeur flétri de la vioque. Faut pas le dire, mais elle s'est attachée à cet énergumène. L'envoyer valser de son fief a été un plaisir, tout comme celui de le prouter dans l'arène. Les autres ont beau dire ce qu'ils veulent, le Joujou, il se relève toujours plus fort. Un guerrier en somme, un vrai.


joh etais la et etais content de voire que pouchka lui repondais
alors comme ça tu veux que je t'envoye au ciel?,je vait le faire avec plaisir, mais avant je voudrais en pti calin de toi juste pour que tu vois comment nous les atzéques fait l'amour .et ne me cherche pas je vais revenir pour toi juste toi et moi ,l'aisse moi juste le temps de faire quelques pti choses et tu vas me voire plus vite que tu le pense .et c'est vrais que tu ma viré et que tu ma proutre dans l'aréne, mais les temps on bien changer depuit ,et je vais te faire mal comme tu dit mais avant je vais te faire crier de joie tu vas connaitre un homme un vrais
Expéditeur : Pouchka , Cacique de Tord-Boyaux
Date d'envoi : 2010-02-24 16:00:33

Hoy ma crevasse !

Me voila bien déçue de t'avoir loupé à Quetzalapa. Ne crois pas que je cherchais à t'éviter. Je m'étais juste retiré au temple afin de reprendre des forces. Pour mieux te manger quoi !
Alors ? Tu es où ? Avec qui ? Quels sont tes projets Joujou d'l'amour ? Je pourrais peut être me rendre utile au sein de ton armée ! Vanille est d'accord, indique moi juste la route à prendre.

Que les Dieux fassent en sorte de te garder en vie jusqu'à mon arrivée. Quant à toi, contente toi de veiller sur ton joli croupion !

Petrouchka

sache que je suis pas loin de toi j'ais toujour un oeil sur toi sache le bien et j'ais pas besoin de la permission de vanille ou autre pour faire se que je doit faire la route c'est moi qui vas le prendre pour aller jusqu'a toi ne bouge pas je vais arriver trés vite comme j'ais dit oui je veux ta tête ,et je l'aurais mais avant sa un pti calin juste toi et moi hein humm je fait te faire boumm boumm tu vas voire et tu vas en redemander crois moi
joh repris ça route avec le sourire aux lévres
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