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coyotes chroniques

[RP] Les coyotes toute une histoire...

Ame_feline
[rp reservés aux joueurs coyotes et personnes qui sont amenées a les cottoyer lors de leurs escapades]


[le temps de la remise en question]

Voilà un départ retardé, et une féline comme on ne l'avait jamais vu. Elle était rongée par la colère... ce sentiment qui vous prend aux tripes et ne vous lâche pas tant que vous n'avez pas essuyer votre soif de revanche. C'est a l'écart de tous qu'elle se tenait, lasse, rongée par le dépit, acculée par la déception. Cette habitude qu'elle avait de finir ce qu'elle avait entrepris, ce jusque boutisme, son exigence exacerbée... Triste sentiment d'impuissance, avec en fond sonore une dinde braillarde se posant en donneuse de leçon une fois que tout était clos... "laisse la faire se donner en spectacle" lui avait on dit … "elle n'est rien, elle n'en vaut pas la peine"...

Allongée sur sa natte, le temps des question, bien trop de d'interrogation et la conviction qu'elle était encore trop jeune et trop tendre. La faiblesse d'avoir voulu croire que les gens changent, le regret d'avoir donner les clefs d'une assemblée a une personnes qui les avait lâché en route et qui venait à présent leur parler d'honneur ... La voilà face à la lassitude, devant cette éternelle rengaine de "faites ce que je dit mais pas ce que je fais"... comme une impression de déjà vu.

Meute, fidèle et unie qui avait tenter de la stopper dans son élan, jugeant qu'elle en faisait trop, qu'elle n'avait pas a faire ce qu'elle faisait. Que ce n'était pas son combat, ni même celui des coyotes... "que la province se débrouillent" avaient ils dit... "Tu n'es pas Tecuhtli" lui rappelait on a longueur de temps... "Reviens a tes premieres amours et occupes toi de la meute exclusivement" Et une dominante qui ne répond pas... bien sur ils ont raison... mais elle est une coyote fidèle a sa province et ne peut s'y résoudre …

Féline, prétentieuse et imbuvable féline que tu es sourde et obstinée. Cette étrange sensation qui te guide... si tu ne le fais pas qui le fera.... d'ailleurs personne ne l'a fait... Peut être ne l'ont ils pas fait parce que tu le faisais.... tu en fais trop, tu en fais beaucoup trop, tu en fais toujours trop... Les coyotes le savent ils, oui bien sur ils l'ont compris... elle ne supporte pas l'échec. Bien sur qu'on ne peut tout contrôler, pourtant a cette instant elle le voudrait. Elle le veut parce qu'a s'être tant battu que chaque échec serait perçu comme son propre échec. Bien sur qu'on ne peut sauver ce qui ne veulent pas l'être ou ne s'en donne pas les moyens.... pourtant elle essaye encore et toujours.... chaque essaie engendre son lot de frustration... avec en conclusion la déception de n'être qu'une femme.

Lasse, sur sa natte, elle ferma les yeux... une féline comme on ne l'avait jamais vu, une femme faible en proie aux doutes... qui eu cru que ce fut possible.
Ascalion
Ascalion, au détour d'un chemin, aperçut Ame feline, allongée. Pensant qu'elle avait besoin de calme, il n'alla pas la déranger, et continua son chemin.

Mais cette vision le fit réflechir. Il marcha alors sans vraiment y faire attention...

Ascalion, jusqu'à la création des coyotes, avait souvent voyagé avec Ame feline. Avec elle, ils avaient ramené de la nourriture pour la province, ils avaient même pris un Calpulli.
Aujourd'hui, Ascalion et Ame avaient des chemins légèrement différents. Mais, elle Coyote, lui Aigle, ils avaient les mêmes objectifs : la défense de Cuamantzingo et le pillage des ennemis.

En ces jours troubles, Ascalion ne comprenait pas. Lors de la défense de Cuamantzingo, elle fut LA guerrière, celle qui organisa, celle qui motiva, celle qui défendit. Et pourtant... Certains arrivaient à lui faire des reproches, après tout ce qu'elle avait fait pour le clan, alors que plus au nord, un clan Occidental était sur le point d'être pris d'assaut, par la faute de ceux qui n'avait pas écouté la Coyote.

Ame n'était plus la même, dorénavant. Ascalion avait l'impression qu'elle avait perdu sa hargne, sa conviction, et sa détermination. Elle n'en pouvait plus.
Ame n'avait strictement rien à se reprocher. C'est une guerrière remarquable, qui parait dure mais qui a en fait une fine carapace. Cette carapace, les mécontents avaient réussit à lui percer. Comment pouvaient-ils oser ? Elle qui ne demandait rien, ni reconnaissance, ni gratitude, elle qui, pourtant, s'acharnait à défendre le clan et à porter l'honneur de la province occidentale au sommet.

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Aiguebelette
Aigue tournait en rond depuis quelques temps ! Elle voulait un second champ mais ceux qu'elle trouvait, ne lui plaisait pas ... bref elle commençait à s'impatienter !

Depuis quelques temps elle voyait Ame s'éloigner, revenir, être solitaire ... elle avait de l'admiration pour Ame, c'est grace à elle qu'elle faisait partie des coyotes ! Elle lui avait fait confiance dès le début sans vraiment la connaitre ! Aigue lui en était reconnaissante, elle aurait aimé lui parler mais voilà ... lui dire quoi ? de toute façon Ame était plus tétue qu'un lama en colère et parlait très peu .. et puis quand même, qu'aurait-elle pu lui dire ? rien ... Aigue n'était pas une blablateuse, elle savait pas parler, discourir ... y'a des gens qui savent causer et d'autres qui savent pas, Aigue faisait parti de la deuxième catégorie !

tout en cherchant LE champ qui ferait son bonheur, Aigue croisait souvent Ame et lui demandait à chaque fois en passant * " ça va ? " * en voyant bien qu'ça n'allait pas mais elle le demandait quand même au cas ou ....
Sacha
[Inquietude pour la chef coyote]

Sacha voyait la Feline se tuer a la tache,organiser tout pour le bien de notre province.
Tous les coyotes voyaient Feline de plus en plus solicitée par le Tatoclan,elle fesait de son mieux alors que certaines personnes n'étaient même pas digne de faire partie de ce Tatlocan.
Ceux çi ne fesait pas leurs boulots correctement apparement car Ixtenco était en grand danger alors que l'alerte avait été donné il y a 5 jours maintenant,ces chiens et chiennes venus d'orient avaient franchit la frontière prêt a en découdre avec les guerriers occidentales.
5 jours que Féline ne fermait plus l'oeil,se dévouant corp et ame pour le bien de son peuple,de defendre l'Occident du mieux qu'elle pouvait mais apparement la Feline était lasse du manque d'appuis de certaines personnes.
Sacha n'arrêtait pas de lui répeter:


Feline les coyotes ont besoin de leur guide
Tu n'es pas Tecuhtli
Si tous les guerriers qu'il soit aigles,jaguars,coucou,coyotes et..... n'enfilent pas leurs tenues de combat et se battent ensemble pour la victoire des notres,que l'on nous donnent pas toutes les cartes en main pour vaincre que la province se débrouillent.
Reviens a tes premieres amours et occupes toi de la meute exclusivement
On a besoin de toi et tu sais que si on doit aller au feu nous le ferons ensemble.


Sacha regardait Feline dont le regard regardait l'horizon mais dont rien ne sortait de sa bouche,il savait qu'elle était bien trop fière.
Puis elle se coucha sur sa natte et ferma enfin les yeux après 5 jours sans la moindre petite minute de répit.
Il l'a couvrit d'une peau d'un lama en espèrant que son sommeil, oh qu'on bien méritée soit réparateur et lui porterai conseil pour montrer la voie a suivre de la meute.
Celle çi avait besoin de la Feline.
Oulaup
Sacha avait recouvert Feline… enfin elle s’était endormie…
Restée seule avec elle, Oula, se laissa tomber sur le sol… assise en tailleur, la regardant de face, elle la vit doucement se détendre dans le sommeil…

Ce qu’elle est belle la grande coyote!
Féline… oui, elle l’est ! comme c’est grands fauves minces, aux yeux étincelants, solides sur leurs pattes et dans leur tête, qui jaillissent de nulle part, dents et griffes en avant, lacérant la proie dont la viande sera partagé « à la maison »…

Un sourire effleura les lèvres de la jeune guerrière… en chuchotant au plus bas qu’elle puisse, elle se mit à lui parler...


Ame…T’es notre grande sœur… sans toi que serions-nous ?... une meute sans âme, un foyer sans mère…

Ame-Feline, notre mère à tous ! Mais… si tu es notre mère à tous… tu es aussi la mienne… Et si tu m’engueules… Et si tu es dure avec moi… Et si tu me files des tapes sur la tête quand j’oublie quelque chose… c’est parce que je suis la plus jeunes de tes filles… la P’tite, comme dit Amitola… la Souris… et que tu veux que je réussisse… tu fais ton rôle de mère !


Le visage d’Oula s’illumina…

Ca, Féline je ne l’oublierai jamais… tu m’as prise avec toi, tu m’as donnée ma chance… tu me dresses comme un jeune chacal… tu m’as fait confiance… je ferai tout pour te montrer que tu peux être fière de moi… Et Sacha m’y aidera…

Mais t’as pas fini ton travail… j’suis pas encore bien dressée… j’ai besoin de toi… de toute façon... j’le s’rai jamais complètement, alors faut pas m’laisser tomber…


Elle posa un tendre regard sur la belle endormie..

C’est grâce à toi si maintenant j’ai une famille…
… se releva, déposa doucement un baiser sur le front de "de sa chef" et sortit sans faire de bruit…
_________________
NK=NK, RK=RK, here it's NK don't forget it-NK=NK, RR=RR, ici c'est NK, ne l'oubliez-pas!
Naysa
Sortie du temple où Naysa avait passé son temps tirer les cheveux de Zenka, quand elle pensait pas à certains mots qui volent… Elle était un peu beaucoup à l’ouest. Il s’en était passé des choses durant leur absence aux deux sœurs…

Passage rapide devant le calpulli, histoire de se tenir au courant un minimum. Soupire de soulagement en voyant que son beau frère était toujours calpullec : Les orientaux s’étaient cassés le nez face aux défenseurs cuamantèques…

Léger pincement au coeur, pour la première fois elle n’avait pas pu être présente aux côtés des coyotes. Elle aurait voulu avoir un esclave orientale, ça fait chic… La prochaine fois surement.

Retrouvailles avec une partie de la meute, triste de voir que les autres étaient partis… Une certaine présence qui allait lui manquer…

La Féline lui explique qu’un des envahisseurs avait voulu la prendre en tant que prisonnière de guerre. Haussement de sourcil de la jeune femme, perplexe


Z’ont pas compris qu’ils avaient perdu ? les esclaves c’est pour ceux qui gagnent…nous quoi.

Large sourire quand elle apprend que la meute allait bouger. Au bout de trois jours de « méditation » au temple, Naysa avait des fourmis dans les jambes.

Elle déchante très vite : faut rester à Cuamantzingo pour défendre au cas où… La jeune femme n’ose pas trop râler devant une féline en baisse de morale, choses qui arrivent…

L’ambiance n’est pas au beau fixe, tout le monde regarde ses sandales (pour ceux qui en ont quoi), soupire. Un silence pesant auquel elle était pas habitué… Les coyotes étaient tous turlupinés par quelque chose ou par quelqu’un…encore.

Envie soudaine de retrouver le calme du temple. Enfin le calme, quand Zenka ne ronflait pas.

La présence de Nemesiss lui faisait du bien, bien qu’elles soupiraient toutes les deux en cœur. Nostalgiques, les deux jeunes femmes repensent au temps des tlaxcatrotteurs. Epoque où elles étaient insouciantes, loin des histoires de cœur, de corps ou encore de notoriété… Elles en parlaient comme si ça datait alors que c’était il y a pas si longtemps que ça…

Une pensée pour le vieux Ho aussi, ce vieil homme qu’elle avait adopté et qu’elle avait perdu on ne sait où. Elle s’en veut, peut être que si elle n’avait pas couru après des plumes ba le vieux Huéhué elle l’aurait toujours.

La Naysa écarquille les yeux quand elle apprend la mort d’un des leur. Koresh avait décidé de mourir en cachette. Elle quitte rapidement la taverne pour se retrouver aux pieds du dit mort.


hum c'est quoi ces rumeurs qui courrent sur ta mort toi nanméo?!!

ouais j'suis mort

si tu reviens pas à la vie illico je te tue !!


Pas étonnée de voir un mort parler, elle en avait jamais vu en même temps de mort et il le faisait bien. Complètement consciente de l’absurdité de ses propos, on ne peut pas tuer un mort, Naysa pense que ça pourrait le faire peur et que peut être ça le déciderait à venir… Elle le menace même de pleurer, de le hanter : Naysa, la vivante qui hante les morts.

Alors, tu reviens ?
aucun respect pour les morts 'jte jure
T'es pas vraiment mort !
Ba si ça s’voit pas ?
Euh nan…mais ça se sent un peu oui.

Elle grimace un peu, c’est vrai que ça sentait un peu la décomposition autour…

Bon tu restes ?!!!
Nan laisses moi crever steplé
Heu nan, je veux pas


Elle lutte encore longtemps, elle essaie même le tatouage de confiance. Elle lui dessine un pécari sur le bras gauche, lui il y voit un cœur. Faut dire que la mort n’a pas l’air de lui réussir au coyote. Il lui parle d’un vers qui se promène dans son cerveau et qui lui fait faire n’importe quoi, le pauvre homme…

Dans un élan de pitié elle lui dépose un baiser sur la joue et là elle voit qu’il reprend un peu de couleur le mort. Décidée à le faire vivre elle lui en dépose un second, puis il lui en demande sur les lèvres et malgré l’envie de vomir qui lui prend les tripes ba elle le fait… Ce qui faut pas faire pour un frère quoi... Voilà que le coyote se lève, qu’il revit… Le mort vivant réclame du pulque, elle lui en donne..

Bonne action de la journée et découverte d’un don


Pfiou je fais revivre les morts !!


La pauvre en est persuadée, laissons la rêver hein...
Ame_feline
[plus tard dans la soirée ]

Réveil difficile, de ces moments ou l'on scrute ce qui nous entoure, étonné de se retrouver a cet endroit précis..... Ses mains frottent vigoureusement son corps engourdi, et toujours cette sensation désagréable qui ne la lâche pas. Contrainte de se rendre a l'évidence que ce n'était pas un mauvais rêve ou une mise en garde des esprits, mais bel et bien une triste réalité, elle se lève.

Étonnement à la vue d'une meute venue veiller le sommeil de la dominante... regard attendri vers ses compagnons d'infortune et une question s'impose... les coyotes étaient ils liés au point de sentir le desaroie de l'un des leurs, ou étaient ils juste venus la protéger des orientaux qui la voulaient captive.... Enjambant les corps assoupis de son pas félin, la démarche chaloupée, elle s'en va querrir son Tlatoani... nul doute qu'a cette heure sa reine des dindes* doit la chercher.

Elle n'avait pas eu le temps de pénétrer dans la pièce que cette dernière la saluait... elle arqua un sourcil un rien perplexe sur ce qui avait trahi sa présence. Petit ronchonnement coutumier avant d'arguer.

Dis moi que tu as un alcool fort.

Et c'est sans mot dire que les serviteurs de la reine des dindes* servirent les deux femmes avant de les laisser a leurs affaires en toute confiance... avaient ils raison … Un quelque chose d'étrange liait les deux femmes. Ils leur avaient fallu peu de temps pour comprendre qu'elles aspiraient souvent aux même choses... que ce soit en matière de mâles, de politique ou de guerre. Pourtant leurs voies différaient en tout de points... D'un ton sec et respectueux la féline engage la discution.

Je suis tellement en colère.
Oui, je te comprend.
Je t'amène les nouvelles d'ixtenco.
Je t'écoute....
Mifha a organisé la défense et transmit aux autochtones ce que je lui ai demandé de transmettre. Aucunes nouvelles de Pluiedumatin.
Mifha sait que demain si la defense a tenu il doit rappeler a defendre tant qu'ils ne sont pas partis ... les clans environnant sont en alerte...

Bien. L'appel aux conscrits est lancé.
Je croyais que Ramsay avait démissionné ? En pleine attaque, le voilà démissionnaire... et dire que des occidentaux ont votés pour ça...
Mon époux a pris le relais... cesse de t'inquiéter... Ramsay avait fait le nécessaire.
Pas un clan ne doit tomber … question d'ego, question d'orgueil... voilà cinq jours que je les assène tous d'avertissement et leur répète que nul n'est a l'abri.
Aucun clan ne tombera....
Les moyens employés ne les honorent pas... ils appellent a la révolte a coup de mensonges éhontés

Le visage amusée de Lauratacc au son de ses derniers propos engendra un fou rire chez la Coyote et elle sirota sa coupelle avec amusement, déjà bien plus détendue.


* copy right deposé : la reine des dindes est lauratacc, feline la surnomait ainsi, uniquement en privée au temps ou cette derniere etait Tequitlato. Avis a toi lecteur ton personnage ne peut le savoir
Atila_caligula
[Acidité matinale]

Atila ouvrit un oeil glauque. Sa dernière soirée Cuamantèque ne serait pas la plus mémorable.
Son ardoise pour quitter les Coyotes avait eut pour réponse son éviction immédiate de la tente où ils se réunissaient. Tout à fait normal mais il ne s'attendait pas à cette promptitude.
Toute la soirée il avait senti les sombres pensées flotter audessus du clan.
Trahison, condamnation, fuite, opportunisme... les reproches ne manquaient pas.
Penser ce n'est pas son fort, au Lama Mouillé... Alors il grave.. Au moins ça c'est concret. Ca se mange pas, certes, et il a faim le Grand. Mais ça se relit, et ça s'envoie... avec élan c'est même assez percutant.


Citation:
Suite à cette bataille -qui mériterait d'être nommée, mais vous êtes probablement trop occupé à compter les quetsches pour une tâche si vulgaire- qui vit les clans d'occident résister aux attaques venues de l'est, ma conviction est faite.
Ma place n'est plus chez les coyotes.
Je suis né à l'Est, dans le clan de Ixmachin, que j'ai quitté pour deux raisons.
La première c'est que ce clan a un nom vraiment trop imprononçable.
La seconde c'est Feline. Inutile d'en dire plus, je quittai ami et champs pour devenir coyote et changeai de province.

Aujourd'hui je retourne parmi les miens, oui, ces chiens d'orientaux comme vous dites.
Puisque vous voulez du racisme primaire et stupide, je vous le laisse.
Les orientaux sont ni plus ni moins vos freres que ceux de Nopa ou Mazapa.

A moins que les coyotes ne se sentent vraiment la fibre patriote, auquel cas, ce ne sont plus des coyotes sauvages mais des chiens bien dressés.

J'en ai plein la couenne des insultes ineptes sur orient/occident. Les Conseils c'est de la foutaise (j'ai eu beaucoup de mal a trouver le pictogramme pour "foutaise"), comme les serments, les provinces et le patriotisme.
On est un peuple, il y a des clans, des assemblées de guerriers, et c'est tout ce qui compte. Que les Aigles se poutrent avec les coyotes ne me choquerait pas davantage que ce que j'ai pu voir.


Acide oui. Il l'était assurément.
Mezcal
[Nopalucan, trêve et morne plaine]

Cela faisait maintenant quelques jours qu'il avait regagné Nopalucan, laissant la meute à Cuamantzingo. De son clan il ne reconnaissait plus la ferveur d'antan, celle de la réunification. Le peuple vivotait oisivement en taverne ou errait à travers les rues et bâtisses éparses. Comment ça la guerre ? Ça sert à rien on risque de mourir, je vois pas l'intérêt. C'est légal tout ça ? C'est quoi les Coyotes ? C'est où l'orient ?

La troupe de bulots (sic Nem) Nopalutèques faisait rage et ravages au sein du clan. Tout en dehors de celui-ci leur semblait inconnu, comme un monde parallèle infernal où des gens vivaient vraiment et se battaient. Et dans ce marasme d'inutilité il avait retrouvé une jeune et belle guerrière à qui il avait déjà proposé de le rejoindre -pas encore sur sa natte- quelques temps plus tôt. Il la trouvait sage et en retrait mais fine et habile, volontaire. Elle avait accepté, décidée. Elle rencontrerait la meute bientôt.

Et de Cuam lui parvenait des rumeurs d'ambiance morose. Celle d'après guerre lors de laquelle tout n'avait pas été clair et sain. Le départ du géant pour d'autres cieux, aussi. Dommage Mezcal l'estimait de valeur mais sans doute trop différent. Il le pensait aussi trop instable et dans l'incapacité de faire entendre sa voix -pourtant intéressante- jusqu'alors inaudible.

Mais aujourd'hui s'annonçait bien, serein. Pourtant aux aurores, il avait traîné au marché où la mollesse prévalait aussi. Était-ce déjà le temps de l'opulence ? Des fourmis plein les jambes il décidait d'aller s'entretenir dans la Pampa avec deux guerrières, en attendant de retrouver ses frères et sœurs coyotes, toujours bien vivants et décidés. Insatiable coyote.

_________________
Guerrier Coyote.
Zazanilli
[Cuamantzingo, sirotage pensif]

La Vérole restait.
A ses deux Faux-parents, elle l'avait dit. Et ses deux Faux-parents, ils partaient. Trouver autre chose, changer de cap. La petite, engoncée dans son cap à elle et qu'elle choyait de tout l'amour que son coeur de peste pouvait émettre, n'avait pas envie d'en changer. Du moins pour le moment.

La Rose quittait tout, son Homme qui pue quittait tout.
Elle était sure que cela s'était fait, et décidé par eux-mêmes, sans tenir compte du tout des autres.
Quand ils étaient en taverne, les coyote se tendaient. Son Homme qui pue devenait silencieux. La Rose regardait ses cheveux.

Qu'est-ce qu'ils ont les coyotes ? Ou plutôt que sont-ils...
Une bande de guerriers qui sous leur gros muscles et leurs parades amoureuses ne sont qu'en fait des femmes qui soupirent et hommes qui se lassent. Et en plus, ils puent le chien.
Mais ils pouvaient être amusants.

En tous les cas, pour la nattée, la meute était le parfait exemple pour démontrer que c'est largement mieux de rester enfant. Les femmes coyotes sont trop fières pour demander de l'aide à leur frères de meute, ou soupirent d'amour pour quelqu'un qui partira bien vite -ou qui est parti bien vite, aussi-. Quelle idée de finir ainsi !
Elle imaginait déjà la Féline ridée nourrissant ses toucans, la maigrelette asseyant ses os cassants sur sa montagne de quatchlis, Naysa vieillie portant partout son air blasé, Nemessiss émettant des râles on ne peut plus écœurants, Oula âgée gardant sa naïveté et son pas chaloupé.
Et c'était pas charmant.

Enfin, la Rose allait tailler son bout de chemin de son côté, le géant du sien. Parents qui partent chacun de leur côté. Fausse-famille écartelée.
La Vérole, elle, s'était mise au chocolat. Et le pire, c'était qu'elle aimait ça.


Un autre verre !


Sirote.
Zenka
[ tu t'es vu quand t'as bu?]

Pulquée (ivre quoi) la Zenka crevarde était sortie de chez les pretres, mine nonchalente, l'estomac qui criait famine, car deux jours sans tortillas pour elle c'est la MORT!

Puis une grimace lorsqu'elle entend les coyotes parlaient de revolucion, de matage de rebelles, des orientaux des occidentaux , bref, plein d'histoires qui laissent la jeune crevarde envieuse, jalouse, et chiante....

Elle qui voulait revolutionner, elle qui voulait pousser son petit cri de guerre : aïe aïe caramba viva revolucion, bien c'était MORT!

Elle entre dans les cavernes, elle essait de suivre les conversations, mais tout d'un coup la triste realité lui revient en pleine face, elle n'était pas presente, donc difficile à suivre et comprendre, sa Naze de soeur elle s'était vite fait remise dans le bain delirant des coyotes...


Faut revenir dans la course , mais la course contre quoi ? contre qui?

Zenka revasse dans les mines, puis elle regarde de loin la meute, des nouvelles têtes, des plus anciennes, des orientaux des occidentaux, mais bon elle avait encore du mal à reperer la difference, pour elle tout le monde était pareil, une assemblée d'hommes et de femmes affamés un peu comme elle, qui luttaient pour survivre, loin d'elle la guerre pour le pouvoir, juste la guerre pour manger et le plaisir de taper sur tout le monde sans raison valable.


Avec le temps, Zenka avait pris de mauvaises habitudes, par exemple elle se mettait près de Naze sa naysa, puis se blottissait contre elle et ronroner?! Elle était passée où sa haine contre elle, sa rage , peut-être qu'elle n'avait plus de goyave pourri à distribuer en pleine tronche de ses compagnons de meute, peut-être mangait-elle à sa faim, et qu'aujourd'hui sa seule preocupation était son rêve de vider son sac de voyage 400 quachtlis à transferer, elle savait que c'etait ses intouchables... de quoi faire "bisquer" les brigands genre :

regarde regarde, même pas en rêve que tu toucheras mes Q!!!



Proposition juteuse de Naysa:
"Zen tu viens avec moi on va brigander!!!!"
"nan j'ai la poisse la naze , je veux pas crever, j'ai pas que ça à faire moua!"
"zen vas-y espece de sorcière"
" NAN NAN j'ai dit!"

Zenka refusait de suivre sa soeur et le groupe, elle voulait se la couler douce dans les mines de cuam.

Dans l'attente de partir en mission... revolutionnaire....
Lauratacc
[Au petit matin]

Elles avaient bien bu, étaient restées éveillées l’une et l’autre attendant les nouvelles des clans. Lauratacc savait que les clans auraient du gérer tout cela seul, mais elle n’avait pu se résoudre à ne rien faire, même si cela ne représentait qu’une petite goute en comparaison du travail accompli par Féline. Mais les Calpullec restait bien silencieux… Elle regarda Féline, elle ressentait la tension, la fatigue de ces derniers jours. Laura espérait au moins être un soutien pour son amie…

Je pense que nous avons une taupe.

Oui comment pouvait-il savoir… mais qui ?


Pensive elle demande à ce qu’on les réserve de boisson. Cette impression de ne rien pouvoir faire, cette impression d’attendre et ne pouvoir qu’espérer la rendait nerveuse.

Balarion a l’air de t’apprécier.
Elle rigola.

Oh presque tous les hommes de ta famille rêveraient de m’avoir dans leurs huttes.

Grand sourire


Tous les mêmes… ils mettent plus d’énergie à vouloir t’attirer dans leur hutte au lieu de s’occuper de leur clan !

Féline rigola ah ! tu trouves aussi !

Lauratacc se leva et fit quelques pas, la chaleur était intenable dans la hutte, elle sentait des goutes de sueur perler sur son front.

Il va falloir que je rencontre Chuichian et que j’écrive à Kornu ! Nous devons mettre un terme à tout ça !

Elle aperçu un petit sourire de satisfaction de Féline.
Zenka
[la promenade des coyotes...se degourdir les pattes? ....mais ou ? DESTINATION SURPRISE!!!!]




Zenka s'accroche au lama de la chef de meute telle une puce ou un tic qui est encore plus laid mais bon...
Elle ne sait pas où elle va , mais pourtant elle suit le mouvement, elle s'endort profondement, après avoir mangé des haricots frais vendu par Ame la genereuse, qui tend la patte à l'assisté qu'était devenue la crevarde, oui oui, pourtant la crevarde poisseuse luttait contre l'assistanat pourtant elle était paradoxale, car sans la meute des coyotes et sans naze enfin Naysa sa soeur, elle serait 6 pied sous terres ,ou bien au septième ciel à danser et se pulquer avec les dieux, mais là actuellement elle survivait, puis elle suivait la meute.

Quelques secousses durant le voyage, et la voila reveillé de mauvais poil, puis avant de raler et de dire :

MAIS OU QU'ON EST Là!!!! SIOUPLE je veux faire une pause caverne je veux manger et me pulquée!!!!!
c'est mort!!! la cervarde regarde autour d'elle, il fait noir, il y a que la forêt, et les croissement de corbeaux ou de coucou, triste realité, la crevarde et la meute sont sur un klik , mais ou??

Elle commence à paniquer...

WAOUH!!!! les sauvages, les traitres, c'est quoi cette destination, j'ai plus que deux zaricots!!! je vais me les manger là desuite , puis demain y a interet que vous m'amenez dans un clan vivant avec des cavernes , des marchés, de la BOUFFE!!!! SINON JE CREVE!!!!! PICETOUT!!!! puis je veux...revolutionner...moua...


puis elle attend une reponse et imagine celle de Naysa:

CREVE LA CREVARDE, BON VENT QUE LES DIEUX T'EMPORTENT!!!
puis elle decide de fermer sa gueule de coyote affamée et perdue et chiante ...

mais où suis-je qui suis-je? ............telle était sa question...
....
Ame_feline
[retour de balade]

Ils partirent 35 et ils revinrent tout pareil mais en vainqueurs et le devoir accompli.

Et voilà une partie des coyotes quittant Cuamantzingo en compagnie des aigles. A peine les premiers pas engagés que la bonne humeur, les tambours et les chants remplaçaient la morosité qui s'était installée a force d'inactivité. Les voilà partis pour 12 jours.

La féline était on ne peut plus ravie de la présence des aigles. Ils en voulaient, ils étaient remontés.

[ Rencontre avec sa majesté]

Telle une horde affamée, coyotes et aigles avaient fait le plein de marchandises et denrées en tout genre à Itzohcan. Malgré les faibles quantités achetées par chacun, leur nombre avait fait que le marché fut complètement vidé. Imposant et hiératique, Xuchimatzatzin, procureur de la province mais aussi roi de celle ci, se voulant roi des aztèques, se présente a elle. La féline est immédiatement captivée par la lueur étrange de son regard. Elle le sait, elle le sent, ce mâle est dangereux... et elle ne s'y trompe pas. Regard mutin et sourire enjôleur du chat sauvage ... il n'en faut pas plus pour que l'homme se découvre pour l'aborder plus ardemment encore. Le coquin a un énorme point faible, son désir de kisses... Coyotes et aigles ne seront pas en procès, et ce, en échange d'une bise sur la joue. S'en suivront nombres courriers et toucans innocents... si si.

Ils n'avaient pas remarqué qu'ils étaient suivis par un groupe d'orientaux, mais quand le constat fut fait, Mezcal et Féline décidèrent de changer de cap et de cible. Puis ils étaient unanimes, se venger de l'attaque d'Orient ne ferait qu'attiser les haines entre les deux provinces sœurs de tlaxcalla. Et il ne fallait pas, il ne fallait plus. Ainsi, Mezcal donna le ton, les troupes iraient en aztequie, afin d'instaurer le Tonalamalt mittyque.

[Olintla]

A peine le pied posé en le clan, que raisonnait partout les tambours.... puis un cri immense de Zenka transperçant murs et tympan « VIVA LA REVOLUCION ».

Et Olintla chuta.

Lightnicolas déchu, la féline avait pris sa place, il avait allègrement pillé son propre clan. La situation n'était pas catastrophique mais clairement désespérée.

Mezcal, Féline, Zumo, Ruixentée, Menion et Alexius se mirent en quete du Tlatoani, afin de lui remettre le Tonalamalt. Après de courtes négociations ils l'acceptèrent... et ce fut la une deuxieme victoire. Tout allait pour le mieux, et même mieux que prévu... mais c'était sans compter sur l'arrivée du grand Mittys.... la féline souriait encore a ce souvenir... Mittys, a peine avait il ouvert la bouche que la province aztèque leur déclarait la guerre.

C'est ainsi que les Aigles et les Coyotes partirent, laissant Olintla a sa propre déchéance, retirant toutes offres d'aides militaires et financières qui avaient été faites... Et avec la promesse de revenir bientôt... très bientôt. Les olinteques ne voulaient pas voir partir les aigles et les coyotes, les olinteques voulaient les suivre et devenir Tlaxcalteques...

[sur le retour]

Salopiot de Chuichianoc qui leur avait assené a tous, ou presque, une cuite digne de ce nom et même plus si affinité. C'est donc en rampant que les coyotes traversent la province orientale.... ramper c'est quand même beaucoup plus stable et moins dangereux sur les ponts de singes.. même si la progression est plus lente.

Ils avaient croisé Atila et les retrouvailles furent une fête, celui ci c'était mis a pied d'oeuvre et en orient on murmurait déjà que les coyotes du levant étaient.

Sur les chemin, ils avaient rattrapé et récupéré la bleuté. Cette dernière avait l'air ravie de son séjour oriental... elle avait elle aussi effectuée sa quête.

Les voila donc de retour et dans la pampa, sur leur passage, ne résonnaient que leur rire, leur chant et leur bonne humeur...
Oulaup
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