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[RP ouvert à tous] Au détour d'un buisson...

--Soeur_helene
Sœur Helene avait prétexté vouloir rendre visite aux pauvres pour aller dans un bosquet voisin. Elle était belle et jeune, son père l'ayant envoyée au couvent fort tôt, à dix huit ans, et malgré sa robe raide et sévère noire accompagnant sa coiffe, ses belles courbes ressortaient davantage.

Il régnait une température agréable dans les bois, elle s'écarta du chemin tracé et s'enfonça entre les arbres, quand elle fut sûre que personne ne la verrait, elle entendit quelqu'un l'appelé à voix basse.


Pssst!faisait la voix.

Elle s'approcha et l'homme en face d'elle lui dit:

Vous êtes venue, Helene...

Elle l'avait rencontré lors d'une de ces visites au couvent, il venait donner un message, régulièrement à la Mère supérieure. Elle avait demandé qui c'était à Sœur Marie-Thérèse et elle lui avait répondu qu'il était étudiant de lettres et de droits, poète à ses heures perdues.

Elle sut qu'elle lui plaisait au clin d’œil coquin qu'il lui fit et au billet qu'elle reçut un mois plus tard: "Belle inconnue, venez me rejoindre demain dans les bois, je vous ferai croquer la pomme de la connaissance." C'était signé " J.S.".

Elle était curieuse de savoir ce qu'il entendait par là, aussi, elle alla le rejoindre à son rendez vous. Il était là, à attendre. A l'attendre. Il lui sourit, lui fit une oeillade coquine puis passa à l'attaque. Il la prit par la taille, la plaqua contre un arbre en lui massant les fesses et coupant court à ses vaines protestations, il l'embrassa en pleine bouche. Il l'embrassait avec fièvre et lui engouffrant la langue dans la bouche.

Elle ne résista pas bien longtemps, en se disant qu'elle n'avait jamais rien connu de si bon. Il s'appuya contre elle en la collant un peu plus à l'arbre.
La belle ne put résister plus longtemps et s'abandonna à lui. Il lui malaxait les fesses en lui léchant les lèvres et ensuite, en lui plantant des baisers dans le cou.

Il lâcha ses fesses et s'attaqua à la rangée de boutons verticale courant du cou, le long de sa poitrine, jusqu'au bas de sa robe. Il les défit, avide et plongea son visage dans sa poitrine généreuse. Il passa sa langue sur ses seins presque dénudés, fit le tour d'un téton puis abaissa son pantalon. Il la souleva de terre et la colla à lui. Il pénétra et elle cria:


Oh ouiiiiii, Jesse, inondez-moi de votre savoir!

Il commença des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapide. Helene poussait des gémissements de plaisir étouffés, de même que son partenaire. C'était comme si elle était possédée par elle ne savait quel démon, mais elle prenait énormément de plaisir à ces choses inderdites.

Ses pieds ne touchaient pas sol, Jesse la portant, son visage toujours dans sa poitrine. Il la redéposa à terre, sans la lâcher et ils roulèrent dans l'herbe tendre, lui la chevauchant. Il menait la danse, une danse rapide et intense. Leurs corps entremêlés semblaient ne faire qu'un.
Enelos
[«On va trouver des champignons magiques dans la forêt...»]

Et c'est complètement vexées qu'elles sortirent de l'échoppe en exposant des constatations outrageuses sur le monde qui se fondait dans sa niaiserie, souvent coupées par quelques hoquets. Sans blague accueillir avec un sourire jusqu'aux oreilles les deux blondes qui ont mis la pagaille dans tout le magasin en prenant l'échoppe pour un apothicaire, il n'y a vraiment que les bergères pour ce genre d'idiotie. Enelos était vexée. Oui, vraiment. Elle regrettait le temps où on lui envoyait une salve de jurons pour l'em...bêter en retour. Ces téméraires ne recevaient rien d'autre que des rires moqueurs comme réponses, ceux qui bien sûr, les énervaient encore plus. Et c'était ça le meilleur ! La blonde s'amusait des échecs de la gente humaine pour la faire craquer. Rien de mieux de l'ignorer pour la vexer et la faire sortir de ses gongs. Et la "tisserande"(j'suis sûre qu'elle cache d'la drogue dans son froc) avait royalement ignoré leur pagaille. Les béquilles se vengeaient sur sa propriétaire qui avait bien du mal à les dompter.

Bref, après le passage"Les blondes cherchent un apothicaire" le chapitre "Les blondes chassent le champignon" débutait pour de nouvelles aventures "féérico-sensationnel" en compagnies de deux donzelles à la chevelure de blé (ça fait très poétique). Vaillance, fierté, grâce, courage, habilité et classe vous attendent dans cette nouvelle épopée extraordinaire. Accrochez vous à vos chaussettes, ça va décoiffer sec : deux silhouettes bancales se découpent dans un fond de forêt noire où des rayons timides de l'astre viennent cogner contre leurs chevelures donnant un effet fantomatique à leurs crânes, et qui donnent une espèce de symbole quant à l'ouverture des voies de la perception à l'aide des champignons magiques. On dirait que la nature a décidé de faire de leurs excursions un moment fard de la vie. Comme si elles allaient découvrir quelque chose de magique... Un grand tournant pour le monde... Han voilà ! Elles ont été touchés par le destin ! Voyez le tableau, deux banales jeunes femmes incomprises par cette société, rejetées, mal-aimées voir détestées par les autochtones. Mais le Très-haut en a décidé autrement : elles doivent sensibiliser les humains. Ouha c'est kitch... Je serais presque tentée de rajouter un ralentit en fondu de noir.

Il y avait plus qu'à s'y mettre pour assurer la cueillette.


Ohhhhhhh !
-C'quoi c'bruit ? *hips*
-On dirait un écureuil en rut...


Le Maître haussa les épaules tandis que son poignée dirigeait d'une poigne de fer sa canne parmi les feuilles mortes à la recherche de champignons, alors que sa comparse blonde s'extasiait devant un gland. Des deux, Enelos était la plus lucide. Du moins, tout est relatif.

HAAAAAAAAN OUI !

Cette fois-ci l'artésienne releva brusquement le menton en jetant des regards furtifs autour d'elle. Non non désolée, mais elle persistait à croire qu'il se tournait un truc pas louche dans cette forêt. Dès son entré dans le bois, elle avait senti un espèce de picotement dans la nuque. Intuition féminine développé par l'alcool peut-être ? Dans tout les cas, ça ne tournait pas rond dans le coin. Un loup-garou allait sûrement surgir d'un buisson et lui dévorait la cervelle tandis qu'un pigeon mutant donnera des coups de bec atroces à ses beaux yeux. Les poils de la blonde hérissèrent comme un porc-épic. Chaque buissons étaient suspect ! Un serpent géant se dissimulait peut-être sous les feuilles qu'elle agitait frénétiquement...

D'un bond maladroit elle s'écarta du tas de feuilles qu'elle était en train de secouer, ci bien brusque que sa jambe encore douloureuse céda sous le poids du choc, provoquant chez sa compère un rire étouffé. Affolée par les superstitions populaires que son Pépé ne cessait de lui implanter dans l'esprit dès sa plus tendre enfance, notamment celle de Médusa, Enelos réduisit son champs de vision au buisson devant elle qui commençait à frétiller alors que des râles de plaisir agitaient les alentours. Elle inspira avec difficulté, se demandant quel mutant terrible se cachait là.

merci d'attendre la suite du poste de LJD Naelhy pour la cohérence, bon jeu !
Naelhy
[Et Boucle d'Or rencontra le premier Ours.]

«On va trouver des champignons magiques dans la forêt...»

C'est par ceci qu'elle avait conclu la blonde, outrée, avant de s'en aller avec sa comparse. Parce que franchement des bisounours il y en a trop, beaucoup trop, des niais qui se prennent pour des gros bills au gentil qui a sûrement trop fumer. C'était bien ça le problème d'ailleurs, elles n'avaient strictement rien à fumer, complétement à sec, dans un élan d'intelligence elles avaient cherché l'apothicaire, s'était retrouver chez une tisserande et la m'dame, surbookée par deux têtes blondes à l'intelligence débordante et aux vices dévoilés, les avaient accueilli avec une dague! Mais une Dague! Elle en avait marre d'être incomprise la belle, la jolie blonde téméraire qui ne pouvait que compter sur sa gueule, dotée d'une énorme lacune au niveau mammaire n'avait même pas demandé des flip-flop et s'en était allée avec la tête pensante, le "maître". Bien qu'on ne savait plus trop qui avait pensé l'opération dans cet état.

Les deux blondes passèrent moult dangers, durent mater un troupeau de brigand (parce que ça faisait plus classe que des brebis en chaleur), éloigner tout danger d'être suivi aussi (essayez de faire fuir toute la faune et la végétation pour comprendre) et après leur élan de paranoïa elle avaient échoué dans le lieu tant espéré, à la recherche de champignons, de ce qui font triper mais grave, le genre à vous laisser sur le cul avec vos visions idylliques. Puisque même les tisserands n'avaient plus un semblant d'honnêteté il avait bien fallu faire un choix.


«Ohhhhhhh !»
«C'quoi c'bruit ? *hips*»
«On dirait un écureuil en rut...»


Ou méditation de blonde chapitre au choix verset unique. Elles continuèrent leur périple, notre Barbie préférée (je n'ai de cesse de vous le rappeler) trouva comme occupation la contemplation d'un gland, il n'y avait que ça à Tours mais celui-ci était différent, voyez...la couleur...la forme...si elle savait combien elle était dans le vrai la petiote.

«HAAAAAAAAN OUI !»
«AÏEuh!! Bordel de merd"!»


Sa tête fît une mauvaise rencontre, un gland, un autre, lui tomba à toute barzingue dessus, et pour la presque nobliotte, parce que quand on ressemble à ca y'a pas tellement de noblesse à revendiquer, du moins il faudrait maitriser la rhétorique, ce qu'Elhy ne fait que les yeux fermés et dans un état de somnolence profond. Elle traita l'objet de tous les noms d'oiseaux possible, quoique qu'elle n'avait jamais compris pourquoi on disait nom d'oiseaux, pour faire comme si c'était poétique? Ca lui faisait penser à l'opium...

A peine le menton relevé que celui d'Ene se baissa, c'est dans un éclat de rire qu'elle aperçu la gamelle, c'est que c'te blonde là n'était pas douée, heureusement qu'elle était ici pour remonter le niveau, plus nette elle était, ça s'est sur. Vous ne saviez pas que l'alcool la rendait encore plus nombriliste? S'avançant vers elle pour l'aider à retrouver l'équilibre elle pose un genoux à terre et chercher à tâtons dans l'herbe tendre, qui lui semblait surtout grasse enfaite.


«ENE! Nené! OUHOU! BORDEL DE MERD'! ENE t'es où!!»

Elle semblait au bord des larmes, elle l'avait perdu, elle s'était peut-être fait abandonné, alors elle arrachait l'herbe sans retenu aucune, paniquée, avant de foncer dans les chevilles qui concurrençait par leur grosseurs avec les siennes, de l'autre blonde. Levant la tête qui était toujours bossu de sa rencontre avec le gland elle avisa d'un oeil un seul (puisque l'autre s'était fermé tout seul) le buisson qui semblait animé par un quelconque roi des démons.

Toujours à quatre pattes dans l'herbe, dans une position rendu encore plus équivoque par son état, elle s'avança très prudemment du buisson. Elle n'entendait pas, ou du moins se disait que dans ces moments aussi héroïque fussent-ils on entendaient pas les cris de nos comparses pour nous dire que nan, fallait pas y aller, au risque de perdre un orteil. Mais la Barbie sans fichait, son orteil en crèverait sûrement d'ailleurs. Elle n'entendait donc pas les cris d'Enelos, du moins ceux que sa caboche lui faisait crier (c'est très explicite non?) et s'aventura aux côtés du dit buisson, avançant sa tête pour jeter un coup d'oeil.

Elle en resta sur le cul.


«'Ne j'avais raison...c'est un bordel ici...»
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