[RP] Caves du château d'Aix

C'était une cave oubliée. Il y a toujours une cave oubliée dans un château.

La porte ne tenait plus que par un gond ... ouverte, pour l'éternité.

La cave était fraîche, des murs chaulés il y a longtemps, encombrée de vieux meubles cassés ... quelques tabourets à trois pattes, une vieille barrique, de nombreux restes de chandelles de suif et de cire. Des chopes poussiéreuses.

L'air sentait le renfermé, la vieille cave, un brin de fermentation.

C'était un lieu paisible.

On venait juste là pour parler. Personne ne parvenait jamais à y crier.

Il y avait un brin de magie dans l'air ... on disait que nul ne pouvait y dire du mal d'autrui sans voir sa langue se colorer de vert. Il n'y a jamais fait assez clair pour voir la couleur des langues au demeurant ... Mais c'était ainsi. Ici, on ne criait pas, on ne disait pas du mal d'autrui. Cela obligeait à choisir ses mots, les peser avant de parler ...

Et tout le monde était le bienvenu, toujours.

Je sortis quelques bouts de chandelles de ma poche, les allumai et les posai ci et là.

Il ne faisait pas vraiment clair. Juste assez pour voir des silhouettes.

La bouteille de la bibliothécaire faisait un "glouglou" attirant.

Frapper des chopes d'étain pour en sortir le fond ... le fond ... tout ce qui donnait un goût "spécial" à ce qu'on y versait.

En remplir un peu deux ...

En donner une au bandit ... puis l'inviter à s'asseoir.

Attendre un peu que le silence reprenne sa place. Faire tourner le liquide dans la chope pour que l'alchimie se fasse.

Goûter ... mélange de breuvages anciens et du nouveau ...

Laisser le temps passer, le temps que la poussière retrouve sa place ...

Regarder le bandit, silhouette puissante et imprécise.

Rejoindre Isk pour une discussion à baton rompu...quelle bonne idée.

Le Berger avait toujours su avoir le ton juste. Et surtout sa pondération pouvait avoir des effets plutôt appaisant sur "le violent de service".
Kik se saisit du breuvage ainsi tendu...comme un geste d'ouverture. Une invitation à la palabre.
Il trempa ses levres.
Tout en retenu...il avait l'habitude de s'imbiber de façon regulière, mais là, cette boisson le fit tressaillir tellement son odeur et son gout était noble.
Un nectar.
Kik remercia le Berger par un sourire.
Il passa doucement sa main sur l'épaule de son interlocuteur:

Merci pour cela Iskander...j'avais besoin d'une pause...d'un endroit ou enfin, je puisse à loisir étaler mes vieux os comme un requin dans l'onde.

Et à ce propos...quelle surprise en rentrant au Pays: malgré la fin de la guerre et de ses combats, j'apprends qu'une autre se fomente. Bien plus triste celle là, puisque on m'annonce que maintenant, ce sont des Provençaux qui se tapent entre eux.
Vois tu de quelle guerre je parle?

Je soupirai.

Oui, je vois ...

On avait parlé de guerre électorale ... de finesses et finauderies ... de demandes d'explications ... le plus souvent, les choses s'étaient emportées, les gens, aussi.

Des paroles méchantes avaient été échangées, parfois, avec cette impression que les gens surenchérissaient pour le plaisir, comme pris par une vente à l'encan.

Puis ... même la parole la plus anodine était prise pour une agression.

C'était toujours la faute des autres ...chacun avait "raison". Il y avait toujours une raison.

Certains efforts maladroits pour tendre une main ... à peine esquissés, balayés, déjà.

Puis les gens s'étaient tus, les uns après les autres.

Ceux qui se taisent étaient-ils morts ?

Le soleil sans doute. Il tape tellement dur ...

Je secouai la tête. Inutile de nous trouver une excuse.

C'était un bandit qui pouvait nous faire la leçon...

La paix...

Nous avons oublié combien il est facile de gagner la guerre et combien la paix est plus difficile à gagner. C'est un effort de chaque jour, sur soi, et avec les autres.

Ladoce avait reçu un pigeon plutôt inattendu. Elle avait hésité longtemps .. y aller ... pas y aller ... le pourquoi du comment .... on lui reprochait de voir le mal partout en ce moment, mais pourtant, elle ne faisait que poser son regard sur la réalité.

Alors, elle ne savait pas, serait ce encore un lieu avec des discussions puériles et des attaques gratuites, ou serait ce l'occasion de partager un verre, sans arrières pensées, ni plus ni moins qu'un verre, partagé entre gens civilisés.

Elle marchait dans les couloirs du château, puis se décida, elle irait ... Elle suivi le plan qui avait été dessiné sur le parchemin ... des escaliers, ça descend, encore, et encore, des torches allumées sur les murs, un endroit sombre et pourtant serein .... une porte entrouverte

Bonjour ...

Iskander ... normal ... kika .... étrange, elle ne s'attendait pas à le voir ....

j'ai reçu un pigeon, sans autres explications .... alors la curiosité ... me voilà

Ladoce ...

C'était ... bien. Je ne trouvais pas d'autres mots. Il est un temps où les mots expriment difficilement les choses. Tout ce qui s'était cristalisé ces derniers temps, la colère, la haine presque, le mal au coeur, la hargne, ... faire fondre le cristal.

On ne serait pas de trop pour ce faire.

Je me poussai simplement, lui faisant une petite place pour venir s'asseoir à nos côtés, sans chichi ... juste comme ça.

Lui verser une lampée du breuvage dans la tasse qui semblait la moins ... ancienne. Dans cette demi pénombre, c'était difficile à voir.

Puis je lui tendis.

Un regard au bandit.

Un regard à elle.

Puis ...

Comment vas-tu ?

Vero dévale les escaliers, arrive devant la porte ballante, se dépoussière, se redresse, reprends souffle, calmement.

L'œil aux aguets, un sourire doux...entre et se demande qui elle va trouver.

La tournée protocolaire démarre, la sienne bien sur, sautille vers les hôtes underground, aime le salon des sourdines.

Merci Mon doux ami de m'avoir convie en sous sol.

Pose ses lèvres contre sa joue et se dit qu'il a mine affreuse, voltige vers la Comtesse et lui trouve cernes et bagages..l'embrasse tendrement , presque infirmière..
Glisse un regard malicieux vers le fumeur de sardines et fait légère révérence. L'embrasse gaiement et lui subtilise son verre.. vide.. diantre damned..raté.

Fait plouf et se pose au sol au pieds du berger.

Bien le bonsoirjour à tous.. notion du temps suspendu et des humeurs absorbées.

Un cours des miracles, une course aux trésors... oui c'est certain qu'ici.. tout est possible... sans souffle!!^^

Elle passait dans les couloirs d'Aix quand elle aperçut du coin de l'oeil Ladoce se diriger vers un escalier dont elle ne connaissait elle-même pas encore l'existence.

Curieuse mais pour une fois pas plus que ça, Délia allait passer son chemin, quand là, c'est Vero qu'elle croisa. Celle-ci semblait pressée. Plus que pressée même, s'engageant dans l'escalier à toutes jambes.

Curiosité... sérieusement piquée cette fois.
Là, elle se dirigea vers ce dernier. Qu'avait-il donc de si particulier pour attirer autant les gens?

Descendre les marches prudemment...
Parvenir à une porte entrouverte d'où filtrent quelques légers bruits de voix.

Doucement elle la pousse, pour y découvrir un début d'assemblée.

Léger sourire, d'un pas elle entre.

Bonjour bonjour...
Petite réunion secrète dans les fins fonds du château?

J'avoue, j'ai vu passer du monde... et curieuse, j'ai suivi!

sourit, quand même, blasée, un peu, sans doute, aigrie ... surement pas ..... s'assoit et prend le verre, une gorgée ... ce breuvage ... digne du berger ....

Je vais bien Isk, je vais bien ... et toi?

Se retourne vers kika ....

Et kika, comment va t il?

reboit une gorgée .... puis un rayon de soleil ... vero ... sa douceur, son calme ... et une bisouille ... repense au temps d'avant, repense au temps perdu .... sourit .... se dit que l'avenir sera aussi beau, sans doute, c'est sûr ... après les tempêtes, le calme ....

Le Soleil ... tu es là! bonsoir Vero ....


Puis sursaute, une frayeur, rit, non une curieuse ... enfin, non, La curieuse!

Un papier à la main, Hersende arpentait les couloirs de ce château qu'elle connaissait si bien pour en avoir dessiné plusieurs années auparavant le plan qui figurait au secrétariat, mais on lui avait fait remarquer que les récents déménagements nécessitaient une mise à jour.

Une bougie dans l'autre main, elle avait attendu que ses gens fussent couchés pour pouvoir sortir enfin seule et posant de temps à autres son mince éclairage, elle griffonnait sur le papier qu'elle tenait des annotations sur les modifications à apporter.

Au rez-de-chaussée, dans un renfoncement non loin du couloir de la bibliothèque, elle aperçut une porte qu'elle n'avait jamais remarquée jusqu'ici et dont émanait une lueur. S'y engageant, elle remarqua que des torches avaient été disposées le long des murs, suffisamment distants pour ne diffuser qu'un éclairage ténu n'attirant guère l'attention, mais permettant de descendre les marches sans risques. Elle suivit le chemin ainsi balisé, parcourant des couloirs qui ne devaient habituellement guère être fréquentés que par les rats et parvint devant une cave à la porte dégondée où apparemment se tenait une réunion dont le son parvenait jusqu'à elle sans qu'elle pût distinguer les paroles.

Un complot? au sein même du château d'Aix? Elle regretta finalement d'avoir évincé sa garde et s'assura qu'elle était armée du petit poignard qui le la quittait plus.
Soudain, le bruit caractéristique de verres entrechoqués qu'elle eût reconnu entre mille la fit réagir : ces conjurés fêtaient apparemment quelque chose! Le succès de leurs desseins futurs? Discrètement elle avança la tête de manière à observer les présents tout en s'efforçant de rester dans l'ombre.

Elle aperçut alors... son filleul! Il était donc en Provence? Puis le berger si plein de sagesse, Véro, Doch, Ladoce... Allons! ces comploteurs là ne semblaient pas bien dangereux!
Elle s'avança donc franchement et déclara :

Quelle belle assistance que voilà! Vous avez retrouvé un dépôt caché de Fragrance? Bonsoir à tous.

Embrasse sa douce amie en ce lieu insolite ...

Voir Delia arriver ... Madame la Baronne de Fayence ... peu importe en ce lieu : tout est pénombre, les armures s'estompent.

Ladoce, amère ... et elle-même. Un sourire indécis pour lui répondre.

Juste le plaisir de les voir, tous, sans plus ...

Puis Sa Maj... Hersende, qui arrive la lame au clair, évoquant ... comment savait-elle pour Dame Frangrance ? Peu importe.

Je lui ôtai la dague des main et l'échangeai contre une choppe mi-pleine, glissant la lame dans son fourreau. Puis je fis apparaître un autre choppe entre les mains de Delia. L'Oeuvre des chopines faisait son effet ... le liquide pétillait.

...

Le temps d'une libation étonnante. Plaisir de bulles, de goûts ... souvenirs d'anciens goûts ... découverte de nouveaux. Voir des mots venir tenter de définir, cannelle ... la voir s'estomper dans un tourbillon de parfums.

Kika ... Ladoce ... Vero ... Delia ... Hersende ... il en manquait. Mais le boulanger ne met pas toute la farine tout de suite dans son pétrin ... petit à petit faire venir la farine, pétrir, pour éviter que les grumeaux ne se forment ...

Il était temps de commencer à pétrir ...

Etrange ... j'avais lu ce livre grec, ancien, contant une guerre. Les Dieux s'étaient querellés. Plutôt que se battre, ils avaient entrainé les hommes et les femmes dans leur discorde, jouant des différences, des ressemblances, des blessures anciennes, faisant naître des sentiments, exacerbant les ambitions.

Et les femmes et les hommes s'étaient lancés dans cette guerre, l'avaient subie.

Que serait-il advenu si les hommes avaient laissé les Dieux à leurs querelles ?

Ah … un nouvel arrivant ?

Et trouloulou , me voici avec mes Pessacs...Alors treize bouteilles. Plus quelques chopines. J'ai cinq gros saucissons de Savoie, trois ...

Gabcha regarda dans son cinquième sac...Heureusement que ses laquais Peace et Love avaient de grosses paluches pour porter tout ceci jusqu'à l'endroit secret!

Et donc trois "Tête de moine"...Des fromages, hein, pas des restes de pieuses bures.

Et hop, notre Cianfarano d'embrasser les personnes présentes sur la joue. C'était pas une coutume si fréquente en Provence...Les gens n'osaient jamais se toucher...Ensuite, et bien il posa son derrière délicat sur un somptueux divan. Les chaises, c'est joli, sauf quand on a des hémorroïdes...Et déclara...

J'ai pas amené de décoration ...Je possède une tête de sanglier empaillée, mais elle est à Apt. Enfin, si vous le désirez, on me pose une chandelle sur le front, et direct on se retrouve avec une ouverture des chakras!

Il toussota, et osa...

J'ai des Réthyrighettes aussi. Du jus noir avec carrés blancs...Des parfums avec du jasmin. Et surtout...

Devant l'assistance ébahie, il se mit nu, et enfila son pyjama fétiche...

Enfin chez moi , en confiance et motivé!

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Tous les faits, tous les sentiments, tous les personnages, tous les documents qui ont servi à ce roman que j'ai consacré à toutes celles, à tous ceux qui ont rendu ma vie possible, ont l'exactitude rigoureuse de mon imagination. J'en demande pardon à la réalité.

Alain Jouffroy (Le Roman vécu)

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Ravie de voir la salle devenir chaleureuse se lève à chaque arrivée et en ignore aucun.

Regarde ébahi le déballage Cianfaraneque et se dit qu'ils ont de quoi tenir un siège, en attrape un exemplaire de chaque et s'attèle à ce qu'elle sait faire de mieux, dégaine sa lame, petit précise et se mets a débiter silencieusement des tranches fines de noix de jambon... ehh de gros saucissons si l'on veux...

en garni péniblement assez pour mettre l'eau à la bouche et va planté un clou à la poutre

Et d'un! Poutré

Garde précieusement l'assiette sous ses yeux et surveille qu'aucun doigt digitaux viennent s'y promener avant qu'elle ait achever le rituel.

Farfouille dans sa besace, l'instrument de torture, empale le tonsuré et s'adonne à son vice..en faire de la dentelle... une fleur après l'autre régulièrement...corolles retroussée, en pince l'extrémité, sourire jouissif... plaisir qui pu bon..

étale ses conquêtes, œuvres...taille du bloc...

Et de deux... nous avançons... lentement mais surement!!!

Hésite devant le Pessac.. ca se mérite.. Colline des solitudes.. bahh bon laissons les ce micro aérer.. il sera pret en temps utile..deplop deplop..hommage à la rousse, chaque bouteille, chaque verre bu.. hommage.

et nous voila à trois...

Songe aux ami des bêtes et éventuellement à ceux existant qui ce parfum point au pu bon...



Pointe de camélia distillé dans un bouillon d'O
Chaise en rotin a large dos...
Fragrance... suave

Verse la potion et la garde au chaud...

et donc la suite... comptons nous encore? J'ai perdu le fil..; est bien grave?

Besace sans fond ou surgissent carottes et courgettes...
passe le fouet et la crème
le couteau et cebette...

Pause.. ou Participation... sans ..
Je serais adroite et sévère!!!

Kika était médusé...d'une 'tite reunion informelle avec un Berger-Philosophe, il se retrouvait entouré de Dame Dodoce, La Baronne Doch dict Dochinette, la toujours sémillante(malgré son âge) Véro La Marseillaise, sa Célébrissime Parraine Marquise des Lieux...et...un inconnu. Kik avait entendu parler de cet homme comme étant un Cianforini ou rino...bref...un parent à Rethy quoi.
C'est d'ailleurs un festin de Roi qu'il portait là...

Oui, Madame Ladoce...je vais bien.

Une réponse avec le sourire.

Mais dites...quelle joie de vous voir tous là...d'autant qu'en fait de fomenter un plan avec Isk...nous nous rencontrions afin de nous donner du temps pour reflechir sur un sujet.
Car à la vérité Damoizozo zet Dames tout court...y'a une tension en ce Chateau assez indescriptible....alors, vous savez, moi, je suis un peu couillon sur les bords: je pars de Provence apres la guerre en laissant derriere moi liesse, hourra de la gagne et victoire enchanteraisse de lendemains ensoleillés...et..à mon retour...vous, peuple de Provence, vous vous remettez sur la gueule, mais entre vous cette fois.
Isk?
Tu peux me remettre une rasade?
Je fais pas le maître d'école, bien entendu...mais je profite de l'obscurité de cette piece...du fait que nous soyons totalement inaudible de la plupart des belligerants pour poser le débat.
Pensez vous, chers auditeurs eclairés que la guerre puisse cesser entre le clan Yueeliste et les acteurs de Hips?

Kik avait la pétoche que la question ne recelle en elle même matière à enflammer l'assistance...mais bon, c'était sorti tel quel...donc à suivre...

Pensez vous d'ailleurs qu'en l'état actuel des choses, si rien n'est fait...la Provence reste crédible aux yeux de ses "anciens" ennemis lorsqu'on s'autoflagele de la sorte?

Kik le violent avait il apris à jouer des sanglots longs des violons en cet automne qui se profile?
Mouais pas sûr..par contre, ce qui est sûr c'est qu'il avait envie de dire:
BASTA!
Qu'il avait envie d'entrer en SDP et de mettre une droite à Titi...une taloche à Mila...d'exploser les couilles à Yueel (dont il ne se sert pas d'ailleurs)...de décalquer ce faux Proc qu'est Rdhinou de mon cul....
La cause?
On dépose pas plainte...jamais au grand jamais, on se sert de la maitresse d'ecole pour poser un cadre!!!
Kik detestait ces façons de faire...detestait l'air putride des tribunaux et la justice biaisée des hommes qui, par définition, sont faibles et surement pas neutre...
Des divergences politiques?
Les Doléances étaient là pour les regler...

Mais Kik parlait plus comme ça...il n'éructerai plus tant que le Padré le surveillait...parceque, les punissions au Padré...fallait se les peler...

Hmmm...je dis pas qu'on doit tous s'aimer...bien que moi, Mes Dames, je vous aime toute, bien entendu...je dis juste que le respect est obligatoire pour que nous puissions continuer à avancer...sans cela, la Provence va se vider de sa substantifique moelle...et Parraine sera Marquise que d'elle même...
En même temps, le débat n'est pas obligatoire...si vous le désirez, on peut juste se bourrer la gueule.

Mais on peut débattre ET se bourrer la gueule, l'Ami!

Gabcha prit un verre de Pessac et un morceau de saucisson, et continua son propos...

Les convergences entre Hips et les Yueelistes sont nombreuses et plus importantes que les divergences. Je n'ai pas les programmes des deux parties sous la main, mais on peut tenter l'exercice.
Ne partons pas non plus du postulat que tout le monde pense la même chose sur tout chez Hips. De même pour La Bande à Yuyu. Sur le marquisat, par exemple, les Hipsiens ne sont pas tous sur la même longueur d'onde. Et moi...Qui suis Yuyusien? Et bien, j'aimerais une belle baisse d'impôts...

Il étendit un peu les jambes , se gratta la nuque avec volupté et affirma...

Bien évidemment, il est temps que cette guerre se termine. Sans sombrer dans le bisounoiu...Le Bisoueo...Enfin, des bisous entre ours. Que pensez-vous d'un mariage arrangé entre puceaux des deux clans? Ou plus sérieusement, d'une communication commune et officielle des deux chefs de groupe? Faire intervenir l'Eglise Aristotélicienne en dernier recours n'est pas mal non plus!

Clin d'oeil à Véro...Lordfear fouettant Xolotl avait été un concept possible...Mais c'était l'ancien temps^^

Naaaan Choupinou...pas d'invit. On est entre gens qui tentons de comprendre. De déméler les imbroglios qui semblent là arriver à un point tel que ça en devient penible de venir jusqu'en ce lieux. Pour te dire comme la situation semble grave quand même.
On se tabasse, on s'insulte, on se poursuit, on se nuit volontairement.
Ca en devient Clanique et c'est pas si bon que cela. La vie à Aix ne doit pas s'apréhender de cette façon. Du moins, c'est mon avis. Qu'on est pas obligé de partager du reste.

En s'adressant à Gab:


L'embetant dans ce conflit...c'est que j'ai la nette impression que ça sort largement du cadre politicien strict.
Moi, j'y vois une affaire de personne. Pas d'idée. Ou alors, ça, c'était dans un premier temps...mais le problème s'est déplacé ailleurs. Les amertumes se font de plus en plus vivaces et la haine reellement visible.
N'oublions pas que la vie est un jeu...et que pour jouir de ce jeu qu'est la vie, des regles de base, ptet la courtoisie, le respect doit être de mise.
L'acharnement mene à la discorde.
J'en suis persuadé et suis même un repenti du pêcher d'Arrogance.
Parceque je me suis aperçu que les mots sont bien plus violents qu'un coup de hache ou qu'un galet envoyé sur le crâne.