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[RP] Bureau de la sécurité Lorraine

Sabifax
RP ouvert à tous. Le respect de la cohérence RP est demandé.
Viendez en PJ ou PNJ, soldats, maréchaux, brigands ou simple villageois.




Bureaux de la sécurité Lorraine, c'est quoi ça encore ?

A peine nommé que le coqnétable ouvre une annexe militaire du poulailler en gargote. Sorte de Quartier Général regroupant dans une aile du castel, la maréchaussée et l'OST. La poivrotte, la capitaine et le né-connétable de l'OST ont la ferme intention de travailler en étroite collaboration et partager autant les informations que les tournées.

Pour Sabifax, la première réunion s'était plutôt bien passé. Bon... il lui fallait s'adapter un peu: Isis lui avait clairement signifié qu'elle ne travaillait jamais avec un verre à la main... Le premier moment de frayeur passé - Ben oui, travailler sans alcool... z'imaginez la déprime? - Il réalisa qu'elle voulait surement dire qu'elle buvait directement à la bouteille. Waouh... de suite, le respect s'imposait.


Donc, le méga central de sécurité lorraine est enfin ouvert. Trois bureaux ont été aménagés et une grande salle de réunion pour les rencontres confidentielles entre les conseillers veillant la quiétude des nuits lorraines. Soldats, miliciens et maréchaux sur le qui-vive qui surveillent jour et nuits les frontières, les rues, les marchés et même l'intérieur des chaumines du duché... - non..non c'est pas vrai.. c'est juste pour vous faire peur. Alors... maintenant vous pouvez dormir tranquille braves gens, ronflez en paix...

Connétable, c'est pas le poste que l'ex-juge en jupon et ex camé espérait obtenir. Mais la duchesse lui avait assuré que l'OST serait la priorité pour le conseil ducal. Alors entre deux gorgée d'eau, il se dit qu'après avoir touché à la justice, qu'après avoir creusé les mines... pourquoi pas l'OST ?

Sabifax a donc commencé par se plonger dans les affaires courantes. A commencer par les services secrets lorrains et l'administration des armées. Les services secrets.... on va garder le sujet secret pour l'instant. Mais quand même... à peine sa nomination connue, 'il ne dira pas qui' est venue lui proposer un millier de pièce d'or en échange de l'identité du mystérieux chef des services secrets lorrain. Bien sur il a refusé la somme d'argent! Tant pis... Il n'a même pas fait fortune en dévoilant le noms.


Quand aux armées, ça tombait bien.... Il en avait justement sous les murs de sa ville le campement de l'ost champmarin. Allez... on se permet un petit comparatif entre l'OST lorrain et cette armée champi?

Bien calé dans son nouveau fauteuil moins confortable que celui qu'il avait au tribunal... mais quand on est colonel, on peut se passer du petit coussin rembourré. Il commença par se servir un petit verre de mirabelle tout en se remémorant les diverses informations glanées ces derniers jours.

Primo, ce que l'on remarque immédiatement... c'est qu'il y a un point commun dans l'assiduité à s'entrainer en taverne. On remarque tout de suite que le levée de coude est aussi une habitude chez les champis. Si si... je vous assure, on croise souvent des spécimens soldats dans les lieux de débauche du petit village. Et à ce qu'il a entendu dire, les abords de leurs tentes est aussi un lieu de beuverie. Mais je ne suis pas encore allé vérifier...

Deuxio: Certaines ont un sens aigu du partage, font preuve d'esprit amical, du désir de faire découvrir leur culture et n'hésitent pas à partager avec les locaux quelques bonnes bouteilles de vin qui fait des bulles. C'est ainsi que votre humble serviteur connétable a put savourer quelques bulles qui montent à la tête.

Contre une bouteille de mirabelle Grand Cru Réserve du castel - je préfère ne pas dire comment il l'a obtenu celle là, il a réussi à récupérer une bouteille de champagne qu'il partagera - peut-être - avec... euh.. avec.... personne ou entre amis - Quand on a une bouteille, on a toujours des amis. Non?.
Mais ça ne fut pas chose facile... au moment de l'échange, le chef des champignons est entré dans la taverne. Là... la première chose qu'il fait: confisquer les bouteilles! La haine... Le genre de trucs capable de déclencher un incident diplomatique quand on sait à quel point la bouteille en lorraine, c'est aussi sacré que les vaches indiennes. Mais, heureusement pour la poursuite des relations cordiales entre le connétable lorrain et le terrible chef champi, ce dernier a finalement cédé - même pas eu à faire les gros yeux! - et les bouteilles ont put retrouver leur légitimes propriétaire. Fiou...

Tertio: Et c'est la grande différence que j'ai put observer....
Quand on pense à un soldat lorrain, a qui pense-t-on ? L'ex-sénéchal Theudric et sa masse d'arme, Slarkoss à la carrure d'auroch et ses molosses, Le lieutenant Eins dont l'ombre des sourcils fout la pétoche aux recrues ou le caporal Zeiss, toujours prêt à s'entrainer. Mais concernant les champi, à part bien sur leur penchant vers la bouteille, la seule information susceptible d'impressionner l'ennemi dont il disposait... c'est que l'une d'entre elle se surnomme 'fleur de vanille'. Mouahahaha.... Ça doit être beau sur un champs de bataille...

Mais bon... parait qu'ils ont des techniques particulières de combat. Moi je ne demande qu'à voir...

Un simple sourire se dessina sur son visage. Il se retint de partir dans un grand éclat de rire. C'est que lui non plus,n'avait pas non plus des surnoms à faire blêmir les adversaires. Mais quand même... 'fleur de vanille'. mouahahahhaha

Il se dépêche de remplir son verre de mirabelle. Allez! Assez rigolé. Demain, il ira voir Isis et il se met sérieusement au travail...



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Barberine




Barberine qui de sa propre volonté était retombée dans un anonimat rassurant, s'ennuyait tout de même un peu. Elle faisait le tour de la grand place, cherchant quel ancien collègue elle pourrrait ennuyer, ayant revêtu ce jour là son costume un peu froissé de la reine des poules.

Le premier bureau qu'elle aperçoit se trouve devant elle.

Elle ouvre la porte regardant curieuse autour d'elle, sa couronne en toc à la main, ayant oublié de faire "toc toc " avec cette dernière.

La pièce est immense, des fauteuils bien alignés , des parchemins bien rangés, rien qui trahisse l'activité intense qui devrait se faire dans ces locaux. Des réunions secrètes surement. Elle arrivait,peut être à un mauvais moment.

En fait elle s'était attendue à ce qu'un garde armé jusqu'aux dents lui demande de décliner son identité, comme si on ne connaissait pas la reine des poules.

Sur le point de faire demi tour, après tout elle se rendait le lendemain chez les nonnes, et elle avait ses bagages à préparer, elle hésitait quand même un peu.

C'est à ce moment là qu'elle entend un bruit caractéristique, mais très atténué. Très interessée soudain elle tourne la tête de tous côtes, l'orille aux aguets.
**je suis sure qu'il est dand les parages, quoi de mieux qu'un bureau calme, une pile de vrais faux dossiers, et hop mine de rien un petit coup dans le gosier , mais je ne vais pas te laisser boire seul mon gaillard**

Le bruit à peine inaudible l'aide à se diriger à pas de loups, si elle peut utiliser cette expression pour un volatile de basse cour, et là, bien à l'abri, elle aperçoit l'ex juge CAMé qui ne s'appelle pas Leon, occupé à s'envoyer dans le gosier un verre, mais est- ce bien le premier, d'une merveileuse mirabelle, ambrée à souhait.

En caquetant et en se déhanchant comme elle l'a appris pour la chorale, elle lui tombe dessus aussi sec.

Cot Cot Cot, alors mon tit Sabi au lieu de surveiller le poullailler, on continue à abuser de la dive bouteille. Et tout seul en plus !! la fonction n'y change rien on dirait !

Elle éclate de rire.

Pas d'excuse, non, je ne veux rien entendre. C'est du flagrant délit !


pour la peine ...

Euh pour la peine...

Elle lui fait un clin d'oeil

J'en veux aussi. J'espère qu'elle vaut le coup !

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Sabifax
Le nez en l'air et le regard perdu regardant par delà une fenêtre ouverte sur la capitale lorraine, son esprit était parti vagabonder à travers les chemins sinueux de rêveries et il divaguait sur les mille et une façon de déguster la bouteille de vin pétillant qu'il avait reçu en cadeau. Il savait déjà qu'il ferait péter le bouchon avec sa bien aimée. Il était donc en pleine méditation pour savoir comment partager cette bouteille de la façon la plus ‘équitable’ ... pour lui et se plonger dans l'ivresse jusqu'à la dernière bulle.
Normalement, il devrait pouvoir se retenir quelques jours encore et ne pas la vider tout seul. Pour l'instant, la fameuse bouteille était bien rangé et protégé des tentations corruptrice de l'alcool. Même si il avait la descente facile, il n'en n'était pas rendu au point ou il ne pourrait pas se retenir de la boire tout seul.

Pour l'instant, il se contentait de son habituelle boisson et le nouveau connétable faisait bruyamment claquer sa langue pour permettre à son palais connaisseur de mieux apprécier le contenu mirabellien de son verre. Quand la porte s'ouvrit, c'était trop tard pour se cacher, lui et son verre, derrière une pile de parchemin! Mais il fut rassuré de voir quil ne s'agissait que de l'ex-duchesse, elle aussi une habituée des longues heures de travail en compagnie de la divine boisson. Comment Barberine pourrait-elle lui reprocher de boire pendant les heures de travail ? Que d'autres lui adressent des remontrances alcooliques... d'accord. Mais pas elle....

Il sort la tête de derrière une pile de dossiers plus ou moins bidons puis, tout content de voir la frimousse de celle qui était désormais ( et à jamais?) la reine des poules lorraines.


Ah tout un exploit! Deux mois à la tête du duché et se retrouver reine. Barbie allait faire bien des jalouse, surtout qu'elle en avait profité pour garder sa couronne de reine du poulailler lorrain, simple objet de pacotille bon marché et orné d'imitations de pierres précieuses qui n'avaient pas ruiné le duché en ses temps difficiles. La couronne valait maintenant son pesant d'or, devenue relique portée par une duchesse-star de la chanson lorraine, mais ça ne faisait quand même pas de Barbie une poule 'de luxe'.

Il sourit à sa visiteuse et lui montre qu'il n'a pas perdu les bonnes habitudes de travail en saisissant un verre propre prêt à le remplir du liquide fruité.


Bonjour Barbie!

Comme tu vois... j'étais déjà en plein travail!

La nouvelle duchesse tient à ce qu'on relance l'OST et j'ai accepté d'être connétable. Mais toi, en souvenir du dernier mandat... je t'autorise à m'appeler coq-nétable.

Il pouffe de rire, fier de son jeux de mots tout en visant mieux pour que la mirabelle qu'il lui sert ne tombe pas trop sur la table.

Puis remarquant que l"attention de l'ex-duchesse était plus portée vers la bouteille que vers ce qu'il racontait, il se dépêche de lui tendre le verre et il trinque avec.

Barbie... je lève mon verre au plaisir d'avoir 'travaillé' avec toi et j'espère que nous aurons d'autres moments pour boire ensemble.

Ils échangèrent rapidement quelques mots, puis l'ex... reprit le chemin de la porte pour rejoindre le couvent. Mais ne vous inquiétez pas, elle avait promis ne pas y rester trop longtemps.... Dès que les barriques en réserves chez les nonnes seront épuisées, on pouvait s'attendre à la revoir pointer sa couronne en toc bon marché.

Puis en attendant, le coqnétable dressa la liste des choses à faire: les payes des soldats, la réforme de l'OST, le projet de la duduche Syb pour relancer l'OST, les fameux sévices secrets à s'occuper et des ragots à démentir.

Il rangea la bouteille dans une armoire, juste à coté de ses médailles militaires qui lui rappelèrent qu'il avait fait sa première mission de soldat alors que Sybille était duchesse et lui, jeune soldat assigné à la défense de Toul. Quelques souvenirs du passé lorrain affluèrent dans son esprit, il se dépêcha de les chasser et s'assit derrière son bureau. Il était sobre, le bureau était bien rangé... en tout cas, pour l'instant, il était plus en ordre que sa demeure.

Son oreille de coqlonel le prévint qu'un bruit de bottes s'avançait dans le couloir. Il toussota un peu pour s'éclaircir l'haleine. Ah! Dernier petit détail... Il empoigna le premier parchemin dans ses mains et il posa des yeux dessus en fronçant les sourcils. Il se demandait si les pas s'arrêteraient devant sa porte ou s'éloigneraient plus loin.


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Ellebasi40
A l'ost dans la garnison

Ellebasi qui revenait de l'Ost se dirigea vers le bureau de la sécurité en essayant d'apercevoir le connetable pour sa visite .
Ou se cacher t'il en marmonnant entre mes dents essoufflé d'avoir visité toute les pièces de L'Ost ou presque à part les chambre des hommes pas poussé tout de meme .

A Nancy au bureau de la sécurité

Elle toqua à la porte ,es attendit un moment et poussa la porte en passant la tête vers la pièce et failli sourire de voir celui qu'elle chercher ..

Bonjour mon connectable je vous cherche partout en le saluant et vous vous cachez ici en plus sourit amusé .
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Sabifax
Les pas s'arrêtèrent bel et bien devant son bureau. Après un léger toc-toc, la porte tourna sur ses gongs et la tête d'Ellebassi apparut. Il sourit mais il n'eut pas le temps de pousser un soupir de soulagement. A peine les premiers mots que la major avait prononcé, il savait déjà pourquoi elle était là. Ce n'était pas un hasard si il se faufilait tardivement dans la caserne de l'OST et si il évitait de se trouver en présence des hospitalières. Il savait bien que la visite tant redoutée devait avoir lieu, mais il espérait qu'elles oublieraient. Mais non... impossible d'échaper à Ellebassi, elle l'avait retrouvé.

Ravalant la petite boule de salive qui s'était formée, il la salua d'un sourire charmeur comme pour essayer de la corrompre ou au pire de l'adoucir pour qu'elle ne lui impose pas des exercices interminables.


Bonjour Elle... * Il préféra éviter de l'appeler par son titre de médecin. *
Je suis.... euh.. heureux de te voir! Je.... pensai justement à toi!

Il n'aurait peut-être pas dut dire ça. Elle allait comprendre qu'il avait volontairement fait des petits efforts pour ne pas la croiser et éviter d'aller à la fameuse visite pourtant obligatoire.


Je ne me cache pas vraiment tu sais. * Bon... il fallait mieux qu'il n'élabore pas trop sur le sujet si il ne voulait pas se mettre encore plus dans l'eau chaude. *
Je me demandais comment tu allais et si vous ne manquiez de rien à l'hospice militaire. Si tu as des besoins, tu me le dis puis je regarderai ce qu'on peut faire.

Il se leva de sa chaise et lui désigna le fauteuil placé en avant de son bureau.

Je t'en pries... Assis toi.
Je te sers quelque chose à boire ? Une tisane....?

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Ellebasi40
Apres avoir refermé la porte ,elle avança vers le bureau en le maudissant tout bas de l'avoir fais galoper partout je suis sure qu'il la fais exprès ses hommes alors en se cachant avec sa main le sourire qui se dessiner sur mes lèvres.

-Tu es sur que tu es heureux de me voir en le voyant détourné son regard .
-Je me doute bien que tu pensais à moi en le voyant faire de se mieux pour me charmé mais j'étais pas née de la derniere pluie

-Je voulais que tu passe la visite c'est pour ca que je te cherche Sabi en souriant amusé. Je doute bien qu'il est fais tout ca pour pas me croiser .

-Merci de te préoccupé de l'hospice un sourire illumina son visage en parlant de ce que j'aimais par dessus tout soigner mon prochain .

Je te remercie beaucoup je regardais et je te dirais s'il manque quoi que se soit ....

Après m'avoir invité a n'asseoir et a boire une tisane je le regarde et ajoute .

-Je veux bien une tisane s'il te plais merci ..

Attendit en regardant la pièce ou je me trouver décoré avec goût
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Sabifax
Tu es sur que tu es heureux de me voir

Oui... il était content de voir sa vieille amie Ellebassi.
Non.., c'était pas l'homme le plus heureux du monde de voir débarquer la médecin-major dans son bureau.

Je voulais que tu passes la visite c'est pour ca que je te cherche Sabi

Oui. je sais, je sais... Pourquoi elle pense que je la fuis depuis plusieurs semaines ?

-Merci de te préoccupé de l'hospice
Je te remercie beaucoup je regardais et je te dirais s'il manque quoi que se soit ....

Il avait tenté de détourner la conversation sur les besoins de l'hospice, sujet qu'il savait tenir au cœur de l'hospitalière toute entière dévouée à son travail. Mais apparemment c'est complètement raté. Elle venait pour la visite médicale et ne repartirait pas sans avoir complété son dossier. Tout en parlant, Ellebasi s'installa sur le fauteuil confortable même si il était assez rustique.

-Je veux bien une tisane s'il te plais merci ..

Oui... bien sur. Ça ne sera pas long.

Il se leva et commença à ouvrir les différentes armoires en arrière de lui. Laissant bruyamment échapper des exclamations de déception - note du traducteur: des jurons - et refermant les portes de plus en plus violemment en signe d'agacement sachant très bien qu'il n'en trouverait pas ici.
Pourtant, Il aurait dut y songer! A chacune des visites médicales qu'il avait passé... les hospitalières lui avaient proposé de la tisane. A croire qu'elles, elles ne boivent que ça! Lui la seule fois ou il en avait but à l'OST c'était quand Zahra avait remplacé la bière de la caserne Vaudemontoise, par de la tisane...froide. Le pauvre, en buvant une grande gorgée il avait craché tout de go et bien crut à une tentative d'empoissonnement. L'affaire avait été si grave au sein de la garnison qu'il s'en était fallut de peu pour que l'état major soit informé. Mais tout s'était finalement bien terminé quand, gagné par le remord ou de peur du sénéchal Theudrik et sa masse, Zahra s'était dénoncé. Elle en avait été quitte pour une bonne punition.

Mais là... il a beau fouiller encore et encore.

Elle, je suis désolé...
Je ne bois pas souvent de la tisane et je ne sais vraiment pas ou la précédente connétable a bien put la ranger!

Arfff. La commissure de ses lèvres trahissait son embêtement. Quelle idée d'avoir proposée une boisson qu'il ne boit jamais et surtout qu'il ne fait jamais boire! Voila qui risquait de contrarier l'hospitalière et il ne voulait surtout pas lui déplaire.

Attends moi quelques minutes... je devrai pouvoir en trouver dans l'arrière salle.

Sans attendre la réponse, il disparut par la porte. Il sait très bien qu'il n'y a pas de tisane ici, mais son idée est faite. C'est sans doute encore une idée foireuse... Il prend la bouilloire du poêle et en verse un demi verre dans une tasse, il sort sa gourde de mirabelle et en verse une lampée dans l'eau fumante et voila! le tour est joué. C'est un peu du gachi... mais si ca peut la satisfaire, la visite médicale ne peut que mieux se passer.

Puis il revient dans son bureau et pose le verre au milieu de la table. Puis en tentant de conserver un ton neutre, il lui dit:

Voila! J'ai trouvé quelques feuilles... mais je ne sais pas trop d'où elles proviennent.
J'espère que ça te plaira. 'attention...c est encore tout chaud.

Peut-être laisserait elle là sans y toucher... pensa-t-il en regardant la fumée s'échappant de la tasse en entrainant avec elle une douce effluve de mirabelle qui chatouillait ses narines. Il devenait de moins en moins sur de duper l'hospitalière.

Alors comme ça...tu es venu pour ma visite... * Sourire un peu angoissé.*
C'est gentil de t'être déplacé... Est ce que ça te dérange si on la fait ici ?



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Isis25
Cela faisait un moment qu'Isis devait aller voir le bureau de la sécurité.
Mais avec le malaise qu'elle avait eu, plus l'obligation de rester coucher pendant une semaine, plus tout le travail à faire à l'ost , les jours avaient passés très vite.

Mais là, elle avait décidé d'aller voir son coqnétable s'il ne s'ennuyait pas trop.
Elle prit plusieurs dossiers qu'elle voulait lui soumettre et prit la direction de la gargote.

Elle entra et entendit des voix.
Elle reconnut la voix d'Ellebasi et celle de Sabifax.
Elle sourit en surprenant quelque mot de leur conversation.

Elle s'avança et frappa à la porte.
Elle attendit quelque instant avant d'ouvrir la porte et de passer la tête dans l'encadrement.

Coucou, vous deux.
Je peux???, je dérange pas??
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Ellebasi40
Le voyant ennuyer et failli s'étouffer de rire je te jure ces hommes peur d'une visite ..

Pas de souci prends ton temps je suis pas pressé et sa me permettra de te tenir compagnie en se mordant sa lèvre ..

Le voyant revenir confus de pas trouvé de feuille pour la tisane et le vois repartir au fond de la salle ..
Trouvant se qu'il avais besoin et me déposa la tisane devant moi ..
Sentant l'arôme en sortir et trempe ses lèvres dans le breuvage.
Tout en écoutant Sabi et lui répondit.

Oui on pourras faire la visite ici meme sa me dérange pas tu es sur que tu vois pas d'inconvénient?en soufflant dessus et en le buvant doucement .

Un moment plus tard entendit taper à la porte et sourit de voir son amie et Capitaine ici ..

Bonjour Isis en souriant ,bien sur que tu peux n'est pas Sabi en souriant de voir autant de monde surtout une autre hospitalière cacha son sourire derriere sa tasse..
Deux infirmière pour lui seul que de mieux en essayant de prendre son sérieux mais pas facile non .....
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Sabifax
A voir le visage de l'hospitalière-chef, boire un peu d'eau chaude aromatisée à la mirabelle ne la dérangeait pas du tout ou alors elle avait compris que le connétable n'a pas de tisane avec lui et qu'il a dut se débrouiller avec les moyens du bord.

Il regrettait quand même une chose... il s'était tellement dépêché de préparer la boisson pour Ellebassi qu'il en avait oublié de se servir un petit verre et les effluves fruités entrainées par la vapeur d'eau continuaient à lui titiller les narines. Il se frotta le bout du nez, mais l'odeur aguichante ne partit pas.

Ellebasi40 a écrit:
Oui on pourras faire la visite ici même. ca me dérange pas tu es sur que tu vois pas d'inconvénient?


Bien sur qu'il ne voyait aucun inconvénient! Il lui adressa un sourire de toute ses dents... mais il se dépêcha de refermer bien vite la bouche, de peur qu'elle ne lui remarque déjà une dent pourrie qu'il lui faudrait arracher. Une image se forma dans son esprit: Celle d'Ellebassi tenant entre ses mains une de ses horribles grosses pinces utilisées pour vous extraire violemment les dents de la gencive. Un instant il arrêta de respirer et sentit la moiteur gagner ces mains. Cette pensée fit couler une goutte de sueur le long de son dos qui agita le dos du colonel-connétable d'un petit frisson. Il se raisonna bien vite: finalement... Elle n'était là que pour une simple petite visite médicale et pas pour le torturer...
Il se ressaisit bien vite.


Aucun problème! Tu verras que je me maintiens en pleine forme.

Joignant le geste à la parole il se tapota les abdominaux... Le bruit sonna un peu plus mou qu'il ne l'aurait voulut, il grimaça et il ajouta en regardant l'hospitalière.

Même si ces derniers temps j'ai fait un peu moins d'exercices.

Un toc toc discret sur la porte arriva à point nommé pour détourner la conversation. Par la porte entrouverte, Isis apparut... Isis ou plutôt la 'capitaine licorne' comme il se plaisait à l'affubler depuis que Slarkoss avait prononcé ce doux surnoms en pleine réunion de l'état major. Enfin là... c'était pas vraiment le moment de taquiner la capitaine... licorne. gnarkgnak gnark....

Bonjour ma capitaine...

Sabifax était à 2 doigts de voir sa langue fourcher et d'ajouter le sobriquet.... mais poussé par l'instinct de survie du soldat face à 2 hospitalière, il se retient. Sait-on jamais... si la capitaine était rancunière, il allait passer un mauvais quart d'heure.... et encore si c'était juste une seul quart d'heure, il pourrait se sentir soulager. Mais il n'avait pas besoin de consulter Irma la voyante pour sentir qu'Isis lui préparait un tour à sa façon...

Il allait essayer de ruser...

Entres donc.... Ellebassi s'apprétait à me faire passer la visite médicale. Mais.... elle peut attendre un peu ou bien revenir plus tard.
Après tout, c'est toi la capitaine!

Il regardait Isis puis tourna son regard vers Ellebassi, espérant qu'elle comprenne que.... euh rien... il n'y avait rien à comprendre. De toute façon, il était cuit comme un auroch* en cage! Pris au piège entre les griffes de deux hospitalières. Il ne voyait pas trop d'échappatoires alors il leur fit un beau sourire....
* Auroch: Animal sauvage bien connu qui fréquente les terrains d'entrainement de l'OST.

Et bien sinon... je suis prêt pour la visite médicale.
On commence par la corde à sauter ou le lever de coude ?

Il détestait l'un et était très doué pour l'autre....

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Ellebasi40
Ellebasi écouta ses excuse bidon en essayant de pas rire ,mais tout de meme il avais besoin de faire des exercices pour se maintenir en forme c'est bien jolie de levé le coude mais faut bien se maintenir en condition .

Voyant Sabi se tourné vers Isis puis vers moi se demande se qu'il pense dans sa tete comme moyen pour pas passé la visite ...
*Je te jure celui la *,pourtant on est si gentille en souriant malicieusement .

Mais bien sur en pouffant de rire tu essaye par tout les moyen de pas faire cette visite

Ellebasi le regarda en rigolant en se demandant se qu'il trouvera la prochaine fois ...

Citation:
Et bien sinon... je suis prêt pour la visite médicale.
On commence par la corde à sauter ou le lever de coude ?



Non toi je te jure le lever de coude trop facile comme manoeuvre plutôt les pompe quand pense tu ?
Se retient de pas sourire vraiment ,mais ne pu pas et sourit largement en se demandant comment il allée faire pour ses pompes..
20 tu m'en fera et je compterai avec toi et surveillera ta performance quand dis tu?
Souriante de toute mes dents en mettant ma main devant ma bouche comme si je baillais .

Si tu es prêts je le suis moi en pouffant et me mordant ma langue ..
Aieeeeeeeeeee .....Sa fais mal .. .*C'est ta faute ca tu me fais tellement rire *en marmonnant pour elle meme ...
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Sabifax
Les deux hospitalières de l'OST le regardaient avec un air bizarre. Un petit sourire dessiné sur leur visage et l'œil pétillant d'une lueur commençait par intriguer le jeune homme qui se demandait si elles ne lui réservaient pas un mauvais tour. Surtout... la capitaine dont il se doutait qu'elle n'était pas venu ici par hasard. A force de la taquiner, elle devait chercher l'occasion de se venger. Mais comme on dit 'un Sabifax avisé en vaut deux', alors il se sentait prêt à affronter les deux femmes.


Non toi je te jure le lever de coude trop facile comme manœuvre plutôt les pompe quand pense tu ?
20 tu m'en fera et je compterai avec toi et surveillera ta performance quand dis tu?

L'air un peu surpris - surpris, j'ai dit pas bête! - il regarda Ellebassi.... 20...seulement 20? Tssss... Voila qu'elle le prenait pour une recrue. Il ne dit rien, à part un sourire au coin de ses lèvres.

Avant de débuter, il retirera sa veste d'uniforme puis il déboutonna ses boutons de manche pour les retrousser jusqu'aux coudes. Il s'étire les épaules vers l'arrière et leur jette un coup d'oeil méfiant. Voila... il était prêt. Il se mit en position et commença à faire les tractions avec ses bras.


1...2 ........... 9...10.

Pomper... il aurait préféré utiliser le mot pour dire qu'il puise directement à partir d'un tonneau. Vider une bouteille ou même un tonnelet, est de loin sa meilleure spécialité 'sportive'. Fervent admirateur de Bacchus et croyant aux vertus de la sainte boulasse, Il a toujours été à l'affut des mille et une façon d'y parvenir. Tiens, par exemple: la dernière technique très pratique pour vider les tonneaux sans avoir de verres à laver ensuite... je vous l'explique: Vous prenez un tonneau puis vous courrez jusqu'à la mare aux canards chercher un roseau fin mais de bonne dimension que vous évidez, vous faites sauter le bouchon du tonneau et là... vous glissez la pointe du roseau par l'ouverture jusqu'au liquide puis il suffit de coller ses lèvres à l'autre extrémité et aspirer d'un grand souffle le liquide aux saveurs alcoolisées. Et voila... vous connaissez maintenant la véritable origine de la célèbre expression 'être pompette'.

Mais bon... la capitaine était là, et il ne se voyait pas expliquer cette technique pour boire devant elle. De toute façon, elle la connaissait surement.

11....12....13....14....

Puis il se tut mais il continua l'effort. Espérant qu'Ellebassi comptait aussi et se dépêcherait de terminer la visite. L'exercice, çà donne soif!


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Isis25
Isis ne put retenir le fou-rire qui la tenaillait depuis un moment.

Elle avait, là, l'occasion de se venger de son ex-coqnétable et coollonel.
Elle laissa le major faire et ouvrit de grands yeux lorsque cette dernière ne donna que 20 pompes à faire.

Elle ne dit mot attendant son heure.
Comme les lionnes attendent le bon moment pour attaquer leur proie.
A cette pensée, Isis eut un sourire machiavélique.

Le voyant, malgré tout, faire ses pompes sans trop de difficultés, elle s'approcha de lui et posa un pied sur son dos.

Mon cher ex-coqnétable, vous allez m'en refaire 30 de plus mais avec le poids de mon pied sur votre dos.
Cela vous apprendra à vouloir me surnommer cap'taine Licorne.
Même si cela me ravie d'avoir ce doux surnom.

Elle pesa de tout son poids sur le bas du dos de Sabifax.
Elle savait qu'il allait avoir du mal à se relever à chaque pompe, ayant eu elle aussi à en faire lors de ses entrainements avec son maitre d'arme dans son pays d'adoption.

Elle compta les pompes au fur et à mesure et elle eut une autre idée.
Elle avait en main un verre de mirabelle, elle se pencha légèrement et le mit sous le nez de son colonel.

Vous sentez comme elle sent bon cette mirabelle??
Et bien si vous en voulez...........10, 11, 12,13.....
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Sabifax
Sabifax pensait bien qu'Isis allait profiter de la situation pour se venger un peu des taquineries qu'il lui faisait régulièrement. Quand il entendit son rire résonner dans le petit bureau et il savait que l'heure était venu ou elle 'abuserait' de la situation. Elle s'approcha et il se raidit un peu quand, en remontant sur ses bras il sentit une résistance qui l'obligea à dissimuler un petit rictus. Il ne voulait surtout pas qu'Isis le voit.

Puis elle le nargua avec un verre aux effluves de son fruit préféré. Il fit claquer bruyamment sa langue. C'était la première fois qu'on lui offrait à boire de la mirabelle lors d'une visite médicale. D'habitude les hospitalières offrent des infusions de plante. Isis tentait-elle de le distraire ? Il n'allait pas se laisser faire, alors il fit mine d'ignorer ce verre tentateur et il tourna la tête pour lui dire...


Capitaine licorne... C'est vrai que c'est très joli....

Il ne dit rien de plus... pour l'instant. Ce serait bientôt son tour de riposter. Dans les méandres de son esprit l'idée faisait son chemin. Il continua à faire ce qu'elle avait demandé, mais il ne comptait plus à chaque fois que son visage approchait du sol, ses pensées étaient déjà portées ailleurs. Un sourire s'affichait sur son visage...

Une fois l'exercice terminé, il se redressa et il étira un peu ses épaules vers l'arrière. Puis après quelques petits étirements il regarda Isis.

Justement, Isis... Vous pourriez nous raconter d'où vous tirez un si joli surnoms. J'imagine que ca n'est pas du au hasard et qu'il y a en arrière une histoire absolument fascinante.
Ellebassi et moi, nous serions enchanté de la connaitre.

Il conclut sa phrase en adressant un petit clin d'oeil à Ellebassi.


Et si vous le souhaitez... je vous jure sur un verre de mirabelle, que jamais je ne la répéterai. Parole de Sabifax, tout ce qui ce dit ici restera entre ces murs!

C'est Slarkoss qui vous l'a donné ?

La discussion était maintenant lancée. Il attendait avec impatience d'en savoir plus - surtout si c'est un peu croustillant - et il ne doutait pas qu'Ellebassi avait aussi sa curiosité attisée.

Il passa derrière son bureau et sorti des verres et une bouteille. Sabifax était prêt à écouter ce qu'Isis avait à raconter. Il était sur que c' était beaucoup plus intéressant qu'une visite médicale.
Les verres eux aussi étaient prêts à être but.


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Isis25
Isis continua à peser sur le dos de Sabifax.
Elle savait qu'il n'allait pas rester sans se venger.

C'était une sorte de jeu entre eux depuis peu.
Il avait finit de faire ses pompes malgré le poids supplémentaire sur le dos.
Il s'étira et il la regarda avec un léger sourire.

Elle lui rendit son sourire et alla s'assoir à coté du médecin-major.
Lorsqu'il lui demanda de leur raconter l'origine de son petit surnom.

Elle les regarda tous les deux et leur sourit.

Vous connaissez les légendes sur les licornes.
Ces animaux mystérieux, qui ne se laisse pas si facilement approcher??
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