Kathelle
[Dans les épisodes précédents…]
Sans déconner, vous n’pensiez quand même pas qu’elle disparaitrait comme ça ?! Namého, fini d’croire aux contes de fées hein… Elle réintègre le feuilleton… d’façon, sans l’angélique brunette, il s’passe rien ! Ben ouais, vous avez déjà vue une série perdurée sans le personnage principal ? Alors !!
Comme dit précédemment, nos doux agneaux, après maintes péripéties, reprirent la route sans l’adorable, sublime, magnifique, que dis-je génialissime brune… à savoir, la douce Kathelle - oui, j’en fais des tonnes et j’ai même pas honte !
[Changement de décor…]
Scénario de série B… on saute du coq à l’âne ; les quatre fantastiques arrivent tranquillou en ville, pas l’temps de visiter les tavernes, qu’on les jette en taule… jusque là, tout le monde à suivi ; sauf qu’en sortant, le groupe poursuivie la balade, amputé d’un membre et non des moindres puisque l’artésienne avait disparu.
Suite à quelques recherches… ouais, l’chefaillon s’était quand même inquiété… on apprit qu’elle était blessée et séjournait au couvent ; quand, comment, pourquoi, combien de temps ? On n’en sait rien, pis on s’en cogne surtout…
[Retour à l’instant présent]
La cambrésienne reprenait donc vie, dans un quelconque cloitre d’une quelconque contrée hostile… Ben, vu l’accueil reçu à l’arrivée ; taule, amendes, et le dialecte dont elle ne parlait pas un foutu mot… hostile quoi ! Elle en connaissait un rayon pourtant en animosité, mais force était de constater que les cornettes l’avaient retenue de longues semaines pour ne pas dire mois ; et contre son gré en plus… imaginez l’humeur !
Bref, rétablie quant à la blessure dont on ne saura rien –car la narratrice n’a pas trouvée l’inspiration- elle avait pliés bagages, chapardées des bouteilles et récupérée sa monture afin de reprendre son périple… objectif, rejoindre la folle équipe. Lors d’une courte escale, dans une ville au nom imprononçable, elle prit la plume :
Sans déconner, vous n’pensiez quand même pas qu’elle disparaitrait comme ça ?! Namého, fini d’croire aux contes de fées hein… Elle réintègre le feuilleton… d’façon, sans l’angélique brunette, il s’passe rien ! Ben ouais, vous avez déjà vue une série perdurée sans le personnage principal ? Alors !!
Comme dit précédemment, nos doux agneaux, après maintes péripéties, reprirent la route sans l’adorable, sublime, magnifique, que dis-je génialissime brune… à savoir, la douce Kathelle - oui, j’en fais des tonnes et j’ai même pas honte !
[Changement de décor…]
Scénario de série B… on saute du coq à l’âne ; les quatre fantastiques arrivent tranquillou en ville, pas l’temps de visiter les tavernes, qu’on les jette en taule… jusque là, tout le monde à suivi ; sauf qu’en sortant, le groupe poursuivie la balade, amputé d’un membre et non des moindres puisque l’artésienne avait disparu.
Suite à quelques recherches… ouais, l’chefaillon s’était quand même inquiété… on apprit qu’elle était blessée et séjournait au couvent ; quand, comment, pourquoi, combien de temps ? On n’en sait rien, pis on s’en cogne surtout…
[Retour à l’instant présent]
La cambrésienne reprenait donc vie, dans un quelconque cloitre d’une quelconque contrée hostile… Ben, vu l’accueil reçu à l’arrivée ; taule, amendes, et le dialecte dont elle ne parlait pas un foutu mot… hostile quoi ! Elle en connaissait un rayon pourtant en animosité, mais force était de constater que les cornettes l’avaient retenue de longues semaines pour ne pas dire mois ; et contre son gré en plus… imaginez l’humeur !
Bref, rétablie quant à la blessure dont on ne saura rien –car la narratrice n’a pas trouvée l’inspiration- elle avait pliés bagages, chapardées des bouteilles et récupérée sa monture afin de reprendre son périple… objectif, rejoindre la folle équipe. Lors d’une courte escale, dans une ville au nom imprononçable, elle prit la plume :
Citation:
Mon chou,
T’éloignes pas trop… j’arrive !
Bises,
L’Azurée.
P.S. : préviens la blondasse qu’les vacances sont finies.
Mon chou,
T’éloignes pas trop… j’arrive !
Bises,
L’Azurée.
P.S. : préviens la blondasse qu’les vacances sont finies.
Un sourire amusé aux lèvres, elle libera le piaf et repartit sur les routes.
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