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[RP][Soule] Quand les félins reçoivent des têtes de mule...

Godevin
ça y'est c'était parti, yago avait l'air d'en vouloir, corenn avait la soule et comme Godevin était a coté d'elle attendit que celle-çi lui passe le ballon ; il avait pensé a aller tout droit quand il aurait la soule mais corenn allait en déçider autrement.
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Mariuslebelier
Marius voyait toujours la soule qui évoluait...

Aller mes petit Lions, on se bouge tous! on va pas laisser des bourricots nous mettre la misère...

La soule continuait d'évoluer et il allait bientôt falloir donner de nouvelles consigne au vue de l'évolution du match.
Brennach
Brennach avait lancé la chevauchée des Bourricots. Cela n'avait rien d'une chevauchée fantastique ou d'une chevauchée de Walkiries, Vikinglord n'étant pas sur le terrain pour donner la touche nordique.

Non, les spectateurs assistèrent plutost à une cohue mémorable, la quasi totalité des joueurs d'Orthez se jetant en avant, à l'exception du capitaine ( pas folle la guêpe avez-vous dit? Mais non, on garde les buts voilà tout!) et de Bibaf servant de dernier rempart à l'envahisseur félin.

Tous avaient sur les lèvres l'hymne du bourricot qui commençait ainsi: J'ai rencontré un asne qui marchait dans la prairie, sauf qu'à défaut du farfadet, il fallait se fader un Lion sur le terrain! Et ils avaient beau estre grand, estre fort estre nos amis les Hilares Bourricots, cela n'allait pas estre de la tarte.

Chacun connaissait la tactique répétée moult fois à l'entraisnement mais il espérerait que cela parviendrait à prendre en partie réelle. Pour l'heure, la soule demeurait rester au centre du terrain et une belle meslée s'engagerait bientost. Allait-on s'engager dans une guerre de position? Peu probable quand on connaissait le penchant de Midvit pour les beignes.

C'est alors que le capitaine des BHO se mit à hurler les mots suivants:


Ruade Baston Baston Carotte Aube.

Le Ciel était-il tombé sur la teste de notre bon diacre d'Orthez? Peut-estre. Mais il semblait en tous les cas que ces mots sans queue ni teste avait un sens pour les autres bourricots qui soudain changèrent de formation...
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- Troubadour autodidacte.
-Conseiller à l'animation en février et mars 1458
-Tribun en mars, juin, juillet et aout 1458.
-Diacre de la paroisse d'Orthez.
-Capitaine de l'équipe de soule d'Orthez, les BHO.
-Ecuyer de l'ordre du mérite béarnais.
Tchetchenov
Le match commença et, très rapidement, les équipes commencèrent à déployer leurs tactiques. Tchétchénov, au milieu de ce début de pagaille, alla se placer comme il était prévu lors des entrainements orchestrés par Messire Brennach. Il sourit lorsqu'il vit que la balle était en possession des Bourricots prêts à foncer dans le tas.

" Bon, pour l'instant, tout va bien. On a la balle, il suffit de ne pas la perdre et d'aller juste marquer..."
se disait il à lui-même.

Puis son regard se reporta sur l'équipe des Lions qui prit une position tactique défensive qui permettait une contre-attaque fulgurante si les Bourricots Hilares n'y prenaient pas garde.

"Bon, néanmoins, ça va pas être de la tarte..." continua Tchétchénov dans ses pensées.

Puis, d'une voix forte pour galvaniser son équipe, il cria :

" Allez, bande de bourricots ! On se redresse, on fonce dans le tas et on leur casse les dents ! HI HAAAAAN ! "

Poursuivant à crier le cri de guerre des Bourricots Hilares, Il fonça vers l'adversaire afin de dégager un passage au porteur de la soule. La partie semblait monter d'intensité...Heureusement que ce n'est qu'un match amical sans aucun enjeu...

Midvit
*GNEUHEUHEU*

Ce rire inhabituellement fort traduisait l'état d'excitation de Midvit. Colosse aimant autant donner des gnons qu'en recevoir, on pouvait dire qu'il était arrivé au bon moment à Orthez, à la naissance de l'équipe.

La mêlée avait commencé, et le jeune gaillard se sentait comme un gamin boulimique dans les cuisines du château, tout aussi enclin à donner ses tartines de phalanges qu'à prendre ce qu'on voudrait bien lui donner.

Un sourire généreux étrangement mêlé de sadisme se dessina sur son visage aux mots du capitaine de l'équipe adverse, qui était juste en face de lui. C'pas très gentil pour les bourricots c'qu'y sous-entend c'monsieur, faudrait p'têtre y met'un coup d'sabot dans les gencives pour voir comment qu'y miaule se dit-il à lui-même. Cependant, au moment subtil ou le poing de Midvit se serra et se préparait à se lever, celui-ci entendit les consignes de Brennach.

S'il existait à Orthez un esprit dont la complexité était trop importante pour qu'une information circule facilement, c'était bien celui de Midvit. Mais les mots du capitaine des bourricots arrivèrent toutefois à circuler dans l'étroit labyrinthe sans embouteillage: Midvit garda son poing serré mais ne le leva finalement pas tout de suite, celui-ci ayant décidé d'honnorer les consignes de son capitaine.
Cooky
Ah mais quelle fâcheuse manie il avait de tout faire pendant qu'elle n'était pas là ! Non content de se faire Diacraliser pendant qu'elle baillait aux corneilles au couvent, le voila qui montait une équipe de souleurs ortheziens alors qu'elle ne pouvait même pas en être. C'est qu'il allait l'entendre le diacre pour avoir osé lui faire ça ! Non mais.
Grommelant plus par principe que par véritable irritation, elle s'empressa de grimper aux gradins. Arthur pendu à son bras et Elea à son cou, elle fit de son mieux pour arriver au sommet en un seul morceau. C'était pas le tout de râler, encore fallait-il qu'elle parvienne jusqu'à eux pour savoir un peu ce qu'il se passait. Elle n'avait pas son entrée sur le terrain, tant pis pour eux, elle sauterait des tribunes. Les enfants avaient mis un temps fou à se préparer, qui voulant s'habiller aux couleurs d'Orthez, qui voulant se grimer même de concert. Il avait fallu qu'elle s'en mêle et les entraîne de force pour qu'ils parviennent dans la place avant le coup de sifflet final. Déjà les cris et autres... braiments ! des joueurs s'élevaient derrière l'enceinte.


Allez les enfants, on coure ! Sinon nous serons venus pour rien et ils auront gagné sans nous !

Les petites jambes firent de leur mieux et ils parvinrent finalement au sommet des tribunes. De nombreuses têtes s'agitaient au milieu de banderoles colorées et de drapeau claquant au vent.

Un cri s'élevait plus fort que les autres. Hi HAN ! Ah ca.. elle reconnaissait bien là l'esprit Orthezien. Qui d'autre aurait pu porter aussi bien et avec autant de fierté le bonnet d'âne ?


M'maannn ! Ils ont gagnés !! Tu entends ??


Mais non mon fils, les gens les encouragent, mais le match n'est pas fini allez, file à ta place qu'on voie un peu ce qui se passe.

Elle aperçu alors Eglantine au milieu de la foule. Rêvait-elle ? Il lui semblait que la Lourdaise encourageait les Ortheziens !


He Arthur, file vers Ecm, tu la vois là-bas ? Il reste de la place vers elle !

Hi HAn ! ... fut tout ce qu'elle eu comme réponse. Levant les yeux au ciel, elle maudit l'étourdi qui avait choisi ce cri de guerre. Elle n'avait pas fini de l'entendre...
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Emissaire du Bearn
Ptitmec13

Le match rentre enfin dans le vif du sujet.. à moins que ce ne soit les griffes qui luttent contre les ruades..
Yago, Freeman, Midvit et Tchetchenov se ruent sur Russo qui a juste le temps d'envoyer la soule à son capitaine avant de s'effondrer. La ruade des bourricots est stoppée nette par le mur Malik, Vanyel, Varden et Stamildon qui rendent chaque coup, empêchant l'amatrice des fromages de mémé d'être KO mais mettant le n°10 d'Orthez au tapis.
Pendant ce temps, Marius, en bon meneur de jeu, continue de faire avancer la soule.
Ptit siffla la bande de brancardiers pour venir évacuer Tchechenov et les soigneurs pour la mairesse de Mauléon qui se relève, un peu chancelante.


Infirmerie:
Tchetchenov KO
Russo 1PP restant

On continue.. pareil pas de délai c'est quand vous pouvez pour le Tour 3

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Lieutenant Chef de Prévosté
Lala.itou
Un marché aux bestiaux à Mauléon ?
Aux ânes serait plus juste si elle se fie aux braiments qui parviennent à ses oreilles.
C'est plutôt une bonne nouvelle. Elle pensait être devenue sourde tant le silence au village est pesant. C'est que quand on n'entend rien, qu'on ne voit personne, on finit par se poser des questions sur sa santé auditive.
C'est donc rassurée sur ce point que timidement elle s'approche de l'endroit où doivent être vendus les animaux.
Le pied est nu et leste, silencieux et léger. Le jupon coloré bouge au rythme de ses pas, les cheveux détachés de leur foulard habituel dansent sur ses épaules. Elle ne devrait pas être là, elle le sait.
Randro n'apprécierait que moyennement de voir sa soeur s'approcher sans garde des sédentaires qui s'époumonent autour d'un grand champ. On est comme ça chez les manouches, enfin.. ils... sont comme ça.
Lala elle, est curieuse, intéressée, et trouve toujours le moyen de se faufiler hors du campement pour aller épier les immobiles humains.

Point d'âne en vue. Mais des hommes et femmes qui courent dans tous les sens au milieu du champ.
Après une balle.
Les pas de la bohémienne l'amènent à l'ombre sous un arbre d'où elle admire le spectacle. Le sourire parfois s'ébauche au coin de ses lèvres en voyant les hommes se bousculer. Elle reconnait l'un d'eux , croisé rapidement dans une taverne. Qui semble commander à d'autres. Ce jeu est un total mystère pour elle. Lorsqu'elle joue avec une balle c'est pour amuser les enfants de la caravane ou viser les poules qu'elle cuisinera pour la famille.
Les pieds trépignent sur le sol desséché, les mains frappent l'une contre l'autre joyeusement lorsque la foule se soulève à certains moments. Elle ne comprend rien à ce jeu de balle, mais elle est consciente qu'elle observe un moment de fête. Et décide de le vivre pleinement.
Le sourire alors se fait plus présent, plus durable. Elle aimerait se rapprocher de ces dames aux belles robes, elle aimerait faire tournoyer au bout de ses bras les enfants présents, comme elle fait tourner ceux de son clan, elle aimerait partager les rires, les joies, et les verres.
Mais elle sait que les bohémiens, les manouches, les gitans... les voleurs de poules comme ils disent ne sont que rarement les bienvenus où ils passent.

Alors elle reste à l'écart, les yeux brillants, volant du champ où se déroule le match, aux cheveux brillants des enfants, puis aux robes dont elle rêve chaque fois qu'elle en aperçoit une.
Parfois cependant le regard fait un cercle, redoutant d'apercevoir un membre de la troupe qui l'observerait. Le retour à la roulotte serait alors difficile.
Ils ont perdu des proches ainsi, maltraités et même tués par des sédentaires qui ne supportaient pas la différence. Elle sait qu'il lui est interdit de se promener seule, elle sait ce qu'elle risque.
Mais que serait la vie sans risque ?




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Elytia




Pour une fois, Tchet n'était pas K.O. par le trop plein de bières ingurgitées mais par un mauvais coup porté à son attention.

Elytia se précipita avec son baluchon pour lui prodiguer les premiers secours. Elle réussit à lui faire retrouver ses esprits et il fut ainsi rapidement remis sur pied.

"Eh ben Tchet on peut dire qu'ils ne t'ont pas loupé sur ce coup là. Tu aurais dû voir le vol plané que tu nous as fait. Un véritable accrobate."
lui dit elle en lui souriant.

En finissant de nouer le ruban autour de sa tête, elle lui tendit le breuvage fabriqué par Yago :

"Voilà tu es soigné ! Tiens prends un peu de remontant, le Raide Bull va te redonner Force"

Puis, elle fit signe après à Brenn pour lui signaler que Tchet était de nouveau prêt pour rattaquer la soule....

HI HANNNNNN....
Aimelin
Il avait entendu parler d'un match de soule de lions contre des bourricots et il s'était empressé de laisser ses affaires pour filer vers le terrain où se disputait ce fameux match.
S'ils s'étaient installés à Pau avec Dance pour peupler la ville lorsqu'il était connétable, son amour disparu, l'armée où il était resté quatre mois disloquée, il avait l'impression d'y mourir à petit feu, et l'idée d'aller se dégourdir les jambes, et s'installer ailleurs germait dans son esprit depuis mi juillet.

Ce match était déjà une petite occasion d'aller respirer quelques heures.
Il avisa une place libre dans les gradins et s'installa alors que le match avait déja commencé. Des têtes connues et amies du côté de Mauléon, et un peu partout autour du terrain, difficile de ne pas les encourager.
Il avait fait parti des Malus au tout début de leur existance, et il suivit la rencontre avec intéret

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Ecm
Ecm commençait à s'inquiéter, la soule s'approchant dangereusement des buts d'Orthez.

Allez les bourricots, allez de l'avant, hi han!

La Lourdaise se dit qu'ils auraient pu trouver quelque chose de plus seyant pour supporter Orthez, mais après tout, l'essentiel était de passer un bon moment.
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Cooky
Bonjorn Eglantine !
Nous pouvons prendre place à tes côtés ?
N'aies pas peur, nous sommes trois, mais nous nous ferrons tout petits pour ne pas déranger, promis.


Ils avaient du s'arrêter en chemin, Arthur ayant voulu voir toute l'action qui venait de se dérouler sans en perdre une miette. Ils avaient eu mal en même temps que Tchetchenov quand les mauléonnais lui étaient tombés dessus sans coup férir.
Entendant la lourdaise braire de concert avec l'équipe orthezienne, ils se mirent au diapason.

HI HANNN !

Trois braiments de plus s'élevèrent dans les gradins, suivis par une salve d'encouragement des petites mains d'Arthur.
Elle jeta un rapide coup d'oeil alentours. Elle ne s'y faisait pas à ce cri, quelle idée d'en avoir choisit un pareil ! Ca vous ruinait une réputation en un cri !


Alleeeez les z'ortheziennns, allez les bourricoooots !


Le petit était dans la partie, aucun doute.

Rega'des M'man ! C'est comme je t'ai expliqué !

Euh oui oui, tu avais tout bien dit, c'est tout pareil.

Il lui faudrait encore un certain nombre de matchs pour être au point, mais elle était décidée à comprendre. D'ici là, fallait-il encore que leur équipe s'en sorte. Pas question qu'ils laissent la soule envahir leur en-but ! Ils étaient ortheziens que diable, ils allaient s'en sortir !


Allez les bourricots !! Allezzzzz HIHANNNNN !
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Emissaire du Bearn
Godevin
Godevin étant sur le terrain vit la soüle près de leurs embut, il se dit
"mais que fait bibaf et fée elle dort, tant pis je me replie et je vais la chercher", i[
i]l repensa comment les lions avaient mis mis en paté tchet et il eu un doute d'un seul coup et puis se ressaisit :[/i]
"tant pis j'y vais ont va pas se laisser bouffer tout crû quand-même ";
il ramassa la soüle et remonta le terrain jusqu'au camp adverse et là devant lui il vit deux lions affamés , il déçida soit de les éviter soit de passer la soüle a midvit, il déçida plutôt pour le coup de pied dans l'enbut adverse, ça laisserait plus de temps aux bourricots pour se réveiller; il tapa de toute ses forces qui étaient énormes ce jour là (c'est rare le lundi hrp) et botta dans l'enbut adverse; et il courrut pour essayer de marquer le l'essai.

et bien sûr il cria le cri de guerre volé a grmy :


HIHANNNNNNNNNNN

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Ysatis
A peine rentré de chez les moines, Ysa enfila sa tenue et se dirigea vers le stade avec Les autres Pompom gueules pour encourager ses amis

Allezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Orthez


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Brennach
Le temps s'était figé. Il semblait pour les yeux du capitaine que les évènements se déroulaient au ralenti et que le dénouement n'était point en sa faveur. Etait-ce ce que ressentait un capitaine d'armée quand il sentait venir la déroute? Il l'ignorait, il n'avait jamais commandé d'hommes, ni intégré une armée ou participait à un quelconque combat.

Ceci dit, la sensation était tenace. Alors que les encouragements dans les gradins s'amplifiaient pour donner courage qui à l'arbitre, qui aux Bourricots, qui aux Lions, Brennach ne les percevaient que comme un lointain écho déformé, un brouhaha informe, toute son attention étant portée sur la soule.

Cette dernière se rapprochait dangereusement de l'enbut d'Orthez. En soi, cela n'était pas inquiétant, cela faisait partie de la tactique adoptée par le capitaine et dicte de la ruade inversée. Chacun avait bien exécuté le mouvement, alors que Fée et Agnesse se repliaient en arrière ligne pour pouvoir opérer une remontée ultérieure, Yago, Midvit Freeman et Novi se ruaient sur le seul obstacle qui empescherait véritablement la percée orthezienne: Dame Russocarine.

Peu importait alors si des Mauléonais de la meslée passait le mur défensif puisqu'il serait trop tard ensuite pour réagir, si les passes de Brennach et des filles étaient susres et elles avaient suffisamment été répestées à l'entrainement pour l'estre. Ceci dit, c'était une stratégie qui "passait" ( ah, ah le jeu de mot) ou "cassait" ( pauvre Novi).

Et, ce plan sans faille dans l'esprit du capitaine en comportait pourtant une et de taille. Les Lions ayant flairé le traquenard bloquèrent le seul joueur qu'il pouvait bloquer en l'occurrence dans la mesure où il devait traverser tout le terrain dans la largeur, c'est à dire ce pauvre Tchetchenov. Et pour lui à défaut de ruée vers l'or ou vers la soule, ce fut une ruée de coups de poings et de pieds qui eurent raison de lui avant qu'il puisse atteindre le numéro 1 de l'équipe adverse.

Brennach espéra un instant que la force du colosse qu'était Midvit suffirait à compenser l'absence de Novi et à terrasser la redoutable maire de Mauléon mais elle était aussi coriace que sa réputation le laissait entendre. Il la vit donc se relever et alors qu'une pause était accordée pour que les soigneurs sortent l'Orthezien évanoui du terrain et soigne la Dame bien sonnée malgré tout, il sentit que les carottes étaient cuites pour les Bourricots. Et un asne les préfère cru, assurément.

La remontée fantastique et la victoire d'Orthez était au bout du pied de Yago mais la soule arriverait-elle jusqu'à lui? Il ne demeurait qu'un obstacle à la percée de Yago, mais un de taille: Russocarine. Si elle réceptionnait le dégagement de Brennach, alors tout était perdu, surtout que le capitaine Mauléonais était proche de la zone d'enbut.

Quand Ptitmec annonça la reprise du jeu, Brennach ferma les yeux et respira profondément. Perdu pour perdu, les Ortheziens allaient montrer à tous que les asnes, contrairement aux oiseaux, ne se cachaient pas pour mourir. Il rouvrit les yeux, arma son coup de pied et frappa la soule de toutes ses forces en poussant un rugissement féroce:


"Allez les Bourricots, Pour Orthez, CHAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRGEZ!"
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- Troubadour autodidacte.
-Conseiller à l'animation en février et mars 1458
-Tribun en mars, juin, juillet et aout 1458.
-Diacre de la paroisse d'Orthez.
-Capitaine de l'équipe de soule d'Orthez, les BHO.
-Ecuyer de l'ordre du mérite béarnais.
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