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[RP]"Pour Dieu, le Roy et le Périgord Angoumois"

Vonafred
Accompagné d'un aide de camp,le Baron s'installa sur une botte de paille, le temps que soit dréssée sa tente de campagne.
La nuit était fraiche, le Dublith ne pouvait fermer l'oeil.
La campagne s'annonçait longue et meurtriere, le Roy ordonnait, il ne réfléchirai point...

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Benduguesclin
Les soldats BenDuguesclin et Ogène montait la garde depuis quelques jours à l'entrée de Sarlat.

La situation du Royaume était bien tendue. Une nouvelle fois, la Bretagne et l'Anjou titillait le Roy. Malgré tous les traités, malgré toutes les promesses, les sujets de frictions entre le Grand Duché et le Royaume étaient légions.
L'affaire de la nouvelle religion angevine avait fait déborder le vase.
L'armée de Bretagne conduite par Nilas, de sinistre mémoire en PA, venait au secours des Angevins s'opposant aux armées saintes.
Si la situation semblait s'être calmée, la présence de nombreuses armées pouvaient faire craindre le pire.

Dès lors, le jeu des alliances allait jouer ?

La question était de savoir comment allait réagir le Ponant. Alliance commerciale, elle n'avait jamais éprouvé une telle situation. Ses membres allaient-ils soutenir la Bretagne ?
Si tel était le cas, le Périgord-Angoumois se trouvait bel et bien au coeur d'un conflit de par ses nombreuses frontières avec la Guyenne et la proximité d'avec son ex-allié historique le Poitou.

Là-dessus, les frictions Berry-Touraine semblait reprendre.

C'était sûr, il allait y avoir du sport.

BenDuguesclin avait fait part au Lieutenant de son désir de s'engager.
L'autorisation avait été temporairement et normalement refusée. Mais un nouveau courrier du capitaine lui demandait de se tenir prêt. Il se rendit donc aux nouvelles dans le camps de l'armée du Sénéchal Vonafred.

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Franckshinatra
les discussions privées firent un curieux effet sur la silhouette émaciée du diacre. Cette nuit fut comme les autres, studieuse et religieuse. Le maigre blond savait mettre à profit ce moment où la plupart dormait. Lui, genoux à terre, mains jointes, il parlait à Dieu. Oh, il savait que nombreux étaient ceux qui se moquaient de lui, et de sa foi. Pourtant la vérité n'était jamais dans les moqueries, ni les bassesses humaines, mais bien dans la main du Très Haut et de ses représentants sérieux.

Comme le coq chanta, le diaphane ecclésiastique laçait déjà ses sandales. Son bâton de pèlerin allait sans doute être utile, aujourd'hui, si la houle, qui s'annonçait, s'avérait ! Il avait cru, entre deux admonitions muettes, le pas de chevaux de guerre. Le beau teuton était déjà en marche ? IL fallait s'en assurer, et dans ce cas, montrer qu'il avait un frère, fidèle, jusque dans ce que ce monde pouvait imaginer de pire...

LA motte était trempée, ce matin là, et dans l'air flottait une odeur de métal qui souffre de l'humidité. Beaucoup de soldats dormaient encore, mais la petite butte choisie par Ségonzac était toujours en vie, elle. D'ailleurs, on ne voyait que lui : un chef de guerre, impressionnant dans son armure, et touchant dans sa Foy.

Le diacre s'avança, tentant de ne pas glisser sur les herbes couchées par le poids d'une rosée, et s'adressa à l'aide de camp du beau capitaine.

Annoncez moi, mon fils, à votre capitaine. Dites lui qu'un sergent de Dieu est venu à lui... Il devrait comprendre ! Allez, mon petit... allez !

LA voix si frêle du maigre religieux avait pourtant toujours le sourire d'un courage qui n'était en rien dû à ses capacités soldatesques. Non, seul sa foy et sa confiance en Dieu le menait ! Alors, quand il poussa gentiment le soldat de son bâton, comme pour hâter le message, il souriait !
Arthas_menethil
Alors que comme tous les matin Arthas se dirigeais vers la mine remplir son petit devoir de petit citoyen, il vit à la sortie de la ville une tente et des hommes et femmes qui si agitais...

Il s'arrêta un instant et vit les mines sombres de certain.... le même regard déjà vu chez tant de personnes; tous, des soldats, qui partaient pour la guerre...

Alors que sa demande d'engagement tardait, il les regardaient se disant que si sa tombe, ils allaient partir sans lui....

Il ne put s'empêcher de faire une mine boudeuse râlant en peu sur les officier qui prenait le temps pour traiter sa demande, puis se ravisa aussi vite en demandant pardon au tout puissant pour ses mauvaise penssées car les officier devaient justement être occupé à bien autre chose que le recrutement en ces temps...
Vonafred
Un salut fort amical au Vicomte qui pénetrait dans l'enceinte...
-Palsembleu,Biron, ravi de vous avoir avec nous.
Un garde vint annoncer le Frère Franck...
-Faites venir notre frère et ami...
A voix haute...
-Qu'il soit connu de tous que je ne pars jamais en guerre sans la bénédiction d'un Saint homme !
Voyant plusieurs hommes qui n'osaient s'approcher...
-Soldats, demeurez avec nous si votre volonté est le service du Roy !
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Benduguesclin
La politique avait éloigné les deux hommes. La guerre les rapprocherait peut-être.
Le salut de Vonafred paraissait sincère. BenDuguesclin répondit par une franche poignée de main.


Bonjour Sénéchal,
Je viens aux nouvelles. Apprenant l'accumulation des forces hostiles à notre Roy et la menace du Ponant, j'ai envoyé missive à mon Lieutenant lui faisant part de ma disponibilité.
Suite à cela, le Capitaine m'a appris que votre armée campait à Sarlat. Je venais voir si vous aviez plus d'informations sur la situation.

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Franckshinatra
On fit signe au blond de s'avancer. Il put voir Ségonzac, déjà prêt. et sa voix tonnait déjà dans la brume du matin. Mais il était tout à ses affaires les plus courantes, et surtout en discussion avec le vicomte Dugesclin. IL resta donc en retrait, pour interférer en rien dans la conversation.
Il profita de ce moment pour regarder les hommes. Certains dormaient, certains tremblaient sans le montrer, d'autres se contentaient d'être là...
Vonafred
Main qu'il tendit bien volontiers à cet homme qui n'avait jamais démerité au service de son Comté.
-Et bien mon ami, la situation se détériore chaque jour...
Nous venons d'apprendre que les armées bretonnes fauchaient à tout va en Anjou.
Le Comte ma confié le commandement de cette armée qui sera essentiellement constituée du ban, de soldats de la Copa et de lances alliées.
J’attends donc son ordre de mouvement.

Apercevant un visage fort apprécié.
-Vicomte, laissez moi vous présenter le Père Franck, qui en plus d'être un ami cher à mon cœur, me fait l'honneur d'être notre Aumônier...
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Franckshinatra
A l'invitation du beau teuton, le maigre blond s'avança. IL s'inclina religieusement devant les deux hommes. Une fois redressé, il affichait sur son visage fin un sourire qui aurait donné des ailes à un phœnix !

Mon fils, je suis toujours ravi de rencontrer ceux qui ont l'écoute du Capitaine...Enfin... notre teuton... Heu, bref ! Vous excuserez mon ignorance des hiérarchies militaires !

Le blond sourit à nouveau, chassant quelques mouches imaginaires. Puis il poursuivit.

Mais je sais, grâce à notre Très Haut, la hiérarchie des cœurs, et ce qu'on peut en attendre... Avez vous un cœur, mon fils ?

Le maigre corps offrit un petit sourire.
Arthas_menethil
Un nouveau matin ce levait, Arthas venait de remplir ce qui devait être les derniers papiers pour s'engager dans la COPA et pour ne rien gâter, il venait de terminer son contrat braie à la mine ce qui fait que ce matin, fort frait, c'est fier comme un paon qu'il sortit de la ville pour se rendre à la mine avec ses belles braies en se disant que peut-être son enrôlement serait terminer juste à temps pour pouvoir partir avec ces hommes d'expérience... au service du Roi
--Stanislas


Le chien de guerre avait mit du temps pour retrouver l'odeur des combats. Quand Stanislas quittait Bordeaux, c'était toujours l'arme à la main. Sans doute que cette fois encore, il aurait sa part de tripes et d'excréments.
Son visage, pendant qu'il marchait vers le campement qu'on lui avait indiqué, à son arrivée en Sarlat, était froid comme le marbre le plus noir.
Et quiconque croisait son regard savait dans l'instant que cet homme était un homme sans remord militaire. Sans doute parce qu'il ne portait que peu de plaques, se contentant d'arborer un gambison souillé de sang, ça et là, d'un gorgerin qui donnait encore plus d'allure à son visage, et d'une paire de spallières pour terminer l'ensemble. Cet homme, souvent au service d'une Église bien faible quand il s'agissait d'agir autrement que par des mots, avait l'expérience. Et il comptait bien l'offrir, en espérant ainsi pouvoir étancher sa soif... d'hérétiques !

Il devait y être, car il voyait les officiers, sur une butte, et quelques soldats qui passaient. Il attrapa le premier par l'épaule. Celui qui partait à la guerre avec des braies toutes neuves ! Le dogue de Bordeaux le fixa un instant, et aboya.

Qui est ton capitaine ? Mène moi à lui !

Et sans vraiment attendre de réponse du gamin, il le poussa un peu vers l'avant, là où semblaient se tenir une discussion des grands officiers.
Cyrus
Cyrus, et sa lance, arrive de Bon matin au Campement du Séneschall, toute Banière déployée. Descend de son baudestrier calmement, plie sa baniere, et la remplace par une autre qu'il garde comme la Prunelle de ses yeux. Il l'accroche sur la hanpe de sa lance et plante cette dernière au milieu du Campement, prés de la tente du commandant cette Amée. Il fait installer sa tente, y depose armes et bouclier et s'empresse de se diriger vers la tente de Commandement.

Il y entre, incline la tete devant le Baron et met le genoux droit à terre:

Pax Vobiscum Sénéschall Vonalfred

Me voici à vos Ordres... votre banière flotte sur votre Campement, comme il se doit.

Puis se releve et se retournant sur le père Franck.... Mon père.... incline le tête en signe de boujour... Reiter Cyrus, ordonnance du Séneschall commandant cette Armée.

Puis se retournant sur Benduguesclin, inclinant également la tête: Messire le Viconte de Biron, bien le bonjour!
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Luaine
[Périgueux / Sarlat]

Les ordres avaient été donnés...Elle rejoindrait le groupe de Cyrus pour partir vers Sarlat. Une larme au coin de l'oeil. Une larme de joie pensant à partir de la Capitale, qu'elle détestait. Quelques amis y résidaient pourtant.
Elle s'était présentée à Cyrus. Tout était prêt pour le départ. Ses sacoches étaient pleines, ses armes aussi affutées que les réflexes de la brune. Elle avait fait une halte par l'infirmerie pour prendre quelques onguents, ses instruments et quelques décoctions désinfectantes, cicatrisantes. Une toute petite boite métallique, cachée dans un coin, recelait quelques capsules de pavots pour éviter la souffrance.

On parlait d'une guerre imminente et elle y était préparée. Le temps avait fait son oeuvre et en plus de se battre, la brune était barbière, ôtant des vies d'un côté et se rachetant une conscience en sauvant quelques autres. Dieu savait qui il devait prendre et laisser. Elle n'était que son instrument.

Son bouclier attachée sur le dos et son épée dans un fourreau accrochée à son destrier, elle fit la route dans un calme olympien. Les quelques lieues qui les séparaient de Sarlat furent vite comblées.
Cyrus n'avait pas l'air d'être un loquace, sans doute son passage chez les teutons se dit elle. Elle ne le connaissait pas vraiment, se croisant quelques fois à la chancellerie.

Elle n'osa piper mot durant le voyage, assise sur son frison noir, les pensées vagabondes.
Au matin, Sarlat fut en vue. Cyrus ouvrit le chemin jusqu'au campement. La brune lui emboîta le pas pour se présenter. Il posa ses affaires dans une tente, elle attendrait pour savoir où s'installer.
Le pan de la tente de commandement fut soulevé et Cyrus s'inclina un genoux à terre. Elle le regarda faire attendant son tour. Un rapide coup d'oeil vers les personnes présentes.

Louis....Le vicomte....un homme??? Une femme??? Il ou elle paraissait d'église. La brune pénétra plus encore et plia son buste révérencieusement, à la façon d'un homme. La courbette n'allait de paire avec les braies et les cuissardes.

Mes Hommages.

Tour à tour elle dévisagea les personnes en présente en les nommant, leur donnant un salut de tête.

Vicomte!
Baron!


Aie le hic...comment appeler le dernier personnage dont le sexe était inconnu. Elle ne le nommerait pas et se contenta d'un salut de la tête dans sa direction.

Centaure Luaine. A vos ordres!

Aucune émotion dans son attitude ou sa voix ne trahissait ses pensées.
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Benduguesclin
En grande conversation avec Vonafred, BenDuguesclin ne manqua pas de saluer l'homme d'église.
Il salua également à son arrivée Cyrus.

Bien le bonjour à vous Messire Cyrus.

au Baron :

Vous avez grande chance Sénéchal d'avoir un ordonnance aussi zélé.

Un peu plus loin, un soldat attendait son tour. Le sénéchal était décidemment très demandé. De loin, BenDuguesclin qui était placé à l'opposé ne vit que l'étrangeté de la finesse des traits du nouveau venu.
Celui ci entama une sorte de révérence. Se tournant complétement le Vicomte vit que le soldat était en fait "une" soldat.
Le fait n'était pas rare dans les armée du Périgord-Angoumois, c'est l'identité de la jeune femme qui fit tréssaillir le Vicomte.[/b]

Il l'avait laissé quelques mois plus tôt en robe de soirée lors d'un bal fastueux. Il retrouvait aujourd'hui un soldat en braies et cuissardes qui venait visiblement de faire un voyage harrassant .

Et bien ! se dit le Vicomte, cette jeune femme semble pleine de ressource. Je la savais barbière mais non soldat. Il faut avouer qu'en braies et en cuissardes, elle fait aussi son effet.

Dame Luaine, quel plaisir de vous voir même si cela doit être les funestes circonstances actuelles qui je le présume vous amène dans notre bonne ville de Sarlat.
BenDuguesclin ne pu s'empêcher un baise-main même si ce n'était ni le lieu, ni le moment pour les mondanités.
Lorsque je vous évoquais la Guerre du Berry en mon château il y a quelques-temps, je ne savais pas que l'ombre d'un nouveau conflit ne tarderait pas à menaçait.

S'appercevant qu'il n'avait d'yeux que pour la jeune fille depuis qu'elle était arrivé et ayant peur de paraître impoli, le Vicomte fit quelques pas en arrière de manière à pouvoir s'adresser de nouveaux à tous les protagonistes.

Car c'est bien de ça dont il s'agit...d'une guerre et certainement, si le jeu des alliances se révèle, la plus terrible que le royaumes ait connu depuis le sacre de sa Majesté.
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Vonafred
Le maigre blond était tout à sa conversation avec le Vicomte de Biron.

Hasardant un regard aux extrémités du camp, le Baron vit avec plaisir force mouvements.

Le Reiter Cyrus fit son entrée...
-Dominus Vobiscum ami Cyrus.
Apercevant sa bannière au vent le Dublith eu un large sourire reconnaissant.
-Messires, le Vice chancelier et fidèle Ordonnance Cyrus m'est plus précieux qu'un souffle d'air à un noyé...

Dame Luaine en habits de guerre fit ses civilités et se mit à disposition.
Un regard vers la Damoiselle de Walsh Montfort.

-Les mailles vous vont à ravir ...Père Franck, Vicomte, Dame Luaine de Walsh Montfort...Soldat émérite et barbière...
Le Vicomte semblait à son aise et fit moult ambages à la Damoiselle qu'il connaissait déjà.Un homme au goût certain le Biron...
Salut militaire de rigueur aux soldats, les yeux plantés dans les leurs...
-Soldats, vous pouvez aller à vos occupations, la mobilisation ne sera effective que dans quelques jours. D’ici la, quartier libre dans la ville de Sarlat. Faites honneur à nos Forces Armées...Rompez.
S'adressant à Ben...
-Une situation fort critique mon ami...Préparons nous au mieux.
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