[Rp] Quand tout brule

Gian brulait cyl etait revenu au repaire prepare dautre fioles ... Cette fois si il s ataquerais a quelqu un en particulier. Hecat avait voulu s ataquer a lui et on s ataque pas a un membre de l hydre sans concequence ... 
Cyl avait entendu parler quel tenais a un endroit en particulier... Cyl avait encore mieu preparer son materiel...

Il arriva au galop par l arriere du batiment pour y lisser son cheval ... Il rentra de force dans le batiments et commenca a tout renverser ... Une fois tout a terre ... Il renversa du liquide inflamable partout sur tout les murs... Cela peit a peinne quelques minutes  il resortit du batiments alluma ses flacon et les lanca dans le batiments... Le feux se rependit a une vitese folle ... Cyl repartit sur son cheval noir a vive allure aussi vite qu il etait arrivee... 
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Oui, mettons Gien à feu et en cendre, chantonna la gamine en arrivant sur les yeux du crime.
Elle eut un rire d'extase en voyant les flammes s'élevaient dans les airs de plus en plus hautes, la fumée épaisse et noir commençait à tous envelopper... l'obscurité, comme celle qui régnait désormais dans son cœur, allait bientôt envahir Gien.
Elle se mit à applaudir à tout rompre comme devant un spectacle et se mit à rire plus fort.
La fumée s'élevait de plus en plus haut, de plus en plus grosse, déjà elle commençait à tousser , manquant s'étrangler.
Une dame d'âge mûr qui était venue pour observer le feu elle aussi la regarda de travers et lui demanda de se calmer.

Oh non, oh non, non, non, non, non! s'écria la gamine en faisant tournoyer le bâton au dessus de sa tête et fixant l'imprudente de son regard vide et froid. J'aime le feu!

Elle allait taper, taper , taper. Ça allait lui faire mal à la dame. Elle allait regretter de s'être adressée à elle, Siobhan ne veut pas qu'on arrête le feu, elle veut que les flammes brûlent tout et détruisent tout. Quitte à périr elle même au milieu d'elles.
Elle se dirigea menaçante vers la femme, le bâton tournoyant de plus en plus vite, prête à faire un carnage, enfin...enfin un cobaye humain. Elle en salivait presque.
Mais la dame émit un cri strident avant de se mettre à courir.
Déçue, Siobhan se mit à taper rageusement le sol de ses pieds, comme une enfant capricieuse à qui on avait refusé un jouet.
Pourquoi ? pourquoi personne ne voulait jouer avec elle et son bâton ?
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Artemus venait de laisser Cadom au cadastre il arriva devant l ' herboristerie l ' arc à la main.

Il vit une jeune fille un baton enflammé à la main se dirigeant vers une dame , il prit son arc pointa une fleche en direction de la jeune fille .

Un bruit sourd interrompis sa concentration , molly venait de faire son apparition sur son fidele destrier , il la vit sauter de son cheval et se mettre à crier en direction la jeune fille, il la laissa faire , débanda son arc
et alla en direction de l ' inconnu.

Ne bougez pas messire , j ' ai une fleche prete a vous transperçer

il remit son arc pret a tirer et attendis la réaction de l ' homme.
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Artemus tenait toujours l ' homme en joue, il le vit lui faire un sourire et lui tiens un étrange discours , cet inconnu venait de lui avouer les incendies.

Artemus voulu lui envoyer la fléche en plein coeur mais il croyait en la justice .

pourquoi ces incendies , je ne vous comprends pas qu ' à fais Gien pour mériter votre colère!!!!

Artemus regarda l ' homme dans les yeux

l ' église , la mairie , le poste de police c ' etait vous aussi , vous avez des complices avouez et votre chatiment n ' en sera que moins dur

Artemus ne vit aucune émotion dans le regard de l ' homme , il paraissait n ' avoir aucun remord.

Je ne peus rien vous promettre pour votre hache , maintenant vous allez devoir répondre de vos actes et je pense que votre hache ne vous sera d ' une grande utilitée.
Artemus reprit

vous etes un hydre , n ' est ce pas ?
Il ne le quitta pas du regard attendant ces confessions
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Il était tout émoustillé le deux.en.un, il en pouvait plus ! Il tournait en rond, mais c'est trop bien ! ça brule! ça fait un truc a faire !! Prenant sur lui de faire suivre les informations a toute la population Giennoise qui se battait contre les flammes, il grimpa sur une caisse et déclama avec son grand talent d'orateur les dernières nouvelles.

Molly prit ses appuis, et accusa le choc, elle tenue bon, mais la sangle tenant le bouclier a son bras la lâcha, et sa protection vola a quelques mètres de là.

Elle grogna, la secousse provoqua une douleur de son poignet jusqu'à l'épaule, sans attendre elle sauta sur la fille, et mena une attaque en faisant une enroulée vers la droite.

Souple mais ralentie par la douleur de son bras, elle toucha la blonde a la cuisse, sans attendre elle recula, elle savait que l'autre n'hésiterait pas a la tuer, elle ne voulait que blesser.

Elle avait tout de même une question : "Pourquoi?" dit-elle la gorge serrée par la fumée, et la rage.
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Le Repaire. Bannière, Avatar, et autres.

La maudite! elle s'était précipitée sur elle et lui avait mis un coup à la cuisse, maintenant ça faisait mal. Si mal!
En baissant les yeux elle vit le sang coulait sur ses braies noirs. Pourquoi ? le Dode avait pourtant juré que tout n'était qu'illusion!
Alors pourquoi saignait-elle ? pourquoi avait-elle mal ?

Elle voulut faire un pas mais elle tomba à terre, la blessure à sa cuisse n'arrêtait pas de saigner, et la douleur lui paralysait la jambe, elle la sentait jusqu'à ses orteils, elle poussa un cri de rage frustrée, comme un animal, comment allait-elle jouer si sa jambe ne voulait pas la suivre ?
Sa rage augmenta, maudite jambe! mauvaise jambe! elle voulait rendre la pareille à cette peureuse. Mais celle ci se mit à demander "pourquoi ?" d'une voix plaintive, pff pourquoi, hein ? pourquoi ?
La gamine ricana, ses yeux s'ouvrirent en grand , avec ses cheveux ébouriffés et les cendres qui lui tombaient dessus on aurait dit une folle, et tendit qu'elle essayait de se redresser péniblement utilisant son bâton comme une canne, elle répondit d'une voix cassée :

Parce que tu n'existes pas, voilà pourquoi ! tout n'est qu'illusion, tu es aussi peu vrai que je le suis! et même ce combat à mort n'est pas vrai, tout est faux, ce monde est faux! Nous ne sommes que des marionnettes dans un monde sans consistance ! Alors pourquoi ne pas tout détruire , ne pas tout bruler hein ? parce qu'en vrai rien ne brûle, tout n'est qu'illusion, ça n'a pas d'importance!

Et la gamine se mit à rire de plus belle, la tête rejetée en arrière.

Au loin elle entendit la foule enragée, on voulait pendre un homme! chouette! Sa joie en fut redoublée, elle voulait voir ça, mais elle devait d'abord en finir avec la fille.

Elle fit un pas vers elle, puis courant le risque de tomber souleva son bâton et frappa la jeune fille sur la tête, celle ci rapide, fit un mouvement de cotés et Siobhan atteint seulement son bras droit. Rhaaa!
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Ahh le bruit dans sa tête, le bruit dans sa tête. Cette fille et ses questions! Elle ne comprenait rien à l'enseignement du Dode, elle qui pensait que sa misérable existence était le summum de la création. Vivre , mourir, qu'importe. Ça ne servait à rien.
Il n'y a pas de vie, pas de Dieu, ou alors il faut le combattre. Tous ces êtres qui errent en vain, perdu ...heureusement l'hydre noir est là pour mettre un terme a leur tourment, par le feu et le sang.

Allongée par terre, Siobhan repoussa la fille qui ne manifesta pas de défenses. Elle voulait qu'elle la tue, misérable créature.
Elle essaya de se lever mais la chute lui avait fait plus de mal qu'elle ne l'aurait cru et sa cuisse lui brulait, la fumée lui irritait la gorge et les coupaient du monde. Elle distinguait à peine les arbres et les gens qui s'agitaient autour d'elles.

Tu veux mourir hein ? (elle eut un rire bref qui ressemblait plus à un hoquet ) N'entends-tu pas la Voix, celle qui te maitrise ? Qui te contrôle ? ne te rends tu pas compte que tu n'es qu'une marionnette entre ses mains ? Elle est dans ma tête, tu comprends, je l'entends là, tout le temps, ce bruit, ce bruit!! Cette voix m'empêchera de te tuer, elle m'empêchera ...mais ... mais pas de te faire souffrir ...

Siobhan , les yeux injectés de sang, fixa l'imprudente qui avait osé se mettre sur son chemin. La folie se lisait sur son visage. mais était-elle vraiment folle ? Elle se redressa finalement, elle avait décidé de la faire vraiment souffrir ... une idée malsaine lui était venue à l'esprit, le feu s'était propagée jusqu'à elles, et elle se dit que la fille ferait une superbe torche vivante.
Oui le feu, elle allait la brûler. Ou du moins une partie, le visage ou les cheveux ? ou pourquoi pas les mains ?
Qu'importe! Avec le peu de force qui lui restait après cette lutte, Siobhan. trébucha vers un petit arbre dont les quelques branches étaient prises par les flammes.
Elle en attrapa une, et se tourna vers la fille, le morceau de bois enflammée à bout de bras, elle se mit à rire.

viens, viens chercher ta souffrance!

Elle fit danser le bout de bois enflammée devant elle, c'était dangereux pour elle aussi mais elle s'en fichait. Elle lança la branche vers la fille.
Que le spectacle commence.

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La douleur a la cuisse, lui fit lâcher son branche enflammée et elle tomba à terre. Son bâton qui lui servait de canne, roula près d'elle.
La maudite avait encore de l'énergie à revendre. De rage, Siobhan se mit à hurler.

Non!non!non!

La blessure de sa cuisse se mit à saigner de plus belle, elle mit ses mains dessus pour essayer d'arrêter le saignement, mais la blessure était trop profonde, si ça continuait, elle allait mourir en se vidant de son sang.

Qu'importe, pensa-t-elle, la mort n'est qu'une illusion, car il nous est permis de renaitre ici tout n'es que factice. Elle regarda ses mains rouges et suintantes et se mit à rire, puis elle se mit debout à l'aide de son bâton malgré la sensation d'engourdissement de sa jambe et s'approcha de la fille qui essayait de se relever, son bras semblait briser , son épée gisait sur le sol près d'elle.
Si seulement Siobhan arrivait à l'atteindre, elle pourrait l'utiliser et lui trancher la tête.

Mais déjà les flammes autour d'elles se rapprochaient de plus en plus et la fumée la faisait tousser, elle avait la gorge en feu et des larmes coulaient de ses yeux injectés de sang.

Puis finalement, elle eut une idée, il y avait juste derrière la fille un arbuste enflammée. Avec ses dernières forces, elle se précipita sur la fille, et la poussa violemment par les épaules, de sorte que sa victime surprise tombe en arrière, pile poil sur l'arbuste en feu.
La malheureuse n'eut pas le temps de se saisir de son épée, Siobhan l'avait déjà en sa possession. Elle se mit à rire en observant la fille se débattre pour éteindre le feu qui s'était emparée d'elle :

Enfin! Enfin!


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Après s'être délectée du spectacle, de voir la fille se débattre avec le feu, Siobhan décida qu'il était temps de l'achever.
Avec l'épée dont elle s'était emparée, elle s'aprocha doucement de la fille, étendue au sol, presque inconsciente.
D'une voix étrangement calme qui contrastée avec son apparence de folle, elle déclara:

Il est temps pour toi de rentrer à la maison, de rejoindre la voix et le Dode , par cet mort tu te réveilleras pour de bon et enfin tu quitteras ce monde factice.

Et avec ces deux mains, elle souleva la lourde épée, qu'elle plongea lentement dans le cœur de la jeune fille.
Puis à bout de force, Siobhan s'écroula à son tour, la fumée l'étouffait et lui brûlait la gorge. Le sang coulait sans s'arrêter de sa cuisse.
Elle se demanda si elle aussi allait mourir, cette pensée la fit rire, le rire se changea en toux, une toux qui semblait lui arracher les poumons. Elle se mit à penser au Dode, se demandant s'il était fier d'elle, puis ferma les yeux avant de perdre totalement connaissance.
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Gwer avait entendu l'homme hurler à son égard, ainsi que les autres le suivre. Mais avant qu'il n'eut le temps de regarder autour de lui, il se fit empoigner par les bras. Il ne cherchait pas à se débattre, comme il l'avait dit, il assume ses actes, quoi qu'il en coûte. Gwerad était souvent vu comme un fou, il n'était pas rare de le voir faire des choses étranges, tout comme là. Pourquoi s'octroyer les méfaits d'un autre ? La raison de Gwer a sa raison que la raison elle même ne connait pas, un peu compliqué tout ça hein ? Maintenant vous aurez aussi mal au crâne que moi, je vois pas pourquoi moi, le conteur, serait le seul soufrant de maux de tête à cause du Gwer. Revenons en à nos brebis galeuses...

Gwerad se laissait emmener au pilori, ce "meuble" de bois. Bloquant la tête avec les mains. Malheureusement on lui retira sa hache, il n'aimait pas du tout, mais vraiment pas du tout qu'on le sépare de sa seule famille, mais il se retint bien malgré lui. Tel était sa volonté divine, nul ne peu allez à contre sens. On est comme le Tout Puissant nous a créé, on a "ses" idées, ses désirs. Rien n'est réellement de notre conscience, nous n'en avons pas, c'est celle du Très Haut, l'être divin et éternel.

Bloqué au pilori, Gwerad fit un sourire aux passants en colère. Leur montrant ainsi qu'il avait ce qu'il voulait, ainsi qu'eux même s'ils ne le savaient pas encore. Vous comprendrez plus tard, un peu de patience mes chères...
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[LE FEU VENGEUR]



Elle guettait toujours. Elle avait vu l'homme mettre le feu à la Chaumière mais était trop loin pour l'empêche de commettre son crime. Elle s'était donc mit à le suivre de loin, se faufilant tel un chat à patte de velours. Peut être la conduirait t-il à leur repaire. Et ce fût bien le cas. Après avoir suivit sa proie plusieurs minutes, elle le vit entrer dans une taverne portant l'enseigne "Hydriquement votre". C'était donc la qu'ils se regroupaient.
Elle s'en approcha pour observer les lieux. Elle se trouva un observatoire et attendit.
De longues heures s'écoulèrent avant que la bâtisse ne soit vide. Elle quitta alors son poste pour pénétrer à l'intérieur. Elle se dirigea vers le comptoir et vida une à une toutes les bouteilles sur le sol en faisant le tour de la pièce. Quand il ne resta plus une bouteille, elle sortit et prit ensuite un torchon trouvé à l'intérieur, y mit le feu et le balança dedans, regagnant son observatoire pour contempler son chef d'oeuvre.
Les flammes dansaient avalant tout sur leur passage. Une lueur brillait dans son regard. Elle avait hâte de voir leur réaction quand ils rentreraient et verraient que leur repaire était en ruine.

Artemus n ' eut pas le temp de réagir que déja des habitants empoignèrent l ' inconnu pour le mener au pilori , il n ' opposa aucune résistançe et l ' homme parut méme content d ' en arriver là.

Artemus voulut suivre cette foules qui emmenaient l ' homme quand son regard se figeat puis se fendit


Molly , noooooooonnnnn
Artemus vit et revit pendant de longues secondes cette scéne où l ' épée pénetrait le corp de molly .

Il reprit enfin ces esprits et vit l ' autre jeune fille s ' éffrondrer à son tour .

Artemus se diriga vers Molly s ' agenouilla à ces cotés et prit sa téte sur ses genoux.

Molly , c ' est artemus , reveille toi

Aucune réaction ne vint de la part de la jeune fille , elle était là , inconsciente , le sang ruisselant de sa plaie.

Artemus enleva sa chemise et la plaça sur sa blessure évitant de retirer l ' épée qui était toujours en Molly .


Vite , à l ' aide , j ' ai besoin de quelqu ' un pour m ' aider ,
Vite elle va mourrir
Artemus lança un regard à travers la place entendant la foule insultant un homme et les crépitements de bois brulés

l ' apocalypse venait de débarquer à Gien .

Artemus cria à nouveau arragant de l ' aide tout en gardant un regard noir sur cette jeune fille inconsciente qui venait de planter une épée dans le corp de Molly.

Il se mit à penser intérieurement

toi , ma fille , tu va payer , pour tout le mal qui à était créer à Gien

Il se releva s ' approcha de la jeune fille encore inconsciente enleva sa ceinture et lui ligota ses mains dans son dos , serrant au maximum la ceinture voulant inconsciemment lui rendre la douleur qu ' elle venait de faire subir à Molly.
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Cadom, noire de suie, courait partout, grâce aux giennois, les feux s’éteignaient. Elle entendit hurler Artemus et le rejoignit. Il avait recouvert Molly de sa chemise, vociférant ensuite contre une autre femme apparemment morte. Un vieil homme était là. qui dispensait ma foi de bons conseils à Artemus , qui semblait pris de folie.
Elle s’approcha d’Artemus et lui glissa à l’oreille, en mettant une main sur son épaule.

-Cet homme a raison, Artemus, amène donc cette femme prs du cimetière, nous l’enterrerons, il ne faut pas qu’une épidémie se rajoute à nos malheurs.

Elle se pencha sur Molly, sentait qu’elle respirait un peu. L’épée toujours enfoncée dans son corps…que faire ? La porter ainsi lui ferait trop mal et risquait d’être fatal. Elle s’agenouilla, lui prit la main, lui chuchotant :

-Je ne sais pas si tu m’entends, mais je vais te faire mal, là, alors pense fort que c’est pour survivre…

Elle prit de sa main libre l’épée et d’un coup la retira de la blessure. Le sang gicla, Cadom, au bord de l’évanouissement, plaça la chemise d’Artemus sur la plaie, appuya pour tenter d’arrêter le sang. Molly, toujours inconsciente, geignait, commençait à s’agiter.
Cadom cria :

-Quelqu’un peut venir par ici ? Il faut emmener Molly au dispensaire, vite !!!!
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Cadom avait emmené Molly, aidée de quelques braves hommes, à l’herboristerie, car passant devant le dispensaire, elle avait constaté les dégâts du feu et Hecat ne s’y trouvait pas.
Elle avait mandé les hommes qui l'avaient aidée d'aller chercher hecat au plus vite.
Elle avait déposé Molly sur un lit et lui tenait la main en attendant qu’Hecat arrive.
Elle entendit la pauvre fille gémir et la vit bouger les lèvres. Elle se pencha pour juste entendre : »aide-moi… »
-Molly, c’est Cadom…tiens bon..on va te soigner…serre ma main aussi fort que ta douleur, cela te soulagera…
Cadom priait pour qu'Hecat ne tarde pas trop..la vie de Molly semblait ne tenir qu'à un fil, celui de son sang, qui n'en finissait pas de sortir.
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Cadom caressa la joue de Molly. Hecat ne venait pas, et Molly continuait de perdre son sang, et la plaie, d’heure en heure risquait de s’infecter.

-Molly, tiens bon, je vais tenter quelque chose…

Elle se leva, fouilla dans l’herboristerie à la recherche d’onguents. Elle avait lu quelques livres de médecine à l’université, qui sait, cela allait –il l’aider. Elle n’avait pas le choix de toute façon. Elle trouva les onguents et de l ‘eau de rose.
Revenue vers Molly, elle découvrit la plaie . Celle-ci était nette, l’épée avait tranché en une ligne. Elle versa de l’eau de rose dans la plaie, puis la combla d’onguents. Tout en faisant cela, elle regardait du coin de l’œil Molly, qui souffrait terriblement.
Finalement elle couvrit la plaie d’un linge de lin et s’assit, en nage, près de Molly. Il fallait attendre désormais, sans savoir si Molly allait survivre..
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