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[RP]Coeurs, paillettes et soldats: BDN, tranches de vie

ulrich
RP ouvert, ça va de soi, aux (pléthoriques) membres du quatrième corps, mais aussi à tous les membres de la BDN qui souhaitent raconter un épisode de la trépidante vie de militaire (pensez à baliser!), ainsi qu'à leurs visiteurs, envahisseurs, et cueilleurs de fleurs (cherchez pas, c'est juste pour la rime). Have fun !


[Le Quatrième, tente rose au milieu du camp Fécampois]



-Dis, Jack tu crois que maman va gueuler si elle s'apperçoit que les tentures du petit salon d'Ouillie ont disparu?

-Si elle sort de son monastère un jour, vous vous ferez battre comme jamais, monsieur.

-Bah! ce sont les tissus les plus étanches que j'ai trouvé! Si le duché nous fournissait des tentes aussi...

-En même temps, monsieur, vous tenez résidence à Fécamp.

-Mhh... oui, mais ta gueule! Vas me chercher Smag! Et puis Patoche aussi! Et Vaivai si tu tombe dessus!


Une fois porteur numéro un allias Jack parti, Le bâtard s'étira, dure nuit passée à patrouiller, et à tromper l'ennui... Personne à buter... c'était pire encore que la boue, la neige, ou la poussière pour l'estropié...

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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
ulrich
Ce qu’il pouvait être long, Jack ! Aller chercher trois personnes, c’était pas la fin du monde non plus !
Ha, il arrivait enfin, un pli à la main…


-Un message de cet homme que vous avez envoyé en mission, pour l’éprouver avant de le recruter dans votre armée !

-Ha, oui, celui qui devait escorter Elisabeth de Dieppe à Fécamp ! Donne !


Ulrich lut à haute voix…

Citation:
Bonjour Messire,

Bien rentré ce jour mais nous avons été rackettés en route.

De mon côté, pas de bobos. Uniquement ma bourse vidée.
Vous m'avez dit de ne pas porté plainte...J'attends vos instructions.

A part mon racketteur, je n'ai croisé personne.

Veuillez m'excuser, j'éspère que votre Dame va bien.

Bien à vous,
Votre dévoué Plagio.


était joint un portrait du brigand en question…

-Norf de norf, l’andouille !

-En même temps, si vous aviez pris cinq minutes pour lui expliquer comment voyager, et comment agir et quand se défendre…

-Heu oui mais… grmblbmbl… bon… apporte lui une seconde viande, et laisse-le au repos aujourd’hui. On lui donnera une seconde chance… Attends, j’ai un peu de courrier…


D’abord un courrier au maire de Fécamp mettant Plagio à sa disposition puis un courrier au capitaine l’informant que le Quatrième bougerait cette nuit, ensuite…

Citation:

Soldats ! Cette nuit, entre Dieppe et Fécamp, un vil brigand a sévi. Il agressa sauvagement ma doulce, et une future recrue de la BDN, envoyée en mission par moi, pour voir s’il savait mener une escorte…
Ce soir, nous les vengerons ! Nous ratisserons le nœud entre Fécamp et Dieppe.
Ce serait un Germain ; donc tapez sur tout ce qui bouge, et lorsque vous entendez un « arch » dans le tas, massacrez !
Préparez vos lances, épées et écus ! Il n’a aucune chance face au glorieux Quatrième ! Demain nous repartirons en direction de Fécamp. Si nous ramenons son cadavre avec nous, vous recevrez une ration de viande.
Une petite information pratique : grâce au don de Smag, nous pourrons continuer à verser des soldes permettant de nourrir décemment les étudiants au grand appétit.

Votre dévoué ;

Ulrich Milambert Louis de Lasteyrie de Cénorel


Un p’tit mot à Plagio aussi…

Citation:
Le bonjour, messire ;

C’est avec colère et tristesse que j’ai pris connaissance de votre missive. Gageons que ma douleur sera apaisée demain matin, à la vue des tripes de votre brigand, dégoulinant sur les vertes prairies Normandes.
Après réflexion, je ne vous en veux pas, vous avez sans doute fait de votre mieux. Et je suis en partie responsable de l’échec de votre mission ; j’aurais du prendre le temps de vous expliquer les groupes et leur fonctionnement.
Passez me voir au camp lorsque vous aurez du temps, je vous expliquerai les subtilités des déplacements.
En attendant, je me suis permis de vous mettre à la disposition de la mairie de Fécamp en tant que marchand ambulant. On ne vous confiera certes pas un gros mandat, mais un petit, ce sera déjà bien. Je vous rémunèrerai à hauteur d’un morceau de viande par jour de déplacement ; la moitié au départ, la moitié à l’arrivée.
En attendant, je vous laisse vous remettre de vos émotions.

Que le très haut vous garde.

Respectueusement ;

Ulrich Milambert Louis de Lasteyrie de Cénorel


Et une dernière à Elisabeth, tout de même…

Citation:

Ma doulce ;

Nous avons appris par votre excort-boy l’incident. Nous espérons que vous vous en remettrez vite, nous prirons Sainte Dwiwai pour vous. Pourquoi elle plus que les autres ? Parce que votre brigand subira les mêmes traitements qu’elle s’infligea. Notre courroux à son endroit semble n’avoir point de limite, et nous le défoulerons sur ce cloporte.
Nous mettons en effet dès ce soir notre armée en mouvement pour châtier cet enfant de putain qui osa porter la main à votre bourse, avec ou sans autorisation de nos supérieurs. Croyez-nous, il le regrettera longtemps. Quel est votre état ? Vous a –t-il fait subir quelque infamie ? Si c’est le cas, nous apposerons nos déjections, tel un scel sur son cadavre encore chaud.

Votre tout dévoué et très aimant ;

UMLLC


Allez, vas délivrer tout ça, ce soir on lève le camp...
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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
ulrich
[Y’a des jours comme ça, où on ferait mieux de rester couché…]

[Nœud entre Fécamp et Dieppe, le même jour, au soir]

Norf !


Voilà déjà quelques heures que la pluie ne ruisselait plus sur le capuchon du bâtard, devenu complètement spongieux. Mais il ne souhaitait pas pour autant que les cordes cessent de tomber : au moins, cela ôtait quelque peu les tâches de boue qui maculaient ses vêtements… Premières pluies de septembre… Et quelles pluies ! Chaque buisson de la plaine avait été fouillé, en vain… Premier échec ? L’estropié ne voulait s’y résoudre, surprenant ce qu’il prit pour de la lassitude dans un mouvement d’un de ses hommes, il cracha bruyamment…

On continue !

Mais les heures suivantes à battre la plaine normande n’y firent rien… Le brigand s’était volatilisé, et l’aurore approchait, comme les remparts de Dieppe d’ailleurs…
Ils y passeraient la journée…
Séparation de la petite troupe aux portes de la ville. Lasteyrie se dirigea vers la première taverne qu’il trouva. Un coursier de sa mère ne tarda pas à l’y rejoindre…


-Alors, ce brigand dont vous vous faisiez fort de lui régler son compte ? On parle de vous, à Rouen, pour les ducales, vous savez ?

-Moi, duc ? Ca ne m’intéresse pas, ni conseiller, ni politicard. Vas pas répéter à Mère qu’on me désire à corps et à cris hein ! Quand au brigand… chou blanc, je suis trempé et probablement fiévreux, norf de norf !

Heu…Vous n’y êtes pas du tout. Personne n’envisage de vous faire duc. Un homme a demandé votre démission, et vous qualifia de meurtrier, plus dangereux que protecteur en Normandie. Le sieur Riddler* vous défendit comme il put…


Le bâtard cracha par terre, de mépris… Une petite pensée émue pour Riddler, il lui revaudrait, sans nul doute… Bah, comme il ignorait les circonstances, ça ne devait pas être très facile…
Poing frappé avec force sur la table…


Norf de norf, encore un drôle qui croit que l’armée c’est un camp de vacances où on patrouille gaiement, et où on chante des chansons autour du feu ! Un jour, ‘faudra qu’il intègre que l’armée, c’est puant, sanglant, moche et boueux !

Nouveau crachat…

Bon… j’vais m’coucher, informe ma hiérarchie de l’échec de ma mission, et préviens Elisabeth que son brigand gît sur la plaine, mais que j’ai oublié où était le cadavre.

Demain, on rentre à Fécamp.

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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
ulrich
[Le 13 septembre]
[Sur la plage ensoleillée...]

Le mollusque était allongé à même le sable, à tenter de dormir un peu... Un peu de repos ne pouvait pas lui faire de mal après ses échecs récents... Il avait bien envie de buter de nouveau, mais les ordres étaient formels: stagner. Finalement, quoi de mieux qu'être payé à rien faire?
Cette quiétude ne dura pas...



- Monsieur, monsieur, Dieppe a subi une révolte la nuit dernière!

- Mhhh! Et alors?

ben faudrait p'têt' faire quelque chose nan?Le poursuivre par exemple!

-Bah, quoi? J'vais m'rater encore, et puis là, j'ai graaave la flemme...
Peut-être que le type tombera dans nos bras, et qu'on le massacrera?

-A part vous qui parvenez à vous perdre en Languedoc, je ne connais personne qui...

-Oui, mais la ferme, c'est de la haute stratégie militaire, question de marées, et de vents... j'le sens biens sur c'coup là... Laisse moi dormir tu veux?
Transmets sa bobine aux autres du Quatrième, on verra ça ce soir...


Le bâtard ferma les yeux, et se rendormit... ça lui passait complètement au dessus, ce pillage avorté...

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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
Rikiki
plutot dans la matinée:

le nain marchait, fais 'chier les gardes et mon contrat alors? pense qu'à eux...bon c'quoi ce bruit: schruitz schruiz? on dirait ce genre de bruit que les braies font quand on marche


défection alors qu'equi passe


même pas eu e temps de finir de tenir sa hache qu'une dame l'attaqué, paré
v'là un gars maintenant,
aeuuh ma jambe, enfoiré!

ouch v'là encore un autre,défection il fait noir qu'est ce qui ce passe

ah nnoooon si je mourru je pourrais pas avoir un enterrement, oh trops cool c'est ça la mort??

super les rêves qu'on fait...hein un ange?



kazadok à toi mon frère, tu es au paradis

Au paradis? Bah défection alors j'avais pas prévu de crever moi...

attendez ce passe quoi là? ahhhhhh

*se réveille une btte mystérieusement en moins*

punaise on en fait de ces rêves quand on crève...

bah elle est où ma botte, et c'est quoi ce bout de bo... Ma hache!!!!!nooooon

bon aller j'y retourne chercher ma botte...

le soir:

Salut salut, vous vous souvenez de moi? comment ça non... mince alors vous m'avez bien dérouillé la tête pourtant...J'ai pommé ma botte, donc me demandé si elle était pas ici.. vous permettez? merci


il s'appuyait sur son bout de bois et cherchait sa fichue botte
ulrich
Le bâtard sourit, oui, il se souvenait avoir laissé son cheval essuyer ses sabots sur l'homme, puis avoir récupéré sa botte du bout de sa lance, comme trophée...

Nann?

Ulrich essaya de dissimuler la botte toujours piquée à sa lance, derrière son dos...


Vous d'vriez voir un med'cin m'sieur, j'peux que vous conseiller Anya, l'méd'cin d'ma famille... l'est pas mal dans son genre en plus... Vous voulez que j'lui écrive?

Je heu... j'ai une question... On dit...


Il plaça son pouce et son index en forme de "L", avec le pouce en bas, symbolisant un grand homme avec une petite biiiiip ; puis il retourna le "L", symbolisant cette fois un petit homme avec une grande... bref, on a compris...


C'est vrai?

Mille pardons pour mon retard

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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
Rikiki
il rigola,

boarf, pas grave c'est les risques du métier, 'fin vous inquiétez je suis pas perdant dans l'histoire, bon euh puisque je trouve pas ma botte

il prit une chausse qui trainait à côté d'une des tentes, surement un des gars fainéant faisant sa sieste, la mis à ses pieds

ce que j'ai est, euh hum superficiel un 'tit bobo à la tête

eh et

il fit le "L" et fit oui de la tête


bon allé, pas tout mais je vais aller grailler un morceau,

il s'assit sur un rocher pour manger son morceau de jambon tranquille



pas grave^^
Lodanya
Non, ça ne se passerait pas ainsi. Elle ne pouvait pas faire comme si de rien n'était.
Zou, direction campement du 4ème Corps de la BDN.
Blondinette filait à galop décidé vers l'endroit souhaité.

Anya descendit de sa monture, son fidèle Liarim, qu'elle pouvait maintenant à nouveau utiliser pour ses déplacements. Arrivée devant les gardes du campement, elle se présenta tout de même.


Messires, je ne vous souhaite pas le bonjour, la journée est TRES mauvaise.
Anya de Puycharic, Damoiselle de Longueville au Mont.
Je vous passe le reste du pédigrée Normand.

Je viens voir le bat... Le chef du 4ème Corps.

Inutile de me conduire à lui, je saurai où le trouver. Une moule avariée, ça se sent à plein nez !


En parlant de nez, la moutarde lui montait, à Blondinette. Elle embraya le pas ferme et décidé, vers la tente du mollusque.
ça avait du bon d'avoir accouché. Elle se mouvait bien plus aisément !

LASTEYRIE !!!!
Assassin !!!


Sortez de vostre cachette !!
Mon Cousin, vous venez de signer là vostre arrêt de mort.


Arf, nan, Eli n'était pas là, inutile de la jouer à la cousine...
Blondinette avait le regard qui tue. Un vert foudroyant.

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ulrich
[planqué derrière un tonneau]

-Nan j'veux pas!

-Il faut bien y aller, Monsieur, elle a fait la route juste pour vous voir!

-Chhhhhhht! douc'ment, elle va t'entendre!
J'veux pas, j'veux pas, j'veux pas! Elle va m'engueuler à cause du poutrage de son copain!

En même temps, ce serait un peu mérité, d'autant qu'il vous a écrit pour vous prévenir

-Mais j'étais fatiguééééé! Son message puait la peur, j'ai voulu être certain de pas le massacrer, et je me suis trompé de liste!


De liste, quelle liste? Celle de vos commissions?

Mais chhhhht!

Ho et puis vous m'saoulez! J'me casse moi!


Ce faisant, Jehan se leva, et se dirigea vers la sortie du camp, après avoir indiqué de l'index le tonneau à Anya...

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"Aujourd'hui, maman est morte, ou hier, je ne sais pas"...
Pedroroy
Pedroroy vient d’apprendre que son ami Jérémielecorse viens de se faire attaquer par une armée en quittant Honfleur …………………Avec son amie de route Hadelize , ils prennent Jérémie le porte sur une civière et l’emmène devant ses assassins ………………..

Voila bande de peigne-cul !!!!Voilaaaaaaaaa !! CE QUE VOUS AVEZ FAIT A NOTRE AMI !!!!!!!! vous vous êtes mi à plusieurs pour le tuer !! une honte de s’attaquer à homme sans défense !! UN SI BRAVE HOMME !!!! bande de truffe cramée …………

Pedroroy regarde Hadelize , reprend sa respiration pose une main sur le corps roué de coups de Jérémie et s’exclame à nouveau ……..

On vous pèlera le jonc !!!!! vous n’êtes que des lâche et partout ou vous serez on y sera jusqu'à QUE mort s’en suive ……………..

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Rikiki
alors que tout le monde l'avait oublié riki était en train de se marrer en voyant la scène, l'homme si fier qui était en train de parler avec lui tout à l'heure est devenu un trouillard caché derrière un fût de bière vide!!

ahahah quel scène délirante pour le nain


hum si je puis me permettre, vous pourriez aussi ajouté, 'spèce de lâche doublé de pet de mouflon roux ça peut accentuer l'insulte et devenir très humoristique...
Lodanya
Pas de mou du Bigorneau au cerveau de moule avariée dans le coin. Gggrrr !!! de toute façon, c'était un homme mort !

Puis, Blondinette croisa un homme de Lasteyrie qui lui indiqua un tonneau.
Quoi ?!! Certes, elle était énervée, mais trop pour se calmer avec quelques verres de calva. Peu lui importait ce tonneau, elle n'avait pas envie de boire de toute façon, elle avait la haine dans le regard.

Arrivant près dudit tonneau, non loin de la tente Ulrichienne, elle entendit un couinement de souris. Large sourire sur le visage de Blondinette. IL était là !!

Sourire qui disparaît. Oui, il est là, mais planqué. Et sans brancard ? Planqué comme un gamin qui joue à cache-cache ???!!!!
Le cuistre !! Elle le savait, elle s'en était doutée !

Puis arrivèrent les amis du félon, félon qu'elle avait cru ami depuis de longue date, mais il l'avait trahie... avec une civière... et son Garde dessus ! Elle ne l'avait pas encore vu depuis son attaque, mais il ne fallait pas laisser s'échapper le mou du Bigorneau.

Anya s'abaissa et l'attrapa par l'oreille, sourire machiavélique. Après tout, les arrivants avaient envie de le tuer et à raison, mais elle avait toujours dit que si Lasteyrie devait mourir, cela serait de ses propres mains.


Oh, mon cousin chéri !!! Vous voici enfin !

Je te conseille de pas faire le mariole, parce que là, tu as une horde de tueurs, et j'ai bien peur qu'ils soient tout aussi remontés que moi, voire plus.

Il va falloir que vous vous expliquiez !
S'en prendre ainsi à MON Garde personnel, celui qui est censé me protég....


Puis elle se retourna vers la civière. Tiens, d'ailleurs... pourquoi Jérémie n'était plus à Bayeux ?
Il avait promis la protéger pourtant ! Aurait-il particip... Non, non... pas un de plus... Pas encore un à la trahir ??!!
Décidément, les hommes étaient tous les mêmes malgré ce que le Grand Duc avait pu lui dire. Aucun pour racheter l'autre !
Si cela continuait ainsi, elle aller vouer une haine sans borne à toute la gent masculine.

Il faudrait qu'elle lui demande explications. Car après tout, s'il l'avait trahie, peut-être qu'elle devrait plutôt défendre la moule plutôt que le beau brun qui lui avait juré fidélité et protection.

Histoire de calmer le jeu, elle annonça, en montrant ULLMNS HDUZ du doigt :


Hum... je me charge de lui.

Quant à cette civière, vu que je suis médicastre et qu'il s'agit de MON garde, veuillez l'amener sous la tente, je vous prie, je vais le soigner.


Si Jérémie était vivant, elle aurait des choses à lui demander...
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Jeremielecorse
Jeremielecorse fut retrouvé mort sur le bas coté d'un chemin par un villageois, arme au fourreau cassé en deux et bouclier à dos de mule littéralement bosselé ... Voila comment il fut retrouvé par ses amis qui accoururent, au bout d'une journée le voilà à la tente de l'homme qui avait valu sa perte ...

Il n'ouvrit pas un seul oeil en entendant des injures, encore un peu sonné il prefera faire le mort ... Un troupeau de gueux l'avait certainement écrasé pour lui voler ses quelques biens, car personne ne l'avait mis à terre lui qui avait l'habitude de charger ...

Non, il reprenait ses esprits peu à peu mais gardait ses yeux fermés mais les rouvrit au bout d'un petit moment ...


Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! J'ai mal !!!!!!!!!!!!! on a tué mon épée !!! Où est ma Hache que j'étripe ce saligaud !!!

Pffffff et dire que j'avais tout en règle et que j'avais même envoyé un message pour dire par où je passai et que je me defendais pas pour vous laissé tranquille ...

Se tourna vers Pedro

Dit mon Ami, vous avez pas un petit tonneau d'armagnac ?

Sourit
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Hadelize
Hadelize tenait la main de Jérémie pendant que Pédro et des paysans trouvées sur le bord du chemin portaient la civière.
Elle avait du mal à comprendre ce qui s’était passé.
Elle avait envoyé moult lettres à cet espèce de même pas général de cette armée d’ivrognes.
Le grand gaillard de Jérem avait signalé qu’il prenait la route.
Ils avaient un laisser-passer en bonne et due forme.
Elle cherchait ce qui avait pu se passer dans le crâne de cet hurluberlu de chef du 4ème corps quand, un éclair se fit dans son cerveau de blonde.
Elle lui avait offert qu’un reste d’armagnac au chef de ce corps de dépravé en lui disant que Jérémie avait un tonneau sur lui.
C’était pour ça qu’ils avaient attaqué ces soûlards ! Le tonneau !

Elle se retient plus la blonde, elle laisse sa haine, sa hargne éclater et se met à vociférer


Toi le Ulrich pas général, même pas capitaine, soûlard invétéré !
Viens si tu l’oses, viens !

Elle cherche sa hache mais bien sur on lui a confisqué. C’est les mains nues qu’elle avance vers la tente du responsable que les cris de la dame JAP lui ont indiquée
Viens-là si t’es un homme toi ?
Viens ! Je vais te le faire avaler l’armagnac et tout le tonneau !
Viens………….viens………….. Moins fier hein sans ta horde de soûlards !
Espèce de boursemolle……. de coquardeau,………de coque vert…………de………….de……………fut-en-cul


La jeune femme finit par s’étouffer de tous ces mots qu’elle n’a pas l’habitude d’employer et une grosse toux la plie en deux.
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ulrich
[Toujours assis contre son tonneau, l'oreille rouge, mais en charmante compagnie]



Le bâtard se frotta l'oreille... punaise, le camp du quatrième corps n'avait pas été animé aussi animé depuis longtemps! Dommage que l'animation en question soit le massacrage en règle du 'pitaine, sous le regard probablement ironique de Rikiki...
Blondinette et lui, le contentieux n'était pas nouveau, donc rien d'étonnant...
Hadelize (qu'on appellera blondinette numéro deux parce qu'elle le vaut bien) toussait fort, elle devait elle aussi être amatrice de serpolet, ou d'un autre truc qu'on met dans la pipe: outre le goût pour la fumette, ils partageaient celui de l'armagnac, et des tavernes, ils auraient pu être copains dans une autre vie... Ulrich en était presque à regretter d'avoir marravé le type qui l'avait supplié de ne pas le poutrer... Presque parce que ç'avait été une expérience intéressante: lui poquer la tête à coups de cailloux projetés par une fronde... intéressant? Amusant même! Il recommencerait, voir geindre un type qui faisait le fier, trois minutes plus tôt, c'était vraiment trop divertissant...


Norf! Le bonjour à vous, ma "cousine"... J'avoue que sur le coup, j'me suis planté en beauté... La fatigue sans doute... Ou le manque d'Armagnac?


Puis avisant l'excité qui parlait de lui "peler le jonc"...

La ferme, ou j'vous fais évacuer! Je n'ai cure de vos menaces, car vu vos multiples courriers de suppliques... Ca donnait à peu près ça...

Joignant les mains, et prenant une voie aigüe...

"Ho non, pitié, me frappez pas, on passe par Fécamp, on se défendra pas, on passera les doigts dans le fondement pour vous montrer qu'on ne veut pas vous attaquer!"

Alors vos mots, vous pouvez vous les carrer où j'pense!

Pour l'reste!

J'ai envoyé un courrier à la victime m'excusant et lui proposant d'l'indemniser! Ce à quoi il répondit par une lettre pleine de vengeance... Puis une suivante, cette fois, pleine de bave et de chantage, du genre : "si vous m'indemnisez, j'vous mettrai pas en procès". Donc d'un coup, j'ai plus envie d'indemniser ce roquet qui parle pour rien dire... Par ailleurs...

...J'vois qu'ici on m'traite de lâche, et mes hommes de soudards!

J'vais vous prouver l'contraire! Vous voyez, j'peux pas marcher. La solution d'facilité eut été d'cracher d'largent pour avoir la paix...

Ben... j'vais vous montrer à quel point vous vous trompez sur ma lâch'té prétendue...

Envoyez moi vot' champion, et on règlera ça en lice, à un contre un... A moins qu'z'ayez peur? Et puis, vous pourrez cumuler ça avec un procès à mon endroit. J'y survivrai, ma foi.

L'estropié sourit... un combat en lice, ça faisait longtemps... au moins deux mois...
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