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[RP] Joutes de St Michel du Lavardin 1458

Armoria
Mais qu'est-ce que j'fous là ?

Parfois, on fait des choses parce que sur le coup, on a l'impression que c'est une bonne idée. Mais parfois, on les fait parce que... Parce que quoi, au fait ? Ben ça dépend... Parce que ça fera plaisir, parce que ça se fait, parce que... Et le pire, c'est qu'on le fait en sachant que ce n'est pas une bonne idée, mais alors pas du tout.

Et la blonde altesse en était là de ses réflexions, les ongles longs et polis en griffes pianotant sur le bois de la tribune, non sans une petite moue de profond ennui.

Elle était en train de se faire une promesse : les joutes, comme la soule et les mariages, plus jamais ça. Restait à trouver une façon discrète de battre en retraite.

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A venir.
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Actarius
Le sort avait pour une fois épargné le Vicomte, libéré de l'obligation de jouter en qualification. Etant donné ses performances passées, c'était une chance à n'en pas douter. Le Phénix en profita pour vagabonder dans les alentours de la lice, laissant aller ses pensées à l'improviste. Il aimait bien cette ambiance particulière, festive, il s'en imprégnait pour mieux affronter le temps du retour en son Languedoc agité qui ne manquerait d'arriver bientôt.

L'écho des joutes l'atteignait à peine, ce fut pourtant cet écho qui le sortit de son errance lorsqu'il entendit le nom d'Eoghan... Curiosité piquée, retour à la réalité... les tribunes, là où on pouvait distinguer au mieux les festivités guerrières de la lice. Le pas sûr, il grimpa et soudain s'arrêta. La Princesse... Des mois qu'il ne l'avait pas vue, ni entendue. Oh, non pas qu'il était particulièrement proche d'elle, mais il avait un respect infini pour cette personne quand bien même ils ne connaissaient finalement que trop peu.

Il osa s'avancer jusqu'à elle. Tandis que le brave Eoghan venait de mordre la poussière, il s'inclina respectueusement et fit entendre l'oc de son accent.


Nautesa*, heureux de vous revoir.


*Altesse en langue d'oc

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Armoria
J'irai plus dans vos joutes, elles sont tristes à pleurer

En plus, il y avaient des femmes qui joutaient. Las, la ligue du coq hardi, faute d'une meneuse, était restée confidentielle. Quoiqu'à présent, elle avait davantage de temps... La petite moue se fit songeuse - entendez par là que le coin gauche de la bouche se releva légèrement - tandis qu'elle caressait vaguement cette idée.

Oui, elle était d'humeur maussade, et alors ? En pleine pénitence, et n'ayant justement que des idées à caresser... Rien pour aider la belle humeur.

"Nautesa"

Brève mais vive crispation de la main sur le bois. Ce mot lui rappelait Cristol. Et elle le détestait. Pas le mot, Cristol. Enfin, si, les deux, hop. Tout en se disant "il n'aurait tout de même pas osé ?", elle se tourna vers l'homme qui venait de le prononcer, le regard aigü. Ah, non, il n'avait pas osé. Elle se détendit, et offrit un sourire à son visiteur du moment, lui tendant une blanche - et vanillée - main.


Le bonjour, Vicomte ! Vous allez montrer votre âme chevaleresque en sauvant une Princesse d'un ennui mortel : baillez-moi quelques nouvelles, voici bien longtemps que nous ne nous sommes vus.
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A venir.
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Jehan_de_proisy
Le Fortunat s'était esquivé du campement pour aller voir les joutes...
Il y a toujours autour de ce genre d'échanges des gens qui gravitent. Qui à l'affut d'une bourse ou d'une galante aventure ce qui au final...mmm non laissons ça et observons.

Oui oui observons bon le Grand Maitre avait tenu bon c'était déjà un gage de bonne humeur jusqu'à la prochaine rencontre et donc de moindre frugalité sous la tente Hospitalière...

Ensuite observons les Poitevins...Bon un à terre l'autre encore en selle et par chance sa filleule. Penser donc à l'aller féliciter.

Observons ensuite les alentours ah une Dame en tribune dont la silhouette ne lui était pas inconnue. Pour sur qu'elle ne l'avait même plus en mémoire pensez donc un petit Poitevin des marais, "vous savez très chère là où les moustiques vous piquent prenant votre peau pour un abreuvoir..."

Bref pour une fois pas d'enlèvement quoique...attendons elle semble discuter avec un galant ou un suivant de cour ce qui au demeurant revient souvent au même.

Si l'occasion s'en trouve il l'ira saluer mais bon comment une Altesse se remembrerait elle un si provincial Seigneur?

Des visages connus avec ou sans balafre ce qui lui fait souvenir d'une chasse royale ou un certain balafré avait refusé de chasser avec lui parce que...ben parce-que c'était lui na!

Un sourire amusé à ce souvenir à défaut de motif sérieux de sourire en ce moment.

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Actarius
Chaste baiser ensoleillé pour une main vanillée.

Les nouvelles du Sud ne sont guère bonnes, Nautesa. Le soleil de l'été ne pèsent sur les organismes, le conseil actuel a pris le relai. Mais que voulez-vous, il y a bien longtemps que rien de bon ne soit sorti du Languedoc. Sourire détaché et soudain une lueur dans le regard d'apparaître. Les choses pourraient bien changer pourtant. L'étincelle de se préciser, de la malice !

Mais je ne voudrais vous plonger dans l'ennui avec de la politique languedocienne. Et là... et là... comment pouvait-il distraire une princesse ? Etre d'origine paysanne et porté sur la chose militaire avait des avantages, mais aussi le douloureux inconvénient d'être plutôt emprunté et maladroit dans ce genre de moment. Petite sueur froide... Un sujet, un sujet. La mort de sa fille aînée... non, non, elle venait parler d'ennui mortel. Aïe, aïe, ne pas trop tarder, éviter les lieux communs pourtant... mmmh... Et au fait devait-il s'asseoir ? Nouveau pique de panique...

Enchaîner, Enchaîner.
Le temps est passé si vite depuis mon retour... Non. Nul. Pourtant, je me languis des combats. J'ai l'impression d'être tellement plus à ma place sur un champ de bataille, que dans mon castel à jouer les pères autoritaires. Histoire de famille... Bien l'Euphor, bien, difficile de faire plus ennuyeux. Petit coup d'oeil sur la place vacante à la droite de la Princesse. Il allait oser le bougre ! Vous permettez ?
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Armoria
Où la narratrice ferait bien de se coucher tôt

Ah, le Languedoc, fit-elle avec le "ah" juste assez long pour dire tout un roman en une seule syllabe. Asseyez-vous, oui, bien sûr : ainsi, vous me sauverez plus aisément, ajouta-t-elle en rabattant vers elle un pan de sa jupe qui s'était permis - de quel droit, hein ? - de s'étaler sur le siège. Je ne m'ennuie guère du fracas des armes, pour ma part, d'autant que sitôt - enfin - rentrée chez moi, j'ai dû repartir... Si vous saviez comme j'aspire à demeurer un peu sur mes terres et dans mon Duché ! Songez que mon aînée n'est toujours pas mariée, parce que sa mère est toujours par monts et par vaux... A quatorze ans, elle va finir vieille fille !

Elle fronça le nez. Ce sujet l'inquiétait véritablement.

Mais je ne suis guère étonnée que vous vous sentiez à l'aise sur les champs de bataille... Je vous ai vu à l'oeuvre en Provence, et pour tout vous dire, si je n'avais eu vent que votre disponibilité était alors aléatoire, vous auriez été nommé à la suite de Lekaiser. J'ai aimé votre calme, et votre contact avec les hommes.
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A venir.
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Actarius
Le Vicomte prit place. Le mariage... voilà bien un sujet qui pouvait être tendu. L'épisode Cristòl, il l'avait appris de son ami, et savait par conséquent le traitement brusque réservé à la pauvre promise. Et s'il rebondissait en parlant de sa volonté de marier ses fils, il ne serait pas autre chose qu'un opportuniste extrêmement inélégant.

J'ai le malheur d'être buté Nautesa. Je me suis promis de tout faire pour changer les choses en Languedoc et je m'efforce de le respecter. Cela demande des sacrifices, mais aussi improbable soit-il ce dessein en vaut la chandelle. Regard à l'horizon. Un Languedoc uni, débarrassé de la plupart des querelles. Une terre hospitalière, puissante comme autrefois. Un doux rêve. Une utopie en regard de la réalité. Les petites billes aux teintes de terre brulées revinrent à la Princesse. Il faut bien quelques fous parfois. Oui, c'était bien cela, un fou qui avait préféré décliner des propositions alléchantes pour se replonger dans la politique d'un comté où il n'était plus si connu après une si longue campagne, après s'être consacré à sa famille en toute discrétion.

Des regrets ? Ce serait mentir que de dire "non", alors qu'il avait renoncé à une carrière qu'il avait toujours espérée. Repartir de nulle part, quelle folie ! Pourtant, pourtant dans ce coeur fier, scintillait une étrange confiance. C'était bien plus que l'espoir d'entendre, de deviner les soupirs à la simple prononciation du mot "Languedoc". Stupide ? Peut-être. Idéaliste ? Sans aucun doute. Héroïque ? N'exagérons rien. A la vérité, le Vicomte avait quelques regrets, mais ces regrets entamaient à peine son enthousiasme. Il reviendrait peut-être à des charges royales, mais son coeur était d'Oc, il battait au rythme du soleil, au doux murmures du Lot aux pieds des Cévennes.

Mais est-ce vraiment folie que de faire passer sa terre avant sa propre personne ?Soupir nostalgique.Vous savez, j'ai tant admiré ma suzeraine, celle qui m'a élevé à la noblesse.

"Margot... douce Marguerite, Fleur d'Oc. Blanche suzeraine chérie ! Pourquoi, pourquoi t'avait-on pris la vie ? Toi qui avait tout sacrifié à ton nom, à ton devoir, toi qui avait tellement donné. Tu étais la pureté, la résignation, tu étais tant pour moi. Tu me manques." Voilà ce qui pouvait se lire dans les yeux du Phénix. Il l'avait aimé sa suzeraine, non comme un époux, un courtisan ou un amant. Non, il l'avait aimé d'un infini respect, il l'avait aimé chastement comme un disciple, un serviteur. Il tenta bien de masquer son léger émoi, mais il ne pouvait se cacher à l'évocation de Marguerite de Volpilhat, la plus grande dame que le Languedoc eût accouchée.

Pour sa mémoire, pour ce qu'elle fut et m'a donné, je ferai tout pour qu'elle n'ait jamais à rougir de son vassal... Vassal par-delà la mort, oui, le Vicomte s'oubliait au présent lorsqu'il parlait de la Fleur de Vaunage. On comprenait rapidement que pour lui, elle était toujours là. N'allez pas imaginer des histoires de fantômes ! Il ne la voyait pas, mais il s'était tellement imprégner de sa présence qu'elle ne le quittait plus.... du si beau Languedoc qu'elle incarne.

Le Vicomte s'abandonna à un furtif sourire. Il quitta la réalité pour aller... lui seul le savait. Quoiqu'il en fut, soudainement désancré de ces joutes, de cette conversation, il s'oublia dans sa chimère impénétrable à voix haute. Marguerite...
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Alandrisse
Citation:
VS
Pandorha de Hennfield - Alandrisse de Montbazon-Navailles

Première Lance
    une fois encore sous les acclamations du public deux belles chevauchées, deux lances brisées avec force qui vaut pour celle qui reste en selle une blessure légère et pour qui chute de sortir indemne. Contre tout attente ce n’est pas celle que l’on crois qui remporte le combat.

Pandorha de Hennfield Vainqueur !


C’était l’heure des joutes, enfin de sa joute pour l’occasion. Elle avait bien pris soin de mettre la tenue adéquate après tout on ne faisait pas une telle activité vêtue comme un soir d’été. Il y avait bien le hum...non une autre sorte de duel qui n’impliquait pas cheval et lance. La jeune femme avait pris place dans la tente glissant dans sa tenue, ficelée, attachée comme tout bon jouteur. Des detracteurs pensaient que les femmes ne devaient ou ne pouvaient pas jouter. Cela l’avait toujours fait doucement rire, qu’est ce que les joutes au final ? Un moyen comme un autre de prouver des valeurs dites chevaleresque, une femme en était tout autant capable qu’un homme. Lorsque le heaume était apposé sur le crâne, il n’y avait plus des hommes ou des femmes, juste deux personnes voulant prouver son courage, défendre sa valeur, représenter un être ou tout simplement s’amuser à guerroyer à défaut d’autres choses. D’ailleurs la brune se retrouvait un peu dans euh, enfin elle s’y retrouvait facilement. Une fois perchée sur son destrier, la Montbazon se dirigea vers la lice, prête à en découdre avec son amie. Il fallait en finir une bonne fois pour toute autant régler la chose plus vite qu’une chopine devant un assoiffé.

La monture lancée au galop, lance droite comme un « i » avant d’être basculer en avant parallèle au sol. Puis vint l’impact, au premier instant on entend un bruit sourd qui résonne dans l’armure. Un point qui vous comprenne la poitrine, s’en suit des éclats du bois qui volent devant ses mirettes. Et là on comprend, la touche avait été faite et expéditive. Si parfaitement appliquée que la Montbazon chuta de son cheval. Une sensation de voler pendant un bref instant avant que le sol nous embrasse sur le côté. Le souffle coupé, la brune roula sur le côté pour retrouver de l’air dans ses poumons les bras levés pour montrer à son écuyer de venir l’aider à se relever.

Une fois sur ses deux pieds, elle ôta le heaume respirant une bonne fois pour retrouver cette sensation savoureuse. Saluant en sortant de la lice, la brune se hâta d’ôter son armure pour aller féliciter dignement son opposante et l’encourager pour la suite.

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Lexhor
Pas de tour préliminaire ça voulait dire pouvoir faire un peu le tour des popotes, voir qui était présent et qui ne l'était pas. Observer les gens mais aussi profiter du spectacle des joutes. Oui enfin là, profiter n'était pas le bon mot. Les orléanais qui avait, du fait du hasard, du participer au tour de qualification étaient tombés comme des mouches, mis à part le seigneur de Gaudigny. Encore que lui se croyais alençonnais. Jouter pour un duché qui n'est pas celui dans lequel on possède ses terres, quelle idée! Il y avait des claques qui se perdaient, c'était assuré. Mais essayer de comprendre le raisonnement de Mclegrand était peine perdue. Lexhor avait renoncé.

Le spectacle autour de la lice était plus amusant. Rondes jambes et flatteries éraient de la fête, comme à l'accoutumée. Rires et éclats de voix également. Le regard de Lexhor se posa alors sur un duo bien connu, assis non loin de lui dans les tribunes. Son altesse Armoria taillait la bavette avec son ami Actarius. Son ami, et même plus, après la révélation de ses liens de parenté avec son fils adoptif. Ce dernier devait bien trainer dans le coin d'ailleurs. La fouine qu'il était ne cessait de mettre son museau partout que pour fourrer sa langue dans la bouche de bourguignonne de fiancée. Ha la jeunesse!

D'où il était il n'entendait pas la conversation mais lui parvenaient tout de même certaines intonations typiques de la langue d'oc. Ceci tira un large sourire à Lexhor. Le Duc aimait les joutes car elle permettait de rassembler l'espace d'un tournoi, nombre de gens et donc de cultures divers et variés.

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Thegregterror
Citation:
VS
Kalimalice d'Austrasie dict Kali, Dame d'Allanche et St Firmin des bois - Thegregterror, Comte de Lille et de Sainct-Omer, Vicomte de Brunelles, Baron d'Aire-sur-la-Lys et d'Arques.

Première Lance
    La encore le public est ravi du spéctacle, qui pour le coup tourne court puisqu'après une calvacade d'enfer, Dame Kalimalice semble avoir quelques difficultés à contrôler son destrier et sa lance, ce qui permet au Comte de Lile de l'ajuster et de l'éjecter heuseuement sans gravité au sol.

Thegregterror Vainqueur


Appel pour cette seconde joute en ces qualifications. Kalimalice n'était pas nom inconnu de Grégoire, en particulier il ne lui évoquait que la lice. Baissant la visière de son heaume en évitant de songer à une nouvelle chute pour continuer la série noire qui le touchait, le Comte de Sainct-Omer se saisit de sa lance...

S'élançant sans trop de précipitation, qui lui fut fatale aux joutes d'Alluyes, Grégoire abaissa sa lance et put l'ajuster correctement avant le choc. Seul impact dans le bras, et le seul à être resté en selle. La précipitation fut l'ennemie de son adversaire pour une fois.

Salut de rigueur au public et à la Dame d'Allanche avant de quitter la lice pour sa tente...

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Deedlitt
Elle avait accompagné son époux et avait observée son combat. Cela faisait maintenant longtemps que le Comte n'avait pas renoué avec la victoire. Elle eut une prière pour lui avant le début du combat, puis avait fait fortement applaudit après sa victoire. Quand elle le vit rejoindre sa tente, sans plus attendre elle prit sa suite, elle avait à lui parler.
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Eoghan
    | La suite d'une défaite embarrassante. |

Que faire, ou se placer ? Les joutes avaient poursuivi naturellement leur cours pendant que lui revenait d'une situation plus qu'embarrassante en sa tente du campement de la mesnie Saint-Just, provoquait par une arrivée impromptue de sa confidente et amie, Eilinn Melani. De toute façon, le Dénéré-Malines ne souhaitait pas tellement y repenser et se revint donc au moment présent, et à la grande question philosophico-existentielle du jour : Où se placer dans les tribunes ?

Première réflexion sur le sujet : ne pas se placer près des personnes qu'il connaissait de près ou de loin. Déjà, cela rendait restrictif le choix des places.

Deuxième réflexion... Bon pas de deuxième réflexion, c'est trop dur et une réflexion par jour pour un blond, c'est quand même déjà pas mal.

Plop plop plop, d'avancer prudemment, ne sachant pas trop en fait où il met les pieds, tentant d'aller là où personne ne le connaissait, ne voulant ni être réconforté, ni moqué ou encore félicité pour sa participation. Et au bout de quelques instants de dérangements intempestifs auprès des gens sur son chemin, le voilà calé quelque part entre ici et là, et de porter son attention sur la suite des évènements.

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Llyr


Arès le tour préliminaire, le Cygne alla voir les malheureux perdants pour leur assurer une place de choix au Banquet de la St Michel du soir.
Il passa aussi par les tribunes de lice pour aller saluer les dames et nobles seigneurs ayant fait le chemin pour concourir ou juste pour se divertir pendant ls festivités.
Il est vit même avec surprise la Princesse Armoria en grande conversation avec l'un de ses propres vassaux. Surprise car il connaissait le peu de passion qu'elle nourrissait pour les joutes et autres sport "viril" de la noblesse en général.
Surprise aussi de voir l'un de ses vasal faire "l'accueil"
Bonne surprise dans les deux cas bien entendu.
Joie au fait que la Jeune Eillin soit présente aussi accompagné de son inséparable cousine.

Mais il était temps de faire l'annonce au jouteurs restant, il n'étant plus que 64 en lice.
64 !
Allons donc pour une 32e de final !

Or Oyez ! Or Oyez ! Or Oyez !

Aux braves qui n'ont pu passé le tour préliminaire nous leur adjugeons une très bonne place au Banquet de ce soir, ainsi qu'un tonnelet de nos meilleurs vins afin qu'ils ne perdent point courage.

Voici l'annonce des duel de ce 32e de final des Festivités de la St MIchel Au Lavardin.
Citation:

  • Actarius d'Euphor Contre Althiof
  • Aimbaud de Josselinière Contre Thomasdeclerel
  • Aimelin de Millelieues Contre George_aristote
  • Alcalnn Blackney Contre Le Chevalier au pavot
  • allydou Contre Guidel
  • Argael Contre Fred de Castelviray
  • Arnaut de Malemort Contre p3r3v3rt
  • Ascalon Contre Gilles de Carpadant
  • Azdrine de Vissac Contre chany d'Agny
  • Beeky Maledent Contre Phélim
  • Bel.garath Contre Zebracolor du Val de Loire
  • Belgarion Contre Fildais
  • Berenice_de_jeneffe Contre Tsampa
  • Boudicca d'Arkan Contre Fabien
  • Chlodwig Von Frayner d'Azayes Contre Natale
  • Enguerrand LouisPerceval de la Mirandole & de Dublith Contre Sniper
  • Jake de Valombre Contre Ptitmec
  • Davor Contre Lanfeust
  • Feanaro Contre Jehan de Proisy
  • Gaspard Contre Korydwen
  • Gnia Contre Maximien
  • Lambertine de Verne Contre Rhiana de Hasselt de Rosslyn
  • Lekaiser Contre Marc_antoine d'Esterraza
  • Lexhor Contre Theran
  • Mclegrand Contre LLyr di Maggio et d'Astralgan
  • Nebisa Contre Theudrik
  • Noeline Contre Maccornell
  • Pandorha de Hennfield Contre Karl de Hasselt de Rosslyn
  • sebbe Contre Theudbald
  • silec Contre Ursus de Valbois
  • thegregterror Contre ventreachoux
  • Thiberian Contre Zya d'Arduilet SaintAnge




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--Chevalier_au_pavot


Voilà que le premier tour était annoncé, et le Chevalier apprit via son page improvisé quel était le nom de son adversaire.


Je pouvais difficilement tomber sur pire.
Je crois que je vais devoir penser à un surplus de baume contre les hématomes moi...


Soupir blasé.

Enfin...

Le chevalier acheva de se préparer, et attacha à la hampe de sa lance le foulard confié par la Vicomtesse de Cauvisson. Il fallait maintenant se concentrer sur ce qui allait advenir, trouver un semblant de paix intérieur avant que le passage en lice ne se fasse.
Boudicca
Nouvelle annonce, nouveau tour de joute. Boudicca attendit avec impatience le nom de son adversaire: un dénommé Fabien. Ce nom lui était totalement inconnu. Espérons qu'elle réussit à aller aussi loin que pour les joutes orléanaises. Elle apprit aussi que Zebracolor serait face à Bel.garath. Elle avait fait la connaissance de ce dernier en taverne Turonne et le trouvait fort charmant sans arrière pensée. Un dilemne s'imposait pour encourager ses deux hommes. Ainsi va le destin!
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Intendante des domaines de Luynes et Vouvray
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