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[RP] On recherche un Assassin !

Ladina
RP complètement ouvert, je n'ai pas envie de faire les PNJs tout seul alors venez.
Juste, s'il était possible que personne ne traine comme par hasard à cet endroit là, à ce moment là, ce serait bien, j'ai vraiment pas envie de faire ça sous PNJ
Edit : Et merci à LJD Gregwar pour l'orthographe.
Edit2 : Si quelqu'un veut faire le videur, en acceptant ce que d'autres lui ont fait faire avant, allez y. A défaut, on fera sans


[Vingt et une heure, l'heure des tavernes]

Gwendoline était avec sa mère et Gregwar en taverne. La conversation allait bon train, tournant autour des affaires du duché, de la ville, de choses de religion, d'une convocation de l'évêque, de bans à publier ... Quand soudain, Gwendoline se sentit attrapée par le col, le videur venait de se saisir d'elle, et de la mettre dehors. Elle hurla, le traita de tout les noms, rien à faire, il venait de la renvoyer de la taverne.
Elle se releva et tenta de rejoindre sa mère et son futur beau père en taverne, mais c'était inutile, le videur refusait de la laisser entrer.


Tu ne vas plus avoir de pains pendant dix jours toi ! Et pas d'eau !
Espèce d'hérétique ! De Spinoziste ! Espèce d'angevin, tu vas me laisser entrer oui ou non !


Au bout d'une petite demi heure de menaces de duels, de guerres ou excommunications sous le regard des passants effarés, celui-ci accepta de la laisser entrer.


Je n'en peux plus ! Ce n'est plus tolérable, il faut faire quelque chose !

Tous étaient de son avis, mais que faire ? On avait tout essayé, l'avions trainé de force à la messe, à un baptême, privé de pains, d'eau, de lit, mais rien n'y faisait. Il continuait à mettre, sans gène aucune, des innocents dehors ...

Au fur et à mesure qu'elle ou sa mère se retrouvaient dehors, une idée germait dans sa tête.
Gregwar quant à lui semblait, avec sa hache, impressionner suffisamment le portier pour qu'il le laisse en paix.


[Tard le soir]

La jeune diaconesse sortit de la taverne, où elle était restée seule un bon moment, un petit parchemin sous le bras et une cage dans la main. Il était très tard, aussi plus personne ne trainait dans les rue de Mont de Marsan, et seul un malheureux croissant de lune lui permettait de retrouver son chemin.
Elle avait repérer un quartier où elle pensait pouvoir trouver ce qu'elle voulait. Une sorte d'intuition, peut être fausse, mais elle était certaine que les brigands se levaient avant la maréchaussée. Elle glissa la lettre dans la cage et les laissa seuls tous les deux.



Citation:
On recherche un bandit, un mercenaire, un assassin !

Il y a souvent, dans notre vie, des éléments que l'on souhaiterait voir disparaitre.
Il y à des événements paraissant de prime abord répugnants qui peuvent, par la suite, faire beaucoup de bien.
C'est pourquoi nous faisons appel à vous, vous qui, au prix de quelques écus, pouvez nous rendre grand service.
Pour de plus amples informations, lâchez ce pigeon qui saura nous retrouver.

_________________
[Bannière en construction, l'ancienne me plait pas, imaginez une jeune fille.]
--Falconi


Il était très tard dans la nuit....ou très tôt le matin tout dépendais de comment on voyait les choses. Mais en tout cas c'était à cette heure que finissait la journée de Falconi. Dormir le jour pour mieux travailler la nuit ! tel était la règle principale pour survivre.

On était donc entre jour et nui quand Falconi déambulait dans l'un des quartiers les plus mal famé de la capital. L'homme était serein malgré ses mains encore entachés de sang, nul personne ne pouvait le poursuivre car il était tous mort !

Cependant quand Falconi entendit un gloussement de pigeon, il se retourna aussitôt, poignard en main. Il scruta méthodiquement la rue...mais il ne vit rien devant lui, puis sur sa droite un battement d'aile se fit entendre...il tourna aussitôt la tête et aperçu une petite cage occupé par un volatile. Intrigué le jeune homme s'avança vers de bruyant pigeon et c'est là qu'il aperçu un parchemin...Il jeta un coup d'oeil à droite puis à gauche...Personne ! il s'empressa de déplier la lettre....

A la fin de la lecture, un large sourire c'était dessiné sur le visage de l'assassin. "écus" ce seulement mot avait réussit à le convaincre. Sans plus tarder Falconi relâcha le pigeon pour qu'il retourne voir ses maitres, en attendant le retour du pigeon l'assassin décida de rester dans le quartier à l'affut d'une réponse
Kassie
[Au Fruit Defendu]

Le regard noir posé sur le portier, poing serré ne pouvant plus tenir une épée par sa profession....Il osait la regardait de haut en bas elle la propriétaire des lieux...
Baisse ton regard Manant....Tu es nourris, logé...Que te faut il de plus? Des ecus peut etre? Estimes toi heureux de pouvoir vivre ici en ces lieux...Qui te voudrait en sa maisonnée?

Le manant la regardait de plus en plus avec une seule envie la remettre dehors à grands coups de pieds sur les fesses de son employeur....Elle , par contre, elle etai t sur ses gardes mais en plsu avec l'envie de le massacrer. Avait elle besoin d'une arme pour s'en defaire de celui là? Elle se rappelait des techniques de combat à mains nues....Petit sourire en coin, le regard devenu petillant de malice...Un clin d'oeil complice à son aimé....

Va remplir les futs de biere au lieu de te pavaner tel un paon mais un paon sans plume vilain...Fait ton travail si tu ne veux pas dormir à la belle etoile...Le voyant se diriger vers la cave, la brunette le suivit à pattes de velours....Arrivés à presque hauteur de la porte de la cave, celle ci le poussa fortement et referma la porte à double tour......Tu feras moins ton malin pendant quelques temps manant....Et ce n'est pas la peine de hurler ou de frapper la porte car personne ne viendra te delivrer....ELle retourna toute joyeuse aupres de son aimé
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Ladina
Au réveil, le lendemain. Elle ouvrit les yeux et que ne fut pas sa surprise de voir déjà le pigeon revenu. Elle eu un sourire machiavélique, elle commenca à écrire tout en récitant en boucle.

Je confesse à Dieu tout-puissant, à tout les Saints, et à vous aussi, mes amis que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen.


Citation:
Ainsi, cela vous intéresse.
Nous avons une idée plus que convenable à vous proposer, il s'agit du videur de : "Au Fruit Défendu". Faites, et vite.
Vous avez une liberté absolue, tuez le, ou non, mais ne salissez pas la taverne.
S'il disparait, trois cent écus voleront vers vous.


Sur ce, le pigeon lâché, elle parti pour la taverne, afin de s'assurer que le videur était en place, profitez un peu des futs de bière et regarder la vue dans le cas où son homme s'en chargerait rapidement, quitte à sortir en larme, pleurant un ami.

Seigneur Dieu, il est rapide !

Pour la première fois depuis qu'elle habitait ici, le videur n'était pas à sa place.Elle se félicitait intérieurement de son choix, et entra pour saluer les présent.
Et elle comprit ... Quelqu'un l'avait enfermé. Que faire ? Pouvait t'elle décemment expliquer à sa mère qu'elle avait engager quelqu'un pour le tuer ou le faire disparaitre ? Il fallait trouver quelque chose pour le libérer, et vite, avant que le truant ne tue tout le monde.

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[Bannière en construction, l'ancienne me plait pas, imaginez une jeune fille.]
Narrateur, incarné par Ladina
Durant le temps que Gwendoline passait en taverne, le faquin parvint à s'extraire à grand coup de pieds de la cave. Embarquant sa maitresse au passage dehors, il vint se repositionner face à la porte au grand mécontentement de la mère, mais à au soulagement de la fille, qui l'incitat à le laisser en place, juste pour la soirée.
--Falconi


La réponse ne se fit pas attendre longtemps. Le jeune assassin parcouru vite fait la missive prenant en considération que les mots importants...."videur"...."au Fruit Défendu" hum hum...."Trois cent écus" !!! Ah en voila une mission des plus agréable.

Trois cent écus, pour une seul victime. Un petit rire mesquin ce dessina sur son visage, la tache était trop facile....Lui qui n'avait jamais échoué...enfin presque, à ce moment là Falconi passa sa main devant son œil droit qui était mort, il se secoua la tête pour chasser ce mauvais souvenir...

Il était temps de se mettre au travail, l'assassin ne prit pas la peine d'aller repérer les lieux, il connaissait bien l'endroit. Il alla plutôt se préparer...Direction une masure délabré dans le quartier pauvre de la ville, c'était son endroit pour stoker le fruit de ces larcins, c'était là aussi qu'il entreposé ses armes et ses poisons.

....le borgne s'équipa d'une petite dague à la lame bien affuté, il examina l'objet en souriant


Ceci fera bien l'affaire !

Il ouvrit ensuite une petite boite où était rangé plusieurs petite fiole, Falconi en sortit quelques unes pour les regarder...puis il les rangea. Pas de poison ce soir....rien que du sang !.

[Quelques minutes plus tard non loin de la taverne]

L'homme au 300 écus était bien là, devant la taverne. Falconi l'observait attentivement du coin de la rue. L'assassin resta caché encore quelques instants, le temps que les allés et venus dans la taverne cesse un peu.

....l'homme jeta un dernier coup d'œil en direction de la porte, c'était le moment d'y aller... Il fit glisser sa dague dans le creux de sa main puis se dirigea lentement de coté en direction du videur. Personne l'avait remarqué par même sa futur victime....Il ralentit le pas en passant devant la fenêtre de la taverne pour jeter un coup d'œil...personne ne semblait vouloir partir, c'était tout bon pour lui.

Le videur était de dos, plus quelque pas et Falconi pourrait lui trancher la gorge et à lui la prime des 300 écus.

....Mais au moment où il s' apprêter de lever son bras, le videur se retourna brusquement...Surpris Falconi fit glisser sa lame dans sa manche et s'avança d'un air innocent et tout sourire devant le videur.


"-Comment ça va l'ami ?
- Belle soirée, n'est ce pas ?"
--Le.videur
(Faites ce que bon vous semble du videur, faites le agir si vous vouslez, si besoin d'un intervention ultérieur, j'en tiendrais compte)

Le videur était un être abject. Pas marié, pas d'enfant, pas d'amis, sa vie consistait à monter la garde devant la taverne de Kassandra Von Wittelsbach.
Il y était jour et nuit, prenant quelques minutes de pause entre quatre heure et quatre heure trente du matin, mais y mangeant quand sa maitresse avait la bonté de lui donner un peu de pain dur, y dormant par micro-sommeil. Pourtant, il avait son passe temps.
Mettre les clients dehors. Au grand déplaisir de la maitresse du lieu, mais il avait passé sa vie devant cette porte, et on racontait qu'il n'en partirait pas avant sa mort. Sa mort d'ailleurs, on y vient.
Ce matin était un jour comme un autre, il s'était amusé à mettre plusieurs fois la Gwendoline dehors, qu'est ce qu'elle pouvait l'énerver celle là, avec ses cheveux blond et sa morale toute faite ... Rhalala ... Par contre, il avait terriblement peur du futur mari de Kassandra, avec sa hache, il n'avait jamais osé le mettre dehors ... Alors il se vengeait sur la dite Kassandra ou sur sa soeur Rozine.
Mais on s'égare dans ses pensée là, revenons en à sa mort, c'est plus drôle.
Il restait devant la porte, comme d'habitude, surveillant les alentours. Soudain, sans savoir vraiment pourquoi, il s'était retourné et c'était retrouvé nez à nez avec un homme. Qui lui parlait. C'était étrange, d'habitude, les gens lui passait devant sans rien dire.
Mais, d'un caractère peu philanthrope, il s'accommodait bien de la situation et lui répondre était une vrai corvée.


Comme tout les jours, oui, ciel bleu.

Soupirant de l'effort, il s'assit sur le rebord en pierre qui menait de la porte à la rue.
--Falconi


-"Comme tout les jours, oui, ciel bleu."

Falconi lui sourit et le regarda s'asseoir sur le rebord de pierre, l'assassin souffla intérieurement, le videur ne se doutait de rien. Mais maintenant il allait devoir ruser pour pouvoir faire ceux pourquoi il a allé être payé. Comme si de rien n'était Falconi reprit la conversation.

-"C'est une une soirée, pour faire des bonnes affaires, Ne pensez vous pas ?"Falconi se rapprocha un peu plus de sa victime et sortit de sa bourse un petit médaillon.-"Regardez cet objet, un travail magnifique !"Pendant que le videur regarder le médaillon au creux de la main gauche de Falconi, ce dernier fit glisser sa lame dans sa main droite, il s'avança encore un peu plus et tendis le médaillon-"Admirer la qualité de l'objet d'un peu plus prêt."Le videur se leva et prit le médaillon et le fit tourner entre ses doigts pour l'admirer.

...Alors que le videur était absorber par la breloque sans valeur, Falconi plaqua sa main libre sur la bouche de la victime puis avant qu'il n'ai le temps de faire quelconques mouvements, il lui planta sa lame dans le bas ventre...en plantant sa dague Falconi relâcha la pression de sa main qui obstrué là bouche du videur, ce dernier en profita pour emmètre un cri de douleur


AAArrrggg !

L'assassin replaqua aussitôt sa main sur la bouche du videur pour le faire taire, mais le bruit des discussions dans la taverne s'était arrêté.... Falconi essayait de garder son sang froid mais la situation était délicate...Personne dans la rue l'avait entendu mais dans la taverne ce n'était malheureusement pas le cas pour lui..Il fallait faire vite, le jeune homme obligea le videur à relever la tête pour mettre son cour à nu et d'un geste expert il lui trancha la gorge.

Le videur s'écroula de tout son poids. Il était trop lourd pour que Falconi le traine pour le dissimuler. Il décida de prendre la fuite et se cacher dans une rue adjacente pour revenir plus tard pour récupérer son salaire.


Alors qu'il fuyait la porte de la taverne s'ouvrit de l'intérieur....
--Le_videur
Si mon intervention est inopportune, 'suffit de le dire, je supprimerai!


On lui tendait un médaillon. Y avait quoi, sur ce machin? ça valait cher? Tout ce qui l'obnubilait, c'était... l'argent. En plus de virer à coups de pied les gens trop chiants des tavernes, hein!
Il s'approcha, voulant voir de plus près ce qui était gravé sur le pendentif.
Il le prit dans ses mains avides, et n'eut le temps que de... Sentir une main moite se plaquer sur sa bouche, puis vit du noir. Il ressentit une vive douleur dans le ventre.


AAArrrggg !

Le videur baissa la tête et vit une tâche de sang s'élargir sur sa chemise. Il perdait connaissance.
Sa dernière vision? Une lame brillante qui s'approchait de sa gorge.
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