[RP] Occident Uni: L'heureux tour

Elle arrive et se fait toute discrète,nom d'un pécari puant...elle s'est perdue en chemin , pourtant pas longue la route ..mais il a fallut qu'elle flâne. Elle va se faire rosser surement, quoi que là y a du monde ...ils vont peut-être juste se contenter de faire les gros yeux, elle a envie d'être aussi grosse qu'un colibri là.... toute petite... Elle ne va même pas tenter de prendre une pulque... hop hop elle se glisse derrière tout le monde, heureusement elle est pas très haute, oh là là..va falloir qu'elle se fasse raconter tout ce qui a été dit...
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Qui que tu sois! Participes à la grandeur de ton clan!de ta province !
Viens piocher, creuser, extraire !
Tous à la mine! On ne le répètera jamais assez : la mine ça donne bonne mine !

Toujours cachée par les jambes de la statue Tekila boudait.

Hep par ici, Tekila!

Elle lui tira la langue. Ce que la fameuse nounou ne pouvait voir. La petite en avait gros sur le coeur. On lui avait promis un cadeau et elle se retrouvait avec une nounou de garde. Peu importe! Qu'elle n'espère par que son sifflement la fasse venir! Elle n'est pas un chien!


De toute façon Laf va m'adopter et pi tant pi pour vous.

Et elle fila dans la foule chercher ses plumes.
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un mot résonna aux oreilles de la sale gosse.

Cadeau...

Son père n'aurait pas pu trouver meilleur mot magique pour arrêter net sa course.

Elle rejoignit son père et, avec son regard d'ange et son minois adorable, leva ses yeux pour le fixer.

Ses petits doigts s'accrochèrent au pagne de son papa adoré et avec toute l'innocence possible elle lui dit:

fatiguée... dodo.

Il allait craquer, elle le savait.

cadeau moi veux.

Elle tendit ses petits bras pour se faire porter par son tyran de père.

moi aimer toi. dis moi pouvoir taper le vieux quand même?

Elle faisait référence à Alexius et elle se promit que les plumes, elle reviendrait les chercher mais plus tard. La c'était la promesse du cadeau qui obnubilait son esprit, elle offrit même un sourire à sa nounou.

Quel adorable enfant...
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Panique à bord, la nounou allait devoir s'expliquer avec le Tyran puisqu'elle avait faillit à sa tâche.La petite ne devait pas le déranger.
Ni une, ni deux voilà notre Paquita qui coure sur ses jambes arquées, légèrement recouverte d'un adorable duvet d'un noir profond. Elle attrape la petite part les jambes et la hisse sur son épaule.

Moi j'en ai un beau de cadeau pour toi, un joli Naztèque avec plein de plumes dessus. Je suis d'ailleurs entrain de le faire cuire en civet, tu verra tu va te régaler.

Elle jeta un regard au maître lui décochant un de ces plus beaux sourires, celui qui élargissait un peu le second duvet noir profond de sa moustache; la rendant a peine un peu masculine mais juste ce qu'il faut pour impressionner la petite. Elle salua le maitre, je l'emmenne à la maison El-tyran ne vous en faites pas. Puis elle prit la route de la demeure admirant au passage le grand emplumé qui savait si bien rassembler les foules.Elle lui fît même des yeux de biches, malgré les coups de pieds qu'elle se prenait dans la figure par la petite.

Un instant elle aussi s'imagina recouverte d'une magnifique coiffe et prenant la parole devant une foule en délire. Mais pour le moment elle avait a faire si elle ne souhaitait pas retourner casser du cailloux dans la mine....

Elle arrive et se fait toute discrète,nom d'un pécari puant...elle s'est perdue en chemin , pourtant pas longue la route ..mais il a fallut qu'elle flâne. Elle va se faire rosser surement, quoi que là y a du monde ...ils vont peut-être juste se contenter de faire les gros yeux, elle a envie d'être aussi grosse qu'un colibri là.... toute petite... Elle ne va même pas tenter de prendre une pulque... hop hop elle se glisse derrière tout le monde, heureusement elle est pas très haute, oh là là..va falloir qu'elle se fasse raconter tout ce qui a été dit...
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Qui que tu sois! Participes à la grandeur de ton clan!de ta province !
Viens piocher, creuser, extraire !
Tous à la mine! On ne le répètera jamais assez : la mine ça donne bonne mine !

Toujours cachée par les jambes de la statue Tekila boudait.

Hep par ici, Tekila!

Elle lui tira la langue. Ce que la fameuse nounou ne pouvait voir. La petite en avait gros sur le coeur. On lui avait promis un cadeau et elle se retrouvait avec une nounou de garde. Peu importe! Qu'elle n'espère par que son sifflement la fasse venir! Elle n'est pas un chien!


De toute façon Laf va m'adopter et pi tant pi pour vous.

Et elle fila dans la foule chercher ses plumes.
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un mot résonna aux oreilles de la sale gosse.

Cadeau...

Son père n'aurait pas pu trouver meilleur mot magique pour arrêter net sa course.

Elle rejoignit son père et, avec son regard d'ange et son minois adorable, leva ses yeux pour le fixer.

Ses petits doigts s'accrochèrent au pagne de son papa adoré et avec toute l'innocence possible elle lui dit:

fatiguée... dodo.

Il allait craquer, elle le savait.

cadeau moi veux.

Elle tendit ses petits bras pour se faire porter par son tyran de père.

moi aimer toi. dis moi pouvoir taper le vieux quand même?

Elle faisait référence à Alexius et elle se promit que les plumes, elle reviendrait les chercher mais plus tard. La c'était la promesse du cadeau qui obnubilait son esprit, elle offrit même un sourire à sa nounou.

Quel adorable enfant...
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Panique à bord, la nounou allait devoir s'expliquer avec le Tyran puisqu'elle avait faillit à sa tâche.La petite ne devait pas le déranger.
Ni une, ni deux voilà notre Paquita qui coure sur ses jambes arquées, légèrement recouverte d'un adorable duvet d'un noir profond. Elle attrape la petite part les jambes et la hisse sur son épaule.

Moi j'en ai un beau de cadeau pour toi, un joli Naztèque avec plein de plumes dessus. Je suis d'ailleurs entrain de le faire cuire en civet, tu verra tu va te régaler.

Elle jeta un regard au maître lui décochant un de ces plus beaux sourires, celui qui élargissait un peu le second duvet noir profond de sa moustache; la rendant a peine un peu masculine mais juste ce qu'il faut pour impressionner la petite. Elle salua le maitre, je l'emmenne à la maison El-tyran ne vous en faites pas. Puis elle prit la route de la demeure admirant au passage le grand emplumé qui savait si bien rassembler les foules.Elle lui fît même des yeux de biches, malgré les coups de pieds qu'elle se prenait dans la figure par la petite.

Un instant elle aussi s'imagina recouverte d'une magnifique coiffe et prenant la parole devant une foule en délire. Mais pour le moment elle avait a faire si elle ne souhaitait pas retourner casser du cailloux dans la mine....