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[RP] il était une fois, une cabane au fond du bois...

Coccycrep
Tout ce passait bien depuis la naissance de MiniM.

Bien qu'assez petit au départ, vu qu'il était né un peu trop tôt, il avait un appétit d'ogre et on ne pouvait déjà plus voir la différence avec un autre bébé au même age.

Ils vivaient tous les deux dans la cabane que Coccy, aidée de ses amis, avait aménagé au mieux.

Coccy avait fabriqué un petit berceau pour le bébé et Divi lui avait offert de quoi le garnir, le tout brodé.




Coccy s'habituait petit à petit à cette vie à deux.
Elle était bien sur très souvent en ville et même en taverne. Mais ça lui faisait beaucoup de bien aussi d'avoir un chez elle enfin... un chez eux, à Maximilian et à elle.

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Coccycrep
Le concours du Serial Killing avait commencé et Coccy était toute contente parce qu'elle avait réussi a tuer Tol et Divi à coup de tarte à la crème comme Cath lui avait demander de faire.

Ça n'avait pas était de la tarte et il avait fallu qu'elle se prépare.
Elle avait confectionné deux belles tartes qu'elle avait garnie avec soin et les avait apporté discrètement en ville.

Tout d'abord, elle avait eu Tol.
Il était en taverne avec Shae et Trop et elle l'avait étouffé avec une des deux tartes à la crème fraiche. Elle avait fait semblant de rien, coupé la tarte, distribué les morceaux et arrivé à Tol, elle lui avait fourré dans la bouche tellement vite qu'il avait fini par s'étouffer en tombant à la renverse. Et là, elle avait crié
"Tol, t'es mortttt"^^

En suite, le temps de reprendre l'autre tarte qu'elle avait planquée dans la chambre qu'elle avait encore à la pièce d'argent, elle était repartie pour trouver divi qu'elle avait vu en taverne un peu plus tôt.

Se disant qu'il allait tout de suite se rendre compte que quelque chose n'allait pas s'il la voyait arriver avec sa tarte, elle lui avait alors envoyé une mésange pour le prévenir qu'elle allait venir pour le tuer avec une tarte et il lui avait répondu
"vas-y ma belle, viens, je t'attends^^".
En fait, il a cru qu'elle n'allait pas le faire mais... elle avait pas envie de devoir refaire de la tarte le lendemain alors...
En plus, vu que Tol et Shae étaient arrivé entre temps, elle s'était dit que dit que divi était au courant et que ça n'allait pas marché. Elle s'était alors approché de lui et lui avait dit d'ouvrir la bouche parce que le morceau était ennnnnnome ^^ et le pire, c'est qu'il l'avait fait. Il pensait pas qu'elle n'allait pas le faire pour de vrai mais bon, elle voulait pas reculé. Elle lui avait alors foutu toute la tarte dans la bouche et poussé pour tout faire rentrer. Lui aussi il était tombé à la renverse et Huhu avait voulu le secourir mais elle s'était assise sur lui pour être sure qu'on ne l'aide pas et en criant
"T'es mort doudou!!!!"^^


C'est donc toute contente qu'elle rentrait chez elle, portant dans une main le bébé et dans l'autre, son panier de paille tressée rempli des légumes qu'elle avait acheté sur le marché.

Arrivée en vue de sa maison elle vit un homme gisant sur le sol. Elle prit peur et failli faire demi tour quand elle se rendit compte que l'homme gémissait.

Elle déposa MiniM sur une tas de feuilles a coté de son panier et avança en direction de la maison le plus discrètement possible.

Arrivée à hauteur de l'homme, elle le reconnu.
Ca fesait longtemps qu'elle ne l'avait pas vu mais, ça ne pouvait être que lui...

Il était dans un de ces états...
Il sentait la vinasse à plein nez et avait l'air pouilleux des personnes trainant sur les chemins depuis un moment.

Mais qu'est ce qui pouvait bien lui être arrivé ??

_________________
--Il
Il était à la recherche de réponse à tout ses questions, pourquoi en était il arrivé la comme ça à se déchirer de la sorte, l’amertume, la haine, le dégout est venu remplacer l’amour, la passion, la joie.

Il était à la recherche d’oxygène, cette nuit il avait tout quitté , maisons, terres, échoppe... et errait dans les bois sans avoir rien pris pour sa survit.

Il zigzagua dans cette forêt, et s’adossa contre un arbre pour soulager un instant sa cheville. La nuit tombait, les chouettes ululaient, transformant cette endroit déjà peu familière en un endroit aux méandres emplies d’ombres ou il peinait à s’orienter.

Complètement bourré dans le but de se finir, il semblait incapable de quoique se soit. Chaque jour exigeait de lui plus d’énergie qu’il en possédait encore.

Il portait une chemise vert menthe et des braies noirs retroussé, froissés, salit par ses nombreuses chute.

Le corps lourd, les jambes qui flageolaient, la dernière chute le contraignit à rester par terre et il senti à peine le choc lorsque son épaule heurta le sol la première.
Trop engourdi et trop saoule pour ressentir la moindre douleur.

Ses yeux se refermaient d’eux-même, semi inconscient il se laissa glisser, jusqu’à ce qu’une présence, une voix un peu familière le sorti de sa rêverie.
Qu’est-ce qu’elle faisait la?

Il eu le ridicule besoin de se cacher. Il se recroquevilla le plus possible, dissimulant ainsi son visage, mais qu’importe, elle l’avait reconnu.
Honteux de lui et de son allure il refusa de la regarder en face.
Coccycrep
Il eu le ridicule besoin de se cacher. Il se recroquevilla le plus possible, dissimulant ainsi son visage, mais qu’importe, elle l’avait reconnu.
Honteux de lui et de son allure il refusa de la regarder en face.

Le voyant ainsi essayer de se dissimuler ridiculement, elle sourit.
Vu son état, il ne peut pas aller bien loin et il ne peut pas lui arrivé grand chose, se dit-elle.

Elle le laissa donc là le temps d'aller chercher MiniMax et son panier de courses et de rentrer le tout à l'intérieur de sa cabane.
Mini n'était pas fort content d'aller dans sa panière. Mais, Coccy avait besoin d'avoir les mains libres. Elle ne pouvait tout de même pas le laisser dans cet état sur le pas de sa porte...
Elle retourna donc voir dans quel état il était et ce qu'elle pourrait faire.

Savait-il où il était ? Pouvait-il seulement marché encore ?

Vu la couleur de sa peau, l'odeur qui se dégageait de lui et de ses vêtements, et surtout, l'inconfort de la position dans laquelle il était depuis un moment sans même broncher ou essayé de mieux s'installer, il devait en tenir une belle et avoir bu bien plus qu'il n'en fallait, bien trop même.

Alors que faire ? ...

Il était bien trop lourd pour pouvoir le soulever et le porter jusqu'à son lit pour qu'il y cuve. Surtout que là, c'était comme de soulever un poids mort.

Coccy pouffa de rire. Une idée lui était venue en tête mais non, elle ne pouvait pas le rouler non plus pour le faire entrer... Rhoo oui mais bon... elle allait pas le laisser là toute la nuit tout de même ?

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--Il
Plusieurs minutes se sont écroulées au moment ou ils se sont rencontrés.
Aucun mot de sortait de sa bouche.

Qu’est-ce qu’elle pouvait bien penser de lui?
Et surtout pourquoi ne continuait-elle pas son chemin?
Était elle en train de le narguer?

Il lui dit « bonjour » d’une voix entrecoupée.
Il ouvrit de nouveau la bouche comme pour lui dire quelque chose mais aucuns mots n’arrivaient à franchir sa gorge.
Il la regarda attentivement. Elle était extrême belle, mais il ne pris la hardiesse de le lui dire.

Elle avait l’air stupéfait, ne démêlait pas encore trop bien de le voir dans cette état la… Il du faire appel à toute ses forces pour se mettre debout sur ses jambes palpitants. Arrivant à sa hauteur, elle eu presque un geste de recule, bouleversée.
Une perle salée naquit au coin de son œil et glissa sur sa joue alors il lui tendit la main pour la saluer tant bien que mal.

Sans rien dire elle lui tourna le dos, un panier de victuailles dans une main, et un bébé dans l'autre.
Mais pourquoi ne lui avait elle pas répondu?
Son odeur, sa face rose violacé, ses paupières lourdes, certains tics nerveux...? Tout cela l'avait sans doute obligé à le fuir.

Il hésita un instant entre lui demander un peu d’eau ou de poursuivre son chemin sans rien dire. Si ça se trouve elle n’était pas seule en plus...

Sentant l’impatience le gagné il s’avança vers la porte d'entrée resté entrouverte…
Il frappa trois coups timides, pas de réponse.
Il frappa encore et encore puis s’enhardit assez pour pousser davantage la porte et passer la tête par l’entrebâillement.

"Coccy…?."

Une quinte toux l’interrompit et le fit se ployer en deux.
Quand il put enfin se redresser, il sentit une nausée le gagner.
Ho non! C’est exactement ce qu’il ne voulait pas..
Coccycrep
Coccy était rentrée pour voir ce qu'elle avait chez elle qui l'aiderait à le déplacer. Elle avait bien pensé à sa brouette, mais ... fallait déjà le soulever pour le mettre la dedans.
Une couverture, elle pouvait s'aider d'une couverture pour le trainer...hum.

Tout d'un coup, elle sursauta. Elle n'avait pas entendu les coups discrets à la porte.
Par contre, la porte grinçait et fessait un bruit assez désagréable.


Citation:
"Coccy…?."


Elle se retournât précipitamment et le vit dans l'entrebâillement.
Il était plié en deux et toussait...

Pas à l'entendre tousser comme ça que MiniM va se calmer et s'endormir, se dit-elle avant de se ressaisir et de se précipiter vers lui pour l'aider.


Rhoo mais... tu vas tout remettre si tu continus à tousser comme ça...

Trop tard. Le temps de le dire, c'était fait. Et ce même si il avait voulu se retenir.

Coccy prit un de ses seaux et lui apporta en l'aidant à faire quelques pas.
Elle l'installa sur une chaise, le seau entre les jambes mais, replié sur lui même, la tête sur les genoux, il ne tenait pas seul et elle décida de l'installer sur le lit tant bien que mal.

Elle n'avait pas réussi à le déshabiller, juste sa chemise qu'il avait souillé, ses chausses ainsi que tout ce qui pouvait l'encombrer. Elle partit alors chercher son sac pour le rentrer et se rendit compte qu'il était bien gros et lourd.
Elle eut un pincement au cœur se pausant encore plus de question.
Que lui arrivait-il donc..?

Coccy l'avait laissait pour voir si MiniM allait bien.
Le petit ange c'était endormi et Coccy en fut soulagée ; au moins une chose de réglée.
Elle jeta ensuite un seau d'eau sur le sol souillé afin de le nettoyé et mit le vêtement à tremper puis alla allumer une bonne flambée pour le réchauffer.

La tête penchée dans le seau, il vomissait tant et tant dans de grands râles de souffrance avant que son ventre ne se calme.
Il était bien mal, y avait pas à dire. Et il lui en faudrait du temps pour se remettre d'une cuite pareille.

Elle s'installa alors dans le fauteuil à fin de le veiller, histoire de s'assurer qu'il ne s'étouffe pas en vomissant. Mais une fois endormi, elle vient se coucher à ses cotés. Le lit était bien assez grand et elle devait se reposer.



Pourvu que demain, il aille mieux et puisse repartir, se dit elle en essayant de s'endormir... Mais elle n'y arriva pas et se retournait tout le temps. Il grognait tout en dormant et elle eu peur de le réveiller. Elle se leva donc pour le laisser dormir.

Rhoo que faire ? MiniM dormait toujours dans son berceau et il ne fallait sur tout pas les réveiller. Que faire ?

Coccy se souvient alors du cresson qu'elle avait vu en rivière quelques jours plus tôt. Hum, rien n'est aussi bon que du cresson bien frais ramassé la nuit.
Celle-ci était claire... Elle décida donc de partir en ramasser, histoire de s'occuper.
Vérifiant que Maximilian et l'homme dormaient tout les deux comme des bébés...
(à oui c'est vrai, y en a un^^...) elle prit un sac en toile, une serviette pour s'essuyer pieds et jambes une fois la cueillette terminée et sortit.
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--Il
Il dormait difficilement car les remontés de bile a répétition l'en empêcher.
Mais heureusement, avec le peu de conscience qui lui restait, il parvenait quand même à se relever et à viser le seau pour évacuer ce liquide visqueux, amer de coloration brune...

Il dégueuler tellement fort que cela fit sursauter le bébé et qui se mit à pleurer...
Après plusieurs minutes ou il pensa avoir toute évacuer, il repris son souffle et se rendit compte que le petit pleurait... Il se leva alors et s'avança encore un peu... toujours même à la dérive et se dirigea vers maximilian qui ne cessait de crier...

Eh Oh!!! on se calme hein?!^^
T'es "hisps" qui toi "hips"


Il balaya la pièce du regard, pour savoir ou il se trouvait... c'est lorsqu'il se rappela...


Elle est ou ta maman?!!"hips"....faut que....puis... c'est t'as maman d'abord ???

Il sourit tout seul, mais cela ne calma pas le morveux^^.....

Chutttttttttttttttttt !!!
Ta soif .....ta faim????? heu......je peux pas"hips" te donner"hips" le sein moi"hips" je suis pas équipé....
Une bière peut-être?

Il attrapa le gosse, le remua un peu pour le calmer, enfin une façon à lui de le bercer, puis se dirigea au lit complètement à la dérive

Oups....punaise t'es lourd toi

Disant ça, il lui fit des gros yeux, ce qui avait l'air d'amuser le bébé.

Te moque pas hein!!!! Je vais le dire à maman sinon.

Il le déposa sur le lit et se plaça juste a coté. Le petit semblait s'amuser tout en réclamant sa maman par intermittent... Mais lui, épuisé, s'endormit
Coccycrep
Coccy revenait de la rivière, le sac de toile rempli de cresson, les pieds glacés et la tête enfin vidée.
Elle rinça le cresson avec l'eau du puis à l'extérieur pour ne pas faire de bruit et une fois ceci fait, elle rentra en s'attendant à les trouver tout deux encore profondément endormi.

Une odeur désagréable trainait dans la pièce. Il avait du encore remettre. Mais il était toujours couché sur le lit et ronflottait doucement. Il avait changé de position mais ça avait l'air d'aller. Coccy se dirigea vers le berceau de MM quand elle l'entendit gazouiller.


D'un coup d'œil, elle se rendit vite compte que MM n'était pas à sa place et elle se dirigea vite vers le lit, suivant la direction du gazouillis.
Elle sourit en se rendant compte qu'il dormait une main posée sur le ventre de MiniM qui jouait avec le lacet qu'il avait autour du poignet et le mâchouillait. Minim lui fit un large sourire quand il la vit approcher et ... elle était au ange.

L'homme se redressa, pour se chercher une meilleur position, un bras dans le vide, l'autre sur minimax, il rumina toujours se gout amer et visqueux dans sa bouche.
Il avait perdu la tête de boire ainsi ; tout ses économie partie, plus rien plus d'écus, rien.
Au moment ou il se redressa à nouveau, il senti une autre remonter de bile. A non, non !!! ... Il se leva d'un bon et se précipita dehors, bousculant Coccy au passage pour ne pas vomir sur Minimax.

En entendant les bruits, Coccy compris de suite ce qui avait réveillé MiniM et sourit même si elle était tout de même inquiète. Elle prit le bébé dans ses bras pour le remettre dans son lit avant de le suivre dehors.
Il vomissait encore alors que son ventre ne contenait plus rien... et cela commençait à lui donner mal à l'estomac. Il toussa bruyamment, se racla la gorge avant de recracher le tout.
Elle le vit vomir la bile et se dit qu'il fallait vraiment calmer ça au plus vite. Lui donnant de l'eau pour qu'il puisse se rincer la bouche, elle lui dit :


"Bois ça, ça diluera la bile qui te fera moins mal quand elle repassera."

Mais il ne comprit pas et repoussa la choppe en gloussant croyant que c'est de la bière.

"hips"...t'es folle...tu vas m'achever ...."hips"..avec ça..."

"C'est de l'eau, c'est pour calmer le feu de la bile, ça va t'aider à vomir plus facillement pendant que je te prépare une tisane ..."

Elle l'aida pour qu'il puisse se remettre au lit, plaça un seau propre tout près de lui et sorti cueillir des herbes dans son jardin.

"Mais erkk...je peux plus rien avaler là !"

Il s'allongea sur le lit, posant la main sur sa bouche comme pour empêcher qu'il ne vomisse encore tout en sachant que si ça veut sortir, il pourra rien faire.

Coccy sourit en l'entendant. Elle se demandait la tête qu'il allait faire quand elle lui demanderait de boire la tisane anti gueule de bois^^
Elle cueillit du persil, du fenouil sauvage, un peu de menthe et arracha une racine de radis noir.
Pendant que l'eau chauffait, elle rinça le tout et rappa un peu de radis. Elle mit le tout dans l'eau et attendit que cela infuse avant de filtrer.


La voyant faire, il se redressa pour se retrouver assis jambes étendues sur le lit, car le fait de rester tout allonger lui donne envie de dégueuler

"RRhaaaaaaa coccy... qu'est ce que tu fais ? Ça pu ton truc là..."

Coccy ajouta du miel en espérant que la menthe et le miel couvrirait un peu le gout eu l'odeur mais ... pas sur.

"Tiens, bois ça mais doucement, gorgée par gorgée. Faut que tu le finisses et si tu le vomis, y en a encore tkt.

Il attrapa doucement le bol, le porta à ses levres mais inquiet tout de même.

"Aïeuhhhh c'est chaud! Et plus, j'aime pas..." , dit-il en lui rendant le bol.

"Rhoo arrètes! Faut le boire. Si non jamais ça passera."


Et elle souffla sur la tisane avant de lui rendre.

Ha non j'arriverai pas... je préfère une choppe que de boire se truc là.
Et en riant de sa bêtise, il parti d'une grosse quinte de toux.

Coccy attendit que la quinte se calme avant de reprendre.

Aller, bois ça t'iras mieux après.

Il but une gorgée, deux, trois...puis six sept jusqu'à boire tout le contenu, se dit finalement elle avait raison, avoir quelque chose dans l'estomac, ne pouvait que le calmer. Il gloussa un peu, contant tout de même d'avoir fini la tisane, avant de s'essuyer la bouche de revers de la main.

"Bon, je t'en ressert un autre, bouges pas! dit-elle avant de se retourner pour aller en chercher un autre bol.

"Un autre?" dit-il en se levant difficilement pour la suivre.

"Oui parce que celui là, tu vas surement le vomir d'ici un moment.

"Mmmh...je... préfèrerais...te... "

Avant qu'il ne finisse sa phrase, il sent que ça gargouille dans son ventre. Posant une main sur sa bouche et l'autre sur son ventre et se dirige dehors plié en deux.

Coccy sourit. Comme si il était en état de faire quoi que ce soit...
Elle rempli le bol et prit un verre d'eau aussi, qu'il puisse à nouveau se rincer la bouche avant de le rejoindre dehors.


"Tu vois!^^ qu'est ce que je t'avais dit ?^^"

Axius la regarda tristement. Et recrachant les dernières gorgées de tisane, lui dit.

"T'aurai du m'empêcher de boire, toi! "

"Si j'avais été là, je l'aurais surement fait... aller tkt ça va passer^^

Il but l'eau, une gorgée de tisane avant de rentrer dans la cabane et de se dirigeant, encore titubant, vers le lit.
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--Il
Ce jours la le ciel était dégagée, le temps froide et humides, des nuages immenses envahissaient l’horizon et filaient a travers le ciel. Plusieurs jours se sont écoulées depuis sa convalescence chez coccycreps, elle s’était occupé de lui, nourris, soignait, remit sur pieds.
Il s’approcha d’elle a grand pas tranquille, comme ci il avait l’impression de mettre ses bras autour d’elle et de l’embrasser sur les deux joues. Il s’arrêta net a quelque centimètre d’elle comme ci il se heurtait a un mur invisible. Le regard malicieux plein de défis il déclara.


« Tu vois je sais me tenir »

« merci pour ton aide, de m'avoir choyer comme tu l'a fait je te serai toujours reconnaissant…je vais essayer de me trouver une vocation et repartir du bon pied. Reprendre le bon chemin pour l‘atteindre»

IL tendit un doigts pour effleurer ses levres mais se reprit aussitôt comme piqué par un insecte.

« Encore merci »

Sur ses mots il se pencha sur elle avec lenteur, avec prudence. C’Était chaque fois qu’il le sentait vulnérable que son désir pour elle était le plus fort.. Il l’embrassa, la touchant a peine, la titillant volant son souffle et sa chaleur. Mais soudain elle se hissa sur la pointe des pieds, agrippa sa chemise et lui donna un baiser a pleine bouche. Il avait l’impression de percevoir ses moindres pensées et qu’elle déversait en lui par le truchement de ce baiser, toutes les émotions qu’elle avait accumulée durant ses derniers jours. Enfouissant une main dans les Cheveux de Coccy, IL renforça le baiser. Mû par un désir incontrôlé, il la souleva de terre pour la faire basculer sur le lit. Bouche jointe, jambes emmêles chacun palpant l’autre de façon frénétique….
Il la repoussa tres légèrement mais resta assez prêt pour sentir les lèvres de coccycrep frôler les siennes tout en parlant.


« Qu’Est-ce qui nous arrive?….j’suis désolé…mais… »

Il la regarda éprouvant un immense desir, Mais le coups frappé contre la porte les fit sursauter, IIL bondit l’air contrarié, tandis qu’il se cachait dans l’ombre. Coccycrep croisa son regard surpris et secoua la tete de perplexité pour lui signifier qu’elle était aussi prise au dépourvu que lui. On frappa de nouveau.
Coccycrep
Rhoo non! pas de la visite, pas maintenant, pas le moment là, pas... quoi que si... sauvée par le toc toc... oui mais ... pff ... rho non mais qu'est ce qu'elle faisait ? qu'est ce qui lui arrivait ? ...

Coccy réfléchit vite et précipitamment le regarde en mettant le doigt sur la bouche, lui intiment de se taire.
Elle ne dit rien, ne fit aucun bruit... tout comme lui d'ailleurs.

Au bout d'un moment, la personne reparti...

Ils se regardèrent et attendirent encore un peu avant de bouger.
Ne pas bouger, ne pas faire de bruit, de peur qu'il entende et revienne...
Ne pas bouger, ne pas se rapprocher, de peur de... recommencer...
Ne pas ...
...
...

Que lui arrivait-il ?
Elle n'avait qu'une envie, qu'un désir, lui appartenir.

Que leur arrivait-il ?...


Je ... heu... j'ai, je... dois m'occuper de MiniM...

Et sans un regard, pour cacher sa gène, elle parti en direction du bébé qui dormait encore...
Elle le prit alors dans ses bras pour ... bha parce qu'il fallait bien, et là, le petit se réveilla et se mit à hurler.

Intérieurement Coccy sourit, on ne pouvait pas faire plus crédible... pff

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Coccycrep
Trois jours... trois jours il lui avait fallu pour dessaouler et aller mieux.

Il lui avait parlé longtemps, lui avait expliqué ce qui lui était arrivé, sa vie et ses déboires...
Elle lui avait parlé longtemps, lui avait expliqué ce qu'elle devenait, ce qu'elle était, ses amours, son petit...

Ils avaient refait connaissance et réappris à s'apprécier.
Elle l'avait soignés, il l'avait faite rire, elle l'avait accueilli, il l'avait faite rougir...

Ils s'étaient rapprochés, touchés, embrassés... Ils s'étaient aimés comme si y avait plus de passé.

Trois jours... trois jours il leur avait fallu pour aller mieux.
Trois jours pour se rendre compte qu'ils étaient deux.
Trois jours et trois nuits pour se rapprocher.
Trois jours et trois nuits pour ne plus se lâcher.

Il avait du repartir sur les routes et rentrer chez lui, chercher ses affaires, faire des adieux...
Se quitter pour réfléchir, être sur de ne pas se tromper.
Se quitter pour revenir, être sur d'aimé, de plus vouloir se quitter.

Coccy rêvait, la tête dans les nuages, le corps perdu dans ses penses ... ou le contraire peut-être? elle savait plus trop, elle planait.

Il était reparti mais lui avait déjà écrit, il revenait, il se pressait.
Qu'est-ce qu'elle aurait aimé pouvoir quitter Béziers, aller le rejoindre, faire un bout de chemin tous les deux main dans la main. Qu'est-ce qu'elle aurait aimé...

Ho et puis zut... qui ne tente rien n'a rien.

Elle était décidé, elle demanderait un congé.
Elle pris ses cliques et ses claques et s'en alla au château, la capitainerie, rencontrer Laurine.
Un congé, un simple congé... quelques jours, pas une année...

Oui ça pourrait se faire si vraiment il fallait...

Ni une ni deux, trouver quelqu'un pour la remplacer, sevrer le bébé, trouver de quoi s'apprêter, et aller le retrouver... Moins d'une semaine et c'était fait.

Juste deux jour, que dis-je, une journée. Un aller-retour pour Narbonne, il avait déjà tant avancé.
Mais lui faire la surprise... elle pouvait pas résister.
A peine MiniM casé, elle prit la route, tellement pressée qu'elle en oublie de déposer ses affaires avant d'y aller...

J'arrive mon ange... j'arrive mon... aimé...

Elle l'avait retrouvé, ils s'étaient aimé... caché leur amour pour mieux le vivre.

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Axius
Elle était même venu le rejoindre a Narbonne, cela le toucha beaucoup mais a leur retour a beziers, son retour pour beziers les choses ne se déroulaient pas aussi bien qu’ils auraient espéré. Source de divergence et de désaccord entre eux, cette ville pourri jusqu’à la racine, on prend les même et on recommence.
Les suppliques se rejouaient inlassablement dans sa tete comme si il ne pouvait pas s’en défaire. Il était resté la muet l’air complètement dévasté, chaque mot prononcé chaque larme qu’elle avait versé lui revenait en mémoire et l’avait bouleverser.
Il était si mal qu’il était devenu dangereux d’ailleurs tout le monde regrettait sa venu ici. Il baissa la tete les mains posés sur le front, il se sentait incapable de trouva une solution au probleme. Un rire horrifier et hilare le traversa soudain, parmi tout les choses qu’il avait affronté, tout les épreuves qu’il avait eu a surmonté pour faire son bout de chemin. Axius croyait l’aimer…c’est la raison pour laquelle il était revenu. Mais trop de chose s’opposait a eux, pas plus tard que tout a l’heure ils s’échangèrent leurs différent point de vue et ne trouvaient aucun accord commun. Vouloir tout savoir sans jamais rien vouloir révéler n’était pas chose envisageable. Il fallait simplement être prêt à avouer l’inavouable

Après une grande heure de colère et de jurons, Axius était au bout de l’allé d’un jolie cabane que coccycrep appelait ainsi sa maison. Bientôt il ne l’appellerait plus ainsi, il s’en faisait le serment..il ne lui avait pas donné signe de vie de lui depuis maintenant deux semaines. Elle avait cru que son silence était sa façon de lui signifier que tout était fini entre eux. Mais aujourd’hui il est venu lui prouver le contraire. Soudain ses sens fut en alerte, lorsqu’elle ouvra la porte et se retrouva face a lui, « Coccy » souffla-t-il en cherchant la bouche de la jeune femme.


« je crois qu’il est peut être temps…temps de vivre notre amour au grand jour… »

« c’est plus la peine qu’on se cache maintenant….je t’aime et peu importe ce que peut penser les autre….j’en ai rien a foutre…. »


Ses doigts impatients jouaient déjà avec le corsage de coccycrep et sa main vint se poser doucement sur un de ses seins ronde et ferme. Axius esquissa un sourire pleine de promesse, puis sans ajouter un mot la souleva dans ses bras. Il grimpa les deux marches d’escalier avant d’entrer dans la cabane et ferma la porte avec le pied…
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--Oisillons




Un Oiseau, que ses amis surnommaient Oisillons, atterri sur une branche. Caché derrière une feuille bien verte, il tendit son bec pour la pousser, et ainsi se frayer un passage. Entre deux brindilles, entre deux trois fruits des Bois moins une que l'oiseau piqua avec son bec afin de s'en faire son repas. Il gravit ainsi la branche lentement mais surement, jusqu'à atteindre l'extrémité...sur ses petites papattes il se hissa pour regarder une drôle de scènes entre deux bipèdes.

Le visage de l'un paraissait flou, ou plutôt assombri comme caché par l'ombre. L'autre femme était toute fine. Bien visible, on ne voyait qu'elle. Ses cheveux soyeux long comme une tapisserie royale, douce comme la soie venant des pays de l'est. Un visage éclatant de bonté, de générosité qui sentait le bonheur. Un sourire, a en faire lever un malade incurable. des yeux d'une extrême profondeur, rappelant les douce caresse de la nuit, les doux baisers du matin et les longues discussions du soir au coins des flammes.

Le petit oiseau, sautilla...elle qui lui donna des graines, qui tous les matins l'accueillait a sa fenêtre. Ce petit rouge-gorge en avait des choses a lui dires. Si seulement il pouvait parler la langue des bipèdes. Juste une fois, pour lui dire merci. Il se souvient de ces matins, a tapoter a sa vitre, pour la faire lever, a attendre la belle saison pour visiter sa chaumière.
En Hiver, a l'arrivée des mauvais jour, juste avant de partir. Il passait lui faire un dernier coucou. Leurs regards se croisèrent et la...Nul mot était nécessaire. Il suffisait alors de pencher son bec sur le coté, pour lui faire comprendre que seul, le passage de la paume de sa main sur le sommet de son crane, était suffisant pour lui donner le courage de partir pour mieux revenir.
Et les retours n'étaient pas moins chaleureux. Elle plus blanchi par l'hiver rude, mais lui gonflé à bloc. Le soleil du sud en son cœur, et son image en esprit. Il annonça son arrivée comme toujours...Deux petits coups de Bec sur la vitre, et la voila accourant pour la résurrection de l'oiseau. Un sourire - Un baiser même, et un regard.... et cela égalait tous ces mois passé sans elle.

Par la rage de l'espoir, il sautilla, a en faire bouger la branche. Tout excité, il pointa son bec sur elle, et scruta le moindre de ses gestes. Son corps délicieusement attirant, ne rendait pas uniquement les Bipèdes fous. Rien que de voir ce cœur bruler en elle, l'oiseau ne rêverait que de plonger sur elle pour s'y coller. Profiter de la vie avec elle, la suivre n'importe ou. Si l'oiseau avait été un homme...
Des Milliers de fois il avait imaginé la scène. Il aurait voler jusqu'à sa cabane. Et lui aurait citer les plus beaux vers, les plus belles phrases, et il lui aurait donné son cœur. Il aurait utilisé ses mains remplaçant ses ailes, pour parcourir son corps d'ivresse.

Le petit oiseau s'approcha..et la lumière arriva sur le visage du jeune homme. Fort de carrure, il resta immobile face a lui. Ne sachant plus comment réagir. que faire ? que dire ? Un amour....un amour...

La réalité lui revint a l'esprit soudainement. Il n'était qu'un oiseau. Un simple oiseau destiné a voler, manger, et crier pour amuser. l'oiseau regarda en tournant son bec. Ses ailes. ses plumes, son bec lui même....et il regarda l'homme... Des mains, une peau, un nez...Un homme dans toute sa splendeur. Un homme pouvant la toucher..la voir et la sentir. Bientôt la fenêtre sonnera son arrivée comme a son habitude, mais personne n'ouvrira. Et l'oiseau partira scruter d'autres arbres. manger d'autres fruits, rêver a d'autres songes.

L'oiseau se retourna en quelques petits sauts, moins vifs que tout a l'heure, et plia son bec vers le bas....Redescendant la branche, il passa a coté des fruits sans y prêter regards...Il marcha sur la feuille qui lui paraissait si grande il y a encore peu de temps. et avant de s'envoler de l'autre coté de l'arbre, le regard vers la ville non loin, qui affichait des couleurs vive et pourtant joyeuse...l'oiseau écarta ses ailes et juste avant de s'envoler pour il ne sait ou...Il commence a battre les ailes mollement.

Et de la On pouvait remarquer, une tache microscopique d'humidité apparaitre sous ses yeux minuscules d'oisillons. Doucement avant de partir, l'oiseau pleurait...
Coccycrep
Coccy tournait en rond frénétiquement dans sa cabane. Minim dormait et elle... Elle aurait du faire la sieste aussi. Mais l'attente était devenue insupportable.

Il lui fallait des nouvelles, ça devenait urgent, pour elle, pour son état mental...


Trop tard ! T'es folle ma pauvre fille ! ...
se dit-elle.
Axius, Axe... t'es vraiment folle ma pauvre !

Elle sourit tout en pensant que oui... Oui elle était folle.
Folle de lui, folle de tout de lui, folle surtout de plonger dans cette relation à corps perdu sans penser aux conséquences.

Folle oui mais... avait-elle le choix ?

Elle pensait à lui sans arrêt...
A son sourire quand elle lui disait "je t'aime" ; à la grimasse qu'il ne pouvait s'empêcher de faire tout en essayant de la dissimulé quand elle lui parlait de... ; à ses yeux plongés dans les siens ; à son corps doré couché à ses cotés ; à ses mains glissant lentement sur elle...

Non, elle n'avait pas le choix ! Tout en elle le réclamait et gourmande comme elle était, elle ne pouvait pas se contenter d'un bout, il lui fallait tout. Axe en entier et rien que lui.

Et là, ça devenait un supplice de l'attendre, d'attendre pour savoir si il viendrait, s'il était prêt à essayer, s'il était prêt à la prendre elle.

D'un coup, alors qu'elle était perdue dans ses pensées, elle entendit du bruit à l'extérieur. Quelqu'un approchait, elle en était sure.
Le souffle court, le coeur battant... pourvu que ce soit lui !... Elle se précipite sur la porte, l'ouvre et ...


"Coccy", soufflé tout contre ses lèvres et suivit par un baiser, le nom à peine prononcé.

« Je crois qu’il est peut être temps…temps de vivre notre amour au grand jour… »

« C’est plus la peine qu’on se cache maintenant….je t’aime et peu importe ce que peut penser les autre….j’en ai rien a foutre…. »


Tout ce qu'elle attendait, en quelques phrases... Pousse un petit soupire de plaisir en sentant ses doigts, ses mains sur elle.
Coccy chancelle un peu, le coeur chaviré par son sourire, il la soulève, elle se laisse emporter...

Une bouche s'entrouvre, la porte se ferme.
Un corsage est délassé, une chemise déboutonné.
Une jupe se laissent relever, des braies se laissent baisser.
Des mots d'amour et des caresses suivis de tonnes de je t'aime.

Au plus profond de la nuit, tout les deux, enfin unis.
Épuisés, emplis, vidés, ils s'endorment enlacés.
Elle, à moitié couché sur lui.
Lui, à moitié encore en elle.
Et sur les lèvres des deux, des promesses échangées.

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Axius
Axius souriait pensivement tandis qu’il se rappelait ses débuts a Béziers, pas si faciles que cela, tout en observant la charmante jeune femme qui se tenait a ses cotés. Un joli visage avec ce discret grain de beauté au-dessus de la joue gauche, une carnation fraîche et saine, des lèvres pleines, un peu boudeuses quand elle dormait ce qui lui fit sourire mais absolument charmantes. Coccy maintenait la pression de sa main sur la sienne, et Axius, très surpris, pouvait sentir la chaleur irradier de cette main fine et gracieuse. La peau de la douce comme un pétale de rose. Il sentit que ce contact déclenchait en lui une sorte d’onde qui le touchait au plus profond de lui.

Axius essaya doucement mais surement de s’extirper du lit sans vouloir la réveiller, cela faisait un mois qu’il est revenu a Béziers, le tour était vite fait, a part coccycrep rien ne le retenait ici. Axius songea a son avenir, il était temps pour lui de se poser, cesser cette vie de vagabond qui avait trop durée. Il avait bien des projets qu’il avait fait part a Coccycrep mais les conditions étaient loin d’etre réuni a l’heure actuelle surtout a Béziers.
Il était temps d’affronter la vérité en face Axius avait craint de s’exposer avec elle non pas pour protéger leur relation mais tout ce qui l’entourait, en vue des expérience passé et son vécu a Béziers Axius savait très bien que cela pouvait la causer des torts.

Axius rejoignit le fauteuil le plus proche et s’affala, trouver une vocation était devenue sa priorité, il avait déjà assez temporiser comme ça. Il se trouva face a un dilemme. Axius se dirigea vers la table, prit un morceau de parchemin et se concentra jusqu’à qu’il eut retrouver son calme. Puis il se mit a écrire, la plume faisant le même bruit sec que des serres d’oiseau sur le pavé. On l’attendait a a Albi, il ne savait pas encore combien de temps il allait resté a Béziers mais la moindre des chose était de prévenir cette personne et de lui faire part des nouvelles toute fraiche.
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