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[RP ouvert] Dis... Comment qu'on fait ?

Minouche

Tout le monde peut y participer du moment que votre personnage se trouve sur les lieux et qu'il ait un rapport. Ne vous en faites pas, ça ne restera pas sur une seule place temporelle !

[ ... Pour prendre une mauvaise nouvelle ? ]

- Campement Licorne -

Zénith, Hélios dans sa grande puissance. Autour du môme, chacun s'active dans ses propres occupations plus ou moins urgentes. Ça y est... Il n'est plus seul de certitude.
Pourtant, dans cet orchestre de fer et de courses dans la boue, quelque chose empêche l'enfant de mettre autant de cœur et de joie dans ce qu'il entreprend d'habitude ces derniers jours. Il a beau avoir Noisette comme compagne, quelques leçons sur l'entretien des armes et armures - oui bon ça il n'a encore rien capté - , des habits propres, une sorte d'appartenance... Ça ne va pas.

Et il a du travail à faire s'il ne veut pas empirer les choses. Problème, il est sensé d'abord se débrouiller avec les armes et ENSUITE voir la jument de la Violette. Galérien dans l'âme, le premier boulot n'est même pas commencé. Planté là comme une poutre, les yeux fixant un point au hasard, le mioche n'arrive pas à se dépêtrer de cette phrase claquante et de cette image...

Ma fille Aleanore est morte.

Ce regard... Cette tristesse dans ce corps adulte... Minouche ne peut certes pas comprendre l'immensité de la douleur d'une mère qui voit sa propre chair mourir contrairement au cycle de la Vie, mais... Le simple poids porté par celle qui lui a permis d'en arriver là aujourd'hui - et accessoirement sa maitresse - pique le cœur du gosse au vif.
Chaque jour, il ressent cette ambiance lourde et sombre à ses côtés, et il n'arrive à aucun moment à attirer véritablement une once de bonheur. De plus, ne connaissant ni d'Ève ni d'Adam cette âme envolée, le môme ne trouve pas une seule fois une bonne tirade capable d'amener un sourire sur les lèvres de la Violette.

Inutile. Quel sentiment détestable à si jeune âge... Surtout quand cela touche les personnes qui comptent.

Alors, dans cette tente de l'Alterac, depuis le petit matin, les quelques neurones disponibles se mettent en œuvre de trouver une solution, même si l'entretien des armes n'avance pas d'un poil, elles qui ont dû apprécier l'environnement humide de notre ami l'automne. Une chance que Marie Alice ne soit pas encore dans le coin... Y a du bon d'être avec une femme trèèèèèèèèèèès prise par le travail.

Pour rien arranger le tout, les guiboles le grattent d'envie de marcher dehors, en bon gamin sauvage pas encore éduqué. Il cède. Peut être qu'une promenade et plus d'air frais amélioreront la connexion avec l'intelligence.

Pfff... J'aime po rien trouver...

L'espoir diminue à vue d'œil, la colère par contre ne désemplit pas. Et comme un malheureux caillou a l'audace d'être sur le passage d'une de ses chausses...

*flotch*

HEY !

Primo, le caillou était au-dessus d'une flaque de boue, ce qui est bien sûr loin de décourager notre sale gosse... Cependant, quelqu'un semblait marcher dans le sens contraire. Décidément, cette journée promet d'être aussi belle que le temps !

Oups...
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Rheanne

Le retour en Maine de la brune s’était finalement effectué dans une totale indifférence. Celle des habitants pour la plupart bien sûr et de la brune elle-même ne retrouvant plus l’âme d’un comté cher à son cœur en ces terres qu’elle ne reconnait plus.

Alors depuis son arrivée au Mans, elle collait au train de ses frères et sœurs d’ordre. Enfin quand on dit coller, pas du genre à faire l‘incruste, non, pas le genre. Mais plutôt une présence de tous les instants pour mener la mission à bien de concert avec les autres Licorneux. Alors elle enchaînent les rondes, les nuits sur les remparts, les menues siestes sous sa tente dans le campement prévu à cet effet et seulement pour cela. Ah non, pas question de transformer le lieu en terrain de jeu ou de festivités en tout genre.

Alors la mine sérieuse et le pas lourd de quelques heures de rondes, elle quitte son coin de pavé pour rejoindre sa tente et s‘accorder quelques heures de répit. Elle lève les yeux vers l’astre brillant et soupire de le voir déjà aussi haut. Voilà qu’elle a encore trop traîné et que son repos s’avèrera de courte durée.

La mine basse et la fatigue pesant sur ses épaules de jeune écuyère, elle traîne des pieds jouant tout de même à éviter les flaques que le ciel automnal a pris soin de semer par ci par là. Déjà que le somme sera rapide, pas question de le raccourcir d‘autant plus par une séance de blanchisserie…

Sa paillasse, elle n‘aspire qu‘à la retrouver et enfin fermer ses paupières lourdes. Dans cet état, un attelage pourrait lui passer sous le nez, qu‘il n‘est pas dit qu‘elle s‘en rendrait compte. Rapprochement d’un gamin à l’horizon mais pas de réaction de la brune, priant à retrouver sa couche au plus vite tout en évitant les trous boueux.

Un pas vers la gauche, un grand vers l’avant, voilà qu’elle prend garde à ne point intenter plus encore à sa tenue. Mais ledit gamin qu’elle n’a toujours pas remarqué, trop concentré sur ses évitements… donc le gamin se met à prendre un pauvre caillou pour une soule et à l’accompagner au passage d’un copieux jet de boue. Et comble de malchance, le projectile et son accompagnement rencontre la trajectoire sinueuse de l‘écuyère et accuse le point de chute en plein dans la cuisse droite de la loque licorneuse.

Simple instinct faisant suite au choc

HEY !

Elle lève la tête rapidement, aperçoit le gamin affublé d’une moue vaguement contrite et le reconnaît pour l’avoir déjà croisé avec Karyl. Mais le souvenir du petit blond n’a pas l’effet bénéfique pour chasser la lassitude de la brune et le regard se reporte sur l’objectif du caillou.

Les poings de Rheanne se contractent rapidement dans un profond désarroi, elle tente de respirer profondément mais la fatigue et les nerfs ont tôt raison d’elle. Elle constate les dégâts en une profusion de boue sur le tissu de la braie droite.

C’en est trop !!! Qu’avait-elle donc fait ce jour pour ne pouvoir mériter ne serait-ce qu’un couple d’heure de repos ?

Et alors qu’en temps normal, cet incident aurait valu un haussement d’épaule de la jeune femme, les nerfs (ou les hormones, allez savoir) rendent l’évènement tragique au possible.

Serrant toujours les poings, elle plisse les yeux les rendant ainsi un peu plus foncé qu’à l’accoutumée et les dirige vers le fauteur de tâches.

Mais qu’ai-je donc fait ce jour pour mériter ça ?!

Tu peux pas faire attention Minouche ?! T’as pas autre chose à faire qu’à curer les flaques du campement ?!

Cette humeur n’est vraiment pas habituel chez la jeune femme mais les nerfs à fleur de peau sont rarement compatibles avec les sourires et les ronds de jambe. Mais bon sang, elle ne demande présentement que la paix et surtout qu’on ne vienne pas lui causer des tracas supplémentaires comme celui de courir au lavoir pour anticiper sa lessive hebdomadaire.

Minouche

[ … Pour calmer une grande sur les nerfs ? ]

- Humeur du jour, bonjour -

Les mirettes hagardes viennent rencontrer leurs jumelles nerveuses féminines, tentant de se rappeler le nom. La mémoire ressurgit une fois le visage passé au peigne fin. Rheanne, la mainoise brune fraichement rentrée dans le rang licorneux à qui il doit une promesse… Et pas des plus banales. Seul le contraste de l’humeur vient titiller la moue déjà bien présente chez l’enfant.

Mais qu’ai-je donc fait ce jour pour mériter ça ?!

Rapide coup d’œil sur l’immensité de la bêtise. Haussement d’épaules du jeunot. Y’a pas de quoi tuer un…

Tu peux pas faire attention Minouche ?! T’as pas autre chose à faire qu’à curer les flaques du campement ?!

…Quoique. Si, c’est horrible, un malheur national, il y a une TACHE SUR LA DEXTRE DES BRAIES. Appelez expressément les servantes, le Roy, invoquez une grande assemblée, y a l’feu !... Seulement, face à cette terrrrrible difficulté, le sale gosse n’a qu’une seule pensée totalement ingrate : « Les filles sont toutes pareilles scrogneugneu. » Vraiment la jeunesse, plus aucun respect j’vous le dit. Et le pire c’est qu’il en rajoute sans mal, pointant d’un doigt son erreur, avec un rictus de face bien décidé à ne pas s'évanouir :

Oui bah ça s’lave… Pis c’pas du grave nan ? J’ai po r’gardé d’vant. C’pas du cracra sur ton nez namého !

Puis comme le minot est sur sa lancée, et que son interlocutrice a plutôt l’air ébahie du culot du môme, pourquoi s’arrêter ? Hop, mode poings sur les hanches et vas y qu’j’t’en retourne une belle marmelade :

Et pis toi aussi t’es pas dans la joie ? Pffff… Crotte, z’êtes passé l’mot les grandes ? Moi j’travaille du très important de la mort qui tue dans ma tête, alors faut que tu m’aides. Si nan, Marie elle va tous les jours être triste, et moi j’veux pas.

Ou comment essayer d’étouffer l’affaire en prenant l’esprit avec ses propres soucis. Tudieu qu’ils sont malins ces diablotins… De vraies machines à blabla brouillard. L’autre aurait-elle compris la manœuvre du minot ? Rien n’est certain, et pour dire vrai, le petit gars n’en a rien à cirer. Mais vraiment…

Et pis t’as po l’choix. D'ailleurs Noisette qui t’attend, et elle faut pas faire poireauter. C’pas ‘nentil.

Les neurones s’activent, tempête sous une touffe couleur onyx assez propre, pour changer du style filasse. Finalement, ce coup du sort lui aura remis les idées en place… Et en parlant de ça… Il lui en vient une pour l’affaire Alterac. Sortant de la pose de l’homme réfléchi – oui enfin homme… M’avez compris - , le Minouche tente de trouver un écho à son appel à l’aide :

Est-c’que… Tu sais écrire et tout ? Faut faire des lettres. Moi j’sais po faire, mais j’peux te dire dans l’exact c’que tu dois noter. Elle est où ta tente ?
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Rheanne

[Et dire qu’elles rêvent toutes d’en avoir ! ]

Le sacripan !! il est là devant elle à la regarder comme… comme… bah comme il est en train de la regarder et ça lui plaît pas mais alors pas du tout. Et il a même le toupet de prendre à la légère la situation catastrophique. Une tâche !!! Mais une tâche tout de même !! Et cette terre mainoise collante est une réelle plaie à faire disparaître. Et elle en sait quelque chose la brune, elle a grandi dans cette région.

Elle qui ne souhaite que rejoindre sa paillasse se retrouve avec Minouche le gamin hyperactif. Pourquoi faut-il que cela tombe sur elle et pourquoi aujourd‘hui ? Elle qui se demande parfois pourquoi elle ne ressent pas dans ses entrailles le besoin d‘avoir un mioche, de ces êtres qui hurlent et crient dans tous les sens, vous pompant votre énergie, là en cet instant devant le gamin à la limite de l‘irrespect, elle se félicite de n‘avoir pas l‘instinct de pondeuse.

Et cette moue. Il a le toupet de se sentir offensée de la grogne de l'Ecuyère. Mais il se fout clairement d‘elle. La colère monte. Il croise les bras, la fulminant du regard. Il attend peut-être qu'elle s'excuse ? Qu'elle se mette à plat ventre dans la moue et implorer son pardon ? Et pour le coup se faire d'autres tâches ?! Hors de question !!
Le ton est froid et énervé.

ça s’lave, ça s’lave ?! Non mais tu crois que je n’ai que ça à faire ?!
Tu travailles ptêt dans ta tête, mais moi, gamin, je passe mes nuits sur les remparts à surveiller je ne sais quoi. Alors si tu peux éviter de me faire perdre du temps à jouer à la lavandière, j’apprécie fortement.

Non mais, il croit quoi ce gosse, que ces problèmes de la mort c’est beaucoup plus graves que ces difficultés de sommeil ? Non mais !!!!

….

Léger doute et ça carbure dans la tête de la brune.
« Non mais il a quand même dit que c’était de la mort. La mort c’est grave normalement. »
« Ouais mais c’est qu’un gosse, à cet âge là, tout est grave pour eux. Quand ils perdent leur jouet préféré, quand c’est des haricots à manger et que Monsieur il aime pas ça, et ça chouine, blablabla… »
« Oui mais bon, là il chouine pas celui-là… Il a l’air quand même super sérieux. »
Ouais ptêt mais il se fout de moi là !!! Je vais pas commencer à me faire manquer de respect par un mioche. Je suis une Licorne bordel !!
Justement, t’es une Licorne, rappelles toi donc de ton serment…
…
Alors ça te revient ?
Grrrr !!!! Oui je sais mais…
Pas de mais, c’est une âme comme une autre à défendre !
Humpf. Ok, mais je te préviens si c’est pas réellement de la mort, je te jure qu’il va sans souvenir le mioche !

Le dialogue mental terminé à défaut d’argument valable à apposer pour contrer la demande du minot, la brune toujours d’aussi mauvaise humeur, range sa conscience dans une boîte bien profondément mais alors bien profondément et croise les bras sur la poitrine, l‘air renfrogné parce qu‘elle a pas le choix, un jour, elle a fait un serment…

C’est quoi ton problème de mort ? Et en quoi ça me regarde ? J’ai pas de problèmes avec ça moi. Je suis ptêt morte de fatigue mais je vais m’en sortir, hein, pas de souci…

Et Rheanne de ressortir la boîte…
Non mais comment il me parle. J’ai pas le choix ?! Non mais je t’en foutrais. T’as vu le culot ? Et pis c‘est qui cette Noisette ? J‘ai dit que je voulais dormir pas m‘empiffrer.
La fatigue, ça te met vraiment pas en valeur hein !! Va falloir qu’on revoit ta notion de l’altruisme. Ah et puis ta bonne humeur, parce que là ça laisse franchement à désirer….
M’énerve, m’énerve… tout en refermant la ptite boîte.

Toujours pas une seule once d’intérêt dans les prunelles noires. Non mais, qu’il en finisse et après, dodo !!! Youpi !!!

Noisette ? Qui ça ?! Oui lire et écrire je sais. Mais bon, ça peut pas attendre ? Non mais franchement, accouche et fais vite, j’ai une paillasse qui m’attend…

Aller dans la tente ? Mais c’est tout ce qui la fait encore tenir debout la jeune écuyère !!! Mais si le gamin l’accompagne, il y a fort à parier qu’il ne la laisserait pas piquer un roupillon… Quoique, on ne sait jamais, en faisant semblant de se concentrer, elle pourrait ptêt se faire quelques micro siestes…

Pfff, bon suis moi. On va aller voir ça. Et après zou, tu files ennuyer quelqu’un d’autre, promis ?

Minouche

[ ... Pour demander de l'aide par la voie de l'encre ? ]

- Volonté de môme -

Promis.

Grand sourire. L'enfant attend que l'adulte passe devant pour féliciter personnellement sa grande diplomatie ; En plus sans avoir à tout révéler. Finalement il est bon de ne pas lâcher le morceau, ça embrouille les grands... Bon à savoir. Ne reste plus qu'à user du don de l'écriture de Rheanne comme il le fait d'habitude avec la Violette.

Les chemins boueux se succèdent jusqu'à la tente de la mainoise. Le sale gosse ne prête toujours aucune attention à la hauteur de la fatigue de sa compagne, plutôt occupé à se rappeler des différents mots appris depuis la rencontre qui changea sa vie.
C'est qu'une lettre, c'est du sérieux. Voir même un défi pour le mioche à chaque fois qu'il doit faire la dictée.
Après, savoir pour qui est le plus grand calvaire entre le petit orateur et celui qui doit jouer le scribe d’un lutin... Joker.
Mais passons, y a du boulot !

Bon heu... Te dicte et tu n'écris comme j'dis.

Hep gamin, t'oublierais pas quelque chose à rajouter mmmmh ?

Ah, et... Y en a... Un doigt, deux doigts... Pour trois qu'je connais du bien. C'est pas long du tout. 'Fin j'pense.

Surtout rester impassible si un adulte grogne fort, rappelle-toi. Laisser le temps qu'il soit prêt à écouter... Bien respirer... Bien parler... Se rappeler des jolies règles envers qui tu t'adresses... - Didiou, c'plus chiant que de chouchouter Noisette ! - Et enlever de ta caboche toutes tes pensées à sortir d'ici sans avoir fini ton travail nom d'une pipe, môme de la rue !

Cherrrrrrr Eoghan... - Alençon qu'il est. - Tu as encore le bouchon hein ? Parc'que si nan je te a dis que tu as pu' de derrière ! Du cadeau c'est du cadeau ! Bon, pour faire dans le bref il faut que tu me aide. Est-ce que toi tu sais comment qu'on fait sourire une grande triste ?
Moi j'vois rien. C'pas facile du tout. Pis j'veux bien aussi des lettres de toi souvent. Tu réponds hein, c'du très n'important. Mais tu chut, faut dire à personne.
Soin d'toi, signe Minouche.

Et de une...

Cherrrrrr Alycianne et Cassoulet... - Euh Cassian, tu fais un pâté ! 'sont chez leur papa en Bourgogne... C'est un... euh héros pas mort. - J'espère que tout est bien dans vot' château grand et beau. Papa héros aussi ?
Moi j'ai un gros problème... J'sais pas comment qu'y faut faire redeviendre comme avant une grande qui est triste maintenant. Si toi ou toi tu sais, tu me dis car c'est du spécial de mort qui tue. Surtout faut rien dire aux autres, secret.
Faites 'ttention aux chevaux qui galopent, signe Minouche.

Plus que la dernière pour un blondinet...

Hum... Cherrrrrrrrrr Karyl - l'est avec la grande Félina, faut faire passer, nan j'sais pas où qu'il est en exact - Comment que c'est la ferme ? T'as du cheval ? Des fruits partout ? Et ta moman ?
J't'écris avec Rheanne car y a une grande qui va pas bien du tout et j'ai beaucoup du souci... Tu sais pas toi qu'est-ce qu'ils aiment bien pour plus trop penser ?
Et pis faut que tu dis rien aux grands sur ça, tu promets hein... C'est du gros.
Pas de bêtises, signe Minouche

Soupir de soulagement... Avant un rapide aperçu - enfin - sur l'état du scribe. Une grimace ne tarde pas à pointer.

Han, mais tu veux dodo ! Faut dire m'enfin !

Les petites menottes viennent s'emparer vivement des vélins, sans laisser une moindre seconde à l'adulte.

J'sais quoi faut faire après. Toi tu dors nah.

Et c'est un Minouche qui se carapate et laisse s'assoupir une Rheanne, qui aura un jour, sans aucun doute, quelques invectives à donner à un bambin excité assez doué pour oublier les leçons de bienséance...
Mais ceci... C'est une autre paire de manches.
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Dis... Comment qu'on fait ?

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