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Info:
Là où l'horreur commença pour le pauvre Max.

Sa vie a basculé près de la rivière

Maria_paz
L’obscurité approche à pas de loup. Les paupières de Maria s’abaissent parfois comme un lourd rideau de fer.
Elle sursaute constamment à chaque bruissement dans les ronciers , chaque cri qu’elle ne parvient pas à identifier. Les ombres des branches s’allongent sur son visage, creusant les traits d’épuisement.
C’est au tour du médaillon de baigner dans la dangereuse mélasse.

Son palpitant se met soudain à battre très fort. Des bruits sourds, des pas rapides, la bouillée de fougère s’agite, le sieur qui en sort aussi, mais lui..., à étrangler un arbre avec une corde.


« Attrapez ça m'dame ! »

Les rouages un peu rouillés de son caberlot se mettent à tourner à toute vitesse et dans tous les sens, les yeux suivent le mouvement puis se figent comme un cabot à l'arrêt.
La presque engloutie tend vivement ses abattis avec une expression d’espoir immense. Elle est concentrée comme le chasseur qui va lâcher sa flèche en tirant la langue, ouvre grands ses mirettes qui suivent la trajectoire de la corde qui cingle l’air.

Son visage se décompose brutalement.
C’est pas les yeux qui sont mauvais, c'est les bras qui sont trop courts…

Elle s’en veut ! mais elle s’en veut ! devant cet homme qui finalement fait tout ce qu’il peut pour la sortir de ce marasme.
Mais elle se reprend vite et se penche, se courbe, s’aplatit, s’allonge vers ce bout de corde qui git non loin d’elle
. Gnnnnnnnneu ! Elle souffle fort. Jamais elle n’avait étiré son corps à ce point mais enfin ! enfin elle la tient ! et dans cette bassine noircie par la carapace de terre séchée apparait enfin un sourire.

Viiiiiiiiiiiiiiiite !!! tirez-moi de là ! Avant que je vire cul-de-jatte
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aaallez me chercher Christoooooos !!!
Monsieurmichel
Ses lancés n'sont pas des plus zhabiles, et la corde, il la lance pas forcément assez prêt. Aussi, il observe presque en souriant la dame se dandiner jusqu'au bout de la corde.
Comme un pti poisson qui chercherait absolument à faire hameçonner.

Quand elle attrape (enfin) la corde, le Miche prend un air nettement plus sérieux, va falloir que les nombreuses heures passés à cultiver ses fleurs, à transporter des cagettes complètes de roses et de tulipes lui soient utiles, pour la ptite dame.

Aussi, prenant appui (et désormais tout à fait sérieux) des pieds en se plaçant derrière l'arbre, il tire de toute ses forces des bras, et peu à peu, elle glisse vers lui, lentement, mais surement.


-"Ça vient m'dame !"
Maria_paz
L’homme semble déterminé et déploie toutes ses forces . Lorsqu’il tire sur la ligotte, Maria sent qu’elle se dégage petit à petit. Mais très petit. C’est long. C’est épuisant. Pour lui comme pour elle.
La corde qu’elle a enroulée autour de son poignet lui broie les os et pénètre ses chairs. Elle serre les ratiches. La prison de vase veut la retenir. Tiens c’est bizarre, un peu frais au fessard. Encore, encore tenir, encore cramponner la torse, s’arracher au piège coûte que coûte. Le sang se raréfie dans ses mains nerveuses. Elle n’y pense pas. Les rotules apparaissent, enfin ! L’homme tente de réunir ses toutes dernières forces pour tirer cette fois plus fort encore et plus sèchement.


Maria se sent soudain soulevée et dégagée d’un seul coup dans un gros BLOP’ ! même expression qu’ une boutanche de gros rouge qui vient de se faire casser le cou.
Au même instant, son sauveur semble brutalement déséquilibré et basculer en arrière dans la bouillée de fougères habituée au ratatinage. Un craquement étouffé...

La rescapée haletante, vidée de ses forces, git au bas du talus, les doigts encore crispés sur la corde.

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aaallez me chercher Christoooooos !!!
Monsieurmichel
Les battements de son coeur s'accèlère, puissante énergie dans la poitrine qui vacille quand la dame vient enfin.
BING


-"Aïe ...

Le Miche se vautre lamentablement en arrière, de toute ses forces il a tiré fort, très fort, de toutes ses forces en fait. Il a tout donné sans même vraiment savoir ni pourquoi, mais surtout ni pour qui.
Il se relève, et frotte rapidement ses vêtements boueux et couvert de verdure et de vert en tout genre.

La dame est là, allongée, mais en dehors de la nasse gluante qui l'engloutissait, pouce après pouce, morceau de chaire après morceau de chaire, cheveux après cheveux.


M'dame, ça va?"
Maria_paz
La question restera suspendue en l’air comme une vieille culotte accrochée au fil depuis 8 jours…

L’homme, heureux de son sauvetage s’attendait sûrement à la trouver allongée au bas du talus.
Mais La gadouilleuse s’était souvenue de cette sensation de froid aux miches… Et pour cause, les braies étaient restées dans la vase, ce qui explique sans doute le BLOP à l’arrachage.

La trombine en fusion, son sang avait fait plusieurs tours d’effroi dans son cœur à l’idée de se montrer cul nu. Elle avait rampé à toute vitesse dans les herbes hautes pour échapper au regard de cet homme qui se relevait de sa chute.

Impossible de le remercier, la culpabilité était bien grande mais la honte encore plus forte.

Demain ! demain sera un autre jour. Elle se renseignera pour le retrouver.

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aaallez me chercher Christoooooos !!!
Monsieurmichel
Il shoot dans une motte de terre qui trainait par là.
Laconique, il revient sur le lieu de leur rencontre, comme pour espérer pouvoir l'y retrouver. Il se dit qu'elle a peut être eu la même idée.
Cela fait deux semaines qu'il vient ici, à la même heure, au même endroit, juste à côté de la "bouillasse" qui quelques semaines plutôt avait failli faire tourner court à sa charmante existence.

Nostalgique il s'assoit quelques instants, au travers des bois il voit la fumée de la fermette percée les feuilles.
Il se souvient, la corde, ...

Une goutellette fuse le long de sa joue.
Miche est amoureux, d'autre chose que de ses fleurs, pas évident ...
Max_premier


11 septembre au soir

Max errait seul ce soir là, perdu, il était resté longtemps sur les marches de l'église dans le calme de la nef mais s'était résigné, personne n'était revenu avec de bonnes nouvelles.

La mariée, sa future épouse, Myriam sa belle brunette, avait disparu sans un mot, sans que personne ne se doute qu'il y avait un problème, même pas lui. Tout pourtant s'était bien passé, les préparatifs au presbytère avec Irella, toutes les surprises étaient programmées, joyeuses et festives, les tentes étaient dressées et les victuailles attendaient les invités mais plus de mariée....

Ses pas l'avait conduit bien sûr en premier chez elle, enfin chez eux rue du bois mais seul la nourrice attendant Clément et veillant sur Séchant était là et elle n'avait pas revu madame. Il avait remonté le long de tous les remparts, parcourant dans la nuit la rue des Ambuleurs puis en extérieur les jardins et le voilà ici maintenant près de cette rivière dont il n'avait jamais su le nom, un affluant de la Loire, qui permettait à l'hôpital de fonctionner.

L'hôpital ... était-il la cause de cette disparition, c'était la seule zone d'ombre sur leur couple, car il lui prenait tout son temps de libre et Myriam en souffrait il le savait, mais ils en avaient parlé, maintes et maintes fois et elle avait toujours compris son engagement.

Ne pouvait-il conjuguer une vie heureuse de couple et sa passion d'aider les gens, malades et pauvres hères ?

Il ne savait plus où la chercher et s'écroula en pleurs sous un arbre où même les rayons de lune ne parvenaient pas.

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Tord_fer
Voila plusieurs jours, voir plusieurs mois que Tord Fer n'était pas sortit du presybytere, non pas qu'il s'y sentit une âme charitable lui venir, bien qu'il eu toujours une grand fois en Aristote. Les églises s'était vraiment pas son truc, mais il avait vite remarquer que queleuqe fois il fallit se faire oublié, etc'est dans ce but qu'il s'y était planqué, quelque jour n'y aurait pas suffit au non, tans qu'a faire autant se faire croire mort...

Mais en ce jour, quelque chose l'avait pousser a sortir de son troue, de sa cachette.
En effet un voyageur recement arrivée en ville s'était rendue à l'église et Tord Fer avait pris quelque renseignement...Hors ce jeune homme connaissait bien quelque donzelle de sa connaissance, des femmes de petites vertu, mais avaec qui il avait eu disons quelque histoire pas piquer des vers, et apprit il de ce jeunes, hommes, les deux était mortes, étranges coincidence tous meme...mais cela le rendit triste...enfin triste...disons que voila enfin une occasion de boire un coup ! Oh il ne s'en privé pas jusqu'a la mais entre boire sans raisons et boire pour des filles de rues, en voila une grosse différence, enfin une bonne raison de boire a l'exces !
Il était donc sortit de son troue et était aller boire un ou deux coups...voir cinq ou six à l'auberge de la ville, à la santé de Cocotte et Aphrodite...

Il se dit qu'a présent il n'avait plus aucun pied à terre...arf, les filles de petite vertus meurt bien trop jeunes...il devrait s'en trouvait d'autre...erf...

Il avait un peu trop forcé sur l'alcool et sentait ses pensées plus tres nette...
Il se dirigea donc au bord de cette riviere, pour disons....avoir les idées fraiches...
En arrivant au bord il regarda les poisson un long moment en marmonant des chansons a boire :


Du rhum...des femmess...et d'la bierre...*hips*

Il se pencha un peu trop et son équilibre devenue précoce avec la fournaise, il tomba dans l'eau avec un grand bruit ne laissant aucun doute sur son poids...

Et *ù^$ùù !!:ù^)àç_790`|[|\`\ **ù^*! !!!

Il jura comme un chartier durant un temps avant de dsortir de l'eau.
Il se trouvait dans un piteux état et avait l'aire vraiment ridicule.
Le pure alcoolique dans sa tenue et sa facon de se tenir...

Il tient une long conversation avec son ami invisible avant de s'écrouler net sur le bord de l'eau...
Il était telement saoul qui n'avait meme pas vue l'homme qui pleurer assis sous l'arbre pas tres loin de la ou il se tenait...

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Max_premier
La nuit était passée, il avait fini par s'endormir épuisé, comme une souche, sous la frondaison de l'arbre, un saule pleureur remarqua-t-il... de circonstance...

L'esprit embrumé, il mit un certain temps avant de sortir de la pénombre protectrice mais il ne pouvait rester là indéfiniment, il se devait de réagir, lancer des recherches officielles, s'occuper de son fils, il y avait tous les lieux alentours à revérifier à la lumière du jour, questionner les gens, même dans les lieux improbables. Mettre des affiches...

Il en était là de ses réflexions quand il poussa d'une main les longues tiges ligneuses du saule clignant des yeux au soleil déjà brillant mais une main en visière, il inspecta les lieux déjà pour se rendre compte où il était réellement, la veille dans la nuit, il avait plutôt errer et aussi pour voir ce qu'il y avait là... au bord de l'eau, une forme allongée informe d'ici.

Son sang ne fit qu'un tour....
Myriam !!!! Il se mit à courir sur la berge instable et s'en prendre garde à lui, brisant tout ce qui le gênait au passage. Myriammmmm !!!!

Mais plus il se rapprochait, plus la forme lui paraissait étrange, un long manteau sombre, Max ralentit mais avec l'espoir que ce ne soit qu'une cape cachant une robe... de mariée mais il devait se rendre à l'évidence, ce n'était pas sa belle et encore moins une femme d'ailleurs.

Oh... Hé vous là.... vous n'avez pas vu une jeune femme aux longs cheveux bruns bouclés ? Myriam, ma fiancée... Hé Oh... vous vous réveillez ? Il se mit à secouer l'inconnu sans ménagement, il n'avait pas la tête aujourd'hui à perdre du temps pour un ivrogne quelconque. Malgré tout, son réflexe de soignant était là et il prit le poignet de l'homme pour sentir tout de même si le pouls battait.
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Tord_fer
Tord Fer était allongé depuis maintenant un bon moment, la nuit était passé et le soleil pointait son nez. Pas encore tout a fait remis de ses éxcés de la veille il n'avait pas bouger d'un pouce, allongé dans la boue, les pieds dans l'eau.
Il avait plutot mal dormit, ces nuits était toujours hanté par ses cauchemards, les choses qu'il avait faites et qu'il ne regrettait pas, mais qui le pourchassait sans cesse. Il ressentait pres de lui la présence de Franck, cet imbécile qui le faisait passait pour un fous, cet imbécile que lui seul voyait...mais il n'était pas fous...au non ! juste...dérangé disons.
Ces reves avait était adoucis par la présence des deux jeunes femmes pour qui il avait but...
Mais ces reves avait pris fin. Il sentait qu'on le secoué, surment encore ce Franck de malheur !
Il grogna sans bouger, il savait au fond de lui que Franck n'existait pas, alors pourquoi ce déranger pour un fantome...


Max_premier a écrit:
Oh... Hé vous là.... vous n'avez pas vu une jeune femme aux longs cheveux bruns bouclés ? Myriam, ma fiancée... Hé Oh... vous vous réveillez ?


Myriam ? pourquoi franck lui parlait d'une Myriam ? il n'en connaissait aucune, a part peu etre la donzelle qu'il avait croisé tard dans une ruelle et qu'il avait...enfin bref, son esprit réagit vite tendis que Franck cherchait son pou.
Ce n'était pas Franck a vrai dire assis a coté de lui !

D'un bond il se retourna et sortit sa dague qu'il avait a sa ceinture et le pointa sur le jeune homme.
Il n'y voyait pas encore bien, un peu floue et un peu rouge, mais il vit les traits appeuré et triste du jeune homme...
Qu'est ce qu'il lui voulait lui ?
On peut pas décuver en paix dans ce patelins ???
Tord Fer grogna :


Qu'est qu'tu m'veux bougre d'imbecile ? De quoi t'm'parle ?

Désolé pour le tutoiment, mais Tord Fer et la politesse ca fait 4...

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Max_premier


Le 12 septembre, toujours à la recherche de Myriam

Max n'était pas vraiment habitué à ce genre de personnage et d'ailleurs ce matin là, c'était le cadet de ses soucis.

Doucement, rangez votre dague, je voulais juste savoir si vous étiez vivant. Apparemment oui.. mais bon, vous avez une sacrée blessure sur le visage, faudrait recoudre ça, avant que ça s'infecte.

Celui qu'il prit pour un ivrogne respirait et même bien vu les vociférations c'était le plus important pour le reste.... et sa dague en avant se mit à l'insulter.

Imbécile ? Moi... et vous croyez que vous traîner dans la boue comme un des porcs de mon élevage ce soit très intelligent ? Bon allez, je vais pas discuter avec un ivrogne... qui décuve à peine, c'est votre vie.


Je cherche Myriam, une brune aux cheveux longs et bouclés et qui devrait être dans une robe de mariée, quoique ça j'en suis plus très sûr mais bon, vous avez vu une jeune femme qui correspond à ça avant que vous vous écrouliez ici ?

Ne sachant plus où chercher, il se raccrochait à tous possibles renseignements même ceux qu'un homme imbibé pourrait lui fournir.
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Tord_fer
Tord Fer rangea sa dague et cracha par terre en ricannant...
Puis il passa sa main sur son visage la ou le sire lui avait dit qu'il avait une plaie...Sa un rocher avait du mettre un coup de pierre a sa terte pendant qu'il "s'allongé" dans la boue...
Mais il ne comptait pas la soigné, il avait autre chose a faire, et puis il était plus a une cicatrice pres...bref...il reportant son attention sur le sire qui pestait a cause du mot imbécile...
Il ne l'écoutait que d'une oreille se demandant quand il allait mangé, quand il parla d'ivrogne...
C'était pas un ivrogne, juste quelqu'un qui aimait boire non mais !
Avnat qu'il est eu le temps de raler le sire devnt lui enchaina sur une belle brunette frisée...
Son attention se porta sur le sire et il le regarda de plus pres, avec un regard qui en disait long sur se qu'il allait faire de lui si il l'interroger encore sur les demoiselles frisées...

Son regard resta fixé sur le sire mais son esprit remonta rois jours avant qu'il ne prenne sa cuite...Il avait bien croisée une donzelle dans les ruelles tard le soirs....peu etre était elle frisée...m'enfin il ne regarder pas ses cheveux se soir la...

Il sourit au sire et ricanna :


J'en ai p'etre b'en croisé une...

Sur ce il cracha de nouveau fit un signe de la tete au sire et commenca à aller voir ailleur si il y était. Il n'aimait guere les questions...
Encore moins les questions sur les belles donzelles disparue qu'il avait croisé tard dans la nuit....
Apres avoir fait quelque metre il s'arreta....
Quelque chose venait de le frapper. L'allure du sire, bien habillé propree sur lui...comme la donzelle...

Il se retourna et le jeaugea :


Combien vous m'donnez pour quelq' info sur la donzelle ?
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Max_premier
Un sourire méchant, un rire de fond de gorge, avec une voix éraillée : J'en ai p'etre b'en croisé une....

Max hésita un moment se disant que venant d'un tel énergumène, il aurait été étonnant qu'il ne s'amuse pas de la situation mais quand il vit ce dernier le regarder de la tête au pied, remarquant sûrement son mantel blanc qu'il n'avait pas enlever tâchant à jamais le tissus précieux et les broderies de sa tenue d'épousailles, là il remarqua de l'intérêt qui n'avait plus rapport avec l'alcool ingurgité.

Ce que je te donne ? Ce que je te donne ? Là la rage lui monta et il sauta sur l'inconnu, lui immobilisant les bras pour qu'il n'atteigne pas sa dague. Je te donne le droit de continuer à vivre ça te va ? Puis usant de sa position, de la surprise et de la colère qui l'animait multipliant ses forces, faisant ressortir une violence qu'il ne se savait pas. Et peut-être que même que je te ferai une fleur en te réparant la face.... Dis moi tout et vite.... Tu l'as vu ? Où ça ? Qu'est-ce qu'elle faisait ? Qu'est-ce que tu lui as fait ? Il maintenait fermement les deux poignets de l'homme et l'empêchait de bouger, remerciant inconsciemment son métier d'éleveurs qui lui servait à ce moment là.
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Tord_fer
Tord Fer avait à peine finit de poser sa question que l'homme partit au quart de tour et lui sauta dessus. Lui qui avait d'habitude de bon reflexe se laissa avaoir par le jeune homme. Ha l'alcool et traitre ! Le Sire lui mintenaua les poignet avec une force surprenante pour quelqu'un de son envergure.
Ha la jeunesse...Tord Fer se faisait peu etre trop vieux maintenant pour continuer a se battre. Du haut de ces cinquante ans le viel homme n'avait plus d'aussi bon reflexe qu'a une époque mais garder une force assez importante.
Bien que cette fois le sire le tenait bien, sans que Tord l'ai vut venir, il se dit qu'il pourrait se degagé de son emprise, mais pas de façon loyal...ca va s'en dire.
Le Vieux brignads pourtant ne broncha point écoutant les menaces du jeune homme.


Citation:
Je te donne le droit de continuer à vivre ça te va ? Et peut-être que même que je te ferai une fleur en te réparant la face.... Dis moi tout et vite.... Tu l'as vu ? Où ça ? Qu'est-ce qu'elle faisait ? Qu'est-ce que tu lui as fait ?


Tord Fer éclata de rire, ce qui lui passait dans son esprit de fous a ce moment le fit rire, Franck n'était pas tres loin, il sentait la colere le gagner, mais l'envie de rire était bien plus forte...

Vas y...Tue moi...tu rendrait un grand service à la ville en f'sant ca...mais pas à ta donzelle. Si tu m'tue, tes chances de la revoirs sont nul mon gars ! Si tu veux qu'je parle va falloir payer...ou m'tuer...mais fait vite...doit plus lui rester beaucoup d'temps a ta belle belle frisée...
C'est vrai qu'elle est belle..tres belle meme, des grands yeux, la peau pale, un grain de beauté au dessus d'la hanche gauche....


Tord Fer ricana de plus belle, et sachant que ces paroles avait troublé le sire, il recula violement la tete de façon a a atteindre au frond le jeune homme et le faire reculait pour qu'il le lache.
Puis il écarta les bras et se retourna pour faire face à l'homme, ces pupilles de fous allumé d'une lueure meurtirere :


Quand t'a la possibilité d'me tuer, faut pas hesiter.

Puis il s'assit sur l'herbe mine de rien et regarda le jeune homme en tapotant l'herbe a coté de lui.

Dit tu m'aurait vraiment tuer ? t'a pas l'regard d'un assasin...ni l'genre qui s'rait capable d'voir les fantomes venir te hanter sans broncher...mais t'es courageux...
ta la bourse bien pleine...tu crois pas que quelque écus contre la vie de ta donzelle ca vaut la peine ?


Tord Fer sortit son couteau et le planta dans l'herbe devant lui, laissant son épée dans le foureau, comme tout brignad qui se respecte il avait assez de lame pour saigner ses ennemies, et pas asez d'ames pour s'en empecher.

T'sais l'amie, mopi aussi j'avais une donzelle...et un fiston...
J'sais c'que sait d'les perdres, sont mort tous les deux....sauf que moi j'sais ce qui leur ai arrivé...


Tord Fer partit d'un rire gras la lueur de fous dans ses yeux brillait plus que jamais...

J'lai croisé en effet t'a donzelle....j'suis p'etre bien la derniere chose qu'elle a vue...t'aurait dut lui apprendre à pas s'promener seul la nuit...
Elle elle m'a proposer des écus pour qu'j'la laisse tranquille
.

Tord Fer ricanna :

Mais les écus c'est pas c'que chercher quand j'l'ai rencontré....

Il regarda le jeune homme un sourire au coin des levres...

Alors tu m'tue ou t'alligne les écus pour savoir la suite ?
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Max_premier


Toujours le 12 septembre

Malgré son âge et son état le bougre restait vif et Max quant à lui n’avait pas pour habitude de se battre, la colère n’était pas bonne conseillère en général et il s’en méfiait, par contre sa sensibilité ça, il ne s’en méfiait pas assez et lorsque l’autre lui parla de perdre trace de Myriam s’il mourrait et encore plus de certains détails de son intimité, accentué par un rire toujours aussi sarcastique, il eut un moment d’absence et l’autre en profita pour lui asséner un grand coup de tête qui lui fit tout lâcher.

Se tenant le front, à genoux, décontenancé, il vit l’homme s’installer tranquillement dans l’herbe et se débarrasser de son couteau pour mieux l’inviter près de lui à une discussion, lui parlant d’une épouse et d’un enfant morts tous les deux.


Max se releva doucement encore un peu sonné et essaya de se concentrer sur la dernière partie de la conversation, imaginant Myriam dans sa robe de mariée restée seule à l’extérieur de l’église et entraînée de force par ce malfrat. Son sang bouillait mais comme il se le répétait la colère ne vaut rien, il avait toujours préféré la raison mais là…


Non je ne vais pas te tuer, pas tout de suite en tout cas. Puis il montra son manteau blanc. Tu as crû que comme j’étais bien habillé, j’étais riche ? Il se mit à rire lui aussi, jugeant la situation incongrue. C’est ma tenue de marié, hier soir j'étais à l'église pour nos épousailles tu vois, même pas eu le temps de me changer pour aller la chercher et j’ai mis des semaines à me la payer. Myriam ne l'est pas plus que moi, elle aide tous les pauvres gueux du village.

Ben tu vois tu te trompes sur tout… ma richesse à moi c’est l’amour que me donne Myriam et notre fils Clément. Quant au reste, je suis boulanger et éleveurs de cochons, j’obtiens de quoi vivre en travaillant dur mais si y’a que ça qui t’intéresse… si tu veux plus mon argent que ta propre santé, il montra la plaie sur le visage de l’homme avec un air de dégoût, je te donne tout ce que j’ai, je vendrai ma hache et mes couteaux s’il le faut, vu ce qu’il va te rester à vivre, tu auras le temps de tout dépenser en boisson c’est sûr mais tu ne seras pas plus heureux je pense car ton âme continuera d’être maudite et tu ne récupèreras pas l’amour, la seule chose qui a de la valeur, c’est ce que tu veux vraiment ?
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