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[RP] Retour de Tro... trop c'est trop !

Mai
Voilà deux grosse semaine que Marie avait décrété qu'elle voyagerait... en embarquant sœur, ami, duc et collègue. Elle en avait perdu les 3 quart en route. Les avait recroisé, puis reperdu. et retrouvé.

La jeune fille était parti pour rencontré des gens et au long des chemins elle avait rencontré Vossler. Oui, celui la même qu'elle croisait tout les jours en taverne et au conseil ducal. Le voyage les avait rapproché, leur cœur en miette aussi. Ils avaient apprit doucement a se connaitre en discutant de longues heures.

Mais ce n'était que la première péripétie de la jeune fille. Son duc était tombé malade, il n'allait pas bien. Le jour de son investiture il ne se réveilla pas. Elle alla le chercher... Il se perdit en route, n'arrivant plus a suivre le Tro Breizh. La porte parole ne le voyait quasiment plus, il était l'ombre de lui même.

Plus tard à Rieux, au fin fond d'une taverne un homme l'avait dévisager. Rien d'inhabituel, Marie attirait les hommes, mais bon là il était vieux et lui avait dit qu'elle ressemblait trait pour trait a sa mère. *Gloups!*. Feu son Marquis de Papa Poulet n'était pas mort. Ils s'expliquèrent, Lisa n'avait pas l'air très atteinte par la nouvelle mais Marie fut effondrée. Sa mère lui avait mentit... Il était en vie et allait venir vivre a St Pol dans quelques temps.

Deux heures en plus et la jeune donzelle aidait Pelotine a accouché en urgence dans une taverne peu ragoutante. Harmonie était née. Marie étaler par terre entre les noix et les radis, un doigt cassé par la jeune mère. Voss hurlant a ses cotés pour qu'on la sauve ! En y repensant la soirée avait été belle !

Plus loin sur la route, Marie retrouva Elen le cœur en miette lui aussi. Décidément c'était la période ! Il venait de vendre ses champs et ne savait ou aller. Elle lui proposa St Pol... Il la suivit ! Et c'était tant mieux, Elen était quelqu'un de bien et que la jeune blonde appréciait beaucoup.


Encore remuée de tous ça, Marie était sur la plage de St Pol de Léon, le cul dans le sable.
Épuisée, pâle, perdue, ne savant quoi faire pour affrontée se qu'était devenue sa vie ses deux dernières semaines.

Gast... Vite une falaise.
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Elenchild
Il était temps pour Elen de s'en aller. Vannes ne serait plus qu'un souvenir gravé dans sa mémoire. Il n'y était resté que quelque mois, mais ces mois, il les avait aimé. Le coeur déchiré, il ne pouvait resté à la regarder.

Il ne savait pas trop où se diriger... Quitter la Bretagne était une possibilité mais peu alléchante. Mai avait prit contact avec lui, et il lui avait partagé ses sentiments. La jeune femme fort aimablement lui proposa Saint Pol. L'idée était sympathique et il accepta avec envie.

Vendant champs et échoppe, il partit sans rien dire. Le regard tourné vers l'horizon, le soleil luisait bas ce matin là. Ses affaires dans la carriole, il partit vers le lointain direction Saint Pol de Léon.

Le voyage fut long mais agréable, il était heureux d'arriver. S'allongeant pas loin des portes de la ville, il regarda les nuages se souvenant des moments chaleureux de Vannes.

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--Allinea


[Fantomas, fantomas...]

Môman était inquiète sur son nuage. Marie n'allait pas bien, elle était seule.
Que faisais donc Lisa, Voss, Gildwen, Kurios et les autres...
Rah Kurios, celui là franchement !! Si elle avait su qu'il ne s'occuperait pas de ses filles, elle ne les lui aurait pas confié, boudiou !
En attendant la terreur était abandonnée à elle même sur la plage avec des idées noires plein la tête.
Ses amis et ses prétendants n'étaient pas là.


Son paternel j'en parle même pas.
Les poulet n'ont jamais rien fait de bon dans son monde !
Le saligaud a tout juste été bon à m'engrosser avant de fuir devant le minois des ses filles.


Alli soupira le cul dans son cumulus alors que la petite blonde se levait du banc de sable sur lequel elle s'était échouée.

Ma doué... ma doué...
Mais elle va ou là?!


Mai
Une falaise, une falaise...

"La tribun - Pépé - Ambassadrice -conseillère" se leva d'un bond, laissant ses chausses sur place.
Des falaises, il y en avait au delà du phare, on pouvait les voir de la plage.
Abruptes, raides, qui plongeait tout droit sur les rochers ou les vagues s'écrasaient avec violence.
il y avait un chemin qui menait tout en haut.

Marie laissa tout l'inutile sur le sable, et commença a marché en direction du phare.
Le vent faisait virevolter jupes et cheveux autour d'elle.
Elle s'en foutait, pas envie de lutter contre les éléments ce matin.

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Elenchild
Sentant le vent souffler de plus en plus fort, Elen se leva doucement se son petit endroit vert. Il était temps d'entrer dans la ville et cette odeur de sable et d'eau de mer l'attirait également.

Il s'arrêta dans une auberge où il y déposa ses affaires. Prévenant le vent, il s'était couvert d'un pull bien chaud en laine. Il ne connaissait pas bien la ville n'étant venu qu'une seule et unique fois. Mais il se souvenait de la direction à prendre pour se diriger vers la plage. Malgré ce vent tordu, le soleil luisait haut et fort. C'était vraiment un temps agréable et ça ne pouvait que donner envie d'une petite baignade.

Depuis que Margot l'avait initié à la nage, il ne pouvait plus s'empêcher d'aller faire quelque brasse dans l'eau. C'était tout nouveau pour lui, et il appréciait cette activité.

Il arriva sur la plage. Le sable blanc était très mince et agréable sous les pieds. Il n'y avait personne du moins c'est ce qu'il pensait mais un peu plus loin une demoiselle à la chevelure plus blonde que le miel se levait sagement du sable et se dirigeait vers un autre lieu.

Elen n'avait pas fait attention, sur le coup, mais il aperçut des mouvements sur sa droite qui l'interpella. Il tourna donc son regard dans la direction du mouvement et vit la petite Marie. Elle était toute seule, sans doute perdue dans ses pensées. Elen heureux de la revoir, se dirigea prestement vers elle et l'accosta d'un cri. S'il avait fait attention, il aurait remarqué ce phare et ces falaises abruptes. Un lieu sans doute propice aux réflexions en tout genre. Calme, serein, et surtout un lieu où l'on se sent petit, frivole, insignifiant. Un endroit plaisant sans nulle doute, mais tout dépend des circonstances... C'était ce lieu où elle se dirigeait.


Youh ouh !!! Mai !!! Youh ouh c'est moi !! comment ca va ?!
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--Allinea


[In the blue, blue sky...]

Un beau brun court avec entrain vers sa petite dernière.
Alli suit la scène un sourcil levée en signe d'interrogation...


C'est qui lui ?

Ses yeux bleus vont de la scène, a sa liste, à la scène.
Elle a beau comparé un à un le visage du jeune homme avec ceux de son trombinoscope
Môman ne voit pas, ne trouve pas, s'inquiète même un peu.


Voss ramène tes fesses !!
Prétendant non identifié autour de ta belle !
Il est pas sur la liste des officiels celui là...


La brunette s'allonge au bord de son nuage et suit la scène dans l'attente d'un dénouement ou d'une réaction de la petiote.
Le nouveau n'était pas connu mais il avait eu le mérite de stopper net l'avancé de sa fille vers les rochers.



Else
Sur la plage, une paire de chausses avait versé dans le sable. Vestiges abandonnés.

Else avait cavalé dans les rues politaines, en long en large en travers, promenait une mine froissée par l’anxiété. Ah ça, où pouvait-elle bien s’être fourrée, encore ?
Les gens sont une plaie. Entre un père revenu d’entre les morts comme d’une cure pour soigner sa lassitude – quel genre d’homme fallait-il être, quel genre, pour disparaître ? – et un compagnon de route égaré en terre hérétique, un père de cœur qui ne répondait pas à ses lettres et une frangine en amour… et en morceaux : décidément, les gens sont une plaie. Du moins essaie-t-elle de s’en convaincre, tandis qu'elle s'affaire à rattraper les morceaux précités.

En désespoir de cause, la Lise avait rejoint la plage de Saint Pol, où peut-être, Marie aurait cherché la solitude. Ce qui ne l’aurait pas empêchée de l’y déranger. Solitude n’est pas toujours profitable, et la blondine suit toujours son instinct. Qu’il ait raison ou tort.
Ses yeux orage balayèrent rapidement la plage, tout de suite attirés par deux silhouettes. Ah, te voilà, toi.

Et le gus, c’est qui ?

Elle pressa le pas vers eux, détaillant du regard la mise de sa jeune sœur. Ebouriffée. Sableuse. Pieds nus. Allons bon.

- 'sont décidément bien trop nombreux à lui tourner autour.
Mai
La blondinette entendit qu'on courrait à sa rencontre.
Le problème c'est que ce fichu vent dans ses cheveux l'empêchait de voir quoique ce soit !
D'un amplement mouvement de bras, elle dégagea son visage pour découvrir Elen, là devant elle, souriant.

La jolie blonde se remémora alors les mots qu'elle avait eu contre lui a son départ, sa colère, puis ses remords.
Elle lui sauta au coup sans autre forme de procès.


Je suis si contente de te revoir !

Il y a quelques jours, elle avait vu ses champs en vente à Vannes.
Elle lui avait proposé de venir a St Pol pour se changer les idées.


J'pensais pas te voir aussi vite ici !
J'allais monter en haut de la falaise, tu me suis ?
Elenchild
Elen regarda derrière elle, c'était vrai il y avait une énorme falaise. Monter tout la haut près de ce phare ?? Ça devait être fatiguant mais bon pour lui faire plaisir pourquoi pas. Il retourna son regard vers la demoiselle

Eh bien pourquoi pas, mais je te préviens, je ne suis pas un grand sportif et l'escalade n'est pas vraiment un de mes talents.

Il regarda de nouveau vers la falaise et dégluti... ça faisait quand même un peu peur son truc.

Qu'est ce qu'il y a à voir sur la falaise ??


Tandis qu'ils discutaient, s'avançait vers eux une femme au regard plutôt peu commode. Du moins c'était quand elle scrutait du regard Elenchild qui ne la connaissait guère. Que pouvait-elle donc avoir contre lui...
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Vossler
[Saint-Pol, Marrée Basse.]

Comme par hasard le jeune brun était parti faire un tour au quartier général, après une bonne nuit de sommeil, longtemps qu' il attendait ça.
Mais bientôt il devrait reprendre la route pour un bon moment, léger soupir à cette pensée.
Petit bilan de route pour tenter de faire le point sur les évènements du dernier mois :
Election au conseil au poste de Connétable; prise de tête avec la logistique; prise de tête avec certains soldats; il avait accompagné Marie pour son Tro, devenue Plop à présent, qui lui manque d' ailleurs; retrouvailles à Rieux, mauvais souvenir du fiou-fiou, transformation en cible pour femme en train d' accoucher, Plop qui s' est pété le doigt : moment de panique...

Petite lampée avant de replonger dans ses pensées :

La route devenait longue, pesante, et dire qu' il va falloir remettre ça...
Sa soeurette lui faisait la tronche à présent, impossibilité de remédier à ça; entre temps devenu poutreur officiel... soupir à nouveau.

Le regard plongé dans le vide, fatigué, las de cette route interminable.
Le grand brun était impatient que ce mandat se termine, pour enfin mener une vie calme, pour enfin se ressourcer et passer du temps avec ceux qu' il apprécie.

Soudain... une illumination, c' était comme si quelqu' un lui passait un message, comme si quelqu' un tentait de lui parler. Vaguement ça donnait... : "Sors tes miches de cette foutue taverne !!"

Foutue taverne, il ne voyait pas pourquoi, mais bonne idée ceci dit. Sa blondinette lui manquait et il passerait faire un tour chez elle dans l' après-midi, endroit où elle se trouverait sûrement...

Mais avant cela, un petit détour par la plage s' impose, lieu que le jeune homme désirait revoir depuis un moment déjà.

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--Allinea


[là ou vous savez !]

Le menton plantée au creux de sa paume, les chevilles gigotant en l'air, môman observait la scène et le génie de ses filles.
Ah... Ma lizon, le calme avant la tempête.
Heureusement que tu es là toi, ta sœur vaudrait pas cher si tu ne la surveillait pas !


Mais Marie n'etait pas sotte, surtout lorsqu'elle avait une idée en tête.
Alors qu'elle était nez à nez avec son nouveau prétendant et sa sœur, la cadette avait réussit avec habilleté a les faire papoter ensemble pour filer à l'anglaise vers les hauteurs.
Le subterfuge marchait fort bien avec le jeune homme, cependant Maï n'allait pas tromper Lisa longtemps.
Alors que sa dernière grimpait, son ivrogne de gendre (j'entends par là l'officiel) arriva à point nommer vers le petit groupe de la plage.


Ma pov' pintade, Marie c'est l'autre.
L'intrépide. La petite (bête) qui monte, qui monte...
Va pas me faire croire que tu va t'gourer entre Lisa et Maï, c'est la lune et soleil mes poulettes, Boudiou !


Alli aimait ses filles, elles lui manquaient tellement.
Voir le spectacle incessant de leur vie égayait les longues journées morose du paradis.


Mai
Alors qu'elle parlait avec Elen, la donzelle avait vu son regard se fixé dans son dos.
Son double arrivait, visiblement furieuse d'avoir eu tant de mal à la retrouver.
Salutations, présentations... Elle savait fort bien que son ami ferait de lui même la conversation à Lisa.
Elle en profita, rapide et sans bruit, comme à la soule, elle s'était enfuie le sourire aux lèvres.

Le chemin était ardu, pentu, biscornu et pleins d'autre trucs en "u".
Mais en poussant bien sur ses jambes Marie avait réussit.

Du haut de la falaise, l'on pouvait tout voir, même l'île de Batz posé sur l'horizon.
Le vent soufflait si fort que la demoiselle avait du mal a tenir debout.
Elle s'allongea doucement et rampa à plat ventre jusqu'au bord du bord !

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Vossler
Le temps était doux, le ciel n' était pas surchargé de nuages et une petite brise de vent venait adoucir un peu plus le tout. Le temps comme Voss l' appréciait, calme et aéré. Le grand brun avait ordonné à son cheval de prendre un étroit chemin de terre qui menait à la plage et son sable fin. Cette mer bleutée et lui ça faisait un sacré bail, il faut dire qu' il n' avait pas vraiment eu le temps, ni l' occasion d' aller lui rendre visite dernièrement. Quelques instants plus tard et les fers de son canasson heurtaient le sol sablé en un bruit étouffé, aussi, Vossler quitta sa monture d' un bond et c' est avec un sourire en coin, qu' il redécouvrait ce paysage presque oublié.

Une paire de pas déjà effectués et voilà qu' il avait repéré une butte de terre dont il grimpa en son faible sommet afin d' admirer le panorama qui s' offrait devant ses yeux en son intégralité. Au loin s' étendait cette immense mer qui lui paraissait interminable, c' était en quelques sortes le bout du monde...
On pouvait également percevoir des bateaux de pêcheurs parmi tant d' autres, plus ou moins imposants. Mais aussi ce bleu, ce bleu qu' il trouvait chez sa blondinette quand il la regardait droit dans les yeux; couleur inlassable... Etait aussi au rendez-vous le renouvellement sans fin du reflux des vagues qui, les unes après les autres, venaient terminer leur course contre le sable déjà trempé par les précédentes. Etait-ce donc ceci, une forme d' éternité ?
Plus près cette fois-ci, presque au bord de l' eau, des silhouettes en train de discuter se laissaient apercevoir, peut-être les connaissait-il, un rapprochement devenait obligatoire pour les identifier.
Ce qu' il fit après avoir tapoté gentiment l' épaule de son destrier et lui faire comprendre qu' il devait rester en place jusqu' à son retour.

L' atmosphère calme et apaisante régnait en maître en ce lieu, petit havre de paix qu' il était. Le fait de marcher dans le sable et de sentir cet air salé lui rappelait bon nombre de souvenirs de sa jeunesse, animée, il faut l' avouer.
Devant lui, il reconnaissait Else et Elenchild avec étonnement; que faisaient-ils ici en train de taper la causette ? Doucement le jeune brun s' approchait et leur dit sur un ton posé :


Lisa, Elen, content de vous voir, tout se passe bien pour vous ?
Dites.. Vous n' auriez pas croisé Marie aujourd' hui ? Enfin.. j' veux dire par là que j' aille pas lui rendre visite chez elle si elle ne s' y trouve pas quoi..

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Else
Attrapée, la blonde !
Mais allez comprendre... Surveiller Marie de loin lui convint, après tout, soit qu'elle ait décidé que sa jumelle avait bien droit à un peu de solitude, soit... que le gus précité, Elenchild de son doux prénom, se fut avéré vif à la répartie. On ne va pas contre sa nature ; et Beth avait un goût prononcé pour les joutes verbales. Tandis que sa blonde sœur gravissait donc la falaise, elle se perdit dans la conversation.
Quand soudain...


Lisa, Elen, content de vous voir, tout se passe bien pour vous ?

Tiens. Le boyfriend beurré.

Dites.. Vous n'auriez pas croisé Marie aujourd'hui ?

Les yeux acier se portèrent immédiatement sur le chemin côtier... tiens, pas là ? plus haut ? encore plus haut ? encore ? c'est que ça cavale, les frangines insouciantes... ou bien avait-elle croisé le fer rhétorique si longtemps ? Pointe de honte au creux du ventre, tandis que le regard avale les méandres du chemin, à la recherche de... Marie !?!

- Marie !

Comme casserait une corde de luth, avec angoisse. Foi de narrateur, il y avait des années que Else n'avait plus crié comme ça. J'en ai encore les tympans qui vibrent. Et s'élança à la suite de sa casse-cou de sœur, perchée à tous les vents à l'extrême bord de la falaise.
Vous dites ?
Mais évidemment, que si ç'avait elle, elle n'aurait pas voulu qu'on aille la chercher ! Evidemment qu'elle se serait vexée, arguant qu'on lui fiche la paix, bien assez grande, foi de Kermorial, pour décider où elle voulait être, et ce n'est pas si dangereux que ça, etc etc.
Ben quoi ? La mauvaise foi, ce n'est pas pour les chiens.
Mai
L'ile de Batz...Elle se demanda ou était son baron, enfin son duc maintenant.
La pépé ne l'avait pas vu depuis au moins 2 jours, ce n'était pas normal. Elle le savait mal et ça l'inquiétait.
Enfin bon... On s'en fout du Gildou, il est même pas là d'abord !

Le vent qui soufflait tout la haut, empêchant Marie d'entendre l'air de luth de sa frangine.
Allongée, la tête dépassant des rochers, la petite blonde regarda en bas.


C'est bien là ! Mais il est ou?

Marie se retourna vers les terres et chercha des yeux un instant avant de l'apercevoir.
Ah te voila enfin ! Planté dans le sol la fameuse marque dont il lui avait parlé.
Elle y attacha la corde qu'elle avait amener sans rien dire, la même pour quand elle voyageait avec Papou à ch'wal.
Rah Papou..! Arka et elle s'aimait bien. Elle avait deux papas pour le prix d'un. (Égarement de la narratrice pardon !)
Une fois la corde solidement fixé au piquet, elle fit de même avec sa cheville.

C'est mieux pour pas que tu tombes, coquelicot !

Le vieux avait de bon conseils. Marie avait rencontré un ancien en taverne pendant son Tro.
Il lui avait parlé des falaise de Saint Pol et du chemin des douaniers tout en haut.

Tu vas la bas, tu attache ton pied au pique et tu t'allonges au bord de la falaise.
Tu voleras comme une mouette ! Enfin toi t'es pas bien grosse, tu seras plutôt un moineaux, un petit pigeon tout au plus !

L'homme s'était ensuite replonger dans son verre pour parler au sirène qui nageait dans le fond de celui ci.
Il était ptet pas net mais c'était trop tard, marie volerait comme un moineaux !

Bien attachée à la falaise Marie rampa par terre, jusqu'a se que son nombril atteigne le bord.
A moitié dans la vide, la blonde lâcha doucement la falaise pour tendre les bras devant elle.
L'air qui se fracassait sur les falaises remontait avec force le long de la parois, pour s'engouffrer dans le cheveux miel de la demoiselle.
La force invisible la soulevait presque du sol...


Je... je vo... je vooole !!!
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