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[RP] La fête des morts

--Pere_vers
Drôle de tandem que celui qui parcours Toulouse et sa région ces jours ci un grand maigre avec un tambour et un petit gros chafouin. Leur apparence détonne quelque peu mais le grand maigre est bien connu de la populace locale. Et la il commence son office sur la première placette qu’il atteint.

Avisssssssssss à la population !


Les baguettes du crieur public roulent joyeusement sur son tambour afin de rameuter la populace locale.
Il lit d’une voix puissante le message que lui a donné son commanditaire qui se tient d’ailleurs a ses cotés


Citation:
Moi Père Vers vous offre une fête des morts des plus inhabituelles…..

Je vous propose, Demoiselles de cette comté, de vous transformer pour une nuit, en chasseresses audacieuses.

Vous devrez capturer le célibataire de votre choix……

Je marierais les couples qui se présenteront devant moi jusqu’à l’aube….

Je vous promets également forces ripailles et beuveries ayant loué pour l’occasion les talents de Dame Nane d’Albi comme hôtesse de la fête


--Elfine


Hihihihi !!! Une fête pour les célibataires !!!

Elfine n'en croyait pas ses yeux,déjà plein de beaux mâles avaient répondu présents. Elle se planta au milieu d'eux, leur adressa un sourire enjoleur et dit d'une voix fluette, quoiqu'un peu éraillée par les mélanges de potions qu'elle ingurgitait chaque jour

Je suis là, beaux mâles !Et je compte bien m'amuser avec vous !
--Kalinor
( j'ai juste une question : ce son les pnj qui se marirons ?pas les personnage avec les qu'elle on va en taverne et tout. )

http://browse.deviantart.com/?qh=&section=&q=Man+of+the+Middle+Ages#/dhcx1o

Kalinor qui avait entendu parler de cette fête pour celibataires. Quand il arriva a l'endroit ou ce dérouler cette belle fête il vit une dame... plus que charmante ! il s'approcha d'elle et lui dit :
-Bonjour ravissante créature ! Je suis Kalinor pour vous servir.
Il s'inclina devant la dame avant de continuer :
-Quand je vous est vue dame, pour la première fois ou j'ai vue vos yeux je suis... tomber de haut j'ai eu l'impression que.... qu'un immance trou c'était fait dans mon cœur et je me suis dit que....... que sans vous je ne serait rien.... bon passon puis-je vous inviter a prendre un verre
Il regarda la dame dans les yeux avant d'attendre la réponse.
--Don.salluste


http://www.youtube.com/watch?v=GjaBG-Ur1DQ (un peu d'ambiance !)



Un carrosse bien bruyant il faut dire, et solide ?, se rendit à vive allure en pleine Capitale Toulousaine.
Qu'importe qui pouvait se trouver sur la route, pour ne pas se retrouver sous les roues et finir en charpie,
Il valait mieux se jeter hors de portée !

Oooh Oooooh ! haussa le cocher pour stopper les cheveux, une fois sur place.

Déjà l'on pouvait entendre depuis l'intérieur du carrosse une voix aigri qui pestait à tout va.
Certainement le voyage qui lui fut désagréable, ou bien lui-même de nature désagréable ? Ce qui serait plus probable.

Le valet arrière, Blase, s'enquit d'aller ouvrir la portière..

Une silhouette de petite taille (hum de taille moyenne mille excuse Mô Seignôr !), apparut et dévisagea la place et ses occupants avec un œil mauvais.

Blaaaaaaaaaaaaaaase ! tel fut son premier mot.. où cri serait plus juste.

Mon Seigneur ??? se dépêcha d'approcher le pauvre Blase se demandant ce qui peut bien lui arriver encore !

Aidez-moy à descendre bon Dieu !

Tout de suite Votre Grandeur ! se résigna le valet en s'accroupissant à quatre pattes.

Don Salluste, qui ne devait pas dépasser les 1m55 mais à qui il ne fallait surtout pas parler de sa taille et le considérer plus grand que Tous sous peine de terribles châtiments,
Posa un premier pied sur le marche-pied du carrosse, puis le second sur le dos du valet où il prit un malin plaisir à appuyer d'un certain poids.

Une fois à terre, sa "Grandeur" jugea la foule avec un air supérieur, affichant un rictus et éclatant d'un petit rire sadique :

Hé hé hé hé !

Puis il attendit comme un vif signe de leur part.

Un gros silence ....

Blaaaaaaaaase !

Mon Seigneur ??? se releva précipitamment le sous-fifre et se présentant aux côtés de son maître.

Et mes acclamations ? ?????? Mon enthousiasme ?? s'exclama-t-il en tapant du poing droit dans sa main gauche.

Le valet, affichant une mine forcée et résignée s'approcha devant la foule,
et clama en guise d'exemple en brandissant de haut en bas sa main :

Viva Don Salluste !

Viva notre Bienfaiteur ! ajoute avec insistance sa Grandeur.

Viva notre Bienfaiteur.... répéta sagement Blase avec quelques gens se prêtant au jeu.

Viva notre grand ami ! sur-enchérit Salluste.

Viva notre Grand ami....

Olé !


Olé...

OLE !!!!!!!

Olé... sans plus d'enthousiasme que précédemment.

Bon ça va ! Stoppa Don Salluste en reprenant sa mine aigrie et son air plus que désagréable.
--Elfine


Elfine lança une oeillade langoureuse à l'homme qui venait d'entrer et la mangeait des yeux.

Ma foi, cela pourra se faire mais laissez moi avant réjouir mes pupilles de cette assemblée de mâles en rut !Nous aurons toute la nuit pour régaler nos gosier

Elle partit d'un grand rire et poursuivit son inspection
Nane94140
[Dans une pâture à l'extérieur de la ville]

La tavernière avait installé sa cuisine de campagne : un énorme feu de camps surmonté de tout un échafaudage de pieux en bois qui soutenaient moultes crémaillères auxquelles étaient accrochées des marmites de plusieurs dimensions ainsi qu'une énorme broche ou rôtissait un magnifique cochon de lait et plusieurs poulardes.

un peu plus loin abrité par une tente gigantesque des tréteaux surmontés de planches en bois recouverts de draps immaculés feraient office de tables.

Un peu à l'écart pour être bien en vue de tous les participants, elle avait installé un espèce d'autel ou le curé pourrait officier.

Deux monstrueuses barriques trônaient a droite de "l'autel" la blonde avait vite jugé la trogne de son commanditaire.

La femme suait à grosse gouttes auprès du feu d'enfer qui ronflait pour cuire toute cette mangeaille mais elle était satisfaite du résultat le cochons reluisait d'une belle graisse dorées les poulardes semblaient fondantes à souhait.

Un brouhaha commençait à se faire entendre. De loin elle discernait les roulement de baguettes du tambourineur et mélanges de voix trop diffuses encore pour les comprendre.

_________________
--Lutinelle


Lutinelle avait entendu parler d'une fête.
Elle mit donc sont plus beau costume pour l'occasion et se rendit aux festivités. Déjà la foule se faisait dense.

Elle traversa la place, portant son regard sur chaque déguisement, chaque femme mais surtout sur chaque homme. La jeune femme comptait bien repartir accompagnée.

Elle continuait d'observer les mâles afin de trouver celui qui lui plairait
--Pere_vers




Les femelles étaient tentées par son invitation. Le Père Vers se frottait les mains.

La foule était nombreuse et les hommes n'étaient pas absents, comme il avait put le voir en d'autres lieux, il se demandait bien pourquoi ceux-la devaient recourir à de tels procédés pour convoler.... mais baste après tout cela ne le regardait pas. Le Tambour avait achevé son office à sa satisfaction. Il ne lui restait plus qu'à expliquer la façon de procéder. Une borne de pierre se trouvait la il se hissa dessus avec un peu de mal vu son état d'alcoolisation avancé. Et attire l'attention de la foule d'un "hum hum" appuyé.


Damoiselles, Damoiseaux,

Vous êtes venus ici pour convoler mais avant je vous engage à vous rendre sur la pâture et à faire ripaille. Dame Nane doit vous avoir concocté un banquet de rois et de reines. Profitez de ce moment pour faire connaissance et choisir celui que vous chasserez, damoiselles. Quand à vous Damoiseaux profitez en pour définir celle par laquelle vous vous laisserez attraper même si cela se révèle plus difficile. En Effet ce que femme veut..... Je ne vous en dirais pas plus sur le sujet. Quand le repas sera un peu avancé je donnerais un signal, les hommes se hâteront de se dissimuler. Quelques chopines plus tard ces demoiselles partiront à leur recherche.


Le curé dodu saute, ou plutôt s'effondre, de sa borne manquant de se rompre le coup puis au milieu de grommellement prend la direction de la pâture entrainant tout ce joli monde en mal d'amour. Les nez se mettent bientôt à frétiller au parfum des mets qui se diffusent à longues distances heureusement porté par le vent dans leur direction. Les bouches salivent... mais pas que de faim ou du moins pas de la faim habituelle.

Enfin la grande tente est la ....
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