Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, 4   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Passé...Présent...Y aura t-il un Futur ?

Castelreng
Ce RP est ouvert à tous dès l'instant où l'histoire en cours est respectée - LJD Castelreng


Nuit blanche à arpenter de long en large la bibliothèque de sa demeure....
Nuit noire à ressasser la soirée....
Nuit sombre à vider trop de verres...


Au petit matin, Castelreng avait la tête plombée par la boisson, les yeux injectés de sang par le manque de sommeil et l'esprit toujours en ébullition. En somme, d'une humeur égale à lui même ces derniers temps, à savoir ; de très mauvaise humeur !

Ses gens avaient depuis quelques heures entamés leurs longue journée, il les avait entendu aller et venir. La jeune soubrette qui était venue ranimer le feu s'était affairée en silence et s'était empressée de quitter la pièce au plus vite. A voir ramper son personnel il s'était demandé si il était aussi effrayant que Sélola le disait à qui voulait l'entendre. Un instant, alors qu'un valet venait déposer un plateau chargé de nourriture, les mots crus qu'il avait reçu en pleine face lui revinrent en mémoire.

" Tes femmes sont mortes par ta faute" " tes amie tu les bas" " tu martyrises tes enfants"

Etait-il vraiment cet homme ?
Il ne pouvait faire autrement que de se poser la question et plus il se la posait, plus il était à se demander si il ne serait pas mieux qu'il disparaisse à jamais. Un tel homme n'avait droit de vivre !
Etait-il responsable de la mort d'Eb alors qu'ils étaient divorcés ?
Il avait du mal à le croire, ils avaient fini par faire la paix tous les deux.
Etait-il responsable des tortures et viols qui avaient eut raison de Kali ?
D'y repenser, il se demandait si il avait bien agit ce jour là à Valence en partant mettre ses deux jeunes enfants en sécurité au détriment de Kali. Mais avait-il eut le choix ? Non, on ne le lui avait pas laissé, il avait cru en devenir fou mais n'avait pu faire autrement...
Etait-il responsable de l'état dans lequel se débattait Oriabel ? Sans aucun doute l'était-il. Sa dernière grossesse avait été un calvaire, son accouchement avait failli lui couter la vie et l'agression, dont elle avait été victime pour rentrer à Narbonne, l'avait plongé dans un comas dont elle ne se relèverait pas. Oui il en souffrait, Oui, il culpabilisait, Oui il en buvait à en perdre la raison pour oublier qu'il était en vie alors qu'elle trépassait doucement. Mais devait-il continuer à vivre comme ça ?
Il avait certes eut la main leste avec Cebyss, lui donnant une fessée mémorable sans parvenir à se souvenir du pourquoi de ce châtiment. Sélola, il l'avait battu comme plâtre après qu'elle l'ait convoqué en lice pour régler leurs différents. Aurait-il dut la laisser dire que son épouse ne valait pas qu'il s'en fasse pour elle, qu'il n'avait qu'à l'oublier et continuer comme si de rien était.

Il laissa échapper un long soupir alors que le valet qui venait de se décharger de son plateau refermait en silence la porte. D'un regard sans intérêt, il vit qu'on lui avait laissé du pain, du fromage,un assortiment de viandes froides, des fruits de saison dont des mûres et les dernières fraises de l'année. Ces quelques petits fruits lui firent penser à ses enfants qu'il n'avait vu depuis..... fort longtemps.
Heaven s'était retirée dans un couvent stricte pour toujours...
Hélie, son jumeau était à Cordas à gérer le domaine.
Joséphine et Tristan sous bonne garde
Et Floriabel, la petite dernière... il ne la connaissait finalement pas....
Tous, hormis une étaient en terres Toulousaines où, il en était certain, étaient bien mieux sans lui. Etait-ce là martyriser ses enfants... ?

Il quitta à grand pas la bibliothèque, ouvrant brusquement la porte qui claqua derrière lui et grimpa quatre à quatre les degrés qui menaient à sa chambre. Une fois parvenu dans cette pièce trop vide et trop froide, alors que cependant la douce chaleur de l'âtre chauffait, il se dirigea vers la table de toilette où l'attendait comme chaque jour, une cuvette d'eau fraiche. Il mit ses mains en coupe, les plongea dans l'eau et s'aspergea le visage. Le froid de l'eau le ragaillardit un peu chassant pour quelques heures ses sombres pensées, le ramenant au présent.
Présent qui était pour l'instant Kachina.

Il l'avait chanté dans ses moments d'ivresse et en gardait encore un vague souvenir. Il avait passé quelques heures en sa compagnie la veille. Sa seule présence lui avait fait oublié le venin que lui avait jeté Sélola. Il la trouvait douce, gentille et fort belle.

S'essuyant le visage, il se demanda ce qu'il avait à lui offrir. De la peine, de la souffrance, sans aucun doute finit-il par conclure.
Elle méritait la joie, les rires et plus que tout le bonheur, tout ce que lui ne pourrait jamais lui donner il s'en rendait compte et sur ce point Sélola avait raison cette fois. Mais le doux baiser qu'ils avaient échangé lui brûlait encore les lèvres, lui apportant un baume bienfaisant au cœur. Devait-il pour autant en tenir compte ? Egoïste, il l'aurait fait, ne se serait pas préoccupé des conséquences que pourraient avoir la poursuite de ce qui pourrait être une agréable aventure. Hors, aussi mauvais qu'il était aux yeux de certain, il ne voulait pas voir les jolis yeux de la jeune fille s'emplir de tristesse et de larmes.

Il sorti de la chambre comme il l'avait fait de la bibliothèque héla au passage son majordome qui le suivit dans la salle qu'il avait quitté plus tôt.
Il s'installa derrière sa table de travail, prit vélin et plume et sans un regard pour l'homme qui était à attendre son bon vouloir, il commença à rédiger le courrier qu'il avait en tête et disant.


Simon ! Trouvez moi un très beau bouquet de fleurs. Des roses ! Je les veux roses et pas autrement.

Sa plume ne cessait de griffer le parchemin, s'arrêtant juste le temps qu'il prenait à relever la tête.

Non ! Confiez plutôt à un valet cette missive et faites lui part qu'il lui faudra auparavant acheter ces fleurs.Qu'il porte le tout chez la damoiselle Katchina au plus vite.

Il était à faire fondre la cire pour sceller la missive de son sceau.

Bien Messire....

Eut-il en réponse alors que le majordome tendait la main pour prendre le parchemin dûment fermé. Castelreng regarda sans vraiment le voir l'homme quitter la pièce, s'adossa à son siège tout en se demandant si il avait pris là la bonne décision.
Les dés étaient jetés, ne restait plus qu'à attendre le résultat.....

_________________
Valet de Cordas, incarné par Castelreng
Vêtu depuis peu des couleurs de son nouveau maître, le jeune Jeanot n'était pas peu fier de la mission que lui avait confier son supérieur, Simon, le majordome de Castelreng seigneur de Cordas. Il avait peu croisé son nouveau maître et ne savait de lui que ce que les domestiques en disaient lorsqu'ils se retrouvaient en cuisine en fin de journée. Jeanot se fichait bien lui de travailler pour un maître qui buvait pour oublier, qui râlait parce qu'il avait la gueule de bois. Tout ce qui lui importait était de gagner quelques écus pour aider sa mère, ses frères et sœurs à survivre.

C'était la première fois qu'on lui demandait de faire ce qu'il était parti faire. A savoir : Trouver un très beau bouquet de roses roses et les porter avec la missive chez une damoiselle. Chemin faisant, le jeune garçon qui ne devait avoir guère plus de 12 ans ne doutait pas de trouver des fleurs mais pour trouver la damoiselle en question, là, il en était certain, ce ne serait pas une partie de plaisir car le peu qu'on lui avait dit restait vague quand à la demeure de cette jeune dame.
Peu importe se dit-il, il y passerait le temps qu'il faudrait, demanderait à qui il croiserait mais finirait, Foi de Jeanot ! à mener à bien sa mission.

Trouver une marchande de fleurs avait en effet été fort simple. Là où s'était compliquées les choses, s'était à savoir combien de roses devait composer le bouquet. A cela, on ne lui avait rien dit. Il finit néanmoins pas se dire que Simon lui avait donner une certaine somme d'argent pour ces fleurs et que donc il devait tout dépenser pour le bouquet. Aussi, de ce fait, après avoir donné la petite bourse à la boutiquière, se retrouva t-il en échange, les bras juste assez longs pour tenir tant bien que mal une quantité impressionnante de roses.

Encombré à présent par tous ces pétales roses et entêtant rassemblés à leurs tiges par un gros ruban, le jeune garçon se sentait légèrement ridicule et le pire c'est qu'il ne savait pas où il devait aller se décharger de ce bouquet énorme à l'odeur trop féminine à son gout.

Penchant la tête afin de regarder où il mettait les pieds, il espérait bien croiser quelqu'un qui pourrait lui dire où se cachait la maison de la damoiselle Katchina.......





Si quelqu'un veut venir à l'aide de ce pauvre diable parfumé à la rose ^^ il est le bienvenu !
Kachina11
Kachina11 rentra chez elle raccompagner par Messire Castel, le soir du lundi 27 septembre 1458. Elle s'assit fort longtemps sur son lit et repensa fortement a sa soirée, avant de se coucher. Elle repensa au baiser à la chaleur de sa main dans la sienne, une sensation qui l'avait envahit de bien être, jamais auparavant cela ne lui était arriver. Puis elle se coucha en se remémorant les bons moments.

Kachina11 se leva en se mardi matin, elle était de bonne humeur, prit un bain et se leva doucement. Elle se prépara doucement pour sa journée et se décida en se bon matin d'Aller au marché avant de se revenir pour travailler a son champs de légumes.

Sur le chemin pour aller au marché, elle rencontra un jeune valet qui semblait totalement perdu, elle lui demanda:

-Bonjour jeune homme, puis-je vous aider a qui donner ce si gros bouquet de fleurs?

Kachina11 regarda le jeune valet en attendant une réponse en lui souriant!
Valet de Cordas, incarné par Castelreng
Ne voyant pas tellement où il mettait les pieds, notre pauvre Jeanot faillit bien entrer en collision avec une dame, ou damoiselle, il ne savait car n'avait devant les yeux que du rose, du rose et encore du rose. Pour sûr qu'après cette mission il ne faudrait plus lui parler de rose ! que ce soit fleur ou couleur. Il était certain que ses amis de travail ne manqueraient pas de se gausser de lui et cette seule pensée le rendait malade. Ajoutons à cela le parfum délicat du bouquet qu'il trouvait écœurant et vous comprendrez que nous avons là un jeune garçon proche de la nausée.

bref, il avait donc faillit bousculer une jeune femme et s'apprêtait à s'excuser quand cette dernière lui demanda, Ôô ! miracle !!! si il avait besoin d'aide.
Content que ça paraissait évident qu'il ai besoin d'aide, le jeune valet de Cordas, pencha un peu plus la tête sur le coté afin de voir le visage de sa sauveuse et lui dit avec un sourire qui dévoilait un très grand soulagement.


On peut le dire oui ma m'zelle !!! Mon maître veut que j'aille livrer ces fleurs et une missive que j'ai en poche chez une m'zelle Kachina. Seulement voilà.... on m'a bien dit que sa maison était bleue et se trouvait au bout du chemin, mais des chemins y'en a plein et des maisons bleues aussi !!!
Si vous saviez où il me faut aller ma m'zelle j'en serais grandement soulagé. Mon maître a dit qu'il fallait faire vite et ça doit bien faire plus d'une heure que je suis parti. Comprenez, je voudrais pas me faire tirer les oreilles !!
Kachina11
KAchina11 écouta le jeune discuter et gloussa doucement. Quand elle finit elle lui fit son plus beau sourire et lui répondit:

- Hey bien jeune valet je vais me faire un honneur de vous montrer la maison de cette dame, si vous voulez bien me suivre

Kachina11 sourit et conduisit le jeune homme devant la troisieme rue a droite la maison tout au bout et oui elle restait dans une maison bleue au bout de la troisieme rue a droite. Elle lui indiqua la maison et lui dit:

- Hey voila ma maison, je suis dame Kachina, si vous voulez bien me donner le bouquet et la missive j'en prendrais grand soin et remercier fortement votre maitre.

Kachina11 sourit et rentra chez elle les fleurs et lut la misive.
Valet de Cordas, incarné par Castelreng
Quel soulagement lorsqu'elle lui dit connaitre le chemin. Jeanot sentait qu'il serait bientôt délivrer de ce trop gros bouquet qui commençait à lui peser sur les bras. Il suivit donc la dame, gardant le silence le long du chemin, tentant de se repérer même afin de rentrer au plus vite.

Quand parvenu à la maison en question et qu'il sut que la jeune dame qui l'avait conduit n'était autre que la damoiselle qu'il cherchait, il se mordit la langue pour ne pas lui dire qu'elle aurait pu le lui dire dès le départ, ça lui aurait évité tous le chemin et il n'aurait plus eut à supporter cette odeur de roses qui lui donnait la migraine.


C'est Vous damoiselle Kachina ?!!!!

Ne trouva t-il qu'à dire en lui remettant l'énorme bouquet.

Bin ça alors......
Ajouta t-il en fouillant dans sa poche pour lui remettre la missive.Et, dans un salut très respectueux, comme le fait tout valet, il termina par

De la part du Seigneur de Cordas...

Puis repartit à grandes enjambées alors que la damoiselle devait être à lire la missive suivante.

Citation:
De Nous, Castelreng Dict du Cougain,Seigneur de Cordas
A vous, Damoiselle Kachina,

Tendres salutations,

Les quelques heures que nous avons passé ensemble m'ont été des plus agréables et je tenais à vous le faire savoir par ces quelques fleurs
accompagnant cette missive.Vous revoir me ferait grand plaisir.

Alors, pour le cas où il en serait de même pour vous, je vous propose de nous rencontrer à nouveau afin de faire plus ample connaissance.
Un valet viendra demain en après midi afin de vous escorter jusqu'à moi.

Dans l'attente de demain...




Narbonne ce jour du 28 septembre de l'an 1458

Kachina11
Kachina11 lut la missive avec attention et fut très heureuse qu'il ait lui aussi apprécier les moments passer a ses cotés. Elle se mit a sourire et quand elle arriva a la fin de la lettre , elle eut tellement hâte de le revoir qu'elle sourit encore plus de joie.

Elle lui envoya une missive qui confirma quelle serait la quand le valet viendra la chercher.

Elle alla porter la missive elle même et repartit au village faire ses courses!
Castelreng
    Pendant ce temps dans la demeure de Castelreng


Par trois fois il avait demandé à Simon si le valet était enfin rentré.
Par trois fois le pauvre majordome lui avait répondu que non.

Plusieurs heures s'étaient pourtant écoulées. Cordas ne comprenait pas . Il ne fallait quand même pas trois heures pour aller acheter quelques roses et les livrer ?? Décidément le personnel n'était plus ce qu'il était....

Il s'apprêtait à quitter la bibliothèque pour se rendre à la forge lorsque Simon revint avec sur le visage un grand apaisement.


Il est rentré Messire...
Un rare sourire se fit alors sur les lèvres du majordome.
Il a dépensé le contenu complet de la bourse Messire.... Il n'a pas compris qu'il y avait aussi ses gages de la semaine.. Pour sûr Messire que la damoiselle doit avoir reçu un énorme bouquet !!!

Castelreng éclata de rire s'imaginant fort bien la taille du bouquet.

Bien ! vous lui redonnerez ses gages Simon

Cette histoire amusante lui fit oublier qu'il était pour se rendre à la forge et il alla s'installer dans un fauteuil en reprenant un livre. De son coté, Simon retourna à ses obligations mais fut de retour missive en main peut de temps après.

Une missive Messire Annonça t-il en la lui donnant. La lecture en fut vite fait.

Qui l'a déposé Simon ?

Une jeune dame Messire... plutôt jolie d'ailleurs...


Castelreng se leva d'un bond, en laissant tomber le livre au sol et fonçait déjà vers la porte avec un Simon surpris à ses talons.

Y'a combien de temps Simon ?

Une bonne dizaine de minutes messire...

Tudieu Simon !!! et c'est maintenant que tu me l'apportes !!!!

C'est que... Messire..... Désolé Messire....

Bon !! Renvoies ce valet chez la damoiselle demain juste après l'heure du repas. Comment s'appelle t-il ?

C'est le jeune Jeanot Messire...

Bien ! Dis à ce jeune Jeanot d'escorter la damoiselle jusqu'au lac et qu'il reste avec elle surtout !!

Oui Messire..
Termina t-il avant de quitter la pièce.

Il restait quelques heures avant qu'il puisse se rendre au lac, aussi se rendit-il finalement à la forge en attendant le moment de revoir la damoiselle, il finirait la soirée en taverne et la journée filerait....

_________________
Kachina11
Kachina11 déposa la missivbe chez messire castel puis rentra a la maison et travailla au champs toute la journée avec la meilleure humeur depuis tellement longtemps. Quand la journée de dure labeur au champs fini enfin.

Kachina11 rentra dans la maison se prépara pour le souper un potage et le manga avec coeur. Ensuite, elle s'installa dans une chaise et profita de la fraicheur en s'assoyant près de la fenetre. Elle commenca à lire un nouveau livre et attendit la suite des choses doucement profitant du moment.
Castelreng
    Le lendemain.... enfin !!



La matinée fut fort chargée pour Castelreng, aussi ne vit-il pas les heures coulées et l'heure du repas fut vite là. Il se contenta avec quelques pâtés de viandes,un ragout de bœuf accompagné de légumes, une miche de pain, du fromage et quelques fruits. Le tout arrosé d'une bonne bouteille de vin.

Sitôt son estomac plein, il sortit en sifflotant, fit scellé Espoir et traversa les rues animés de la ville au pas. Il ne savait pas si elle serait au rendez-vous, l'espérait tout de même et souhaitait que le jeune valet, ce jeune Jeanot, la conduise au bon endroit. Il n'avait en effet pas précisé autre chose que le lac ce qui restait fort vague en fait.

bhaa peu importe en fait finit-il par se dire, il ferait le tour du lac au besoin ce qui lui ferait une agréable promenade....

_________________
Valet de Cordas, incarné par Castelreng
Pendant ce temps, notre Jeanot était parti chez la damoiselle afin de l'escorter jusqu'au lac. Chemin faisant, il repensait à ce qui avait été son retour la vieille après avoir livré roses et missive et en grimaçait. Le jeune palefrenier qu'il pensait être son ami s'était tordu de rire en ne cessant de lui dire qu'il sentait aussi bon qu'une jouvencelle et avait poussé la plaisanterie jusqu'à le surnommer Jeannette. Ils en seraient venu aux mains si l'un des hommes d'armes du seigneur n'était arrivé aux écuries avec sa monture, tous deux fourbus d'avoir voyager depuis Cordas.

Corne de bouc !!
s'était-il exclamé en lançant les brides au jeune palefrenier
N'avez vous rien de mieux à faire !

Jeanot en frissonnait encore à la peur qu'il avait eut de cet homme tout de fer vêtu. Telle une envolée de moineaux, il s'était empressé d'aller se laver alors que son ami était à soigner le cheval.

Chemin faisant donc, il prêta attention à ce qui l'entourait, des rues qu'il traversait - pour ne pas se perdre une fois encore - afin de chasser l'humiliation et la frousse de la veille. Lorsqu'enfin il fut devant la petite maison bleue, il se redressa fièrement et frappa à la porte.


TOC....TOC...TOC...
Kachina11
Kachina11 qui c'était lever de très bonne heure en se matin ce souvenant qu'on viendrais la chercher été fort heureuse , alors quand le soleil se leva au premieres lueurs de l'aube, elle se leva aussitot pour ne pas perdre une minute de cette belle journée.

Kachina11 se leva, mit une belle robe de couleur bleue, se coiffa avec soin et prit soin de mettre une rose de son bouquet dans sa peignure, puis elle s'assit comme la veille près de sa fenetre pour profiter des rayons du soleil, elle était bien avancer dans son livre lorsque...

Lorsqu'elle entendit que quelqu'un cognait à sa porte, elle se leva d'un bond et alla répondre. Aussitot qu'elle eut ouvert la porte quelle sourit de joie en reconnaissant le visage du jeune valet de messire castel, alors elle rassembla son écharpe et sa besace et sortit rejoindre le jeune valet en lui souriant.
Laleeloo
Laleeloo arrivait devant la demeure de Castel avec un large panier.
Elle se demandait comment frapper à la porte avec le panier dans les mains quand un jeune garçon passa devant elle.
Elle se dit que ce devait être un valet et le héla.

Hé toi là ! Je dois vite remettre cela au messire Castelreng Seigneur de Cordas. Sais-tu ou je peux le trouver ?

Elle attendit en tenant fermement le panier.
Palefrenier de cordas, incarné par Castelreng
Le jeune palefrenier était à retourner aux écuries après avoir fait un bon repas. Il sortait donc des communs et traversait la cours lorsqu'il fut apostrophé par une gamine vêtu de rouge, un panier dans les bras qui ne devait être guère plus âgée que lui.

Tu le trouveras pas là le maître la fille, il est parti à cheval il y a bien une heure.

Le garçon regardait la très jeune fille d'un air supérieur, la toisant de haut en bas. Un sourire narquois aux lèvres il ajouta.

Si t'as pas peur gamine... va frapper à la porte... hahahaha...


Il laissa là la fillette et partit en riant vers les écuries où il avait encore beaucoup à faire.
Valet de Cordas, incarné par Castelreng
    Devant la petite maison bleu


La porte s'ouvrit et notre Jeanot se retrouva de nouveau face à la damoiselle.
Une profonde révérence...


Mon maître, le Seigneur de Cordas, m'envoie vous escorter jusqu'au lac où il vous retrouvera mam'zelle


Détaillant discrètement la damoiselle, il s'aperçut qu'elle était vêtue pour sortir justement. Sans doute était-elle à l'attendre en déduit-il en se mettant de coté pour lui permettre de sortir de sa demeure.

Je vois que vous êtes prête à partir Damoiselle....

Et d'un grand geste du bras il l'invita donc à avancer, lui suivrait à quelques pas derrière comme il se doit.


Si vous voulez bien vous donnez la peine.....
See the RP information <<   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)