Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, 11   >   >>

[ RP ] la Maison des Délices

Socrate86
Socrate venait a peine de finir de poser sa question a la femme rousse qui s approchait qu il appercut son amie Elfie descendant les marches de l 'escalier qui montait a l 'étage.
Un rayon de soleil vint par la fenetre frapper la belle chevelure blonde de la maitresse des lieux.
Socrate se tu ,admiratif de la beauté de son amie, qu allait elle pensée de sa présence ici ?
il en rougit.
_________________
Oxide
Elosia vous dites? ça me plait , dit il en souriant.

Je me présente Oxide , pour vous servir beauté .

Si je peux me permettre , je vous trouve tres jolie.
J'aimerai faire plus ample connaissance.

Oxide la regarde en lui caressant les cheveux.

Mais ici un peu trop de bruit et de monde , n'aurait-il pas un endroit plus calme ma belle ?

Pour discuter et etre tranquille surtout ,
dit-il en lui faisant un clin d'oeil.

--_elle_



ELLE traînait son ennui dans le grand salon, cela faisait plusieurs jours maintenant qu’elle était ici et il semblait que les activités de la blonde tournaient au ralenti, plusieurs fois elle l’avait même entendu parler de fermeture. ELLE commençait aussi à se lasser de cette vie sans relief qui était devenue la sienne dans cette cité endormie.

Pourtant ce soir là, il semblait que la maison attirait du monde… des bruits dans l’escalier… et deux larrons entrain de discourir au comptoir… Une étincelle s’illuminât dans l’œil de la brune… L’un des deux semblait déjà accaparé par la flamboyante rouquine, par contre l’autre, un petit blond, lui jetait quelques regards incendiaires. Peut-être que finalement la soirée s’annonçait plus mouvementée que prévu.

La brune décida donc de s’approcher des deux mâles. Elle rejeta nonchalament sa cheveulure en arrière et s’avança donc, le regard fixé sur le blond, un sourire aux lèvres, ça lui disait bien un petit blond… peut-être qu’elle allait s’amuser un peu ce soir.

Elle vint se planter tout prés de lui, le frôlant, posant sa main délicatement sur son bras, plongeant son regard dans le sienne et d’une voix douce, elle lui dit

Bonsoir beau blond… Moi c’est ELLE… et toi ? Tu m’offres un verre…
Socrate86
heu.... oui ... bien sur ..dit Socrate qui ayant quitté du regard la dame brune au regard émeraude pour celui d une blonde aux couleur de l océan descendant l escalier
Ses yeux revinrent sur cette femme au corps irréprochable, aux jambes fines et longues enfin une déesse quoi
oui bien sur ... répéta t 'il, maitrisant mal sur son visage l effet de stupeur et d étonnement que lui faisait cette femme. Je..je suis Socrate ,enchanté,mais venez vous assoir, et excuser ma timidité,je n ai jamais rencontré de femme aussi belle que vous ! dit il sans pour cela cesser de promener ses yeux sur les formes attirantes de la fille.
"Elle" c 'est cela ,je ne me trompe pas ?
Socrate devenait écarlate de timidité,a coté de lui une femme si belle qu 'il donnerai son ame était assise a coté de lui ,il devait etre en train de réver ,il n y avait pas d autres possibilité
_________________
Elfarranne
Elfarranne après avoir fait ses adieux à Maliciane était remontée dans sa chambre se reposer. Depuis le départ de Mali, elle avait été très occupée. Son amie Attala était aussi partie peu de temps après. Puis il y avait eu son élection au poste de Maire et la somme de travail qui allait avec.

Enfin, elle décida de descendre, car du bruit montait jusqu’à l’étage. Arrivée presque en bas, Elfie aperçut son ami Socrate, elle lui sourit heureuse qu’il sorte un peu de son atelier. Mais au moment où elle allait le saluer, ELLE l’accapara. Donc Elfarranne entra dans le salon et vit Qu’ Oxide était en compagnie d’ Elosia.

Un sourire se dessina sur ses lèvres, enfin des clients.

_________________
Deodin
Une plage...Un blond...
Il avance doucement...Seul...Besoin de souvenir...Il s'ennuit..elle est loin...Le bordel est la...
Il entre doucement, les filles sont la toujours aussi aguicheuse, oeillade en coin pour lui...Il n'est pas la pour ca...

Il en appel tout de même une, lui donne cette lettre:




Mestra Elfarranne,

Je vous demande simplement l'autorisation d'occuper la chambre rose..Dans le seul but d'attendre le retour d'une grenouille...

Mercé,

Deodin de Rohan


Il gratifie la donzelle d'un sourire et monte doucement les marches...
Arrivée devant la porte il l'ouvre...
Le lieu du crime, la chambre rose...Des souvenirs l'assaillent...Son corps apesantis sur le siens dans une douce torpeur...Etreinte charnelle...

Les draps n'ont pas étais changés...Deodin s'allonge doucement..s'enroule dans les draps et s'endort..bercé par son odeur....

_________________
Socrate86
Socrate venait de se lever pour indiquer a "elle" l 'endroit ou s'assoir quand il croisa le regard de son amie Elfarranne,il se sentit pris d une sensation de malaise,comment aller t il lui expliquer sa présence en ces lieux et surtout le fait qu 'il s interresse a une autre fille.
_________________
Elfarranne
Elfarranne arrivée en bas de l’escalier reçue un parchemin de la main d’une de ses filles. Elle le lu et sourit.

Citation:
Mestra Elfarranne,

Je vous demande simplement l'autorisation d'occuper la chambre rose..Dans le seul but d'attendre le retour d'une grenouille...

Mercé,

Deodin de Rohan


Bien sûr Déodin pouvait rester, la jeune femme blonde espérait que son amie Attala reviendrait bientôt. Elle irait le voir plus tard pour lui donner la réponse.

Elfarranne croisa le regard de Socrate et lui sourit. Il avait choisie la brune ELLE. Il allait être surpris, vu le tempérament de la belle.

La blondinette comprit qu’en la regardant, Socrate se demandait comment elle allait réagir à sa présence en ce lieu.

Elfarranne soupira, elle n’avait point à le juger. Elle n’était que son amie, même si……………….

_________________
Socrate86
Socrate ,délaissant "elle" se dirigea vers son amie Elfie.
Bonjour Elfie,que je suis heureux de te voir .. et comme pour se justifier il rajouta , heu...!je t attendais quand cette brune est venu vers moi , "Elle je crois.... mais que je suis bete tu la connait !.

Et la Socrate devint rouge écarlate s'apercevant qu au lieu de s'aider il n 'arrivait en fait qu a s'enfoncer de plus en plus ,alors il baissa la tete pour ne plus croiser les yeux de son amie.
_________________
Deodin
Cauchemars ou rêves, Deodin se réveillas tout de même, assaillis par des sentiments divers....Il les examinas un par un...

Un sentiment de manque, en effet elle lui manquais la brune grenouille de son état...
Un sentiment de solitude, de brisure, son coeur battais au ralentis depuis son départ, il vivait en attente de son retour...
Un sentiment d'incompréhension, en effet il ne comprenais pas comment elle avait en si peux de temps réussie à faire de son coeur, de son âme, une forteresse imprenable ou elle était la régente...

Le blond soupire, se lève...

Regard vers le grand lit rose, vide ou ils s'étaient donnés l'un à l'autre une nuit..Une seul nuit qui avais réussis a le rendre complètement fou d'elle...Une nuit de partage, d'amour et de tendresse...Une nuit qui l'avais tout bonnement changé...

Il ne courtisait plus, il ne prenait plus les femmes pour des chiffons qu'on pouvait jeter comme bon nous semble...Il ne regardais même plus les autre...Il l'aimais....

_________________
--Elosia



Elosia regarda Oxide et lui sourit.

Je vous propose de me suivre alors, venez il y a derrière les tentures des alcôves ou nous pourrons en effet discuter plus tranquillement.

Elosia prit donc sa choppe et l’invita d’un geste de la main à la suivre. La jeune femme souleva une tenture et s’assit sur des coussins moelleux. Elle alluma deux chandelles qui donnaient une impression d’intimité, tout en fournissant juste assez de lumière. Puis elle attendit que le jeune homme s’installe.
--Bagerand


    [Quand repos rime avec plaisir]


Etranger dans la ville. Il arpentait les rues à la recherche d'un endroit où passer la nuit. L'homme,couvert d'une longue cape sombre, se confondait aux ombres de la nuit naissante. D'où venait-il ? Nul n'aurait sut le dire. Qui était-il ? Nul ne le savait, pourtant, il connaissait cette ville du sud de France.

Son regard de glace se posait sur les masures qui l'entourait, cherchant à repérer l'endroit qui serait à même de l'accueillir pour une nuit de repos et de détente souhaitait-il. Au fur et à mesure des pas qui le menaient à travers la ville, il y constatait les changements survenus. Se trouvait-il encore dans ce bourg un établissement fait pour le repos du guerrier ? Il était passé devant la bâtisse faisant face à la mairie et qui autrefois était un lieu où tout homme normalement constitué se serait plu à aller. A présent, il ne restait rien de cette maison où le plaisir régnait en maitre. Ce pouvait-il que dans cette ville il n'y ait plus que de sombres tavernes où prendre du bon temps ? Il avait eut son lot de ces bouges sordides où l'on ne trouve que des ribaudes crasseuses et grasses comme des truies. Ce soir, c'est de jolies garces qu'il avait envie. Quoi de mieux qu'une nuit en compagnie d'un corps aux formes harmonieuses flanqué d'un visage pas trop moche et d'une bonne bouteille d'eau de vie ! Il parviendrait à la dénicher la catin qui répondrait à toutes ses attentes. A cette pensée, un sourire sadique s'afficha sur ses lèvres, son corps en frémissait d'avance...


    En avant la musique...


Après avoir quasiment fait le tour de la ville, l'homme emballé dans sa longue cape finit par découvrir la bâtisse des délices. Il en franchit le seuil et d'un regard aussi froid que la couleur de ses iris, balaya l'endroit. Vestibule accueillant avec ses coussins aux teintes sombres invitant au prélassement. Peu de monde dans cette pièce de belle taille. Un couple venait de disparaitre derrière de lourdes tentures d'un rouge vif. Notre homme, lui, alla s'affaler parmi les coussins bien trop attirant, attendant avec une patience dont on ne l'aurait cru capable, pour tentait qu'on puisse le connaitre, que l'on vienne à lui.


_______________________
Elfarranne
Le regard d’Elfarranne s’illumina lorsqu’elle vit son ami Socratre délaisser ELLE, pour venir la voir. La jeune femme blonde lui prit les mains en signe de bienvenue.

Il lui parla mais au fur et à mesure, son visage s’empourprait, puis il baissa la tête n’osant plus la regarder dans les yeux. Elle lui dit :


Tu as bien fait mon ami. Elle t’a tenue compagnie. Que me vaux l’honneur de ta visite ?

C’est alors qu’un homme, d’une grande beauté entra. Sans un mot, il alla s’installer sur les coussins du salon. Il avait l’air de fréquenter ce genre de lieu et sans façon, tout en observant les lieux posément, il attendit que l’on s’occupe de lui.
_________________
Socrate86
Socrate allait répondre a son amie quand il vit le regard de celle ci se détourner .
Un homme venait d'entrer et de s installer sur les coussins du salon.
Il lui sembla que son amie n avait plus d 'yeux que pour ce nouvel arrivant,il recula d un pas de manière a laisser le passage a Elfie et tourna la tete.
_________________
--Bagerand


    [ Quand la musique sonne faux....]


Cinq minutes, voir plus qu'il était là, affalé parmi les coussins....
Cinq minutes, voir plus qu'il était à regarder un couple...
Cinq minutes passées qu'il ne savait si il lui fallait rire ou se lamenter....

Rire ? Se lamenter ? Il n'était pas de nature à rire, alors se lamenter....

Il n'en regardait pas moins ce couple tout en se demandant où il était tombé. Un instant il eut un doute sur l'endroit où il se trouvait. Un instant il ne put que se demander si il se trouvait bien dans une maison de passe. Voir ce couple échanger des propos, qu'il n'entendait pas, en faisant des mimiques de jouvenceaux. Il y avait de quoi se poser la question ! Etait-ce là une maison de passe pour puceaux sévèrement coincés ??

Il reporta son regard sur la femme en particulier. La jaugea de la tête au pieds, des pieds à la tête, grimaça, se demanda si il n'avait pas sous les yeux une de ces vieilles filles, une de ces pucelles sur le retour. Par les Saints Couillons du pape ! Maugréa t-il intérieurement. Il était là pour boire et se taper une catin pas pour regarder un couple de puceaux se faire des politesses ! Si il restait là encore sans rien dire et faire il craignait de se transformer comme les deux qu'il avait sous les yeux ; en couilles molles . Foi de Bagerand il n'en était pas question ! Sa virilité était tout simplement en jeu là. Inconsciemment il posa une main sur son entre jambe, voulant vérifier par là qu'il était toujours en "santé" de ce coté là tant la scène qu'il avait sous les yeux tendait à le déstabiliser.

Il se releva d'un bond, avança d'un pas vers l'homme et la femme qu'il trouvait vraiment étranges pour cet endroit et, les regardant froidement tour à tour lança


Sont où les ribaudes ? C'est bien l'bordel de la ville ici ?

Puis, fixant l'homme ajouta

C'est toi l'taulier l'homme ? Apporte moi une bouteille d'eau d'vie et une garce que diable !



_______________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)