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[RP] "Les Epices de la Passion", chez Sibille et Opus

Opusone


Chez Sibille et Opus, moulin et boulange, 8 et 9 rue de la Prière, à l'enseigne "Les Epices de la Passion"


De retour de Montluçon où il était allé chercher sa compagne Sibille décidée à venir s’installer définitivement à Montpensier, Opus était heureux d’entamer une nouvelle étape de sa vie montpensièroise.

Avant de partir, il avait réservé au cadastre la parcelle contigüe à la sienne pour Sibille. Il savait que la mairie ne pouvait officiellement admettre qu'ils vivent sous le même toit car ils vivaient en concubinage.

Cette parcelle permettait de construire un moulin et la voisine, notre chère diaconnesse et amie Agna, n'avait pas fait opposition à ce nouveau voisinage.

Accompagné de Sibille et du petit Winbill, Opus se sentait plein d’énergie malgré son âge avancé. Il avait des projets, il avait des ambitions.
Il s’agissait d’abord de construire un moulin pour Sibille. Opus avait pris de notes et fait des croquis basé sur le moulin de Montluçon.


et

Fort heureusement, Opus avait conservé ses outils de charpentier et son atelier. Après avoir acheté les poutres, les planches et tout le bois nécessaire à la construction, il avait cherché quelques pièces de ferronnerie chez un forgeron et un pierre à moudre dans un carrière de la région. La construction du moulin pouvait commencer.

Pendant ce temps, Sibille commençait à s’installer dans la maison. Un chaumière qui n’était pas encore vraiment bien adaptée à une vie de couple avec enfant. Lors de ses séjours précédents, elle s’était accommodée de la simplicité et de la rusticité des lieux. Maintenant, elle pouvait réorganiser et réaménager les lieux.
Sibille


7 rue de la Prière.

7, rue de la Prière, il lui faudrait un certain temps pour s’habituer à cette nouvelle adresse,
mais la petite maison aux volets bleus, ça elle ne l’avait pas oublié.


Devant se trouvait toujours la charrette qui pourrait servir à Caprice l’ânesse maintenant qu’elle n’était plus grosse.

Avec un grand plaisir, elle remonta au bras d’Opus l’allée qui venait de la route et traversa la cours pour entrer dans « leur » maison. C’est ainsi maintenant qu’elle se sentait faisant réellement partie de la vie de son tendre. Partager tout, leur amour, leur maison, leur vie de famille avec Winbill.


Les premiers jours servirent à prendre quelques repères, acheter tout ce qu’il manquait car leur absence avait été longue, les réserves quasi-nulles. Elle se rendait souvent au marché, faire connaissance, acheter des produits frais. Elle en profitait pour regarder les marchands d’étoffes diverses. Elle n’osait encore pas acheter, prenait des mesures mais il lui fallait encore un peu de temps pour qu’elle se dise, "je suis chez moi, et je fais ce que je veux…" Leur vie était simple pour l’instant, ils s’occupaient des bêtes et attendaient les beaux jours pour commencer les grands travaux sur la parcelle à côté… Opus avait acheté la parcelle 8 rue de la prière pour y construire un beau moulin à vent.

Sibille regardait avec plaisir ses hommes se pencher sur les parchemins et travailler les plans du futur moulin. Il faudrait aussi construire un four pour le fournil et leur boulangerie. « Les Délices de la Passion » ouvriraient leur porte sûrement au courant du printemps, si les travaux ne prenaient pas de retard.

En attendant, elle pouvait se consacrer à l’aménagement des pièces. Winbill était maintenant un petit garçon tout à fait capable de dormir seul et de toutes façons leur chien Barack ne le lâchait pas d’une semelle. Elle voulait lui aménager une jolie petite pièce pour lui, où il pourrait se retrouver au calme et y mettre ses jouets de bois qui ne le quittaient pas.

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Opusone
Ils avaient travaillé d'arrache-pied. Sciant, clouant et assemblant les divers éléments du moulin.
Il était là, enfin terminé et prêt à moudre un premier lot de blé qu'Opus avait stocké dans l'attente de voir Sibille transformée en meunière.




Il s'agissait maintenant de s'attaquer à la construction du fournil. Ce n'était plus le bois qui devait être travaillé, mais pierres et ciment.
Sibille


8, rue de la Prière

Sibille avait suivi le chantier, donnant ses recommandations, aidant à porter le bois. Lattes après lattes, planches après planches, elle voyait le lieu où elle ferait sa douce farine se construire. Elle regardait les talents de son tendre qui mettait du cœur à l’ouvrage pour elle et ne manquait pas de le récompenser d’un tendre baiser au moment de leur pause. Winbill lui-même restait près d’eux, apportant un marteau, une cheville, une cale de bois tout ce qu’il pouvait transporter à son jeune âge. Il était toujours heureux et fier de participer et ne manquait pas de poser des questions, certains auraient dit qu’il ressemblait bien à sa mère d’être aussi bavard mais à Montpensier, on ne les connaissait encore pas beaucoup.

Il fallait d’abord qu’ils se construisent leur petit nid, qu’ils mettent toutes les chances de leur côté pour réussir à vivre dignement ; ils verraient par la suite pour profiter un peu plus de la clémence du temps et pour reprendre certains bonheurs oisifs faits de découvertes, de recherches diverses tant en herboristerie qu’en art culinaire où Opus montrait de plus en plus ses qualités et sa curiosité de se diversifier.

Pour l’instant le moulin était fini et c’est avec une grande joie que Sibille en parcouru seule un soir le moindre recoin, nettoyant une dernière fois avant l’arrivée des premiers sacs de blé à moudre. Opus était déjà reparti pour la construction du fournil avec son four à bois pour cuire toute la production qui serait faite à partir de la belle farine. Les matériaux étaient bien moins évidents pour Sibille à cette tâche et elle laissa son tendre prendre soin du début du chantier, se promettant en attendant de remplir leur stock en blé puis en farine.
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Opusone
Opus rêvait depuis longtemps d’une belle boulangerie, d’un fournil capable de ravitailler la population de Montpensier en pain de toute sorte et de gâteaux pour petits et grands. Le petit four construit au retour de voyage ne suffisait plus pour concrétiser ce rêve.




Un nouveau bâtiment devait remplacer l’ancien et en ce 13 mars , la construction du fournil était terminée. Une dépendance légèrement à l’écart de la chaumière faite de pierre et recouverte d’ardoise.



Sibille et le petit Winbill avaient aidé à cette réalisation. Le four était prêt à fonctionner. Les premiers sacs de farine du moulin de Sibille étaient là. Le pétrin attendait la première pâte. Les bûches prêtes à être allumées pour chauffer le four.


On attendait la première fournée pour ce dimanche 14 mars de l’an de grâce 1458.

Opus avait pensé faire bénir ses premiers pains lors de la messe du 14 mars, il allait les apporter à l'église, espérant qu'une messe serait célébrée ce dimanche-là.
Sibille
Opus depuis quelques jours faisaient quelques mystères, il mettait quelques pains de côté, les plus dorés, les plus beaux, ayant choisi d’effectuer sur les pâtons des dessins complexes se révélant à la cuisson.

Les chantiers divers n’avaient pas traînés avant ces premiers essais ; ils avaient engagé pour les aider quelques charpentiers journaliers et le temps étant plus clément, la dépendance contenant le fournil avait été montée et un nouveau pétrin avait trouvé sa place le long des murs de pierre. Divers instruments furent fabriqués, des sortes de balai, de pelle en bois mais elle n’avait encore pas l’idée de leur réelle fonction. Par contre, elle avait eu aussi quelques idées mystérieuses et avaient fait faire dans le secret une petite chose pour remercier Opus de l’avoir accueilli elle et son fils et de lui avoir non seulement ouvert sa maison mais son cœur à tous deux.

Mais en attendant que cette surprise soit finie, elle mettait du cœur à l’ouvrage et les quelques ouvriers qui venaient l’aider ne se contentaient pas de compter les brins d’herbe qui poussaient.




Opus lui avait vendu son blé et elle faisait tourner son moulin pour en faire une bonne farine fine à souhait qui remplissait de gros sacs de toile.

Elle avait aussi fait labourer et semer une partie de sa parcelle en blé et l’autre en maïs. Ce dernier leur servirait à leur propre nourriture, voir à élever quelques animaux, s’il le fallait, mais pour l’instant, les travaux des champs étaient bien suffisants ajoutés au moulin et à la boulangerie.

Caprice l’ânesse était mise au travail ainsi qu’Epona la jument, à elles deux, les sillons avaient été bien plus faciles à réaliser et maintenant les jeunes plants profitaient du redoux. Bientôt Sibille pourrait avoir ses propres cultures à moudre.

Elle s’était rendue au marché aussi pour voir sa surprise et les marchands d’épices, les prix étaient à la hauteur de la rareté des plantes. Peut-être qu’elle pourrait en cultiver cet été et les faire sécher à la chaleur du fournil mais certaines plantes ne poussaient que dans des pays lointains et elle devrait se contenter de les acheter toutes faites.


Discrètement un soir, elle attira Opus avec elle pour lui montrer ses cultures et le coucher de soleil, tout était prévu d'avance et elle souriait aux anges.

Mon tendre, ne trouves-tu pas notre arrivée à Montpensier en cette saison des plus agréable ? J'adore sentir les premiers rayons de soleil qui nous réchauffent et qui font germer les plants et voir le miracle de la nature s'accomplir ; c'est idéal aussi pour voir nos projets s'épanouirent.
Elle jetait quelques regards furtifs derrière elle, pour voir si tout se passait comme elle l'avait prévu et tenant le bras d'Opus l'attirait avec elle pour qu'il n'entende pas les bruits des ciseaux, des marteaux et autres instruments.
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Opusone
L'hiver finissait et le printemps commençait à se faire remarquer.
La soirée était belle, avant la nuit Sibille avait invité Opus à aller voir les 2 champs qu'elle venait d'acquérir et de mettre en culture.
Blé et maïs, de quoi ravitailler le moulin en complément aux 2 champs cultivés par Opus et de quoi alimenter la famille (la polenta était appréciée par tous) et les animaux.

Mon tendre, ne trouves-tu pas notre arrivée à Montpensier en cette saison des plus agréable ? J'adore sentir les premiers rayons de soleil qui nous réchauffent et qui font germer les plants et voir le miracle de la nature s'accomplir ; c'est idéal aussi pour voir nos projets s'épanouirent.

Bonne idée, ma belle !! Profitons des derniers rayons du soleil et faisons le tour de notre propriété.

Opus siffla Barack et appela Winbill à les rejoindre. C'est avec un main dans celle de Winbill et l'autre dans celle de Sibille, qu'ils se dirigèrent vers les champs entourant la propriété.
Sibille
Sibille adorait ces moments de quiétude, où l’on prenait le temps d’écouter l’autre, où la simple présence des gens que l’on aimait rendait le moment inoubliable et magique surtout quand on avait une idée derrière la tête… Opus la connaissait bien et sûrement s’était aperçu de son petit sourire, même Winbill pourtant très curieux avait suivi, sans poser de questions quand il avait vu l’homme arrivé un peu plus tôt et rester mystérieusement sans bruit le temps qu’ils s’éloignent.

Avec ses ouvriers, il n’avait pas ménagé ses efforts cet homme là et avait dirigé d’une main de maître la mise en place de la grande meule de pierre dans le nouveau moulin de Sibille.


Alors quand elle lui avait commandé, lui faisant promettre de garder le secret, le cadeau d’Opus, elle savait qu’elle ne serait pas déçue.

Au bout d’un petit moment, Sibille s’étant retournée faisant mine de regarder la pénombre qui s’installait, annonça qu’il était temps de rentrer, elle avait vu les grands gestes de l’ouvrier lui annonçant la fin de son travail. Je pense qu’il est temps d’aller faire chauffer notre soupe mon tendre. Une fois Win couché, nous pourrons nous mettre près du feu et j’aimerai que tu me lises, quelques uns de tes poèmes, tu sais ? Ceux que j’affectionne et qui me mettent en émoi. Elle le regarda d’un air malicieux et lui prenant le bras, le dirigea vers le fournil et sous la petite fenêtre avant d’entrer, elle leva la tête en s’exclamant

Mais … qu’est-ce que c’est que ça ? C’est nouveau ? Qui donc à fait ça ?



Elle se mit à rire et attendit la réaction d’Opus à la surprise.
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Opusone
Opus était tout surpris de découvrir qu'une enseigne ornait dorénavant son fournil.

Une fois de plus Sibille le surprenait. Elle savait toujours faire preuve d'imagination et d'initiatives.

Mais Opus n'était pas en reste.


Merci ma belle,
A propos de surprise. J'en ai aussi une pour toi et pour Win !!!!


Opus entraîna Sibille et Win dans le fournil.

Dès la semaine prochaine, c'est "Semaine sainte", j'ai eu l'idée de confectionner des pains spéciaux pour Pâques. Qu'en dites-vous ?

Et

Je vais vous les faire goûter maintenant et on gardera le reste pour le petit-déjeuner demain matin.

Opus sourit à Sibille

Pour la lecture, je te laisse coucher Win. Pendant ce temps je vais aller choisir les poèmes de la soirée.
Sibille
Contente de voir son tendre appréciant ce cadeau, elle fut prise à son jeu favori, quand il l’entraîna dans le fournil et lui montra ses pains dorés et gonflés comme des brioches et son pain d’épices aux dessins naïfs pour Pâques et surtout pour les grands yeux de gourmandises de Winbill.

Oh… tendre amour… c’est magnifique, goûter tu dis ? On va les dévorer oui... J’en ai déjà l’eau à la bouche.

Elle se mit à rire, il la connaissait gourmande et quand elle disait ça, c’était à prendre au premier degré, ses yeux de toutes façons trahissaient ses envies. Elle humait les pains et les auraient bien dévorer là sur place. Pas sûr qu’il en reste pour demain matin tu sais.

Elle emporta le tout et après avoir fait un frugal dîner ils avaient dévoré les pains spéciaux… Hum... un délice, meilleur que certains gâteaux. Tu deviens réellement un maître artisan mon tendre.

Winbill avait eu ensuite sa petite chanson pour s’endormir. Depuis leur emménagement à Montpensier, il s’effondrait le soir, les journées étant chargées à s’occuper de son ânon et jouer avec Barack, parcourir les alentours, tout visiter.

Sibille referma la porte de sa petite chambre et attrapant sa peau de mouton si douce, vint la mettre devant l’âtre et s’y installa tranquillement attendant qu’Opus la rejoigne.
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Opusone
Sibille était installée confortablement sur une peau de mouton devant l'âtre quand Opus revint dans la chaumière.

Il était allé rapidement vérifier si la jument, l'ânesse et son ânon étaient en sécurité dans l'écurie. Il leur avait donné ration d'avoine et complété le tonneau avec l'eau qui leur servait de boisson.

Revenu dans la maison, il avait préparé une théière de thé aromatisé à l'orange, il avait déposé un plateau avec quelques pains d'épices confectionnés quelques heures auparavant.

Ouvrant son livre de poèmes, accroupi près de Sibille, il commença sa lecture:


Citation:
Ode à tes seins

Sans tes deux seins alanguis
Faons jumeaux parcourant la plaine
Qu'est-ce donc que la vie ?
Soudain sans amour ni haine

Mon cour à son tour s'endormit,
Sans jamais tel un oiseau perdu
De ta chair douce aimer le fruit !
Non ce n'est point le fruit défendu

Mais plutôt la tendre moiteur nue
Qui a finalement vaincu mon âme
A l'issue d'un doux combat perdu
Et j'ai rendu ainsi les armes.

Dans la vallée perle une délicate rosée
Que ma langue viendra cueillir au matin
Et sans que jamais je ne l'ose rêver
Mes sens se perdront entre tes seins.

Comment ainsi voir renaître de son nid
L'oiseau qui se pâme et reste étourdi
C'est de l'amour le symbole nourricier
Mais comment pourrais-je m'en passer ??


Des lectures pimentées, des soirées passionnées, on était bien à l'enseigne des "Epices de la Passion".
Sibille
Elle s’était installée confortablement dans ses bras et picorait les petits pains d’épices, troublant la lecture de son tendre en lui tendant quelques morceaux qu’elle faisait mine de lui retirer au dernier moment… la lecture en fut rallongée pour son plus grand bonheur, lui rappelant les soirées sur les plages qu’ils avaient découvert ensemble durant leur dernier voyage.

Son imagination se laissait aller au gré des mots et elle revoyait parfaitement les débordements qui s’en étaient suivis, les bains de minuit avec pour seul témoin la lune sur leurs corps dénudés, l’eau fraîche coulant sur sa peau et ses mains quand à elle bien chaude se glissant sous les vaguelettes qui la faisaient frémir. Elle en ressentit à ce moment précis de réels frissons et se retournant à genoux, elle plongea ses yeux dans les siens, sourire complice, elle ne lâcha pas son regard quand ses mains ouvrirent le premier bouton de son gilet, laissant l’accès au haut de son chemisier. Lentement, mesurant ses gestes et ses effets, elle continua son jeu et se rappela de quelques vers qu’elle avait trouvé osé mais adaptés à cette soirée. Elle s’approcha de son oreille, laissant maintenant les yeux d'Opus se glisser dans l’ouverture de son chemisier qu’elle continuait à déboutonner de plus en plus lentement lui chuchotant et en arrangeant à sa façon :


Recette gourmande :

De délicieuses fraises,
Se déposent avec tendresse,
Consumant avec délicatesse
Sur ta langue salivaire.

Deux raisins de Corinthe
Coule absinthe,
Désir est ton parfum,
Absorbe mes seins.

Épluche l’écorce,
Agrume épicé, forte,
Ton odeur amorce,
Croque mon corps.

Juste des œufs,
Gobes les, onctueux,
Boules impétueuses,
Surfaces merveilleuses.

Amplifie ta friandise,
Douce vanille,
Égrène tes désirs,
Surenchérit tes plaisirs.

Comme la levure du boulanger,
Le moulin du meunier,
Nourrit ton lait,
Fait lever…


La suite était tellement audacieuse qu’elle ne fit que lui souffler attendant avec impatience de voir ce qu’en dirait son tendre amant. Elle était d’humeur joueuse et avait bien l’intention de ne pas s’arrêter là.
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Opusone
La nuit avait longue et courte. Courte pour le sommeil, longue pour les jeux et le calins amoureux.

Le lendemain à la veille de Pâques, il avaient décorés de nombreux oeufs. Win avait bien aimé pouvoir se mettre de la teinture plein les doigts. Il avait comme ses parents décorés les oeufs durs après qu'il aient été cuits et refroidis dans l'eau glacée.

Au matin de Pâques, munis d'un grand panier, il allèrent décorer un grand arbre dans le jardin.




L'arbre était magnifique sous le soleil printanier.

On devrait aller chercher notre petite voisine Eléonore pour qu'elle puisse aussi admirer l'arbre de Pâques. Qu'en pensez-vous ?
Eleonore
Eléo arriva, la main dans celle de opusone,
avant d'arriver opusone mit ses mains sur ses yeux la guidant en lui disant de ne pas s'inquiéter, qu'il n'allait pas la laisser tomber.

Poster au pied de l'arbre de pacques il la teint près, comptant:

"trois, deux, un....!

Enlevant ses mains de ses yeux, eléo n'en crut pas ses yeux, elle n'avait jamais vu d'aussi joli et autant d'oeuf d'un coup surtout!!!!



ouuuuuuuuuuua vous avez de la chance, il y a eu pleins de cloches et de lapins chez vous pour emmener tous ces oeufs!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

elle doit pas nous aimer beaucoup par contre car elle a rien apporter chez nous la cloche

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[img]http://moe.mabul.org/up/moe/2009/04/23/img-000534vu1uj.jpg [/img]
--Winbill
Winbill se rappelait bien de la petite fille qui jouait à « la maman » chez Agna et qui l’avait un peu surpris avec ses habitudes de prendre encore des « bibi ». Lui était un grand et avait dit à sa mère qu’il n’était plus un bébé. Passé le malentendu, ils s’étaient bien entendus avant de repartir à Montluçon et le voilà aujourd’hui à lui proposer de venir chez lui. Il n’était pas peu fier. Quand Opus proposa d’aller chercher Eléo, il avait crié… Oh Oui !!!!! Papa…. On y va… on y va tout de suite et après on va chercher les noeufs. Moi je veux plein de noeufs et pis j’en donnerai à Eléo. Sur le ton de la confidence il avait rajouté… je suis sûr que j’en prendrai plus qu’elle…

Il avait alors couru avec Barack devant laissant son père s’arranger avec Agna. Sibille avait préféré préparer un goûter pour les enfants et était resté à la maison.

Ils revinrent donc tous les trois, lui devant tout seul, se retournant pour les faire aller plus vite et Eléo sa main dans celle de papa. Allez Papa, vite, vite… on va montrer à Eléo.. le beau n’arbre de Pâques avec tout ses noeufs. Il était content quand Eléo s’exclama mais surpris quand il la vit s’assombrir parlant du manque de gentillesse des cloches…

Tu sais Eléo, les cloches elles ont eu beaucoup de travail ici alors peut-être qu’elles n’ont pas eu le temps de venir chez toi… mais tu peux prendre tout ce que tu veux…
Il lui sourit et lui tendit un petit panier d’osier qui était prêt avant de partir... Tiens… On fait la course ? Maman !!!! Maman !!!! On est revenu !!!!

Il éclata de rire et se mit à courir, il n’avait pas oublié qu’il devait défendre ses idées. Etre le plus rapide.

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