Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] A l' Abreuvoir Moussant (2)

Braie
Braie traversait la ville pour aller à la mairie quand elle passa devant l'abreuvoir moussant une des plus vieilles tavernes de la ville. Elle sourit en se rappelant tant de souvenirs, une saint valentin, louza, munatu, eglantina. Puis alors qu'elle regardait la façade elle....non impossible ....cette chose.....;ah !!!!!!!!!un rat venait de sortir de la taverne. Cela signifié que personne ne nettoyez? Hors de question, elle frappa à la port mais rien ne s'ouvrait rien ne bougeait seul le chambranle de la porte remuez,

Fichtre, fichue porte tu vas t'ouvrir oui et toi le rat écoute moi bien je vais t'attrapper tu feras moins le malin!

Voyant qu'elle n'arrivait à rien, elle se calma et fit demi tour tant pis pour les passants, elle alla travailler et pensait revenir le soir même voir de quoi il retournait.
Alinoe_de_chenot
Le carrosse s'arrêta devant l'Abreuvoir moussant, Alinoë sourit. Ses amis étaient encore donc en voyage. L'auberge était fermée mais qu'importe, elle avait une clé qui lui avait été remise avant le départ.
Elle dit à sa femme de chambre qui l'accompagnait.


- Descendez et allez avec Albert me nettoyer cette auberge, je reviendrais pour y passer la nuit. Et faites préparer un bon repas, s'il le faut engager une cuisinière. Je vais à Saint-Julien et je vous envoie du monde !


Le carrosse repartit laissant Lisa en compagnie de Albert qui en ronchonnant entra dans l'auberge

- Me voila à devenir taulière, cette duchesse commence à me fatiguer. Albert ! Au travail !
_________________
Alinoe_de_chenot
Finalement, la duchesse de Luserne ne revint que le lendemain matin. Elle trouva une Lisa courroucée. si celle-ci ne dit rien à la petite duchesse, son regard lui en disait long, très long. Cela fit rire Alinoë qui lui dit

- On est fâché ? C'est Madeleine qui m'a retenue, Elle m'a fait un scène dans les règles de l'art comme quoi que je les délaissais que j'étais encore pire que ma mère, que j'étais toujours partie et que je préférais passer mon temps à Courmayeur ou à Canavese plutôt que dans mon château et tout et tout. Vous voyez le genre !


Lisa voyait si bien le genre qu'elle se mit à rire.


- C'est que j'étais inquiète moi, Damoiselle ! En plus des gens sont venus pensant que l'auberge était ouverte. j'ai du les renvoyer, je ne savais pas ce qu'il fallait faire.

Le regard de la duchesse fit le tour de l'auberge

- Vous avez eu raison. Iris sera bien contente de voir que l'auberge de sa mère est en bon état, demain le menuisier de Saint-Julien viendra tout vérifier et faire les réparations qui s'imposent. Mettez une pancarte comme quoi que l'auberge n'est pas réouverte. Où est ma chambre ?

Lisa l'emmena s'installer.
_________________
Nerval
Deambulant dans les rues aux cotés de son épouse, Nerval regardait attentivement le ciel, couvert, nuageux. A plusieurs reprises Jehanne avait du lui attraper le bras afin de lui éviter de rentrer dans quelqu'un. Il est vrai aussi qu'il aimait flaner et qu'apres quelques nuits de chevauchées depuis Bourg, il était heureux de retrouver le plancher des vaches et de faire fonctionner ses jambes. Il se sentait tellement plus à l'aise la que perché sur une sale bête.

Ce qui n'était pas vraiment le cas de son épouse. Elle preferait galoper les cheveux dans le vent et l'acceptation qu'elle avait formulé lorsque Nerval lui avait proposé de marcher un peu, loin de toute l'agitation dans laquelle ils étaient bercés depuis plusieurs jours, l'avait agréablement surpris.

Ils marchaient sans but bien precis dans les rues lorsque le ciel commença à gronder. Il avaient longuement marché loin des oreilles indiscretes et s'étaient fortement éloignés de leur demeure provisoire quand quelques gouttes se mirent à tomber. Un regard vers son épouse, elle était deja fatigué ces derniers temps il ne manquait plus qu'elle prenne froid par dessus.

Alors que les larmes du ciel s'écrasaient sur le sol, toujours plus nombreuses, jusqu'à rendre le sol boueux, Il entraina sa femme contre le fronton d'une échoppe. Collés l'un à l'autre, le mantel ouvert et enrobant son épouse, ils attendaient que ces larmes cessent. Malheureusement elles redoublaient de puissance à chaque fois qu'il pensait pouvoir reprendre la route. De plus le mur à peine surplombé par le toit ne les empechait pas de commencer à être trempé.

Un coup d'oeil à droite, un autre à gauche, un carosse n'était pas loin, il s'éloigna de quelque pas afin de voir le blason inscrit dessus, aucun doute c'était celui de la jeune Duchesse de Luserne. Enfin une bonne nouvelle, si son carosse était la, elle ne devait pas etre loin, surement à l'auberge juste à coté et au pire si elle n'y était pas ils pourraient se mettre à l'abris labas. Attrapant la main de son épouse il traversa la route d'un pas vif, manquant de tomber à cause du sol devenu boueux et renversant presque une personne au passage. Il s'excusa en se retournant mais sans pour autant s'arreter. Il y a des cas de force majeurs.

Rentrant comme une furie dans l'auberge, il ne prit pas la peine de refermer la porte derriere lui et vint se placer directement devant la cheminée degoulinant des larmes du ciel.


Bonjour aubergiste, à tout hasard nous souhaiterions rencontrer le Duchesse de Luserne. Nous avons vu son carosse juste devant.
_________________
Caro
Après mon petit tour au lac, où j'avais passé un bon moment à repenser à mon amie Neottie, à repenser à tout ce que nous avions pu vivre toutes les deux, je décidais tout de mesme de me rendre en ville.

Bien beau d'être enfin arrivée à destination, mais maintenant il s'agissait de faire connaissance un tant soit peu avec la ville et de trouver une auberge avec un endroit pour que mon Khépris puisse se reposer, manger et s'abreuver après ce long voyage.

Sans doute que Mel allait me proposer d'aller chez elle, mais pour le moment je ne me voyais pas du tout faire le tour d'Annecy à la recherche de sa demeure. Je ne pensais qu'à une seule chose, me mettre au sec, me rafraichir, changer de vêtements et surtout manger quelque chose.

Arpentant ainsi les ruelles de la ville sous une pluie battante, j'arrivais vers une place. Je la traversais pour continuer avant de me retrouver dans une rue où un carrosse au blason de Luserne y étaient apposé. Léger pincement au coeur de le revoir là maintenant alors qu'il y a tout juste une heure je repensais à la mère d'Alinoë....

Je passais derrière l'auberge et y trouvais une écurie où j'y installais Khépris, le bichonnant comme à mon habitude avant de revenir vers l'avant et d'entrer dans l'auberge dont la porte était ouverte.....

Je passais le pas de la porte et refermais la porte derrière moi. Le temps ni la saison ne se prêtait plus à la laisser ouverte de la sorte. Trempée je m'avançais vers des personnes déjà présente.


Bonjour.... je suis à la recherche d'une chambre... y en a-t-il encore de libre icelieu ?

Un couple qui semblait d'ailleurs tout aussi trempé que moi était présent.... sans doute était-il entrain de faire la mesme demande que moi
_________________
Alinoe_de_chenot
Lisa était assise tranquillement à rapiécer un de ses jupons, la duchesse était dans la meilleure chambre de l'auberge et elle ne l'avait pas sonné, surement qu'elle avait du s'assoupir. Le diner était prêt, elle avait trouvé un bon cuisinier qui avait accepté de s'occuper des repas, il est vrai qu'il avait un salaire plus que convenable.
Lisa souriait, elle avait eu des nouvelles de son amoureux, la duchesse dormait, elle n'avait rien à faire, tout était bien dans le meilleur des mondes possibles. Lisa était heureuse.

La porte s'ouvrit et un couple trempé, entra, mettant de l'eau partout, Lisa fronça les sourcils, elle posa son ouvrage et s'apprêtait à gueuler que l'auberge était fermée mais l'homme la prit de court


- Bonjour aubergiste, à tout hasard nous souhaiterions rencontrer le Duchesse de Luserne. Nous avons vu son carrosse juste devant.

Aubergiste ? est qu'elle avait une tête d'aubergiste ? Elle se força à sourire, des nobles cela se voyait et en plus des amis de la duchesse en plus. Fini la tranquillité. Elle allait répondre quand le porte s'ouvrit de nouveaux.

*Mais ce n'est pas possible !!! Ils vont tous venir ici ?*

Madame, messire. Oui, la duchesse de Chenot est là, elle se repose. Voulez-vous l'attendre ? Attendez s'il vous plait au chaud dans la grande salle.


Elle leur indiqua la salle en regardant bien leurs chausses boueuses puis elle s'approcha de la dame

- Bonjour Dame, l'auberge est fermée au public. Je ne puis accéder à votre demande. Je ne suis pas l'aubergiste mais la femme de chambre de la duchesse de Luserne qui a prit ses quartiers ici.

Elle se tut se demandant si la fameuse duchesse apprécierait qu'elle raconte sa vie comme cela à une inconnue, la damoiselle était discrète et n'aimait pas qu'on parle trop.



_________________
Caro
Une jeune femme s'avançait pour prendre la parole. A sa façon d'estre et d'agir elle n'avait rien d'un aubergiste bien au contraire. Un froncement de sourcils d'étonnement lorsqu'en s'adressant au couple elle parlait de la Duchesse. Ainsi donc ils n'étaient pas là pour une chambre mais uniquement pour voir Alinoe.

Je regardais autour de moi, attendant sagement mon tour. Je n'avais pas à me méler à la conversation de toute manière. Par contre si elle n'était pas l'aubergiste où était-il donc ? Et très vite la réponse à ma question m'était donnée

- Bonjour Dame, l'auberge est fermée au public. Je ne puis accéder à votre demande. Je ne suis pas l'aubergiste mais la femme de chambre de la duchesse de Luserne qui a prit ses quartiers ici.

Portant mon regard sur la jeune femme avec un sourire....

Et bien en ce cas si l'auberge est fermée, peut-estre pourriez-vous me dire où je pourrai en trouver une ? J'avoue que je me suis permise de mettre ma monture dans l'écurie à l'arrière, mais ne vous en faites pas dès que j'aurai trouvé auberge je viendrai le rechercher..... Alinoe...... court temps d'arrêt, décidément je ne me ferai pas à ce qu'elle soit duchesse et qu'il faille la nommer ainsi. Pour moi la duchesse était sa mère, se regrettée mère, ma Neottie, dont j'avais toujours du mal à accepter sa tragique disparition sur le champ de bataille ...... pardon je voulais dire la duchesse.... vous lui direz que je suis passée et que je viendrai la voir plus tard... je ne voudrai nullement la déranger si elle se repose et sans compter que ce jeune couple est là pour l'attendre..... je suis Caro de la Rose Noire, mais Caro suffira amplement, elle saura....
_________________
Alinoe_de_chenot
Lisa réfléchissait à toute vitesse puis elle répondit à Caro, connaissant sa duchesse, elle savait qu'elle ne se tromperait pas.

- Dame, vous êtes donc une amie de la duchesse et vous cherchez une auberge ? Je vous prie donc de rester, ma Damoiselle m'en voudrait de vous avoir laissé repartir sous la pluie alors qu'il y a des chambres prêtes ici !

*Surtout qu'elle nous a fait nettoyer toute l'auberge et changer tous les draps*

- Votre cheval, laissez le là et venez donc dans la grande salle. Je vais voir si la duchesse est levée !


Puis faisant un signe à Albert.

- Sers donc du vin chaud à ces personnes, je vais voir la duchesse !
_________________
Nerval
La question était lancée et l'aubergiste qui lui répondit lui donna une drôle d'impression. De toute façon ils étaient au chaud, et c'était un plaisir de revoir la jeune Duchesse autant pour son épouse que pour lui même. Une jeune femme de qualité et à la conversation intéressante. Une femme était rentré juste après eux, trempée elle aussi. D'un geste du bras il invita Jehanne à s'avancer vers la fameuse grande salle quand son esprit capta la conversation alors qu'il quittait son mantel pour le faire sécher à une patère. La femme semblait connaitre la jeune Duchesse.

Il lança un coup d'oeil à sa femme en esperant qu'elle arriverait à se rechauffer plus rapidement que lui et vint se placer sur la chaise directement à coté d'elle. Il grelottait légèrement, le froid accompagné de cette pluie transperçait les vêtements pour venir lui refroidir les os.

Il n'avait pas remarqué que la jeune Duchesse était si fatiguée lorsqu'ils l'avaient quitté la veille, elle avait galopé rapidement en compagnie de son épouse et il avait eu bien du mal à les rattraper. Le changement de temps peut être ou alors reprenait-elle des forces en prévision de ce que les mauvaises langue disaient.

Entendant que l'inconnue était conviée à venir avec eux, il se présenta afin qu'elle ne puisse refuser l'hospitalité de la supposée aubergiste de la jeune Duchesse.


Bonjour, Je vous présente Dame Jehanne, mon épouse, et je me nomme Nerval. Si vous desirez attendre en notre compagnie ne vous gênez point.

Et comment ne pas sourire lorsqu'il entendit que du vin chaud allait être servis. C'est exactement ce dont il avait besoin, pourvu que le petit personnel de la Duchesse soit plus rapide que la suivante de son épouse. il s'en frottait les mains d'avance.
_________________
Alinoe_de_chenot
En fait la petite duchesse ne dormait pas, elle goutait la solitude et profitait pour écrire quelques missives et vérifier ses comptes. Si elle avait voyagé à cheval avec Jehanne et Nerval, son carrosse l'avait suivit avec ses indispensables livres de compte, sa harpe et bien sur ses belles toilettes, elle avait fait le plein de toilettes et de livres en passant à Saint-Julien.

Alinoë avait travaillé tout l'après-midi. Elle devait corriger les erreurs du nouvel intendant de Luserne. Un homme gentil mais pas très alerte. Elle avait hésité à le renvoyer lui aussi puis elle lui avait accordé une chance, un délai de trois mois, si après il n'était pas encore opérationnel, elle le renverrait, l'homme avait accepté cet accord, avec des larmes de reconnaissance dans les yeux à la grande surprise de la jeune fille.

Elle s'installait à la harpe quand on frappa à la porte, après qu' Alinoë invita à entrer, la porte s'ouvrit et Lisa apparut


- Damoiselle, je m'excuse mais des amis à vous sont en bas. Ils ont vu le carrosse. Un couple, je n'ai pas demandé leur nom et une dame qui elle s'appelle Caro.

Alinoë se leva

- Caro ? Un couple ? Bien je descends. Je me change et j'arrive.

Lisa ne descendit pas tout de suite, elle aida sa maitresse à se coiffer et s'habiller et toutes les deux sortirent de la chambre, la duchesse pour rejoindre la grande salle et Lisa pour aller dans la cuisine.
_________________
Caro
La jeune femme se mit à réagir très vite et me demandait de rester, qu'il y avait des chambres de prêtes et de rejoindre la grande salle en attendant qu'elle aille chercher Alinoe.

Je ne voudrai pas la déranger, mais un vin chaud ne sera pas de refus, surtout avec ce temps...... je vous remercie ....

J'entrais donc dans la grande salle et otais mon manteau qui dégoulinait de partout avec l'intention d'aller le mettre près du feu qui crépitait pour qu'il sèche, au moment où l'homme qui était arrivé avec son épouse venait se présenter. Un sourire envers son épouse avec un inclinement de la teste avant de revenir vers l'homme

Enchantée Dame Jehanne et Messire Nerval.... je suis Caro..... Caro de la Rose Noire.... je crois en effet que nous allons attendre ensemble. La jeune femme étant allée chercher Ali.... la duchesse. D'ailleurs je dois avouer que d'être au sec ne me déplait pas.... avec ce temps....

Vous êtes de Savoie ou de passage ? enfin si je puis me permettre cette indiscrétion.....

Tout en leur parlant je m'avançais vers la cheminée pour y déposer mon manteau sur la pathère accrochée non loin et de m'en aller vers le feu pour me réchauffer un peu et par la même occasion sécher mes cheveux qui eux aussi étaient détrempée

Et bien je suis dans un tel état, trempée jusqu'aux os que la duchesse va en faire de gros yeux en me voyant....
_________________
Nerval
La dame était aussi mouillée qu'eux et elle ne se fit pas prier pour enlever ce qui la recouvrait. Il n'y avait rien à redire à la politesse de la dame. Il y avait néanmoins plusieurs hésitations étranges dans sa voix. Était-elle simplement une passante ayant eu la chance de trouver la porte ouverte ou une connaissance amicale de la jeune Duchesse.

Elle lançait la conversation, puis Nerval lui aurait posé la question de toute façon, aussi curieux qu'une femme.


Vous avez raison, en plus avec les flammes qui brillent à quelques pas de nous, nous ne pouvons qu’être bien.

Et ce n'est point indiscret, nous sommes de Bourg pour être plus précis, et ici suite à la levée du ban.


Un geste de la main pour lui proposer de prendre place à la table, bien plus pratique pour parler quoique... devant la cheminée on était bien également. Bon tant pis la demande était faites, elle choisira.

Enfin... quand vous aurez un peu séché bien entendu.

Et vous, êtes vous de Savoie? Vous semblez connaitre la jeune Duchesse.

Il se frotta les deux mains pour finir de se réchauffer, tout en lançant un regard vers le couloir, le vin chaud se faisait attendre et bien qu'a l'abris, la douce odeur du parfum du vin chaud allié à la chaleur du verre, ne pouvait être que des plus agréables. Et bien plus efficace que de se torturer les deux mains glacées entre elles.
_________________
Alinoe_de_chenot
Albert ronchonnait, lui il avait pensé quand on lui avait dit qu'il suivait la duchesse et qu'il y allait peut-être avoir la guerre, il avait pensé donc qu'il passerait plus de temps à courir le guilledou qu'autre chose.
Il savait d'expérience que guerre voulait dire filles à soldat donc des catins faciles à prendre et voila qu'il se trouvait à faire du vin chaud après avoir frotté le parquet et fait le ménage dans toute l'auberge avec Lisa.
Lisa qui l'avait déjà repoussé à plusieurs reprises. Il savait qu'il n'avait plus aucune chance.
En soupirant il porta le plateau sur lequel était posé les gobelets remplis de vin chaud fumant.
Il fit un rictus à l'assemblée et s'esquiva le plus vite possible avant qu'on le lui demande quelque chose.
Las, avant qu'il arriva dans la cuisine, il croisa la duchesse qui allait entrer dans la pièce


- Tenez Albert, vous tombez bien ! Je voudrais que vous fassiez avec le cuisinier une grosse fondue pour mes invités et moi !

Puis elle entra dans la grande salle sans attendre aucune réponse, sure comme d'être obeit comme une duchesse le sait. Il baissa la tête et alla voir le cuisinier.
Surement il pourra sortir la nuit. Enfin il l'espérait.

Alinoë vit avec plaisir que c'était Jehanne et Nerval le couple qui attendait et bien entendu Caro. Caro. la meilleure amie de sa mère.


- Mes amis !!! quel plaisir de vous voir !

Elle alla embrasser Caro, Jehanne et salua comme il se devait Nerval. S'asseyant à leur table.

- Vous êtes bien installés ? Vos chambres vous plaisent ? C'est l'auberge d'amis qui sont en voyage actuellement.
_________________
Caro
Un sourire .... oh que oui nous étions bien mieux aussi, au chaud devant la cheminée, et grand besoin de me réchauffer j'avais surtout. Un regard rapide pour voir que le déluge était toujours là, mais très vite je revenais sur Nerval..

Ah voilà vous estes donc savoyard... et je me doutais bien que vu la situation du duché que la levée de ban allait se faire. ...

Son geste de la main m'invitais à m'asseoir. Après tout pourquoi pas, le feu m'avait un tant soit peu réchauffé et le vin chaud qui ne saurait tarder allait y aider bien plus encore. Je me dirigeais vers la table tout en lui répondant...

J'ai passé deux jours à cheval, assise quasiment à longueur de temps, mais me joindre à vous à cette table j'accepte volontiers, je suis malgré tout ereintée... sinon, non je suis pas de Savoie, je suis de Franche Comté, enfin depuis peu... auparavant j'ai longuement vécue en Béarn.

Assise je m'adressais à présent à Jehanne et Nerval...


La duchesse ? oui je connais Alinoe depuis sa tendre enfance, je suis une amie de sa mère...

Au mesme moment Alinoe faisait son entrée dans la pièce. Je l'embrassais à mon tour, contente de la revoir...

Bien installée ? et bien disons que là oui cela fait du bien d'estre au chaud et au sec.... dehors il fait un temps à ne pas sortir un chien....quant aux chambres et bien nous venons tous trois à peine d'arriver, mais pour ma part je ne voudrais surtout pas te déranger, et d'ici peu il me faudra rejoindre le camp...

Légère moue de penser qu'il allait falloir ressortir sous cette pluie battante à la recherche du camp où l'on devait sans doute m'attendre....

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)