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[RP]Le Jargor a trouvé son chez lui ...

Nemesis
Il y a quelques temps en Rouergue, un pigeon les avait bien fait rire...
On les informait d'une élection ducale en Touraine, avec deux listes : la liste Nibards, et la liste Touraine d'Urgence tout riX

Rix ? Eh oui ! Rix ! Leur vénéré chef !

Quand ils apprirent que la liste TUX avait été élue en Touraine, ils ne purent s'empêcher de penser à rendre une visite en leurs terres...

Le temps de s'organiser un peu et en avant les lapins, on va au domaine du Panpinou...

Ils prirent leur temps, arrivèrent peu à peu, s'émerveillèrent devant cette contrée si accueillante. Les frontières s'ouvrirent devant leurs sabots, la route leur était tracée...

Certains s'installèrent à Loches, d'autres à Chinon. Puis enfin, leur Roi arriva.

Comme vous le savez l'arrivée d'un Roi se fête dignement, et pour faire ripaille, il faut des moyens. La route avait été longue depuis le Rouergue. Et quand on est chez soi, quoi de plus naturel que de se servir ?


**Edité par Betty pour ajout de la balise [RP], pensez y la prochaine fois. Bon Jeu.**
_________________
Garance
[Loches.]

Mais qu'est-ce qu'une Hydre venait faire avec des jargors? Un mauvais coup diraient les esprits chagrins.

Sauf que Garance avait une histoire particulière avec la Touraine. Et qui remontait loin.. Très loin.. le temps des Lucioles et de Cuculus à Vendôme.

Sa première entrée en matière ratée du côté de l'ombre. Le souvenir d'une équipée nautique à Saumur et Garance était rentrée dans le droit chemin en Normandie.
Une parenthèse d'un mois qui lui avait coûté cher mais qui lui avait laissé en bouche le goût d'un revenez-y, de liberté. de nomadisme et de chaos.
Elle les avait pris à bras le corps depuis un an. Et là, l'occasion était trop belle de renouer avec un morceau de passé mal recousu.

Elle s'était donc jointe aux Jargors. L'invitation de Rix était trop belle.

Aguerrie. Plus neuve qu'un vêtement fait par le meilleur des tisserands. Passée au travers du supplice de la Roue et ramenée par le Dode.

Loches. Tout le monde descend. Et la fête peut commencer.

_________________
Poutrée.. violée mourante puis crucifiée en Touraine. Bien mieux qu'au Rouergue
Debrinska
Chinon... Château Chinon?


Pourquoi en rajouter me diriez vous?

Simplement parce qu'il y a un joli petit château par là qui serait la demeure rêvée pour un RIX... oui Rix veut dire Roi en gaélique... alors tant qu'à faire autant lui trouver une demeure digne de ce nom...
Il va pas nous la jouer Chevalier errant ... ah... non excuser..pas Chevalier l'a pas été adoubé par Levan .. notre RIX,,, mais je vais dire NOBLE ERRANT ... toute sa vie...( pis la nôtre) ,,, mal aux pompes, aux sabots de traînasser derrière lui!


Donc faut de la place pour nous aussi ses "ambacts" et de la place y en a là! en plus c'est joli... bien situer...pensez donc le long de la vienne....tout doux la Touraine,un bien joli climat...

Deb fouille dans sa besace .. du reste, j'ai fait Seigneur Rix, une esquisse des lieux.. vous voulez voir?


oui, la Touraine, ses châteaux. ses grands vins .. Ils ont invité Rix a venir visiter...Rix est venu... avec nous...l'est gentil Le Roi...à nous ..(.l'autre je connais pas mais je crois pas qu'il est aussi aimable que celui qu'on a)
Enfin bref... on a joué les rois fainéants et maintenant on s'installe..jouir de la vie en couleur!!!!!!
En rouge, en parme...
..


Et puis, on va s'installer(deb a une vision... encore,,, c'est pas vrai me direz vous... eh bien si).. elle voit des enfants pour Rix peut être... sera grand père un jour...
et son petit fils va être un grand parmi les grands.....Il fondera même une confrérie le petit fils de Rix... s’appellera quelque chose comme Rabl...

.
Nikkita
Quitter le Rouergue… c’était devenu un leitmotiv, inaccessible, une sorte de Graal toujours promis, jamais atteint. Quitter le Rouergue et reprendre les chemins, à l’aventure, le nez au vent, l’œil aux aguets.

C’étaient des traces anciennes qu’elle suivait, une sorte de chemin à rebours, on prend la finalité et on remonte à la source, Touraine, arrêt en chemin. Rien ne semblait avoir changé vraiment depuis l’automne précédent, les feuilles qui tombent, ça c’est normal, et puis les décrets sur ceci-cela, qui eux, s’accrochent toujours aux branches.

Trop d’ordre, mais surtout, trop d’ordres.

Et un petit goût folichon dans la bouche, prendre tout ça à bras le corps, secouer, mélanger, assaisonner d’un peu de fantaisie, surprendre au détour d’une ruelle moins droite que les autres. La ruelle aboutissait à la place de la mairie…

Le bal allait commencer. Et que la fête soit belle !
Durnam
Gueret, trois jours plus tôt

Abandonnée au bord d'un fourré limousin, tel un vieux sac que l'on a vidé de tout et dont on a plus l'usage. Morte, ou presque. Un jour de pluie ... Triste comme il se doit en automne.

Une arrivée peu glorieuse dans ce village où une femme lui tend la main, lui offre un pain et lui propose de venir à Loches quand elle sera remise, elle aura du travail pour elle. Haussement d'épaules, remerciements et vague promesse de venir.

L'après-midi se traîne entre travaux de couture et confection de pansements quand un homme entre. Elle le reconnait, pas vraiment un ami. Et pourtant... Lui aussi lui tend la main, à sa grande stupéfaction, et plus que généreusement. Et une deuxième proposition.


Viens avec nous Durna, nous sommes une grande famille et ça te permettra de te remette. Nous allons à Loches, pas loin. Le sourcil encore valide se lève, l'œil unique le fixe, méfiante. L'est où l'autre œil ? Bah, l'est planqué derrière un amas de chairs sanguinolentes et pas belles à voir.

A Loches ? Tu es la deuxième personne qui me propose d'y aller depuis ce matin. Et si c'est pour aller vider leurs caisses compte pas sur moi !

Rix sourit, lui assure qu'ils y vont car ils ont été invités, il y a ses terres, ses partisans, ses amis. Il promet qu'ils vont faire la fête, avec le maire.
Pas une grande habituée des ripailles, la sauvage, mais vu son état, elle n'hésite qu'un bref moment. On va s'amuser ? Grand sourire, lèvres qui éclatent à nouveau.


Aie ! Ouille ! Merdouille ! Je viens !

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Bastienz
Quand l'alcool vous tiens !

Voila longtemps que Bastienz fréquentait les faubourgs du Comté du Rouergue. Chaque soir, il s'enivrait à ne plus tenir debout. Chaque matin, il se réveillait avec une affreuse gueule de bois. Pourtant à chaque fois, il recommençait. Après une campagne bien rempli, le repos commençait à lui peser. Il n'était pas fait pour rester en place. Pourtant, il le fallait bien si il voulait mettre ses comptes à jour.

Cependant, un jour se déroba à la règle. Une sensation familière et agréable circulait dans la ville. Une sensation de changement. Contrairement à son habitude, Bastienz ne but pas ce jour. Il resta assis à sa table, attendant de savoir ce qu'il se passait. C'est quand le soleil était couché depuis longtemps qu'il fut mis au courant.


Hé Bastienz, on se casse de là. On reprend du service ! Il parait que la ou on va, les mairies sont pleines, les armées foisonnent. Allez dépêche toi !


Armée, donc combat ? Mairie, donc trésor ? Service donc action ?
D'une traite, Bastienz se leva et fonça vers la porte grande ouverte.


Attendez moi ! J'arrive !!
_________________
Autoproclamé " Champion du Jargor"
Falco.
Procureur à Cheval-Loches

Baste! Nos voilà marris! T'as un jour de retard mon vieux Cartel!

Il entre en harnois complet dans la ville de Loches aux aurores.
Pile poil pour voir du joli monde, du balafré, du rigolo à l'accent du Sud, faire un sort à la Mairie.

Autant pour la Touraine qui a voulu rompre ave la paranoia du Royaume et ouvrir ses frontiéres.
Cela dit, il en rierait presque, car cela n'est il pas l'exaucement d'un de ses voeux?
Il se souvient au Conseil d'asséner:

Soyons accueillants! Captons à notre profit une frange des mercenaires et autres parias qui d'habitudes préférent l'Anjou!

Et VLAN!
Voila Touraine lieu de ripaille pour le Jargor!
Alors le Cartel qui reléve son gorgerin et vérifie machinalement que son épée n'est pas prise dans le harnais en rit aux éclats.
Pas qu'il craint chose de pouilleux , mais la prudence est mère de retraite au coin du feu.

Posez les potentialités et regardez l'entropie vous servir tout prêt de quoi moissonner.
Une chose est certaine:
Son optimisme ne sera pas partagé par ses collégues du Conseil Ducal.

Les pavés ralent sous les fers de son vilain palefroi de Procureur équestre tandis qu'il s'amène en diable serein vers la place de la Mairie.

Au premier qui passe il lance:

Hola, le gueux! Signifie que Falco de Cartel, Procureur joyeux de Touraine conseille au Jargor de se masser en troupes. Car dans les heures qui vont suivres je vais chasser avec les gentils bourrins d'ici.
Tout maraud isolé sera pris et se verra remettre de ma main une invitation à plaider de son innocence...
J'vous donne jusqu'au couchant.
File.


Ne reste plus qu'à foncer au Poste de Police et défoncer la porte de quelques nobles et soldats ...Ensuite, ce qui a tronche suspecte vivra un moment fort vivifiant.
Et puis il n'est pas de ces fonctionnaires aigris qui poussent le vice à lancer des procés par dessus une haie de boucliers...
Par contre gare au malandrin qui aura oublié de se réfugier dans un corps d'armes.

Ils croient quoi les zigotos? Que Touraine est juste composée de sages notables?
Lui se fout des convenances et sans une once de doute, ira à trois ou plus contre un fourrer un avis d'accusation à coups de bottes.

Quant à reprendre la Mairie?
Gentiment il va d'abord préférer faire son tri personnel dans la bande de ripailleurs tout en bric et broc.

Eperonnant l'cheval qui déteste cela, ça augure toujours des pietinnements sur membres fragiles, il va trouver de quoi monter à la hue et dia une escouade d'arrestation.


S'il le faut: topic HRP de régulation qu'on ouvrira.
J'explique l'IG/RP qui va déterminer les Procés: Tout perso suspect qui n'a pas rejoint un groupe armé ce soir(18h, coucher du soleil, en gros) sera considéré comme isolé et recevra un avis de Procés IG.La je parle de Loches. A voir si sur Chinon la démarche est la même.
Bon jeu!

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_ermeline_
Loches


La Brindille regardait son fils s'éveiller dans son couffin. Un fin sourire se dessinait sur ses lèvres et ses azurs s'animaient. Que pouvait on dire sur sa merveille, son fils? Qu'il était son joyaux, son trésor.

Alors dans cette grande famille, elle avait trouvé des compagnons de route et en ces temps cela était plus que nécessaire. Le Rouergue, elle y avait gouté deux mois, et les routes lui manquaient, à elle l'éternelle instable.
Alors quoi d'autre que d'accepter l'invitation:

La liste TUX est passée en Touraine: les lieux pour s'offrir du repos.. et un lieu à visiter car elle ne connaissait pas.
Alors le voyage eut lieu, cahin-caha Kahan ... visitant certaines villes, évitant des encombres: ils n'étaient pas non plus des têtes brulées . Ben non ! Ils allaient en Touraine où on les attendait.


En Touraine:

Sortie de chez les nonnes où elle avait du séjouner quelques temps, son homme vint la chercher.

Une fête il va y avoir , tu viens ?


rah elle aime danser la Brindille, et ces quelques jours enfermée dans ce couvent lui ont magistralement coupé les jambes.

Oh j'en ai bien b'soin. C'est cette nuit tu dis ? Devant la mairie ?


Et à l'heure dite, elle rejoignit un groupe amassé devant les portes de la mairie mais celle ci est fermée : arf! Ben ils ont oublié d'ouvrir . Oh pas grave se disent certains : on ouvre, et on réparera .
Faut bien s'faire accueillir comme il se doit disent d'autres.
Et le mot : Jargor retentit .


OUh ouh ! Lance un autre, on est là !
Avaient ils oublié l'heure de la fête ?
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Tayabrina
[Loches Ni Vue Ni Connue]

Quoi sergent montée ? Montée sur quoi ?

Elle zieutte le Falco qui venait de déambuler dans la taverne, alors qu'elle essayait de se laver ses mains ensanglantées. Bougonnant, elle l'écoute brièvement, ne pensant qu'à la mairesse qui était entre la vie et la mort.

Aller hop, hop dans ma lance !

Elle le regarde à nouveau. Il venait de lui lancer que sa vie lui appartenait. Mouais ! Il était interdit de mourir, comme si que l'on pouvait interdire de mourir, c'était quoi le piège? Elle réfléchit après que Falco lui a fait son petit discours habituel, l'était fort dans ce domaine. Rameuter !

Bon je te suis si tu gardes mon bâtard , j'en ai rien à faire de lui !!


Contrat accepté. La Châtaigne Lochoise était prête à intégrer la lance du Prox de la curé ...héhé, on va s'marrer, dans son état elle ne pourra pas faire grand chose. Même si rien elle ne fera, elle était assurée de l'avenir de sa descendance. C'est sera le dernier de bâtard ci celui-ci se trouve sous les directives de Falco dès sa naissance. Elle le tenait sa vengeance. Plus rien ne pourra être remis en question.


Dis !! Tu t'occupes de l'annoncer à mon jumeau !! Il va essayer de me suivre comme prévu ! Car nous, vois tu, on devait se rendre sur Tours. Tu t'en charges, veux tu ? Et dis aussi...J'peux avoir ce que t'as pris à mon tonton hein. C'était destinée à moi ce qu'il transportait.

Il était sourd lui! Mais rhoo, nul réponse, il conversait déjà avec des dames étrangères...que manigancer -il encore ?
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Davia
[Loches, quand une Blanche se fait rouge]

Une Villandry en cache toujours une autre, ou deux... allez savoir! La petite dernière de la famille était fermement décidée à protéger sa mère et sa progéniture, quoiqu'il lui en coûte! Dans le sillage de sa mère. Sognir, sa lame était toujours prête et à peine reposée après son retour du Maine, la voilà qui la reprenait pour intégrer la lance de Falco.

Falco... Elle le connaissait et n'arrivait pas trop à savoir quel était son jeu. Elle l'appréciait sous certains aspects et s'en méfiait sous d'autres. Peut-être parce qu'il soutenait l'actuel duc et qu'elle ne portait pas se dernier haut dans son coeur depuis qu'il avait séduit sa mère.

Elle était en colère, n’appréciant pas du tout que la mairie de Loches ait été prise par une bande de vulgaires brigands. Pour elle, tous les brigands étant vulgaires! Sa colère était surtout mêlée au fait que Poeranie, la mairesse était vie et trépas et que la pauvre jeune femme n'avait rien demandé, ni rien fait pour mériter cela! Mais on lui avait bien enseigné que la tempérance était une vertu, elle la cultivait donc.

C'est dans un calme placide qu'elle s'avança auprès de sa mère.


Mère, je suis là, près de toi. N'aie crainte tout ira bien.

S'il le fallait, elle se ferait lionne pour défendre sa mère et pour défendre Loches.

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Falco.
LA NUIT TOMBE et elle est lourde

Hola la Maire!
Quoi, blessée? Et alors?
Morte ou vive je la veux sur une monture dan l'heure! Si elle ne peut parler, elle montrera du doigt! Si elle n'a plus de mains, elle se servira d'un pied!
Soyez convaincant..Ou elle finira pendue auprés des marauds du Jargor!


Voila en substance le discour d'un Procureur en armes qui déboule devant la maison ou parait il la maire a été portée en sangs.
Ni amour, ni tendresse ne peuvent l'infléchir quand il a cette mine que les gens de Touraine ignoraient encore.
Celle du Cartel homme de guerre.
Et ses mots ne sont pas paroles en l'air.
Sans même un doute il ajoutera une corde , élue ou non.
Tout comme le moindre soldat , le moindre noble de Loches a tout interêt à jaillir pour rejoindre le Prevôt PrinceduSud.

Le devoir va avec les priviléges et ce jour Touraine exige sa part du marché.
En taverne il enrole du monde et avise quelques adversaires du climat à venir.
A eux de voir s'ils veulent vivre le role des poules quand le renard entre dans l'abris. Ou non.

C'est donc renforcé d'une troupe bigarrée qu'il arpente à cheval les rues de plus en plus désertes de Loches.

Citation:
Vous appartenez à un groupe armé qui comprend aussi Lothar, Zorin, Tayabrina, Poeranie, Davia, Elito88, Lyn.


Tout à l'heure il ira faire le point avec les forces du Prevot. Car sa manoeuvre commence à porter ses fruits.
Le Jargor rassemble ses forces autour de la Mairie.Et ça, Falco il aime.

Soyez loup et regardez les brebis s'amasser devant la bergerie...
Alors vous pourrez choisir l'isolé, le plus lent, le maladroit. Ecumer les franges, rétrécir les rangs.
Jusqu'à l'hallali.

Il se fiche des us de guerre nobles quand il s'agit de combattre des marauds.Et n'a aucune vergogne à chasser à 8 contre 1.

Dans les ruelles il dévale au trot, stoppant au petit bonheur quand quelqu'un lui semble méconnu ou juste suspecte.

A chaque fois c'est expedié.


Vous êtes inculpé pour Trouble à l'Ordre Public.
Quitter la ville sera perçu comme aggravant.
Y rester aussi.
Filez ou j'vous accroche par les chausses devant la Mairie.
Hum?
Ah...J'avais cru entendre une protestation..



En général ceux qui le suivent précisent à l'interressé que sa tête servira de cible aux armées jusqu'au verdict.

Loches se dépeuple sauf en tavernes et derriére des volets biens fermés.
Ceux qui trainent dans les rues sont soit du Jargor, en groupe, soit des fous.
Et bien sur, les escouades du Duché.

Certains se demandaient comment ce Conseil agirait face à une menace.
Les voila servis.
Mais à ce train la, les mêmes vont peut être en venir à préférer les méchants à leur justice.

Lui, il rigole entre les encorbellements, dans un concert d'armures légéres et de choses coupantes sans fourreaux.




_________________
Princedusud


[Le Prévôt à Loches]



En une fraction de seconde,tout peut basculer.Le Prévôt devait partir pour Tours et en définitive choisi Loches.
Bénédiction toute puissante,il était là pour les coqueberts et allait sonner l'hallali annonçant que les boursemolles étaient aux abois...




Choississez bien vos miches ce soir sur le marché,certaines ont la fève et qui dit fève dit Roi mais attention Roi des fot-en-cul!!!

Entre la vertu et le vice ,vous avez choisi le vice,il faut aussi que je remédie à ce problème .


Dans sa bonté aristotélicienne et infinie,Prince ne les ferait pas souffrir.Ainsi en avait-il décidé.

Le Procureur était là,le Prévôt était là,Le Juge de l'Officialité par la mesme occasion était là,
la Feste allait pouvoir commencer à la lueur des torchères...



............................... .......................................................
_________________
Théologien,Conseiller Religieux, Juge de l'Officialité
_ermeline_
[ Loches au chaud dans une chambre ]

Dis mon beau, tu penses qu'il n'aura pas froid ?

Elle regardait leur fils au chaud dans son couffin . Ce qu'il avait grandit ... cela laissait présager qu'il n'aurait rien à envier à son père de ce côté là.
La Brindille craignait toujours pour leur fils. Remarquez il comptait bien plus que sa vie à elle .
Aussi, les yeux cernés d'une nuit précédente sans assez de sommeil, elle peinait encore, alors que le petit ange dormait à poings fermés.
Peut être la peur qu'une fois endormie, lui se réveillerait?
Alors menton contre Slad, elle laissait ses azurs errer sur la petite forme rouquine.


L'est aussi beau que toi tu as vu ?
Et elle baille .... elle n'avait fait que ça durant toute la journée, se décrocher la mâchoire ! Le pire maintenant est qu'elle faisait des petits bruits accompagnant ses bâillements.

Dis tu as entendu tout ce remue ménage pour cette nuit? J'ai l'impression qu'ils fouillent partout. Ils vont avoir froid, nan ?
Puis pensées aux étrangers en voyage tout comme eux avec qui il avait fallu se rassembler aux dires du Procureur qu'elle avait rencontré la journée. Pour ça oui, elle avait bien retenu : il avait au moins répété 5 ou 6 fois qu'il fallait se regrouper entre étrangers. Alors c'est dans cette auberge qu'ils avaient décidé de passer la nuit.

Demain serait un autre jour.

Dis , j'ai froid .... j'peux coller mes pieds sur toi ?

_________________
Falco.
Mairie de Loches

Reste à savoir s'ils vont défendre ou non...Prevôt, j'vous laisse mener l'assaut. Mes Sergents montés et moi même allons boucler les ruelles..Ce genre de gibier est véloce à disparaitre.

La nuit est venteuse, jouant des ombres balafrées d'oranges à la clarté des torches brandies.
On ne peut rater le Prevot entouré d'une clique ducale à couteaux tirés.
Pas mal d'amis de la Maire dans le lot.
S'ils tombent sur un Jargor tout seul la justice risque d'être expéditive.
Mais le Procureur-Brigand trouve bien plus amusant de voir le Curé de Chinon arborer un sourire sardonique et des envies de carnage.

Qui veut faire l'Ange, fait la Bête, PrinceduSud..Bon assaut..Et s'ils resistent, économisez les vies. La vermine est féconde, les bons tourangeaux sont denrée rare.

Rendez vous à l'aube! Haro! Haro!

Le palefroi l'embarque avec quelques éclats de pavé , suivi par sa troupe, droit vers une des rues cerclant les commerces de Loches.
Torches levées haut, arbalétes armées tandis que lui compte sur sa brigandine pour amortir un tir au but ..Chaque recoin est sombre comme la comptabilité d'un CAC.

Les Jargors ont formés plusieurs escouades , bien entrainées à ce qui lui semble. Il n'a aucune envie de tenter une attaque frontale avec eux.
Autant les amoindrir ici et la et poursuivre à grand bruit cette tactique propre aux cavaleries.
Faire se resserrer la pietaille, l'immobiliser.

Dans Loches les bottes et chausses de cuir tintent, les portes sont ouvertes d'un coup d'épaule, les bourgeois reveillés , chaque boutique fouillée.

Faire du bruit.
C'est ça l'idée.

_________________
Fingolfin
Chinon, nuit du 17 au 18 novembre

Pour comprendre cette histoire, il faut commencer par le commencement, bien que ce n'était pas vraiment là le commencement des choses. Ainsi, parlons un peu de Chinon. C'était là une ville paisible, du moins en général, les habitants passaient le plus clair de leur temps dans leurs champs, leurs échoppes ou en taverne à boire pour oublier leur ennuie. Ah non ! C'était là la vision de certaines personnes, seulement, Fingolfin était de celles-ci, il désespérait à trouver une ville où mêler échanges culturelles, armées de préférence, et bonnes ripailles, cultiver ses champs et travailler dans son échoppe avait plus allure de torture pour lui que d'activités ludiques.

Ainsi donc, pour en revenir à Chinon, c'était une ville paisible, du moins en général, en effet, il arrivait souvent que quelques Angevins ou autres marauds tentent quelques incursions suicidaires dans les terres alentours afin de piller les chaumières des gueux vivant à l'extérieur de l'enceinte de la ville. Parfois, avec de la chance, les marauds étaient plus intelligents et parvenaient à entrer discrètement en ville, certainement par quelques poternes cachées et oubliées depuis des générations, et tentaient de s'en prendre directement à la mairie. C'était pour ces évènements hauts en couleurs que Fingolfin avait choisis de s'installer dans cette ville frontalière, il était ainsi sûr d'avoir quelques activités de groupe à réaliser de temps à autre.

Cette nuit là, comme bien d'autres avant, Fingolfin savait qu'il y avait des risques d'attaques contre la mairie, il y avait bien trop de voyageurs inconnus venus de contrées lointaines. Ses soupçons, il les avait déjà émis plusieurs jours auparavant au maire de la ville, le conseil ducal, quant-à lui, était déjà au courant des risques depuis des semaines, pourtant, ni le maire ni le conseil ne daignaient réagir, tous préféraient de loin, semblait-il, économiser une centaine d'écus chaque jour que de s'assurer que les milliers d'autres ne soient pas empruntés par quelques vauriens. Vauriens et bons à rien ? Fingolfin ne pouvait s'empêcher de remarquer que les politiciens et les marauds avaient au moins un autre nom permettant d'écrire des poèmes avec des rimes.

Mais l'heure n'était plus à l'amusement, au beau milieu de la nuit, vers 4h00 du matin, alors qu'il dormait, il fut réveillé en sursaut par des cris provenant de la direction de la mairie, émanant certainement de quelques miliciens ayant compris que leur travail ne consistait pas juste à être payé à ne rien faire. Aussitôt qu'il fut réveillé, Fingolfin sortit de son lit et saisi immédiatement la dague sous son lit ainsi que son épée et son bouclier sur la chaise à côté de lui. Première chose qu'il devait faire, envoyer par pigeon une missive à son seigneur, alors dans sa baronnie de Vallères, afin qu'il vienne au plus vite pour aider.

Citation:

Mon seigneur,

Pardonnez moi, ou plutôt ce pigeon, de vous déranger en cette heure bien matinale, mais Chinon est menacée, des cris viennent de retentir, je pense que la mairie est prise d'assaut par quelques uns de ces voyageurs que nous soupçonnions de ne point être ici pour faire d'honnêtes échanges.

Venez au plus vite avec vos gens d'armes si vous le pouvez, me concernant, j'y vais de ce pas.

Fingolfin.



Pas plus de temps à perdre, une fois le pigeon envoyé et son équipement en place, il sortit brusquement en direction de la mairie, elle n'était pas bien loin, il lui suffisait de traverser le quartier Coudray pour s'y rendre. Néanmoins, avant cela, il s'arrêta devant la caserne pour alerter le veilleur qui ne semblait guère veiller grand chose.

Olà ! Soldat ! La ville est menacée et tu ne bouges point ? Cours donc prévenir tes supérieurs et ordonnes la prise des armes ! La Touraine est cible de pouilleux ! Nous devons les saigner avant qu'ils ne parviennent à trouver la sortie !

Étant connu à la caserne pour ne pas être clément envers les tirs au flancs, Fingolfin ne s'attarda pas, persuadé que les soldats allaient rapidement réagir et venir prêter main forte à la mairie pour empêcher les pilleurs de s'enfuir avec les biens de la ville. Quelques minutes lui suffirent pour se rendre à quelques pas de la mairie, tout semblait maintenant calme, trop calme, les miliciens semblaient s'être rassemblés en face du marché, dans la rue de la mairie, certainement pour éviter d'avoir à affronter les pilleurs venus en nombre. Ils avaient de la chance de ne pas être militaire... Au moins ils avaient fait ce que l'on attendait d'eux, alerter la ville, peut-être plus par couardise que par devoir, mais le résultat était le même. Ne voyant pas sortir les pilleurs et constatant que l'armée commençait à arriver menée par Zebracolor, Fingolfin se dirigea vers les miliciens.

Et bien, on peut dire que vous avez eu fort à faire dites moi ! Combien de ces gueux avez-vous occis avant de fuir comme des pleutres pour sauver vos misérables vies ? Avez-vous seulement essayé de voir le nombre qu'ils étaient lors de leur arrivée ?

Le jeune homme que Fingolfin regardait en parlant ne semblait pas des plus sûrs, il commençait à pâlir et à chercher le regard fuyant de ses compagnons, espérant y trouver un quelconque réconfort pour s'assurer qu'il avait fait ce qu'il fallait. Après quelques instants à regarder le sol puis la mairie, il prit courage et s'adressa à l'écuyer.

Me..Messire... Je... No... nous... n'avons pas pu les arrêter... euh, ils étaient trop nombreux, plus d'une vingtaine...

Pitoyable vers de terre... Ah ! Fingolfin aurait donné tous ses biens pour avoir à cet instant à ses côtés quelques valeureux guerriers prêts à mourir pour l'honneur de leur duché. Qu'importe, il attendrait son seigneur qui avait certainement déjà reçu missive de l’évènement. Après tout, ces pleutres de la milice pourraient servir pour l'assaut, les lâches sont toujours promptes à se croire fort lorsqu'ils sont accompagnés de gens de guerres. L'armée étant arrivée sur les lieux et commençant à encercler la mairie, dès que le baron serait là, l'assaut pourrait certainement être donné pour la reprendre.
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