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[RP-Fermé]Reconnaissance du daimyo

Kuan
Ouvert uniquement aux conseillers d'Oda. Il va de soit que tout ce qui se dit là ne sera connu que par les personnages présents. Le débat est donc à huit-clos, Rp parlant. Si des remarques à ce sujet, mp moi.


Waaaaaah ! C'est la bouche grande ouverte, et les yeux écarquillés que Kuan accueillit l'ouverture des portes du chateau. Un chateau, un vrai ! Non mais sérieux vous vous rendez compte ? Super bien décoré en plus, avec des gardes et tout, et tout tout plein de salles partout. Pour le coup il était cois le gamin. Un garde le dirigea vers une salle avec pour panneau indicateur "Reconnaissance du daimyo". Puis là, on l'installa à une table, et on lui donna un p'tit bout de papier avec une plume pour y écrire qui il voulait pour daimyo.
Le mioche fronça les sourcils et fixa la personne du regard.


Pasqu'y faut aussi voter pour y savoir c'qui le daimyo ? Mais y'a pas besoin, c'i s'ra moi !

Quelques regards perplexes répondirent à l'exclamation de voix du gamin qui venait de troubler le silence. Pis d'abord avant d'voter, faut y débattre ! Raah, savent rien ces adultes. Il grimpa sur la table, pour défendre ses valeurs.

Faut y voter pour moi, pasque moi j'y ferai qu'Oda ça y sera l'plus mieux de tout les kunis du monde !

Déclara-t-il fièrement. Y'avait rien de plus à ajouter, si ?
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Esculo
Depuis combien de jours qu'il essayait de passer les portes du chateau, depuis combien de jours il se faisait refouler chaque fois gentiment par les gardes ?

Mais puisque j'vous dis que j'vais pas l'piler votre château.

...

Vous avez pas un cousin garde à Kiyosu vous par hasard ?
*

Bref, aujourd'hui, c'est les mains dans les poches et en sifflotant que pour la centième fois, peut-être plus, il passa entre les gardes.
Mais là...surprise ! Ils ne l'arrêtaient pas.

Regard à gauche, à droite,...
La décision fut vite prise, il couru vers la cour intérieur.
Et se retourna en ricanant.
Mais là, il remarqua les gardes ne l'avaient pas poursuivi.
Le jeune homme s'arrêta d'un coups et fit demi-tour.
Il s'approcha d'un garde, les sourcilles froncés parce qu'il ne comprenait pas.


Dites ! Pourquoi vous ne m'arrêtez pas aujourd'hui ?

Bienvenue au château, conseiller-san.


Conséquoi ?

Il se frappa le front.Évidemment ! Les élections avaient eu lieu et il avait eu une place au conseil. Ça voulait dire qu'ils étaient au moins deux.
Il se fit emporter par un garde -ben oui, fallait bien profiter de sa nouvelle condition- jusqu'à la salle ou il faudrait reconnaitre le nouveau Daimyo.

Kuan était déjà là une plume en main, à se concentrer sur un bout de papier.
Après s'être renseigné, on lui dit qu'il fallait voter pour le Daimyo.


Encore ? Pff ca n'arrête jamais cette corvée. Bien plus rapide d'utiliser la force.


Il s'installa devant une table à son nom et écoutait ce que Kuan avait à dire. Après quoi il se mit à applaudir.

Ouuuaii bravo ! Vive Kuan I ! Il a raison !

Puis il glissa à un garde : Dites mon brave, z'auriez pas quelques jarres de saké en réserve ? Faut fêter ca.



*voir ([RP] "Si le Katana te démange, grattes toi le plastron" de LJD Axouni)

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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"
Nakayama
Nakayama dormait encore quand on vint la tirer de force de son grabas.

Hein!? Quoi?! Le juge a prononcé sa sentence?

Oui, il était tard. Mais ces jours-ci les Lézards assuraient la défense du Sô de Kiyosu. Fallait tout faire dans ce Kuni, taxer les routes, défendre les Sô et même les gérer!

Le juge? S'tu veux un juge, viens voter pour ton Daymio! Que lui clama le garde. A-t-on idée d'élire pareille andouille, qu'il ajouta pour son collègue. Heureusement pour lui, l'Écaillée ne l'avait pas entendu.
Voter? Elle avait déjà voté! Deux fois plutôt qu'une même. Elle enfila ses zoris et son kimono blanc, elle savait l'effet qu'ils produisaient, et traina ses savates jusqu'au Château.

[Quelques minutes plus tard...]

Une main en l'air signifia tant son arrivée, que la victoire, qu'une salutation à ses pairs. Elle allait les rejoindre quand on la stoppa net. Pour ne pas dire, asseoir de force afin de quérir son vote.

Elle fixa de son regard noir le coupable d'une telle brusquerie envers elle. Bien parce que Kuan avait besoin de son vote qu'elle ne lui fila pas la raclé de sa vie à lui. Non mais, déjà qu'elle avait été tirée du lit de force.

Redonnant son papier:
Y'a que Kuan pour être Daymio. Les autres sont tous des corrompus!

Puis, elle alla rejoindre les autres de sa liste.

Konni Kuan, 'sculo. Nee est arrivée?
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Togukawa_kadokawa
Il avait attendu ce moment avec impatience, tant il était las des dernières semaines passées. Certes, elles avaient été enrichissantes pour lui, passant tour à tour du poste de Juge à Intendant aux armée, puis Chef de Police, ensuite un petit peu Général, Intendant au Commerce aussi, poste qu'il avait apprécié par le travail quotidien avec le Daikan Shaee, cela le changeait des affres du chevelu orange. Il avait même fait un petit tour à l'intendance des mines la dernière semaine.

Du coup, il faisait le compte, et s'aperçut qu'il ne lui restait que les postes de Procureur, Daikan et Porte Parole pour être le conseiller le plus polyvalent du kuni.

Bien sûr, il restait le poste de Daimyo, qu'il avait d'ailleurs bien failli porter.

C'est donc le coeur léger que le Juge, enfin, l'ex-juge, enfin le multi-conseiller s'approche de la salle dans laquelle il leur faudrait reconnaître le Daimyo.
Chemin faisant, il se disait que le roux lui manquerait quand même, c'était un bon procureur, et bosseur. Le chef de Police Kimikiko aussi lui manquerait, elle était experte en la matière de retirer des plantes les bénéfiques essences, ce qui lui donnait un intérêt tout particulier.

Mais le temps passait, finies les conversations avec Bella, qui souvent se terminaient en concertation sur les actions à réaliser, fini sans doute les longues soirées avec la Daikan, à étudier la meilleure façon de faire prospérer l'argent et les denrées que le kuni avait réussi à sauver. Et il était assez fier d'eux, l'épisode de son fils renégat n'avait en fait que peu perturbé l'économie d'Oda, en tout cas moins que les batailles pour le poste de Daimyo qui avait immobilisé le conseil pendant presque une semaine.

En entrant dans la pièce, il eut un mouvement de recul, comme une envie de vérifier s'il ne s'était pas trompé. Etait-il au château ou au palais de justice ? Devant lui, ceux qu'il y côtoyait bien souvent, au palais de justice, ces mécréants et misérables lézards.

Gros soupir. Jamais il ne comprendrait Oda ! Jamais il ne comprendrait comment un peuple peut vouloir mettre au rênes de son kuni ceux qui le vident de ses richesses !
2 mois auparavant, il serait surement révolté contre cette décision. Mais les batailles internes qu'il avait connu dans le mandat précédent l'avait blindé de ce côté là, et il se contenterait de faire son travail, en surveillant de près les poches de ces filous là, histoire de vérifier qu'elles ne soient pas trop pleines lorsque le soir, ils regagneraient leur cloaque malodorant et malfamé.


Je vois que vous vous êtes bien empressé de prendre possession des lieux. Mais ne vous méprenez pas, le poste de Daimyo ne sera pas donné au premier sur les lieux, mais bien à celui que le plus grand nombre de conseillers auront choisi.
Rien ne sert donc de courir lézards !


Prenant place le plus loin possible de ces 3 écailleux, il prend sa plume et commence à calligraphier le parchemin mis à sa disposition.
Dans sa tête, il faisait les comptes, il essayait de peser les chances de ceux qui seraient candidats au poste de Daimyo. Rien n'était joué à l'avance,et il avait bien peur que la situation de la succession de Yawasshi-sama se reproduise.


Allons, soyons sérieux ! Votez pour un candidat sérieux, pas pour un gamin qui a tout à apprendre.

Un petit sourire se dessine sur ses lèvres.

Votez donc pour nous, et je m'engage à faire de ce petit monstre un homme, un vrai, qui sera aussi rusé qu'habile, aussi expert dans l'art de la guerre que dans le maniement des chiffres.
Bref, votez pour nous, et j'offre un avenir au morveux, un vrai !


Il savait que ces paroles étaient vaines, mais il avait envie de tester un peu ce qu'ils avaient dans le ventre et leurs intentions en ce lieu.

Allez, pour vous aider à prendre la bonne décision j'ajoute un joker. Pour votre prochaine condamnation et votre prochain séjour dans les geôles du château,je demanderai qu'on vous mette dans une geôle qui donne sur le Sud. Ces geôles là, baignées par le soleil, sont bien plus agréables, point d'humidité, de la lumière, et je crois même qu'on voit la mer depuis l'une d'entre elles.

Alors qu'il en a fini avec son vote, il reprend.

Avouez que cette proposition est alléchante, non ? Je ne vois pas comment vous pourriez la refuser !
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Kuan
Kuan descendit de son piédestal, sauta de la table donc, en voyant arriver le juge. Il lui adressa un sourire de petit diable, avant de balancer des réponses tout à fait logique.

J'y cours pas, regarde j'bouge pas.

Il désigna ses pieds avec un doigt, et releva la tête vers lui pour continuer.

On y sait qu'faut que tout le monde y vote pour y élire ! On y es pas bête nous !

Sous entendu, toi si.

Et j'y suis sérieux, et j'y sais tout plein d'trucs, j'parie t'y sais même pas !

Nianiania. Kuan lui tira la langue, avant de continuer dans sa lancée.

Mon avenir c'est d'y être daimyo ! Si tu veux m'y offrir un vrai, t'as qu'à y voter pour moi, pff.

Faut vraiment tout leur dire à ces adultes.

C'nul ta proposition. Pis d'toute manière c'trop tard, z'ont déjà tous votés pour moi !
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Ashikaga_yoshimasa
Battement des grandes portes laissant pénétrer sans opposition le devant du Château, bruissement soyeux d’un manteau sur marbre, crissement de portes glissantes sur elles mêmes alors qu’elle se faisait annoncer et craquement du sol en bois sous son pied… Le tumulte qui se répercutait dans la pièce, raisonnant contre les plafonds riches en sculptures, la plongea dans le plus grand des silences. Les voix s’élevaient, raffut joyeux de la part de ceux qu’elle aurait préféré ne jamais entendre le son si peu mélodieux à son oreille. D’un calme froid, Ashikaga no Yoshimasa insondable et enfermée dans un mutisme sacré, s’avança avant de s’incliner plusieurs fois devant l’assemblée comme devant le plus honorable des conseils. Traits inexpressifs et regard vide d’émotions, c’est avec un flegme olympien et une tranquillité étonnante qu’elle se présenta, toujours avec autant de semblant de respect :

- Konnichi wa noble assemblée, Watashi wa Ashikaga no Yoshimasa to moshimasu. Actuelle Intendante aux Armées par nécessité. Dozo yoroshiku, Hajime mashite.
Respect des traditions avant que tout...

Placide devant les visages les plus désagréables et déplaisant, elle alla prendre place auprès de Tokugawa no Kadokawa, dont la simple présence suffisait à relever la pénible existence des trois autres pour Yoshimasa. Son regard se fonda à celui du Senpai et l’interrogea en silence. Elle su alors qu’il avait fait ce qu’elle avait mandé. Ses yeux trainèrent ensuite sur les disgracieux personnages, tentant de mettre un nom sur chacun d’eux ne reconnaissant qu’un seul ; Kuan le « futur Daimyo », quant aux autres peut-être auraient-ils l’inamicale grâce de se présenter à elle. Fourbe, Saruta avait eut la honteuse malice de lui mandé à être reçu d’elle avant le résultat des élections. « Je ne me compromets pas avec le diable », avait-elle dit à son porte-parole. Une proposition disait-il par son intermédiaire, refus catégorique de sa part. La guerrière apprit alors qu’il proposait « sa voix contre la sienne aux élections du Shogun et un poste au conseil sinon il voterait pour les Lézards». Les finasseries avaient cependant leur limite. Dernier refus, jamais elle ne recevrait Saruta, si elle éprouvait une agréable condescendance pour les Vauriens de Lézard, c’est une froide haine et fougueux mépris qu’elle nourrissait pour cet homme. Les stratagèmes avaient leur limite dans l’honorabilité. Qu’il vote pour les pillards, cela était même préférable pour sa dignité.

Stratège, Yoshimasa l’était, Seigneur de la guerre plus que tout autre chose. C’était ainsi ici comme d’user de tactique militaire. Son combat contre les Lézards n’avait rien de politique, ils étaient sur un champ de bataille, et elle comptera sur son adresse et son habilité pour leur couper la route à tout pouvoir ou influence sur les lois et la sécurité du pays. Oda, royaume du vice… Pas avec elle vivante ! Elle croyait ni en leur volonté de rendre Oda florissante et une région ou il fait bon vivre. Depuis quand pouvait-on compter sur l’honneur d’un vaurien ?! Là étaient les pensée de la Chef Ashikaga, aucune place pour un espoir ou un doute quelconque. Chacun était ce qu’il était et jamais ne changerai. Obtus, logique et borné dans un sens logique et raisonné. Chan-Ly aura eu sa chance de redevenir l’homme certes simple mais juste qu’il avait été un jour. Il n’y avait cependant pas d’espoir, le choix avait été mit entre ses mains avec conscience, bien après que les votes soient ouvert en vérité, ce qui démontrerai son sens de l’honneur. S’il la haïssait pour l’avoir clairement déclaré inapte en tant que Général, elle ne le considérait aucunement un ennemi ni un adversaire. Aucun véritable respect ni dédain. Le vide, une incompréhension, lui qui souhaitait le bonheur des Fujiwara par le passé et qui maintenant les détruisait. Sa manœuvre s’arrêtait quand il s’agissait de perfidie. Stratège certes, vendue jamais !

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Kazuhiro_guidel
Les premières neiges étaient tombées sur Nakatsugawa, rappelant paradoxalement la fin du printemps blanchie, elle, par les cerisiers sakura. C'était comme si Oda s'était parée d'un manteau de paix, gelant les querelles aussi bien que les cultures.

Le samuraï daisho des Ashikaga se sentait étonnamment paisible en ce jour, et cela pouvait se refléter sur ses traits, lisses et francs comme s'il eut rajeuni et oublié les responsabilités pesant sur ses épaules.

Le Peuple les avait élus, le peule avait décidé de qui mènerait leur destinée pour les deux prochains mois... Quelques 43% pour Paix et Progrès, 35 pour les Lézards, 11 pour la liste divisée de Chan Ly et enfin 10 pour Saruta et sa clique. Ils n'étaient après tout pas si loin des 50%... Mais ils n'y étaient pas!

Humblement, il se présenta aux portes du palais du Daimyo, adressant un regard neutre aux gardes qui lui ouvrirent la lourde porte de la salle des négociations.

Il regarda autour de lui qui était présent et sourit en apercevant le jeune Kuan et lui adressa la parole.


Konnichi wa, Kuan-kun. As-tu réalisé d'autres chefs-d'oeuvres de crottes de nez récemment? Tu me les montreras?

Il hocha ensuite rapidement la tête vers les deux personnes qui lui étaient jusqu'alors inconnues, mais dont il se doutait qu'il s'agisse là des fameux Lézards...
Le peuple avait aussi voté pour eux, aussi surprenant que cela puisse paraître. Ils auraient donc eux aussi des tâches au sein du conseil, et il faudrait collaborer avec eux... Le jeune homme s'y était préparé et s'était promis de laisser de côté ses sentiments personnels, pour le bien d'Oda.

Enfin, Yoshimasa-sama et Kadokawa-dono étaient déjà en place, prêts à défendre les intérêts d'Oda, comme toujours... Cette scène le fit sourire malgré lui, alors qu'il s'inclinait devant eux avec la courtoisie qui était de mise. Il ne leur adressa cependant aucune parole, tant les regards échangés en disaient déjà long sur leur volonté commune de faire d'Oda une province prospère et protégée.


Konnichi wa vous tous.
Je suis Ashikaga no Kazuhiro Guidel, samuraï daisho des Ashikaga, pour ceux qui ne m'ont pas encore rencontré...


Il laissa à chacun le temps de porter attention à ses propos avant de continuer.

J'aimerais vraiment que ces deux prochains mois permettent à Oda d'être meilleure qu'elle ne l'a jamais été, mais pour cela, nous avons besoin de la volonté de tous.

Aussi vais-je d'abord m'adresser à vous, clan du Lézard, pour vous demander ce que vous souhaitez réaliser pour la grandeur d'Oda et pour sa prospérité...

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Général d'Oda - Samuraï Daisho Ashikaga
Ashikaga_yoshimasa
Respirant le froid et la neige, Guidel pénétra dans la salle de toute la splendeur que pouvait avoir un grand officier. Elle était fier de poser son regard sur un tel homme et de le dire Ashikaga. Cependant qu'il parlait elle hochait en accord avec ses paroles. Il y avait quelqu'un d'autre qui se devait de savoir qu'il était temps que l'on se montre raisonnable et de donner le mieux de soit pour Oda au lieu de bloquer inutilement pour un avenir pire ou meilleur. Yoshimasa entreprit donc d'écrire un long message qui lui prit du temps à une personne à qui elle voulait parler depuis un certain moment. Il était plus que temps.

Citation:
A Fujiwara no Chan-Ly,

Il y a longtemps que je souhaitais vous écrire. A dire vrai avant même les élections lorsque je souhaitais me rendre à la poursuite de votre armée. Projet abandonné lorsque vous avez accepté de rendre Kiyosu. J’allais remettre à plus tard ce courrier, une fois les élections complètement terminées pour tenter de vous faire entendre raison après que je n’eusse rien à retirer de vous pour vous montrer que je n’ai pas oublié le Chan-Ly du passé, mais pour débloquer Oda et la retirer des mains des pillards oui, j’ose vous écrire mais je dirai la vérité toute nue qu’elle vous plaise ou non parce que je ne joue ni le jeu de Saruta qui vous manipule si facilement ni des Lézards aux projets funestes car que croyez-vous qu’ils feront d’Oda ? Oui, je fais cela pour que vous votiez pour tout autre que Kuan. Si vraiment je vous répugne, ne voter pas pour moi mais ne voter pas pour un Lézards tel un pantin sans âme. Kadokawa, vous le connaissez, vous l’avait aussi déclaré votre ennemi, pourquoi ? Parce que lui aussi osait vous déclarer combien ce que vous faites est ridicule et insensé, parce qu’il se montrait franc ? Vous me haïssez, soit. Si je ne vous hais pas, je n’ai pas plus d’amitié pour vous. Nous ne nous connaissons pas, vous avez entretenu cette haine depuis que je me suis opposée à votre nomination comme Général et que je vous eusse déclaré inapte, ce qui s’est ensuite passé m’a donné raison. Non, ne m’insultez pas, ne prenez pas mal ce que je vous dis, faites appel à la logique et à l’objectivité juste pour ces quelques instants. Vraiment, réfléchissez à tous vos actes depuis, vous ont-il donné de la satisfaction un tant soit peu honorable et humaine ? Si nous avions des enfants, agirons nous ainsi face à leurs petits yeux innocents ? Direz-vous à vos propres enfants : « Insulte ceux qui te barrent la route ! Ricane, triche et mens ! ». Leur direz-vous vraiment cela ? Oui, j’use de belles paroles et de fais appel à vos sentiments parce que cette cause est juste et parce que je sais que vous êtes un homme de cœur malgré tout l’antipathie que j’éprouve à votre encontre pour votre incapacité à réfléchir par vous-même. Mes paroles sont dure, je ne flatte pas, je dis sincèrement ce que je pense comme juste, je peux me tromper mais je me targue de ne pas insulter mes adversaires et j’espère que vous conviendrez une fois de plus que je me montre franche avec vous, j’espère que vous conviendrez une bonne fois pour toute que si nous nous comprenons pas ce n’est pas une raison pour vous de faire le mal et de se rendre fourbe parce que ceux qui se font passer pour des « amis » le sont. Il est des ennemis de qui l’on apprend beaucoup. Et si on ne se comprend pas, rien n’empêche que vous fassiez le bien de votre coté selon la justice qui vous semble bonne.

Se me semble que le peu que j’ai aperçu de vous par le passé était un homme simple, pas très sur de lui mais qui écoutait et semblait être de bonne volonté, c’est la raison principale qui me fait vous écrire car si vous étiez un « Saruta » je ne prendrai pas cette peine. Je ne sais pas ce qui vous est passé par la tête. Que vous vous sentiez blessé par mon manque de considération et celui de mes compagnons est une chose. Que vous ne compreniez pas nos arguments pourtant logiques et fondés est une chose. Mais de là a suivre les paroles de Saruta, qui a commis des méfaits fort bien connu et publique en Uchi, au point que l’empereur à du lui-même intervenir. Vous êtes au courant n’est-ce pas que cet homme a vidé et affamé une ville d’Uchi, a usurpé pour cela le nom de l’empereur ? Vous pouvez le demander à ceux même qui administre le Japon et ils vous en diront la vérité, écrivez donc aux anciens d’Uchi. Si vous le savez et que vous êtes d’accord avec cela, alors vous avez bien changé. Mais de là à se lier dans le même temps aux Lézards qui pillent nos chemins, blessent nos habitants font des morts sur nos routes… Qu’est-il arrivé pour que de justicier vous deveniez un complice malfaisant ?! Avez-vous un but autre que de tomber dans une profonde vengeance de ne pas avoir reçu reconnaissance ? J’ai du recevoir vos insultes plusieurs fois. Pensez-vous que lorsque vous m’avez attrapé soudainement, avec des mots vulgaires, j’aurai du les accepter docilement en vous remerciant. Certes, peut-être que de ce mettre en colère et de s’offusquer n’est pas la meilleure des solutions mais vous ? Comment réagissez-vous lorsque l’on vous accuse d’une chose pour laquelle vous n’êtes aucunement responsable, juste parce que quelqu’un d’autre à écouter des paroles envieuses. Comme je l’ai dit à Bella lorsque vous étiez encore ami : « Chan-Ly aurait été parfait pour le poste de porte-parole et tout ce qui touche les relations humaines ». Mais pas pour diriger, voyez vous-même, pensez-vous dirigez plus qu’avant ? Soit vous avez une armée en main, mais est-ce vous qui la dirigez ou Saruta qui vous dit de faire ceci ou cela. Ne me dite pas que vous n’êtes pas avec lui, je sais que votre « brouille » n’est qu’apparence et que vous entretenez une amitié auprès des lézards par la volonté même de Saruta. Vous êtes à la fois dirigé par les Lézards et manipulé par Saruta. Moi j’ai tenté par le passé de vous réveiller, j’ai tenté d’allumer en vous votre instinct de mâle, je l’ai certes éveillé mais au lieu de prendre vos propres décisions et de réfléchir par vous-même vous vous êtes soumis à pire que l’autoritaire Yawasshi. Je suis bien la seule à ne pas avoir tenté alors de vous soumettre, je suis la seule à vous crier vos défauts et à démontrer mon incompréhension certes, n’y voyez vous pas une logique dans tout cela ?

Je me rappelle que vous vouliez la survit de votre famille. Que vous souhaitiez faire de votre mieux pour apprendre et travailler correctement au conseil. Mais parce qu’Iwa était mon amie vous l’avez poussé à la mort. Vous avez préféré pousser à la mort, indirectement, une fille de votre propre sang, que d’accepter ce qu’elle pouvait faire pour vous parce qu’elle était mon amie. Avec sa fougue et sa capacité de faire de vous tous une Grande Famille et de vous donner à tous du plaisir d’être ensemble par sa bonne humeur vous serez à ce jour avec un petit coup de pouce de ma part comme je l’ai fait pour Hosokawa, une famille affluente à ce jour et vous et vos frères auraient une position hiérarchique honorable, vous auriez eu toute la dignité qui vous était alors du mais qu’en est-il aujourd’hui. Après votre fraternité avec Saruta ? Il y un chef officiel Fujiwara mais ou est-il ? Que fait-il pour vous ? La mort d’Iwa m’a blessée, elle était la seule personne à qui je pouvais alors me livrer tel que j’étais et vous avez durcit mon quotidien et renforcé mon jugement sur vous. Je l’admets, cela vous fera surement plaisir de l’apprendre. Vous avez insulté ma famille, je sais le mal que vous avez prononcé devant la si jeune Ukiyoe. Cependant je ne me suis justifié de vos mensonges, je vous ai tous laissé crier « corruption, incapable… » sans rien dire, sans même prononcer une insulte en retour à votre encontre. Pourquoi me suis-je tue ? Je ne sais qu’une chose, c’est que je ne peux seulement pas m’abaisser à prononcer ce genre de diffamations. Et il n’y avait rien qui m’en empêchait car vous ne mettiez d’aucune utilité, j’aurai pu facilement vous réclamer justice. Je suis maintenant heureuse de ne pas l’avoir fait je suis suis fière de pouvoir ainsi dire de moi-même que je suis digne. Quant est-il de vous ? Est-il encore possible de vous la rendre d’une quelconque manière ? Il y a-t-il encore un faible trait de justicier en vous-même ? Je ne m’imposerai jamais à vous comme Yawasshi, Saruta ou un de ces Lézards. Je me permettrai peut-être encore et toujours de vous tomber dessus avec tous mes reproches, mes vérités si difficiles a avaler mais dans la correction il y a du bon. C’est sur mes fautes que mon père m’a fait grandir, je en connais que cet enseignement, veuillez m’en excuser. Mais j’espère qu’une bonne fois pour tout, vraiment, que vous comprendriez enfin ma façon d’entreprendre les choses. Ce n’est ni contre vous ni par mépris envers vous. Je suis ainsi avec tous et même plus encore envers les Ashikaga. Je leur révèle leur mauvais penchants, leurs défauts, leurs qualités, leurs capacités pour les faire grandir. Je me montre dure et pourtant je les aime plus que ma vie mais c’est ainsi que je conçois la croissance des miens et jusqu’ici cela a toujours marché. S’il est trop tard pour vous aujourd’hui, j’espère qu’il ne le sera plus pour la prochaine chance qui se donnera à vous. Cessez donc de gâcher ce qui est entre vos mains et soyez un homme, que l’on puisse boucler la bouche des gens et ne pas leur donner de quoi rire.

On te dira mille chose a propos de mes paroles, je ne vous direz pas de ne pas les écouter mais encore une fois encore de faire fonctionner votre esprit propre et de vous montrer un homme japonais, indépendant et Seigneur de lui même.



Paix et Progrès,
Ashikaga no Yoshimasa.


Remit à un serviteur, il fut envoyé expressément , espérant que Chan-Ly les rejoindrait tantôt et avec un esprit sensé.
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Chan_ly
chan entra dans la salle avec un regard noir envers certains qu'ils se prenaient pour ce qui n'êtes absolument pas avec leurs belles paroles et leurs prétentions a faire vomir une rate,il regarda tour a tour toute les personnes présentent,tiens la ashi qui est la,sourire carnassier en sa direction.

Il avait aucuns respect envers cette personne qui considérait comme une personne qui avait rien prouvait ni rien d intéressant, même ces mots glissé sur chan.

Il avait lu le courrier qui en disait long sur son manque de respect elle qui ce prenait pour au dessus des nuages ma parole elle se prend pour un kami maintenant.

enfin secouant la tète il se dit a lui même elle crois que je vais faire quoi la laisser diriger elle se trompe gravement tant que je serais dans se conseil je serais contre ces idées de despote et puis elle parle de saruta a croire quelle le prend lui aussi pour un kami,serait il la mode ?? non je ne pense pas.

Un point important lui revint en mémoire la mort de iwa tiens en quoi sa la regarde a elle .

Il pris le courrier quelle lui avait écrit et la regardant droit dans les yeux il lui répondit.

Chere vous gardez vos leçons pour vous s'il vous plait ici vous êtes au même niveau que tout les autres conseiller rien de plus .

Donc pour ma pars je ne voterai pas pour vous est ce clair??

Et je vous prie d'arrêter de donner des leçons vous pouvez les gardes pour vous et les employer a vous même arigato.

Il alla comme a son habitude ce mettre face a la porte et dans le coin de preference surotu pas lui tourner le dos

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Kazuhiro_guidel
Kazuhiro regarda Chan-Ly fixement alors qu'il s'attaquait uniquement à Yoshimasa et déversait sa rancoeur, causée sans doute par le chagrin, l'incompréhension, le besoin de vengeance ou... Il ne parvenait pas à déterminer quoi. Qu'est-ce qui pouvait donc motiver Saruta et Chan-Ly au point de voter pour Kuan? Le Lézard, et Kuan parmi eux bien qu'il ne fut qu'un enfant, s'était proclamé comme un clan de pillards et l'avait démontré à multiples reprises dans toute la province. Et Chan-ly aussi bien que Saruta avait pourtant voté pour eux.

Tandis que l'ancien général d'armée était allé se caler dans un coin pour se refermer encore davantage à la discussion, le jeune samuraï s'avança au milieu de tous et l'interpela.


Toi, Chan-Ly-san, que proposes-tu? N'as-tu aucune autre solution à nous proposer pour sortir de cette impasse? Que veux-tu, pour toi et pour Oda?

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Général d'Oda - Samuraï Daisho Ashikaga
Chan_ly
Chan leva les yeux sur l homme qui venait de l interpeller.

Ce que je veux? ou surtout ce que je ne veux pas déjà ces de voir un ashi daimyo et pour répondre a votre question pour Oda je pense que les lézards on autant de compétences que nous tous ici reunies.

j'ai discuter avec certains d entre eux et on se rejoins sur un point parmis d autres renfloué notre kuni et réparer les catastrophes passer.

Comme en autres avoir élue a la tète du kuni bella voila ce que je veux et croyais ce que vous voulez sur mon compte ni saruta et ni les lézards mon graissé la patte ma décision et tout simplement venu que je donnerais jamais plus ma voix a une famille sa ma servit avec les togu je vais pas faire 2 fois la même erreur.


Et user pas votre salive a continuer a m insulté avec vos parole je reviendrais pas sur cette decision

Ayant fini de répondre il se remis a penser a sa belle qui avait laisser loin labas,un soupire de lassitude lui sorti de sa bouche.


Vivement que le daimyo soit elu se dit il
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Ashikaga_yoshimasa
Il semblerait qu'il n'y en avait qu'un seul qui insultait ici. Quand il marcha vers elle, elle se leva. Déjà qu'elle était petite, elle n'avait pas envie de le paraître plus avec lui au dessus d'elle. Ayant tout juste le temps de s'incliner légèrement il était deja reparti au bout de la pièce et Guidel parla, mais ses paroles qui se voulaient conciliante ne furent nullement accueilli comme d'habitude. Pauvre Kazuhiro. Elle souhaitait cependant renseigner sur une chose:

- Ashikaga, Sous l'incompréhension générale elle répéta. Hai, mon nom est Ashikaga non "Ashi". Et -sama ajouté, je ne suis pas la fille du potier du coin de la rue.

Nouant ses mains derrière son dos, la jeune femme ne lui souriait pas ni ne montrait quoique ce fut d'expression mais si elle avait exprimé une émotion ce serait une vague exaspération. Le nippon semblait être envahit d'étrangers, ce n'était pas là des japonais, non impossible. Des chinois peut-être...

- Soit Chan-Ly, vous ne voterez pas pour nous. Vous l'avez répété, je l'ai bien comprit. Il serait en effet bien sensé de sortir Oda des catastrophes passées et étend donné que ce sont les lézards qui l'y ont mise il est bien naturel que ce soit eux qui réparent cela n'est-ce pas? J'espère qu'ils sauront reconnaitre en vous votre bravoure.

Hochement respectueux de la tête puis regard vers les autres personnages, représentant du Clan écaillé.

- Nous verrons tantôt quelles sont vos intentions.

Regard qui balaie la salle et un léger éclat défait dans son sombre regard qui se pose jusqu'à même sur les serviteurs. Sa voix eu l'intonation froide de celle qui en a assez d'être prise pour imbécile et s'assit.
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Esculo
Esculo était accoudé sur sa table, jouant avec sa plume. Le garde ne revenait pas avec le saké et après l'entrée de Nakayama la séance devenait pompeuse...pire qu'écouter un moine parler de la paix dans le Nippon.

Et vas y qu'j'écris dans mon coin des lettres, et vas y qu'j'm'annonce avec des titres bien long -c'était bien plus simple de s'appeler simplement Esculo, même si il savait pas d'où lui venait ce nom- et vas y qu'j'me chamaille.
Pfui, qu'il était bien plus simple de vivre au milieu de gens pauvres et sans titre, qui n'avaient de respect que pour celui qui était le plus fort.

Le petit moment de distraction avait été quand on avait parlé de "noble assemblée" en s'adressant même au Lézard. Voilà un nouveau titre à s'ajouter. Désormais quand il aurait trop bu de saké il se ferait appeler "Esculo au nez cassé le vil noble généreux".

Plusieurs fois on leur avait demandé ce qu'il voulait faire d'Oda. Esculo soupira en y repensant. A croire que les autres listes n'avaient pas lu leur programme, pourtant patiemment élaboré. Devait-il répondre ? Il jetait des regards désespérés vers Kuan et Nak', mais aucun signale ne lui fut lancé.

Il prit donc l'initiative de se lever.


Konnichi wa ! J'suis Esculo

Il se félicitait intérieurement, il n'avait même pas oublié de se présenter.

Oda nous appartenant, il n'y a pas d'autre Daimyo possible que Kuan.
Une grosse partie de la population l'a déjà compris.


Il se dirigea vers le centre de la pièce.

Après pour c'qu'on veut faire d'Oda c'est simple. On veut qu'il soit l'plus puissant des kunis.
Pour ca on restera pas sagement les fesses sur nos sièges de conseiller. Ha bah nan...vous croyez quoi ? On est des Lézards.


Il s'arrêta quelques secondes, jetant un regard vers la porte pour voir si le garde ne revenait pas avec son saké. Comme il n'y avait toujours rien, il soupira et recommença à parler.

Oui bon donc évidement, comme on est Lézard on utilise nos méthodes réprouvées mais confirmées, sauf qu'elles serviront Oda, comme nous n'avons jamais cessé de le faire, et seront légitimes pour les habitants du kuni.
Faibles comme vous êtes vous n'accepterez jamais nos propositions si vous avez les postes importants de peur d'vous salir les mains et l'honneur.


Le vil haussa les épaules, le seul honneur pour lui étant de finir sa journée en vie avec quelques kobans ou verres de saké en plus.

Vu la situation dans laquelle est notre kuni financièrement, c'est l'meilleur moment pour nous laisser le pouvoir et mettre en place nos méthodes. Vous n'aurez qu'à dire que c'n'est pas vous, mais l'Lézard.
Toute façon, vous avez déjà pris l'habitude de rejeter sur notre dos tous les maux du kuni.


Il s'arrêta et croisa les bras, attendant une éventuelle approbation.
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"Il n'y a ni bien ni mal, juste des forts et des faibles à l'instinct animal"
Nakayama
Il y avait longtemps que Nakayama avait décrochée. En fait, dès qu'le juge (il n'était plus juge, mais les premières impressions ont la couenne dures!)prétendit pouvoir mieux s'en sortir avec le futur Daymio qu'eux. Elle était surtout concentrée à détailler les différences entre eux tous.

Elle en revenait pas comment, d'abord, ces gens avaient des noms longs comme des chemins. Étaient-ils aussi tortueux? L'avenir nous le dirait.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle vit Esculo se lever. Elle l'écouta alors attentivement parler. À mesure que son discours avançait, son sourcil se levait. Puis, à la suite de la conclusion, le Lézard sembla chercher un appui dans leurs regards. Elle savait bien qu'il en avait dedans sous ses faux airs d'alcoolique. Elle ne put retenir plus longtemps son élan et ses mains partir dans un applaudissement à tout rompre;


Ouaiiiis! Bien parlé! Clap! Clap! Clap! Clap!
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Shaee
La jeune fille était entrée un peu après Kazuhiro-san, et avait pour une fois pu s'incliner, étant donné qu'elle avait les bras libérés des papiers habituels. Saluant chacune des personnes présentes, avec plus ou moins de respect, elle s'était assise dans le calme, attentive. Elle observait ces gens, qu'elle ne connaissait pas forcément très bien, mais avec qui elle allait pourtant devoir apprendre à travailler. Le silence retombé avec les applaudissements de Nakayama, elle décida de se lever, pour se présenter à son tour, et prend la parole.

- Konnichi wa à tous. Pour ceux qui ne me connaisse pas, je suis Shaee, habitante de Nakastugawa. Au Conseil durant la fin du mandat au poste d'IaC puis de Daikan, je pense pouvoir dire que je connais assez bien la situation dans laquelle nous sommes... et pour faire court, il nous faut travailler. Pour Oda, et non contre, comme nous sommes entrain de le faire.

Elle s'arrêta un instant, scrutant les visages, et se forçant à une neutralité. La jeune fille préférait éviter les longs discours assommant, voyant que déjà certains avaient décroché... Mais il fallait néanmoins parler de quelques petites choses.

- Avant de poursuivre, je tiens à souligner que je ne pense en aucun cas que vous, Lézards, soyez inaptes à être au Conseil, et à gérer Oda. Certes on peut se demander si vous voulez vraiment le bien du Kuni, mais le peuple à voté, et je respecte sa décision. Maintenant, je ne pense pas qu'élire un enfant soit une bonne idée. Il a tout le temps d'être formé, et en temps... de crise, comme dirait certains, Oda a besoin d'hommes et de femmes connaissant leur travail, et surtout, d'un dirigeant qui saura éloigner les éventuels rapaces qui voudraient fondre sur notre Kuni.
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"Il y a un art de savoir et un art d'enseigner." [Cicéron]

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