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[RP] Escale fruitière

Johanara
Un pique-nique à l’orée des grands arbres du verger… Quelle charmante idée avait eu là sa dame de compagnie.

Un peu de calme leur ferait à tous le plus grand bien! En effet , le grand étang aux abords de Sarlat avait bien failli leur servir de tombeau! La noyade fut évitée de justesse , mais hélas point la toux , féroce , rançon d’une baignade forcée dans la froidure des eaux du lac.

Aussi la Baronne toussaillait elle , ses longues anglaises flamboyantes tressaillant à chaque nouvelle quinte , sous le regard inquiet de la brune Sihaya.


Que nenni, je n’irais point consulter de médicastre! Et certainement pas en terre inconnue! Aristote seul sait quel charlatan ignare exerce ici!
Mon Duché n’est plus bien loin , cette satanée toux souffrira d’attendre quelques lieux avant d’être traitée!
Le Berry est réputé pour la virtuosité de ses mires, point de risque en mes terres d’avoir à faire à un de ses rebouteux sans discernement! Ils vous amputeraient la jambe pour vous soulager l’estomac!



Jetant à sa suivante un regard qui ne souffrait aucune nouvelle protestation , elle resserra les pans de sa pèlerine sur sa gorge d’albâtre , frissonnant encore au souvenir de leur méchef en Périgord!

Qu’on ne lui parla plus d’eau et de poisson! Elle qui vouait une incongrue admiration à la faune aquatique , collectionnant volontiers poulpe , anguille et autre bizarrerie marine , en avait ras la courge des moult incidents qui jalonnaient sa route depuis quelques temps.

Il y avait eu cette embuscade entre Eauze et la Saint Bertrand. Deux gibiers de potence avides de commettre quelque larcin qui avaient bien failli la défigurer. Puis cette partie de chasse où un ours avait manqué lui arracher le bras , lui laissant en souvenir une vilaine cicatrice sur son épaule gracile.

A peine la semaine écoulée que son coche avait de nouveau été arrêté par des brigands. Quatre cette fois! Les malotrus! les remugles de bauge! Vile truandaille!

Elle avait même chuté de sa grande échelle , cette dernière s’offrant le loisir de se briser en plein office!

Mais ce monstre titanesque, cet affreux poisson à la gueule aussi énorme que celle de ces chimères effrayantes décrites dans les légendes d’antan c’était la mésaventure de trop!

S’allongeant sur le plaid que ces gens avaient étendu sur l’herbe verdoyante, elle fixa l’azur de ses grands yeux jade y retrouvant l’écho des prunelles céruléennes de son compagnon.

Ce dernier vient à ses côtés. Se redressant pour lui adresser un sourire rayonnant , elle fut saisi , comme à l’accoutumée par la beauté de sa tournure et l’harmonie qui se dégageait de ses traits réguliers.


Et bien amour , quelle nouvelle catastrophe cette fois ? Tu n’irais pas me chercher un trèfle à quatre feuilles pour conjurer le sort? D’autant plus que cette guigne…

Point la peine de terminer sa phrase. Le sourire malicieux qui étirait ses lèvres purpurines suffirait pour qu’il comprenne.

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--Lechat


Citation:
Aristote seul sait quel charlatan ignare exerce ici!


Le chat parcourant les buissons, leva la tête à ces mots. Ignorait elle donc que son cher ami Dragonet excerçait parfois ses talents içi ? Elle pourrait prier aussi Aristote que son maitre ne puisse entendre cela, car nul doute qu'il la taquinerais sur le sujet.

Et le chat méphitique était du genre à rapporter ce qu'il entendait. Un tréfle n'y changerais pas grand chose en vérité.

Il huma encore une fois l'odeur de la jolie rousse, avant de disparaitre dans les herbes Haute, amusé par avance
Valezy
Le murmure de la bise qui effleurait d’une froide caresse le feuillage des arbres, résonnait vaguement à ses oreilles, tandis que l’azur de son regard se porta un instant sur le pâle soleil de février qui les baignait de ses timides rayons.

L’homme qui s’était assis sur le plaid auprès de sa compagne, était emmitouflé dans la chaleur toute relative d’un lourd mantel de cuir. Son teint était quelque peu livide et s’il n’était plus atteint des mêmes fièvres qui l’avaient saisi au Périgord, force était d’avouer qu’il aurait amplement préféré profiter de cette journée assis dans un fauteuil près de la chaleur d’un bon feu de bois.

Ses considérations, il les garda néanmoins pour lui, tandis que son esprit vagabondait vers les causes de son état… Une histoire somme toute banale…

Quelques jours plus tôt, ils s’étaient, en effet, retrouvés sur un frêle esquif afin de profiter des charmes du lac de Sarlat. Quand soudain, à leur plus grande surprise, un épais brouillard se leva sur la surface de ces eaux troubles pour les plonger dans une obscurité des plus tenaces.

Et c’est alors qu’une créature monstrueuse et colossale, telle qu’on aurait pu la croire tout droit sorti de quelques anciens mythes païens, émergea hors des eaux pour s’en prendre à leur embarcation et à eux même.

Bien entendu, il serait long et laborieux de décrire ici même, avec force détail, l’épique affrontement qui opposa en cet instant l’homme au Léviathan. Mais sachez que celui-ci fut long, acharné et sanglant, avant de voir l’incontestable et glorieuse victoire du Seigneur d’Antras et de Magnet.

Cette histoire était désormais sienne et il se sentait fin prêt à la raconter à qui voudrait bien l’entendre avec, à l’appui de ses dires, le cadavre empaillé de la bête qui, bientôt, sera fièrement exhibée dans la grande salle de son castel.
Dès lors, quiconque aurait l’audace d’avancer une autre version de ses hauts faits, en y parlant notamment de noyade, serait soit un affabulateur, soit une personne ayant une mauvaise compréhension des événements.

Tout cela lui rappelait d’ailleurs une toute autre histoire, quand sur le chemin qui reliait les bonnes villes d’Auch et d’Eauze, ils furent agressés par pas moins d’une bonne vingtaine de brigands aux mines simiesques et aux armes aiguisées…

Enfin bref, il en était donc là à prendre un bien légitime repos du guerrier.

Et à ce constat, ses prunelles se déposèrent sur la jeune femme allongée à ses côtés. Embrassant ainsi de son regard les boucles flamboyantes qui encadraient ce doux visage, dont le teint d’albâtre mettait en valeur avec délice ses lèvres incarnates et ses yeux de jade.

Il accueillit alors en un doux sourire les propos que déclama celle qu’il adorait tant…
Partir cueillir des trèfles à quatre feuilles ? Avait-elle donc vu l’ombre d’un turban sur son chef ?


Le sort… Pour ma part, je l’estime bien agréable ce sort qui m’aura donné le bonheur d’être aux côté de la meilleure des compagnes et de la plus belle des femmes.

Puis, comme pour mieux ponctuer ses propos, ses lèvres vinrent emprisonner les siennes en langoureux baiser, tandis que sa destre vint se déposer avec délicatesse sur son flanc…
Pour mieux pincer ce dernier avec douceur, car à n’en point douter la moquerie, qui était dissimulée derrière ses propos, méritait une juste réponse.

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Sihaya
Sihaya, passablement écoeurée des moult fanfaronnades éhontées du bellâtre Seigneur depuis sa noyade manquée, songea un instant qu'avec un coup de rame bien ajusté derrière la nuque, elle aurait pu l'aider à la réussir. Jetant un regard noir au vaniteux faquin qui enlaçait sans vergogne sa Dame, elle se leva et s'éloigna à la recherche des premières fleurs, quelques marguerites précoces peut être ?
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Dame de Compagnie de Johanara d'Ambroise, Baronne de Lignières et Dame de Saint Lys
Johanara
Tandis que Valezy lui pinçait délicatement le flanc pour la punir de sa boutade , ses lèvres singulièrement bien dessinées vinrent se presser contrer les siennes , offertes et carminées.

Sans être particulièrement appuyé , ce baiser lui donna le vertige et un éclair passa dans ses larges prunelles véronèses. Posant son front contre le sien , étrangère aux piaffements d’impatience du vieux cocher et aux soupirs exaspérés de sa suivante , elle effleura sa joue du bout des doigts.

Le premier aurait certainement préféré quelque taverne enfumée où noyer son ennui dans une chope de bière ou entre les bras d’une gourgandine plantureuse aux appâts envoûtants. Quand à la jeune fille aux longues boucles d’ébène , habituée à plus de retenue de la part de sa maîtresse , cette débauche de tendresse l’exaspéra sans doute au point d’aller se perdre parmi les hautes herbes ondulants doucement au souffle de la brise , comme une mer calme et sereine.

Devant eux , l’immense plaine s’étendait jusqu’à l’horizon , baignée par la clarté d’un soleil frileux.

« La meilleure des compagnes…» Ses pommettes prirent une ravissante teinte nacarat tandis que ces paroles martelaient son esprit. Il était adorable , toujours quelques attentions à son égard , un compliment sincère , un mot tendre susurré dans le creux de son oreille et qui au lieu de glisser sur sa peau, s’évaporant en mille brisures comme souvent lorsqu’un homme la flattait, se frayait un chemin jusqu’à son cœur frémissant et débordant d’amour pour lui.

Johanara ne savait si elle méritait véritablement cet éloge mais il était certain qu’elle était amante bien plus prévenante et moins égoïste qu’à l’accoutumée. Par le passé , bien que certains de ses compagnons aient possédés de grandes qualités, il y avait toujours eu un « mais » : Je l’aime mais … Il me rend heureuse mais…C’est un homme merveilleux mais…Autant d’objections qui ne pouvaient qu’inéluctablement mener à la rupture au vu du caractère passionné et impulsif de la jeune Baronne , adepte du « tout ou rien ». Et toujours cette peur viscérale de l’engagement qui la poussait à prendre ses distances dès qu’elle sentait menacée sa liberté chérie.

La jeune fille se rappelait ses infidélités d’autrefois , ses envies contradictoires, son éternelle insatisfaction.
Aujourd’hui la certitude d’avoir trouvé sa moitié remplissait son âme, Elle se sentait au coeur des aspirations qu’elle ne connaissait point auparavant et les projets d’avenir, loin de la rebuter, fleurissaient en son esprit.

Ses doigts longs et fins s’emparèrent du médaillon d’ambre viride qui sous les rayons de l’astre diurne diffusait quelques ondoyantes clartés sur le tissu chatoyant de la tunique du fier Seigneur. Tenant le pendentif au creux de sa main , elle adressa à son homme un sourire radieux. Lui qui affectionnait tant les fanfaronnades , pourrait se vanter sans mentir de faire connaître à une femme le bonheur absolu , l’amour dans ce qu’il a de plus beau , sans les affres et le désespoir dont il s’accompagne le plus souvent , le vrai , le sincère , le constant.

Jamais il ne la blessait ou ne jouait avec ses sentiments. Elle était traité en reyne par un homme qui avait tout du prince charmant, l’insolence désarmante en plus.

Ses yeux rendus limpides et étincelants par les douces pensées qui soulevaient son âme vinrent s’ancrer aux iris safres de son vis-à-vis. La robe d’or pâle qu’elle portait était généreusement décolletée si bien que son médaillon , reflet besson de celui logé en sa paume, était visible au creux de sa lourde poitrine.

« La meilleure des compagnes… » Oui elle s’efforcerait de l’être. Il méritait qu’on l’endorme dans un rêve sans fin. Il trouverait toujours en elle des bras réconfortants et une oreille attentive. Elle serait son soutien aux heures d’épreuves et jamais il n’aurait à rougir de voir son nom associé au sien.


Bel ange , si tu savais combien tout en moi t’adore et te chérit. L’amour s’écrit en six lettres désormais… Un V… Un A … Un L …

Mais déjà la jeune fille apercevait l’adorable chat noir qui disparaissait dans les fourrées. Délaissant son compagnon sans un regard , elle se précipita vers le buisson avec un miaulement qui tenait plus du hululement. Envolées les élucubrations romantiques!

Misère que les animaux avaient d’étranges effets sur la damoiselle qui continuait de miauler pour attirer le matou , à quatre pattes dans l’herbe verdoyante, seul son voluptueux séant émergeant des buissonades dans le flot vaporeux de ses amples jupons.

Viens là mon beau , viens frotter ton museau contre Tata Jojo…
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--Lechat




Citation:
Viens là mon beau , viens frotter ton museau contre Tata Jojo…


Il dressa l'oreille..Lentement il remua la queue, vieille habitude prise au contact de son maitre,restant indécis sur la conduite à tenir.

D'un coté, repondre à la jolie rousse, et lui frotter le museau pouvait avoir son charme. De l'autre il se méfiait des intentions de la Dame encore plus surement que la peste qui avait sévit en limousin. Il ne tenait pas plus que ça à perdre une de ses 8 vies restantes

Mais la Dame semblait plus prise par des humeurs amoureuses que par une quelconque animositée, et puis la voir ainsi à 4 pattes, le seant à l'air était en soi un signe de bonne volonté à ses yeux.

Certes il ne fallait pas avoir les yeux plus gros que le ventre, mais minauder restait sage.

Il prit le risque, et vint se frotter doucement à la jolie rousse, miaulant sa satisfaction, venant sentir les effluves de la chevelure de feu, indiquant trés clairement par son comportement qu'il ne verrait aucune objection à être pris dans des bras, si c'etait au contact de la poitrine de la Dame.

De sa langue douce et certes un brin rapeuse, il lecha le bout du doigt de la douce main (encore une particularitée des rousses à sa connaissance) , se demandant quelles contrées inavouables ceux ci avaient pu parcourir.

Tout celà n'était à vrai dire pas tellement des pensées de chat, et sans doute le pauvre animal venait il juste deposer son odeur ou mendier un peu de lait et de caresses. A moins que l'animal ne fut pas ce qu'il semblait être et que ses liens avec son maitre fussent d'une nature bien peu ordinaire et fort peu avouable.

Sans doute,, pour qui pouvait comprendre ses miaulements et ses frottements passionnés y avait il matiére à rèpondre à tout cela.
















Johanara
D’abord farouche , le joli chat resta à distance raisonnable. C’était sans compter le regard enjôleur de la Baronne et la douce fragrance de jasmin qui émanait de sa peau ivoirine et de ses longs cheveux rutilants.

Bientôt la méfiance s’évapora et il vint frotter son beau pelage fuligineux à l’or doux du tissu auréolin de sa toilette.

Un rire cristallin fusa dans l’air lorsqu’elle sentit la langue de l’animal chatouiller avec douceur le bout de ses doigts. Glissant sa main sur son échine , elle le caressa avec délicatesse , ravie de l’entendre miauler et ronronner.


Tu es mignon toi tu sais , tu es aussi doux que ce grand nigaud de Valezy qui déteste les chats!

Prenant le matou dans ses bras que remplissaient ses seins , elle plissa son nez parsemé de tâches de rousseur avec un sourire amusé en le voyant miauler de plus belle , jouant de ses pattes avec les entrelacs flamboyants de sa lourde chevelure.

Je t’emmène avec moi? Tu viens voir le Berry ?


Enfin ce n’était assurément pas un chat errant. Il devait avoir une jolie maîtresse qui l’attendait et qui aurait certainement le cœur brisé s’il venait à disparaître.

Et puis son beau rouquin n’aimait pas les chats …Quelle idée!

D’ailleurs il devait être en train de la chercher. Quelques instants déjà qu’elle avait disparu parmi les hautes herbes , s’adossant au tronc d’un pommier pour jouer avec le chat qu’elle taquinait à présent de son nez sur son fin museau rose avec un sourire rieur.

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Valezy
Le doux contact de sa main sur sa joue le fit quelque peu frissonner, tandis que Valezy s’abandonnait dans la contemplation de ses magnifiques et grands yeux verts. Aussi, en était-il là, à savourer le calme de cet instant passé près de cette jeune femme qui avait su devenir le centre de son monde. Ses sens se laissant, ainsi, bercer par sa voix et son esprit se laissant charmer par sa déclaration.

Quelle ne fut pas alors sa surprise quand sa compagne se détourna aussi subitement de lui pour aller vadrouiller aux alentours du verger tout en poussant de bien étranges hululements.

Allons bon, si dit il alors, voila que sa nature berrichonne reprend le dessus et qu’elle entame quelques obscurs et étranges rituels avec les esprits de la forêt...

Ou plutôt, en l’occurrence, avec un bien disgracieux chat noir… Comme si tous deux n’avaient pas suffisamment la guigne ces derniers temps, pour aller, en plus, partir en quête de quelques serviteurs du Sans Nom.

En retour à ce constat, et quelque peu renfrogné par la façon dont sa douce l’avait délaissé, le jeune seigneur haussa maussadement les épaules avant de s’affaler sur le plaid, avec pour seule et unique ambition… Celle d’entamer une petite, mais bien méritée, sieste.

C’est alors que Valezy s’en partit vers les rives de quelques pays lointains, où les songes seuls pouvaient se targuer de régner en maître. Car ainsi lové entre les bras réconfortants de Morphée, plongé dans l’un de ses mondes fantasmagoriques, nulle femme n’oserait lui retirer son attention et nul félin ne saurait exister.

Et c’est ainsi endormi qu’on le retrouva quelques longues minutes plus tard…

Car déjà, dans les cieux, le soleil avait entamé la chute qui verrait bientôt sa lumière s’éteindre pour ainsi laisser sa place au règne éphémère de sa sœur nocturne.

Se redressant alors, il prit le temps de s’étirer avant de se mettre en marche pour rejoindre la petite compagnie, non sans adresser, au passage, un regard boudeur à Johanara, qui pour la peine était réapparu sans le fameux chaton.
Très certainement, ce dernier s’était il rapidement enfui pour rejoindre ses propriétaires.

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--Lechat




Citation:
Tu es mignon toi tu sais , tu es aussi doux que ce grand nigaud de Valezy qui déteste les chats!


Le chat miaula de contentement,ce qui aurait pu se traduire en un langage plus humain...

si tu savais à quelle point ma jolie, ton nigaud ne serait plus un simple surnom, mais une cruelle constatation.

Mais cela ressemblait plutôt à un rrrrrrrrrrooooooonnnrrrrrrrroonnnnnnnnn des plus satisfaits.

Elle le posa sur sa peau, contre sa poitrine et le chat doucement se grisa de son parfum suave, de la chevelure diaphrane aux reflets ambrées, de ces multiples taches de rousseur qui lui evoquaient ces panthéres qui parfois se glissaient dans le lit de son maitre.

Il ronronna de plus belle.


Citation:
Je t’emmène avec moi? Tu viens voir le Berry ?


l'idée etait tentante. Il s'imagina déja les pires tours qu'il pourrait jouer seigneur de son coeur pour lui faire prendre ses jambes à son cou et la garder pour lui seul.

Mais il avait une mission à accomplir en l'abscence de son maitre, surveiller le limousin et accomplir ses desseins.. le plaisir viendrait aprés.

A regret, il echappa des bras de la dame, prenant un air faussement éffarouché, lui jeta un long regard triste à damner un saint, puis disparu dans les herbes, bien décider à lui rendre visite prochainement.
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