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Info:
boulangerie de sirena. rencontre avec sa fille adoptive.

[RP] La boulangerie de Sirena

Sirena
Depuis quelques mois, Sirena avait laissé tomber son métier de charpentier pour une jolie boulangerie. Elle avait choisi un endroit près du centre du clan où tout le monde passait. Elle avait bien l'intension de vendre de nombreuses tortillas et certaines avec des gouts assez originaux.

Hier elle avait travaillé toute la journée dans sa boulangerie pour faire une fournée de tortillas afin de fournir la nouvelle taverne de Guyhom. Elle avait pris grand soin de les faire particulièrement bonne et leur forme était très régulière...

Le soir venu, après avoir envoyé balais à la taverne avec quelques tortillas, elle ouvrit la porte de sa boulangerie avec une affiche sur la porte affichant les tarifs en vigeur. Elle espérait bien vendre son stock afin de retravailler le lendemain dans ses fourneaux.

Mais le temps passait et les tortillas se vendaient doucement... Dommage elle n'aurait pas assez de Quachtlis pour acheter de la farine et du bois... Elle se décida alors à laisser le magasin aux soins de serpillère et d'elle, aller travailler à la mine pour gagner un peu d'argent....
Ralthea
Ralthéa attirée par la bonne odeur de tortilla chaude, vint voir ce nouvel endroit qu'elle n'avait encore jamais remarqué. Elle admira un instant les tortillas qui produisaient ce parfum et qui avaient conduit ses pas devant... Serpillère?! Non!pas possible! Le tyran se serait il donc mis à la boulangerie? A moins que l'esclave est réussi à garder du temps et des qualchis pour s'adonner à ce labeur?
Ralthéa se décida à demander:


Hé toi! Tu les vends les tortillas? Et combien? Qui les a fabriquées? Elles sont sorties du four depuis quand?

Il n'était pas question que la jeune femme se fasse embobiner sur la qualité de marchandises qui se devait d'être fraîche.
--Serpillere


Serpillère n'eut pas le choix que d'obéir à la femme de son maitre. surtout qu'elle avait le fouet facile...enfin bref...toujours mieux de vendre des tortillas pour leur compte plutôt que d'essuyer le vomi de leur fille...la porte s'ouvrit et:

Hé toi! Tu les vends les tortillas? Et combien? Qui les a fabriquées? Elles sont sorties du four depuis quand?


L'esclave répondit aux questions:


Oui maitresse je les vends, sinon je ne serais pas ici à faire le piquet. et c'est ma maitresse Sirena, femme de Guyhom qui les a fabriquées, de ce matin. Donc oui elles sont fraiches. vous en voulez?
Ralthea
Oui maitresse je les vends, sinon je ne serais pas ici à faire le piquet.
Ralthéa haussa un sourcil à la remarque un tantinet insolente. La prenait il pour une idiote à préciser qu'il vaquerait ailleurs en cas contraire? Seul un esclave côtoyant le tyran pouvait prendre ses aises à répondre ainsi, à une étrangère qui plus est.

et c'est ma maitresse Sirena, femme de Guyhom qui les a fabriquées, de ce matin. Donc oui elles sont fraiches.
Conclusion que Ralthéa aurait pu faire elle même, le début de la phrase aurait suffit. Cette précision fit d'autant plus fuir l'humeur dépensière de la jeune femme. Ha décidément cet esclave là ne connaissait pas l'art de parler pour ne pas faire fuir les consommateurs susceptibles.

vous en voulez?

La question la plus importante n'avait trouvé aucune réponse auprès du bon à rien qui tenait la boutique de la mère des tornades de Mazapa. Aussi à ces derniers mots, Ralthéa finit d'emballer la réponse acide qui murissait dans sa gorge pourtant si calme d'habitude.

Si j'en veux? En acheter sans connaitre le prix de base fixé? Tu me prend pour qui?

Ralthéa sent ses yeux rouler de dépit dans ses orbites. Puis prenant un ton plus pédagogique elle poursuit:

Et comment on marchande si on n'a pas de base pour marchander? Comment on fait pour baisser le prix de moitié, sans prix du tout? hein?!

Puis se rappelant à qui elle parle, Ralthéa prend un air plus hautain, et enchaine:


Et d'abord il n'y aucun plaisir à marchander avec un mâle esclave depuis si longtemps qu'il n'a pas le courage ni la permission de baisser le prix pour gagner un client. Un esclave qui a abandonné le combat pour sa liberté n'aura jamais l'audace de vraiment "jouer" sur les prix de ses maîtres par peur du fouet...
C'est pas rigolo de lancer un combat comme ça!


Faisant mine de se détourner, mais regardant du coin de l'œil l'effet produit et essayant de juger la réaction du mâle qui lui faisait face, Ralthéa se demanda s'il se lancerait contre toute logique dans un combat oral pour défendre les prix de sa maitresse, ou si prit d'un soudain accès de testostérone il lancerait le débat pour se prouver quelque chose à lui même, ou si enfin il appellerait sa maitresse à la rescousse, ne faisant pas face de lui même à une situation conflictuelle.
--Serpillere


Si j'en veux? En acheter sans connaitre le prix de base fixé? Tu me prend pour qui?

Houla une cliente difficile...pourquoi c'était toujours à lui de gérer les cas comme ça...

Et comment on marchande si on n'a pas de base pour marchander? Comment on fait pour baisser le prix de moitié, sans prix du tout? hein?!


ben voyons...baisser les prix...marchander...aucun souvenirs que la femme du tyran ne lui ait donné ce genre d'instructions de bisounours...il connaissait bien ses maitres et en plus il avait vu Sirena afficher les prix sur la porte...

Et d'abord il n'y aucun plaisir à marchander avec un mâle esclave depuis si longtemps qu'il n'a pas le courage ni la permission de baisser le prix pour gagner un client. Un esclave qui a abandonné le combat pour sa liberté n'aura jamais l'audace de vraiment "jouer" sur les prix de ses maîtres par peur du fouet...
C'est pas rigolo de lancer un combat comme ça!



pffff la bêcheuse...lui il préférait être esclave du tyran et ne pas se préoccuper du lendemain, à part une seule chose: est ce que son maitre le tuera ou pas pour une cérémonie religieuse. il en serait fier en plus...il répondit à la cliente difficile:

Maitresse, d'abord les prix sont affichés à l'entrée. si vous ne les avez pas vu c'est qu'il vous faut consulter le guérisseur hoptikdemil.

ensuite je n'ai aucun ordre pour marchander. je vends à la place de ma maitresse sirena aux prix qu'elle a indiqué. et enfin, je suis esclave et donc de ce fait est habitué au fouet de par mon maitre tyrannique. donc je m'en fiche. J'ai jamais été libre et très franchement ça ne me manque pas. au moins je suis nourris, logé et habillé par mon maitre. cela me suffit.

alors, vous prenez quoi? combien de tortillas? si vous êtes pas contente, allez vous plaindre à qui de droit.


L'esclave attendit patiemment soit le départ de la femme soit l'achat de tortillas.
Ralthea
Maitresse, d'abord les prix sont affichés à l'entrée. si vous ne les avez pas vu c'est qu'il vous faut consulter le guérisseur hoptikdemil.

Ralthéa tourna le regard de tout cotés et ne remarqua aucune affiche ni même marque sur quelconque mur, plancher ou étalage que ce soit. Son regard perçant ne l'avait encore jamais trompé, et si inscription des prix il y avait, cela devait être fort bien dissimulé

ensuite je n'ai aucun ordre pour marchander. je vends à la place de ma maitresse Sirena aux prix qu'elle a indiqué. et enfin, je suis esclave et donc de ce fait est habitué au fouet de par mon maitre tyrannique. donc je m'en fiche. J'ai jamais été libre et très franchement ça ne me manque pas. au moins je suis nourris, logé et habillé par mon maitre. cela me suffit.

Ralthéa était fixée. Il ne marchanderait pas et s'en tiendrait à l'échange prescrit par sa maitresse. Aucun intérêt. Un esclave aussi bien coucougnié ne prendrait pas le plus petit risque de se voir retirer ce qu'il avait déjà acquis.

Alors, vous prenez quoi? combien de tortillas? si vous êtes pas contente, allez vous plaindre à qui de droit.


Se plaindre? Mais pour qui la prenait il? C'était un guerrière, pas une pleurnicheuse de première classe!
Sans même perdre de temps à répondre à cet insolent impatient de retourner à son farniente en attente de client, Ralthéa releva le menton, tourna les talons et alla voir un peu plus loin si le passe temps de marchandage serait au rendez vous ce jour là.
Sirena
Sirena retourna à sa boulangerie en espérant que tout aurait été vendu et qu'elle pourrait s'acheter le dernier pagne à la mode (bien transparent pour que Guy puisse l'apprécier...)

En chemin elle croisa Ralthea qui grognait des choses incompréhensibles et Sirena se demanda ce qui n'allait pas chez elle. Elle n'osa pas la déranger et comme celle-ci ne l'avait pas reconnue, Sirena continua son chemin.

En arrivant à la boulangerie, Sirena demanda un résumé des ventes à Serpillère....


Bon alors t'as tout vendu?
Non rien, elles sont trop chères vos tortillas maitresse.
Comment ça elles sont trop chères, mais c'est les moins cher de tout le clan!
Ben moi j'en sais rien, mais personne ne veut en acheter de vos tortillas...


Sirena en colère contre l'esclave et pensant que celui-ci avait du empêcher la vente des tortillas pour pouvoir les manger une fois séchées et invendables lui cria dessus.

ON NE PEUT PAS TE FAIRE CONFIANCE! Tu vas voir si tu vas continuer à désobéir aussi longtemps!

Sirena attrapa un bâton et en donna 5 coups à l'esclave qui tomba à terre.

La prochaine fois, tu vendras toute la fournée sinon tu auras le double de coups.

Sirena regarda alors sur la porte de la boulangerie et se rendit compte que la feuille qu'elle avait affichée n'était pas la bonne.... Zut alors pour cela que personne n'avait acheté les tortillas... Pas grave, ça à quand même fait du bien à l'esclaves quelques coups de bâtons.

Sirena retourna dans la boulangerie afin de prendre la bonne affiche et de l'accrocher sur la porte.


ICI TORTILLAS FRAICHE A 6,40. PAS DE NEGOCIATIONS POSSIBLE!
Lya
Lya s'était levée tôt ce matin, on lui avait dit que les meilleurs tortillas se cuisaient à l'aube. La petite tisserande de Zoto, c'était enfin décidé :" en rentrant chez-moi, je change de métier."
Il lui fallait un métier plus actif.
Elle ne connaissait pas grand chose à la méthode de cuisson d'un tortilla, mais sa mère, elle, devait être une excellente tortilleuse. C'est avec l'intention qu'elle lui donne des trucs que Lya avait décidé de lui faire une petite visite à sa boulangerie.

Elle passa le seuil de la porte et huma la merveilleuse odeur que les tortillas dégageaient en cuisant.


Hummmmm! Que ca sent bon!
nāntli, tu es là?

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Sirena
Il était tôt, le soleil ne s'était pas encore levé mais Sirena était déjà dans sa boulangerie au travail. Le front couvert de sueur, elle préparait ses fourneaux en y mettant des morceaux de bois qu'elle avait acheté la veille au marché.

Hummmmm! Que ca sent bon!
nāntli, tu es là?


Lya était venue comme elle l'avait dit et Sirena lui adressa un grand sourire.

Alors tu veux toujours apprendre le métier, je suis très fière que tu m'es choisie pour te guider.

Sirena prit la main de Lya et lui montra le four garnit de buches pour le feu puis elle l'emmener dans un autre coin de la boulangerie où il y avait une grande table couverte de farine...

C'est ici que je fabrique les tortillas... regarde bien le geste et après tu pourras le faire aussi.

Sirena attrapa un peu de pâte et la pétrit doucement et avec un geste assuré, elle forma un tortilla.

Voila essaye maintenant....
Lya
Lya répondit au sourire de sa mère.

Alors tu veux toujours apprendre le métier, je suis très fière que tu m'es choisie pour te guider.


Un signe de tête était suffisant comme réponse, puisqu'elle lui prit sa main et la traina à l'arrière place.

Lya la regardait faire, scrutant tout ses gestes. C'est qu'elle se devait d'apprendre et rapidement la technique, pour être la meilleure, mais aussi parce qu'elle devait repartir pour son clan, la nuit qui venait.

Lya était minutieuse, curieuse et observatrice ce qui l'aidait dans ses apprentissages.

Voila essaye maintenant....

Hésitant à prendre déjà place, elle se lança, incertaine de ses capacités, à la tâche. Elle tenta de répéter les mouvements de sa mère, plaçant ses bras, ses mains et même ses doigts de la même façon que celle-ci, jetant un regard à son enseignante, pour être certaine qu'elle approuve tout ses gestes.
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Sirena
Sirena regardait sa fille avec le sourire. Elle était très douée, surement avait-elle un don car ses tortillas étaient parfaites.

Bravo, tu te débrouilles très bien. Tes tortillas ont une plus belle forme que les miennes!

Sirena laissa Lya finir la pâte puis elle lui dit :

Maintenant, on va les mettre à cuire.

Sirena plaça les tortillas sur une grande plaque délicatement puis plaça la plaque dans le fourneau où les buches brulaient pour former un grand feu.

Voila maintenant il suffit d'attendre... Et si tu veux je peux te montrer comment on fait la pâte. J'y rajoute un ingrédient secret que je veux bien te révéler.
Lya
Lya était fière aux dires de sa mère : plus belle forme que les siennes. Tout un honneur pour elle que de se savoir douée à une tâche qu'elle n'avait jamais daigné d'essayer. Pour Lya, les tortillas servait d'accompagnement, elle ne s'était jamais intéressée à savoir comment les faire.

Les fourneaux chaud, la pate ronde cuissait et dégageait une odeur qui la faisait saliver.

Voila maintenant il suffit d'attendre... Et si tu veux je peux te montrer comment on fait la pâte. J'y rajoute un ingrédient secret que je veux bien te révéler.

Oh chouette!

Lya était contente d'avoir l'ingrédient secret de sa mère. Ceci prouvait à quel point, Sirena lui faisait confiance.

La tradition de la famille pourrait se goûter même à Zoto.

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