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[RP] Provocations...

--Eishao

[Shogunat des Ashikaga]

Par une nuit pluvieuse et obscure, lorsque le vent soufflait, que les frileux se crispaient chez eux, un martèlement familier de sabots équestres se fit entendre... Fougueuse monture qu'était celle-ci, rapide et bruyante, guidée par un cavalier aussi pressé qu'impitoyable. Malgré l'humidité évidente de l'air, la pauvre bête écumait d'épuisement, sa respiration saccadée secouant chaque parcelle de son corps. Lorsqu'enfin elle s'arrêta sus l'ordre de son maître, le type - vêtu de loques brunes et crasseuses - mit pied-à-terre. A sa main, un étendard qu'ils reconnaîtraient aisément. D'un geste brusque, il le planta profondément dans la terre molle, non loin du sentier qui menait au vaste domaine... un message y était inscrit, à l'encre rouge, d'une main toute aussi malhabile que prétentieuse :

Citation:
Pourceaux infâmes,

Ailisha, tendre femelle que vous chérissez si précieusement, a été capturée par nos hommes. Peut-être la retrouverez-vous. Peut-être pas. Tout dépendra de votre chef, Yoshimasa, qui dans sa couardise refusera sûrement de venir la chercher...

Le Clan des Lézards.


Tout fier de son piteux message et de son grossier traquenard, l'homme repartit sans plus attendre, certain qu'ils tomberaient bien vite sur les écrits... après tout, c'est ce qu'on lui avait dit d'faire...
--Genshi_goretirasu


    Pattes feutrées sur la terre humide se faisant discrètes, soudainement la silencieuse âme attrapa une branche sur laquelle elle demeura accroupie dans un mutisme sacré. Son regard scrutateur épiait le chemin sur lequel raisonnait le bruit de sabots. Un homme fit soudainement irruption sur le loin et la Sentinelle recula dans les branchages. Rien ne pouvait se percevoir dans cette nuit de pluie... Un sifflement, une réponse et il savait déjà que son compagnon l’avait aussi entendu, cette indiscrète arrivée.

    Puis son regard se porta vers l'intérieur de la forêt et en fouilla l'ombre. Une lueur à peine perceptible au travers des pleurs, elle aussi perchée sur un arbre se montra, plus proche. Sur un signe, les deux rôdeurs sautèrent lestement au sol et décampèrent soudainement. Prenant de la vitesse dans une course silencieuse, ils filaient aux travers des arbres et leurs pieds touchaient à peine la terre moelleuse. En parallèle, le cavalier les dépassèrent sans les remarquer à l'abri qu'ils étaient au milieu de la nature touffue.

    Quelques minutes plus tard, la fin des arbres se révéla et Genshi Goretirasu ralenti. L’autre Sentinelle de Sable, ne se percevait plus mais il le savait non loin sur la partie Ouest alors que lui se trouvait plus à l'Est. Maintenant au pas, il s'immobilisa ensuite pour fixer le devant, là ou l’homme semblait trafiquer. Il dévisagea son visage pour ne jamais l’oublier et suivit chacun de ses gestes. Et reconnu l’emblème sur l’étendard. Une envie de foncer, de sauter… De tuer. Mais il demeura immobile, ne respirant presque pas.

    Enfin, lorsque l’homme à l’allure hirsute s’en alla, il sorti très lentement de la forêt, se signalant aux autres Sentinelles de Sables demeurées cachées. Son camarade se fit voir de même en face et ensemble s’approchèrent de l’objet comme s’ils avaient a faire à un animal démoniaque. Genshi, était vêtu de cuire et de tissus noirs des pieds à la tête, rien ne signalait son appartenance aux Ashikaga si ce n'est le symbole d’or gravé sur la plaque de fer de son front et sa seule arme apparente était un arc qu'il endossait. Il était le danger et la méfiance. Puis vivement d’une main il s’empara du message et faisant signe à ses camarades, toujours dans un silence de mort, il se précipita au Domaine.

    Une fois arrivé, le Maître Daisho et le Lieutenant furent instamment avertis. Au dessous des remparts, prêts des portes, des regards furent échangés et Genshi s’écarta avec humilité pour les laisser parlementer tranquillement sur la façon d’agir. Le Seii' n’étant pas présent, que décideraient-ils ? Le Sable et Or s’attendait à être renvoyé dans la minute même pour faire avertir Ashikaga-sama du grave évènement. Mais soudainement un bruit de sabot se fit entendre aux Portes. Soulagement, et inquiétude à la fois se lu sur tous les visages. Une période sombre s’annonçait alors que la reconnaissance du Daimyo venait à peine d’être proclamée…


__________________
Ashikaga_yoshimasa
    Ombre, ombre... Tu n'es qu'ombre !
    Et moi Aube, qui par tes ténèbres attirée,
    Je ne puis que crier ;
    Ombre, ombre, tu n'es qu'ombre !


    La pluie lui glaçait le sang. Sa chaire noblement blanche laissait s’écouler sur ses traits l’amante trompeuse. Elle s’insinuait dans son col, refroidissant son corps et caressait son cou de frissons de mort. Trempée, chevauchant dangereusement, la jeune femme aperçu le domaine mais sa vu ne la soulageait pas. Les deux pierres noires de son regard luisaient et fixaient le lointain comme l’aigle qui avait trouvé sa proie. Une gêne ne l’avait quittée au creux de ses reins depuis qu’elle avait entamé le chemin au travers de la forêt, il lui fallait être auprès de sa famille au plus vite. Leur chaleur… Yoshimasa tourna la tête vers son arrière droite, puis sur son arrière gauche. Son escorte suivait. Eux aussi inquiets mais à cause de la pluie et de l’allure. Ils allaient trop vite, un seul faut mouvement et ils se retrouveraient écrasés par leur monture. Mais voici que les portes s’élevèrent devant eux, la guerrière fit stopper brusquement Ebène qui hennit sauvagement pour montrer qu’elle n’aimait pas ça. ‘Shima quant à elle, pour une fois n’écouta pas et sauta avant de se ruer à l’intérieur. Les regards qui se posèrent sur elle en disaient long mais sa servante qui arrivait à petits pas pressés la détourna pour lui remettre un vélin orné avec un fort raffinement. De même l’un de ses hommes lui remit un message, mais sur celui-ci semblait s’écouler le sang. Ses yeux en parcoururent les brèves lignes. Ses traits se durcirent, cependant elle ravala la colère qui voulait s’insinuer. Sa voix, dénuée d’émotion appela :

    - Genshi !
    - Maître? …
    Tête et corps qui s’abaissent.
    - Trouves moi le lieu où ils se lézardent… Elle se retourna vivement vers lui. Tout de suite !
    - Hai Ashikaga-sama !
    Et il disparut.
    - Riyu ! Atsuhito ! Mobilisation !

    Alors qu’elle s’en allait pour former ses troupes, elle s’aperçut de l’autre vélin qu’elle tenait écrabouillé dans son autre main et l’ouvrit distraitement en marchant vers le Bakufu. Elle était Daimyo depuis maintenant plusieurs jours et on lui mandait de venir encore aujourd'hui en salle de réunion pour participer à de nouveaux débats… Le laissant s’échapper de ses mains, le message retomba sur le sol sans qu’elle y jette un coup d’œil de plus tandis qu’elle pénétrait dans le bâtiment. Les mots la félicitant disparurent peu à peu et moururent sur le sol détrempé. Yoshimasa avait faillit perdre une sœur, elle avait remué ciel et terre pour la retrouver et maintenant Ailisha qui bientôt devait épouser un Hosokawa… Mais ce n’est pas la rumeur d’un quelconque déshonneur qui pourrait alors courir sur la vertu de sa cousine qui l’emplissait d’effroi mais plutôt qu’il n’y ait plus souffle de vie en elle lorsqu’elle la retrouverait, car elle la retrouvera !

    « Consolez moi, prenez moi dans vos bras… Sauvez mon âme effrayée, ne m’abandonnez pas ! » Une main vint se poser sur son épaule. Levant les yeux, Yoshimasa vit dans le regard d’Atsuhito le plus fidèle des soldats. « Jusqu’à la mort Honorable SeiiTaishogun ? - Hai… Jusqu’à la mort Atsuhito ! »



    Citation:
    Mon Maître,

    Nombre de reptiles se cachent de la pluie sous les pavillons Kiyosiennes du coté plein sud. Deux quartiers vulgairement infestés au dernier tournant. Venez en armes et en nombre, je vous rejoindrai à votre arrivée aux portes de la ville. Ville bien calme, comme s’apprêtant à un combat…

    Votre dévoué Serviteur,
    Genshi.


    Plusieurs heures après alors que l'après-midi prenait fin, alors que la pluie avait cessée et que trois groupes avaient été formés, le message de Genshi arriva par le petit faucon brun et roux qui fondit sur elle pour lui délivrer les renseignements. Pas lents de leurs montures, son regard se porta à nouveau sur sa droite comme elle l’avait fait auparavant puis sur sa gauche. Mais cette fois ce fut pour croiser le regard d’ Ashikaga no Kazuhiro Guidel, son Samurai-Daisho et d’ Ashikaga no Matsakodo son cousin. Inclinaison de tête lui intimant courage… Cela lui rappela Kyoto… Le feu… Trois groupes s’avançaient contre Kiyosu, contre les Lézards qui s ‘y trouvaient. Kazuhiro Guidel menait les meilleurs guerriers de pied et archers et Matsakodo les cavaliers…

    Pensant se diriger vers le Cloaque, ils ne savaient quels pièges se présentaient à eux. Aussi, avant leur départ un message avait été envoyé à Kadokawa qui demeurait encore au Shiro no Oda, lui désignant en quelques mots ce qui c’était passé et lui mandant de les retrouver au devant du Cloaque. Yoshimasa s’attendait à le croiser d’un moment à l’autre tandis qu’ils percevaient les portes Sud de la ville au loin, elles étaient protégées, ils s'en doutaient tous. Genshi apparut soudainement, dans un parfait silence et se plaça à sa suite. Kadokawa ne se percevait nulle part… Un signe, les trois groupes s’éloignèrent légèrement les uns des autres. Yoshimasa de face, Matsakodo sur la droite, il attaquerait en dernier, et Kazuhiro sur la gauche. Ils restèrent ainsi quelques secondes en silence. Croisement de regard et Kazuhiro fit avancer son groupe sur le devant. Des cris sauvages se firent entendre derrière les portes qui s'ouvrirent. Le Samurai-Daisho ne traina pas et dans un même élant s'élança. Dernier regard vers Kazuhiro avant de faire glisser sa propre lame dans un bruit métallique et de lancer sa monture pour le combat dans un même cri…


    - Pour la Paix… ASHIKAGA !!

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Akire
[Kiyosu, le Cloaque.]

Ils étaient là. Tout près. De nombreuses sentinelles étaient venues avertir la crème des Lézards, ce cercle d'élite qui résidait au coeur de leur domaine, là où leur domination se faisait totale. C'était le signal. Dans un même mouvement, tous se mirent en route pour rejoindre le reste des raclures embusquées...

[Kiyosu, non loin du Cloaque...]

Un cri de guerre se fit entendre, reprit en écho par de nombreuses voix. Ils étaient remontés, les mignons. Le Rustre eut un ricanement. La plupart de leurs gars étaient postés sur les toits, dans diverses ruelles ou déguisés en passants miséreux... la première ligne, pourtant, les attendait de pied-ferme à l'autre bout de l'axe principal qu'ils empruntaient. Peut-être avaient-ils déjà aperçu ce qui leur tomberait sur la tronche. A ses côtés, Saburo, véritable démon qui avait contribué à rassembler leur première vague de "braves". Les deux types semblaient bien fiers de leur oeuvre. Tout un art, vraiment. De sa voix forte et virile, le brigand s'écria :

"
Calmez-donc les ardeurs de cette gueusaille anoblie ! "

Les Ashikaga virent alors ce qui allait leur tomber dessus... ou plutôt, ce qui allait se coller dans leurs pattes. Une armée d'estropiés et de vieillards avançait vers eux, mêlant mendiants et âmes damnées boostées au saké. Ils brandissaient des bâtons, des petites lames ou simplement leurs poings aux avant-bras maigrichons, hurlant leur haine de la richesse, certains envoyés au combat sous la simple promesse d'une portion de udon ou catin gratuite... un spectacle tout aussi écoeurant qu'affligeant. Lorsque le premier papi - à moitié aveugle, hirsute et boiteux - fut écrasé sous le premier cheval, tous se hérissèrent d'un même mouvement, et la colère grandit. Leurs mains tentèrent d'agripper les Ashikaga pour les traîner au sol, certains piquant les montures avec des lances improvisées... Akire, lui, semblait satisfait devant ce carnage évident.

"
Mène ces hommes, démon. Les Lézards n'entreront en lice que plus tard. "

Quelque pas en arrière, et il attrapait un Kuan visiblement surexcité.

"
Tu sais c'que t'as à faire, gamin ! "

Le petit aussi avait sa mission. Le grand, lui, rassemblait déjà les plus féroces guerriers pour aller chercher son autre trophée... Elle irait rejoindre son amie sur la place du Cloaque, une fois capturée... leur orgueil les avait menés dans un véritable guêpier.

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Saburo
L'heure était venue, la vengeance approchait de plus en plus. Les Lézards l'apportaient même sur un plateau. Tout vient à qui sait attendre à force de patience, de persévérance et de ruse. Lorsque l'ancien Daimyo Takezo possédait encore quelques bribes de pouvoirs et que Saburo étaient entré en opposition avec lui, les Ashikaga lui mirent des bâtons dans les roues pour défendre comme de fidèle chien leur maître. Son crédo était simple, faire payer un jour quiconque oserait ce poser sur son chemin et l'échéance pour rembourser le crédit que contractait cette famille envers l'être rancunier arrivait à ton terme.

La faim, la fatigue et le froid ne pourraient entacher ses résolutions et c'est de manière ferme qu'il abaissa son bras. Un simple geste voulant à la fois tout dire et ne rien dire. Sauf pour les hommes au dessus de la porte de la ville qui s'exécutèrent.

L'objectif était simple et précis, les ralentir pour la surprise final histoire de finir en beauté. Sauf que c'était plutôt ces hommes entrain charger qui risquaient de finir en beauté. Le groupe qu'on lui avait confié été composé de deux groupes, ces hommes, vieillards, infirmes et déchets de toute sorte pour notre société. Ceux là il les envoyaient comme chaire à canon avec le sentiment de rendre un service à la société. Il les nommaient" Les bon vieux Crado", Akire les menaient indirectement au massacre.

Puis il y'avait ses hommes, ce n'était pas vraiment ses hommes pour presque la totalité du groupe, mais ceux la ils avaient une bonne particularité. Saburo été aussi le surintendant de l'université d'Oda, et ses privilèges lui permirent ''d'emprunter'' différent prototypes que certains érudits tentaient de mettre au points. C'est pourquoi il avait gardé un petit groupe a qui il transmit deux caisses d'armement. C'est ce don qui leur permit de gagner la pensée de ses hommes dans la tête du jeune seigneur, même si pour le surintendant qu'il était, voyait surtout la une occasion en or de tester sur le terrain quelques cobayes.

Il observa l'entrée de la ville ou ce déroulaient les premiers combats depuis leur poste d'observation. Il constata avec efficacité que le produit c'était bien imprégné et fit un second signe des mains à son hamato qui attendait plus bas, au coin d'une ruelle. La touche d'humour à sa vengeance venait d'entrer en jeu.

Tout était prêt, ne manquait plus qu'a lâcher ses cobayes, enfin ses hommes...

Il se replierait ensuite pour participer au combat et essayer sa nouvelle armure.
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--X_men_team
Les Bons Vieux Crados:

Petit Vieux :



Ses vieux yeux usées n'étaient plus aussi perçant qu'autre fois, c'est pourquoi il avait prit un gosse avec des yeux valable a ses côtés. Quand le morveux lui tira la manche il compris, c'était le signal. Son vieux corps arthritique souleva comme il le put la marmite sur le rebord de leur mur. On lui avait dit de balancer ce liquide une fois que les hommes seraient en dessous de lui. Il y trempa une dernière fois son doigt pour le lécher.

Peuh, Puis ça fait des études pour lancer des ordres aussi con, lâcher de l'huile bouillante ou quoi j'aurai compris, mais des restes et du jus de différentes viandes, c'est du gâchis.

Puis il renversa sur le contenue sur la foule entrain de se battre sous lui. Emporté par la pression, la marmite lui échappa pour aller fracasser la tête d'un des gueux.

Haussant ses épaules dans un petit rire il s'élança dans la bataille, inconscient de la mort qui le guettait, lui voyait seulement leurs nombres bien plus important. Alors que les chevaux par leur simple charge en avait décimé un bon nombre.

Ashigaru :





Les premiers ennemis passèrent la porte, la garde c'était retiré depuis longtemps, la ville leur appartenant déjà il était inutile de faire des morts en plus. Ils étaient déjà nombreux, ils ne pouvaient perdre et les Lézards les menaient, notre homme était donc fier d'être en première ligne . Pensant qu'ils arriveraient à ne faire qu'une bouchée des assaillants l'ashigaru ( paysan armée ) fut bien surpris quand les deux hommes qui étaient à côté de lui se firent empaler et embarquer par des chevaux chargeant. Son fragile couteau ainsi que ses frêles muscle lui semblaient bien inutile face à ses hommes d'armure équipé de katana aussi long que ses bras.

La panique le gagna un peu, quand un liquide visqueux ainsi que des restes de poulets lui éclaboussèrent dessus.

''Ses Hommes'' ou plus communément les cobayes:

Goei:



Le hamato suivrait son maître jusqu'a la mort si il le fallait, et après l'avoir enfermé dans une université et dernièrement dans le Sô de Gero il trouva juste qu'il s'accorde un peu de bon temps avec des plans quelques peu retords.

En retrait ce dernier n'attendait plus que le signal. Celui-ci ne se fit pas tarder. Un peu plus loin le vétéran entendait les cris de la bataille, Entre deux aboiements, il jeta un regard aux bêtes qui n'avaient pas étaient nourris depuis trois jours et qui avaient étés énervés. Il monta sur leurs cages et les délivra. Il les vit détaler vers l'odeur avec force et rage.

Les chiens périront par des chiens que lui avait dit Saburo, décidément son maître avait un sens de l'humour bien a lui. En parlant de lui, il se dirigea vers son poste d'observation pour le rejoindre, quand sur le chemin il vit les cobayes allant au front. L'envie de rire ne lui venait même pas, ils avaient un minimum d'entraînement et avaient l'air dangereux.

Wolverine:



La caisse qu'ont lui tandis satisfait au plus au point cet homme. Il trouva dedans bon nombre d'objets étranges, mais sa trouvaille fut un gantelet ou des lames avaient étés ajoutés, mettant les gants en cuir avec un petit sourire sadique il alla rejoindre les autres avant de partir prendre par surprise les assaillants.


Les frères chauves :





Les deux frères plus que séduit par la somme qu'on leurs avaient tendu en échange de leur services furent plus que satisfait quand ils trouvèrent des plaques d'armures étranges avec des piques autours. S'aidant mutuellement ils se recouvrirent alors ainsi de ces fameuses plaques de métal et de cuirs recouvert de pique. Un gamins qui passait par la se moqua d'eux et les traita de hérissons, mais détala quand il les vit approcher.

Le Blob:




De stature assez imposante tout comme son frère qui était le tavernier du cloaque, son choix se porta sur d'imposant gantelet pourvut d'un anneaux sur chacun, sur lesquelles étaient accrochés des chaînes. Si son frère voyait ça, il serait surement jaloux, surtout du nombre d'ennemi qu'il allait pouvoir écrabouiller. En plus ça rendrait parfaitement avec l'armure de métal dont il était déjà équipé.

Malicia :






Le brigand qu'il était, repus aux escarmouches et aux embuscades de tous types, porta son attention sur des crèmes qui étaient censés aider aux camouflages et pouvoir prendre ses ennemis par surprise. Il aimait bien ça, ce glisser par derrière pour égorger de ses victimes. Le combat rapproché n'était pas vraiment son fort. Les remèdes magique on sait jamais, ça peut marcher.

Une fois que la troupe eu fait son choix parmi l'arsenal, ils allèrent se mettre en position. Ils avaient chacun un lieu stratégique ou tendre leurs embuscades respectives. Ils regardèrent quand même en arrière car un des membres de leur équipe temporaire n'était avec eux, il fixait encore une des caisses. Les malfrats ne préférèrent ne pas trop le déranger, car de toutes les raclures qui avait ici, c'était lui le plus dangereux et le plus instable.
Kuan
Il avait l'droit de se battre ! Il avait l'droit d'y faire tooout ce qu'il voulait sur les Ashikaga. L'avait même l'droit d'utiliser son scalpel, et ses crottes de nez, et ses grenouilles, et des oeufs pourris, et... Pleins de trucs!
Le morveux était carrément aux anges. Quelle éclate ça allait être ! Il courrait entre la petite armée qu'avait réunie la Crème, attendant son heure.
Toutes les cinq minutes il revenait vers Akire pour lui demandait s'il pouvait y aller maintenant : "C'est bon ? On y va, on y va ?", au grand agacement de son oncle.


Finalement l'mec l'plus fort du monde le chopa par le bras, alors qu'il venait de vérifier qu'il avait bien son lance-pierre pour la énième fois.

Un large sourire étira les lèvres du gamin. Ses petites jambes le menèrent à toute allure vers SON armée à lui qu'il commandait lui. Les gosses orphelins du quartier. Sa bande de copains, tous très chouette. Kaeru était évidemment de la partie. La Teigne, Gros Molard, Dégeu, Casse-cou, Pif-Paf, l'Oiseau, et Qu'une Main avait aussi répondus à l'appel de Kuan. Et faut pas oublier Berthe la belette.


Ces pauvres gosses de 7 à 13 ans étaient fier de servir les Lézards, en échange de quelques kobans, d'armes très étranges, et de quoi se nourrir pour une semaine. Certains étaient bien sales, d'autres avaient les joues creusées par la faim, ou encore comme Qu'une Main avait déjà subis les punitions accordés aux voleurs des étalages.

Kuan galvanisa ses troupes avant de les lancer à l'attaque.

C'i à nous, on y va !
Toi, pis toi, vous y lancez les oeufs. *désigne La teigne, l'oiseau*
Pif-Paf t'y mords les mollets tout fort. Gros Molard t'y tappe 'vec ton couteau ! Casse-cou t'y leur fera peur en y sautant d'puis un toit sur eux.
Dégeu, pis Kaeru vous y lancez les grenouilles coupées pleines d'boues.
Pis moi j'y fais les crottes de nez et un truc secret.
Toute façon c'nous les plus forts, et on va gagner !
Quand vous y avez pu d'munitions, vous y tapper tout tout fort 'vec vos bâtons et les couteaux.


Les gamins déboulèrent juste derrière la première charge, féroces et énergiques. Allait-on les tuer, ou ferait-on preuve de pitié pour ces petits naïfs qui ne se rendaient pas compte que la chair-à-canon c'est eux ?

Excepté Kareu, Kuan et Berthe, tous les autres enfants sont interprétables si vous le souhaitez dans votre RP. Leurs surnoms les décrivent bien assez

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--Kaeru
Kaeru



Kaeru écoutait Kuan avec sérieux. C'tait un Lézard Kuan ! Alors il est trop fort et il a des plans trop stratègèqeu. La petite grenouille n'était plus très sûr du mot qu'il venait de penser. Il l'avait entendu et compris qu'il y a peu.

Mais Kuan c'est quelqu'un de balèze, alors fallait l'écouter...C'est comme le général Berthe. La belette ne disait rien, mais elle était très très très puissante selon l'orphelin...comme les kamis ou les sorciers.
Kaeru en avait un peu peur, alors imaginez ses ennemis.

Le garcon prit le sac de grenouilles coupées pleines d'boues, une arme super efficace, il n'en doutait pas, tout comme son bâton pointu qu'il gardait dans son dos.

Il courait à la suite de Kuan en se mettant à lancer ses munitions.
Parfois il touchait un vieillard, mais toute façon z'allaient mourir bientôt à cause de leurs rides alors pas grave.

Se faufilant entre les jambes des guerriers, petit comme il était, il essayait parfois de mordre avec ses dents l'entre jambe quand l'armure des guerriers ne couvrait pas cette partie.
Il avait déjà vu 'sculo se ramasser un coup d'genoux là bas. Ça avait l'air de faire mal.

Finalement c'était amusant cette bataille. Ça le changeait de son quotidien à rapiner ou chercher dans les crasses de quoi manger. Et les Lézards avaient dit qu'à la fin de la journée il y aurait à manger pour tout le monde. C'était trop chouette.
Ashikaga_yoshimasa
Les portes passées, le visage de Yoshimasa, terrible et profondément concentré sur un point fixe se changea en un étonnement affolé. Ce n’était pas là des lézards, et encore moins des semblants de guerriers ou d’hommes ayant l’habitude des combats. Son regard tomba sur des vieillards, des hommes ayant la peau sur les os et des femmes à demie nue au regard fou à lier… « Non de Dieu !», pensa-t-elle horrifiée par ce qu’elle comprenait sur la stratégie des Lézards. Démons… C’est ce qu’elle pensait tandis qu’elle retenait sa monture en ramenant les rennes vers elle. Cette marrée de populace arrivait sur eux et son avant-garde en avait déjà fauché plusieurs. Ne pouvant que se défendre, eux aussi le regard tout aussi ahuri, ses soldats tranchaient dans le tas. Les replacer, nouvelle stratégie… Vite !

Cherchant Kazuhiro des yeux, Yoshimasa dut cogner du revers de son Naginata quelques têtes d’ivrognes fous furieux qui tentaient de la mettre à terre. Elle le vit au devant d’elle. Un bruit de chevauchée se fit entendre, c’était Matsakodo qui avec sa troupe vint les environner. Parfait ! La guerrière lui cria ses ordres qu’il fit répercuter à ses hommes sur toute la place en laquelle la première vague s’était élancée. Puis faisant sauter sa monture, Yoshimasa se rua vers Kazuhiro lui barrant la route. Et elle lui transmit les mêmes ordres qu’à son cousin. Hochement de tête et elle se mit elle-même en place, Kazuhiro et Matsakodo criant à chacun de leur troupe les nouvelles dispositions. Il y eu comme un mouvement circulaire, les cavaliers revenant sur l’arrière de la place, Yoshimasa prenant le centre avec sa troupe hétéroclite et Guidel formant la première ligne qui tentait de se débarrasser de cette populace armée de manches et de couteaux de cuisine.


- Évitez de les tuer, mettez les hors d'état de nuire ! Voilà quel étaient les ordres.

Ils n’étaient pas là pour faire couler le sang d’Oda mais pour forcer les Lézard à rendre leur fille. Si du sang devait être versé, se devait être le leur ! « Les lâches ! », pensa-t-elle. Voila pourquoi les archers avaient ordre de garder leurs flèches dans leur carquois. Ils ne bougeaient plus, seuls les soldats de pieds fendaient la foule si peu expérimentée et les rues plus étroites furent atteintes peu à peu. D’un geste de la main, elle ordonna l’avancement, tous commencèrent à marcher sur la place suivant le mouvement. C’est alors que des balcons, quelque chose fut déverser sur les ashigaru. Avant même qu’ils puissent comprendre, des aboiements se firent entendre. Yoshimasa réagit vite, Genshi avait son regard braqué sur elle attendant les ordres. Il savait !

Acquiescement et une partie de son groupe de divisa, les archers de même s’assemblèrent au bataillon de Genshi. Sur les ordres de ce dernier, une partie s’aligna face à la rue principale tandis que moins nombreux, des hommes vêtus de noir comme Genshi grimpèrent le long des piliers fondant les bâtiments. C’était les Sentinelles de Sable, mi archer mi combattant en art martiaux. Ils étaient l’élite du service de renseignement et Genshi en était leur chef. Se plaçant sur les toits et balcons, ils commencèrent à faire fuser leurs flèches sur les chiens. L’une d’elle vint s’enfoncer dans le crâne du Petit Vieux. Et les archers placés sur le devant firent de même, visant l'arrière. Ce qui arrêta la ruée animale mais Kazuhiro était en prise avec les chiens qui sur le devant les avaient atteint. C’est la que Yoshimasa lança son attaque.

Au devant, elle vit parmi les rangs de ses adversaires des chiens qui les déchiquetaient eux même. L’Ashigaru envoyé par les Lézards, recouvert de sauce à la viande et de restes divers fut le premier à être terrassé par les animaux morts de faim. Venant à leur secours, Yoshimasa en saigna une bonne partie de son fauchard, n’ayant pas sortie encore le Tsurugi, l’épée droite, de son fourreau. Le Chef Ashikaga le gardait pour un combat plus ardent, plus appréciable… Mais une nouvelle clameur s’éleva, fine, enfantine… Cette fois, la colère était puissante en elle quand elle aperçu qui était envoyé dans la mêlée. Les insultes fusèrent dans on esprit : « Couards… Sans-cœur… Des enfants, ils envoient des enfants à la mort ! ». Levant la tête au dessus d’elle, elle trouva Genshi qui bandait son arc. D’une voix forte, le Seii’ l’appela et lui désigna les gamins.

_________________
--Genshi_goretirasu


    - Je mens occupe ! Lui cria-t-il avec un regard confiant.

    Genshi siffla sur sa droite puis sur sa gauche et se trouva flanqué de deux rôdeurs. Ensemble et dans un même mouvement, ils sautèrent du haut du toit et se retrouvèrent accroupie au sol mais très vite, les trois Sentinelles filèrent dans la l’allée principale à la rencontre des gamins. Deux d’entre eux sortirent du lot pour grimper on ne sait ou et les suivant du regard, Genshi les désigna à son frère d’arme de droite qui les suivit en prenant le devant sur les deux autres Sentinelles. Les deux gamins sur le balcon commencèrent à lui jeter des œufs tandis qu’il grimpait et les injuriait et les Minos ne manquaient pas de répondre de même en riant et sur un ton mélodieux: « Kusojiji ! Oi, on est là Konokuzu … * Ahahah ! ».

    La Sentinelle sur sa gauche se ruait sur Kaeru et Dégueu quand un gamin lui sauta dessus du toit. Se débattant avec lui au sol, le guerrier fini par le maîtriser. Mais il se débattait à mort, lançant ses jambes et ses bras dans tous les sens, se cognait même la tête par terre dans sa furie. Au point qu’un de ses bras lui échappa et l’homme dû lui envoyer deux ou trois torgnoles mais si il se débattait moins, Casse-cou continuait de se défendre, le visage plein de terre. Son assaillant, réussit finalement à lui tenir les deux bras et sortant une fine lanière de sa ceinture, il la noua autour de ses poignets. Il fini par aller le fiche dans un tonneau en lui lança : « Reste là jusqu’à la fin du combat Gamin ! »

    Quand à Genshi de son coté, il glissa de sa manche à sa main son Tessen et le déployant d’un mouvement sec, il l’envoya voler et l’objet qui était à la fois un outil et une arme vint frapper le poignet de l’enfant au couteau qu’il élevait au dessus de lui fièrement, la bouche grande ouverte en criant à la tuerie. Mais en moins d’une seconde il fut désarmé, avant même qu’il puisse atteindre le combat en lui-même. Il regardait sa main toujours levée et la bouche toujours grande ouverte d’un air stupide mais soudainement devenu muet. Tournant ses yeux ronds d’étonnement, Gros Molard pu voir une ombre foncer sur lui. Et comme au ralenti qu’il se détourna pour fuir mais Genshi, plus rapide, l’attrapa par la tignasse, le tira jusqu'à le soulever et le prendre tel un baluchon. Mais c’est qu’il gigotait le môme. Le Rodeur le prit par ses freluques, et alla le cogner brusquement contre une façade. Approchant son visage tout proche du sien, il allait lui assener de se la fermer s’il voulait s’en sortir.


    - Sawannai de ! Criait Gros Molard. *

    C’est une soudaine douleur fulgurante qui l’y empêcha. Un autre gamin lui mâchouillait la jambe, quelles sacrées canines qu'avait ce gosse ! Mais Genshi n’avait pas relâché sa prise, il rejeta violemment son pied faisant voler Pif-Paf qui cogna contre les jarres de saké. Ces dernières éclatèrent et le liquide s’écoula au dessus de l’enfant qui en bu à la goulée. Malgré la situation comique, Genshi n’avait pas envie de rire, il ne s’était pas attendu à se battre contre des enfants. Aussi chiants qu’ils soient, il n’y voyait aucune dignité ni honneur. Leur mettre une bonne raclé pour leur apprendre que ce n’était pas leur place? A quoi pensaient les Lézards?! Il se retourna vers Gros Molard qu’il tenait toujours mais ce dernier lui mordit le nez. Cette fois la Sentinelle le lâcha sur le coup en poussa un cri de douleur.


    - Chibi kuso ! Jura-t-il. *

    Tournant la tête vers lui, il vit le gamin sourire effrontément avachie sur le sol. Genshi ni une ni deux le reprit et le tin bien serré sur son épaule. Il s’avança et s'accroupit vers celui qu’il avait envoyé balader, le môme délirait sou l’effet du saké et faisait des bulles. L’attrapant par la ceinture, il le traina jusqu'à un bâtiment isolé. Défonça la porte d’un coup de pied et les y jeta tous deux. Au même moment son frère d’arme arriva avec lui aussi deux autres gosses sous les bras. Genshi lui jeta un drôle de regard. Oui… Car il était recouvert d’œuf, dégoulinant de la tête aux pieds. Mais baissant le regard sur l’un des gamins, Oiseau… Son regard changea. Il était plein de sang. Nouveau regard sur son frère d’arme, interrogateur cette fois et féroce.

    - Qu’as-tu fais ?!

    - Je les ai poursuivit sur le toit et… dans la fuite il a voulu… Je ne sais pas, prendre son envole. Mais il respire encore.

    - Il est si petit…
    Murmura Genshi. Aide-moi !

    Si petit... Encore trop jeune pour déployer ses ailes. Avec l’aide de son frère d’arme et après avoir rejeté son arc au loin, il cala le petit garçon à son dos et en noua sa cape autour de lui en serrant fort le nœud sur son torse. Ils barricadèrent l’endroit et lorsqu’ils s’éloignèrent, entendirent des cognements et de cris hargneux au travers du mur de bois. Mais ignorant cela, ils retournèrent sur le devant du combat ou les sentinelles avaient abandonné les toits pour se mêler au combat au corps à corps.




* Kusojiji : Vieux chnoque.
* Konokuzu : Sale déchet.
* Sawannai de : Lâche moi!
* Chibi Kuso : Petite Merde.

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Atsuhito
    Atsuhito venait de repousser deux paysans, les assommant à grand renfort de Bokken avant de les jeter délicatement dans un tas de détritus, éléments de décors naturel chez les écailleux. S'étant légèrement éloigné du gros des troupes. Il repris son souffle à peine un instant quand...

    *Shponk!*

    Quelques chose vint s'écraser sur sa joue...quelque chose de gluant qui dégoulina lentement, provoquant un rictus à son oeil droit et au coin de ses lèvres. Prenant son Bokken de la main gauche, il saisit du bout des ses doigt l'infâme projectile: un morceau difforme de grenouille ou de crapaud. C'est à ce moment que le courageux et beau Atsuhito eu un reflex, idiot, mais humain: il approcha de son nez la chose verte-marron. Une odeur fétide à faire pourrir une fleur de Paulownia sur place s'insinua dans ses narines de beau gosse.

    -Aaaaaaaarrrrrrrggggg!!! Il balança l'horreur sur un des paysans, vacillant encore du choc olfactif.

    Un nouveau bout de grenouille passa à quelques centimètres au dessus de sa tête, il eu juste le temps de se baisser qu'un autre arrivait déjà sur lui.
    L'esquivant une nouvelle fois il se couvrit avec le bras et essaya de voir quel ennemi pouvait être aussi méchant pour zigouiller de pauvres batraciens.


    -Mais c'est un gamin!

    Tout moche, tout crasseux, un mioche caché derrière un sac d'immondice plus haut que lui l'avait pris pour cible en riant de sa bouche édentée. Un mèche noirs vint se collé sur sa joue encore engluée de l'horrible substance. Le jeune homme se dirigea rapidement vers ses anciens ennemis gisant encore inconscient et pris un des Sugegasa (chapeaux) miteux qui couvrait un de leur crâne.

    -Vous ne m'en voudrez pas si je vous l'emprunte?...Arigato!

    Ainsi équipé, il brandit son bouclier de fortune en direction des bouts de pattes, de têtes et d'autre parties indescriptibles lancées part le bambin.

    *Chplaf, Ponk, Blarp*


    le Chapeau, transformé en oeuvre d'art avant-gardiste s'enfonça d'un coup sec sur la tête du gamin, l'empêchant de voir se qu'il faisait. Atsuhito recula d'un pas et éclata de rire en regardant l'enfant ainsi vêtu, il donnait des coups de poings dans le vide en gesticulant:

    -Espèce de ****, vient la que ze te *****, gros vilain moche!!! T'es tellement moche que Kuan qu'il va te botoiller par les fesses!

    Le pitre y allait de bon train quand il trébucha sur son sac, tombant à l'intérieur, tète la première.

    Le kiba-Gumi se gratta le menton et leva un sourcil. Il ne pouvait manifestement pas se battre contre un enfant mais il pouvait le mettre hors d'état de nuire pour un bout de temps.


    -Tien voila pour toi, une punition digne de tes talents!

    Il fit disparaitre le gamin dans le sac et ligota l'ouverture, le retenant prisonnier et posa le sac, à coté du tas que formaient les deux paysans toujours dans les vapes.

    -Gros caca! T'es qu'un moche qui pue! Un gros moche! Un gr....

    Les insultes continuèrent à fuser pendant qu'Atsuhito s'éloignait du sac gigotant dans tous les sens. Reprenant son sérieux, il s'essuya la joue du revers de sa manche et replaça la mèche à son front. Des hommes et des femmes se battaient encore et il avait une mission, cette comédie ne l'avait que trop retardé. Il fronça les sourcils et disparut dans la mêlée.

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Saburo
RP fait à quatre main avec LDJ Ai, ( dans ce RP le paquet =P ). Je poste la première partie et dès qu'elle rentre de l'école primaire à 16h30, son petit gouter englouti, elle postera.

Si vous auriez l'amabilité d'attendre qu'elle est postée notre suite, pour maintenir un certain équilibre dans notre Rp, ça serait cool.

Merci.


Son plan se déroulait à la perfection. La bataille qui se jouait sous ses yeux était plaisante a voir. Les gueux avaient parfaitement remplit leurs rôles, ils ne tarderaient pas à se faire massacrer. La deuxième phase de son plan ne tarderait pas à commencer, leur objectif était à portée de main. Il ne disposait que d'un temps infime pour faire ce qu'il voulait faire en secret, sans éveiller les soupçons.
Regardant Akire qui s'éclatait comme un gosse a voir les terreux du coin se faire écraser il lui lança.

Je reviens, je vais pisser.


Parler comme un lézard c'était pas simple, il n'avait pas réussi à mâcher ses mots, mais ça on y peut rien. Certaines divergences avec eux ne pouvaient être passées sous silence. Comme le traitement de la prisonnière. Comment pouvait on oser capturer quelqu'un alors qu'il allait chercher de l'opium ? Il se rappela non sans nostalgie les lois en faveur des opiomanes qu'il avait failli faire passer. Fallait défendre cette race supérieur, qui une fois qu'elle avait sa dose se retrouvait en position de faiblesse.

L'addict avait entendu les autres Lézards dirent qu'elle ne cessait de réclamer sa dose, se mettant à sa place il trouva le châtiment plus qu'infâme. Son éducation avait fait qu'il ne devait s'en prendre à une femme, les méthodes employées envers elles devenaient de plus en plus inhumaines, il allait y remédier. Goei avait reçut ses instructions. Après avoir lâché les chiens il devait préparer le matériel du maître. N'ayant pas participé à la mise en place du paquet, il avait seulement entendu qu'elle se trouverait quelque part.

Retrouvant Goei a l'endroit convenu, la pipe prête il tourna à l'angle de la rue, là dans un endroit qui aurait put être la quatrième dimension ou la chambre de votre soeur, enfin un lieu indépendant de sa volonté, il trouva une chose tremblante et transpirante. Saburo s'approcha lentement de la chose qui avait pour nom ''paquet'' entre les lézards. Arrivé au niveau de sa tête, la fragile créature transpirait et tremblait, symptômes bien connu du fumeur d'opium notoire qu'il était. Délicatement il passa la main sur la joue de la jeune fille afin de lui faire relever la tête et ouvrir la bouche. De façon sereine il y introduisit la pipe afin de satisfaire cette dépravée.

Elle ne lève pas les yeux, ce n'est pas de la tristesse, mais un énervement profond. Que lui voulait-il, à s'approcher comme cela d'elle ?Qui tremblait comme le sac de pomme de terre, le paquet, auquel elle était apparentée depuis le début. Elle fulmine, ça ne marchera pas, tremblante comme une feuille, vidée de ses forces, suante comme un phacochère. Qui a dit que le manque était sexy ? Si elle ne peut pas gueuler, elle peut tout de même protester.

«J'ai pas besoin de votre pitié.»


Alors que sa main devenait mouate par le contact de ce mélange entre celui d'une femme et de l'humidité d'un poisson, un petit quelque chose en elle attira son regard. Sa voix pleine de désinvolture refusa sa pipe avec force. Un sursaut lui échappa faisant sortir une délicate maladresse, la pipe lui échappa des mains. Il tenta de la rattraper avec sa main sec, mais il ne fit qu'empirer les choses, ses doigts qui n'arrivaient pas à saisir la pire lui firent exécuter quelques multiples sauts pour finir par un renversement du contenu sur l'épaule de paquet la femme poisson.

Le salaud ! Avec de la force elle l'aurait giflé, mais là, elle n'en a même pas assez pour crier à un volume suffisant. Traitresse de voix. Elle manque même de s'étouffer. Mais Ai ne pleure pas, ne gémit pas, elle sait pas faire, elle est forte, trop fière, elle est tout ce que vous n'êtes pas et elle lui fait comprendre du regard, savez, ce genre de regard extrêmement vaniteux ?- Genre sourcils froncés, dur, à faire pleurer un samouraï qui se sentirait presque inférieur. Je m'égare. Et puis son pied tremblant cherche la pipe, tâtonne par terre vers l'objet du méfait. C'est fou comme elle n'arrive pas à se concentrer sur la douleur, elle veut seulement le contenu de cet objet en bois. La teigne amène l'objet devant le reptile, lui indique du menton de recommencer, qu'il la calme. C'est pas de la pitié, c'est un ordre. Ca change tout, non ?

Sa main gantée responsable de ce geste malheureux, car il était plus dur pour lui d'attraper un objet aussi fin, épousseta l'épaule de la prisonnière. Il lui lança un regard emplit d'indulgence qui en rencontra un plutôt caractériel...Il sourit, une femme avec du cran, dieu qu'il aimait ça. Au prix ou lui avait coûté cette opium, il s'exécuta. Ramassa la pâte, l'introduisit avec la plus grande précision dont il était capable et recommença son opération. Alors que le bout de la pipe toucha le bout des lèvres de Ai, avide de tirer se doux nectar, Saburo lui retira. Il la regarda dans les yeux et de la façon la plus provocante possible il se tira une bonne latte. Que c'était bon ! Un petit moment de plaisir avant d'aller rencontrer la mort. Puis c'était qu'une bouffée, juste histoire qu'il ne sente plus la douleur ni la peur, ou était le mal ? Le mal était dans le geste qui suivit sa bouffée. Une expiration de ses poumons toucha délicatement le visage de Ai qui put se délecter de la fumée.

"Je n'offre jamais de la pitié, seulement du plaisir dans ce monde cruel. Maintenant pourquoi devrais-je te donner de ma pipe ?''

«Pour me faire plaisir. Vous venez de le dire.»


Elle sourit, pourtant il l'agace. Ai' ne va pas mieux, même si ça lui fait du bien, elle en veut encore, elle veut aller mieux. La descente est trop lourde pour elle.

"Hmmm oui, apprenez que je ne suis pas un vulgaire laquais. Quand j'ordonne on obéit. Mais je trouve que l'idée 'être privé d'opium et une torture inhumaine, c'est pourquoi je vous offre cet humble présent pour vous soulager."

Joignant le geste a la parole, il amena la petite créature au royaume du ciel
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Ashikaga_ailisha
    Longue taffe, jolie montée, pas qu'elle trip, elle se soulage, elle se calme quoi.

    «Ca s'appelle de la pitié.»

    Elle ose en reréclamer, s'adonne une nouvelle fois à cette fumée. Attend une réponse. C'est un laquet, c'est au moins celui du lézard en chef, c'est forcé. Et c'est à elle de le prendre de pitié, sans y aller par quatre chemins non plus.

    «Savez. J'peux comprendre que vous soyez un laquet, il faut savoir obéir.»

    C'est pas non plus forcement cohérent dans l'absolut. Mais disons que ça ira.

    '' Pauvre créature, je vais vous apprendre une chose, la seule chose que ma famille de traitre m'est apprise, c'est le partage ; C'est ainsi que je le voit. Car peut être un jour ça sera moi ici prêt à tout donner pour quelques bouffés."
    «Quelle famille ?»
    si elle pouvait, elle froncerait les sourcils.

    Saburo ria, c'était vraiment absurde, fallait vraiment être a coté de ses zoris pour parler de son histoire en pleine guerre civil. Prenant une bouffée supplémentaire, une envie comme ça qui le prenait. Sûrement le manque, qui en plus, lui déliait la langue. Il se sentait si heureux. Il lui reproposa le poison.


    "hmm, Je suis aujourd'hui en exil a cause de la famille Hosokawa, j'étais aveugle à l'époque et j'ai tout perdu. A cause d'un grand père trop gateux."
    «Vous n'avez rien d'un noble»
    elle hésite, juste un peu. Et puis elle n'a rien à perdre, que lui fera t'il au pire ? il sera puni si un des réptiles est au courant de son escapade à ses côtés.
    «Je vais me marier. A un colonel Hosokawa.»

    Elle ne pouvait savoir que ce qu'il faisait serait peut-être réprimandé par un reptile, puis elle lâcha l'effet d'un tremblement de terre. Un rire tonitruant s'échappa de sa bouche.

    "Quoi ? Même si vous n'êtes pas a votre avantage vous valez bien mieux que ce qu'il reste de cette famille'' Puis cette joie procurée par l'opium lui fit lancer d'une voix euphorique. ''Voyez alors cette pipe comme un présent pour votre mariage et.. bienvenue dans la famille..."

    Elle rit. C'nerveux. Ai' n'en veut pas de ce mariage. Namého. Mais elle n'y échapperait pas, elle en avait plus que conscience, elle ne fuirait pas non plus, au vu de sa première expérience hors du Sho-nougat, mieux valait éviter.

    «Vous avez raison.» elle reprend son souffle, celui de la pipe plutôt, elle a les yeux rouges, révulsés les pauvres petits, elle criera quand elle en aura marre de cet interlude, en attendant, elle continue «Qu'est ce qu'un Hosokawa fiche chez les lézards ?»

    " C'est simple, j'ai perdu ma couronne... Je met en application un autre crédo belle-soeur... La vengeance..." Son regard de tueur se réveilla, de parler de tant de souvenir éveilla en lui le gout du sang, il fallait que le démon qui vivait en lui et qu'il réprimait depuis tant d'années sorte.

    «Ce serait la preuve que vous n'avez pas d'honneur. Vengez-vous, mais sans moi.»
    "Je ne me venge pas sur de simple femme... Surtout avec autant de caractère et aimant les bonnes choses, ma haine a des limites... Je ne détruit pas les bonnes choses..."


    Sa soif de sang le tirait, il fallait qu'il parte l'assouvir, il se leva avec un autre regard de manque, celui du sang. Il reparti au milieu des cris, oubliant ses plans concernant le déroulement des opérations, seul importait l'envie de tuer.


Ca y est ! Elle est reviendu ! Chantons ses louanges !
Suite du Rp écrit à quatre mains.

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Togukawa_kadokawa
Le bon sens avait fini par l’emporter, Yoshimasa avait été élu, recevant ainsi la place qui lui revenait de droit.

Après ces semaines de travail intense, après ces semaines de négociations, d’intrigues, et de doute, le Tokugawa allait enfin pouvoir se reposer un peu, se contentant de ce qu’il faisait le mieux, juger les autres et les envoyer dans les geôles puantes après les avoir délesté de quelques kobans.

Il avait laissé l’Ashikaga rentrer avant lui au Shogunat, afin qu’elle fête son élection avec les siens. Lui n’avait pas vraiment la tête aux célébrations, ces heures sombres ayant fait ressurgir en son esprit bien des souvenirs qu’il aurait voulu effacer.

Ce n’est donc qu’après avoir fait le tour des derniers bureaux qu’il avait occupés ces dernières semaines, afin de s’assurer que tout était en ordre pour accueillir les prochains conseillers, qu’il prit à son tour la route pour rentrer vers ceux qui les avaient accueillis.

Il chevauchait doucement, rien ne pressait, entouré de ces plus fidèles Bushis. Comme à l’habitude, le maître d’armes restait silencieux, laissant ses hommes plaisanter entre eux. Il s’était résolu à les laisser faire, il s’était résolu à ne pas leur imposer le silence. Peut être vieillissait-il à agir ainsi, ou peut être son cœur avait-il été tout simplement adouci par certaines retrouvailles.

Soudain le bras du Tokugawa s’élève ; aussitôt le silence se fait et tous se mettent aux aguets. Le maître d’armes désigne un objet dans le ciel et un cri strident sort de la bouche d’un des Bushis, appelant l’oiseau, porteur de message.

Ce que le message apprit au Tokugawa lui ota tout envie de sourire.


Asaki-san, tu galopes jusqu’au Shogunat et tu reviens avec nos hommes, armés pour la bataille. Chevauchez rapidement, pour nous rattraper avant que nous arrivions au cloaque, au nord.

Le Bushi par à bride abattue alors que le groupe fait demi-tour pour se rendre au cloaque.

Préparez vous à combattre !

Nulle autre explication, les bushis ne demandent pas ce pour quoi il vont se battre, tant ils ont une confiance aveugle en Kadokawa.

QUELQUES METRES AVANT L’ENTREE DU CLOAQUE

Les lézards vont voir de quel fer est constitué notre katana ! Nulle pitié, tuez sans sourciller, et dites vous qu’un bon lézard est un lézard mort !


D’une seule voix, l’ensemble de la petite armée des Tokugawa répond à cette mise en bouche par un « Hourra » puis s’engouffre dans les ruelles nauséabondes du cloaque.

Ruelles nauséabondes certes…… mais totalement vides.

Kadokawa met pied à terre au milieu de la plus grande des ruelles et inspecte le sol. Nulle trace de lutte, nulle trace de chevaux.


Qu’est-ce que cela signifie ? Où sont-ils donc ?

Le chemin qui éloigne le cloaque du shogunat des Ashikaga est vite avalé. A peine la porte franchit, Kadokawa appelle un garde pour lui demander de s’expliquer.

Qu’est-ce que cela signifie !? Qui m’a envoyé ce message !? Nous revenons du cloaque où il n’y a pas âmes qui vive !

Où sont yoshimasa-sama et ses hommes ? Qui m’a envoyé ce message erroné !?.


L’homme qui lui répond n’en mène pas large, l’expression du visage du Tokugawa ne faisant aucun doute sur la colère dont il est empli.

Toutefois s’armant d’un courage qu’il ne se soupçonnait lui-même pas, il ose répondre à l’homme.


Au sud !? Mais le cloaque est au nord, pas au sud !? Qu’est-ce que tu racontes !?

Devant l’insistance du garde, l’esprit du vieil homme s’alerte. Un piège…. Cela a tout l’air d’un piège. La colère du Tokugawa devient furie !

Les fourbes ! Ils ne reculeront donc devant rien ! Ne peuvent-ils pas se battre comme des hommes, en face à face plutôt que d’avoir recours à des supercheries pour avoir l’avantage !?

Quel est donc leur drôle de façon d’appliquer le Bushido !? Je vais leur faire ravaler leur sournoiserie moi !


Sans un regard de plus pour le garde, il éperonne sa monture pour repartir de plus bel sur la route, ses troupes derrière lui.

Quelle douce sensation ! Une chaleur l’envahit alors qu’il chevauche ainsi vers la bataille. Il se sent revivre, il retrouve les sensations qu’il reconnaît avec joie, cette excitation d’avant la bataille, cette soif de sang. Instinctivement il pose sa main sur sa garde, comme pour apaiser son katana qui tremble d’impatience de goûter de nouveau à la chair humaine, dont elle a été sevrée depuis bien trop longtemps.

Cette chevauchée le conforte dans la décision qu’il était en train de prendre. Il est homme d’action, il est homme d’extérieur. Il ne fera plus l’erreur qu’il a commise de s’enfermer.

Mais déjà les cris de lutte parviennent à leurs oreilles. Ralentissant un peu sa chevauchée, il se porte à la hauteur d’Asaki et Usumi à qui il confie une partie des troupes ainsi que l’ordre de bataille.

Bientôt leurs cris s’ajouteront à ceux des Ashikaga, gravant avec le sang l’alliance des 2 clans.

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Tokugawa_shingen
À l'écart, sur un toit surplombant la cour où se déroulait la bataille la plus insolite qui leur fut donné de voir, une douzaine d'hommes se tenaient à l'affut, observateurs attentifs et hésitant entre intervenir ou simplement attendre l'issu du combat. Tous étaient revêtu d'une cuirasse, avaient le visage dissimulé sous un foulard blanc, chacun armés d'une naginata, et dans leur dos arboraient le kamon du clan Tokugawa. Un peu à l'écart, le visage découvert, mais le front entouré néanmoins d'un hachimaki, le moine Shingen se tenait assis nonchalamment, et regardait les nuages au-dessus de la ville.

Les nouvelles de l'enlèvement de Ashikaga Ailisha était rapidement venue aux oreilles du sohei, ce n'était pas comme si les Lézards avaient tenté le moindrement de le cacher. Connaissant la chef des cette grande famille, il n'y avait aucun doute qu'elle se précipiterait à la rescousse, et connaissant les relations entre les Ashikaga et les Tokugawa, il avait fort à parier que sa famille se retrouverait impliqué dans cette histoire. C'est pour cela qu'il avait fait immédiatement mobiliser ses meilleurs hommes et s'était élancer pour être aux premières loges, attendant voir si Kadokawa et ses hommes, et donc Shingen et ses hommes, allaient intervenir ou non
.

Ces idiots de bushis qui se lancent toujours tête baissée en première ligne. Ne voient-ils point qu'il s'agit d'un piège pour le moins grossier? Je ne sais pas encore ce que fabriquent ces écailleux, mais ça sent mauvais tout ça!

Daisho-san, à qui parlez-vous? interrogea l'un des sohei à proximité de Shingen.

Personne, je ne faisais qu'exposer mes pensées à haute voix pour la commodité des lecteurs.

Pardon? Mais de quels lecteurs parlez-vous?

Bah, laisse tomber. Des nouvelles de mon cousin?

Et à ce moment, comme dicté par la loi du timing du plus prévisible film hollywoodien, l'un des sohei remarqua l'approche de Kadokawa et de ses bushis.

Et bien voilà qui règle la question. Allons botter des derrières écailleux!

Son expression prit une expression plus sérieuse tandis qu'il reprit sa naginata et, sautant de toit en toit, alla rejoindre la mêlée qui faisait rage en compagnie de ses hommes. Le moine errant venait de faire place au moine combattant.
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