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[RP] La Savoie est attaquée - Lettre à la Duchesse

Charles.marie
Alors que le Comte de Thérouanne, en route pour une retraite méritée en compagnie de sa sœur Edjerha une missive arriva à l'auberge où ils avaient fait halte pour se sustenter et prendre quelques heures de repos, c'était une missive de l'Intendance de Gex et de Carignan, son visage se crispa, ainsi que ses mains sur le vélin.

- PAR DIEU LES RATS !

Il fixa Edjy, il était rouge de colère, il se leva et fulmina en renversant quelques objet de terre cuite, pour tenter de calmer sa haine des réformés.

- Edjy, les Réformés sont aux portes d'Annecy ! Il me faut retourner en Savoie et prendre les armes et défendre les terres de feu notre Père. Je ne te force pas à venir, tu peux rester ici, je te laisserai de quoi vivre.

Il fit signe à son laquais de lui apporter de quoi écrire. Au bout d'une dizaine de minutes, pendant que le comte tenait de se calmer en compagnie de sa sœur, le serviteur revint avec l'écritoire et son nécessaire.

Citation:



    A vous Angélyque de La Mirandole, Duchesse de Bourgogne,

    Votre Grâce,

    J'ai l'outrecuidance de me rappeler à votre souvenir, je me nomme Charles.Marie de Talleyrand, ancien Duc de Savoie, auquel vous avez promis une aide d'une lance militaire au profit du Duché savoyard, sous réserve de subsistance face à la menace réformée.

    Et bien l'intimidation des Réformés de Genève a dépassé ce stade, depuis hier la ville de Chambéry subit des assauts de petits groupes, et en cette matinée dominicale une armée réformée a pénétré le territoire souverain de Savoie et cette dernière se trouve aux portes de la ville d'Annecy.

    C'est ainsi en ma qualité de noble savoyard et ancien Duc de Savoie, que je vous demande de bien vouloir nous envoyer l'aide militaire promise, naturellement je reste en attente de vos directives à Mâcon, je serais également enchanté de prendre le commandement de cette lance. Ainsi je mets fin à ma retraite de régnant pour défendre ma patrie en danger.

    Que Dieu vous garde.

    Rédigé de notre main dans une auberge de Mâcon,
    En ce dimanche 12ème jour de décembre de l'an de grasce MCDLVIII,

    Charles-Marie de Talleyrand
    Comte de Thérouanne-sur-Lys
    Vicomte de Gex et de Carignan






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Porte Parole de Savoie
Edjerha
Edjertha n’était pas mécontente de l’escale, le froid, ce satané froid, pour la byzantine c’était insupportable. Quitter les montagnes ferait grand bien à Charles, et aiderait surement à la survie de la jeune femme.

Alors qu’ils se réchauffaient auprès d’un âtre, une missive parvint, elle fixait les flammes qui se reflétaient dans ses yeux amandes lorsque


- PAR DIEU LES RATS !

Edjy fit un bon dans saut fauteuil, elle se tourna sur son frère le regarde interrogateur.

- Edjy, les Réformés sont aux portes d'Annecy ! Il me faut retourner en Savoie et prendre les armes et défendre les terres de feu notre Père. Je ne te force pas à venir, tu peux rester ici, je te laisserai de quoi vivre.

Edjerha se leva et fit face a son petit frère qui la dépassait largement. Elle lui prit les mains et dans un sourire réconfortant elle lui dit :

-Là où vous allez je vais Charles. Et si je dois troquer ma robe contre une tenue plus cavalière pour vous je le ferais. Elle eu un brin de malice pour détendre l’atmosphère. Et je suis sure qu’ils font des pommeaux qui iront avec le collier que vous m’avez offert.

Le lad arriva avec le nécessaire, elle laissa Charles s’assoir et se mis dans son dos, lisant par-dessus son épaule, une main sur celle-ci pour l’assurer de son soutien sans faille.
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Charles.marie
Charles baissa un peu la tête pour que son regard plonge dans celui de sa "grande" sœur et lui fit un sourire entendu.
- Tu ne prendra pas les armes, tu ira chez ma Mère pour prendre soin d'elle en Bauges, notre fratrie dois s'agrandir de nouveau.

Il se posa donc et rédigea, s'entend son espiègle de sœur lire par dessus son épaule, ça l'amusait.


- Je vais aussi écrire à Clémence, pour lui dire que je pars pour le front. Que Dieu est pitié de nous.

Il rédigea une missive à l'adresse de la princesse de Montmorency, la scella et joint un petit coffret qu'il remit au serviteur pour qu'il transmette à Cosne. Et pour se détendre il s'allongea sur le lit et fixa le plafond.
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Porte Parole de Savoie
Angelyque
Citation:
De Nous, Angelyque de la Mirandole
Duchesse de Bourgogne

A Vous Charles-Marie de Talleyrand
Comte de Thérouanne-sur-Lys
Vicomte de Gex et de Carignan

Salutations,

Je viens à l'instant de prendre connaissance de votre courrier, et de la terrible nouvelle que vous m'apportez.

Sachez que je suis une femme de parole, la Bourgogne vous viendra donc en aide.

Je vais de ce pas rassembler mes meilleurs soldats pour que vous puissiez partir en direction de la Savoie dans les plus brefs délais

Qu'Aristote vous protège

Faict à Dijon, au Palais des ducs de Bourgogne, le dimanche douze décembre de l'an mil quatre cent cinquante huit






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Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Charles.marie
On tambourina à la porte de la chambrée du Comte, il se leva brusquement posa un regard fraternel sur sa sœur prêt de l'âtre entrain de lire et alla ouvrir la porte. Un messager à la livrée bourguignonne lui adressa quelques mots et lui tendit une missive.

- Votre Grandeur Comte de Thérouanne, une missive de la Duchesse de Bourgogne.
- Merci mon brave, attendez prêt de l'âtre.

Le Comte prit le pli et demanda à Edjy de lui donner une pièce d'or. Un rictus de joie se dessina sur le visage du jeune fougueux.

- Nous allons repartir, mais pas seuls Edjy, on va écraser de l'hérétiques ! Et punir la république de Genève. Paye donc le messager et sert lui un verre de gnôle. Merci.

Charles se mit de nouveau à son écritoire.

Citation:



    A vous Angélyque de La Mirandole, Duchesse de Bourgogne,

    Votre Grâce,

    Qu'elle heureuse nouvelle que je reçois ce jour. Je m'empresse d'informer le Régent et la future Duchesse de Savoie.

    M'autorisez-vous à créer un camp de rassemblement sur les faubourgs de Mâcon ? Afin que vos forces armées aient un point de ralliement et une bannière sous laquelle se placer.

    Dans l'attente de votre réponse, que Dieu vous garde.

    Rédigé de notre main dans une auberge de Mâcon,
    En ce dimanche 12ème jour de décembre de l'an de grasce MCDLVIII,

    Charles-Marie de Talleyrand
    Comte de Thérouanne-sur-Lys
    Vicomte de Gex et de Carignan






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Porte Parole de Savoie
Angelyque
La Duchesse répondit au plus vite à la demande de l'ancien Duc de Savoie, tout en envoyant diverses missives.

Citation:
De Nous, Angelyque de la Mirandole
Duchesse de Bourgogne

A Vous Charles-Marie de Talleyrand
Comte de Thérouanne-sur-Lys
Vicomte de Gex et de Carignan

Votre Grâce

Je vous donne par la présente l'autorisation de monter un camp de rassemblement, je viens de contacter le Baron de Cudot, Wolfar Wallère, résidant à Mâcon, ancien Capitaine de Bourgogne, il saura vous venir en aide.

La Bourgogne ne vous laissera pas seuls dans cette épreuve. Vous pourrez compter, comme je vous l'ai promis il y a de cela quelques semaines, sur mon aide.

Qu'Aristote vous protège

Faict à Dijon, au Palais des ducs de Bourgogne, le dimanche douze décembre de l'an mil quatre cent cinquante huit






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Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Edjerha
- Tu ne prendra pas les armes, tu ira chez ma Mère pour prendre soin d'elle en Bauges, notre fratrie dois s'agrandir de nouveau.

Edjerha ne comptait pas aller dans les Bauges, trop loin, trop froid et surtout trop calme. La jeune femme voulait aider, et se faire envoyer dans les méandres des couloirs de la mère de son frère lui déplut, non rien contre Azalée, femme adorable, mais elle ne serait qu’un boulet, au mieux un nouveau pot de fleur. Evidemment elle n’en dit rien à Charles on n’allait pas le contrarier ce jour.

- Je vais aussi écrire à Clémence, pour lui dire que je pars pour le front. Que Dieu est pitié de nous.

Edjy acquiesça.

-Oui votre Princesse doit savoir, elle en sera fortement inquiétée néanmoins.

Alors qu’il s’allongeait sur le lit, elle défit son mantel pour aller embêter son jeune frère, une bataille devrait le détendre, et elle mettrait à profit ce moment pour lui montrer qu’elle savait se défendre, mais alors que la byzantine allait pour sauter sur son frère on frappa. Elle se ravisa et remit son mantel pour paraitre on ne peut plus convenable. Elle prit un livre, Charles n’y vit que du feu.

Elle se leva donna la pièce et observa son frère :

- Nous allons repartir, mais pas seuls Edjy, on va écraser de l’hérétique ! Et punir la république de Genève. Paye donc le messager et sert lui un verre de gnôle. Merci.

La Talleyrand était contaminé par cette rage de vaincre, elle qui ne se sentait pas l’âme d’un vengeresse soudain sentit l’envie de battre l’hérétique. Elle obéit à son frère et attendit qu’il eu finit.

-Je souhaite rester à Chambéry avec vous. C’était dit, ses yeux en amandes se rétrécirent pour détecter la réaction de son frère. Votre mère n’a pas besoin de moi, vous le savez, elle est si bien entourée. Je ne saurais d’aucune aide, mais à Chambéry… A Constantinople j’ai été éduquée et une de mes matière favorite était les soins et le pouvoir médicinal des plantes. Elle attendit sereine, parce qu’en faites, elle avait fait son choix, elle espéra que Charles comprenne elle ne voulait pas se disputer avec son frère ou même lui désobéir.

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Charles.marie
Sa sœur lui coupa le sifflet, elle voulait aller au front, et Charles comprit vite que toute protestation étaient vaines. Le Comte grogna pour seul preuve de mécontentement.

- Bien tu sera la soigneuse de ma Lance. Mais je t'interdis de te mettre en danger, m'entends-tu ?

L'on frappa encore. Un coursier de Savoie cette fois-ci. C'était la déclaration de guerre de la République de Genève. Il commença a froisser le document puis se ravisa, et le fit envoyer à la Duchesse de Bourgogne.

Citation:
ORDONNANCE DE l'AVOYER,
Portant déclaration de guerre contre le duc de Savoie.
Du douze de décembre 1458.

DE PAR LE PEUPLE DE GENEVE.

Toute l’Aristotélité sait que le duc de Savoie a été l’agresseur d'honorables Genevois, sur la route entre Annecy et Chambéry ce mois de juin 1458, et qu'il a exercé contre eux les hostilités les plus barbares.

Le peuple de Genève, justement offensé de l’insulte faite à sa cité, n'a suspendu pendant plusieurs semaines les effets de son ressentiment, & ce qu’il devoit à sa dignité, que par crainte d’exposer aux malheurs d’une nouvelle guerre.

C’est dans une vue si salutaire que le peuple de Genève n’a d’abord opposé aux procédés injurieux de la Savoie, que la conduite la plus modérée et la plus noble.

Tandis que la soi-disante justice de Savoie enlevoit par les violences les plus odieuses, & quelquefois les plus lâches artifices, la liberté de nos deux combourgeois déjà molestés et agonisants, un vil aventurier mandaté par l'indigne gouvernement de Chambéry s’étoit emparé des caisses de notre cité et tentoit lâchement d'occire son légitime avoyer.

Tandis que la Savoie traitoit avec la plus grande dureté les combourgeois genevois engeolés, & qu’on méprisoient à leur égard les bornes évidentes que la loi naturelle & l’humanité ont prescrites aux diverses nations de l'Aristotélicité et du reste du monde, même durant les plus rigoureuses des guerres, les Savoyards voyageoient & habitoient librement chez nous sous la protection des égards que les Peuples civilisés se doivent réciproquement.

Tandis que les Ministres de Savoie, sous l’apparence de la bonne foi, imposoient ses stériles bavardages à l’Ambassadeur du peuple de Genève par des fausses protestations, on exécutoit déjà les assurances d'une prompte et prochaine conciliation.

Tandis que la Cour de Chambéry épuisoit l’art de l’intrigue et éloignait toujours davantage une vraie paix entre voisins, Genève tentoient mille et une conciliations à l'avantage et l'honneur des deux parties.

Telle a été la conduite des deux Nations. Le contraste frappant de leurs procédés doit convaincre toute l’Aristotélité des vues de jalousie, d’ambition & de cupidité qui animent l’une, & des principes d’honneur, de justice & de modération sur lesquels l’autre se conduit.

Le peuple de Genève avoit espéré que le Duc des Savoyards ne consultant enfin que les règles de l’équité, & les intérêts de sa propre gloire, desavoueroit les excès scandaleux ausquels ses Officiers ne cessoient de se porter. Il est à craindre que les dits-excès l'aient habitué à ne considérer que les pires violences comme moyen normal pour atteindre ses buts.

Le Duc des Savoyards ayant rejeté le plus grand bon sens et avancé des faits dont la supposition ne peut pas même être colorées par les apparences les moins spécieuses, le Peuple de Genève ne vit dans ce refus que la Déclaration de guerre la plus authentique.


ORDONNE & enjoint de courir sus au Duc des Savoyards, à travers sa personne, ses titres, propriétés, fiefs et territoires, manants et sujets -y résident ou non-, alliés, amis et familiers, parents et enfants, et ce jusqu'à ce qu'il vienne à résipiscence en toute bonne et sincère humilité et remord de ses péchés contre les valeurs aristotéliciennes qu'il a bafoué jusque-là.


FAIT à Genève le douze de décembre mil quatre cent cinquante-huit.
Tatoumi, avoyer de la république de Genève.





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Porte Parole de Savoie
Charles.marie
Le Comte fouilla ses affaires et remis la main sur la bannière familiale des Talleyrand, il réquisitionna l'auberge pour en faire son point de ralliement, comme demandé à la Duchesse de Bourgogne. De sa fenêtre il plaça l'étendard pour informer les troupes bourguignonnes du lieu-dit.


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Porte Parole de Savoie
Wolfar
Le Baron se trouvait à Mâcon lorsqu'un messager aux couleurs du Duché pénétra dans son auberge. Wolfar releva la tête et se leva d'un bond. Si la Duchesse lui écrivait, ce n'était surement pas pour une brouitille.
La Savoie demandait l'aide de la Bourgogne contre les réformés qui venaient de pénétrer dans leur duché.

Bon première chose, contacter des gens de confiance. Les premiers noms furent donner à Gautier qui quittait déjà l'établissement.
Ensuite retrouver ce fameux Comte de Thérouanne-sur-Lys qui ne devait pas être bien loin.
Enfin il faudra s'équiper.

Wolfar quitta lui aussi Le Bouclier de Cudot et apperçut de suite une bannière étrangère à la devanture d'une auberge voisinne. Il s'y engouffra et demanda à parler au proprétaire.

Je suis le Baron de Cudot, j'aimerais parler au Comte de Thérouanne-sur-Lys qui doit se trouver en ces lieux.
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Edjerha
Edjerha sourit, elle avait gagné, fière de sa victoire elle alla à la fenêtre après avoir lu à son tour la déclaration de guerre, c’était stupide, et dire que certains y croyaient. Elle haussa les épaules et alla s’accouder à la fenêtre, elle vit un chevalier arriver, il avait tout de ces hommes en armes, de ces soldats, elle fit signe à son frère.

-Nous avons de la visite !

De suite confirmée par un homme de l’auberge venu signifier qu’un certain Baron de Cudot souhaitait parler à son frère.
Elle sourit, dans le reflet de la vitre avisa sa mise, son mantel et sa coiffure, puis fit volte face.


-Allons l’accueillir.

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Charles.marie
Tout se bousculait dans la tête du jeune Comte des dépêches militaires arrivaient déjà d'Annecy et de Chambéry, l'armée républicaine avait été repoussé non sans dégâts parmi les savoyards, la seconde armée républicaine était introuvable et cela inquiétaient les généraux. De la visite avait annoncé Edjy.

- Se doit être le baron de Cudot, envoyé de la Duchesse de Bourgogne.

Charles se leva et prit un air bien martial et prononça fortement un...

- ENTREZ !
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Porte Parole de Savoie
Edjerha
Edjerha se rangea à la droite de son frère, attendant d’être présentée. Elle le regardait d'un air inquiet, les dernières nouvelles ne devaient être bonne. Son estomac se noua mais elle n'en dit rien, gardant cet éternel sourire sur les lèvres.
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Wolfar
ENTREZ !

Wolfar passa la porte, son casque sous un bras et son autre main posée sur le pommeau de son épée. Il s'avanca franchement vers le Comte savoyard et le salua ainsi que la jeune dame l'accompagnant.

Votre Grâce, je suis le Baron de Cudot. Ma Duchesse m'a appris les malheurs qui frappent votre Duché et Elle tient à honorer sa parole envers vous et votre peuple. Je rassemble les bourguignons qui partiront vous aider à chasser l'hérétique de votre Duché. Je me mets donc sous vos ordres. Je dois cependant vous dire que nous ne pourront partir au plus tôt que demain.
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Charles.marie
"Votre Grâce" beaucoup l'appelait encore ainsi, incarnait-il encore l'autorité du Duché de Savoie pour avoir la toujours bonne surprise de l'appellation des ducs, il ne le savait, mais cela flattait assurément son égo de jeune chevalier.

- Baron soyez le bienvenu, je suis heureux de voir que la Bourgogne et la Savoie s'allier sous cette même bannière pour chasser l'hérétique république des terres savoyardes.

Un flot de nouveaux courriers arriva, dont un de la Duchesse de Savoie. Il s'excusa un instant pour prendre connaissance du contenu.

- Baron, vous serez prêt demain, mais ma souveraine me mande prestement pour la Capitale, je pars donc dès ce soir avec ma sœur et soigneuse Edjerha de Talleyrand ici présente.

Charles réfléchit un moment.

- Sieur de Cudot, je serais votre interlocuteur privilégié en Savoie, je vous prierai de m'envoyer vos effectifs le plus tôt possible afin que les laisser-passer soient établis rapidement. Je vous laisse ma bannière pour que nos frères d'armes vous reconnaissent quand vous approcherez de Chambéry.

Il se retourna vers Edjy.

- Cette tenue ne conviendra pas, nous partons à cheval, la duchesse nous veux rapidement en Savoie, donc nous oublions le confort des voitures. Veux-tu aller te préparer ?

Au baron.
- Je pense que nous sommes appelés à nous revoir rapidement, veuillez excuser la brièveté de cet entretien, mais l'heure est grave et je dois rejoindre mes frères au plus tôt.
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Porte Parole de Savoie
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