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Info:
Le bordel Castelroussin vous ouvre ses portes.

[RP] Aux Coquinoux

Zoyah
Le Coquinoux n'est pas en accès libre. C'est un lieu caché et on doit y montrer patte blanche avant d'y entrer.
Si votre perso n'est pas un habitué => MP pour participer. Toute intrusion non désirée sera déplacée




Il y a des endroits qu'il vaut mieux éviter lorsque l'on n'est une jeune fille prude issue d'une bonne famille. Le « Aux Coquinoux » était l'un d'eux. Sous ses allures de façade proprette qui ne se distinguait pas vraiment des autres, se cachait un véritable lieu de débauche ayant pour seul but..la jouissance. La maison était un peu en retrait si bien que seuls les habitués s'arrêtaient devant et jetaient un œil à l'affiche l'identifiant comme palais des plaisirs.



Une fois la porte passée, on avait la surprise de se retrouver dans ce qui ressemblait à une échoppe vendant des produits pour le corps. On y trouvait des parfums envoutants, des crèmes censées prolonger le plaisir, des poudres afin de revigorer certaines parties de l'anatomie, etc, etc...

Dans le fond, un épais rideau de velours lie de vin dissimulait un escalier menant à la cave.
Et c'est précisément cette cave qui avait été aménagée en lieu de culte d'Aphrodite et de Pan le satyre.

_________________

Envie de RP ? Arda Para Subire
--_cyprien_le_puceau




Cyprien est ce qu'on appelle...comment dire ? Un puceau magnifique,voila ! C'est un garçon nature...très nature,même. Il a tout juste 25 ans et il est le fils cadet d'une famille ayant une longue lignée de bergers comme ancêtres et ne se soucie de rien d'autre que de ses moutons.
Il ne connait rien des choses de la vie mais il n'est pas bête,loin de la !
C'est même le plus intelligent de la famille mais il passe toutes ses journées sur les collines avec ses moutons pour seule compagnie.
Tout ce qu'il connait sur "la chose" est ce que font les moutons devant lui mais il ne s'est jamais interrogé plus que ca : un mouton mâle monte sur une brebis et quelques mois plus tard naissait un petit agneau...point,
c'est tout !

Ses deux grands frères le charrie bien aussi de temps en temps en lui disant des choses du genre :


Out'vin d'jiou l'Cyprien ! Va falloir te deniaiser l'anguille sinon elle va sécher et tomber,out'vin d'jiou !
Out'vin d'jiou ! y'a une toute nouvelle taverne au village d'a côté qui s'nomme "Aux Coquinoux" et ou il y a des femmes qui peuvent te l'faire frétiller rien qu'en la r'gardant, Out'vin d'jiou ! Elles vont t'faire "la chose" pour quelques écus sonnants et trébuchants,out vin d'jiou !


"Aux Coquinoux",ce nom lui tourmentait l'esprit et il décida qu'a sa prochaine visite en ville,il irait voir de quoi ils voulaient parler en disant "la chose".
Ce jour la est arrivé et voila Cyprien devant la taverne en question,avec ses plus beaux habits,lavé et rasé comme il faut et surtout quelques piécettes en poche,tout content de voir enfin ce dont ses frères voulaient parler.
Il jeta un coup d'œil furtif par la fenêtre et le cœur battant a tout rompre poussa la porte de la dite taverne et dit a la dame installée derrière une espèce de comptoir, tout en jetant un coup d'œil circulaire aux étagères de ce qui ressemblait a une échoppe :


Bonjour m'dame,y parait qu'vous pouvez m'faire frétiller l'anguille,out vin d'jiou !
--Honorine__


Honorine n'était pas ce qu'on pouvait appeler « une beauté », elle avait un physique assez banal. Ce n'est que grâce à son opulente poitrine qu'elle avait été engagée au « Aux Coquinoux ». Elle faisait donc le service le soir, distribuant bière, vins et autres nectars.
L'après-midi pendant que certaines filles rangeaient et nettoyaient la cave, elle tenait l'échoppe. Ce jour là, elle était penchée sur son registre où elle inventoriait tous les produits vendus. Le filtre d'amour « Passion exclusive » avait le vent en poupe. Elle nota mentalement qu'il faudra en recommander bientôt auprès de l'apothicaire qui les fournissait en mixtures des plus étranges. Si l'aspect rosé de liquide rappelait inévitablement le jus de framboise, l'odeur et le goût étaient loin de ceux du fruit.

Honorine venait à peine de lever sa plume du registre qu'un client se présenta. Premier coup d'oeil...premier constat...ce n'est pas un habitué, méfiance.

Elle était comme ça Honorine, elle n'avait pas son pareil pour convaincre les dames qu'il n'y avait rien d'autre à y voir que ce que la boutique offrait aux regards et elle repérait les simple curieux des vrais intéressés d'un battements de cils. Enfin, elle fut aidé dans sa tâche par le simple fait que Cyprien exprima clairement et sans timidité ce qu'il était venu chercher.

La demoiselle pouffa de rire.

Ben mon p'tit mignon..c'est pas que c'est qu'il paraît...c'est que c'est sûr !...sourire taquin..mais...ce n'est pas gratuit.

Ah....elle était bien heureuse dans ces moments là de n'être qu'une simple serveuse et de ne pas devoir satisfaire les habitués autrement qu'en remplissant leur verre. « Trop moche » avait dit la Jeanneton une des favorites des clients....ici, on ne fait que dans la qualité. Depuis ce jour, elle ne cessait de surnommer la pauvre Honorine, le boudin à grosses miches D'ailleurs, la Jeanneton avait une tellement haute opinion d'elle-même qu'elle ne s'occupait plus que des clients très fortunés. Honorine la détestait et comptait bien lui rendre chacune de ses insultes. Mais avant de lui envoyer Cyprien et de le faire passer pour le fils d'un très riche bourgeois, elle devait au moins s'assurer qu'il avait de quoi payer.

Ben alors..tu sors tes écus avant d'sortir l'anguille ..hé ! Pis...à vu d'œil...regarda Cyprien de haut en bas...j'pense qu'il va falloir s'y r'prendre à plusieurs fois avant que ton anguille elle puisse trouver le chemin de la grotte toute seule ...ahaha.
--Lubrika

[Dans la pièce à coté, pendant que Cyprien parlait avec Honorine.]

Lubrika était une jeune suédoise enlevée par des brigands qui l'amenèrent jusqu'en Berry. La patronne du "Aux Coquinoux" l'avait récupéré dans les rues de Châteauroux.
La mère matrone comme on l'appelait, misait gros sur Lubrika : lèvres pulpeuses, poitrine généreuse, des cheveux couleur blé. Un arrangement avec les autorités tolérait la présence de sa "boutique de plantes" moyennant quelque pot-de-vin.

Il y avait une estrade et plusieurs fauteuils disposés tout autour. La plupart d'entre eux étaient déjà occupés par de riches marchands, des boiteux et autres jeunes puceaux en manque d'amour. La pièce était éclairée par des bougies et ne possédait pas de fenêtre. Sur cette fameuse estrade il y avait une barre en bois et un rideau dans le fond.
La mère matrone arriva avec son bâton sur l'estrade et frappa le sol quatre fois : pour le Roy, pour la Reyne, pour Dieu et pour Saint Coquinoux. Les hommes commencèrent déjà à transpirer.

Le rideau se leva...

Lubrika s'avança dans une tenue absolument provocante et courte. Petit déhanchement jusqu'à la barre en bois sur laquelle elle posa une jambe. Elle plongea son regard vers le public tout en se mordillant la lèvre inférieur ce qui provoqua des sifflets de bonheur et des applaudissements.
Petits pas de bourré et elle posa sa main sur son décolleté et se pencha en avant. A ce moment il y eu un malaise, des poings tambourinèrent sur l'estrade et le début d'une bagarre.

Lubrika tourna le dos à son public puis retira son haut et trémoussa son derrière. A quatre pattes, elle s'avança devant un jeune puceau qui n'osait même plus la regarder, il s'empourpra grandement. Elle l'avait choisi lui, sa proie, il était cuit...
Elle approcha ses lèvres de sa jeune bouche et l'effleura puis s'approcha du lobe droit de son oreille qu'elle mordilla. Le souffle court, le jeune puceau ne savait plus où donner de la tête. Profitant qu'il fût déstabilisé, elle approcha sa généreuse poitrine de son visage et le colla dedans. Des cris et des sifflets s'élèvent dans la salle, on était proche de l'émeute.
Puis elle se coucha sur l'estrade en ne le lâchant pas des yeux et porta son doigt à ses lèvres qu'elle caressa en souriant.

Elle se releva et s'appuya sur la barre en bois, puis baissa ses braies toujours en se déhanchant. Pas de ceinture de chasteté ! Loin de là... Un petit bout de tissu recouvrait sa toison et une sorte de ficelle passait "ailleurs". C'est ce que lui avait offert un certain Vicomte borgne...
La salle sentait le mâle en rûte : on aurait dit un chaudron bouillonnant d'hormones masculines.
Des choppes volèrent dans les airs, des chaises s écrasèrent sur des crânes : fight ! fight ! fight !
Lubrika commença à paniquer et regarda la mère matrone qui lui fit signe de tirer quelque chose.
Ce quelque chose était un seau d'eau installé au dessus de Lubrika, qui cherchait la corde. Une fois trouvée, elle siffla pour récupérer l'attention. Elle basculait son buste en arrière puis en avant et bougea ses épaules et enfin tira sur la corde. L'eau coula le long de son corps : c'était le grand final...
L'émeute reprit de plus belle ! Elle se recula vers le fond,salua son public et le rideau tomba...
--Doudou__



[Pendant le show]



Doudou était un maure....un expatrié...un pauvre gars qui avait dû fuir son pays, il y a déjà fort longtemps. Depuis, il avait été embauché comme grand animateurs au Saint-Horvy., célèbre club branché pour les hommes où l'on vénérait les petits gros et où le saucissonesque Horvy était adulé comme une icône païenne.
D'ailleurs, la spécialité du club était l'utilisation du non moins célèbre saucisson à la bière, inventé par Horvy, lors de jeux fougueux qu'on n'évoquera pas ici. Lassé de la charcuterie qui lui filait des boutons, il s'était fait engagé par la grosse Rita tenancière du « Aux Coquinoux ». Il était chargé d'accueillir les clients une fois dans l'antre des coquins et de mettre de l'ambiance. Accoudé au bar, il regardait le show de Lubrika tout en repensant au Saint-Horvy.
--Jeanneton_di_corseti


Une chambre cossue et raffinée dans un recoin de la cave. De lourdes tentures aux couleurs chatoyantes réchauffaient la pièce. Un lit à baldaquin recouvert de coussins en soie trônait au centre de la petite pièce. Un tableau représentant des nymphes et un satyre occupait tout l'espace d'un mur. Aux quatre coins de la pièce d'immenses miroirs reflétaient ce que la propriétaire leurs donnait à voir. Dans un recoin, une console faisant office de coiffeuse portait tout un ensemble de cosmétiques. Face à sa psyché, une femme chantonne

Jeanneton prend son étrille
Lalirette,lalirette
Jeanneton prend son étrille
Pour care-é-sser des fions
Pour care-é-sser des fions
En chemin elle rencontre
Quatre jeunes et beaux garçons
Nanananèrreeeeee


Elle enduit ses lèvre d'un baume rouge sang.
La Jeanneton...c'est elle.
La grande Dame du « Aux Coquinoux »...celle qui en a fait un établissement VIP.
D'ailleurs comme elle dit elle-même, le Coquinoux a bâti sa réputation sur son cul.
Après la grosse Rita...c'est elle qui décide qui fait quoi.
Elle possède sa clientèle réservée...riche bien évidement.
Cela fait longtemps qu'elle ne se donne plus en spectacle et qu'elle ne participe plus aux tâches ménagères de fin de soirée.

La putrelle dépose une touche de brun entre les deux yeux afin de se donner un air exotique alors qu'elle n'est à la base qu'une brave fille de paysans berrichons un peu plus jolie que les autres.
Ah ça..la Rita l'avait bien remarqué qu'elle avait un certain potentiel lorsqu'elle l'avait acheté à ses parents à l'âge de 12 ans. La maquerelle avait vendu sa virginité à un vieux Duc en manque d'émotion forte. Une moue de dégout s'affiche alors sur son visage au souvenir de cette nuit qui lui avait fait l'effet d''une opération chirurgicale. Elle s'étonnait même d'être devenue par la suite cette icône du plaisir charnel pour tant d'hommes.

La catin ceint son front d'un diadème de perle.
En fait, si elle a tant de succès dans ce métier, c'est tout simplement qu'elle est bonne comédienne...en résumé....elle simule bien...très bien même. Ils se sont tous laissés berner, croyant à chaque fois qu'ils propulsaient la belle au septième ciel...même le borgne s'est fait avoir.
Oh, c'est qu'elle la joue raffiné...elle ne pousse pas de tonitruant... « Owiiii..met la moi toute »..non, non..tout était dans la respiration et les ondulations du bassin.

La fille de joie fait rouler quelques goutte de musc au creux de son cou et de ses seins blancs.
Les hommes, pour dire la vérité, elle les détestait...sauf Doudou, mais lui ce n'était pas vraiment un homme. Après tout..au prétexte de se faire du bien, ils ne lui avaient fait que du mal.
« Hein..t'aimes ça salo*** !! »...non, elle n'aimait pas ça, d'ailleurs, elle n'avait jamais aimait ça ou si peu. Mais c'était tellement jouissif de les voir s'exciter sur son corps, de couler en elle ce par quoi ils étaient faible. Ils se croyaient surpuissants, mais en réalité, ils ne contrôlaient rien car c'est elle qui détenait la clé de leur plaisir et non pas l'inverse comme elle se plaisait à leur faire croire.


Et pour terminer, elle frise de ses doigts ses longues boucles auburn.

Doudou apporte moi ma robe !...hurla la divine.

Elle était fin prête pour assister au show de Lubrika.
Sa robe enfilée, elle rejoint la salle.
Étouffante...puante...excitante.
La Divine chassa ses idées noires, afficha un sourire enjôleur sur sa jolie bouche et pénétra dans l'arène.


Suçette !!..apporte-moi un verre d'hydromel !

Sucette s'appelait en réalité Lucette, mais tout le monde l'avait surnommé ainsi en raison de « sa spécialité ». Joviale, joufflue, pulpeuse, serviable ...et idiote. D'ailleurs, elle avait fait le bonheur d'un ami ou d'un frère du vicomte borgne, un certain soir. Jeanneton avait rigolé lorsque l'ange blond lui avait parlé de sucrerie promise par le borgne et que ce dernier lui avait envoyé Lucette.
Sont-ils là ce soir ?
Les yeux ambrés de la gourgandine sondent la salle à la recherche de ses meilleurs clients.



--La_grosse_rita


Ils avaient été sages durant toute l'année et ce soir, comme les enfants à Noël, les hommes présents "Aux Coquinoux" allaient recevoir leur cadeau.
La grosse Ria avait eu quelques sueurs froides avec le changement à la mairie comme à chaque fois. Qui dit nouveau maire, dit renouvellement de "l'accord amiable". Cette fois-ci, elle se rendit à la mairie accompagnée de Sucette : elle voulait mettre tous les atouts de son côté. Après quelques minutes de négociations, une bouteille de poire et un rabais pour la famille, elle avait obtenu ce qu'elle voulait.

Ce soir, Lubrika allait faire son "show" avec son serpent. La grosse Rita, après avoir discuté avec les "V.I.P" du coquinoux, monta sur l'estrade avec son bâton.
Elle fait signe au joueur de flûte de jouer légèrement puis elle s'adressa au public le sourire aux lèvres et l'œil "coquin".


Messieurs, marchants, gueux, vieillards, nobles et jeunes puceaux, soyez les bienvenus "Aux coquinoux". Ce soir, notre chère Lubrika nous a ramené d'un pays fort lointain un serpeeennntttt... Entre-ouvrage de bouche avec sensualité.
Alors messieurs soyez prêt à vivre une chose exceptionnelle et accrochez-vous !

Puis, elle commença à descendre et une une chose lui vint en tête.


Ah oui j'oubliais. Nous avons des latrines, alors messieurs inutile de vous soulager dans le coin là bas où se trouve le portrait du pisseux. Bonne soirée !!


Elle leur fit une belle révérence puis frappa le sol, avec son baton, quatre fois : pour le Roy, pour la Reyne, pour Dieu et pour Saint Coquinoux.
--Lucette_sucette


Lucette était gaie comme un pinson !! Son petit client était devenu maire. Pour sûre que sa gloire à lui allait rejaillir sur sa notoriété à elle.
Imaginez !! Devenir la putrelle attitrée du maire de Châteauroux. Elle en rêvait...en bavait même.

Sucette était la protégée de la Jeanneton. Cette dernière l’avait pris sous son aile, il y a quelques mois, lui faisant miroiter que peut-être elle aussi aurait un jour sa clientèle personnelle. Un odieux mensonge pour sûr. Depuis, Lucette était condamnée à faire le ménage dans la chambre de la "Divine", repasser ses robes, laver ses dessous, lui servir son repas. Si cela déplaisait à Sucette, cela avait au moins l’avantage de lui éviter les attaques de la di Corsetti. C’est qu’elle était jalouse la gourgandine de luxe. Elle était prête à tout pour éliminer la catin qui viendrait la détrôner de sa place de seconde en chef.

Lucette avait un sacré potentiel, elle plaisait bien aux clients...seul bémol...elle n’avait aucune conversation. Vous allez me dire, difficile de tenir un échange verbal lorsqu’on a toujours la bouche pleine ?! Mais, il fallait bien l'avouer...Susu était bête comme une oie.

A chaque fois qu’un client lui parlait...la Choupa choups ponctuait leurs phrases d’un...


- Ohlala
- Hummmm
- Hoooooo
- Ahhhhhh
- Atchiiitchaaaaaa
- Ohouiiiii
- Trop fort !!!!!!!!
- T'es trop top de la balle, toua !



Etc.
Ce soir, boudinée comme jamais dans une robe de satin rouge papa noël, le bustier prêt à craquer de son énorme poitrine, Susu faisait le pied de grue en bas de l’escalier d’entrée. Elle accueillait les clients avec un immense sourire.Ce soir était le soir de la distribution des cadeaux pour les plus fidèles d'entre-eux. Elle-même tenait un panier garni de friandises...de vraies friandises.


Bonsoir, Bonsoir ! Oh M'sieur l'vicomte....qu'est-ce qu'on veut ce soir ? la brouette espagnole ? Fifi est dans le coin j'crois. Le trébuchet anglois ?...ah..vous verrez plus tard ?!....Bonne soirée m'sieur l'vicomte. Tenez, un bâton de sucer...euh...sucre d'orge....hihihi...il est fait à partir d'élixir "Passion Intense". Offrez-le à une dame que vous convoitez, mais qui ose montrer de la résistance....vous verrez, elle vous tombera dans les bras ....huhu...



Lucette avait bien récité le texte que la Grosse Rita lui avait demandé d'apprendre. un sourire satisfait s'était dessiné sur sa bouche alors qu'elle regardait le Vicomte s'avancer dans la salle, sucre d'orge en main.
ouppps...Susu a oublié de lui parler des effets secondaires et ce qui arriverait si par mégarde la Dame était en réalité éprise. Tant pis...

Pour passer le temps, entre chaque arrivée de clients, elle observait les tableaux qui ornaient la salle. Il y en a un qui la faisait souvent pouffer de rire. C’était celui du jeune Duc...le nabot comme on l’appelait ici. Il était intitulé..."George-Aristote apprenant la diplomatie".






La grosse Rita fait son annonce....Susu est tout ouïe.



________________________
--Doudou__


Doudou était debout sur une table, en train de danser pour quelques clients complètement saouls. Pour la soirée spéciale réveillon, il avait endossé une
tenue inédite !
...offerte par le borgne, bien entendu. Le maure se trémoussait et adoptait des positions suggestives qui faisaient hurler de rire les quelques clients attablés. C’est souvent qu’on lui demandait.. ."Eh ! Doudou...danse et chante comme tu faisais au Saint-Horvy !"....tout nostalgique qu’il était, il le faisait et entonnait quelques chansons coquines, éloge à Boulapate.



‘ondelles de Saucisson
J'aime quand tu touches
‘ondelles de Saucisson
Ah ! c'est supe’
‘ondelles de Saucisson
Ho’vy c'est génial
‘ondelles de Saucisson
A la biè’e mon amou’
‘ondelles de Saucisson
Décidément c'est dément
‘ondelles de Saucisson
Quelle aventu’e !
‘ondelles de Saucisson
Ça me fait soupi’er
‘ondelles de Saucisson

Vas-y Ho’vy c'est bon
Vas-y Ho’vy c'est bon bon bon
Vas-y Ho’vy c'est bon
Viens m’voi’avec ton saucisson

Vas-y Ho’vy c'est bon
met le moi dans le f......


Doudou s’interrompit net lorsque la patronne prit la parole. Il descendit de la table et alla rejoindre Honorine au comptoir afin de l’aider à distribuer les boissons.

Au passage, il croisa le vicomte et le salua.


Bonsoi’ Vicomte ! Alo’s, on est venu à la soi’ée ?!
Vous n’avez pas emmené vot’e apprentis avec vous ? Susu va êt'e déçue.
Bon j’vou laisse, j’vais aider Hono’ine.

Doudou lui fit deux gros poutoux sur chacune des joues...parce que le vicomte adorait les poutoux ( ), bien qu’il proteste vigoureusement à chaque fois.
--Falstaff


La soirée était déjà bien entamée lorsque la porte du Coquinoux s'ouvrit rapidement.

Personne pourtant dans la salle ne vit quelqu'un entrer...

Un nain passa discrètement sous les longues jambes de Doudou, lui pinçant au passage ses bijoux de famille, et fila en direction de la Lucette.

Pour sûr qu'il ne manquerait pas le spectacle ce soir, il lui fallait se changer les idées... Son maître l'avait encore puni et même si le coeur ne semblait pas y être, Falstaff en avait plus qu'assez.

Il prit un tabouret et grimpa dessus, se portant à hauteur des yeux papillonnant de la Sucette.


Salut Luce !
Y a quoi de beau au programme ce soir ?


Il cligna rapidement de ses deux yeux, l'air enfantin, puis il sortit une petite bourse de sa poche.

J'ai de quoi payer ce soir... J'ai trouver ces écus dans ma couche... Bizarre, après les coups de fouets, on me récompense...

Rapide regard en arrière lorsqu'il aperçut le Vicomte se faire poupoutiser...


Houla, je file au fond de la salle.
Hé, m'oublie pas hein
!

Il lui donna sa bourse et fila s'installer dans son coin préféré, sur un joli tonneau, dans lequel il pouvait se servir à foison.
--Lucette_sucette


Susu était fort occupée à la distribution de quelques sucreries. Dès qu'un client lui pinçait les fesses, elle se trémoussait sur ses guibolles en poussant de grands cris faussement affolés.

Ohh..le coquinou..hihihi...
Tenez...prenez ça
... hop et vas-y que je te glisse quelques berlingot dans les braies. Alors qu'elle terminait de saluer un client, un nain se porta à hauteur de ses yeux...

B'soir...seigneur...

Oh...ben t'es là toua ! Ton maitre t'a laissé sortir ce soir ? Susu s'approcha de Falstaff.


Alors ce soir....Lubrika fait son show avec son serpent...psssssss...ondulant des doigts devant le nain. Et voilà que le petit homme agite quelques écus devant les yeux de Susu.

Ah bonnnn ???...s'étonna Lucette. Alors comme ça le Vicomte se ramollirait ….oh...c'est les filles qui ne vont pas être contentes...il va leur donner plus de travail...dit-elle en affichant son éternel air de gallinacée.

T'en fait pas 'tit nain, j'vais pas t'oublier...et Sucette fit quelques mimiques avec sa bouche afin de donner un aperçut à Falstaff de ce qui l'attendait.
Un petit signe de la main, un sucre d'orge « Plaisir Ultime » glissé dans la chemise et la Susu se tourne vers un nouveau client.


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Merwyn
Ayant entendue parler de cet endroit en taverne, Merwyn s'y rend dans l'après midi. Après avoir cherchée un petit moment, elle trouve enfin l'entrée de la boutique. L'affiche a coté est sans équivoque.
Une fois a l'intérieur, une jeune matrone a l'accorte devanture la reçoit. Cette dernière essaye toujours de se placer entre elle et un rideau d'un rouge profond au fond de la pièce.
Souriant devant la manœuvre ostensible, la jeune femme demande divers renseignements sur les produits exposés et en obtient bien d'avantage dès qu'elle fait mine de vouloir se diriger vers le fond.
Après près d'une heure de négociations diverses elle s'en retourne avec un panier remplis de ses achats. La journée avait été fructueuse. Ses connaissances en herboristerie lui ont bien servie et avait également été complétée de nouvelles informations. Les parfums exotiques lui emplissent encore les narines. Sa bourse s'en trouve plus plate c'est certain mais c'est avec le sourire qu'elle retrouve la rue presque vide de cette fin de journée hivernale.
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)
Yolyne
en ville depuis quelques jours , sorya avait remarqué au détour d'une ruelle ,un établissement ,qui présentait en devanture ,des herbes et autres produits dont elle ignorait l'usage,elle cru d'abord qu'il s'agissait d'une herboristerie . n'étant pas souffrante ,elle n'y était pas entrée.c'est en discutant en taverne qu'on lui apprit qu'il s'agissait d'un lieu ou les dames faisaient la cuisine pour les mssirs .

sorya ne savait pas cuisiner mais puisqu'elle était devant ,elle décida d'y entrer, si on y faisait la cuisine ,elle pourrait certainement y manger.

elle passa la lourde porte,vit quelques mssirs qui attendaient visiblement d'être servit,bien calé sur des sofa de couleur rouge,certains semblaient même par leurs habits être des notables d'autres n'étaient que de simples paysans

au fond de la salle ,derrière le comptoir ,elle vit ce qui devait sans doute être la maitresse des lieux,une grosse bonne femme,un peu vulgaire,de rouge également vêtu ,cette couleur semblait être la couleur de ce lieu.

sorya s'approchât

b'soir m'dame
j'ai ouïe dire qu'on faisait la cuisine ici
j'ai très faim!


la maitresse des lieux me regarda étrangement


oh vous en faite pas ,je suis pas difficile,je mange de tout


sorya prit place sur un tabouret et s'accouda au comptoir

alors que me proposez vous !
pi non me proposer rien...je vous fait confiance,je suis certaine que j'aurai droit a votre meilleur plat


la maitresse des lieux me regardait toujours avec insistance sans dire mot


alors ?
se sera légumes ou crustacés ?
Hansreudi
Au pain sec et à l'eau en matière de relations libidineuses depuis quelques jours, c'est la bourse pleine et l'intérieur des braies prêt à imploser qu'il se résolut enfin à franchir la porte du lieu.

Enfin, la bourse pleine, pas celle contenant son argent, parce qu'avec 30 écus en poche sûr qu'il n'allait pas monter aux rideaux, où alors il en redescendrait aussi vite.

Il s'imaginait déjà avec des donzelles dans tous les coins, plus belles et appétissantes les unes que les autres, s'adonner à la "balançoire Berrichonne" avec des divinités de l'amour, enfin, un rêve quoi. Il riait en pensant à sa petite protégée, Sorya, à laquelle il avait été raconter que ce lieu renfermait des femmes qui faisaient la cuisine pour des hommes. La gueule de la cuisine. Heureusement que la ch'tite n'en avait pas cru un mot. Pi comment raconter ce qui s'y passe à une jeune femme qui pourrait être sa fille. D'ailleurs il avait bien essayé de l'adopter mais elle s'y était toujours opposée. Il sortit de ses pensées pour se plonger de nouveau dans celles plus charnelles qui l'attendaient.

Ça pour sûr qu'il ne fut pas déçu en franchissant la porte. Bien que n'étant pas un perdreau de la semaine et pas non plus du genre à courir après la jeunette, il était encore moins un adepte de croquer dans une poire blette.
Il avait dit à Sorya qu'elles faisaient la cuisine, sûr qu'elles devaient leur faire mais en dehors de la bécasse à talon au chancre mou des bois ou de la dinde à poils raz au gonocoque doré il n'aurait pas grand chose à se foutre sous la dent. Il jugeât les quelques naïades dont la marée n'était plus qu'un lointain souvenir et s'imaginait déjà en ressortir avec troupeau de morpions et autres puces savantes sous le chapiteau.

Il repéra tout de même une brunette qui se trouvait de dos, accoudée au comptoir, entrain de discuter avec ce qui semblait être la matrone du claque. Celle-ci devait juste commencer ses activités car ses formes laisser encore penser qu'il s'agissait bien d'une femme. ca tranchait un peu avec le reste du personnel.

Mais cette voix....cette allure et la phrase qui tue avec un accent Gascon dont seuls les initiés peuvent saisir quelques bribes de mots.... Il n'y croyait pas, ça ne pouvait être elle.


oh vous en faite pas ,je suis pas difficile,je mange de tout

...

alors ?
se sera légumes ou crustacés ?


Nul doute que c'était elle, sa protégé. S'approchant...

Sorya !!!!!!!!! Bordel, qu'est c'que tu fous là??? J'ten foutrais moi des crustacés, sûr que l'plateau d'fruits d'mer t'vas pas être déçue. Oublie pas l'citron pour voir si les bêtes sont t'jours vivantes. Tu cherches à t'faire embaucher ou quoi?

Partagé entre colère et amusement de la trouver ici, il continuait tout de même sa prospection de tendrons, des fois qu'une plus consommable que les autres sorte de derrière les fagots comme par enchantement.
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Yolyne
surprise par cette voix,forte et autoritaire,qu'elle commancait a bien connaitre, sorya se retourna d'un bond et après les premières secondes de surprise elle arbora un large sourire

hans !

pourquoi vous criez ! essayez vous
vous aussi vous avez faim ?

vos bourses sont pleines ?
j'pense pas que la nourriture soit trop chère ici

regarde la maitresse des lieux ,qui visiblement avait perdu la voix,puis fit un grand sourire a hans

vous en faite pas hans, c'est moi qui régale aujourd'hui


lui sourit

en attendant tavernière mettez nous deux bonnes bières !
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