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[RP] Alleluia !

Fleurinne
Hein ?

regard circulaire completement ahurie.

Heu ? j'suis ou ? c'est quoi ce bordel ?

Son gamin trotinne derrière elle, elle se retourne et le prend sur le coté de sa hanche en grimaçant, le fils est toujours là, les blessures sont elles aussi toujours là, sauf la ville ou elle était censé avoir dormit la veille...

Bon ça, j'comprend pas et j'vais pas chercher a comprendre !
Shirine
Provence... Provence... Doux nom qu'elle avait déjà prononcé, doux comté qu'elle avait rapidement visité... Au même titre que les autres, Shirine fait son étonnée pour commencer puis finit par en rire.

Elle songe aux habitants d'Annecy, se réveillant une première fois Helvètes puis un autre matin Provençaux... Qui sait dans trois jours s'ils ne deviendraient pas Bourguignons ou Berrichons.

Elle se dit ensuite qu'avec un peu de chance elle croiserait Thorvald! Ca s'rait drôle, il en serait surement le plus décontenancé...

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Lionelpsl
Il y'a un an des helvètes se battaient aux côtés des provençaux pour les aider à gagner leur liberté.
Le fait qu'Annecy se retouve soudain en provence ne peut être qu'un signe du ciel.
Les provençaux pourront voir qu'aujourd'hui c'est à genève et sans doute demain à l'helvétie, que l'empire s'attaque.

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--Lo_mouestre
Désolé, j'en profite pour vous imposer un trip roleplay


[Lo Mouestre, première partie]

Lo Mouestre avait préparé sa vengeance durant des mois et des mois, invoquant chaque nuit le Sans Nom dans le plus grand secret au cours de cérémonies étranges. Les nuits de pleine Lune, les messes synthétiques étaient l'occasion d'orgies dans le sang en Son Nom... ah ben non... en Son-Absence-de-Nom, pardon. Il avait accumulé assez de puissance, acquis assez de connaissances, gagné assez Sa confiance, pour mettre enfin à exécution ses plans de vengeance. La Grande Catin serait en Annecy, lui rapportait-on, avec toute la lie du monde connu : gens de France et d'Empire, gardes épiscopaux, barbares de Genève,... L'occasion était idéal de se débarrasser enfin de toute cette engeance !

Et le sang humain coula une première fois, celui d'une jeune demoiselle sans histoire qui avait compté sur une petite marguerite les années qui lui restaient avant le mariage, et avait cru dur comme fer que dans moins de deux ans elle connaîtrait le bonheur d'une épouse. Hélas, trois fois hélas, la volonté d'un monstre est généralement plus fort que la volonté des marguerites, et la petite fut sacrifiée pour que le Mouestre exécute ses plans. Le lendemain matin vit les vainqueurs, qui campaient désormais à Annecy, se réveiller en Arles, tandis que les confédérés, qui n'avaient pas su tenir les murailles de la ville, se réveillaient dans leur campement de fortune... sous les murs d'Arles !

Il la tuerait, il se le promit. Et tous les autres avec elle. Qu'ils crèvent. Tous.

Un grand rire résonna sur la plaine.
Maethor
Bien au chaud dans sa chambre, le fribourgeois était en repos forcé. Il avait donné de sa personne pour participer à la défaite des Lions et autres mécréants affiliés, au lieu de bêtement redescendre vers Arles égoistement.

Mais la journée était spéciale, lorsqu'il ouvrit sa fenêtre, ce n'est point les cimes enneigées des Alpes mais la mer Méditerrannée qui se dessinait devant lui.

Diantre se dit-il, le Très Haut m'aurait-il exaucé pour me faire attérir à l'endroit même de mes désirs ?

Réflexion faite, peut être que le soutien de la province rebelle mais Ô combien aristolécienne aiderait la Helvétie à se purifier de tant d'infâmie. La gangraine ayant atteint jusqu'au conseil confédéral dont la main mise genevoise n'avait eu pour effet que de précipiter les principes et valeurs d'une terre indépendante dans les méandres du désespoir.

S'il trouvait que le Marquisat n'était qu'un furoncle hideux, il avait pu voir à l'oeuvre certains de ses habitants venus sauver Annecy alors même qu'ils avaient toutes les raisons du monde de s'abstenir. La grande famille aristolécienne était encore assez puissante pour fédérer ses enfants contre les menaces du Sans Nom.

Il retourna se reposer le coeur léger...

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Acar
Diablerie... Trousver un curé, il opina du chef devers la princesse Armoria et ce mict en queste.

Néanmoins, de tente en tente il ameutait le monde poinct enscore resveillé.


Le Sans-Nom mes frères, oui, le Sans-Nom se joue de nous !

Puis se grattant la teste, il dict enscore plus fort : Parbleu, le Lion ! Voila esprict desmoniaque contre nous, il nous fauct prestement un curé !! Et il partict au pas de course...
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Shadowdemonking

Shadow sah von seinem Bette im Lazarett hoch, hörte er doch ein Stimmengewirr,
das schlimmer nicht sein konnte, einer schrie den anderen an, und immer wieder
war von Teufeln die Rede, von Ketzern und schlimmerem. Seufzend verfolgte er die
Leute, die vorbeigingen, mit seinem Blick, liess dann wieder von ihnen ab und... Was
konnte er denn schon zurzeit tun? Der Feind hatte Anzi, und er, er war ausser Stande,
in der nächsten Zeit von hier wegzukommen... So nahm er Feder und Tintenfässchen,
legte sie sorgfältig neben sich, nahm dann ein Stück Pergament... und began zu
schreiben.




Tag II ausserhalb der Eidgenossenschaft, 20. Jänner 1459

Der Feind marschiert durch die Strassen, Anzi ist verloren, bereits wurde es wieder los-
gesagt, und schon taucht die Frage auf, was mit uns passieren soll, mit uns Zurückge-
bliebenen, die ans Bett gebunden sind. Ich fürchte, wir werden bald vor dem Richter an-
traben müssen und dann in Schauprozessen unserem Schicksal entgegen sehen... Der-
weil patrouillieren immerzu des Feindes Wachen, so dass nichtmal das leiseste Finger-
zucken von Eidgenossen übersehen wird. Mögen Aristoteles und Christos über uns
wachen, denn wir können es nicht mehr selbst.



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Shadow a vu de son enfonce haut dans l'hôpital militaire, a quand même entendu lui un bruit,
cela ne pouvait pas être plus mauvais, un a crié après toujours à nouveau l'autre, et des diables
il, était question des hérétiques et de plus mauvais. Soupirant il a poursuivi ceux A déchargé
alors à nouveau les personnes qui ont passé, avec sa vue, d'eux et… Que pouvait-il faire donc
déjà actuellement ? L'ennemi a eu des Anzi, et lui, lui était incapable,dans un avenir proche
partir d'ici… Ainsi, il a pris la plume et un tonnelet d'encre, si elle a mis soigneusement à côté
de lui, un morceau de parchemin augmentait alors… et commencait à écrire.




Jour II à l'extérieur de la confédération, 20. Janvier 1459

L'ennemi marche par les routes, Anzi est, le devenait déjà à nouveau de détaché
dit, et déjà la question émerge ce qui doit se passer avec nous, avec retardés nous
qui sont liés au lit. Je crains, nous devenons bientôt devant le juge trotter devoir et
alors dans le processus de show contrairement à notre destin voir… Celui parce
que constamment l'ennemi des gardes patrouillent, de sorte que pas fois de doigt
le plus calme hausser par les suisses on omet. Des Aristoteles et des Christos sur
nous veulent éveillé, car nous ne le pouvons plus -même.

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Aubanne.
Elle en avait parlé la veille en taverne. Evoquant les couleurs éclatantes et les odeurs de la mer. Le coeur douloureux à la pensée de ceux qu'elle avait laissé là. Sans un mot.
Une fuite encore..

Et là, rêve éveillé.
La Provence venait à elle. Terriblement insolente.
Regarde moi mais ne me touche pas..

Véro, Vald..ou êtes vous....

Je reviendrais, il le faut.

La Savoie s'effaçait au loin....

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Brunovonquerfurt
Le vent se leve , un papier gras vient fouetter le visage de Bruno..


Eh ben il pert pas de temps le cureton!
En plus il laisse trainer ses saletés jusqu'en Provence,

pff aucun respect pour l'environnement celui là!



Citation:


    Croisade contre l'impie république réformée de Genève

    Nous, Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote,

    Actant que la république réformée de Genève, pour des motifs fallacieux dues à son raisonnement hérétique, est coupable d'avoir défait l'ordre établi en attaquant la pieuse ville d'Annecy du très aristotélicien Duché de Savoie, provoquant ainsi un conflit religieux majeur ayant eu pour conséquences des troubles militaires et politiques dramatiques qui auraient pu être évités si elle n'avait pas eu la prétention belliqueuse et malavisée de vouloir étendre son influence déjà illégitime,

    Actant que cette république réformée n'a aucunement fait preuve d'une quelconque volonté de repentir et de confession durant ces cinq dernières semaines, que ce soit auprès de la ville d'Annecy et du Duché de Savoie en particulier ou de la grande Amitié Aristotélicienne en général,

    Actant que cette république réformée a défié l'autorité impériale en ne montrant aucune volonté de cesser le combat afin de rétablir la paix sociale, et qu'elle s'est de plus alliée à des troupes de mercenaires et de brigands dans l'attaque de la ville de Belley qui a eu lieu le lundi 17 janvier, apportant par cet acte belliqueux une preuve supplémentaire et inadmissible de son comportement bafouant tous les idéaux et préceptes aristotéliciens, signe évident d'une dérive hérétique,

    Sommons les Saintes Armées de monter à Genève sous le commandement du Commandeur Hobb et de son second Karl06, de destituer par la force ce gouvernement inspiré par le sans nom et de mettre en place une autorité provisoire dans l'attente d'élections légitimes,

    Demandons à toutes les autorités temporelles compétentes d'apporter aux Saintes Armées leur aide militaire, financière, humaine et matérielle dans ce combat contre cette république réformée, dans toute la mesure du réalisable,

    Déclarons que toute entité apportant un soutien quelconque à la république réformée de Genève sera de fait considérée comme ennemie du Très Haut et donc susceptible de s'attirer les foudres de la Congrégation de la Sainte Inquisition,

    Et enfin informons que les autorités et le peuple de Confédération Helvétique n'ont rien à craindre vis-à-vis de cette croisade et que seul le gouvernement de Genève est visé par cette sainte croisade.



    Ad Majorem Dei Gloriam

    Fait à Rome le jeudi 20 janvier 1459,
    Pour le collège des Cardinaux, par Son Éminence MrGroar Von Valendras, Cardinal Connétable.


Nicbur
Plus de neige! Plus de froid! Une chaleur attroce! Tellement chaud que la dernière boule de neige en sa possession avait mis moins de 5 heures à fondre... C'est pas possible ça! qu'est ce qu'il se passe.

Un bref coup d'oeil dehors. Plus de montagne! La mer!!!


Lepam!! Lepam !!!

j'sais pas comment les copains ils ont fait, mais ils l'ont fait! Tu t'souviens la dernière fois, quand ils parlaient de proposer aux provençaux de venir jouer avec nous en Savoie? ben comme ils avaient pas eu de réponse favorable, ils ont déplacé Annecy jusqu'à la mer! Et tout ca en une nuit!


Sort la grille, et allume le Barbecue! on va s'régaler!

Puis envoies un message aux envahisseurs: Plus de combats entre 13 heures et 19 heures c'est la sieste. Et de 19 heures à 22 heures, c'est l'apéro comme ils disent ici.

Et tant que t'y est, sers moi un verre de leur alcool local. Tu sais, celui qu'ils coupent avec un peu d'eau. Aujourd'hui c'est repos.

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Qui qui c'est l'plus balèze? c'est bibi!!!
Iskander
Heing ...

Heeeuuu ...

Mais ... ma prairie ... ma prarie !

OU ES DONC PASSEE MA PRAIRIE ?

A la place, une muraille, des toits, des demeures, des gens, tout plein de gens, des étrangers sans doute.

Hem ...

Je devais avoir trop dormi.

En train de rêver sans doute.

Bah, c'est ainsi dans les rêves.

Oh, tiens, la Princesse Armoria ! Dans mon rêve !

Hem ... ma foi ...


OUHOUUU ! PRINCESSE ARMORIA !

Je m'approchai en poussant mes bêtes pour arriver près d'elle.

Enfin, pas parce que c'était un rêve qu'on pouvait se permettre des familiarités inconvenantes...

Je la saluai.


Bonjour Altesse.

Soyez la bienvenue dans mon rêve.

Je ne sais pas si vous me remettez. Je suis Iskander, berger à Marseille, entre autres choses.

Votre arrivée dans ma prairie avec toute une ville est assez déconcertante.

Comment allez-vous ?

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Armoria
Vous faites quoi, vous, quand on vous dit bonjour, même dans une situation pareille ? Hein ? Comment ça, vous ne vous êtes jamais retrouvé transporté avec toute une ville en l'espace d'une seule nuit sur quelques centaines de lieues ?

...

Ah.

Ben vous devriez essayer - parce que comme ça, vous pourriez me répondre, déjà.

Enfin, donc, en général, quand on vous dit bonjour, il y a un vieux réflexe - si, si, c'est ancestral - qui vous pousse à répondre quelque chose d'une banalité déconcertante :


Le bonjour, mon brave.

Et puis si jamais vous êtes dans la situation décrite ci-dessus et qu'on vous pose des questions... Là, c'est le drame.

Je... Je ne sais pas.

A l'entendre, il était du coin. Enfin, pas du coin de Savoie où elle était supposée se trouver, mais du coin où elle se trouvait alors qu'elle ne devrait pas.

Vous suivez ?


Mais... Vous me voyez ? Ah... Oui, évidemment, que vous me voyez, sans quoi vous ne pourriez me parler. C'est... déconcertant, en effet.

Elle se passa brièvement une main sur le front.

Vous n'allez sans doute pas me croire, mais... La ville, là... C'est Annecy. De Savoie. Dans les montagnes. Enfin, sauf que là, elle est chez vous. La sorcellerie est à l'œuvre, mon brave, venez prier avec nous, il en va peut-être de votre salut comme du nôtre !

Mais au fait... Allait-il pouvoir entrer en ville ? S'il la suivait pour prier, elle lui dirait d'être prudent aux abords de la porte.

C'est un peu comme lorsque l'on se réveille avec une barque sur la tête, vous savez ? Sauf que là...

Elle regarda une énième fois Annecy.

Annecy-en-Provence.

Puis elle se retourna vers l'homme et fronça le nez, perdue comme jamais.


... c'est une ville.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Iskander
C'est très déconcertant, n'est-ce pas ?

C'est un peu comme passer par une déchirure du rêve.

Cela semble si réel pourtant !


Je touchai les pierres pendant que mes bêtes passaient autour de nous à la recherche de brins de ... quelle drôle d'herbe. On en avait pas de la comme ça chez nous ...

Et bien, je suppose que nous pourrions trouver une petite place pour vous mettre en Provence, ou une grande place, si vous restiez.

Accepteriez-vous de partager mon repas ?

J'ai une giberne pleine, des fromages de brebis tout frais, du pain de la boulangerie de Vero, de la terrine d'agneau et du Pessac.

C'est un peu improvisé. Je me demande quel goût cela a, en rêve.

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Armoria
Elle s'alarma illico, un sourcil levé.

Mon brave, si c'est là une machination du sans-nom, n'allez surtout point croire que vous êtes en train de rêver : vous ne seriez plus sur vos gardes ! D'ailleurs, je ne sais s'il serait sage pour vous de franchir l'enceinte, ajouta-t-elle, réfléchissant. Baste ! Allons vers ma tente, j'ai besoin d'un remontant, et mon Corton doit être frais.

Elle s'empara d'autorité de la main du berger : ça, quand on a du caractère, on le garde en toutes circonstances...

Et ne m'obligez pas à vous pincer pour vous prouver votre éveil ! Tout ceci est réel, bien réel !

A moins que... De nouveau, elle s'arrêta, plongea deux doigts rapides dans son décolleté, et en sortit un mouchoir vanillé qu'elle fourra dans la main libre de son compagnon de... de... De "je sais pas où j'suis".

Voilà : si jamais nous repartions en Savoie, ceci vous aidera à savoir que vous n'avez point rêvé.

Et là, comme un doute dans la voix.

... Et vous me le prouverez aussi en me l'écrivant.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Iskander
Sentir une main douce, ferme dans son geste.

Puis de recevoir le tissu. Sentir la trame délicate, la couleur pastel tiède.

Je relevai les yeux vers elle, troublé.


Mais alors, vous êtes vraiment la Princesse Armoria ?

Et Annecy est vraiment en Provence, aux abords de Marseille ?

Je ...

Oui, je vais vous remettre un écrit. Il le faut, impérativement.


Je sortis la Plume, un morceau de vélin neuf, mon sceau et cette belle cire jaune des abeilles d'Israël, et me mis en devoir d'écrire quelque chose.



A l'attention de Son Altesse Armoria,
Et à l'Intention des gens d'Annecy présents ici ce jour,

Par la présente, je souhaite la bienvenue en terre provençale et marquisale à tous les gens d'Annecy qui s'y trouvent invités ce jour par quelque mystère que nous ne nous expliquons pas, qui fait qu'Annecy côtoie Marseille.

Qu'ils soient nos hôtes pour ce jour, et pour ceux qui suivront, autant que ce mystère durera, et que chacun leur fasse bon accueil.

Fait et scellé à la frontière ténue et étrange entre les pâturages de la bonne ville de Marseille, en Provence, et la belle ville d'Annecy, en Savoie, en ce moment où la fin du crépuscule du 20 janvier 1458 conduit à l'aurore du 21 janvier de la même année,

Iskander
Chancelier Comtal de Provence


Je soufflai un peu, puis authentifiai la page de mon sceau et lui fis lire ...

Hem ... il se fait qu'entre autres choses, je suis présentement Chancelier Comtal de Provence.

Et ... et bien je ne sais qu'ajouter.

Voulez-vous cosigner cela ?


Le mouchoir exhalait un parfum sucré que je ne connaissais pas.

Je lui demandai.


Qu'est-ce ?
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