Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>

[RP]Allégeances à la Comtesse Antonia

Lubna
Lub regardant vlad' dans le vacarme...

Que ce passe t il au juste?
...suis un peu perdu..


Elle pris une fiole de sa poche et elle engloutit son élixir!

_________________
Seleina
La brune, faussement interloquée :


Que nenni... J'espère au contraire que vous avez un ascendant vertueux sur lui. Bien pour c'la que je quémandais votre aide... Vous vous méprenez sur mes propos.

Mais il semble s'être évanoui lui aussi... Aurais-je frappé trop fort ?


Elle relâcha quelque peu la colerette que sa main crispée ne cessait de tirer vers le haut.
_________________
Aldaaregonde
Arégonde blêmit et s'approche d'Attila inquiète.

- Ne me dites pas que vous lui avez fait le coup du lapin ! Ou est-ce que votre coup de pied lui aurait blessé son orgueil le laissant coi ?

Quoi ? Le regard d'Arégonde se pose sur les braies d'Attila, elle rage ce n'est pas comme ça qu'elle aura enfin un héritier. Une main délicate se pose sur l'épaule de son Cousin.

- Atti mon Tendre est-ce que ça va ?
_________________
Carmody
IL était parvenu sur la scène du crime enfin du délit selon ses sens. Et à peine avait il atteint l'épaule qu'il se voyait repousser par un leu qui entendait continuer ses exaction salvatrice envers sa suzeraine. Et une volée de mots pour remettre les choses en ordres et expliquer son geste avant qu'il n'en commet un nouveau tout aussi déplacé envers la Blonde.

Le Carmo en aurait presque rit, si il ne s'était trouver totalement abasourdi, à la fois par les explications et par la scène qui semblait tiré d'un conte que l'on raconte au enfant par les curés pour les pousser répondre aux questions trop sensible. "Attention si tu reste immobile trop longtemps te que tu me dis pas ce que je veux savoir, le méchant Leu viendra te piquer." Ah faudra que le Roux se rappelle de celle là pour la ressortir à ses propres gamins et bien sur à la mère qui adorera qu'on lui rappelle cela.

Examinant la "chef de nous", il ne lui trouvait rien de bien moribond, Elle avait toujours eu un teint d'une pâleur quasi surnaturel et...... Oh mon dieu elle avait le visage tout rouge. Peut être bien avait il raison et qu'elle était en train de suffoquer. Non, non pas possible Carmo l'avait déjà vu manquer de souffle après de longs et très éprouvants exercices de retrouvailles quotidiennes et jamais elle n'avait ressemblé a cela c'était plutôt le contraire même. Il y avait un truc qui sentait mauvais du Royaume du Crapaud là.

Et voila maintenant que la Conversation mondaine se lançait sur le fond de qui était en tort chez les dames. Mais pourquoi il avait voulu venir le Roux déjà? IL aurait du écouter sa nièce quand elle avait demandé si la les deux blondes allaient....Ah mais bien sur pour l Blonde voila sa raison.

Reprenant ses esprit, il constata que le douloureux instrument avait parcoure son chemin dans les jupons comtaux et connaissant la Sensible elle n'allait tarder à exploser devant tant d'attentions. En un sens c'était peut être l'effet voulu.....


Mais oui elles ont raison, les deux Oiselles C'est de mes bon soin et pas des vos manipulations brutales qu'elle a besoin la Comtesse.

J'ai pas de Suzeraine mais qu'a cela ne tienne, Poussez vous donc que je vous montre ce qui va la faire réagir et la ferait même revenir d'entre les mort si j'allais au bout.


A ces mots, il s'avance et pousse passablement le Leu sur le coté avant de se coller contre le dos de la comtesse et de commencer à faire courir ses mains sur le tissu puis d'en glisser une sous le tissu au niveau du décolté tandis que l'autre descend sur les hanches et commence à remonter le jupon petit a petit.
Miel es tu là ou bien dois je de nouveau entièrement te gouter?
_________________
--Bombastus_troubalduc


- Un médecin! On a demandé un médecin!

Hop hop j'y vais aussi de mon encart hrp: "Bombie" vient d'arrriver à limoges, pas encore pris de sa crise de goutte, pas encore a Gueret. Voilà pour ceux qui s'inquieteraient de le voir bondir comme un cabri


- Seigneurmarijosef en kilt! Mais c'est terrrrrible!

Contre toute attente le bombé Bombastus, image vivante des excès alimentaires les plus criants, figure de proue de la graille à s'en faire péter la sous ventrière, héraut du "Manger bien pour bien conchier!", précurseur méconnu du futur François Rabelais (Docteur également mais pour l'heure encore dans les bourses paternelles), Bombastus Troubalduc donc, nouvellement arrivé en limousin, se précipita sacoche de maroquin à la main, sur le vicomte se démenant entre damoiselles toutes griffes dehors, damoiseaux échevelés, et Comtesse en pâmoison.

- Un Forcené! Cela se voit tout de suite! Maitrisez le! de peur qu'il ne me blesse!" dit alors le Docte Docteur. Se tenant derrière et à bonnes distances de l'éructant vicomte de St Gueulard, le Dr ouvrit sa sacoche et en sortit colossal maillet de charpentier, ses bras courts peinant à le faire grimper au dessus de sa volumineuse caboche.

- Ne bougez plus! J'anesthésie!

Hélas, le gras diplômé de Montpellier n'est pas aussi bon au croquet (qui n'existe pas encore au demeurant) qu'au maniement du saucisson. Le coup passa à une bonne main du crâne hérissé du vicomte, tandis que ce dernier commençait à se relever, se retourner vers son anesthésiste maladroit.
Bombastus trembla comme une motte de beurre au soleil en fixant le visage déformé par la colère du patient. Amorçant un retrait à petits pas chasssés, d'une réelle élégance pour un poussah d'une telle ampleur, il ne put que balbutier:


- V...v...VOUS?
Sindanarie
Et d'un coup... La foire. C'était tout bonnement la foire. Dix allégeances se succédèrent, plus ou moins cavalières, se télescopant presque, et soudain un tumulte s'éleva. Levant les yeux vers la Comtesse, elle n'eut que le temps de s'écarter avant qu'un Ysengrin en furie ne passe pour secouer Antonia comme un prunier. Enfin, pour la gifler. En hurlant qu'on lui amène un homme savant. Le tout dégénéra en une sublime foire d'empoigne, et tout ce que la jeune femme, qui s'était relevée, voyait, c'était sa suzeraine au centre des attentions de moins en moins délicates de bien trop de monde. Seule réaction possible : qu'aurait-elle fait s'il s'était agi de son suzerain ? Allez, on ferme les yeux, on remplace la Comtesse par le Pair, et ça donne...

Un geste sec libéra le poignard qui dormait dans sa manche, la poignée en tomba au creux de la paume de la jeune femme quand ses paupières se relevèrent un battement de coeur plus tard. Ses doigts se refermèrent autour, la lame resta encore sagement logée entre son avant-bras et le tissu de sa robe. Au prochain geste déplacé du Vicomte, ou de qui que ce soit d'ailleurs, elle le calmerait. Non, elle n'avait pas l'intention de lui couper la main ou de lui trancher la gorge, juste de l'obliger à reculer suffisamment pour qu'il ne représente une menace pour personne. Mais elle n'eut pas le temps de mettre en pratique avant qu'un être bedonnant et guère ragoûtant de prime abord déboula en hurlant en réponse aux appels précédents. Et se trouva bientôt à lever un maillet au-dessus du crâne du Leu avant de le manquer largement et de sembler le reconnaître.

A une époque encore très éloignée, Sindanarie aurait probablement lancé un retentisant "What the f...", mais ce n'était pas encore au goût du jour et elle ne put que marmonner diverses imprécations. Décidément, elle ne comprenait plus rien à ce foutoir. Mais alors, rien du tout... Et cette foutue de robe de b*rdel du Sans-Nom qui non seulement la gênait considérablement même en temps normal, mais qui en plus lui ôterait sans doute toute crédibilité si elle s'adressait à cette bande de vautours. Et un roux bien connu de la COLM de commencer ce qu'elle osait à peine qualifier d'avances tant ils lui semblèrent tendancieux. Surtout comme ça, en pleine cérémonie d'allégeances, au coeur de l'hiver, à l'air, au beau milieu de la grand-place de Limoges, et en public... C'en était trop, la jeune femme ne put plus y tenir et explosa littéralement :


Mais c'est pas possible, on ne vous a jamais dit qu'il faut laisser respirer les gens, surtout quand ça n'a pas l'air d'aller ? Ecartez-vous, tous ! Maintenant !

Et puis défection, quoi, qu'on laisse faire ceux qui avaient un peu de médecine pratique dans leurs bagages... Et qu'on éloigne cette espèce de hibou excité du maillet, que le remède ne soit pas pire que le mal !
_________________
Arthaud
Arthaud avait assiste a toute la scene de loin quand elle avait vu le leu se jettait sur anna son sang n'avait qu'un tour . Usant des coudes pour acceder au milieu de la foule a anna . Elle avait vu carmody arrivait et au lieu de secourir sa belle sonne sous les coup du vicomte , elle l'avait vu agir de maniere plus que deplace en ce lieu . C'est alors qu'un'huluberlu avait surgir avec son maillet . Elle atteignait enfin l'estrade quand elle vit que sind avait plus rapide qu'elle.

Repoussant le monde sind fit la seule chose de logique , elle ecarta la foule
Arrivant a ses cotes elle se precipita vers anna que les coups du avec bel et bien assomme. Ne s'occupant que d'elle, elle examina anna les joues en feu mais les levres legerement bleuies par le manque d'air . Elle ouvrit legerementt la houppelande de facon a degager sa poitrine et lui fit respirer un petit flacon pour lui faire reprendre ses esprits .

La comtesse ouvrit les yeux en toussotant et reprit peu a peu ses esprits ce qui rassura arthaud. C'est alors que regardant carmo elle lui dit

«Si vous voulez aider sa blondeur, trouvez lui donc un verre d'eau cela sera plus utile pour elle»

Puis se retournant vers le leu elle lui assena d'un ton sec
«Vous venez deliberement et devant de porter la main sur celle a qui vous etes cense porter secours. C'est a mon sens un acte tres grave vicomte la comtesse decidera de qui semble bon de faire mais quand a moi je trouve cela inqualifiable»

Puis vers sind«merci a toi d'etre intervenu si vite, j'etais si loin j'ai vraiment cru qu'il la tuait »puis retournant vers sa patiente qui semblait emerger

«Ca va comtesse vous pouvez parler»
_________________
Vladilir
Vladilir était atterré, non pas que la tournure de grand foutoir que prenait cette cérémonie d'allégence l'étonnât outre mesure mais il avait rêvé d'un peu plus de tenue de la bonne société Limousine pour son premier passage en ces lieux avec Lubna. Elle qui avait une bien piètre opinion des titres et des quartiers de noblesse, celà ne pourrait que la conforter dans son opinion.

S'adressant à Lubna

Eh bien voici le bonne noblesse liousine dans son état de grâce, un jeune fougueux qui se sent obligé de faire des coups d'éclat pour avoir le sentiment d'exister et toute la sainte clique qui accourt pour participer au spectacle.

Avec un peu plus grand-guignolerie ils vont finir par nous la tuer la comtesse et on sera dans de beaux draps on n'aura même pas pu prêter allégence.
Tu paries que cela va encore me valloir un pigeon de rappel de la part de Marche et ça va à nouveau nous coûter son poids en graine pour renvoyer mon allégence alors qu'on aurait pu expédier ça proprement ça ici tout en faisant les pique assiette.

Quand cela se sera un peu calmé, je te présenterai à mes amis mais là tout le monde est tellement excité qu'il ne faudrait pas grand chose pour que les épées quittent leur foureau.

Viens éloingons nous un peu avant de prendre un mauvais coup

_________________
Nebisa
Citation:
Par la grâce d'Aristote,
nous, Brec'hellean Ddeallgar, humble seigneur de Sarran, des Rosiers d'Egletons et de St Martial d'Entraygues en Limousin-Marche,

à vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Brec'hellean Ddeallgar, humble seigneur de Sarran, des Rosiers d'Egletons et de St Martial d'Entraygues en le Comté du Limousin et de la Marche, a écrit et ratifié,

Depuis une route de Bretagne, le 12 Fevrier 1459.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.


_________________
Nebisa
  • Zya62 d'Arduilet
    Comtesse de Meymac
    Baronne d'Albussac


  • Nebisa de Malemort,
    Comtesse de Ségur
    Vicomtesse de Chabrières
    Dame douairiére de Lussac les Eglises

  • Ursin et Marie Antoinette de Lasteyries
    Comte et Comtesse de Comborn (Ursin)
    Baron et Baronne de Saint Léonard de Noblat (Ursin) et d'Aubazine (Marie Antoinette)


  • Ewaele de la Boesniéres,
    Comtesse de Laroche Aymond
    Baronne de Mirambel


  • Gilles de Carpadant
    Vicomte de Bellac


  • Dhéa d'Ysengrin
    Vicomtesse de Droux ( Douaire Balrog)



  • Adrian Fauconier
    Vicomte d'Isle

  • Raspoutine Saincte Merveille
    Vicomte de Lastours

  • Marie Alice et Flaiche Alterac
    Vicomtes d'Arnarc Pompadour[Marie Alice]
    Barons d'Eymoutiers [Marie Alice] et de Saint Julien le Chastel [Flaiche]


  • Dragonet de Castelcerf
    Vicomte de Saint Germain les Belles

  • Tiboulola Jagellon
    Vicomtesse de Bellegarde en Marche DCD


  • Attila Caligula d'Ysengrin
    Vicomte de Saint Pardoux
    Baron de Laroche Canillac


  • AldaArégonde d'Ysengrin
    Vicomtesse d'Excideuil

  • Childebert,
    Vicomte d'Argentat

  • Antonia
    Vicomtesse de Chamberet
    Dame de Sannat


  • Ariadne
    Vicomtesse d'Ayen


  • Alcyone
    Vicomtesse d'Aubusson
    Baronne du Dorat
    Dame de Sainte Anne

  • Valériane deGonzague
    Baronne de Chateauvert
    Dame d'Oradour-Saint-Genest (SIM du Dorat)

  • Bess Saincte Merveille
    Baronne de Saint Angel (Bess)
    Dame du Mazet


  • Enguerrand de Lazare,
    Baron du Bazaneix
    Seigneur de Saint Juien le Pélerin(Vassal Carboniére)


  • Solveig Bradburry,
    Baronne de Davignac

  • Alexandre, Seigneur de Pierre-Buffière

  • Juliette de Lasteyrie, Dame de Dame de Meyssac

  • Vladilir, Seigneur de Naves

  • Breccan,
    Seigneur des Rosiers d'Egletons (Finitou, SM) ,
    Seigneur de Saint Martial d'Entraygue (SM)


  • Sindanarie, Dame de Viam

  • Shiska, Seigneur de Vignols

  • Ginger, Seigneur de Lubersac

  • Ratou42, Dame de Saint Augustin

  • Wolfloner, Seigneur de Pierrefitte

  • Auxanne, Dame de Masseret et de Saint Bonnet l'Enfantier [SIM- Comborn]

  • Forcehung, Seigneur de Thiat

  • Arthaud, Dame d'Allassac

  • Seleina Romans, Dame de Neuville

  • Gabin de Rien, Seigneur de Segonzac


  • Leanice, Dame du Buis


Le petit récapitulatif fait, la Malemort s'avance pour bailler son allégeance, la cérémonie ne tarderait plus à s'achever.


Nous, Nebisa de Malemort, Comtesse de Ségur, Vicomtesse de Chabrières, Dame douairière de Lussac, vous reconnaissons, Antonia de Rocheclaire comme notre légitimé suzeraine, Comtesse du Limousin et de la Marche.

Nous vous jurons obsequium, auxilium et consilium en guise de notre sincère dévouement.

L'allégea,ce acceptée, elle se reculera pour laisser la place à un autre retardataire.


Le rouge et le vert sont réservés à la censure merci d'utiliser une autre couleur. Deirdre.

_________________
Antonia
Il existe une règle élémentaire dans le RP : ne jamais faire agir un perso ou lui faire subir des choses sans l’accord du joueur…


Et puis tout s'emballe, ne comprend plus rien, gifle etc... Instant de latence pour comprendre et se met à hurler et à pousser tout le monde:

Vous ne pouvez pas attendre votre tour comme tout le monde.

Respire à fond et répond à Sindanarie :

Sindanarie Carsenac, pour vos terres de Viam, nous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse du Limousin et la Marche, vous accordons Protection, Justice et Subsistance.

Fait l’accolade à la brune.
_________________
Vladilir
Profitant d'un moment de quasi normalité, Vladilir prit Lubna par le pras et l'entraîna avec lui jusque devant le trône comtal ; bousculant par là même quelques jeunes gens venus pavaner. Ne ralentissant le pas qu'à une douzaine de coudée de la comtesse, il déclara :

Moi, Vladilir, Seigneur de Naves,
je vous reconnais vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse régnante du Limousin et de la Marche, comme ma suzeraine légitime. A ce titre, je vous promets aide, conseil, fidélité et respect. Si un conflit venait vous opposer vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse du Limousin et de la Marche, ma suzeraine, à un tiers, je jure que je prendrais parti pour vous.
Je vous jure à vous comme au comté du Limousin et de la marche mon plus profond attachement, soyez certaine de mon dévouement sans faille.

_________________
Bradbury
Pendant ce temps là, Brad qui était arrivée au début des annoblissements, baillait aux corneilles, le froid de l'hiver l'ayant plongée dans un fort engourdissement du corps et de l'esprit, ce qui fait qu'elle n'avait absolument rien vue de ce qui se passait.

Plusieurs personnes, lui avait griller la politesse, comme de bien entendu, en même temps, elle passait complètement inaperçue donc fallait pas s’étonner, aussi elle profita, du moment de calme et du passage de Vladilir pour se glisser à ses côtés, et faire sa déclaration en même temps que lui.


Pardonnez moi, Vostre Grandeur, de cette manière cavalière de m'imposer et avant que vous répondiez à mon ami Vladilir, puisque je dois repartir promptement sur les remparts, je souhaite présenter mon allégeance en même temps que lui. Se tourne légèrement vers lui, tout en ne cessant de regarder la Comtesse. Je suis sûre qu'il ne m'en voudra point.

Se tourne vers la Comtesse.
Nous, Solveig Bradbury, Baronne de Davignac,
Nous vous reconnaissons vous, Antonia de Rocheclaire, Comtesse régnante du Limousin et de la Marche, comme notre suzeraine légitime aussi nous vous jurons obsequium, auxilium et consilium.


Puis attends à côté de Vladilir, la réponse ou…l’orage.
_________________




Bannière en construction ad vitam eternam!!
Vladilir
Non mais cela vous prend souvent de couper la ...

Réagissant tout d'abord dansun accès de colère contre l'importune, Vlad seravisa bien vite en reconnaissant celle qui parlait à ses côtés ; continuant à voix plus basse :

Oh pardon baronne ; enfin Brad, je ne t'avais pas reconnu, mais il faut dire que dans le foutoir de ces allégences il n'est pas facile de s'y retrouver.
Quelle mouche l'a piqué de faire ça ici où rien n'est aménagé, c'est pourtant bien plus simple dans la grande salle comtale où chacun se positonne selon son rang, on passe à la queue leuleu et ça se déroule comme on enfile des perles ...

Je n'étais pas revenu en Limousin depuis longtemps mais je constate que rien n'y a changé finalement, dans le bon comme dans le mauvais sens.

Dès que la comtesse nous aura répondu .. ou congédié violemment à voir ... j'e profiterai pour te présenter Lubna macompagne.

_________________
Carmody
Léger moment de flottement où le roux aurait pu se croire de retour chez eux si la fraîcheur de la place n'avait exercé son office. Le calme se reposait peu a peu puis vint à être briser de nouveau par un manieur de maillet qui avait le VIcomte pour cible. Cela fit sourire une seconde Carmody avant qu'il ne continue ses gestes. Cela était certainement le mieux à faire pour Calme les ardeurs du Leu, le raisonnement oral de sa cousine, ni de personne, n'y parvenant.

Et de nouveau l'intervention de deux nobles dame de la région pour venir à laide de leur Grandeur aimée cette fois. On le somma de s'écarter de la Comtesse d'une part mais n'était ce pas ce qu'il s'appliquait à l'aider de faire par le massage de sa poitrine familière. Avec un regard noir, il obtempéra et recula de quelques pas. Tant habitué à se faire obéir ces gens qu'il ne leur venait même plus a l'idée que d'autres méthodes que les leur pouvait porter leur fruit. Et d'autre part, on lui sembla qu'on allait même jusqu'à le prendre pour l'un des domestiques en livrée comtale, vêture qu'il était bien loin de porté pourtant. Ainsi ne révéla t il même pas la remarque. Si de l’eau était nécessaire, les nobles gambettes pouvaient bien aller la chercher par elles même et le Roux ne voyait aucune raison de tremper la robe en ce lieu, Ce en ferait qu'empirer les choses.

Laissant faire celle qui semblait se comporter comme la médicastre officielle de la Comtesse, il regardait comment se portait la Blonde et fut soulager de la voir lentement revenir à elle. Puis ce fut le choc pour lui, La blonde se mit à hurler et congédier toute les personnes proches d'elle avant que de reprendre le cours de sa cérémonie perturbé dans son cours sans même un regard ou un mot pour lui. Puis il se souvient qu'il était au coté du Régnant du Limousin et plus de sa promise. Pourquoi l'avait-il oublié un court instant? Comme les autres, sa presence sur l'estrade et ses gestes l'avait importunée et indisposée, voila l'état de fait qui lui apparaissait donc avec ce qui se déroulait à présent.

Alors les yeux du Roux se firent vacant et un sourire torve déforma les trait de son visage. Tournant les talons, il fixa la foule avec ses yeux vide et lanca.


Madame la Comtesse semble s'être remise parfaitement de son tourment, je vais donc la laisser avec les siens et attendrais qu'elle me fasse mander à elle pour ce dont je lui sers uniquement. Elle a fort à faire maintenant.

Redescendant lentement les marches qu'il avait précédemment franchi avec hâte, le Carmo retournait à sa place dans la foule des limousins anonymes qui étaient venus assister à cette cérémonie au tournant particulier. Bien trop particulier pour lui a son goût.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)