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[RP] Ultimatum.

Ashikaga_yoshimasa
    Le ciel s’assombrissait… Cependant des feux prirent naissance un à un sur l’étendue faisant face au village. Le silence possédait cette fin de journée… Cependant c’est l’attroupement discipliné d’une armée qui avait raisonné le long des sillages. Maintenant, seul des crépitements et une intense attente … Qui étaient-il ? Cela n’avait pas été annoncé, que voulaient-ils ? Des ombres se détachaient au loin, dans ce camp faussement paisible. Un groupe se détacha et prirent une allure de cavaliers, passant les portes en terme de messagers. Ils mandaient au nom du Daimyo et d’Oda et cela fut fait.

    Passant fièrement à cheval sur l’avenue principale encore affairée jusqu’à la place centrale, un des hommes sauta prestement et tandis qu’un des autres guerriers tenait la monture. Le messager déroula le vélin et commença ce que l’on appelle La Criée. En temps normal, le Daimyo aurait utilisé le porte parole pour cela, mais ce dernier se trouvait être surement sur les routes à trafiquer pour d’autre labeurs que ceux favorables au Kuni. Aussi le messager aux couleurs d’Oda, énonça le message de l’Administrateur de la région en terme exacte et d’une vois fort claire qui se répandait en hauteur et qui ameutait la foule.


Citation:
Que cela soit lu et entendu,

Que cela soit su et comprit,

A Gero,

A Hiko no Saruta

Et à tous habitants des environs.


Nous, Ashikaga no Yoshimasa en notre statut de Daimyo no Oda, demandons au Shomin illégitime actuel, Hiko no Saruta, de démissionner de son poste de Shomin. Et cela sans aucune possibilité de contestation ou de négociation. Que ce qui est demandé soit entendu et exécuté et ce pour le bien et la libre expression de Gero quant aux suffrages exprimés. Et ce, sans pillage. Une salle procédurale l’y attendrait directement ainsi qu’une mise en cellule.

Aussi, qu’il soit su qu’une armée lui interdit toute fuite. Elle sera établie sur Gero ce Jeudi en 13 du Premier mois de l’an 1459, après les quinze heures sonnées et attend à trouver le Sô évacué par Hiko no Saruta et de son compagnon, l’étranger Tokagarusan avant cette heure là sous peine de représailles. Pour le bien de Gero et de ses habitants, nous demandons qu’aucune défense ne soit acceptée à la demande du félon Hiko no Saruta. Que chacun se tienne fidèle à Oda et acceptent d’ouvrir les portes de leur ville à leur propre armée, car elle leur appartient, et qu’ainsi aucun sang ne coule. Katana no Oda prendra le Sô.

Le Général Kazuhiro no Guidel et nous même nous tiendrons à disposition et lançons un appel à ceux ou celles se sentant capable de supporter la responsabilité du Sô. Sachant que nous avons deux jeunes femmes économistes dévouées, prêtes à guider pas après pas tout débutant à l’âme honorable et à l’esprit volontaire qui se voudrait agir pour le bien de son village. Vous assurant que le Daikan et l’Intendant au Commerce ont déjà réussit à sortir, avec du temps et de la patience, les Sô de Nakatsugawa et de Gifu d’une extrême difficulté dont ils en ressentent encore aujourd’hui les blessures.

Nous demandons aux Mercenaires Namichan et tous autres ayant été établis pour la défense de Gero de se présenter au Joukaku des Forces Armées pour y fournir les informations essentielles à la vigilance du village et ainsi pour pouvoir garder informé le futur Shomin du nombre de miliciens nécessaires selon la menace. Aussi, un appel est fait à tout homme ou femme souhaitant rejoindre l’Armée Katana no Oda et participer à sa Gloire et à sa magnificence. Pour ce faire le Général se disposera auprès du Peuple dès que le Sô sera retiré des mains du félon Hiko no Saruta.


Vive Gero !

Gloire au Peuple d’Oda !




Pour la Paix et le Progrès,

Ashikaga no Yoshimasa,

Daimyo no Oda.


    Et l'homme se retira avec fière allure après avoir placardé le vélin a la vu de tous.

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Nathsumi
Gero, une fin d'après midi calme et morne, semblable a tous les autres jours qu'elle avait passé ici depuis son retour. Sur la grande place, assise sur un muret a l'ombre d'une vieille pagode, Nathsumi observait la foule grouillante en aiguisant sa lame. Regarder ainsi les gens vaquer a leurs occupations constituait sa seule distraction depuis plusieurs semaines. Son dernier voyage s'étant mal terminé suite a la rencontre de plusieurs brigands bien armés, la Voyageuse était rentrée panser ses blessures chez elle et se retrouvait dans l'obligation d'y rester, le temps d'être totalement rétablie.

Elle suivait distraitement le flot de la population, les marchands qui tardaient a ranger leurs étales, les femmes qui se dépêchaient de terminer leurs emplettes, les enfants qui couraient en tous sens, quand du bruit a l'entrée le la ville la sortit de ses pensées. Des cavaliers.

Intriguée, la jeune femme délaissa pour quelques instants son katana et porta son regard vers l'entrée de la place, d'où ne tarda pas a apparaitre un détachement d'armée. L'un des cavaliers descendit de sa monture et s'avança, sortit un vélin qu'il déplia et lut a voix haute. Nath tendit l'oreille et écouta attentivement la déclaration.

Une fois le cavalier reparti vers son campement, Nathsumi se remit tranquillement a affuter son arme, mais son regard ne se portait plus sur la foule. Les yeux perdus dans le vague, elle réfléchissait a ce qu'elle venait d'apprendre et surtout a ce qu'elle allait faire. Rester neutre et laisser les choses se faire, ou prendre position? Elle se savait bien incapable de rester stoïquement a regarder les autres se battre pour son village. Mais d'un autre coté, rejoindre les rangs de l'armée ne l'enchanté pas plus. Étant d'un naturel solitaire et indépendant, elle s'imaginait bien mal aux ordres d'un parfait étranger en qui elle n'aurait aucune confiance.

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Saburo
C'est avec soulagement que Saburo constata que le général avait tenu sa promesse, à lui d'honorer la sienne maintenant. Il fallait seulement qu'il puisse le faire, pour cela il ferait tout ce qui était possible.

Retournant pour la dernière fois à Gero il constata à quel point ce lieux était devenu mort. La ville était déserte, quelques estropiés jonchés les rues. La mort aussi bien matériel qu'abstraite régnait en ces lieux.

La seule population qui semblait encore vivante était tenu par des gens dont le dialecte était inconnu. Même si il avait finit de grandir dans cette ville, elle n'apportait plus que regret et désespoir. Dans l'insécurité des lieux, il prit sa fille dans ses bras, afin de sentir son petit corps contre lui. Elle aussi sentait l'ambiance régnante.

Ballotés par leur chariot, les menant une dernière fois au domaine Akuma, avant d'en investir une dernière fois les lieux et de partir loin, loin de tout ce foutoir et de cette mauvaise foi.

Alors que le cortège avançait dans la rue, il dut cependant faire une halte. Une des roues était branlante. Il fallait la réparer et Saburo ne voulait prendre aucun risque avec l'enfant. Même si il aurait préféré détaler au plus vite.
Contraint de se dégourdir les jambes il constata de plus près la ville déserte. Enfin presque, une femme semblait occupée à affuter une arme étrange. Il la fixa, la main sur son arme, on était jamais assez prudent.
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Shiva
Shiva arrive et veut savoir qui va etre le nouveau Shomin, si Saruta demissionne....
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Ashikaga_yoshimasa
    Les lumières de la nuit s’éteignirent une à une. Tout comme les feux, parsemés devant la ville, qui laissèrent s’élever une fumée épaisse sous les jets d’eaux versés. Une soirée passée à s’installer, premier matin… L’appel avait été lancé, c’est au nom d’Oda qu’ils s’en étaient venu et s’attendaient à ne recevoir aucune résistance, si ce n’est celle d’un seul homme. Le Daimyo se trouvait même parmi eux en signe d’agrément officiel, entourée d’une garde qu’elle n’avait pas même demandé mais qu’elle supportait. Par devoir tout du moins, elle se serait suffit de la présence de son Bushi, le seul qu’elle acceptait, le seul dont elle avait un besoin incessant et qui représentait au delà d’une protection, une écoute fidèle. Il était aussi son oreille et sa voix ; Atsuhito l’homme de Confiance.

    Ce n’était pas un corps d’arme bien féroce qui s’avançait. En vérité cela ressemblait plus à une délégation. Il y avait là des jeunes filles nobles, somptueusement vêtues, mais sachant manier le sabre depuis la plus tendre enfance du fait de leur descendance. Des militaires fiers prenant le devant, et une protection rapprochées. Mais pas de lances prête à en découdre sur un large terrain, juste un ensemble de guerriers venant prendre position dans une ville laissée à l’abandon et prêt à défendre les personnalités si elles venaient à être prise à partie par le Félon ou l’un de ses suivants aveugles au milieu d’une foule excitée. Sait-on jamais ce que l’on pouvait trouver à l’intérieure. C’est donc avec étonnement qu’ils virent les portes se refermer devant eux. Et des hommes venir les tenailler, des visages furent reconnus. Des personnes embauchées au mercenariat dont on avait demandé à ce qu’ils baissent les armes.

    Que se passait-il ? Oda trahirait-elle Oda ? Ou est-ce que la communication n’était pas passée comme elle se devait. Se n’est que plus tard que la jeune femme l’apprendrait. En attendant, ils ne pouvaient reculer. Tandis que les escortes les entourèrent, les jeunes filles déchirèrent précipitamment leurs vêtements qui entravaient leur mouvement et le temps qu’elles empoignent leur arme, hommes et femmes de mêlèrent. Yoshimasa, repoussait plus qu’elle ne perçait. A croire qu’Oda aimait envoyer son propre sang comme de la chaire à patté. Un regard, au travers d’un kabuto bien reconnaissable capta le sien. Il fonçait droit sur elle, Yoshimasa le savait et l’apprécia fortement. « Viens par là que je te pourfende…» Se dit-elle. La hargne crispa sa mâchoire mais alors qu’elle allait s’élancer sur Saruta au travers des malheureux miliciens, une mercenaire s’interposa devant elle et faillit la désarçonner.

    Elle n’eut le temps que de voir son Bushi s’interposer, toucher une première fois un adversaire avant de se faire blesser sauvagement, un cisaillement du torse au ventre, par le lâche de Saruta. Une colère l’envahit et sa main tenant le Tsurugi fendit l’air pour punir, venger et se trouver un chemin jusqu'au Traitre. Mais on la retint, sa garde l’entourât et la défendit tandis qu’elle criait le nom de Saruta au travers du combat. Puis ses yeux cherchèrent Atsuhito, et c’est ce prénom qui s’échappa de ses lèvres inquiètes quand elle le vit effondré sur le sol. Elle fit envoyer un homme pour mander la retraite au Général alors qu’elle descendait de sa monture pour se jeter sur le Bushi. Quelques minutes après, il fut emporté et tous se réunirent au camp.

    - Atsuhito…

    Agenouillée, prêt de son lit de camp. L’homme agonisait. Le Seii Taishogun se releva lentement, son visage atrocement impassible. Si c’était là son habitude, en une telle situation, son expression devenait effrayante. C’est alors qu’elle croisa Riyu en sortant de la tente d’infirmerie. Il avait été blessé que légèrement et pourrait à nouveau combattre. Mais la sourde colère qu’elle étouffait s’intensifia. Ses deux plus proches guerriers avaient été touchés, trois de l’autre camp avaient été, quant à eux, grièvement pourfendu. Le prochain combat… Ce n’était pas une délégation qui se porterait sur Gero… Avant de sortir, elle pressa amicalement l'épaule du Samurai-Daisho qui posait sur elle un regard désolé et sortit. Ashikaga no Yoshimasa passa ensuite sous la tente du Général et ils mobilisèrent cette fois tout le camp… Saruta paierait pour sa félonie !

    Des nuits et des journées passèrent sans qu’elle ne sorte de cette tente, ni elle, ni le Grénéral Kazuhiro. Seuls des soldats étaient appelés et renvoyés selon les demandes et les débat se faisant ainsi que des pigeons reliant le Daimyo au Conseil. Enfin, ils sortirent. De son coté le Général alla veiller de la distribution des armes, quant à elle… Le Maître Ashikaga savait ce qu’elle devait faire. Sur son chemin, elle croisa Miyamoto no Kazushi. Humblement mais le regard plus fermé que d’habitude, elle s’inclina devant lui et passa son chemin. Elle, s’arrêta ensuite devant la tente d’infirmerie dont les battants volaient au vent, laissant entre-percevoir le Bushi allongé. La jeune femme resta un long moment ainsi, immobile, plantée sur ses deux pieds, les mains croisées dans son dos. N’y avait-il pas à l’intérieure, âme digne et assoiffée de justice pour délivrer Gero ? Yoshimasa n’aimait pas l’idée de prendre de force, elle aurait préféré que Gero se délivre par ses propres cris.

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Ashikaga_ailisha
    Elle ne bougera pas!

    Namého.

    Elle reste assise alors, à les regarder tomber un à un, jolie hécatombe. Ai' fait partie des somptueuses jeunes filles et que personne n'ose me demander comment se fait-il qu'elle reste à les regarder, peu horrifier par l'art de la guerre et cette couleur rouge vif, qu'elle trouvait fort attrayante, qui revenait sans cesse.

    Ainsi, Yoshimasa, sa cousine Seii affectueusement nommée Tata Yosh mais que cela reste entre-nous, Ailisha tient à sa tête qui est plutôt bien faîte.
    Il parait que son futur beau-père, le bushi Atsuhito est tombé. Il l'a insulté la vieille en gargote, ou taquiné, mais la donzelle est à un âge ou la taquinerie lui parait d'un goût fort décalé.
    Il parait aussi que ses nièces les ont suivit, savent-elles au moins se battre?
    Ukiyoe, Astue. Qu'elles étaient jeunes! Qu'elles lui semblait jeune, à elle, Ailisha, leur tante de quelques mois leur ainée.


    Ne meurs pas Atsuhito. Je n'ai pas encore eut le temps de savoir si tu allais rendre ma soeur heureuse. Elle le mérite tellement tu sais!
    Et dans un murmure, et avec honte, elle continue d'espérer, non pas le rétablissement du jeune homme, mais l'arrivée fortuite d'une cargaison de Namagashi qui pour se rendre utile pourrait tomber sur ses maudits opposants avant de se rendre avec leur pieds de namagashi jusqu'à sa personne.

    Oda qui se révolte contre Oda. Concept absurde.

    Il lui semble qu'elle a passer le début de la bataille dehors à se cacher derrière son nouveau sensei, Ashikaga no Chiguru, Musha-Daisho du clan, ou l'homme-sans-barbe, mais de lassitude, car l'opium n'a pas pour vocation de vous laisser dans un grande fraicheur durant un temps extensible, elle avait fuit la bataille.

    -Et l'premier qui dit encore...bien il aura raison...

    « Atsue! »

    La donzelle nommée Ai crie à l'intention de sa nièce. La dernière à courut! Elle se tenait pourtant juste à côté, toute discrète comme à son habitude, tellement que le Colocolo aux noisettes si terribles ne la pas remarquer.
    Atsue a oublier son katana. Elle a oublier son arme.


    « ATSUE! » Elle s'époumone, travaillant ainsi un gosier fatigué du passage de la fumée, « Bordel! Reviens... »

    Et si elle court pour la trouver, se fera-t-elle découper avant de l'atteindre? Et si sa nièce se fait découper car Ai n'aura pas prit le risque de se faire zigouiller?
    La donzelle prend l'arme, ouvre la tente.
    Atsue. La belle ne la voit plus. Elle ne veut pas encore causer la perte de quelqu'un de son clan. La fuite d'Ukiyoe, la mésaventure de Yoshimasa, son souvenir des lézards.
    Peut-être est-ce trop.

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Ashikaga_yoshimasa
Ce n’était plus le même jeu. Jours après jour de longs trafiques avait lieu dans le camp. Des bruits métalliques se faisaient entendre, des musiques féroces la nuit et un silence de mort le jour. Yoshimasa n’était plus sortie de sa tente. Et encore, seuls les Daisho et les pigeons allaient et venaient. Des groupes d’hommes importants se présentaient et s’en allaient, bientôt un chef aux couleurs Matsudaira devint un habitué de ces allées et venues avec le Général Kazuhiro. La guerrière n’était plus allée voir le Bushi alité. En vérité elle se tenait loin de lui le sachant éveillé, se nourrissant des ses dernières visions pour mener à bien cette dernière tentative. Un jour vint où le Général lui apporta un pigeon venant du Félon… « Je capitule les portes vous sont ouvertes. » Disait-il… Mais les jours suivant, ce qu’en rapportèrent les hommes planqués, délivrait que des miliciens tournaient sur les remparts. En tout cas, les mercenaires avaient cessé leur défense, le message était passé.

Il était temps maintenant. Les armes étaient affilées, les armures nouées… L’Armée s’avançait en trois groupes distincts. Le Général sur le devant avec les gros des Ashikaga, le Daimyo et les soldats de l’Oda officielle et les Matsudaira concluant le mouvement d’un puissant pas. Les « défenseurs » ne s’attardèrent pas. Chaotique et désordonnés, ils plongèrent sur eux maladroitement. Katana no Oda engagea donc le combat dans un même mouvement qui unit chaque unité, telle une vague harmonieuse. La guerrière en ressenti l’excitation et un glorieux sentiment d’honneur la traverser. Oui, il était bon de se battre pour ses valeurs. « Gueguerre ? » Peut-être aurait-on préféré qu’elle reste assise à son bureau pour répliquer aux diffamations qui s’accumulaient ? « Mes actes me justifieront ! » C’est ce qu’elle avait toujours répliqué, que maintenant ils en observent l’accomplissement. Si la grandeur n’en était que peu élevée, le geste en lui-même portait sa lourde signification.

Ses gardes resserraient un peu trop leur protection à son gout, la jeune femme commençait à s’irriter de ne pouvoir frapper et surtout de ne pas voir le visage de Saruta parmi les traitres. Cependant, un katana fit briller son éclat non loin et tournant la tête elle pu admirer le coup de cisaille de Matsudaira no Kenschi sur l’un des adversaires. La jeune femme lui sourit de loin en faisant tourner sa monture pour vérifier du coté de son Clan. « Bordel ! » Oui… C’est bien ce qui traversa son esprit quand elle aperçu une jeune petite écervelée foncer dans le tas en oubliant son sabre et une seconde courir juste derrière avec justement le dit katana. Yoshimasa abandonna donc sa position mais une monture traversa le terrain à folle allure lui coupant la route. Ce qu’elle vit ? Une Atsue enragée taper sur le crâne d’un « méchant » mais se faire ensuite descendre de monture par la réplique d’un autre.

Son cœur s’arrêta un instant à cette vue quand le Maître Miyamoto no Kazushi vengea la jeune fille tombée en enfonçant son katana dans les entrailles ennemis. Le Seii Taishogun ne perçu pas que le combat était terminé, ni que le Général avait enfoncé les portes de Gero. Elle descendit d’Ebène et alla auprès de la jeune fille, la souleva dans ses bras avec quelques difficultés appelant d’un simple regarde le Seigneur à l’allure fière sur son destrier et la plaça sur sa jument avant de l’emporter au camp. Au passage son regard sombre s’arrêta sur Ai’ et lui intima en silence de filer sous sa tente. Atsue fut déposée non loin d’Atsuhito qui se redressa vivement. Yoshimasa sortit avant que les questions ne tombent et fit face à l’extérieur au Chef du Clan Miyamoto qui l’attendait, peut-être anxieusement... Toujours sans un mot, elle s’approcha, lui accorda un regard plus ou moins reconnaissant et remonta en scelle. Fière, hautaine… Le Daimyo mena sa monture au coté du Seigneur vêtu de sang.

La vola qui pénètre l’enceinte. Calme… Vide… Jusqu’à la place ou sont regard croisa celui du Lézard qu’elle ignora au passage et s’ensuivit d’une jeune fille aux allures chevronnées qui lui plu. Yoshimasa avait ses défauts, mais elle savait reconnaitre certaines choses par expérience. Ne disant mot, elle fixa alors un point invisible jusqu'à ce qu’elle rejoigne le Général qui déjà bottait les fesses du Félon hors du Sô. Par la suite une longue nuit sans repos en lequel le Général et elle-même faisait état du Sô. Ce dernier était lamentable avec un déficits de plus de huit cent koban. Une annonce ne tarda guère, le Daimyo recherchai maintenant un Shomin n'ayant aucun passif judiciaire et des mercenaires compétents :


Citation:
Konnichi wa à tous!

Je suis Kazuhiro Guidel, général d'Oda et par ce fait, membre du kuni élu par le peuple.

La reprise de Gero nous a été difficile, mais nous sommes parvenus à renverser Saruta Hiko avec toute la bonne volonté de l'armée et de certains membres de la famille Ashikaga et de la famille Matsudaira.

Je vous demanderais de vous montrer patients un moment, le temps que nous analysions l'état de la ville pour tenter de la faire renaître de ces cendres.

Je suis prêt à recevoir vos demandes et vos suggestions sur la gestion de la ville en attendant cela.

Soyez assurés de tout mon dévouement pour vous et pour Oda.

Général Kazuhiro Guidel, serviteur du peuple.

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