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[RP] A la guerre comme à la guerre

Agenor
Agenor venait d'arriver en ville. Elle en avait eu assez des crottés des montagnes ! Une quinzaine d'années qu'elle partageait la soue qu'habitaient ses parents. C'était plus que suffisant !!!

Depuis quelques mois, elle avait changé : les petits gars du hameau la poursuivaient sans cesse, une main qui cy, une bécot qui là, le regard humide et envieux, le pantalon béant...
Aucun miroir pour lui donner une idée d'elle-même, hormis ces zieutées exorbitées... Il était temps qu'elle parte !

Elle se fit un balluchon avec une chemise de rechange. Enfila son tricot couleur locale : c'est-à-dire du jaunâtre pisseux de la laine brute et mal cardée que filait sa mère. Elle prit un bâton.
N'embrassa pas ses vieux.
Ils l'avaient pondue et l'avait nourrie.
Et battue.
Et ...son père ...elle n'aimait pas son regard non plus.
Faut dire qu'entre sa mère gâteuse et crachottante, sa femme informe, moustachue suintant la sueur, les vieux laitages et la bouse, il préférait encore prendre la chèvre....Et devait se dire... qu'entre la fille et la chèvre... Aristote fermerait sans doute les yeux au moment opportun
.

Agenor arriva donc en ville. Quelques sous. Deux miches de pain dans sa besace. Un air ... de grand air dans les yeux qui brillaient derrière la tignasse blonde.

On lui dit que c'était la guerre et que la révolte grondait.
C'est la faute à pas de chance mais c'est la vie.
Elle n'allait pas se laisser abattre pour cela.


- Non, fillette, je n'ai pas de travail pour toi. J'ai même du temps libre ... viens là bas si tu veux, je te nourrirai...


Agenor se demanda le rapport entre donner à manger et avoir du temps libre.
Elle le sut très vite.
Le fermier l'attrapa, la jeta sur le foin et la prit, vite fait.
Il rajusta ses braies en sifflotant, puis donna un coup de pied dans le broc ébréché où se trouvaient les restes des cochons.


- Tiens petite pute, mange donc.

Et il sortit de la grange en riant , un rire mauvais découvrait ses dents gâtées.

Agenor rajusta ses hardes, regarda la bouffe des cochons. Elle ravala ses larmes. Et s'appuyant sur ce qui lui restait de fierté alla voir dans les mines.

Là encore, rien... La mine d'or était fermée, l'autre était pleine, il n'y avait de la place que pour 30 mineurs. Une armée de miséreux se pressait aux portes pour être embauchée.
Elle n'attendit pas et alla proposer ses services au curé.
Mangeant sa croûte de pain dans la sacristie, elle lorgnait vers le vin de messe... tendit la main... Et se signa. Elle n'osait pas.

Le lendemain, même histoire... Pas de travail, pas de place à la mine. Elle retourna dans l'église. Dans les tavernes les gens étaient plein de bonne intentions, mais indifférents.

- Allez donc miner..
- Mais il n'y a pas de place.
- tentez votre chance chez les paysans.
- ils n'embauchent pas les gens comme moi.


Là dessus, les conversations reprenaient. La misérable devenait invisible.

De colère, elle sortit en claquant la porte !
Puis se mit à errer dans la ville.
Se dit qu'elle ne devait pas être laide... Pas autant que la morue distinguée qui l'avait "conseillée".

- A la guerre comme à la guerre.

La gamine n'avait pas froid aux yeux.
Elle se dit que la prochaine fois qu'elle ouvrirait les cuisses, elle s'assurerait de son dîner avant que de donner satisfaction au bourgeois.

Elle alla se laver au lavoir.
- Je dois être présentable se dit-elle, sinon je ne pêcherai que les crève la faim.

Elle ébouriffa ses cheveux, entrouvrit l'échancrure de sa chemise et remonta d'une ceinture le bas de sa tunique.
Elle laissait voir une jolie jambe aux attaches encore fines, des pieds soignés , elle assura son regard et se posta à la sortie des tavernes.

Elle suivait les chaland d'un regard appuyé, la bouche entrouverte.Elle avait l'instinct de ces choses-là... Elle lisait dans le coeur des hommes comme dans un livre...


Un quidam s'arrêta, hésitant....
- Bonjour Messire... Un peu de chaleur ? J'en ai à revendre... pour une bouchée de pain !


RP ouvert MAIS IG Agenor est réellement une crève-la-faim et donc ne répondra aux avances des messieurs ( ou des dames) que contre l'achat d'une miche de pain à 12 écus.
A vot'bon coeur !!!
Envoyez-moi un MP

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Walter_berk
Les temps ne sont pas faciles en ce moment pour les habitants de Chambéry et les quelques voyageurs qui arrivent encore à y passer.
La cause en est la guerre mais Walter lui ne voit là qu’une simple crainte pour sa taverne où les clients se font rares dernièrement.
Il reste toujours les habitués mais les nouveaux visages se font dorénavant prier. Pourtant, il n’a pas ouvert cette taverne dans le simple but de pouvoir renflouer ses poches d’argent, loin de là même.
La Harpe sans corde, c’est le nom que porte cette sombre bâtisse située à l’extérieur des murs de la ville et dont seuls les plus miséreux osent y rester pendant de longs instants.
C’est une taverne destiné aux mendiants, aux gueux et aux malfrats, tant que ceux-ci ne préparent rien de mauvais à partir de cette même taverne, Walter lui n’aura jamais aucun ennui avec les soldats de la ville.

De plus, il est sans doute le seul tavernier à agir ainsi pour laisser ses clients seuls et partir s’aventurer en ville pour faire quelques courses.
Pour le moment, les choppes ont toujours été payées, il n’y a jamais eu le moindre problème, qu’il soit présent ou non.
Ce n’est pas la confiance qui le pousse à agir ainsi, bien au contraire, c’est juste que les miséreux savent très bien ce qui est bon ou non de faire, il est lui-même passé par là avant d’arriver à Chambéry.
Il y a quelques semaines, il arpentait encore les routes sinueuses des montagnes environnantes, il s’était proclamé vendeur ambulant.
Vendeur de nombreuses choses la plupart du temps trouvés en chemin et bien qu’il peinait à vivre, il a tout de même réussit à tenir pendant de nombreuses années…

Pour l’heure, Walter vient tout juste de passer la porte est des murs de la ville car sa taverne se situe bien à l’extérieur de Chambéry, là où se trouvent encore de nombreuses rues et ruelles.
La situation géographique de la Harpe sans corde lui permettait bien entendu de pouvoir profiter pleinement du calme ce qui n’était pas le cas pour les autres tavernes situées en centre ville.
Un petit tonneau de bière sous son bras et une cuisse de jambon qu’il tenait en bandoulière de son autre main, il pensait tout simplement aux quelques clients qu’il pourra servir convenablement pour le milieu de journée approchant à vive allure.
Croisant quelques habitants de Chambéry, des connaissances ou des clients, il ne manqua pas de répondre au salut de ceux-ci quand il en avait l’occasion.
Peu amateur de gentillesse et de politesse, il se forçait ainsi tout de même, usant de bonne volonté pour se faire bien voir, c’était la seule façon de bien s’intégrer à la ville en réalité.

Sourire sur le coin des lèvres, il s’avançait lentement, la marche avait été des plus longues et il mettrait sans doute tout le reste de la journée pour s’en remettre.
Satisfaction personnelle que de savoir sa taverne proche, il entend déjà les rires provenant de celle-ci. Tournant à l’angle d’une ruelle pour faire son entrée dans la rue portant le nom de la « route d’Italie », un détail attira son attention.
Une femme aux allures des plus… attirantes s’était postée à la sortie de sa taverne et celle-ci osait même inviter les passants pour un moment de plaisir d’un simple regard.
Une putain, Walter ne voyait que ça mais le seul ennui à ceci, c’est que sa taverne était loin d’être une bâtisse offrant des plaisirs de chaire et pour se rassurer au sujet de cette idée, il continua son avancée.
Certains passants le regardèrent car eux aussi avaient remarqués la présence de cette femme et ils doutaient bien entendu sur le fait que Walter soit son patron.
Le tavernier s’arrêta à quelques mètres de celle-ci, attendant que les derniers clients fassent leur entrée dans la taverne, c’est une fois en tête à tête avec la délicieuse inconnue qu’il lui dit.


« Hé, c’est pas un bordel ici ! »

La regardant de haut en bas, il osa même ajouter.

« T’as vu comment tu t’présente, tu vas chopper la mort. »

Encore une jeune femme en quête de gloire ou d’argent, elle était la seule à pouvoir le savoir et ainsi, le tavernier posa au sol le tonneau de bière sur lequel il déposa délicatement la cuisse de jambon fort appétissante.
Se redressant lentement, il regarda la putain droit dans les yeux, le voilà qu’il allait encore faire une bonne action aux services des basses catégories sociales de ces terres.


« Pour combien d’écus t’vas faire ta belle ailleurs ? »

Ce n’était peut-être pas la meilleure des choses à lui demander mais il était sincère. Si elle voulait le gite et le couvert, elle l’aurait même sans doute sans payer mais si elle désirait la Harpe pour faire son métier, c’était tout bonnement hors de question…
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* Taverne de la Harpe sans corde (rp) - Présent en fin de semaine.
Agenor
Des hommes passaient. Se hâtaient en la voyant.

Citation:
Bonjour Messire... Un peu de chaleur ? J'en ai à revendre...


Ah ouiche... Elle crevait de froid la fille ! Et se demandait bien où elle pourrait loger. Quand elle avait travaillé pour l'église, elle s'y était cachée.

Mais aujourd'hui c'était dimanche.
Elle avait chassé le mâle autour du saint lieu. Pour sûr que le curé ne fermerait plus les yeux sur sa présence.

Elle serra son chandail de laine sale autour des épaules. Ne pas l'enfiler, il lui couvrirait le décoleté... Un homme s'approcha, lourdement chargé. Il la regarda d'un air intéressé... la détaillant tranquillement.

Elle lui fit son plus beau sourire... Aguicheur. Enfin pas tant que cela, elle avait un bon fond, la petiote.

Et puis le jambon .... ah ce jambon....les sens aiguisés de la pauvresse avaient capté un arôme, qui la faisait saliver.... Et tiens, elle s'en sentait des picotements aux yeux... Elle s'avança... il dut se méprendre car il lui dit gentiment :

Citation:
« T’as vu comment tu t’présente, tu vas chopper la mort. »


Elle ne put rien répondre tant l'odeur du jambon l'accaparait.
Elle resta là, les bras ballants, la bouche entr'ouverte....


Citation:
« Pour combien d’écus t’vas faire ta belle ailleurs ? »


Elle sursauta !
Non ! Elle n'irait pas ailleurs... Elle suivrait le jambon.
Elle regarda le propriétaire, il n'était pas vilain garçon.. Il avait une douceur dans les yeux....

Elle ôta le chiffon de laine, cambra les reins et s'approcha pour laisser les yeux du jeune homme se délecter de ce qu'il y avait à voir dans son corsage...

- Et pourquoi ne ferais-je pas le belle pour vous... Mon seigneur ?

Elle lui prit la main et la posa sur son sein....
- J'ai bon coeur, messire... et jolie peau... et reins vaillants....

Elle eut un sourire un peu plus tremblant....
- Par pitié... messire, vous m'avez l'air aimable ... je ne mendie point.... Je vous serai à bonne usance ... votre gen... votre jamb... votre gentillesse vous sera rendue au centuple....
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Walter_berk
Une catin, une fille de joie, tous les termes sont bons pour la décrire mais chacune des femmes qui exercent cette fonction ont leur propre raison.
Et d’ailleurs, celle-ci ne semblait pas comprendre le sens des mots de la première phrase prononcée par le jeune tavernier qui en quelques sortes tentait de la jeter.
Elle n’avait rien à faire ainsi devant la Harpe sans corde à faire la belle et la douce pour le plaisir des yeux des clients de la taverne et autres passants.
Il remarqua tout de même quelque chose, à peine après avoir déposé le jambon à ses cotés, celle-ci ne put s’empêcher de manifester son envie de… manger.
Tout de suite, le regard de la belle devint légèrement différent mais elle ne cessa pas pour autant sa comédie de jolie femme aux désires sans limite.

Elle s’approcha même de lui avant de retirer un linge qui lui recouvrait la poitrine. Sans aucune gêne, Walter posa son regard quelques instants sur le corsage de la jeune femme.
Seulement celle-ci eu même le courage de se saisir de sa main pour la déposer sur sa poitrine, la peau sèche et usée de la main de Walter vint rencontrer une poitrine douce et ferme mais il ne fit rien.
C’est lentement qu’il retira sa main, regardant la jeune catin cette fois ci droit dans les yeux et écoutant ce qu’elle lui dit.
Proposition plutôt alléchante en fait mais Walter n’avait pas le temps de s’occuper d’elle, qui sait peut-être un peu plus tard dans la soirée, il verra bien en fait bien que son état d’esprit à l’égard de la jeune femme n’est pas changé d’un poil.


« Ta proposition est bien bonne mais j’ai pas l’temps ! »

Ses lèvres, sourire différent, paroles ne ressemblant en aucun cas aux précédentes. « Par pitié », pourquoi le supplier ainsi…
Le tavernier commence à comprendre, le froid et la faim en viennent à bout de cette charmante jeune femme.
La Harpe sans corde va encore accueillir un petit estomac vide pour le plus grand plaisir de son tavernier qui est de bon cœur quand il le faut.
Offrir le gite et le couvert, il faut même parfois savoir le faire gratuitement sans en abuser non plus mais nombreux sont les mendiants qui apprécient Walter pour ses gestes de bonté.


« Votre gentillesse hein ? C’est pas plutôt mon jambon qui t’fait envie ? »

Il n’attendait aucune réponse à sa question, la catin n’avait pas besoin d’en rajouter plus, Walter allait lui offrir ce qu’elle désirait et sans qu’elle n’est besoin d’offrir son corps.

« Allez suis moi et cache moi cette poitrine ! »

Sans un mot de plus, il ramassa le petit tonneau et le morceau de jambon avant de pousser la porte de sa taverne avec son épaule.
Les clients étaient nombreux en ce dimanche, des rires, des pleurs, quelques disputes, de la bière et des victuailles, quelques jeux de plaisirs sur les coins, ce même homme qui s’endort toujours sur le comptoir. Bienvenue à la Harpe sans corde !!!

Se frayant un chemin, il traversa la taverne en long avant d’arriver à son comptoir qu’il contourna, s’engouffrant dans une autre pièce à l’arrière dont l’entrée était cachée par un rideau de tissu noir.
La cuisine, il y était enfin arrivé et c’est à bout de force qu’il déposa ses courses sur une table en bois sur laquelle reposaient déjà bon nombre de nourritures bien emballées.
Prenant appui sur cette même tablée, il attendit de voir si la jeune femme avait réussit à le suivre ou non…

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* Taverne de la Harpe sans corde (rp) - Présent en fin de semaine.
Agenor
Citation:
« Allez suis moi et cache moi cette poitrine ! »


La dernière fois qu'on avait dit de suivre, elle s'en souvenait... Ce n'était pas si vieux.... Mais elle n'avait rien gagné... qu'un peu plus de froid et de sentiment de dégringoler, de perdre.
Elle haussa la épaules
- Les gens comme moi ne descendent pas bien bas.... on y est déjà, tout en bas....
Et l'homme là, c'était un vrai jambon qu'il portait, comme négligemment sur l'épaule. En plus il était moins laid et plus ragoûtant... et puis là au moins il faisait chaud....

Elle enfila le vieux chandail puisqu'il le demandait.
Elle respira un grand coup, puis entra.

L'atmosphère était puissamment odorante : la bière, la fumée de l'âtre, les corps guenilleux entassés dans la chaleur moite....
Elle fronça le nez.
Et fut tout de suite consciente des regards qui l'avaient attrapée dès son entrée et la suivaient.
Où il était le messire ?

Elle se sentit perdue.
Stationna au comptoir et regarda autour d'elle...
Il n'était point là.Mais d'autres hommes bien, quelques femmes aussi.
Des "clients" peut-être.... Rencontrer un homme bien ne suffisait pas à remplir son escarcelle. Elle ne mangeait pas le rôt à son odeur.
Allez courage, ma vieille, rien n'est acquis ici-bas.

Elle bomba le torse tout en regrettant d'avoir enfilé cet affreuse loque malodorante,elle étira sa jambe pour mettre en valeur ses jolis mollets et sourit dans le vague. Elle n'osa point cependant par respect pour l'homme qui l'avait abordée faire son boniment.

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Walter_berk
Walter se fichait pas mal de savoir ce qu’elle faisait devant sa taverne à exhiber ses courbes mais il ne faut pas avoir un bon statut pour deviner qu’elle a du plaisir à revendre aux plus intéressés.
Il aurait eu du temps devant lui, qui sait peut-être qu’il se serait aventuré avec elle l’espace de quelques instants, juste le temps de prendre du bon temps mais là, ce n’était pas vraiment le bon moment en réalité.

Le jeune tavernier ne pensait rien en ce qui concernait le fait que cette jeune femme puis ainsi vendre son corps malgré le jeune âge qu’elle devait avoir, c’est sans doute le plus vieux métier qui puisse exister et il le respecte.
Ne répondant rien à ce qu’elle lui dit avant d’entrer à l’intérieur de la sombre bâtisse, il lui laissa le choix de le suivre ou non mais celle-ci ne semblait pas s’être aventuré jusque dans la cuisine.

Dommage, elle aurait été au chaud et au calme, loin de toute l’agitation de la pièce principale. Il espérait simplement qu’elle ne ferait pas la belle dans sa taverne au risque d’éveiller tous les vieux loubards qui se trouvaient là.
Calmement, il découpait déjà quelques tranches de jambon qu’il déposa sans grand soin sur une planche de bois qui servait à manger.

Un peu de pain et une choppe d’un bon vin traditionnel des environs et c’est avec le tout qu’il revint dans la taverne.
De derrière son comptoir, il vit la jeune rousse de l’autre coté de celui-ci et c’est sans hésiter qu’il s’avança avant de déposer le plat sur le comptoir, sous ses yeux.


« Allez mange, profites en ! »

Petit clin d’œil à son égard, espérant lui faire comprendre que tout ceci serait bien entendu gratuit pour elle, elle n’aura pas à dépenser un seul écu.
C’était sa bonne action du jour, espérons le la dernière mais si elle en a besoin, elle pourra passer autant de temps qu’elle souhaite dans la Harpe sans corde, elle pourra même y dormir si elle se sent attiré par le sommeil.
Cette taverne n’avait rien de semblable à toutes les autres de Chambéry, ici tout le monde peut boire, manger, se battre même et enfin passer la nuit toute entière ici même.

Le temps des nobles et des bonnes manières est désormais résolus, il faut l’avouer, tout a changé et il faut désormais laisser place à ceux qui en ont le plus besoin et ce depuis toujours.
Un jour viendra où même les habitants de la Cour des miracles se réuniront pour aller piller les marchés de Paris dans le but de se remplir l’estomac, ceux-ci sont rongés par la faim sans cesse.

S’accoudant à son comptoir, il jeta un rapide coup d’œil sur la pièce en face de lui, que des habitués pour la plupart.
Quelques détrousseurs qui ne se font pas encore connaitre, des mercenaires, quelques mendiants et certains anciens soldats qui ne veulent plus retourner dans les autres tavernes.

Ici, même les nobles peuvent venir mais c’est à leurs risques et périls, tout le monde est prévenu et tant que des gardes ne viennent pas pour me mettre en garde, il ne fera rien et il ne dira rien pour calmer tout ça.
Une fois une rapide inspection de sa taverne faite, il se concentra à nouveau sur la jeune rousse fasse à lui, il espérait bien que celle-ci allait mordre à pleines dents avant que quelqu’un ne vienne lui chiper tout le contenu de son plat.

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* Taverne de la Harpe sans corde (rp) - Présent en fin de semaine.
--Fredo_la_main_froide


Fredo prenait son verre tranquilou à la taverne de la Harpe sans cordes.
Il avait le temps. Le verre devait durer. Il n'avait plus le sou.
Les temps sont durs pour les pauv'gens... se dit-il, mi rigolant, mi morose.
Fredo était sans emploi comme on dit. Ne manquait pas d'activités l'homme à tout faire, même le moins avouable. Mais là, l'était en rade.

Il vit entrer une gamine frigorifiée enveloppée dans un maigre vêtement en laine crasseuse. Intéressé, il la vit s'installer au comptoir.
- Dommage qu'il y a le chiffon se dit-il. Comme tous les mâles du lieu, ne lui échappait pas le moindre des mouvements de la fille.
Il se déplaça latéralement sur le banc de la table pour mieux voir.

Le patron rentra et posa une planche devant la belle qui plongea dessus.
- Ces salauds de boutiquiers gagnent toujours , se dit-il encore. Le gras là n'aura qu'à claquer des doigts et il l'aura pour lui, facile à deviner. La gueuse n'a rien à perdre. Même pas sa vertu.

L'homme se sentit croître une chaleur dans les braies.
Regarda autour de lui, visiblement, pensaient tous comme lui, les marlous. Et devaient tous être incommodés au même endroit.

Il se leva, carra des épaules.
L'était pas gros, lui. Mais dangereux. Ils le savaient les pauvres hères qui l'avait croisé pour affaires, la plupart.

Il s'accouda au comptoir à côté d'elle.
-Mazette, l'est encore plus jolie de près... En plus, elle sent bon.

Il jeta un regard aigu au tenancier, celui-ci était étonnamment distant.
- Tss, encore un p'tit saint vertueux.

- Bonjour, messire tavernier... On nourrit les oiseaux tombés du nid ?
Fit-il en désignant la fille d'un pouce faussement désintéressé.

Des jolis seins ronds pointaient sous les haillons, une taille faite au tour, des reins...ma foi... prometteurs. Il eut du mal à poser sa paluche sur le comptoir.

Fredo-la-main-froide se devait garder sa réputation, sa main ne tremblait jamais, ni dans la poche du riche, ni sur le coutel vengeur... ni sur le cul d'une fille.
Il se tourna vers la jeune fille :

- Alors, petit oisillon frigorifié...on dirait que tu as trouvé de nouveaux parents ? Le tavernier t'a adoptée ?
Agenor
Agenor sentait tous les regards des mâles posés sur elle.
Une tension très perceptible régnait dans l'auberge enfumée.
Elle regardait par en dessous, tous ces regards fichés, bien sûr pas sur ses yeux !

Elle se dépêcha de manger le jambon posé devant elle.
Un homme s'approchait , elle l'entendit.

Citation:
Bonjour, messire tavernier... On nourrit les oiseaux tombés du nid ?


Elle continua à manger, toujours ça de pris !
et puis, on ne lui parlait pas à elle.
Elle n'avait rien à décider !
Mais l'homme continuait : visiblement, il aimait qu'on lui réponde.

Citation:
Alors, petit oisillon frigorifié...on dirait que tu as trouvé de nouveaux parents ? Le tavernier t'a adoptée ?


Agenor jeta un oeil sur l'aubergiste qui baissa les siens.
Elle regarda alors l'homme qui lui parlait en face.
Un long nez, le menton en galoche...
Un air qui lui inspira une petite crainte lovée au creux de l'estomac enfin rempli pour quelques heures.
Sans doute, est-ce cette impression nouvelle de satiété qui lui donnait de l'assurance et lui fit répondre :

- En quoi cela t'intéresse ? Tu veux être mon oncle ?
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Herector
Herector errait dans la ville , il ne savait pas vraiment quoi faire après être sorti du château de la Garde Impériale qui se situait non loin de Chambéry . Il ne s'était même pas prit la peine de retirer son uniforme , en même temps il trouvait que l'uniforme était confortable , et puis soyons honnête , c'est la classe de se balader avec une uniforme d'officier de la Garde Impériale .
La vie d'un blessé de guerre presque guéri n'était pas la plus belle , surtout dans une ville où l'activité restait a désirer par moment . Les moments d'ennuis n'étaient guères rares ! et cela pouvait beaucoup frustrer .
Il avançait et s'arrêta devant une taverne et jetait un oeil par la fenêtre , peut-être aurait-il des gens qui sait ! Il apercevait une jeune femme qui semblait affamée et un homme , un vieil homme défraichi , du moins c'est ce qu'il croyait apercevoir . Il réfléchissait un court moment puis se décidait a rentrer dans la taverne , au moins il rencontrerait des nouvelles personnes ! Il regardait si son uniforme de commandeur de la Garde Impériale était bien mise , fallait bien qu'il soit présentable ! il ouvrit la porte et entrait dans la taverne , il s'avança doucement vers la table où se trouvait la jeune demoiselle , on entendait chacun de ses pas avec ses bottes cirées et avec une allure d'homme fier et fort . Il regardait l'homme a côté qui n'était guère accueillant , on aurait cru un paria , il regarda la jeune demoiselle et sourit .


Bien le bonjour !

Il la regarda de haut en bas , du moins de ce qui était visible d'elle . Elle ne semblait pas bien riche et il voulait bien lui offrir un verre , voir plus si elle le désirait !

Je peux vous offrir un verre ? bien sûr c'est moi qui paye !
Walter_berk
Walter s’en serait douté, faire venir ainsi une jeune femme dans sa taverne alors qu’elle n’a que des plaisirs de chaire à offrir n’était pas forcément une bonne idée.
Et même pour un tavernier à l’esprit un peu déplacé, il lui fallait bien de temps en temps faire preuve de bonne volonté et c’est ce qu’il a fait en lui offrant à manger.

Dans cette taverne, tous les gueux et autres malfrats sont le bienvenu et Walter préfère ça plutôt que de voir débarquer des hommes et femmes fortement bien vêtus et sentant la rose.
Cette idée le dégoute, il préfère amplement sa crasse plutôt que le mode de vie de ces nobles qui se croient les maitres de tout.
Mais ceux-ci n’auront jamais le monopole de la situation sur des hommes comme Walter, des révolutionnaires dans l’âme qui tentent de vivre différemment.

Quelques instants à peine après que la rousse est été servit qu’un des clients vint au comptoir aux cotés de celle-ci.
Un client que Walter ne connaissait pas personnellement mais qu’il avait déjà vu plusieurs fois en ces lieux, une grande gueule encore une fois.
Le tavernier ne répondit rien aux avances plutôt déplacés de cet homme, préférant lui répondre avec un sourire sur le coin des lèvres.

Et puis si tout doit dégénérer et bien Walter n’aura qu’à le saigner comme il l’a déjà fait tant de fois quand il se battait aux cotés de la Horde Sanguinaire autrefois.
Etonné, Walter vit la jeune rousse répondre comme il le fallait à ce client un peu trop sur de lui, sans doute avait-il trop abusé de la boisson qui sait.

Mais le centre d’intention de tout le monde en ces lieux changea bien vite. Les nombreux clients présents dans la taverne s’arrêtèrent tous de parler presque instinctivement à la venue d’un inconnu en uniforme.
Quelques insultes commencèrent à être prononcées de partout alors que ce même inconnu, sans doute un soldat s’avançait lentement.

Plus aucun bruit et ce n’est pas ce qui l’empêcha de s’adresser à la jeune rousse d’une façon qui déplaisait fortement à Walter.
En ces lieux, personne ne prend le dessus sur la situation et encore moins si ce n’est pas un miséreux, les soldats n’ont pas leur place en ce lieu.


« Personne n’offre de chopine à personne ici, consommez et allez-vous en ! »

Lui dit-il tout en le fixant directement droit dans les yeux…
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* Taverne de la Harpe sans corde (rp) - Présent en fin de semaine.
Dorzato
Dorzato était habité par son projet de rachat des fruits et le RACC qu’il avait nouvellement fondé. Après ses permanences dans la halle, il avait trouvé habitude de se rincer le gosier à "la harpe sans corde" tout en méditant sur ses projets. Il aimait aussi se laisser surprendre et être divertit par l’ambiance des lieux. La fréquentation était misérable et pouilleuse mais Dorzato se savait du même bord avec ses haillons et sa seule tête pour penser quand le ventre ne criait pas. Le patron savait cependant faire autorité face à l’inconvenance et garder l’ordre dans son établissement. C’était en fait un lieu de réconfort pour Dorzato après de longues journées laborieuses.

C’est lorsque la jeune femme entra, accompagné du patron, que Dorzato perdit ses repères. La pauvrette était moitié nue vêtue de haillon laissant de justes rondeurs apparaître nonchalamment. Son regard passait de l’inquiétude à la douceur et donnait à sa beauté un parfum d’inconnu parfaitement enivrant. Sa chevelure, mal tenue, rendait enfin un aspect sauvage à son minois de pucelle.

Bêtement, Dorzato se leva comme happé par la belle pour se rasseoir tout aussi bêtement en se rendant à peine compte qu’il avait perdu le contrôle de lui-même. Impossible de reprendre ses esprits. Dorzato ne manquait aucun mouvement. Quand l’affamée se rua sur le jambon servit, Dorzato voyait la fougue, la beauté et l’allégresse se répandre comme une grâce dans la taverne et de par le monde sans doute. A part un soldat qui lui cacha la vue quelques instants, Dorzato était tout simplement aspiré par chaque mouvement de la femme .

Pauvre Dorzato, sans doute a t il négliger la chose depuis trop longtemps alors que la jeunesse rugit comme un cerf en lui quand passe la biche.

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Dorzato, Cultivateur de Maïs de Chambéry.

Conseiller municipal de Chambéry.
Louvoix_de_belrupt
Une taverne sale, oui en effet, la ou les malfrats se bourrer à tous va et ou les bagarre y était fréquente. Qui aurait cru qu'un homme tel que Ragnarock, connus de tous vienne fréquenter cette taverne.

Un maire na pas sa place ici pourtant, mais lui c'est différents, lui son peuple n'est pas composé de bourgeois et surtout pas de noble. Ho non, du moins pas en général car des exceptions existe. Ainsi le voila enroulé dans une cape noir et encapuchonnée.

On ne pouvais le reconnaitre pour le moment, pourtant il ne chercher pas à se cacher, mais le froid était bel et bien encore présent ici lieu. Il vit alors une jeune femme, probablement une catin lui qui avait froid sa aurais pus lui rendre service mais sa jamais, pas qu'en on a déjà quelqu'un, il serait seul pourquoi pas, mais sa douce Aphrodyti compter énormément pour lui.

D'ailleurs il ne fit qu'apprécier les formes de le jeune femme comme tous les hommes font, car un homme reste un homme et puis lui na pas à se plaindre. Sa douce est tendre est bien une des plus belle femme de Chambéry si ce n'est la première.
Ho si elle était la il est sur qu'il ferais des jaloux, mais pensez à emmenée une femme pareille ici, se serait de la folie. D'ailleurs elle ne sait même pas qu'il fréquente ce genre d'endroit.

Les brigand et autre délinquant il connais bien lui, meurtrier en tous genre et raclure de la pire espèce, ho oui il en avait déjà côtoyer. C'est qu'il aurais était brigand le bougre si finalement sa conscience n'en est décidé autrement. En effet son premier mandat de maire aurais du être le dernier et il aurais du partir avec la caisse... Mais le peu d'écus qu'il y avait devint pour lui un défis que de les augmenter, si bien qu'après il rencontra sa douce et changea définitivement de position, abandonnant son groupe de brigand.

Cependant il en côtoyé toujours certains car quand il fallait réglé quelque affaire et ou il ne devais pas se mouiller, il pouvais toujours compter sur eux. Et puis ce genre d'endroit il aimée, ho moins la on se moque de savoir se tenir ou non.

Il reconnus alors un de ses amis, Herector, qui venait sans le vouloir de se mettre le tavernier à dos. Il s'avança lentement et se mit à coté de lui enlevant sa capuche et regardant à son tour le tavernier dans les yeux.

Dans ces cas la il avait toujours une main sur le pommeau de son épée, il aurais pus être duc, prince ou roi, jamais il ne changerais sa façon de penser et de s'exprimer. Il avait un caractère fort, ho il est sur que si il fallait se battre avec toute la taverne il l'aurait fait. Son image il s'en fout, seul ses actions compte.

Il savait s'adapter aussi, alors il parlera au gens comme on lui parle et savait qu'ici un grand débat n'aurais pas sa place, tout le monde s'en fout, ici le respect ne se lit pas au titre mes forcément à la force, verbale ou physique.


Et toi le tavernier, au lieu de rembarré tes clients sert mois 3 verres de Gnôle et crache pas dedans va, sinon le pourboire tu te le foutra ou je pense.


Il jeta quelque écus sur la le comptoir et invita son ami à venir avec lui. Il savait qu'on le regardait et c'est pourquoi sa main ne quitterai pas tout de suite son épée.


Vient donc mon ami, et allons voir cette jeune femme.

Il s'approcha du bar prêt à prendre deux verre une fois que le tavernier l'aura servit. Par la suite il laissera son ami prendre le sien et se dirigera vers la jeune femme.
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Walter_berk
Et bien, Walter commençait tout juste à regretter le fait d’avoir ramené cette jeune rouquine dans sa taverne, les clients semblent ne plus pouvoir se contrôler.
Le soldat en uniforme n’a toujours pas bronché et c’est mieux ainsi, s’il cherche des ennuis, il finira la tête la première dans une fontaine.

Cet établissement est le sien, Walter y applique ses règles, c’est ainsi et personne ne peut dire quoi que ce soit tant que les lois bien entendu ne sont pas bafouées.
Petit sourire sur le coin des lèvres à l’idée de savoir qu’il n’a jamais vu autant de monde à la Harpe sans corde, c’est une bonne chose ça pour les affaires.
Sa taverne n’est pas encore bien réputée mais qui sait, ça viendra sans doute par la suite, il l’espère vraiment pour que les clients soient de plus en plus nombreux avec le temps.

La porte s’ouvrit à nouveau, laissant entrer une silhouette encapuchonné accompagnée d’un courant d’air frais qui fit frissonner Walter avant qu’il ne reprenne ses esprits.
Celui-ci semble l’avoir entendu s’adresser au soldat et au moment où il retira son capuchon, il reconnu étrangement un homme qu’il avait déjà croisé.
Celui-ci semble être l’un des candidats à la mairie et pour sur, il sera le futur maire, tout le monde semble avoir une certaine confiance en lui.
S’il est capable de redonner la vie au marché de Chambéry, il ne devrait pas y avoir le moindre problème comparé au maire actuel de la ville.

Celui-ci commanda trois choppes d’une façon assez particulière, parler ainsi devant ce publique là ne lui causera aucun ennui mais face aux nobles qui ne viennent que rarement en ces lieux, ça risque de ne pas passer.

Walter le fixa quelques courts instants de son œil à moitié valide avant de remplir trois choppes de vin.
Il semble connaitre le soldat, sa présence ne dérange en rien, juste qu’ici, c’est loin d’être un monde où tout est beau et rose, cet homme en uniforme aurait mieux fait de porter lui aussi un mantel pour cacher ses galons.

Walter finit par bredouiller quelques mots juste pour lui avant de poser les choppes l’une à coté de l’autre sur le comptoir alors qu’il reçut en échange la monnaie du candidat et peut-être futur maire.
Au moins lui il paye d’avance, un autre point pour lui et qui sait, peut-être que la visite de cet homme remontera la cote de la Harpe sans corde…

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* Taverne de la Harpe sans corde (rp) - Présent en fin de semaine.
Herector
Herector regardait se tavernier qu'il reconnaissait , et oui il l'avait déjà croisé une fois dans cette taverne ! même si il ne savait plus vraiment son nom , cela devait être quelque chose comme walter , du moins ca sonnait anglais ! peut-être un anglais déchu .... il savait qu'il était avec une certaine Elsas lorsqu'il croisa cet homme ... Après avoir passé quelques temps dans cette taverne , voilà comment il le traitait ! il fallait mieux le prendre avec humour , après tout il devait montrer l'exemple a ses gens , ma fois qui ont plus l'air de paria que de simples citoyens . Il n'était pas très conseillé de traiter les clients comme ca , généralement ils ne reviendront pas ! mais ca ne semblait pas beaucoup préoccuper le tavernier .

Il n'était pas intéressé par passer une partie de jambe en l'air avec elle , il n'avait pas besoin d'une catin pour ca ! seulement qu'il n'aime pas voir des gens souffrir ou dans une mauvaise situation , c'est pour cela qu'il voulait l'aider un peu . Même si cela ne devait pas paraitre comme ca mais plutôt comme un male en chaleur qui a besoin de divertissement ....

Lorsqu'un homme encapuchonner entra dans la taverne il se retourna pour le regarder , il craignait déjà un autre paria qui ne ferait que ce que la plupart d'eux savent faire , emmerder leur monde ! mais non , heureusement que c'était un homme qu'il connaissait , ragnarock . Il ne pouvait pas venir a meilleur moment que celui-ci , il craignait déjà passer le temps seul ici dans cette taverne où les gens semblaient pas très sympathique .


Ah l'ami ! je me serais débrouillé avec ce tavernier qui semble pas me reconnaitre mais bon !
je ne vais pas me salir les mains pour lui n'est-ce pas ! mais je dois dire que les gens ont pas beaucoup de respect envers un officier de la Garde Impériale ...


Il alla chercher son verre et alla s'installer près de la jeune femme et lui donna quelques écus en souriant .

Tenez , prenez , vous aurez de quoi vous payez a manger !

Dites moi , d'où venez vous ?


Il se doutait déjà que sa présence dérangeais et cela l'amusait ! il aimait provoquer et puis il ne devait pas être si inconnu que ca , sauf que cette fois il est en uniforme ... et puis il n'est pas noble et loin de l'être . Peut-être que ses gens n'avaient pas l'habitude de voir des uniformes , ma fois c'est pas quelque chose pour tout le monde ....
Louvoix_de_belrupt
Le tavernier n'avait broncher que quelque mots dans sa moustache, tant mieux sa évitera la discorde après tout il n'était pas venu pour sa. Du moins pas pour être le spectacle mais plutôt admiré deux autres gaillards s'en mettre plein la tronche, voir trois.

Bref, il accompagnait son ami au bar prit son verre et lui dit quelque mots sur le chemin.


Tu devrais faire attention mon ami, c'est l'une des tavernes les plus éloigné du centre et ici les gens n'aime pas vraiment les nobles et autres bourgeois de la capital. Tu l'aura compris, ceux qui sont au dessus d'eux et tu dois te douter qu'ils mettent les militaire au même rang que les miliciens.

Moi je n'ai pas ce problème la, mais je suis l'un des rare personne à avoir ce privilège. Peut être parce que je tache d'aider ces personnes au mieux que je peut a partir du moment ou il ne sévit pas dans ma ville ou ses alentours.


Ou peut être aussi parce que le jeune Ragnarock avait un passé douteux dont certain connaissait l'existence dont il préférait oublier... Heureusement qu'il avait rencontrer sa douce Aphrodyti, mais... mais si... mais si un jours elle le quitte ? hummm n'imaginons même pas ce qu'il risque d'arriver, le sans nom lui même aurais peur...

Reprenant ses esprit il arriva près de la jeune femme et la salua d'un signe de la tête, elle paraissait à peu près propre, du moins avec les moyens du bord.

Il laissa son ami parler en premier et bus quelque gorgée de vin, ma foi non seulement le tavernier n'avait pas cracher dedans, mais en plus il lui avait servit du bon vin. Finalement il était pas si fou, il savait que si l'homme payer en avance c'est qu'il avait surement d'autre pièce et un bon pourboire se faisait sentir.

Les questions d'Herector le faisait sourire, lui aurais plutôt demandé quel age à telle. Il est sur qu'avec de tel forme il est difficile de mettre un age correcte. Quand a son origine, a la regardait elle serait bien de la campagne celle la.

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