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[rp] les remparts de Bruges ( ouvert à tous)

Maewinda


Maewinda rejoignit Maryse et l'homme qui se tenait à son côté. Elle faisait la moue après l'incident de la pierre mais ne tint pas rigueur à la jeune femme.

"Non non, je n'ai rencontré personne sur mon chemin... A part bien sûr un gros chien dont vous avez dû entendre les aboiements jusqu'ici. Par contre, j'admets volontiers que les ombres semblent receler de quelques maléfices..."

Voyant que Grégoire ramassait une nouvelle pierre, elle ne put s'empêcher de faire ressortir son ressentiment, telle une mère devant la bêtise d'un enfant.

"Hélà, l'ami ! Cela ne vous a pas suffi d'avoir failli m'éborgner? Reposez cela tout de suite ou vous allez vraiment finir par blesser quelqu'un !"

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Maryse
Maryse sourit en entendant Maewinda grondez Grégoire comme un enfant , mais ce qui l'inquiétait c'est que la brugeoise est entendue aussi des bruits bizarres et l'impression que des ombres se faufilaient dans les ruelles de la Capitale .

Je pense que vous avez la même sensation que moi Maewinda , cela ne me réconforte pas , avez- vous une arme sur vous ?

La flamande cherche du regard quelque chose qui pourrait servir au jeune homme , une arme plus efficace qu'une pierre .

Elle aperçoit le manche d'un outil qui traine non loin de ses pieds .

-Grégoire je pense que vous allez utiliser ce manche , savez-vous vous défendre au bâton ?
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Maewinda


Maewinda écarte les bras pour montrer qu'elle ne dispose d'aucun objet pour se défendre (ou même attaquer), en réponse à la demande de Maryse.

"Hélas non, Dame Maryse, je n'ai point mon épée. Cependant, je me rendais à mon atelier sis un peu plus loin pour y prendre un peu de bois pour me chauffer, car ma réserve personnelle était vide. Et mon épée s'y trouve justement. Si vous m'accompagnez sur deux cents mètres, je pourrai prendre mon arme et ainsi vous épauler."

Attendant la réponse, elle essaie de percer les ombres qui se profilent et qui s'obscurcissent dans les ruelles et rues perpendiculaires ou au sein des cours intérieurs.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
--Khiel_de_sombreterre
Les lourds nuages d'hivers cachant la lune et son pâle éclat ne facilitaient pas la tâche de Khiel, on ne distinguait pratiquement rien dans les ruelles avoisinantes. Il fut une époque où ce genre de nuit était son allié, mais là...
Sa vue ne lui servant pas à grand chose, il se concentra sur son ouïe.
Combien d'autres personnes rodaient dans l'obscurité? Trois? Quatre? Guère plus selon lui.

Et s'ils attaquaient le petit groupe, que devrait il faire? Après tout, il ne connaissait pas ces gens...il n'était que de passage et n'aspirait pas à se retrouver mêlé à une histoire de ce genre. D'un autre coté, son amie brugeoise lui avait, semble t'il, parlé de cette Maryse. Elle était son amie... oui, c'était cela...Shorak était l'amie de Maryse et il ne pouvait la laisser se faire attaquer sans réagir.

Deux solutions s'offrait à lui. Il pouvait rejoindre le petit groupe, mais personne ne le connaissait, ils risqueraient de le prendre pour un brigand, surtout avec son visage balafré et ses sombres vêtements. Il était certes habitué depuis longtemps à l'effet qu'il produisait irrémédiablement sur les gens, et ne s'en offusquait plus, mais dans ces conditions, mieux valait ne pas tenter le diable. et le diable, il lui avait tiré la queue bien plus souvent qu'à son tour...cette pensée le fit sourire...
L'autre alternative était de rester dans l'ombre et voir ce qu'il se passerait. Au moins il pourrait intervenir et créé un effet de surprise pour les éventuels assaillants...et puis, l'ombre lui allait si bien...

Il décida donc de rester dans les ténèbres et d'attendre, au moins lorsque le petit groupe vraiment mal armé s'éloignerait, il verrait peut être enfin si leurs craintes étaient fondées. Il serait alors temps d'aviser...
Gregoire
Citation:
"Hélà, l'ami ! Cela ne vous a pas suffi d'avoir failli m'éborgner? Reposez cela tout de suite ou vous allez vraiment finir par blesser quelqu'un !"


Sans dire le moindre mot, il ouvrit sa main et laissa tomber la pierre.

Pardonnez moi dame.

Il n’avait jamais eut la moindre attention de blesser une innocente. Il croyait simplement se protéger lui et dame Maryse. Il se sentait mal. L’ambiance était malsaine. On sentait roder autour du petit groupe une force invisible. Elle guettait, elle attendait le meilleur moment pour les attaquer sournoisement.
Maryse sortit Gregoire de ses pensées en lui demandant :


Citation:
Grégoire je pense que vous allez utiliser ce manche , savez-vous vous défendre au bâton ?


Son regard suivit celui de la jeune femme et se pose sur le manche abandonné. Il alla le chercher et rejoint le petit groupe. Il le tenait fermement de la main droite et le faisait battre dans sa main gauche.

Avec ça, je vais monter de quel bois on se chauffe par ici. Sûr, Ça fera bien plus mal que mon caillou. Il serra sa nouvelle arme de ses deux mains et dit :

Oui, je suis prêt à fondre sur l’ennemi avec vous ! On y va ?
Maewinda


Citation:
Oui, je suis prêt à fondre sur l’ennemi avec vous ! On y va ?


"Un ennemi? Vous en avez vu un, vous? Certes, je suis d'accord avec vous, il fait malsain actuellement, mais de là à dire qu'il se trame réellement quelque chose ou qu'un ennemi attend de nous attaquer, il y a un pas... Restez prêt, mais ne vous montrer point trop téméraire..."

Elle regarde alors Maryse pour savoir si le duo l'accompagne jusqu'à son atelier.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)




Maryse
La flamande observe Grégoire qui manie le manche avec assez d'assurance , puis se tourne vers Maewinda.

-Nous allons vous accompagner , je ne sais pas ce qui se passe cette nuit , mais l'atmosphère n'est pas seine ce soir , votre arme sera la bienvenue .


Maryse d'un geste laisse passer devant la brugeoise , tout en restant la main sur son épée et ses sens aux aguets .
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Maewinda


Heureusement, l'atelier de la jeune Brugeoise ne se trouvait pas très loin. Une rue plus loin, elle put sortir son trousseau de clés et tenter d'ouvrir la porte.

"Hum... Grégoire? c'est bien cela? Voulez-vous je vous prie m'éclairer un peu que je puisse ouvrir la porte? Je vous remercie..."

Elle arrêta bientôt son geste machinal, fixant l'obscurité de la rue qui continuait. Elle se mit alors à chuchoter.

"Chuut... ne dites rien... j'ai... j'ai l'impression que j'entends du bruit dans l'échoppe du Gros Boulier, le boulanger... Ce n'est pas normal..."

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Maryse
Maryse est parcourue d'un frisson , la sensation d'être surveillé devient plus intense , quand Maewinda chuchote

Citation:

"Chuut... ne dites rien... j'ai... j'ai l'impression que j'entends du bruit dans l'échoppe du Gros Boulier, le boulanger... Ce n'est pas normal..."


La flamande se remémore vite la position d'attaque que son époux a essayé de lui apprendre , son regard se dirige vers l'échoppe du boulanger .

Doucement , elle chuchote .


Je pense qu'il est temps que vous alliez chercher votre arme Maewinda ....Nous allons sans doute en avoir besoin
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Maewinda


D'un hochement de tête, Maewinda signifie qu'elle a compris la demande de Maryse. Elle fait tourner la clé le plus silencieusement possible puis s'efface dans son atelier pour aller chercher son épée.
Au bout de moins d'une minute, elle est de retour, attachant le ceinturon autour de sa taille, un fourreau et une épée au côté.

Elle refait un hochement de tête pour montrer qu'elle est prête et regarde Maryse pour savoir si rien ne s'est passé durant sa courte absence.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Maryse
Maryse observe la rue , le temps que Maewinda c'est armé , la jeune femme c'est aperçu que des ombres ont bougé , sortant de l'échoppe du boulanger .

Doucement elle chuchote aux brugeois .

Je pense que nous avons à faire à des voleurs , ils ont dû nous entendre , essayons de les suivre.

La flamande montre discrètement le chemin à suivre.

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Maewinda


S'approchant puis intégrant les ombres couvrant un côté de la rue, à l'abri de la lumière de la lune, Maewinda tient son fourreau pour éviter qu'un cliquetis métallique ne les trahisse. Ensuite, s'accordant d'un regard avec Maryse, elle avance à la même vitesse que cette dernière vers l'échoppe du Gros Boulier.

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Maryse
Ljd domse et le toucain ne sont pas à Bruges. Maryse déposera donc leur poste à leur demande




Le Toucain, gros malabar chauve qui portait toujours deux énormes épées dans sa ceinture, suivait ses proies de loin.

Il était accompagné de l'ingénieuse et charmante Domse. Il était accompagné... non il suivait, plutot, cette nymphe qu'on aurait cru sortie d'un conte de fée... si seulement sa cruauté envers l'espèce humaine n'était pas aussi poussée. Le Toucain adorait çà.
Il était fait pour s'entendre.

C'est elle qui avait choisi cette ville pour commettre leur méfaits. Simples vols qui se transformeraient en meurtres effroyables si cela ne se passait pas bien. Ils n'avaient aucune pitié.


Hum, ils sont beaucoup pour nous attaquer à eux.
Il regarda Domse qui arborait beau et largue sourire... beau et terrifiant à la fois.



Domse accompagnait le molosse, grosse brute sauvage comme elle aimait. Elle sournoise et tordue à souhait, ne renonçait à aucun stratagème pour arriver à ses fins, elle usait de son charme et de sa beauté féerique contre tous. Qui accompagnait qui ... on ne le savait pas trop bien ... uni comme les doigts de la main ... l'un n'allait pas sans l'autre ... tout deux avide de sang, ne redoutait aucun crime si cela était nécessaire, pour elle même si cela ne l'était pas, elle aimait l'odeur du sang.

Hum, ils sont beaucoup pour nous attaquer à eux.
il lui souriait de son plus beau sourire pour elle, elle le regarde lui souriant en retour malicieuse

Tu as vu comment ils sont? des fétus de paille, on en ferait qu'une bouchée ... mais ce n'est pas le moment, on a encore à faire ici, pas le moment de se faire repérer, planque toi!!

Elle se tapi dans l'ombre, dans le plus grand silence, très féline.
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Maewinda


Maewinda hésita un instant en croyant apercevoir le reflet de la lune dans un objet métallique, comme une large lame. Mais non, aucune lame ne pouvait être aussi large, elle avait dû rêver. Cependant, les ombres si profondes pouvaient cacher bien des silhouettes et elle n'était guère rassurée de s'avancer ainsi à trois, dont deux femmes à l'expérience martiale toute relative, et un homme armé d'un bâton dont il savait à peine se servir. Aussi chuchota-t-elle à l'adresse de Maryse :

"Où est la Garde? Ne faudrait-il pas l'appeler?"

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--Khiel_de_sombreterre
De son poste d'observation, Khiel n'avait rien perdu de ce qui se tramait en ce lieu. Plissant les yeux, il avait remarqué deux ombres furtives qui se faufilait pour se tapir dans l'ombre. Avait'il mal vu? L'obscurité lui jouait elle des tours? Il avait vu deux ombres furtives, mais si l'une était de taille, disons, normale, l'autre était...ENORME! Et puis, ce rapide éclat...une arme? Si c'était bien le cas, elle était à la taille de l'ombre...gigantesque!!

Mais le plus inquiétant était que ces deux "personnes" se déplaçaient sans un bruit, trahissant là une longue expérience de ce genre d'action. Et Khiel en savait quelque chose, car s'il était passé maître dans ce type de déplacement nocturne et silencieux, il avait mis des années avant d'y arriver

-C'est pas des lapins de printemps ces deux là, marmonna t'il entre ses dents

Et la petite troupe qui, maintenant se dirigeait vers eux! Avaient'ils perdu l'esprit? Non, ils devaient simplement être inconscient du danger qui les guettait.

L'ex assassin des Âmes Sombres fit un rapide inventaire des armes qu'il avait sur lui, qu'il avait toujours sur lui. Ses deux couteaux de lancer, dans la poche intérieur de son mantel, dont un se trouvait déjà dans sa main, son couteau dans sa botte droite, et son épée à son coté...ah oui, et ses deux fioles de poisson...qui ne lui servirait pas à grand chose dans ce cas précis...quoique...

-Plus qu'a attendre...et improviser
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