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[RP] Faut que ça saigne...

Blancacorvinus
Bêêêêêêêêêh ! Bêêêêêêêh !

Blanca dite la Corvinus par certains se réveilla en sursaut dans son lit, réveillée par une bête qu’on égorge… non… une dispute de voisinage… non plus. Sa maisonnette était encore plongée dans la nuit, alors Blanca risqua un œil par la fenêtre et vit passer le père Grattesac avec quelques-une de ses brebis.

Hé ça va pas de faire du raffut à une heure pareille ?! gueula Blanca au vieil homme. Mais celui-ci semblait sourd comme un pot.

Une charrette les suivait peu après, chargée de caisses de volailles battant des ailes et piaillant. C'en était trop! Blanca sortit sur le pas de porte et héla le conducteur.


Hé toi ! Vous êtes pas au cirque ici! Vous allez réveiller tout le monde avec le potin d'enfer que font vos bestiaux ! Je m’en voudrais de ne pas vous prévenir que les Sanclaudiens ont la fourche facile et bien aiguisée quand on les tire de leur sommeil trop tôt.

L’homme tourna la tête en direction de la jeune femme et son regard plongea en direction de ses nibards. Elle avait oublié qu’elle était encore en chemise de nuit !

Vous voulez vous en ramasser une ?! grogna-t-elle en mettant ses bras en croix devant sa poitine. L’homme eut un petit sourire et lui répondit:
Devriez pas vous afficher en petite tenue, m’zelle. Pis les Sanclaudiens à c'te heure, ils f'raient mieux de s'activer pour v'nir à la foire aux bestiaux pas' qu'y en aura pas pou' tout l'monde d'la barbaque...

Ah bon, une foire? Une foire aux bestiaux!!! Mortecouille! Blanca se frappa le front. J'ai rendez-vous sur la place du marché avec Raoul, dès l'aurore!
Blanca avait complètement oublié et si les deux paysans ne l'avaient pas réveillée avec leur raffut, elle aurait dormi comme une bienheureuse encore quelques heures. En plus Raoul lui avait expliqué au moins vingt fois que les meilleures carcasses partaient en premier et qu'il fallait se lever tôt.

Affolée de son retard, Blanca enfila en quatrième vitesse ses braies et ses bottes et sortit en trombe de sa maisonette.
Raouldarc
comme a son habitude le raoul s était levé au aurore ,c était la grand foire et il c était déplacé enfin de choisir les meilleures bêtes pour sa boucherie .

il avait donné rendez vous a la corvinus qui avait souhaitez tout apprendre de son métier ,il n avais rien dis mais il etait flatté que quelqu un daigne enfin s intéresser a lui et a son travail .il l aimait bien la petite au font même si il détestait le montrer ;

il était la au milieu de la place ,a observer les bêtes ,ca piaillait dans tout les coins , l oeil du professionnel était au a guet ,quand il aperçut la perle rare ,les mamelles dansantes,le poil en vrac ,la groupe parfaitement ronde et joliment rebondit ,la corvinus arrivait en courant ;malgres le joli spectacle, il ruminait car la corvinus était en retard et pour sur il allait rater les meilleures affaires .


a ben dientre ,te voila? t as vu l heure? je vais te dresser moi si tu veux apprendre le grand art de la boucherie. puis cache moi ses mamelles tout le monde te regarde ,pas envie qu on vienne me demander combien je te vend
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Blancacorvinus
Blanca avait couru depuis chez elle jusqu'à la place de la foire. Elle s'était retrouvée face à un vrai parcours du combattant.

Elle dut tout d'abord enjamber une botte de paille tombée d'une charrette en travers de la rue, puis elle freina de justesse pour laisser passer un énorme cochon qu'on conduisait à l'abattoir, enfin plus loin un âne refusait d'avancer, bloquant toute la rue en refusant de tirer sa charrette. Blanca finit donc par prendre un détour et arriva sur la place.

Elle aperçut Raoul qui l'attendait déjà de pied ferme au milieu des volailles, avec un air mi-fâché mi-amusé.


Raouldarc a écrit:
a ben dientre ,te voila? t as vu l heure? je vais te dresser moi si tu veux apprendre le grand art de la boucherie. puis cache moi ses mamelles tout le monde te regarde ,pas envie qu on vienne me demander combien je te vend


Blanca jeta un oeil sur sa tenue et rougit. Etant partie en se précipitant, elle portait toujours sa chemise de nuit. Elle tira un peu sur ses braies pour les remonter jusqu'à sa poitrine, ce qui lui donnait un air bizarre, mais ça suffisait amplement à cacher ses petites prunes.

Voilà ch'suis prête maintenant. M'excuse mais j'ai été retenue par toute une ménagerie, mais bon ch'suis là. Alors par quoi qu'on commence?

Blanca inspira un grand coup et une odeur forte et âcre vint lui chatouiller les narines, dont elle ne put dire si elle venait de Raoul ou de la place entière, envahie par l'équivalent olfactif de tous les clapiers, poulaillers, écuries et étables des environs. Blanca sourit, satisfaite d'avoir enfin trouvé une utilité à son défaut d'odorat.
--Unmarchand
L'homme avait installé son étal de carcasses dans un coin stratégique, à mi-chemin entre la mairie et la taverne, deux lieux probablement fréquentés dès le matin. Il espérait vendre toute sa marchandise d'ici une demi-heure, histoire d'aller se pochtronner ensuite à la gargote du coin.

En attendant que les clients arrivent, il but discrètement une rasade de gnôle dans une petite bouteille cachée derrière son tablier. Puis apercevant deux clients potentiels qui s'approchaient, il se mit à brailler:


Approchez dames, matronnes et messires! Venez admirer la viande la plus fraîche et tendre de l'Empire! Je vous l'garantis, vous trouverez pas d'carcasses aussi rouges à des lieues à la ronde! Approchez, approchez!

Voyant qu'il avait attiré le regard de la jeune noiraude, il lui fit signe d'approcher. Elle sembla consulter son compagnon du regard puis avança vers l'étal du marchand. Elle avait une drôle d'allure avec ses braies remontées jusqu'au menton, mais elle avait la croupe bien faite ma foi et de forts jolis jambonneaux en guise de cuissots.


Qu'est-ce qui vous ferait plaisir damoiselle? Je vends carcasses, filets, bas morceaux, abâts... ma viande est certifiée de première qualité.
Raouldarc
meme quand ,elle se faisait engueuler la corvinus souriait ,cela exaspérai le raoul .

puis mortecouille efface moi se sourire de ton visage, et prend un air désintéressé . on te sent venir a 300 metres avec ta naïveté.bon avançons voir ca de plus pres

le raoul passa devant a la recherche de la piece rare .un coip d oeil a droite ,un autre a gauche , rien de bien brillant ce matin .quand il entendit derrière lui un pingouin s adresser a la corvinus .

Citation:

Qu'est-ce qui vous ferait plaisir damoiselle? Je vends carcasses, filets, bas morceaux, abâts... ma viande est certifiée de première qualité.


le raoul commençait a voir rouge ,il ne supportait pas qu on lui dise qu il avait la marchandise sous les yeux

bon deja ,le maquignon d opérette,tu va te calmer et ranger tes yeux dans ta poche ,c est pas parce qu elle y connait que dale en barbak que tu dois nous enfler et en profiter pour lui mater les cuissots . ici c est moi qui décide et tu vas pas m apprendre a voir ce qui est bon ou pas .jusqu a la ce que je vois c est tout juste bon pour les chien

mais puisque ils etaient arrété c était le moment de faire sa premiere initiation a la corvinus .fallait la dépuceler en matiere connaissance de viande

hum bon la corvinus deja moi j achete les carcasse en entieres ,on peu pas faire confiance a ses bandits ..regarde moi ca? t a encore des tendons qui tienne a la viande la ,puis pf regarde ce morceau il est découpé en deux pile poil dans le meilleur. apres pour la qualité y a plein de petit truc .

en disant ces mots la il lui met une grande claque sur le séant .l attrapant a pleine pogne

le touchez tres important le touchez ,si tu claque la viande ,tu dois avoir les traces de ta mains sur celle ci ,comme,tu dois l avoir sur tes fesses la
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Blancacorvinus
Blanca écouta Raoul remonter les bretelles du marchand avec un sourire. C'est vrai qu'il l'avait reluquée avec un drôle d'air et en plus il puait la vinasse bon marché. Mais soit, Blanca écouta sa première leçon de boucherie avec application. Elle regarda les tendons que Raoul indiquait du doigt et avait le nez planté sur un morceau de viande quand elle sentit sa pogne s'abattre sur son fessier.

Aieuh!

Elle reconnaissait bien là le style de Raoul qui lui enseignait toujours les choses par la mise en pratique.

D'accord. Oui là j'ai bien compris. dit-elle en frottant ses fesses douloureuses.

Puis voyant que c'était à son tour d'agir et de montrer qu'elle avait compris la leçon, elle se tourna vers le marchand et lui dit:


Bon, mon brave, pas de chichis entre nous. Votre viande là c'est pour les pignoufs qui connaissent rien à la barbaque. Montrez-nous le vrai matos!

L'homme sembla surpris qu'elle lui parle sur ce ton, il regarda Raoul puis à nouveau Blanca et changea d'attitude.


Bon, ok, je vois qu'on vous la fait pas à vous. Suivez-moi derrière où c'est que je garde la viande de mes meilleures bêtes...

Ce disant il leur fit signe d'approcher et souleva une bâche sous laquelle se trouvaient des carcasses encore entières.

Blanca regarda Raoul d'un air satisfait et se dit qu'elle avait sans doute réussi la première épreuve haut la main. Mais il fallait continuer dans cette direction. Elle retroussa ses manches et fila une claque sèche sur l'une des carcasses. Clac! Si la carcasse portait une marque bien distincte, la main de Blanca devint aussi rouge que sa figure, encore cramoisie de sa course à travers le village.


Et vous les vendez combien ces carcasses? Parce que là ce qu'on voit ça doit pas valoir plus que 25-26 écus...

Le marchand partit dans un éclat de rire:

Vous plaisantez? Comment voulez-vous que je vive si je vends ces carcasses à un prix pareil? Il faudrait savoir si vous voulez la qualité et si vous êtes prête à y mettre le prix... sinon, je peux rien faire pour vous.
--Unmarchand
Le marchand s'attendait à ce que les deux oiseaux tournent les talons, mais apparemment ils s'y connaissaient quand même un peu en barbaque, surtout le vieux. Il lui paya dix carcasses en espèces sonnantes et trébuchantes et demanda à les faire livrer directement dans son échoppe.

L'homme était content car d'habitude on lui demandait la viande la meilleure marché possible, sans se soucier de la qualité. Les gens se fichaient bien de ce qu'ils bouffaient pourvu que ce soit bon marché. Mais là on venait de lui commander dix carcasses de la meilleure qualité qu'il fût, une aubaine dans une vie d'abatteur de bétail.
Raouldarc
le raoul etait plutot fier de son élève,elle apprenait vite la bougresse . il lui fit un petit rictus de satisfaction ,elle c était pas laissé entourloupé par le lascard . mais voila maintenant ils se retrouvait avec dix carcasses a transporter

ouai ben pas la peine de faire la maline hein ,maintenant apres avoir fait marcher ton cerveau ,va falloir faire fonctionner tes cuisses la corvinus

a peine sa phrase fini ,voila qu il jetait sur l epaule de sa belle une des carcasses ,il la regarda chanceler légèrement sur le poid.

hum faudrai équilibrer tout ca je crois ,la ca penche

il en attrapa une seconde et la lui fit voltiger sur son autre epaules .celle ci bien sanguinolente,venait tremper son poitrail.

ben voila , l ensemble me semble bien symetrique , bon mon brave tu nous livres les autres hein ,tu nous fera une remise j espere ,vu qu on en amene deux
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Hermine.
Les jours avaient passé depuis le départ de Blanca et Raoul. Ceux-ci avaient demandé à Hermine de passer voir leur masure de temps à autre afin de vérifier que tout allait bien.

Lors de sa promenade quotidienne, elle s'assura donc que tout était en ordre.
Hermine.
En ce premier jour d'automne radieux Hermine poussa sa promenade journalière jusque chez Raoul et Blanca.
Un tour consciencieux de la masure lui permit de voir que quelques travaux seraient à prévoir avant l'hiver.
Rien de bien méchant mais à surveiller tout de même si le couple tardait à revenir.
Oberthur
Blanca avait prévenu Ober qu'ils revenaient.
Certes, ils étaient encore quelque part en Bretagne, mais d'ici une bonne quinzaine de jours, ils seraient là!

Et alors fini la tranquilité... façon, vu le peu de temps qu'elle passait hors de chez elle ces derniers temps, elle était pas prête de le rencontrer le Raoul. Il lui faudrait trouver une autre vieille à torturer...
Blancacorvinus
Et voilà... le jour du retour était arrivé. En ces premiers jours de novembre Blanca retrouvait son village bien aimé.

Rien n'avait changé en apparence, quelques nouvelles maisons de ci de là, des échoppes avaient changé de propriétaire, mais l'ambiance était la même.

Elle arriva devant la boucherie de Raoul, enveloppée dans un grand silence. Elle prit la clé dans sa poche , la tourna dans le gros cadenas et ouvrit la porte dans un bruit de vieille poulie rouillée. Elle fit quelques pas en écartant les toiles d'araignées avec ses mains. Des bruits de rats déguerpissant retentirent et des petites tâches en forme de cafards s'écartèrent sous ses pieds. Une odeur de furoncle putréfié vint lui chatouiller les narines.


Maman est de retour!
dit-elle avec un sourire de contentement.

Raoul avait dû partir un peu précipitamment quelques mois plus tôt, on aurait dit qu'il était sorti faire une course et qu'il allait revenir immédiatement. Elle traversa la boucherie et alla voir la chambre. Tout était en désordre, les fameuses braies qu'il avait oubliées laissées en boule sur le sol.


Les voilà tes braies, mon rat! Dire que je t'ai soupçonné de les avoir oubliée chez une catin...

Elle les prit et les posa contre sa joue, un peu sentimentale. Elle se parlait toute seule puisqu'il était resté sur les routes. Elle soupira... Hors de question de rester ici, ça la rendait trop morose. Il avait promis de revenir avant Noël, en guise de cadeau. En attendant elle dormirait avec Tita chez Ober. Elle avait besoin d'être avec ses amies.

Elle reviendrait quand son propriétaire serait de retour, si il voulait toujours d'elle comme apprentie ou... d'elle tout court.
Blancacorvinus
Une semaine s'était écoulée depuis son retour à Saint Claude. Blanca avait fait le point dans sa tête et son coeur. Le retour avait été compliqué, elle avait vacillé un instant, s'était mise à douter et à remettre tout en question. Mais grâce à Hermine elle retrouvait le sourire.

Elle se repassa mentalement les mots que son rat avait écrit à son amie :



elle me manque la corvinus,et des que j ai su son état,j ai décidé de rentrer en fc car hum je me fait de l inquiétude.j y serai d ici une dizaine de jour .je crois bien que c est bien plus que de l affection que j ai pour elle.

Elle n'avait jamais douté des sentiments de son rat, même si il détestait le dire, elle savait bien qu'il l'aimait. C'était d'elle qu'elle s'était mise à douter, de ses propres sentiments. Elle s'était mise à rêver d'une autre vie, à espérer plus, mieux... mais très vite elle s'était aperçue que, sous ses dehors ronchons et bourrus, le Raoul était celui qui la connaissait le mieux. Il ne lui avait jamais promis autre chose que ce qu'il lui avait donné et cette franchise, cette honnêteté, beaucoup d'homme en étaient incapables. Certes il ne lui témoignait pas beaucoup d'affection, ne la couvrait pas d'attentions sans arrêt, mais il répondait toujours présent quand elle avait besoin de lui. Avec lui tout était clair.

Blanca décida de faire un peu de rangement dans l'atelier de Raoul et de tout préparer pour son retour. Il lui tardait d'entendre à nouveau le bruit de son couteau s'abattant sur la viande rouge, les os qui craquent et se brisent. Tous ces bruits familiers.

Elle fit un dernier tour pour s'assurer que tout était à sa place et laissa, bien en vue, un set de couteaux tous neufs qu'elle avait achetés à son amie forgeronne Ober comme cadeau d'anniversaire et de bienvenue à Saint Claude.

Puis elle ferma la porte et retourna vaquer à ses occupations.
Raouldarc
voici un mois que le raoul etait revenu dans un sale état .physiquement tout d abort apres son agression par une bonne centaine de briguands mais la blessure la plus grave était celle du coeur .avec les doutes de la corvinus il s était aperçu qu il en avait un , loin d elle sans pouvoir défendre son beefteack, cela l avait terriblement tiraillé .le bougre c était senti terriblement désemparé et impuissant a luter contre ce mal qu est l amour .

car c etait une évidence il l aimait la bougresse . au debut il l avait regardé de haut ce demandant qu est ce qu elle pouvait bien lui vouloir cette truffe .tout juste l avais t il accepté a ces cotés ,mais imperceptiblement elle avait su conquérir le bonhomme au cour du temps , un peu plus chaque jour cette évidence s imposait.il ne pouvait plus ce passer d elle .

a son retour ,des qu elle l avais vu ,elle avait su soigner toute ces blessures .le raoul avait pris le temps de la réflexion durant sa convalescence .il sentait bien qu il avait changé ,qu il se sentait faible des lors qu il la voyait et meme parfois fiévreux des lors que son décolleté lui etait mis sous le nez quand elle soignait ces plaies. aussi lui avait il demandé de venir vivre a ses cotés .

jusqu ici il n avait pas eu la force de retourner a sa boucherie mais aujourd hui etait un grand jour .boitillant encore un peu ,il resta quelques seconde devant la porte avant de l ouvrir .il s attendait au pire .il pris une grande inspiration et la poussa lentement .
a ca grande stupéfaction tout etait rangé . pour sur la corvinus etait passé par la ,il ne pu s empecher de sourire . l odeur de la viande pourri flottait encore .il s avanca et vis un set de couteau tout neuf bien mis en evidence .il commança a caresser le manche d un des bouts des doigts pour retrouver quelques sensation . puis il l empoigna ,le souleva et commença a le faire voltiger dans le vide devant une carcasse imaginaire .le geste etait toujour aussi sur ;et l envie de sang lui vint a la bouche .

mmm y a pas a dire elle fait quand meme du supermatos la vieille ...puis la corvinus arf elle pense a tout ....

puis il se regarda dans la glace qu il y avait derriere l étal .l image qu elle lui renvoya le fit frissonner .peu etre etait il temps de se devoiler pensa t il .

il s approcha du miroir et commenca a ce parler

bon comment je vais lui dire ca moi .... hum la corvinus faut que je te dise un truc important ... je le répeterai pas dix foix mais je crois bien que je t aime

il fit la moue

putain j ai quand meme l air con quand je dis ca pffffff,pourtant défection c est bien ca que je ressent pas normal d avoir mal au bide comme ca .mmm je t aime je t aime mmmmpf je m y fait pas
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Hermine.
Hermine commençait sa distribution de cadeaux à ses amis. Ober et elles s'étaient concertées pour ce couple d'amis là tombant vite d'accord sur le cadeau idéal à leur offrir.

C'est donc à l'abri des regards indiscrets qu'elles étaient parties faire leurs emplettes.

Quand elle revinrent, un panier à la main, elles s'arrêtèrent devant la boucherie où Raoul parlait seul devant un miroir...
Rien que du très normal !


HOHOHOHO ! Ce sont les mères Noel qui vous apportent à toi et Blanca un magnifique cadeau.

Ober et Hermine ouvrirent le panier et Raoul vit débouler sur lui ceci :



Joyeux Noel !! HOHOHOHO !
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