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[RP/IG ] Lettre ouverte à un Chef de drôle d'armée

Opale.
Je n'avais jusque là écouter que d'une oreille, point n'est beson d'accorder crédit à ceux qui sont trop imbus de leur personne et de leur croyance d'être important. Je ne peux m'empêcher pourtant de tiquer devant certaines réparties de cet idiot.

Citation:
Non, je ne participe pas aux âneries ducales qui utilisent le Très Haut, et le nom d'Aristote pour faire valoir leurs petites guéguerres.


Est-ce donc ainsi Messire que vous qualifiez les Edits Royaux? Des âneries? Parce que cette Croisade a été demandé par la Reyne elle même. Est-ce que par hasard vous remettriez en cause les actions de la Reyne?
Seriez-vous un traître à la Couronne Messire?
Ibn_qutuz
Ibn vint à se rassemblement, salua locktam de loin puis, il s'approcha de l'héritique pour lui donner une correction.

-Messire, vous critiquer les soldat de trouillard, et vous, êtes vous assez courageux pour combattre loin de votre famille, de votre duché, de vos amis, *sourit* Ah, non, j'avais oublié que des hérétiques comme vous se battez lachement.
Vous voulez montrer que vous êtes un dur à cuir, non râté,.
Puis, le soldat, tirant son épée, il cria
Partez d'ici sale hérétique ou sinon je vais vous assurer que je vous trancherai la tête moi même.

Ibn attendait que l'hérétique présente ses excuses aux troupes de bourgognes qui avaient risqué et risquent toujours leur vie pour que les ingrats comme lui vivent en paix
Nolweenmonnier
Vous avez du mal comprendre mes parole car quand vous dut:

Citation:
Il lui répondit tristement :

Oui, c'est bien ce que je disais, l'armée n'attaque que des brigands, car ils ont trop peur du reste, et comme vous dites, sauf dans ce Duché, ou ils attaquent aussi les paysans sans défense, même pas brigands, parce qu'elle ne risque rien.

C.Q.F.D

Merci de soutenir mon discours !


de un je ne vous soutien en aucun point car dans notre duché nous fessons plus que tuer les brigands comme à l'extérieur,nous assurons la sécurité de la totalité de nos route au risque de nos vies car pour les soldats les vies des bourguignon passe avant.


Nol vu Ibn sortir son épée et la mettre devant Mildiou, elle sortie la sienne et frappa contre celle de son confrère.

Ibn range moi cette épée ça ne servira à rien tu veux finir en cours martiale, il n'en vaut pas l'intérêt sachez messire que je ne fait en aucun cas ça pour vous protéger mais pour mon confrère.

Messire est-ce que vous voyager avec d'autres personne au moment où vous vous êtes faites combattue par l'armée?
_________________
Ibn_qutuz
L'épée de ibn tappa contre celle d'un inconnu. Il allait riposter lorsque il trouva Nol. Il rangea son épée et lui répondit.

Tu as raison, sa ne sert à rien de perdre sa carrière à cause d'un ingrat. Mais cet homme me met en rogne car on risque nos vies et lui, il ne trouve rien à faire que de nous critiquer. Je ferai mieux de partir car je ne vais plus tenir longtemps à ces propos !

Il se mit de côté et laissa sa soeur d'armes s'en occuper.
Opale.
Que de monde pour un lâche pareil, mais il est vrai que ses propos ont le don d'agacer. Facile de crier à tort et à travers, beaucoup moins d'agir... alors imaginer qu'il puisse avoir le courage des Soldats Bourguignons...

Paix soldats, il ne mérite pas votre attention, encore moins que vous receviez blâmes pour un lâche de son genre.
Tous n'ont pas le courage de porter les armes pour défendre sa patrie et ses compatriotes.
Et bien peu reconnaisse vos efforts et votre dévouement, autrement il devrait d'abord admettre qu'ils ne sont pas aussi courageux et dévoués que vous l'êtes. Mais chacun fais de son mieux et n'est à blâmer.

Sauf bien sur quand on se moque de vous à grand cri, et que l'on fait dans ses chausses à la vue d'une arme au clair. Attendons d'abord de savoir si ses propos sont considérés comme outrageant envers la Couronne. Alors vous n'aurez non plus le droit, mais le devoir de le punir.


Rien de tel qu'une missive rapide vers les autorités compétentes du Duché pour régler ce problème au plus vite.

Citation:
Aux Autorités Compétentes du Duché,

Salutations,

Nous requerrons votre aide et votre sagesse face à certains propos que nous trouvons Offensant envers la Couronne, ainsi que vers notre Beau Duché.

Concernant la croisade contre Genève et les Lions de Judas qui s'y terraient, certains Bourguignons osent la qualifier comme étant une ni plus ni moins qu'une "Guéguerre" voulu par le Duché, Duché qui oserait utiliser le nom D'Aristote pour qualifier son bon droit de mener cette Guerre.

Je sais bien qu'il n'en est rien, que le Duché et les Armées Bourguignonnes ont tout d'abord répondu à l'Appel d'un de ses Alliés, puis aux vœux de la Reyne. Mais il est déplaisant de revenir au Pays pour entendre moquerie et idioties, surtout quand certains de nos Valeureux Soldats sont tombés durant cette Guerre.

J'aimerai savoir ce qu'il convient de faire face à ce genre de couards, et quelle sera la réponse du Duché face à des mécréants de son genre.

Vous en remerciant par avance de m'avoir prêté attention, j'attends de votre Réponse avec impatience.

Puisse Aristote veiller sur la Bourgogne et sur ses Fidèles Sujets.

Opale.
Aspirante Dame Blanche à l'Ecu Vert


Avisant un jeune enfant qui passait par là, elle lui fait signe d'approcher, lui lance une pièce et lui remets la lettre.

Assures toi que cette missive parvienne au Prévôt, ou au Procureur, ou à toute autre personne siégeant au Conseil Ducal. Si tu m'apportes une réponse rapide, tu auras droit à une autre pièce.

Il n'en fallait pas plus pour le voir courir aussi vite que ses courtes jambes le lui permettait, quelques pièces son une Fortune quand on est encore enfant.
_________________
Locktam
Et il faut savoir que l'OST de Bourgogne a été reconnu par le Roy Levan III et sa successeur Beatritz, Reine de Royaume de France.

Mais également par la Duchesse et le Conseil Ducale de Bourgogne, et par conséquence l'OST de Bourgogne est une institution assermenté et donc ses membres sont également assermenté.

Les Armées légales et reconnues par la Duchesse et le Conseil Ducale de Bourgogne sont également des Armée assermenté et donc ses membres sont également assermenté.

Et je pense que ce messire voyager avec des brigands et qu'il le cache pour ne point se discrédité ...

Car voyager avec des brigands et un faits plus que douteux et honteux ...

Voilà...
Angelyque
La Duchesse fit afficher un parchemin dès qu'elle fut informée par l'enfant de la missive de l'aspirante Opale.

Citation:


A Opale,
A nos fiers et fidèles soldats de Bourgogne,
Et à tous ceux qui liront ou se feront lire ce présent écrit,

Salutations,

Nous comprenons votre rage suite à certains propos, mais regardez simplement la personne qui les tient.
Vous aurez ainsi réponse à vos questions.

Vous n'êtes pas sans remarquer que nous n'avons pas jugé bon de nous déplacer, nous qui ne laissons personne sans réponse, et ce, depuis toujours, avant même notre arrivée sur le trône.

Le conseil que nous pouvons vous donner est de le laisser parler, il s'épuisera bien vite.

La Savoie a appelé la Bourgogne a l'aide, la Bourgogne a répondu et a permis de récupérer la ville d'Annecy et de la rendre à la Savoie.
La Reyne Beatritz a appelé à la croisade un peu plus tard, la Bourgogne, en tant que vassale et fidèle aristotélicienne a répondu présente.

Il n'y a eu aucune "gueguerre" ni aucune autre chose de prémédité.
Les lionceaux ont voulu attaquer, les lionceaux sont tombés.

Nous le disons et le répétons depuis un moment: la Bourgogne est fière de ses soldats, de ses nobles et de ses bourguignons.

La Bourgogne ne recule pas devant l'adversité.


Ne perdez pas votre temps avec ce genre d'individu, qui couine ou qui ne fait que critiquer, sans rien apporter de concret.

Vous valez mille fois mieux que cette rognure, vous qui revenez triomphants de cette guerre.

Nous vous conseillons de lire la dernière annonce de notre porte parole, notre vaillant chef d'armée, le Baron Digoine, qui jamais ne recule devant l'adversité, puis de passer votre chemin, tête haute.

Sachez que votre duchesse est fière de l'OST et de ses soldats. Que le temps de vous récompenser de votre mérite est arrivé. Sous peu cérémonie se tiendra en gargote.

Jamais nous ne plierons, et jamais ne reculerons devant l'adversité!!

Que cela soit dit et su!!

Que le Très haut veille sur vous et sur la Bourgogne.

Faict à Dijon, au Palais des ducs de Bourgogne, le dimanche treize février de l'an mil quatre cent cinquante neuf





Et le valet afficha également deux copies des premiers courriers échangés avec l'ancien Duc de Savoie.

Citation:



    A vous Angélyque de La Mirandole, Duchesse de Bourgogne,

    Votre Grâce,

    J'ai l'outrecuidance de me rappeler à votre souvenir, je me nomme Charles.Marie de Talleyrand, ancien Duc de Savoie, auquel vous avez promis une aide d'une lance militaire au profit du Duché savoyard, sous réserve de subsistance face à la menace réformée.

    Et bien l'intimidation des Réformés de Genève a dépassé ce stade, depuis hier la ville de Chambéry subit des assauts de petits groupes, et en cette matinée dominicale une armée réformée a pénétré le territoire souverain de Savoie et cette dernière se trouve aux portes de la ville d'Annecy.

    C'est ainsi en ma qualité de noble savoyard et ancien Duc de Savoie, que je vous demande de bien vouloir nous envoyer l'aide militaire promise, naturellement je reste en attente de vos directives à Mâcon, je serais également enchanté de prendre le commandement de cette lance. Ainsi je mets fin à ma retraite de régnant pour défendre ma patrie en danger.

    Que Dieu vous garde.

    Rédigé de notre main dans une auberge de Mâcon,
    En ce dimanche 12ème jour de décembre de l'an de grasce MCDLVIII,

    Charles-Marie de Talleyrand
    Comte de Thérouanne-sur-Lys
    Vicomte de Gex et de Carignan







Citation:
De Nous, Angelyque de la Mirandole
Duchesse de Bourgogne

A Vous Charles-Marie de Talleyrand
Comte de Thérouanne-sur-Lys
Vicomte de Gex et de Carignan

Salutations,

Je viens à l'instant de prendre connaissance de votre courrier, et de la terrible nouvelle que vous m'apportez.

Sachez que je suis une femme de parole, la Bourgogne vous viendra donc en aide.

Je vais de ce pas rassembler mes meilleurs soldats pour que vous puissiez partir en direction de la Savoie dans les plus brefs délais

Qu'Aristote vous protège

Faict à Dijon, au Palais des ducs de Bourgogne, le dimanche douze décembre de l'an mil quatre cent cinquante huit






_________________

Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Mildiou
Que de monde, que de monde, de la lopette duduchesque, en passant par quelques curieux, de la face de cul soldatesque à tout va, avec leurs opinions prédigérées, un benêt agitant un gourdin trop gros pour lui, avec lequel il allait plus que probablement se faire mal lui même, la face de cul en chef lui même, Euasias, puis même la pauvre duduche et s'était fendue de quelques parchemins barbouillés de couleurs criardes.

Il était dur de répondre à tous, il allait le faire en partie, mais d'abord il fallait démentir certains bruits sans fondements, qui circulaient déjà.

Il prit donc la parole :

D'abord un démenti formel :


  • Je voyageais seul, sans groupe formé, donc pas de brigands comme vous dites.
  • J'avais mon bâton pour toute arme
  • Je ne détrousse jamais, pas plus cette fois ci comme d'habitude
  • Je ne suis sous le coup d'aucune loi bourguignonne ou pas
    , et ne fais l'objet d'aucune poursuite
  • Je ne suis pas baptisé, mais je ne suis ni Spinoziste, ni Réformiste.


En supposant que je le puisse, je ne suis pas assez fou pour attaquer une lance de soudards ivres dans ces conditions.

En l'occurrence, le comportement de ces "courageux soldats" enfreint en de multiples endroits le Codex, notamment les obligations que le Duché à envers ses villageois.

Le détail sera fourni dans la plainte auprès du Prévost, qui sera bien sûr faite, comme l'a brillamment deviné l'abruti casqué Eusasias.

Par ailleurs, j'insiste pour dire que je suis loin d'être un cas isolé, peu se plaignent, car ils savent que cela ne sert a rien. Au Duché, ils ont, officiellement, toujours raison, même s'il ont tort, ils trouveront un entourloupe. L'opacité n'est pas présente par hasard, comme dans toute oligarchie.

Les habitants sont priés de rester chez eux, soit disant parce que les routes sont peu sûres. Ils se gardent bien de dire ce qui ne les rend pas sûres.

Je connais ici un nombre hallucinant de gens à que ce genre de chose est arrivée, alors qu'on peut faire le tour du Royaume, en paix et sans armes.

Petits agités...


Il respira, un peu, ceci éliminait plus de la moitié des interventions.


Pour ce qui est d'Annecy, inutile de vous énerver. Votre duduche le dit si bien.

Citation:
La Savoie a appelé la Bourgogne a l'aide, la Bourgogne a répondu et a permis de récupérer la ville d'Annecy et de la rendre à la Savoie.
La Reyne Beatritz a appelé à la croisade un peu plus tard, la Bourgogne, en tant que vassale et fidèle aristotélicienne à répondu présente.

Il n'y a eu aucune "gueguerre" ni aucune autre chose de prémédité.


Vous voyez qu'Aristote arrive toujours en retard. Sacré opportuniste que voilà ! C'est donc bien la guerre, avec des Lions ou d'autres, qui justifient le sacré.

Comme l'Aristotélicianisme de la duduche, un peu tardif (baptême en décembre dernier), alors qu'elle nous polluait déjà avec ses homoncules parfumés depuis un moment. En d'autres mots, son règne était illégitime, d'un point de vue Aristotélicien. Ca lui va bien de faire la croisade aujourd'hui.

Bon, puis le registre des baptêmes, pouvez le consulter vous même, concernant les employés ducaux, les maires et l'armée.

Ca vous obligera à réfléchir, avant d'agiter vos épées.

Ah puis une dernière chose....

Il s'adressa à la chose puante, qui continuait à se mettre en danger avec son gourdin.

Va donc dire à ta maîtresse que son avis ne nous intéresse pas, ses réponses non plus, car elle parle pour ne rien dire.

J'ai essayé une fois de poser des questions, lors des "élections", sûr qu'elle répond, à coté de manière générale, mais comme il faut trois jours pour lui faire comprendre la question...

Elle a depuis longtemps passé le cap au delà duquel la bouche n'est plus en relation avec la cervelle...

_________________
Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
--Riccardo


Va donc dire à ta maîtresse que son avis ne nous intéresse pas, ses réponses non plus, car elle parle pour ne rien dire.



Riccardo ouvrit de grands yeux et se résolu à cracher au visage de la moisissure.

Va donc loui dire toi-même! Jé né suis pas à ton servicio!
Et si tu pouvais té perdre et mourir sur le camino, j'en serais bien content!
Car s'il y en a bien oune qui parle pour ne rien dire ici, c'est toi!


La reprise de son service approchait et il fît un geste qui s'apparentera plus tard à un bras d'honneur avant de tourner les talons et reprendre définitivement le chemin du Palais des Ducs de Bourgogne.
Mildiou
Il fut bref, pour une fois, envers l'insecte bizarre.

Hasta la vista, cabrone !

Ce larbin valait autant que le reste. Puis a propos de reste...

Il se remémora une harangue tenue plus tôt par une espèce de Maure, lui aussi Aristotélicien pur graisse, par un étrange et ducal hasard, --avec un peu d'aide de l'autre coté, sûrement, ils n'allaient pas reculer devant une compromission supplémentaire --, du moment que le prétendant léchait ce qu'il fallait, les miracles se faisaient à la demande.

Un croisé Maure, donc, qui avait éructé :

Citation:
Messire, vous critiquer les soldat de trouillard, et vous, êtes vous assez courageux pour combattre loin de votre famille, de votre duché, de vos amis, *sourit* Ah, non, j'avais oublié que des hérétiques comme vous se battez lachement.
Vous voulez montrer que vous êtes un dur à cuir, non râté,. Puis, le soldat, tirant son épée, il cria
Partez d'ici sale hérétique ou sinon je vais vous assurer que je vous trancherai la tête moi même.


Il lui répondit, glacial :

Petit suceur de haricot, sachez qu'en principe, avant de dégoiser en halles, on se renseigne et réfléchit. Ne vous laissez pas prendre aux sales habitudes de votre duduche décérébrée.

J'ai dit que j'avais voyagé, pour connaître les us en vigueur en ce Royaume. Je ne me suis jamais battu. Tout au plus me suis-je mis en défense d'une ville, sous les ordres d'une mairie.

Il n'y a jamais eu de combat ni d'agression, contrairement à ce que vous insinuez, vous affirmez sans preuve, vous pratiquez la délation gratuite, car même quelqu'un d'aussi borné que la duduche ne vous récompensera même pas pour cette "prouesse" militaire.

Encore une fois, modérez aussi vos expressions.

"Hérétique" est un mot que des plus bêtes que vous, si c'est possible, vous ont appris récemment. Ils ont dû vous expliquer que c'était comme les brigands, mais qu'il y avait une prime en sus.

Bon, si vous me considérez comme hérétique parce que je ne suis pas baptisé, soit. Mais en ce cas, vous auriez du vous occuper de la duduche avant le 8 décembre, et procéder a un nettoyage approfondi de la Bourgogne, c'est à dire tuer tous les non baptisés.

Enfin, tous ceux que vous n'avez déjà tué par accident, ou en vous trompant de cible, pour cause d'inculture ou d'ivrognerie manifeste. Sans parler de ceux que vous avez fait fuir.

La Bourgogne, c'est vrai, a bien besoin de cela, messer Ibn_etc..., aristotélicien d'un jour.

Il rit vaguement.

Puis, petite larve, je vous interdis de parler de mes amis, ils ne sont pas ici, ne leur bavez donc dessus par derrière, comme il sied à vos habitudes. Il est vrai qu'on est assez nombreux à ne plus supporter ni les cloportes de votre espèce, ni la *famille* qui va avec, mais tout le monde n'a pas envie de discuter avec votre engeance.

Faites comme moi, restez digne. Moi, je m'en prends à vous, ici, devant moi, pas à la truie qui vous sert d'épouse ou de compagne ! C'est cela, le vrai courage !

Puis rangez donc votre hachoir, dont je doute que vous sachiez vous servir tout seul, vous allez vous blesser. Ma façon de vous mépriser se traduit simplement par une gifle.

Pas besoin de matériel encombrant et cher, tout aussi significatif.

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Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
Locktam
Mildiou a écrit:
Le détail sera fourni dans la plainte auprès du Prévost, qui sera bien sûr faite, comme l'a brillamment deviné l'abruti casqué Eusasias.


Locktam regarda l'homme au visage de rat ...

Messire avez vous entendu parler de l'article Art. 422-2a du Codex de Bourgogne ...

En cas ou je vous le relate ... Le Codex dit ...


Locktam se concentre et dit

Art. 422-2a - De l'outrage à personnalité reconnue comme importante par le duché :
Sera accusé de trouble à l'ordre public avec mention aggravante toute personne ayant eu à l'encontre d'une personne reconnue comme importante par le duché des propos outrageants, insultants ou encore diffamants.
Les personnes importantes de Bourgogne sont les conseillers ducaux, les maires, les nobles reconnus par la Hérauderie et les prélats.
Toute infraction est passible de 2 jours de prison et 200 écus d'amende.


Et dont il me semble que Messire Eusaias est le Porte-parole du Conseil Ducale ...
Il est donc Conseiller ...
Je l’encourage vivement à porter plainte contre vous et si il le souhaite je serais un des témoins qui vous a vue dire qu'il était un abruti casqué.

Ah oui autre chose on porte plainte auprès de la procureur...
au Château de Dijon ...
Opale.
Point n'avait été besoin d'attendre longtemps, déjà le jeune garçon revenait aux pas de courses pour placarder l'annonce de la Duchesse en personne.
Ma foi, par deux fois déjà je me suis permise d'écrire au Duché, et par deux fois c'est la même qui m'aura répondu.
Autrefois juge, elle avait trouvé le temps de me répondre, aujourd'hui Duchesse, elle continue de consacrer une partie de son temps à la roture.


Laissez le donc croire en son importance, notre Gracieuse Duchesse nous à répondu, suivons donc ses conseils et continuons nos patrouilles.

A peine ai je fais quelques pas, qu'un pigeon vient voler près de moi, surement un message important, je lui tends mon bras, quelques graines dans la main pour qu'il reste tranquille, et je récupère le précieux parchemin.

Une lettre des Blanches, on me réclame au Mans, nous sommes mobilisées.


Et bien je crois que vous continuerez les patrouilles sans moi, je suis appelée ailleurs.

Sans autre forme de cérémonie, je chevauche ma monture, et me dirige vers le Château de Savigny avertir de mon départ prochain.
_________________
Mildiou
[A Locktham]

Brièvement, car il en avait assez d'entendre des sottises.

Je le connais mieux que vous, le Codex.

Ici, dans le cas qui nous occupe, il y a eu tentative d'homicide sur une personne irréprochable, directement ou indirectement, par le susdit Euasias, -- à moins de considérer que les soldats aient agi de leur propre initiative --, porte parole sans salle d'audience qui porte pas loin, la voix en tout cas. Normal, me direz vous, car il préfère traîner sur les routes, avec ses copains poivrots.

S'il se fait insulter, c'est peu surprenant. Selon le droit romain, base du coutumier et du Codex, un bon coup d'épée ne serait pas de trop, car il serait proportionné à l'outrage. Ici, il s'en sort à bon compte.

Il y a une cause, il y a un effet. Vous ne pouvez faire juger l'effet sans la cause. Cela voudrait dire que l'instruction a raté quelque chose.

Et puis non, preuve supplémentaire que que vous ne savez rien :

Une plainte se dépose au poste de police, qui fait suivre au Prévost, qui instruit, à l'aide des maréchaux, et présente à la procure un vrai dossier.
Bon, il est vrai que ceci est théorique en Bourgogne, ou tous les gens comme vous ne respectent rien. Une bonne majorité, en fait.

Bon, au vu de la gravité des faits, qui de surcroît relèvent de la sécurité du territoire, ainsi que d'exactions de l'armée, je me permettrai de m'affranchir du poste de police d'Autun, que je soupçonne un peu somnolent. je m'adresserai donc au Prévost, en lui demandant une enquête, afin d'avoir le dossier le plus complet possible pour l'accusation.

Dans la réalité, la justice est bien moins expéditive que la grossière parodie que votre petite tête invente au fil de l'eau, ou plutôt de la vinasse.

Bon, ceci dit, ca fait plusieurs fois que vous parlez sans savoir, dans le seul but de vous rendre intéressant. Savez vous que ce coin des halles m'appartient, et que je pourrais prendre des, euh, dispositions ?

Donc renseignez vous, et rangez donc ce que je suppose être de la cervelle qui vous sort par les narines. Quand vous pensez trop fort, même la nasoire est inopérante.

Et n'oubliez pas de vous mettre votre château à l'endroit habituel, là où cela vous fait tellement de bien...

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Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
Jusoor
[Au sortir d'une échoppe, à la recherche d'un peigne irremplaçable]

- Hector, nous allons continuer par là...
- Bien dame Jusoor.
- Oh regarde là-bas ! *pointe du doigt devant l'air incertain de l'Ecorcheur * Mais si cette pancarte en façade, la bleue là ! Une amie m'a dit que dans cette échoppe on trouve des choses incroyables... qu'on n'a jamais vues nulle part ailleurs !

Et d'entraîner l'homme de main de son père, devenu un peu sien, vers la boutique au parfum de mystères. Sous l'arrêt brutal de la Moineaute, l'Ecorcheur ne peut que s'arrêter à son coté, alors qu'il distingue dans les azurs jusooriens brillants rivés sur la vitrine, une excitation particulière, une frénésie qui le ferait presque s'attendrir... mais un couple bringuebalant, l'un portant canne et l'autre voutée de prier sans fin firent tendre l'oreile à la Moineaute.

- Crénom t'as vu ça ?
- Rhooo... j'en reviens pas ! Didiou j'en reviens pas...
- Arrête de jurer Anthonin ! On va aller à l'Eglise... hein mon tendre... on va aller bruler des cierges hein ? Hein ? ... J'suis sûre q'le moribond, il va nous attirer la maladie. A-ton d'ja vu un presque mort baver des horreurs pareilles comme s'il était en pleine santé ?
- et ma Lucette... T'as entendu quand il a parlé d'hérétiques et de ses amitiés ?... Didiou. Que oui ma Lucette, allons bruler un cierge !

Et le couple s'éloignait déja alors que Ju arquait un sourcil surpris. Un mort qui parle ?

- Hector, allons voir de quoi il s'agit.
- Et votre peigne dame Jusoor ?
- J'y renonce, je suis sure de savoir où il est, et l'y retrouverai !

En arrivant à l'endroit de l'attroupement Ju se crut sur une place, mais c'était juste la formation des badauds qui donnait cette impression... en même temps un mort qui parlait si "vif" avait de quoi créer des mouvements de foule.
Elle reconnut en se faufilant entre deux le dit "mort" qui visiblement ne l'était pas... et qui racontait bien des choses auxquelles elle préférait ne pas préter attention... des "diarrhées verbales" comme qui dirait... Mais c'était surtout les visages de quelques uns de ses hommes qui retinrent son attention. S'approchant de ceux qu'elle reconnut comme tels :


Allons Bourguignons, vous êtes des braves, rangez vos armes. Nous avons, Soldats, la decence de ne pas frapper plus un... *regarde l'homme/spectacle du jour et s'en convainc* ...homme à terre.

Ainsi donc rangez moi tout ça dans les fourreaux et prenons le chemin de Savigny. Vous savez ce qu'on dit ? Que plus on tend l'oreille, plus ils gueulent fort... Surtout quand c'est là la seule chose qu'ils savent faire.
En avant soldats ! Un entraînement vous fera du bien !

_________________
Mildiou
Bon, maintenant que les nuisibles avaient eu leurs réponses, concernant la deliquescence Bourguignonne, essentiellement due à la "Trouduque", comme elle se plaisait à se nommer, il pouvait repasser aux choses sérieuses.

Il laissa encore passer deux parfumés et bariolés de cette cour bizarre, qui emmenèrent l''équipage de benêts. Qui se ressemble s'assemble.

Il prit son temps pour clouer la deuxième lettre ouverte :

Citation:
Messer Prévost,


J'ai été mis à mal le 11 février au matin, à la sortie d'Autun, par des soudards ducaux ivres, faisant partie de la joyeuse bande de la "Compagnie de Digoine". Ils m'ont laissé pour mort, mais la grâce du Tout Puissant, qui préserve les âmes justes, leur à fait ingérer suffisamment de vinasse supplémentaire pour rendre leur vue floue et leurs coups imprécis.

Ce ne sont les preuves qui me manquent.

Mes sources d'information m'ont d'ailleurs fait savoir qu'il est certain qu'il s'agisse d'un abus de "liste noire", pratique courante, semblerait-il, dans un Duché paganiste où le Seigneur est une chose mi-homme mi-animal, en tous cas très bête.

Ceci s'est passé sur le territoire dont vous avez la charge, avec une personne dont vous avez la charge de la sécurité.

On est loin du succès total.

Par votre fonction, vous êtes responsable de la circulation des mercenaires désoeuvrés sur le territoire, ainsi que de leurs exactions.

Je vous demande donc de compléter avec vos informations et preuves, puis de transmettre tout cela au Procureur, en vertu de l'article 11-3, ainsi plainte pourra être déposée.

Navré, je n'aime pas aller dans les châteaux qui puent la pisse.

Si vous n'y arrivez pas non plus, renvoyez moi donc un dossier complet, j'écrirai à la procure.

Le dommages estimés s'élèvent à 1300 écus environ, puis je demande des excuses publiques de la part des soudards, un jour où ils sont à jeun.

Quoique le dernier point m'indiffère, tout comme leurs pitreries infantiles.
Seul l'argent est intéressant en ce Duché de minables.

Dans l'attente de vous lire

--
Mildiou



Bon, acte II, se dit-il. il n'y croyait pas une seconde, et il savait qu'il parlait à des nabots, mais faut jouer pour voir, revoir et confirmer.

Puis pour ce genre de truc, il y a d'autres instances, et d'autres règles, pour les enfants.

_________________
Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
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