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[RP] - Des artistes, en veux-tu, en voilą !

Della
Du monde et des têtes connues, presque toutes. Juste deux peut-être dont les noms lui sont inconnus.

Avec le temps, tout ne s'en va pas mais tout se remplit et les connaissances se multiplient ici et là.
Des femmes...que des femmes, mis à part celui qu'elle n'a que croisé aux Doigts et qui a un genre bizarre à ses yeux tellement habitués au bon chic bon genre qui l'entoure.
Des femmes qui comptent et qu'elle apprécie si elle ne les aime pas d'amitié.

Breiz, l'amie qui fut confidente...Elle a une petite mine.

Bonjour Breiz, ça me fait plaisir de te voir. Embrassade et sourire amical, on ne parlera pas des enfants...Elle sait le sujet délicat et d'ailleurs, il l'est pour elle aussi.

Nad ! Ahah ! Elle est ici au lieu de plancher sur sa commande ??? Grrr...
Mais c'est un sourire que la Blonde offre à la Sémuroise.

Nad ! Toi, ici ? Alors...en forme ?

Aria...La mère de son petit cousin...Hé oui, c'est la petite histoire de l'Histoire.
Mais c'est quoi ce regard éteint ? Aria ne ressemble pas à ça !
Accolade pour Aria aussi.

Oh, bonjour Aria ! Ca fait si longtemps...
Elle ne dira rien des traits tirés et ne demandera pas non plus des nouvelles de l'enfant. On verra plus tard comment se porte le petit Renart.

Une enfant ? Etonnement...que fait une enfant seule, ici ?

Damoiselle, le bonjour vous va.
Politesse avant tout. Je suis Della de Volvent d'Amahir-Euphor...enchantée de vous rencontrer, jeune damoiselle.

Et voici Tuttia ! L'artiste a déjà rempli une mission compliquée pour la Blonde, elle lui en est encore reconnaissante.
Dame Tuttia ! Quel plaisir de vous revoir !

Jenah...elle aussi a mis ses talents au service de la Renarde. C'est toujours un grand plaisir de revoir cette Bourguignonne ainsi que son époux, d'ailleurs.
Dame Jenah, messire Sarrasin...comment vous portez-vous ?
Oh, ce sont vos enfants ?
Non, ils les ont empruntés au voisin...idiote !
Grand sourire...

Une autre inconnue...

Bonjour damoiselle.
Salutation de la tête et observation de la dite damoiselle...hésitation.
Etes-vous une artiste des Doigts d'Or ?
Ben quoi, on ne sait jamais, si elle a du talent...et si Nad traîne trop...ça peut servir.

Et tout cela sur un air d'accent du soleil de l'Ibère.
Bonjour, messire ! Voici une bien belle qui s'annonce...Félicitations pour votre organisation.
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[Blason en réactualisation]
    Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
    Chambellan de Bourgogne

Tutia...
Les deux rousses de l'atelier firent alors leur entrée, trait tiré, teint pâle presque cadavérique qui contrastait avec leur chevelure de feu. Que leur arrivait elle ? un pari ? un concours ? Tutia en doutait, cela serait une drôle d'idée de faire un concours sur qui ressemble le plus à un cadavre ?

Puis Maelice arriva par la suite. Saluant tout ce petit monde d'un beau sourire, elle se tourna vers Don lorsque ce dernier déclara qu'elles n'étaient pas en retard.

Ce dernier étant le seul homme on aurait dit un sultan entouré de son harem, même si la jeune femme restait insensible au charme de l'hidalgo, enfin pas insensible mais méfiante, les hommes trop bien fait de leur personne sont les plus dangereux, et puis cela faisait un petit moment que la brunette avait rangé son cœur au placard.

C'est alors qu'une cliente des Doigts d'Or arriva, la fameuse Della de Volvent, qui devait plus passer son temps à l'atelier qu'autre part, au grand plaisir des artistes. Elle ne l'avait servi qu'une seule fois, mais elle avait pu voir que c'était une charmante personne. Noble, certes, mais pas arrogante comme certain dont elle tairait le nom. S'avançant elle alla la saluer :


- Bonjour Dame, c'est également un plaisir de vous revoir, déclara la jeune asiatique en souriant.
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/
Blanche_
Elle n'était plus assez active pour prétendre à peindre de nouveau.
Mais l'esprit critique et l'amour de l'art n'avaient jamais vraiment quitté Blanche, ni avant sa chute de Bretagne, ni après, lorsqu'elle avait eu un petit souci.
Elle était là, donc. Rire aux lèvres, prête à admirer et critiquer, jalouser même. N'était-elle pas faite pour cela ?
Elle avisa Breiz, des têtes présentes, la seule qu'elle apercevait et qui lui était connue. De la façon dont elle était entrée, à observer les murs plus que les gens, le visage aimé d'une bourguignonne était passé inaperçu.
Dommage !
Elle se mordait la lèvre, avançant vers la rousse en regrettant le hasard malheureux qui lui faisait échapper le regard blond, et ami.
Dommage...

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Riches, tenez bon !
Yolanda_isabel
Pour elle, par elle, contre elle, car où Blanche va, Yolanda est là, presque tout le temps, puisqu'elles aiment les mêmes.
Elle suit, en rose, elle sourit aux artistes, les salue.

Le sourire s'illumine quand elles rejoignent Breiz, comme pour la rassurer, elle n'est pas morte sur la route, elle est heureuse, voyez-vous.
Et la main potelée dans celle de Blanche se resserre sous le coup d'une émotion plus forte que les autres. Elle est là, avec elle qui est belle, elle qui est blonde, elle qu'elle aime. Elle sourit à Blanche d'un sourire rêveur. Peut-on être comme Blanche quand on est rose ?

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Il y a des jours où faut pas m'faire chier. Et y a des jours, tous les jours.
Alwenna
Alwenna elle est contente, elle regarde les adultes arriver, parler, se sourire, elle aime rester parmis eux, observer la vie des grands, c'est comme une grande histoire qui peut même être racontée juste par les yeux.

Elle ne fait pas trop attention aux têtes tristes, sait elle seulement que les gens ne sont pas aussi joyeux qu'elle en ce jour ? Alors Alwenna est contente. L'endroit commence à être petit à petit occupé, par des artistes et des clients, et par des enfants aussi ! Un sourire dissimulé à la vue du petit monde qui est aussi présent, comme elle. Sauf que Lys n'est pas accompagnée, Pôpa travaille, Môman aussi, et Jean-Clément l'attend un peu plus loin, Ô liberté !

Une Dame s'approche soudainement, et lui parle, comme à une adulte, elle est fière la petite, alors elle fait une révérence, si on peut l'appeler comme ça.


Bonjour ! Moi c'est Alwenna Wolback de Montfort Laval. Je suis enchantée moi aussi de vous rencontrer.

L'enfant souffle furtivement, soulagée d'êtrée arrivée à parler presque comme sa mère, et continue, l'air de rien.

Vous êtes de la joie vous aussi de venir ? Tu veux acheter de la personne ? C'est de la drôlesse les enchères hein ?

Oui, elle y est presque arrivée !
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Les Doigts d'Or, j'Adore !
Jenah
Maelice arrive alors, l'air taquine et amusée comme à son habitude. Jenah lui adresse un sourire et un bonjour puis rebondit sur ses paroles.
Vendre les petits? Non, non , on me vend seulement moi! Et d'ajouter quelques rires en éclats se brisant sur ses lèvres.

L'espace se peuple peu à peu, les artistes sont là, Jenah remarque avec surprise Blanche, qui se fait bien trop rare à l'Atelier. Puis Della arrive, saluant la petite famille.

Dame Della, le bonjour, c'est un plaisir de vous revoir. Ma foi ça va merci, voila ma fille Célia, et notre petit dernier, Théo. Jenah tourna le regard vers sa petite blondinette qui avait réussi à gagner sa place sur les épaules de Sarrasin bien qu'elle ne soit plus vraiment en âge d'être portée. Et vous, comment allez-vous? Le voyage fut agréable?
--Jehanne.de.cassagnes.b.


La royale grand-mère rombière était là, avec un sacré mal de dos qui, une fois n'était pas coutume, la faisait se tenir bien tranquille sur l'estrade. A cheval entre la cinquantaine et la soixantaine, la Castelmémère, grand-mère paternelle de la Reine de France, n'était ni de prime fraîcheur, ni des plus convenables dans le monde, mais son talent lui avait permis, bon gré mal gré, de se faire accepter au sein d'un atelier où, même, certains avaient développé l'étonnante capacité de la supporter !

Dans l'assemblée, elle remarqua l'égérie d'Ella Durée, la petite rose Josselinière, enfant dont le baptême, disait-on déjà dans les couloirs du Louvre, se déroulerait à la Chapelle Royale - quand les clefs auraient été retrouvées - avec pour marraine la Castelmaure, la vraie, la Reine sa petite fille.


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Sarrasin
Sarrasin découvrait les différents visages que Jenah cotoyait tout les jours à l'atelier, moins les derniers jours depuis l'accouchement. Il les salua l'une après l'autre, souriant aux remarques de ventes pour les enfants. Quand il entendit sa femme parler de se vendre pour ses oeuvres, cela le choqua sur le coup. C'était bizarre comme dénomination, mais le but de cette manifestation revenait à cela, il ferma les yeux un instant avant de sourire à nouveau en apercevant Della.

Bonjour dame Della, ca fait plaisir de vous revoir, cela fait un temps que je ne vous ai croisé. Il me semble que la dernière fois était au conseil, mais cela remonte. Comment allez vous?
Il continuait de converser tout en gardant Célia sur ses épaules un temps, elle qui gesticulait et voulait être à la fois également portée et être à terre pour saluer les arrivantes. Il la laissa donc redescendre pour qu'elle puisse marcher à nouveau librement, non loin de ses parents.
Della
Tandis que les réponses et les échanges allaient bon train, une Blanche entra sans que la Blonde ne la vit tout de suite, occupée qu'elle était à faire connaissance avec Alwenna Wolback de Monfort Laval...enfant pétillante à première vue et n'ayant pas sa langue en poche. Ce qui fit sourire la Renarde Noire.
Oui, en effet, ce sont des enchères inhabituelles bien que en Bourgogne, nous ayons déjà mis aux enchères les Conseillers Ducaux !
Clin d'oeil amusé et se voulant complice à la gosse avant de repartir en papotage avec Jenah et Sarrasin.

Oui oui, merci, le voyage fut très bon.

En effet, messire Sarrasin, la dernière fois, c'était au Conseil ducal.
Je vais très bien, merci.


Entrée alors de la Castelmémère, toujours très distinguée malgré son âge certain.
Salut en bonne et due forme à la grand-mère de sa suzeraine et...alors qu'elle allait repartir en babillages avec les dames, le regard de Della s'arrêta sur une silhouette si bien connue, celle de :

Blanche !
Oui, on fait fi des bonnes manières et on avance à grandes enjambées vers la Belle et on ouvre les bras pour la serrer bien fort...si elle accepte.
Blanche...
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[Blason en réactualisation]
    Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
    Chambellan de Bourgogne

Aria_la_rousse
Les yeux d'Aria se posèrent sur Della qui arrivait. Après des salutations auprès de Breiz et de Nad, ce fut son tour.

"Qu'on m'achève !" pensa t-elle. Subir le regard de celle à qui elle avait subtilisé l'homme qui aujourd'hui l'abandonnait... La médaille présentait à présent son plus cruel revers.
Mais à son grand étonnement, rien, juste une phrase aimable, pas même une question sur lui, sur eux.
Tant mieux, le mal pouvait encore rester caché au creux de son ventre. Elle lui rendit une accolade, et lui sourit presque volontiers tant elle était heureuse d'échapper à une humiliation certaine.


Bonjour Della, oui cela fait longtemps. Je vois que vous vous portez à merveille.

Elle la laissa saluer les autres alors qu'une main venait de se glisser sur son épaule. Un léger frémissement se fit sentir mais à son contact elle savait qu'elle devait laisser faire.
Il émanait de l'ibère une énergie qui se voulait réconfortante, comme si il souhaitait retirer son mal, et celui qui semblait ronger Breiz à leurs côtés.
Cette main n'était pas si mal à cette place finalement, elle représentait, protection et réconfort.

Pour quelques heures, c'est ce dont elle avait besoin... juste ces quelques heures. Ensuite elle reprendra sa fierté, elle reprendra son rôle de femme qui se suffit à elle même, si elle y parvient.

Son sourire se fit plus franc et elle observa l'arrivée d'autres artistes, puis d'une mini cliente. A croire qu'elles allaient toutes être achetées par des gosses.

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Attia.

[ Attia iz in da place!!! ]

Elle est arrivée a Paris pour la vente.
Elle était de mechante humeur et barbouillée. Les matins étaient devenus synonymes de nausées qui l'empechaient de s'empifrer des tartines au miel dont elle avait pourtant si sauvagement envie, mais qu'elle finissait par rendre avant d'avoir pu en faire bénéficier son corps.

Elle serait bien restée au fond de son lit, aupres du blond, parcequ'elle était fatiguée, mais aussi car elle s'attendait a voir Donatello, l'homme econduit. Celui qui savait si bien lui témoigner son mépris depuis qu'ils avaient eu cette dispute et qu'il l'avait marquée de l'empreinte de ses dents dans son cou.
La marque bien que cuisante n'etait pas restée, mais elle le ressentait encore quand elle le croisait...

Mais il était de son devoir de se présenter aux evenements de l'atelier.
Elle arriva donc, une moue au visage qui se changea en un pale sourire.
L'on pouvait deja remarquer que sa poitrine bien que deja généreuse avait enflé et elle avait l'impression meme si c'était encore un peu tot, que ses hanches s'etaient épaissies. Elle songeait d'ailleurs a se faire faire des vetements, incapable de coudre pour elle meme.


- Bonjour tout le monde!

Elle evita precautionneusement le regard de l'ibère, accordant un sourire a Breiz, surprise de voir que la vieille Nad était la, ainsi que Jenah qui l'avait elle apris venait d'accoucher.
Elle sourit en appercevant le visage angelique de l'enfant, une main perdue sur son ventre caressant a son tour l'espoir de donner la vie.
Elle se ravisa.

Elle n'avait encore rien dit a personne, mais elle savait que cela se verrait vite, elle n'etait pas la première.
Mais pour l'instant, et surtout vis a vis de Don, elle ne voulait pas que cela se sache.
Elle adressa des signes de tete aux filles l'une apres l'autre, leur souriant.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Elim
Ecus en poche, je pouvais venir sourire aux lèvres suivre la fameuse vente annoncée. J'en avais fait, des pinailleries, à maman, pour qu'elle accepte de me donner de quoi me faire faire la plus belle des tentures! Mais un argument parmi tant d'autres avait fait mouche, j'allais bientôt fêter mon douzième anniversaire! Elle n'avait pas pu refuser. Le coup était aisé, mais il me fallait absolument pouvoir participer!

Car ce que je ne lui avais pas dit, c'est que si je remportais une enchère, j'offrirai la tenture à quelqu'un d'autre. Une autre. Petite, brune, délicieuse, coquine, aventureuse, ma copine-pour-la-vie. Mais maman n'avait pas besoin de savoir ça!

Alors, à bride abattue, j'avais rejoint Paris, m'éclipsant pour quelques jours. Observant, comme n'importe quel badaud, les productions montrées derrière les vitrines. Certaines sont superbes, d'autres me laissent de marbre, mais dans l'ensemble, tout me plait, et j'ai vraiment hâte, de pouvoir participer à la vente!
Breiz24
Bonjour, Della.

Un sourire glisse sur ses lèvres, un de ces sourires indéfinissables qu’ont les femmes parfois, lorsqu’elle sent la main se poser dans son dos, le corps de l’ibère se rapprocher de sien. Il y a une sensualité entre eux, dénuée de tout érotisme, il y a cette sensualité dans les gestes, de celles que l’on gagne à traverser des choses horribles ensemble. Un avortement provoqué, par exemple.

Elle se laisser aller, guider, elle retourne dans son ombre. Elle ne fait pas partie des artistes qui vendent leur talent ce jour là, elle ne peint pas, elle coud. Elle revient sous la protection du brun à l’odeur rassurante, dont elle s’enivre presque.
Elle ne remarque pas les autres arrivantes, elle ne remarque pas qu’une ombre blonde marche vers elle, coupée dans son élan par une blonde plus lumineuse. Elle voudrait juste cacher son visage dans la chemise de Don et attendre que cela soit fini, mais elle ne le peut.

Alors elle se recompose un visage et un sourire, faux, mais à force le faux attire le vrai, elle finira par accepter ce qu’elle a fait, elle finira par vivre à nouveau.
Sourire aux lèvres, et douleur masquée, elle observe enfin qui est là. Une flopée d’enfants, dont elle évite de croiser le regard. Quelques autres.

Bientôt la vente commencerait, elle l’espérait.

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          Les Doigts d'Or, j'Adore!
Maelice_
Une femme arrive et de sa présence des exclamations et des sourires se dessinent sur les visages. Apparement, elle est connue, semblerait même qu’elle s’appel Della …Bien, mais Maelice, elle ne la connait pas pour autant. Naturellement, elle la reluque, et alors qu’elle vient à s’adresser à elle, l’esprit de la joueuse se charge de sarcasme et d’ironie… « non, je suis pas une artiste, je suis avec eux, juste car j’suis du genre à aimer la compagnie de gens qui sont chargés de faux sourire… »
Elle se retient, sourit à son tour, chassant cette pensée sombre de son esprit et rétorque d’un ton posé.

Je suis effectivement artiste aux doigts d’or . Je me présente, Maelice. Oui, la conversation et elle, ça fait deux…

Petit moment de pause et Jenah annonce à sa grande déception qu’elle n’allait pas vendre les mioches, pourtant…ça en aurait fait en moins, car en plus il y en a d’autre qui se ramène…
Hargg….Elle n’a pas l’instinct maternelle très développé…Tel un chat qui se retrouverait face a une marre d’eau, elle recule, sent son poil qui se hérisse et réfléchit à comment éviter cette marmaille beuglante.

Son regard se porte alors sur Breiz, cette rousse qui certe n’était pas créatrice de tableaux mais qui avait mit tout son talent dans ses doigts pour coudre de belles étoffes..Il lui fallu peu de temps pour remarquer son tourment et sa douleur. Maelice grimace, même si elle n’était pas très sociable car trop discrète et réservée, elle ne pouvait lutter contre ce mal, cette compassion…Foutu sentiment, elle s’en serait bien passé.

Les paroles volent et l’ennuie la gagne peu à peu…Un regard au loin comme si cela allait accélérer le temps et avancer l’échéance, mais rien y fait. Il faut attendre et essayer de ne pas se noyer devant tant de paroles et de personnalités inconnues…

Finalement, elle ouvre la bouche, laissant échapper de ses lèvres des paroles qui allaient certainement refroidir l'ambiance..Mais que voulez vous, l'est habituée à agir...

Pardon, mais elle commence quand la..vente ?...

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Pour tout RP, contact : maelice_rr@live.fr
Blanche_
La présence discrète de Yolanda est vite happée par son sourire enjôleur. Blanche aime cette façon de sourire, ces lèvres un peu pincées, remontant d'un coté plus que de l'autre, comme seuls les enfants savent le faire.
Mutine et amusante, la petite Josselinière occupe Blanche alors qu'Attia entre, et c'est cela, justement, qui empêche la Walsh-Serrant de remarquer les petites différences.
Alors, quand elle relève les yeux et qu'Attia n'est plus face à elle, elle croit voir, se convainc du contraire, sourit, espère que oui. N'y aurait-il pas destin plus fabuleux, pour réunir les deux artistes ?


Blanche !
Elle tourne la tête, ravie, vers celle qui l'apostrophe et lui adresse un sourire de conséquence. Pas qu'un cri de la sorte soit acceptable, non, et du reste Della se reprend seule en écho plus terne. Elle répète, les mots sont là, c'est Blanche qu'elle appelle, et obéissante, la bretonne lui ouvre ses bras à son tour et la serre contre elle.
A moins que ce ne soit Della, qui serre.


Eh bien, Madame de Volvent d'Amahir-Euphor, vous êtes en voix aujourd'hui.

Elles sont en public, Blanche s'en rend-elle compte ?
Elle remonte la main vers la nuque de son amie, comme le feraient deux soeurs.

Il faut croire que non.

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Riches, tenez bon !
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