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[RP] Le retour de bâton...Dans la gueule

Magaline
[En route vers la Folie]

Alphonse Fougue, fossoyeur de son état, s’était rendu au monastère des frère Botoxés. Les pieux hommes à la vitalité flanchant commençant à manquer de place dans leur cimetière foisonnant ; le Berrichon avait pour mission de leur arranger le lieu, tout en profitant pour essayer de leur ventre un tas de fioritures pour pierres tombales dont ils n’avaient absolument pas besoin et de revenir auprès de sa tendre fiancée qui se languissait d’une oreille compatissante dans la quelle déverser sa haine pour la marâtre.
La fiancée quant à elle avait promis de trouver un moyen d’échanger des nouvelles avec son promis. Tous les moyens étaient bons pour déjouer la vigilance des hommes de foie qui interdisaient toute correspondance dans le monastère. Moine corrompu, missive lancée par-dessus le mur, bougre payé pour s’introduire incognito parmi eux, petit mot glissé dans les pâtisseries livré depuis le couvent voisin, croute de fromage gravées de mots tendres…
Et pourtant aucun nouvelles n’étaient venues en retour. aucune jusqu'au soir ou un homme au crane poli de près vient à la rencontre de la demoiselle lui déposer ce pli.




Demoiselle,
Inutile de vous obstiner pour contacter de Fougie, il n’est plus chez nous. Le zoive n’était pas bien net et certains de nos frères ayant remarqué ses pratiques nous l’avons signalé à qui de droit.
L’inquisition est venue, son travail fut fait
.

Le pli lu, la jeune femme lance regarde hagard au crane poli avant de filer à toute vitesse vers le monastère.
A bout de souffle, paniquée et perdu elle tambourine à la lourde porte pendant ce qui lui semble être des minutes interminable
.

-Ouvrez !

Rien, alors elle craque, y donne des coups de pieds et hurle.

-Ouvrez merdailles ou je m’en vais vous défroquer !

Clap
La tapette s’ouvre et un visage y parait.
-Passez votre chemin femme. Les tentatrices ne sont pas admises ici.
Clap

-Bon Dieu de pignouf, rat putride, chien revenez !
Clap
- Laissez-moi voir le sieur Alphonse Fougue sur l’heure où je reviens accompagnée d’hommes armés défoncer votre foutue porte.

- Fougue ? L’hérétique. Passez votre chemin demoiselle Ce personnage n'existe pas, ou plus, et avec un regard suspicieux en direction du ventre de la demoiselle si affectée, ou pas encore.

C’est pile à ce moment-là que le monde s’écroule. Brusquement, alors que la demoiselle recule de quelques pas maladroit, la terre cesse de tourner sur elle-même. Elle tombe à pic, entrainant la rouquine dans sa chute. Direction de font de l’abime sans font.
La jeune femme gémit.
Manque d’air. Porte les mains à sa nuque qui se contracte en plein crise d’angoisse. Elle hallete,inspire l'air mais celui ci refuse d'entrer dans ses poumons. ALors elle tombe en arriere sous le poids de l'atomosphere qui l'écrase.
Lui reviennent les mots échangés avec le fossoyeur juste avant son départ. Un je t’aime encore inédit, jamais prononcé pour un autre avant cela.
Dorénavant plus rien n’aura d’importance, ses yeux s’emplissent de larme tandis que son cœur agonisant saigne.

Elle le scellera à jamais. Tout comme Alphonse il n'existe pas, ou plus …. ou pas encore.

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Magaline Reudi
Tayabrina
Regarde suspect vers son tendre qui voulait attendre samedi. Puis elle se laissa prendre au jeu du diner tout fait par son homme. La châtaigne s’humecta les lèvres en salivant doucement en pensant aux repas que Hans allait lui préparer. Elle secoue ses cheveux châtain tout en abhorrant un non gestuel. Comme ci qu’en secouant ses boucles, cela allait faire fondre le cœur du balafré qui la fixait. Un sourire fendit sa bobine. Soudain une petite pensée vint se mêler à son péché mignon. Elle rougit.

Moi j'ai sais que tu en as dans tes bourses mi amor…mais Jacques il vient, tu tentera ton affaire avec lui en route. Il sait faire des macarons à ta môme. Et ma gourmandise, je te laisserai sans résister me rassasié Hans Reudi ....

Elle termina sa phrase, faisant honneur à l’ours bien souvent bougon d’un baiser a faire rougir plus d’un. Si elle lui avait laissée le temps de réagir, elle serait morte. Avant que cela n’aille plus loin, Taya était déjà dehors à courir dans la rue de Loches. Dans sa course elle se surprit à penser au mariage, à leur mariage ! Elle et Hans uni ! La sauvageonne n’avait jamais voulu d’attaches ou être captive de qui ce soit, Et la voilà un pied à l’autel un pied à …

Le laquais, la tête baissée et son baluchon à l'épaule. Soupirant elle gagna sa hauteur.

Jacques !! Tu ne vas nulle part toi ! Je t’ai déjà payé un an de salaire alors, tu restes au service de la bourgeoise ou je m’occupe à ce que jamais tu ne trouves gîte nulle part…

Un peu trop dure, comment convaincre le valet de resté, quoi qu’elle puisse lui dire il le fera, il s’en ira, il était entrain de prendre la poudre d’escampette.

Chapeau, chapeau ! Gente dame ….

Qu’il tombait bien le marchand, jacques rêver de porter un chapeau, il disait toujours qu’il avait froid à la tête, qu’il se le gèle. Et oui, vous l’avez deviné, elle lui acheta un chapeau et le convaincu de les suivre dans leur course à travers la Touraine.

[Une rousse en détresse]

Les yeux brillants de larmes, elle n’avait pas eu le temps de raconter à Hans sa tristesse du moment. Hans pénétra l’intérieur avec sa môme au bras.

Taya tu ne dis rien ! d'un ton brusque et sec. Houla, l'ours était-il furieux?

Elle resta sous le choque. Ne dit pas mot à la demande. Elle se devait que d’écouter, de suivre la scène père fille. La rousse, avait visiblement une mauvaise nouvelle. Elle assista à toute la scène sans pouvoir broncher. Voeux de silence en mode forcé. C’est qu’elle bouillonnait la Lochoise, mais ne pipa pas mot et ce jusqu’à le départ de Magaline qui ne voulait pas se confier à elle visiblement. Plissant très fort ses yeux verts, elle lâcha un juron avant de commencer à préparer le prochain départ de Loches. Elle en profitera pour essayer de faire changer d’idée à la môme. Il fallait aussi protéger Jacques contre l’impulsion qu’avais Hans envers lui ces temps ci.

Aussi, elle demanda à Jacques de rester en arrière et de les rejoindrent tranquillement beaucoup plus tard.
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Hansreudi
Il fut quand même déçu de partir ainsi. D'être obligé d'annuler son rendez-vous du samedi matin, de renoncer à la correction. Mais c'était certainement pour la bonne cause. Mais il était Lochois définitivement à présent, il se devait donc de tout mettre en œuvre pour protéger les terres où il vivait. Puis il accompagnait sa douce aussi. Lui qui n'était plus capable de la moindre émotion depuis quelques années, voilà donc qu'une femme pouvait ainsi faire ce qu'elle voulait de lui, enfin presque. Bon, il ne cédait pas facilement, il faisait montre d'une résistance de façade, histoire de sauver les apparences. Il avait du mal à résister à tout aussi, il faut le comprendre, parce qu'il il fallait bien avouer qu'elle avait les atouts pour faire fléchir.

La soirée était bien engagée avec sa Belle. Après un repas préparé par un Hans qui n'avait rien dit sur le fait que tout avait été fait par un artisan du coin. Il fallait bien se faire mousser un peu non?

Discussion légère, il commençait à la manger du regard avant de s'attiser les sens. Il se voyait déjà croquer à pleine dent dans la belle pomme, quand sa rouquine de fille débarqua, comme toujours au bon moment.

Mais cette fois ci, il franchit la porte avec une tête à faire peur et à inspirer l'inquiétude chez le plus.....le moins attentionné des pères. Il est évident qu'il s'était passé quelque chose. Et la nouvelle, bien que pas surprenante, le faisait souffrir. Non pas pour le pauvre type, Hans ne lui voulait pas de mal après tout, mais pour sa fille pour laquelle il ne savait pas quoi faire.

L'inquisition à fait son travail......

Bon, il était vrai que le petit fossoyeur de Fougue n'avait peut-être pas tout dans le bonne ordre au cerveau, mais de là à le soumettre à la question et finir sur le bûcher, il y avait quand même une marge.

Comment un père qui tient la route, ou qui du moins tente de l'être à présent, peut-il soutenir sa gamine dans des moments pareils. Puis alors lui comme il est fin et subtile comme une grosse poignée de cailloux, autant dire que les mots qu'ils trouvaient faisaient aussi chaud au coeur qu'un tas de neige qui vous tombe sur la gueule à la descente d'un toit. Il avait bien tenté de lui parler seul, à l'écart de tous, mais rien n'y fit. Il lui aurait tourné une gifle dans la tronche que le résultat n'aurait pas été pire.

De retour auprès de sa châtaigne, les mots choisis furent une nouvelle fois bien sentis.

Tu dis rien Taya

Il aurait pu dire, "ferme là", ou un truc du même style que cela n'aurait pas été pire. Simplement demander à Taya de ne pas faire de remarque sur l'état de tristesse qui émanait de sa môme. Ça c'est sûr qu'à force de régler les choses à coup de tarte dans la gueule on finit par laisser de côté la diplomatie, et on manque un peu de vocabulaire pour expliquer les choses.

Mais comment ils ont pu occire le type quand même? Comme ça d'un claquement de doigt on peu faire disparaitre quelqu'un de la surface de la terre. Il avait du mal à l'admettre et croyait encore à une explication logique à cette histoire, qui sort tout droit des mystères de l'étrangeté du paranormal religieux.

C'est qu'il s'agissait maintenant de reprendre la conversation avec sa Belle maintenant. Bon certes c'est bien triste, mais on va pas mettre de côté un "croquage" de pomme pour autant, surtout par un mort de faim comme lui.

Puis il méritait bien une petite compensation pour l'annonce qu'il venait également de passer et qu'il avait déposée un peu plus tôt dans la journée à l'affichage public.




Hansreudi cherche collier de femme à acheter pour cadeau à faire. Toute personne désireuse de se séparer se son sautoir, je suis preneur. Merci de me contacter par Pigeon à Grande Vitesse.

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Tayabrina
Non , mais as-tu cru franchement que j’allais laisser mon village dans le besoin et aller à un banquet ? Tu sais, Pass as besoin du bois pour la ville et on a besoin de vendre nos fruits, je te propose de faire demi tours, on regagne Loches, le temps de prendre quelques bourses pleines, charrettes et tout les Toutim…Rhoo, mon chéri, allez boude pas, je suis certaine que tu n’attendais que ça…te connaissant tu as du faire un grand effort pour me dire oui….

Au fond Taya elle aurait voulu être au banquet, mais l’obligeance de ses devoirs pour Loches, l’empêchait comme à chaque fois de s’amuser avec ses amis et autres connaissances. C’est ainsi que regret au cœur, ils firent demi-tour et regagne Loches à grande vitesse. Le temps de se mettre en tenue de voyage et d’effacer tout les mascarades prévus pour le banquet, elle était déjà à la porte de Loches, prête pour partir, comme ça chaque fois, toujours sur les routes…Avec son homme, son valet et son grand ami Eros. Cette fois ci pas de bru qui tienne la demoiselle voulait rester seule comme une grande ? Tant mieux Altiero ne serai que mieux garder. Aussi cette fois-ci Lyn, Lothar et Katso n'étaient pas du voyage. Ils étaient juste dans le temps et n'avait pas le moyen suffissament rapide pour prevenir tout le monde.


[Matinée, calme. Retour joyeux !]

Châteauroux était d’habitude, lors de ses voyages très calme. A peine quatre heures le village dormait et pourtant . Une taverne renvoyait de la lumière. La lochoise et sa troupe débarque dans le lieu.

Pinaise…Hans, cette ville ne dors jamais ou…diantre…

Ils étaient vraiment, alors là vraiment pris sur le qui vive comme diraient certains, les voix résonnaient et les choppes s’entrechoquent entre eux. Les villageois étaient encore à la fête à l’heure du chant du coq ! Un doux regard se pose sur son promis, alors que celui-ci affichait une mine de plus déconcertée tant il voulait enfin avoir la belle dans ses bras dans un endroit discret, pour une fois que la fille n’était pas derrière eux. Taya par ce regard, voulait avant tout le calmé avant qu'une tempête n'éclate.

Tant pis ils se disent au bout d’un moment. Les heures passent et défilent. La châtaigne avait déjà honorer son contrat et accepté d’autres. Faut dire quelle avait l’art de négocier et savait brillamment s’en servir.

Journée tranquille avec les chats tout roux, retour en délire de la troupe. Arthur et Paradise les avaient rejoint, La Touraine était dans leurs champs de vision. La jeune femme était tout de même ravie de regagner ses terres, elle allait pouvoir préparée le prochain voyage, au grand damne de son promis.

Je dois absolument reprendre la route, tu peux bien te passer de moi un jour…

Elle lui lança ces mots non sans regret au fond, c’était elle qui allait être malheureuse loin de celui qui savait tant la chérir.
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Hansreudi
Il allait certainement finir par craquer. Après des heures passés à dire à chaque apparition de la belle à la fenêtre, "Tes belle"..."Magnifique"..."Merveilleuse" au point qu'il avait certainement épuisé tous les superlatifs pour qualifier, sa coiffure, robe, maquillage et tout ce qui peut rendre une femme inquiète quant à son apparence, ils prirent enfin la route de Chinon. Les portes de la ville passées, il crut enfin pouvoir saisir un verre de bière avant d'aller se changer pour le banquet que sa Belle lui fit comprendre à demi mot qu'il fallait rentrer.

...je te propose de faire demi tours, on regagne Loches,...


C'est alors qu'Hans entendit un Nonnnnnnnnnnnnnnnnn dans sa tête alors que sa main approchait du divin nectar. Fallait il donc qu'il l'aime, ce n'était même plus de l'amour mais de la rage. Un soupire, non plus deux, lancés et le voilà juché de nouveau sur sa monture pour un retour à Loches. Certes il n'était pas franchement chaud-bouillant pour rester. Les tapes dans le dos et les auto-congratulations de satisfaction c'était pas son truc. C'est donc bien content qu'il fila de Chinon, néanmoins déçu de n'avoir pas bouffé un truc au passage.

Loches à peine franchie, qu'il était déjà question de poursuivre sur Châteauroux. Il savait la ville fort agréable et une escapade amoureuse en Berry n'était pas pour lui déplaire. Sans sa môme, ce n'allait être que du plaisir. Tu parles ouaiiii, il y avait tout Loches avec eux, sauf un ou deux que devaient avoir la jambe cassée pour ne pas être venus. Et des tavernes pleines comme des oeufs de ferme. Même pas moyen de glisser discrètement une main sous le jupon de sa belle. Sûr qu'il allait se rattraper à Loches au retour, après les négociations de bois effectuées. Il s'en frottait déjà les mains.....

.....Et ben non !!!!! Non plus. A peine de retour, un délicieux...

Je repars, je reprends la route.


...avait été balancé. Là il pète la durite du ventricule droit. Un grand besoin de prendre l'air, de sortir au frais pour se calmer. Après quelques minutes d'auto-hypnose dans les rues de Loches, où l'envie de filer un coup de tête dans le mur de la taverne lui avait un instant traversée l'esprit, le voici de retour en salle. Transit de froid et surtout calmé.

tu peux bien te passer de moi un jour…


Bennn, il n'allait certainement pas lui dire que "non il pourrait pas", même une heure d'ailleurs c'était déjà trop. Bordel, c'était un homme, ça pour sûr qu'il n'allait pas le lui dire, même s'il savait déjà qu'elle allait lui manquer affreusement.

Mais bon, il avait à s'occuper à Loches durant ce temps. Lancer la loterie, et un tournois ou concours quelconque qui germait déjà dans sa tête. Donc, pas de quoi trop penser à cette absence qui allait lui pesait quand elle serait venue.

Et sa môme qui se faisait de plus en plus absente, qui avait même commencé à tourner casaque après la "brulerie" du croque-mort sur le buché par l'inquisition. Elle parlait encore de Flandre, d'y retourner, elle reprenait même cette accent du Nord. Et lui qui ne pouvait pas l'accompagner. Il devrait la laisser seule remonter dans le froid.

Et alors le clou du spectacle, la cerise sur le pompon du chapeau, le bouquet final, fut l'intervention de sa Belle hier qui avait négligemment glissé en taverne un....

Je veux une amante!!


Il n'avait pas compris au départ pourquoi donc utiliser le féminin du substantif . Et ben, si...elle s'était pas trompée, c'était bien au féminin. Là ce fut la crise de rire, il n'en croyait pas un mot, enfin, du moins il espérait que ce soit de grosses conneries encore de la part de sa douce qui savait combien être espiègle par moment.

C'est tordu de rire qu'il quitta la taverne pour monter se coucher à l'étage. Il avait besoin de repos après tout ça. Allongé sur son lit, il avait laisser sa Belle en taverne, seule....se redressa d'un bond repensant à son idée d'amante. Oui seule, mais bordel, mais avec Sandreenn !!!!!!!!

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Tayabrina
L’idée de partir sans lui était déplaisante pour la châtaigne, ils s’étaient jurés de ne plus se séparer, ils s’étaient jurer que chaque route que la Lochoise prendrait serait foulée par eux, « nous » qu’ils disaient. Taya ne put que se l’admettre, elle retenait son souffle, l’idée de prendre cette route qui allait séparer le balafré de la châtaigne lui foutait la trouille. La peur au ventre elle l’avait quitté, pour des jours et des jours …le temps allait être long, elle quitta Loches tristement. C’était terrible, mais elle savait qu’il lui suffirait de fermer les yeux pour retrouver l’image de son promis et de ressentir sa présence tout contre elle.

Aphrodite ma belle, partons vite afin de revenir au plus vite ! Le maître risque de se languir de nostre absence.


[Châteauroux Guéret. Châteauroux. Loches]


Dix heures depuis qu’elle est arrivée, et dix heures qu’elle attend que le maire du Château daigne pointé son museau afin d’honorer leur contrat. Elle était hors d’elle. Jamais elle na eu a honorer un contrat de cette façon, elle devait attendre, attendre et attendre. La nuit était tombée, le maire fantomatique, notre Lochoise finit par s’énerver un grand coup reprend la route dans la rage. Son ours la manquait, elle voulait rentré mais fini à Guéret là ou l’entente entre les deux villages fut respectée. Les échanges Loches-Gueret se déroula à merveille, laissant le temps aux deux Lochoises de visiter ce village agréable.

Aphrodite ne parla pas plus que d’ordinaire, elle était tout simplement suspendue à l’idée de rendre la châtaigne heureuse, c’est qui ne déplut pas à la Taya, elle aimait pardessus tout se faire chouchouter de plus par une jeune demoiselle très douce, qui la servait avec obéissance. Cela changer de Jacques qui fut retenu à Loches, pour une histoire de mise en danger de leur village. Rien que cette pensée la fit roulé des yeux avant de partir dans un grand éclat de rire en pensant aux raisons de son jugement.

On se plaindra plus de manque d’enthousiasme dans ce duché, en tout cas, la châtaigne elle, ne se plaindra plus. Quand on assiste a des événements aussi lamentables pour évincer des gens motivés de la vie publique. Qu’on se plaigne plus. Elle l’avait décidé, parce que la châtaigne elle manquait de tact et risquerai d’être trop osée en l’ouvrant. Elle voulait simplement être spectatrice devant ces genres des scènes ridicule, enfin pas trop, elle était plutôt loin de tout cela. Guéret arriva à la distraire et elle était détendue calme.

Finalement au retour elle put prendre les bois à Château, voilà qui fera le ravissement d’un maire qui comptait sur elle pour fournir le village en bois pas trop cher. Le retour vers Loches enfin, son cœur battait la chamade, elle était tout proche de son aimé. Ce matin là, quand elle passa la porte de Loches, quand elle traversa le village dans le silence des premières heures du matin, quand son esprit n’était qu’avec Hans, quand elle se rendit compte que…..elle inspira. Elle venait de se rendre compte que de Hans elle était amoureuse. Pinaise, cet homme a su la conquérir, elle s’arrêta dans sa bâtisse « ni vue, ni connue » attrapa un vélin et de un encrier, Hans dormait encore. Elle avait le temps de lui écrire et de filer directe voir sa mère au domaine.




Mon cher amour,

Pardonne moi de ne pas pouvoir te remettre en main propre ces quelques mots, mais pour des raisons qui seraient fastidieuses a t'expliquer, il est préférable que pendant un certain temps on se rencontre qu’au domaine de la Baronne. C’est n’est pas pour t’inquiéter, mais, bien au contraire que tu fasses à l’idée que ce matin j’ai découvert que je suis amoureuse, que tu as su réveiller en moi des sens que j’ai cru mourir. Je sais que lorsque nous avons discuter récemment tu as du pensé que je ne tiens pas à toi, que j’essai de te fuir. Peut-être que c'était vrai Hans…Mais ce matin une chose est certaine, notre récente séparation m’a anéanti et je ne veux pas vivre sans toi, je ne désire pas être loin de toi, je n’aspire que de t’aimé et de chérir.

Veux tu encore de moi ? As-tu encore peur de moi, de mes réactions, de ma façon de t’aimer ?

Si non…mi amor il est temps de venir à la rencontre de mère. La vie nous réserve des fois des belles surprises et ce matin la mienne a était de me savoir complètement à toi. Je vais rejoindre mère et t’attend au domaine.

N'oublie jamais que ....

Ta tendre Taya


Oui, elle devait dire à sa mère que enfin elle était prête à s’unir avec Hans et qu’elle se devait de dire oui, pour elle, pour son fils. Pour leur Fils, Altiero sera un Reudi. Il fallait convaincre la baronne. Dure tache…
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Hansreudi
Il avait tourné en rond comme un ours en cage en attendant le retour de sa belle à la maison.

Il s'était occupé de l'animation à Loches et rien ne laisser présager que les villageois se réveilleraient, bien au contraire. A croire qu'ils étaient tous amorphes, ou bien qu'il n'avaient envi de rien. Rien d'autre que de travailler, manger et dormir. Une vrai vie de casaniers en somme. Mais bon, ce qui le rassurait c'est qu'à la capitale rien ne bougeait non plus, hormis des banquet sur banquet, qui là non plus ne semblaient pas attirer les foules. Il resta quand même confiant, il n'avait pas les mêmes moyens qu'un Duché au complet.

Puis surtout, il avait sa vie à mener. Il se surpris un soir, à contempler Alteiro, cherchant des similitudes physiques avec lui. Les dates correspondaient mais il se demandait quand même s'il était ou pas le père de cet enfant. Il était hors de question que ce môme reste un bâtard. Il le reconnaitrait, vivre en bâtard c'était la souffrance assurée toute sa vie.

Enfin !!!!!!!! des nouvelles de sa Belle, elle devait rentrer ce matin à Loches. Autant dire que le Hans ne traina pas au pieu, vite sortit de sous les draps, et un bond bain après, elle aime bien l'ours, mais moins l'odeur de l'animal quand même, et hop, le voilà déjà entrain de descendre les escaliers, quatre à quatre, pour se retrouver en salle commune de la taverne et trouver......personne. Pas de Taya, pas un chat. Si une lettre posée sur une table. Il reconnu de suite l'écriture de sa Belle. Voilà qui était de mauvais augures, une simple lettre en guise d'accueil. Ça sentait le sapin là. Un doute vite balayé par les premières lignes de cette lettre. Une lettre et des mots qu'il n'avait jamais espéré entendre ou lire et venant d'elle.

N'avait-elle pas compris elle aussi qu'il l'était lui, fou d'elle, comme jamais. Rhooo s'il l'avait en face de lui, il lui ferais payer ces questions. Comment pouvait-elle douter une seule seconde qu'il puisse ne plus vouloir d'elle. Il fallait la trouver, et il s'empressa de sauter sur son cheval et galoper jusqu'au domaine des Villandry. Il s'était entretenu avec la Baronne de Villandry quelques jours avant le retour de sa Belle. L'accord avait été donné pour les épousailles et Hans n'allait pas laisser partir son oiseau de paradis. Quitte à l'attacher dans les geôles du domaine, mais sûr qu'elle ne couperait pas au mariage.

Pas de Taya non plus. Décidément, il avait de la chance lui aujourd'hui. Sa Belle qui rentre et file au domaine, au domaine personne. Bon certes la lettre qu'il gardait soigneusement pliée dans la poche de son gilet lui avait fait chaud au coeur et le remplissait de joie. Mais bordel, il fallait bien qu'il la voit. Surtout qu'il avait envi de ..ahhh ben non, pas au Domaine.

La Baronne lui indiqua qu'elle pourrait se trouver dans une des ailes du château, à la recherche d'une chapelle.....enfin, bref, il se pauma dans les dédales de bâtisse, passant tour à tour des appartements privés de la famille, aux cuisines, bref, ni de chapelle et encore moi de Taya.

Il rédigea une lettre qu'il déposa au domaine. Dans l'attente de la voir.




Ma douce Taya,

Je viens de prendre connaissance de ton courrier déposé ce matin à la taverne. Alors je vais faire court, très court même pour répondre à toutes tes interrogations.

Saches ma Belle, que je n'ai aucunement l'envi d'oublier quoique ce soit, et surtout pas ça. Et je réponds un Grand OUI, à ta question, si je veux encore de toi. Mais pourquoi donc ce encore, il s'agit d'un toujours.

J'ai déjà parlé avec ta mère, nous en discuterons. Enfin, quoi qu'il en soit, saches Taya, que je t'aime plus que ma vie et même plus que tout dans ce monde. Alors j'espère que ça répondra à ta question.

Je retourne à Loches, je t'y attends.

Ton Ours qui te demande de ne pas oublier toi non plus.


Quand à savoir si il avait peur d'elle, il s'était bien abstenu de répondre. Non, mais au fond, c'est pas qu'il en avait vraiment peur, il a peur de pas grand chose en fait, confiance en elle oui, il l'avait. Mais...euh.....comment expliquer.....C'est qu'il savait d'avance que quand ça plaisait pas à la Belle, elle n'hésiterait pas à lui tourner un marron. Elle l'avait déjà fait...et ne tarda pas à lui faire péter une mandale en plein blaire.

Oui, des retrouvailles comme ils les aimaient tous les deux. jetés dans les bras l'un de l'autre, couvert de baisers...puis, le mot qui traine dans la bouche de Hans, et plutôt que de continuer à tourner sa langue dans sa bouche à elle, non la grosse connerie sort tout naturelleement. C'était quand même peu de chose, juste la qualité de sa cuisine....Hop les fringues balancées depuis la fenêtre, et comme il n'était pas content, pan!!!! un coup en plein museau, à lui faire pisser le sang par les narines. Et comme d'habitude, tout se termine dans un grand éclat de rire, même si Hans avait bien du mal à rire, avec son nez en forme de cor de chasse.

Mais avoir peur d'elle, certainement pas. Amoureux d'elle, plus que jamais.

Il était temps de s'affairer aux différents préparatifs......

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Tayabrina
Il n’est pas bon ma tatouille ?? Pourtant c’est le menu le plus vendu de la taverne ! Hans Reudi !

Elle quitta ses lèvres, grimpa les escaliers et finit dans leur chambre où elle balança tout ce qui pouvait ressemblait aux affaires de son homme à travers la fenêtre accompagné des avalanches d’injures et de malédiction.

Pour ta gouverne. Je ne fais pas la cuisine, adresse toi à Beetista !

Petite crise passagère qui se calma vite, car l’ours savait mener la danse avec sa dame. La châtaigne avait vite fais de passer à autre chose. A la recherche d’une curé…



[Un curé bordel !]

Et si on allait nous faire pendre ailleurs, tu sais la corde autour du cou, et tout le toutim qui viendra après pendant le prochain voyage ? On sera Enfin mari et femme ! Altiero sera enfin un enfant légitime.

La châtaigne ne voulait plus attendre elle voulait être madame Reudi au plus vite ! Elle avait jurée que avant la fin du mois de Mars elle sera sien. Mais comment faire quand son village n’avait pas un curé en parfaite santé ! Elle voulait le faire lors d’un voyage, trouver un cureton, s’unir à lui. Cesser de vivre dans le pêché ! Ils étaient d’accord tout le deux avant que cette fichue pensée ne vienne briser leur enthousiasme matinal. La Baronne, elle allait tuée, jamais elle ne sera d’accord sur le fait que sa fille convole en juste noce, loin d’elle et sans qu’elle y assiste. Pour une fois la baronne pourrait bouger son séant et pioché dans ses connaissances afin que sa fille trouve le bonheur être madame Reudi.

C’est les larmes aux yeux que la bourgeoise accepte que Hans ait raison, pas de mariage sans que sa mère soit présente. Il savait la convaincre. Après tout, Magaline est Davia étaient elles aussi trop loin pour assistées au noce de leurs parents très chéris. Autant ne pas verser l’huile sur le feu et se contenté de patientés. D’attendre que le curé de Loches sort enfin de sa retraite qu’il célèbre leur union.


Entre-temps entre le conseil, la vie du duché et quelques occupations personelles de la châtaigne, ils avaient encore à faire…monter une lance et préparer a nouveau un voyage. Cette fois ci avec son homme. Wep ! Elle ne le quittera plus celui-là, malgré l’absence du romantisme, Taya était déjà drogué à Hans, plus la peine d’essayer de revenir en arrière. C’était lui qu’elle voulait…enfin, elle allait se tempérer et éviter de lui mettre des beignes à tout va… sinon ce sera un époux tout rapiécé qu’elle allait récolter.
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Hansreudi
Hans avait décidé de se sortir les doigts cette fois. Il était hors de question que sa Taya ne soit pas sienne. Il s'était pourtant juré de ne plus jamais aimer, allant même jusqu'à outrager le Très Haut, il y avait de cela quelques années.
Plus jamais de femme dans sa vie. Mais voilà, la vie étant faite qu'il convient de ressortir le vieil adage: "Ne jamais dire jamais". et oui, il était amoureux de sa Belle, comme plus depuis un siècle, il ne l'avait été. Et celle-là il ne la laisserai pas partir. Il la tenait bien fermement et n'avait pas l'intention de la laisser filer. Et il savait que quiconque tenterait de se mettre en travers de sa route le paierait chèrement.

Alors il se démenait comme un beau diable pour trouver un curé qui soit disponible pour d'une part le baptême de sa doucet et surtout les épousailles au domaine de Villandry. Tout était programmé, presque trop bien huilé, jusqu'au grain de sable qui venait foutre le bordel dans le tableau, c'était bien de trouver un curé.

Ils avaient fait un peu compliqué à chercher à droite à gauche quelqu'un qui pourrait assurer la cérémonie alors qu'il aurait été plus simple de trouver à coté de chez soi.

Mais comme il ne désespérait pas, il avait déjà contacté le curé de Loches. La main fébrile en ouvrant la réponse de l'homme d'église et oui, il était disposer à les marier et à célébrer le baptême. Restait à fixer une date, à publier les bans et tout le bazars. Puis lui à prévenir les siens qui étaient éparpillés dans tout le royaume si ce n'était pas à l'étranger. C'était pas une mince affaire que de leur mettre la main dessus.

Les plans sur la comète commençaient à naitre dans la tête du Hans. """"Alors si elle était baptisée aujourd'hui, mariés jeudi à leur retour de voyage, un gosse en préparation jeudi soir......""""
Le programme n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Il sourit à cette pensée, il devra proposer l'affaire à sa belle. Mais voilà, il fallait encore attendre et surtout prévenir la Baronne de Villandry. Le baptême serait-il pour ce soir????? Et ce gamin qu'il considérait comme le sien....d'ailleurs, c'était bien le sien, il en était sûr. Et puis peu importait, il aimait sa mère, alors il l'aimait lui aussi.

Alors il n'avait rien d'autre à faire qu'à retourner à ses animations Lochoises. Un petit tournois de tir à l'arc pour patienter et éviter de ronger son frein. Puis surtout à faire soigner ce nez et surtout cet œil encore d'un bleu azur virant au jaune pisseux. Une escalope de veau sur la tronche pourrait peut-être résorber l'hématome. Fallait pas qu'il se présente comme ça en l'église ou devant sa future belle mère, et l'excuse de "j'ai pris une porte" ne serait pas crédible. Quoique elle le serait tout de même plus que "C'est Taya, qui d'un coup de colère m'a tiré un pain". Sûr que là il passerait pour un vrai con.

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Tayabrina
Ils étaient arrivés au village en fin de journée. Lorsque Taya descendit de la charette ses amis s'aperçoivent que quelque chose avait changé. Ceux qui se trouvaient sur la place centrale s'immobilisèrent aussitôt. La châtaigne les regarda en sourire, elle n'était plus voilée mais porté désormais une voile comme couvre chef. Comment leur expliqué ce changement. quoi leur dire de sa manière d'être qui n'allait plus être la même.

L'ours bougonnait d'avoir à ne plus touché sa belle afin de vivre tel des Aristotéliciens.

Lentement elle se dirige vers sa bâtisse où une fois à l'intérieur elle commença à leur raconter le pourquoi du comment


Nous n'allons plus continuer ce RP par lassitude et que nous passons à autre chose. Nous vous donnons leur denier coup de bâton a travers le RP à Châteauroux Page 8,9 et 10. Merci aux lecteur qui ont suivis

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Hansreudi
Je confirme la demande de la Ljd Tayabrina quant à la fermeture de ce rp. Merci de verrouiller et merci aux lecteurs.

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{Gizmo}
~*d'accord je vais fermer ce rp suite à la demande de l'auteur mais ne pas oublier
TOUTE DEMANDE DOIT ÊTRE FAITE PAR MP
comme ça vous êtes certain que votre demande ne passera pas aux oubliettes!*~

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pas de HRP dans le RP !!!!
Magaline
[En route vers la Folie]

Alphonse Fougue, fossoyeur de son état, s’était rendu au monastère des frère Botoxés. Les pieux hommes à la vitalité flanchant commençant à manquer de place dans leur cimetière foisonnant ; le Berrichon avait pour mission de leur arranger le lieu, tout en profitant pour essayer de leur ventre un tas de fioritures pour pierres tombales dont ils n’avaient absolument pas besoin et de revenir auprès de sa tendre fiancée qui se languissait d’une oreille compatissante dans la quelle déverser sa haine pour la marâtre.
La fiancée quant à elle avait promis de trouver un moyen d’échanger des nouvelles avec son promis. Tous les moyens étaient bons pour déjouer la vigilance des hommes de foie qui interdisaient toute correspondance dans le monastère. Moine corrompu, missive lancée par-dessus le mur, bougre payé pour s’introduire incognito parmi eux, petit mot glissé dans les pâtisseries livré depuis le couvent voisin, croute de fromage gravées de mots tendres…
Et pourtant aucun nouvelles n’étaient venues en retour. aucune jusqu'au soir ou un homme au crane poli de près vient à la rencontre de la demoiselle lui déposer ce pli.




Demoiselle,
Inutile de vous obstiner pour contacter de Fougie, il n’est plus chez nous. Le zoive n’était pas bien net et certains de nos frères ayant remarqué ses pratiques nous l’avons signalé à qui de droit.
L’inquisition est venue, son travail fut fait
.

Le pli lu, la jeune femme lance regarde hagard au crane poli avant de filer à toute vitesse vers le monastère.
A bout de souffle, paniquée et perdu elle tambourine à la lourde porte pendant ce qui lui semble être des minutes interminable
.

-Ouvrez !

Rien, alors elle craque, y donne des coups de pieds et hurle.

-Ouvrez merdailles ou je m’en vais vous défroquer !

Clap
La tapette s’ouvre et un visage y parait.
-Passez votre chemin femme. Les tentatrices ne sont pas admises ici.
Clap

-Bon Dieu de pignouf, rat putride, chien revenez !
Clap
- Laissez-moi voir le sieur Alphonse Fougue sur l’heure où je reviens accompagnée d’hommes armés défoncer votre foutue porte.

- Fougue ? L’hérétique. Passez votre chemin demoiselle Ce personnage n'existe pas, ou plus, et avec un regard suspicieux en direction du ventre de la demoiselle si affectée, ou pas encore.

C’est pile à ce moment-là que le monde s’écroule. Brusquement, alors que la demoiselle recule de quelques pas maladroit, la terre cesse de tourner sur elle-même. Elle tombe à pic, entrainant la rouquine dans sa chute. Direction de font de l’abime sans font.
La jeune femme gémit.
Manque d’air. Porte les mains à sa nuque qui se contracte en plein crise d’angoisse. Elle hallete,inspire l'air mais celui ci refuse d'entrer dans ses poumons. ALors elle tombe en arriere sous le poids de l'atomosphere qui l'écrase.
Lui reviennent les mots échangés avec le fossoyeur juste avant son départ. Un je t’aime encore inédit, jamais prononcé pour un autre avant cela.
Dorénavant plus rien n’aura d’importance, ses yeux s’emplissent de larme tandis que son cœur agonisant saigne.

Elle le scellera à jamais. Tout comme Alphonse il n'existe pas, ou plus …. ou pas encore.

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Magaline Reudi
Tayabrina
Regarde suspect vers son tendre qui voulait attendre samedi. Puis elle se laissa prendre au jeu du diner tout fait par son homme. La châtaigne s’humecta les lèvres en salivant doucement en pensant aux repas que Hans allait lui préparer. Elle secoue ses cheveux châtain tout en abhorrant un non gestuel. Comme ci qu’en secouant ses boucles, cela allait faire fondre le cœur du balafré qui la fixait. Un sourire fendit sa bobine. Soudain une petite pensée vint se mêler à son péché mignon. Elle rougit.

Moi j'ai sais que tu en as dans tes bourses mi amor…mais Jacques il vient, tu tentera ton affaire avec lui en route. Il sait faire des macarons à ta môme. Et ma gourmandise, je te laisserai sans résister me rassasié Hans Reudi ....

Elle termina sa phrase, faisant honneur à l’ours bien souvent bougon d’un baiser a faire rougir plus d’un. Si elle lui avait laissée le temps de réagir, elle serait morte. Avant que cela n’aille plus loin, Taya était déjà dehors à courir dans la rue de Loches. Dans sa course elle se surprit à penser au mariage, à leur mariage ! Elle et Hans uni ! La sauvageonne n’avait jamais voulu d’attaches ou être captive de qui ce soit, Et la voilà un pied à l’autel un pied à …

Le laquais, la tête baissée et son baluchon à l'épaule. Soupirant elle gagna sa hauteur.

Jacques !! Tu ne vas nulle part toi ! Je t’ai déjà payé un an de salaire alors, tu restes au service de la bourgeoise ou je m’occupe à ce que jamais tu ne trouves gîte nulle part…

Un peu trop dure, comment convaincre le valet de resté, quoi qu’elle puisse lui dire il le fera, il s’en ira, il était entrain de prendre la poudre d’escampette.

Chapeau, chapeau ! Gente dame ….

Qu’il tombait bien le marchand, jacques rêver de porter un chapeau, il disait toujours qu’il avait froid à la tête, qu’il se le gèle. Et oui, vous l’avez deviné, elle lui acheta un chapeau et le convaincu de les suivre dans leur course à travers la Touraine.

[Une rousse en détresse]

Les yeux brillants de larmes, elle n’avait pas eu le temps de raconter à Hans sa tristesse du moment. Hans pénétra l’intérieur avec sa môme au bras.

Taya tu ne dis rien ! d'un ton brusque et sec. Houla, l'ours était-il furieux?

Elle resta sous le choque. Ne dit pas mot à la demande. Elle se devait que d’écouter, de suivre la scène père fille. La rousse, avait visiblement une mauvaise nouvelle. Elle assista à toute la scène sans pouvoir broncher. Voeux de silence en mode forcé. C’est qu’elle bouillonnait la Lochoise, mais ne pipa pas mot et ce jusqu’à le départ de Magaline qui ne voulait pas se confier à elle visiblement. Plissant très fort ses yeux verts, elle lâcha un juron avant de commencer à préparer le prochain départ de Loches. Elle en profitera pour essayer de faire changer d’idée à la môme. Il fallait aussi protéger Jacques contre l’impulsion qu’avais Hans envers lui ces temps ci.

Aussi, elle demanda à Jacques de rester en arrière et de les rejoindrent tranquillement beaucoup plus tard.
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Hansreudi
Il fut quand même déçu de partir ainsi. D'être obligé d'annuler son rendez-vous du samedi matin, de renoncer à la correction. Mais c'était certainement pour la bonne cause. Mais il était Lochois définitivement à présent, il se devait donc de tout mettre en œuvre pour protéger les terres où il vivait. Puis il accompagnait sa douce aussi. Lui qui n'était plus capable de la moindre émotion depuis quelques années, voilà donc qu'une femme pouvait ainsi faire ce qu'elle voulait de lui, enfin presque. Bon, il ne cédait pas facilement, il faisait montre d'une résistance de façade, histoire de sauver les apparences. Il avait du mal à résister à tout aussi, il faut le comprendre, parce qu'il il fallait bien avouer qu'elle avait les atouts pour faire fléchir.

La soirée était bien engagée avec sa Belle. Après un repas préparé par un Hans qui n'avait rien dit sur le fait que tout avait été fait par un artisan du coin. Il fallait bien se faire mousser un peu non?

Discussion légère, il commençait à la manger du regard avant de s'attiser les sens. Il se voyait déjà croquer à pleine dent dans la belle pomme, quand sa rouquine de fille débarqua, comme toujours au bon moment.

Mais cette fois ci, il franchit la porte avec une tête à faire peur et à inspirer l'inquiétude chez le plus.....le moins attentionné des pères. Il est évident qu'il s'était passé quelque chose. Et la nouvelle, bien que pas surprenante, le faisait souffrir. Non pas pour le pauvre type, Hans ne lui voulait pas de mal après tout, mais pour sa fille pour laquelle il ne savait pas quoi faire.

L'inquisition à fait son travail......

Bon, il était vrai que le petit fossoyeur de Fougue n'avait peut-être pas tout dans le bonne ordre au cerveau, mais de là à le soumettre à la question et finir sur le bûcher, il y avait quand même une marge.

Comment un père qui tient la route, ou qui du moins tente de l'être à présent, peut-il soutenir sa gamine dans des moments pareils. Puis alors lui comme il est fin et subtile comme une grosse poignée de cailloux, autant dire que les mots qu'ils trouvaient faisaient aussi chaud au coeur qu'un tas de neige qui vous tombe sur la gueule à la descente d'un toit. Il avait bien tenté de lui parler seul, à l'écart de tous, mais rien n'y fit. Il lui aurait tourné une gifle dans la tronche que le résultat n'aurait pas été pire.

De retour auprès de sa châtaigne, les mots choisis furent une nouvelle fois bien sentis.

Tu dis rien Taya

Il aurait pu dire, "ferme là", ou un truc du même style que cela n'aurait pas été pire. Simplement demander à Taya de ne pas faire de remarque sur l'état de tristesse qui émanait de sa môme. Ça c'est sûr qu'à force de régler les choses à coup de tarte dans la gueule on finit par laisser de côté la diplomatie, et on manque un peu de vocabulaire pour expliquer les choses.

Mais comment ils ont pu occire le type quand même? Comme ça d'un claquement de doigt on peu faire disparaitre quelqu'un de la surface de la terre. Il avait du mal à l'admettre et croyait encore à une explication logique à cette histoire, qui sort tout droit des mystères de l'étrangeté du paranormal religieux.

C'est qu'il s'agissait maintenant de reprendre la conversation avec sa Belle maintenant. Bon certes c'est bien triste, mais on va pas mettre de côté un "croquage" de pomme pour autant, surtout par un mort de faim comme lui.

Puis il méritait bien une petite compensation pour l'annonce qu'il venait également de passer et qu'il avait déposée un peu plus tôt dans la journée à l'affichage public.




Hansreudi cherche collier de femme à acheter pour cadeau à faire. Toute personne désireuse de se séparer se son sautoir, je suis preneur. Merci de me contacter par Pigeon à Grande Vitesse.

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