[Rp] Fin de lausanne (ouvert à ceux qui sont à Lausanne)

Sous sa couverture les fesses à l'air il sentait bien que quelque chose chauffé anormalement, il rabattit rapidement la couverture sur son fondement.

M'enfin fait encore plus chaud la pensa t-il.

Il releva la tête, l'esprit encore embrumé, ouvrit ses paupières, les premières couleur qui lui sautérent dessus été rouge, orange et il sentit la fumée, âpre, acide, lui piquant la gorge.

Rhooooo, Véro a laissé le poulet sur le feu et il crâme, pffffffffffffffffff.

Il ne lui fallut pas plus de deux secondes pour comprendre il se releva d'un bond hors du lit, se retourna et secoua véro en hurlant pour la faire réagir plus vite, en lui retirant les couvertures. Oups, m'enfin un fondement.

CHERIE REVEIL TOI, LE MANOIR EST EN FEU.

Il sauta sur la fenêtre et l'ouvrit et la vision d'ensemble de la ville le fit blémir, ce n'était pas que le manoir qui brûlé mais la ville entière, il entendait des cries au loin.

Dans la nuit, cette nuit, l'image d'une Lausanne brûlant été apocalyptique, il devait d'abords sortir sa famille de ce brasier et ensuite regrouper l'ACl pour aller prêter main forte en ville.

Zyv se réveille avec une drôle d'impression...

pendant son rêve, elle était assise sur le petit banc, devant l'atelier d'Antoine, la main glissée dans celle de ce dernier, la tête tendrement sur son épaule...

Soudain, une odeur âpre était venue chatouillée ses narines. elle avait vu Antoine disparaitre dans une sorte de brume et son cri de panique l'avait réveillée !

Antoine ! Antoine ... où êtes vous ?

Revenant à la réalité, elle se rend compte qu'elle a dû rêver.
Le coeur encore battant, elle se laisse retomber et ferme les yeux.

Mais cette odeur âpre est tenace... voilà que maintenant elle la fait tousser !

Zyv se lève brusquement et court à sa fenêtre.

quand elle ouvre le rideau, un grand cri sort de sa bouche

oooh mon dieu quelle horreur !!!

ses pensées vont vers Antoine. Sans regret, elle abandonne son potager et court à l'atelier de son amoureux pour l'aider à sauver ce qui peut être sauvé...
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Owen sursauta, l'aboiement de Tengu n'était pas habituel. Encore sous l'emprise du sommeil, l'homme secoua la tête.

- Bon chien, tais-toi, dit-il.

L'animal continua à aboyer, grattant la porte avec acharnement.

Agacé, Owen finit par se lever. D'un pas lent, il alla vers Tengu et le caressa.

Tu veux sortir ?

Plusieurs jappements sortirent de la gorge du chien.

Le sourire aux lèvres, Owen ouvrit la porte en grand. Il arrêta son geste lorsqu'il vit en bas de la colline une lueur orangée couvrir la ville. L'homme n'arrivait pas à interpréter l'image qu'il voyait.

Pourquoi la ville était-elle si éclairée, se demanda-t-il ?

Alors, des brumes de son esprit, il finit par comprendre ce qui se passait.

Le feu ! Le feu est en train de manger la ville, cria-t-il.

Dans le même instant, il se rappela que la maison de Rachel était proche de la sienne. Sans réfléchir plus, il se précipita dans sa direction.
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Les cris l'avait d abord éveillé...

d un naturel méfiant, Antoine avait doucement ouvert son rideau pour voir l'enfer..

Toute la berge de Lausanne, quais et étal était la proie des flammes!! Le Manoir également flambait avec force!

sans vraiment réfléchir, l image du tableau ornant la mairie lui vint en tête!

le tableau du premier incendie, baptisé "la nuit pourpre"

On aurait dit ce soir une représentation vivante de cette oeuvre..

mais pas le temps pour les palabres!

Antoine se jeta hors de la chambre, enfila les premiers vêtements du bord, sortit sa besace de l'Atelier et ne prenant que son sac d'écus.

Son atelier était encore loin des flammes pour l'instant mais la demeure deZyvelyne proche...

Épée, bouclier et bâton en main, Antoine se jeta dans cette nuit d'hiver en direction des cris...
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Au poste de garde, porte de...bof, bref, le long d'un des murs des remparts, euhhh celui où se trouve Maria_paz à faire de la dentelle...

Jeje rassemble ses hommes, enfin, ses soldats mâles et femelles, pour le comptage journalier.

Crowa crowa crowa...

Quoi croa? Z'êtes pas contentes d'être là?
Allez, allez, restez groupir.
Rhooooooooo, mais qu'est-ce qu'elles ont à s'affoler comme ça?

NANNNNNNN, reviendez ici, c'est pas l'moment d'la baignade!

Arrêt brusque, le nez se retrousse, une fois sniff, deux fois sniff, sniff,.

Narines dilatées... retroussage rapide et continu: sniff sniff sniff sniff sniffffff

Nom de diou!!!

Les gars, ça pue l 'cramé!!!

Les yeux au ciel, des nuages sombres mais surtout des reflets rouges, des lueurs orangées qui gondolent et de petites particules qui tourbillonnent dans les airs prêtes à embraser ce qui se trouve sur leur trajectoire.

Quelqu'un crie, qui? La perchée, peu importe (on s'en fout): Y a l'feu!!!!! Lausanne brûle!!!


Sauuuuuuuuuuuuuuuuve qui peuuuuuuuuuut!!!
Les femmes et les enfants d'abord, les seaux aussiiiiiiiiiiiiiii

Alors, là, ça part dans tous les azimuts! Elle reste plantée là...

Mince, mes negrouilles, euh, mes grenouilles....

Piti piti pitiiiiiiii
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Lili habitait dans une vieille bicoque un peu en dehors de la cité de Lausanne. Elle ne s'était jamais décidé à se prendre une maison plus habitable au coeur de la cité.

Encore une nuit d'insomnie!!! Elle avait du mal à dormir ces derniers temps, surtout quand Clovis partait quelques jours au monastère. D'un côté puis de l'autre elle tournait et virait dans son lit. Pas moyen de dormir comme si elle pressentait quelque chose.

Se redressa d'un bond, attrapa son châle pour aller observer la lune. Son passe-temps favori quand elle ne trouvait pas le sommeil. Elle s'accouda à la fenêtre et ....

Vision d'horreur!!!

Les yeux exorbités, elle regardait les flammes ravager Lausanne. Ni une ni deux, elle attrapa ses bottes, enfourna ses pieds dedans et sans même les lacer, elle partit en chemise de nuit avec son châle sur les épaules pour aider.

Mais où aller? Que faire? Comment aider? Surtout qui? Elle se sentait impuissante face à ce spectacle. Les habitants criaient et courraient de partout. Balottée dans tous les sens, elle n'arrivait pas à franchir les portes de l'enceinte de la ville.

Dediouuuuuu Mais laissez moi passer!!!!

Elle aidaà se relever une vieille femme que l'on piétinait sauvagement avant de se frayer un chemin jusqu'à l'intérieur.
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Voilà, c'est dit : Lausanne passe à la trappe !
J'ai une larme dans le coeur...
Je me met à déjà regarder en arrière et penser à ceux et celles qui ont fait de Lausanne cette belle cité qu'est la nostre.......beaucoup de noms me viennent en tête (je n'en citerai aucun de peur d'en oublier) beaucoup de fierté d'y avoir habiter, d'y avoir aimé même, que c'est triste maintenant d'avoir cette impression qu'une grande machine va tout balayer au nom du royaume de l'écu et de faire semblant que Lausanne brûle...
Faites donc semblant d'y croire ... quelle connerie ce scénario...
Je resterai fidèle à Lausanne et aucun censeur ni administrateur pourra rayer de mon âme cette cité de Lausanne qui m'est chère !
J'ai une larme dans le coeur....

Messire Orca

Catouline après un tour en taverne était aller jusqu'à l'hôpital, il n'y avait presque plus personne, juste cet petite dame que son fils avait déposer là, mais ce n'était plus qu'une question de jour qu'elle puisse aussi rentrer chez elle. Ce soir, Catouline n'avait pas le cœur joyeux, elle allait bientôt partir mais au lieu de la réjouir comme cela était le cas quelques jours plutôt, aujourd'hui cela l'attristait, en effet son voyage ne se ferait pas comme elle le voulait, une partie de son coeur reste en Helvétie ... elle le sent briser même si elle sait que cela ne changera rien à son amour ... elle se réjouissait de ce voyage et là ce n'était plus la même chose ... une partie essentielle allait lui manquer ...

Perdue dans sa morosité, elle était aller voir la petite dame, celle ci dormait déjà, elle l'ausculte en vitesse, tout est parfais ... elle se rend donc vers la sortie quand une drôle d'odeur attire son attention ... reniflant pour voir d'où cela vient elle s'aperçoit que ce n'est pas de l'hôpital, mais du dehors. Elle s'y dirige en vitesse et commence à déterminer l'odeur ... oui c'est une odeur de bruler, de fumée .. elle se met à courir ... quand elle ouvre la porte elle voit un brasier ...
Par Aristote !! la ville est en feu !!

Elle entend et voit tout le monde courir dans tout les sens ... elle regarde l'hôpital les flamme en sont loin encore ... il faut aller aider à éteindre
Elle ferme la porte et cour vers l'endroit présumé du feu pour aider, essayant de se frayer un passage ...
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Catouline

Oligophrène était le génie de la famille Péouze. Il savait compter jusqu'à trois, nous le verrons plus tard.

Ce jeune homme revenait de quelques courses pour son maître, notemment du fromage pour une fondue qu'il partagerait avec des amis. Ce Péouze avait notemment acheté quelques sucreries. Oui, ces choses hors de prix que Freng n'avait pas demandé mais qui faisait saliver Oligophrène. Il en avait acheté trois - sans rapport avec ses facultés intellectuelles. Il avait fait le calcul que si son maître était de bonne humeur il en donnerait à chacun des Péouze et s'en garderait un. Il avait vraiment l'intention de revenir vite pour que Freng soit de bonne humeur mais il vit un galopin qui le bouscula. Intrigué, il le regarda s'approcher du tribunal, sanctuaire de la Justice qui était malheureusement aux abonnés absents depuis longtemps.

C'est beau le feu, un grand feu. Un feu dévorant comme celui qui attend les païens à la fin de leur vie.^^ Ceci dit, plutôt que de comprendre l'urgence, il s'assit et admira le spectacle. "Du pain et des jeux" dixit un grand homme. Oligophrène connaissait le grand coeur de Freng avec ses esclaves. Que dis-je? Ses serviteurs sous contrats, Freng étant respecteux des lois et n'a pas d'esclaves. Revenons-en à Oligphrène qui voulait être sûr que les sucreries valaient leur prix... Il goûta, pour son maître. Il trouva cela exquis, mais cela avait un goût de fromage? Il fouilla dans ses besaces et compta que un, deux, trois sucreries avaient disparu. Anecdote côcasse, non?

Pendant ce temps-là, le feu s'étendit au toit du bâtiment.

Anne avait le coeur en berne, elle n'en pouvait plus, elle avait décidé de quitter Lausanne même si dans son coeur serait pour toujours attaché à cette cité.

Elle avait donc pris sa charette, mis tous ses bien et était partie sans se retourner.

Elle s'était arréte en chemin pour dormir mais un mauvais pressentiment l'avait réveillé. Elle ne put s'empecher de regarder vers Lausanne et quelle ne fut pas sa surprise : la cité était en feu...

Le sort en est jeté, il faut tourner la page... pensa t'elle.j'espère que l'avenir sera meilleur que ces derniers temps
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Les cloches se mirent à raisonner. Envoyant peut-être un dernier message aux habitants encore endormis. Elles avaient rythmé la vie à Lausanne et le faisaient encore aujourd'hui.
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A la boulasse municipale,
Quand une diplomate veut voir un chancelier.

Cela faisait déjà un bail qu’Edjerha attendait, le coffret était lourd, elle attendit jusqu'à ce qu’une odeur apparaisse elle avait cru sentir un feu de bois. Mais les cris qui suivirent furent tout autre que ceux autour d’un feu de cheminée.
Elle recula, observa la ruelle, et vit passer une femme affolée.

-Excusez moi que ce passe-t-il ?
-Le feu dame il ravage la ville !

La pauvrette partie en courant.

Bok yok! La byzantine jura dans sa langue maternelle et tourna les talons. Tant pis pour Izaac elle était sure de le retrouver facilement, mais là il fallait sauver ses miches. Edjerha repartit donc récupérer ses affaires dans l’auberge.
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Freng avait envoyé ce cher Oligophrène oubliant que le feu devait se propager ce jour. En effet, un oracle l'avait averti que Zeus en avait décidé ainsi. Cet oracle venait de Grèce. Il s'agissait d'un Annguellou en formation. C'était Hermétique qui l'envoyait.
Le lecteur a sûrement besoin qu'on lui rappelle qui est Hermétique Annguellou et qui sont en général les Annguellou.

Hermétique est le plus jeune chef du réseau d'espions que forment la famille Annguellou. Ils sont issus d'une famille de méthèque vivant en Phtie – et originaire de Thrace - et ayant aidé le fils d'Achille à se venger e ceux qui l'avaient détrôné. Les premiers membres vivent encore aujourd'hui dans une caverne. Ils sont cinq à y vivre. On les nomme couramment les cinq grands Sages de la Grotte de la Connaissance. Ils ont reçu des pouvoirs magiques. Ils peuvent vivre autant qu'ils le souhaitent, mais dans les limites de la grotte. De plus, ils ont une plaquette hautement magique qui leur permet d'user de plus de pouvoirs, quand il s'agit d'aider leur maître.
Par contre, leur descendant vivent éparpillé à travers le monde et ne vont en Phtie que pour se former à la magie. Et encore doivent-ils être de la famille principale. Autrement, ils n'ont pas les moyens de faire le voyage – car il faut avoir des économies pour aller jusqu'à la grotte en question, sans oublier qu'il faut faire le retour ensuite.

Hermétique y a donc fait un séjour. Il a été un élève extrêmement doué en magie utile aux assassinats et autres activités analogues. Cet Annguellou avait aussi appris à allumer une pipe avec les doigts – plus par fayotage que pour autre chose.
Hermétique avait été fort utile pour retrouver une jeune fille égarée. Il avait réussi à la retrouver. C'était Alexandre Clerc qui lui avait demandé de réussir cela. Or, la mission touchant de près à Freng, cela avait eu d'avantageuses retombés pour Hermétique qui avait pu réaliser son rêve – être le plus jeune chef de cette organisation.

Donc, c'est ce jeune Annguellou qui a envoyé un apprenti à Lausanne prévenir Akhilleúsyon. Ce jeune apprenti avait appris à se métamorphoser. Il avait usé du relais de pigeon pour se déplacer de pigeon en pigeon le plus rapidement possible. Il était changé en un petit message accroché à la patte du pigeon. Et il était le neveu d'Hermétique. Le dit neveu avait bénéficié de ce traitement se faveur car il avait toujours plus à Hermétique. Rappelons une nouvelle fois que seuls la famille principale a droit au voyage payé par leur maître.

La Pythie avait été consulté par Hermétique. Il avait ainsi donc appris que Zeus avait condamné Lausanne. Il avait directement fait le lien avec son maître et avait dépêché un apprenti en qui il avait confiance pour aller le dire directement à son maître. La Pythie avait évidemment parlé en énigme, mais il avait compris que le châtiment viendrait d'abord du feu sacré. Zeus avait ordonné qu'Hestia commence à brûler les maisons, les bâtiments administratifs et la suite. Le premier bâtiment administratif serait le dicastère, car la dikhaiossuné n'y était plus.

Le messager était arrivé il y a de cela une semaine. Il était jeune, aimable et très impressionné d'être devant l'homme dont ne tarissait pas d'éloge son oncle.
"Maître, je suis envoyé par Hermétique. Lausanne va brûler dans le feu d'Hestia la brûlante.
-Comment le sais-tu?
-C'est Hermétique qui a demandé à la Pythie.
-Bien… Quand cela doit-il arriver?
-Dans une semaine, maître. Est-ce que je peux…
-Disposer? oui. Va-t-en! je n'aime pas les oiseaux de mauvais augure.
-Heu…oui, bien."

Et il parti. Il ne s'était pas douté qu'apporté une mauvaise nouvelle pouvait faire que l'on fut mal reçu. C'est alors qu'il se remémora que dans l'ancien temps, on tuait l'annonciateur d'une mauvaise nouvelle. Le neveu remercia alors Hermès d'avoir protégé son voyage. Il ne se félicita que d'avantage d'admirer Hermétique qui est l'un des plus fidèles au dieu susmentionné

Le jour où les flammes commencèrent. Freng avait envoyé Oligophrène faire des courses. Ce n'est qu'alors qu'il se souvint des dangers environnants. Il rangea rapidement tous les objets auxquels il tenait. Plus particulièrement ses objets qu'il utilisait pour des expériences sur la résonnance magique. Une fois que tout fut mis en sécurité, il s'assura que ne resterait aucune preuve de ses expériences.
Ce n'est qu'alors qu'il fonça voir si ses concitoyens avaient besoin d'aide.

Il alla droit en direction de chez Lili. Ne sachant pas par qui commencé, il décida d'aider d'abord une amie.