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[RP]A l'assaut !!!

Smurf
Un petit bois isolé au cœur de la campagne périgourdine, un petit chemin isolé qui s'y faufile, quelques voyageurs sur-armés qui se taisent, tapies dans la végétation, deux ahuris sur-armés qui discutent, et un hibou du haut d'une branche qui regarde la scène d'un regard perplexe.

-Et si t'aillais dans l'autre bosquet au lieu de m'emmerder ici?
.Non l'autre à coté il sent la pisse, et en plus il y a Smurf dedans.
-J'en ai rien à secouer, le mien est trop petit, on à un bras qui dépasse de chaque coté, t'as déjà vu un bosquet avec des bras et qui parle toi?
.Non mais j'en ai déja vu qui sentait la pisse.
-Ouai, et moi j'en ai connu une de ta proche famille qui sentait pareil, aller dégage.
-Toute façon toi cette odeur toi ca t'a jamais dérangé hein... t'as l'habitude... dès que ça à 2 mamelles et deux jambes...
.Tu te trompes, la dernière c'était ta truie de petite soeur, et elle en avait 6 paires, c'était pas de la tarte.
-Tu veux qu'on reparle de ta grosse mère qui, avant de partir, m'a fait une grosse... GLANG!


Une grosse caillasse venait d'atterrir sur son casque, jetée par Smurf, le visage tout rouge et la barbe toute ébouriffée de colère.


-Qué qu'y dit?
.Je sais pas il bouge juste les lèvres d'un air crispé... Vos... gueules les consanguins... sinon je vous... renvoi directement de là... de là ou vous êtes sortis à la naissance... dans le cul de votre m...OOOHHH!! GLANG! aïe.


Le forgeron au tablier en cuir moulant était en embuscade avec sa troupe, prêt à laver l'affront de Vonafred, et c'est son peuple qui allait prendre pour lui... le premier périgourdin qui passerait par là, allait se faire massacrer... Tout le monde la boucla enfin quand deux voyageurs s'approchèrent de ce petit bois qui au fil des minutes sentait de plus en plus la sueur. Arrivés à leur hauteur, les voyageurs se firent submerger de toutes parts après un épique "A l'assaut !!!!". S'en suivit un carnage sans nom, bref, mais particulièrement intense, toujours sous le regard du sage hibou sur sa branche perché.

Citation:

26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.


Tout le monde se tenait en cercle autours du... résultat, Smurf dépouillant les victimes pour voir si elles n'avaient pas 1 ou 2 écus en poches.

Eh défection... on s'est encore planté, ils viennent du Limousin. On va encore se faire engueuler... Bon, repartez dans vos arbres, le prochain qui passe on lui demande ses papiers et après on lui décolle la peau des fesses pour en faire des sacs à main.

Mais plus un pékin ne montra le bout de son nez de la nuit, sauf un couple de vieux paysans qui passa ramasser l'homme et la femme à qui il avait glissé une petite lettre d'excuse dans la poche.
Best_lion
La nouvelle avait fait le tour du Périgord-Angoumois....une armée avait pénétré sur ses terres...et elle avait commencé son massacre...deux étrangers à son tableau de chasse ...Les défenses de toutes les villes étaient sur le pied de Guerre....


Bergerac l'avait vu passer non loin de ses remparts et avait soufflé ...une armée ennemie qui se balladait ainsi impunément n'était pas chose courante et provoquait des sueurs froides alors même que l'oriflamme était passé et bien au large de la citée ....


La nuit suivante sur les remparts de la Capitale ....les défenseurs tous à cran avaient assistés eux aussi au même spectacle ...au loin une armée qui ne fait que passer ...à la fois soulagés et déçus ....ce sentiment contradictoire était quelque peu difficile à vivre ...


Certains criaient " VENEZ NOUS SOMMES PRETS " d'autres se pressaient d'essayer leur fronts dégoulinants de sueur voir de dissimuler une incontinence naissante


La veille des escarmouches au pied du Château avaient été aisément contrées...ils avaient penser à un test avant une action plus musclées...et voilà que l'armée ennemie...passe devant eux sans même les saluer ou leur envoyer qui une jambe, qui une tête....ou quelques restes de repas mal digérés


Ils étaient bons pour aller se coucher quelques heures afin d'être frais et dispos pour la nuit suivante...


Soudain quelques bruits d'armes qui s'entrechoquent non loin des remparts ...quelques cris étouffés...quelques gargouillis mortuaires ....certains avaient semble t il fait les frais et le tableau de chasse s'était peut être équilibré ...

_________________
--_lucie


Y'avait eu la réception, avec plein de gens qui brillaient comme des soleils, pis y'avait eu des messes basses, pis tout le monde s'était sauvé comme si ils avaient le feu aux fesses et elles avaient échangé ce regard...
C'était nouveau pour Lucie de voir sa Maman et Tata Bryn se regarder comme ça, elle avait lu d'abord l'inquiétude, puis la résolution, et pour finir comme de l'excitation comme quand elle et ses frères voulaient escamoter une part de tarte aux mures encore chaude, dans le dos de Mélie.

Maman l'avait serrée contre elle pendant qu'elle saluait d'un signe de tête tous les partants, le Messire qui sent pas mauvais avait serré Tata Bryn lui, puis était parti à son tour. Elle avait levé son museau pour poser des questions et sa mère s'était accroupie, avait poser un doigt sur ses lèvres et avait souri.


- Mon cœur, je vais devoir m'absenter, Bryn aussi, alors tu vas m'écouter attentivement. Une armée de malfaisants est en approche de Périgueux, il se peut donc que tu entendent des cris, le bruit des armes qui s'entrechoquent, et même des râles, signes qu'il y aura des blessés et des morts.
Tu vas rester ici, avec la maisonnée de la Grande, je sais que tu ne te coucheras pas, mais s'il te plait, soit gentille avec tout le monde, et va te coucher dès que tu n'entendras plus aucun bruit.


Maman lui caresse la joue d'un geste tendre et Lucie sait que c'est du sérieux. Elle avait jamais peur auparavant car personne ne lui disait rien, mais là...

- Comment je saurai que tu vas bien ?
- Vindict t'apportera un message de ma part, je ne peux monopoliser les estafettes de l'armée, nous aurons besoin de tout le monde tu comprends ?
- D'accord...


Après encore quelques effusions, la mini-chieuse les avait regardées partir et ensuite c'était tournée vers les personnes encore présentes, l'air résolu et le regard orageux.

- J'veux le meilleur point de vue de la maison ! Qui m'emmène sur le toit ?
Tadek
Tadek qui était en voyage avec des amis dans le P.A., fût alerté
un soir en taverne de la menace qui planait sur les Périgourdins.

Sans se poser des questions plus longtemps, Tadek et tous ces amis
se sont rapproché de la Comtesse afin de proposer leurs aides,
car dans ce genre de conflit, on est jamais de trop.

L'ancien Capitaine et tous ces amis avaient donc mit leurs armes
et leurs expériences au service du P.A. car les brigands sont un
véritable fléau dans le royaume.

Ces vermines de brigands ne valent pas mieux que les rats, tout seul
ils sont complètement innofensif, mais dès qu'ils sont en nombre,
ils tuent et pillent sans le moindre remord, ils n'ont ni foi ni loi,
ce ne sont que des lâchent.

Tadek fût affecté à la lance de Best_lion alors que ces amis étaient dans la lance de la Comtesse.

Le soir venu, Tadek était prêt, prêt à en découdre avec ces brigands
et à leur ôter la vie si il le fallait afin de protéger les gens libre.

Ce que Tadek appréciait le plus, s'était le silence avant l'assaut, là
où l'adrénaline atteint des sommets et il y avait fort longtemps
que Tadek n'avait pas connu ceci.

Après un long moment d'attente, on entendit au loin le bruit des armes
qui s'entrechoqué et les hurlement des malheureux qui venait d'être au mieux blessé, au pire assassiné sauvagement.

Des cris de rage se firent entendre depuis les remparts " VENEZ NOUS SOMMES PRETS " et ils avaient raison, nous étions prêt à les recevoir
comme il se doit!

Mais rien, ses lâches ne se sont pas approché des remparts, ils ont sûrement eu peur de la bravoure et surtout de l'unité des Périgourdins
qui étaient tous là pour défendre se qu'ils avaient de plus chère, leurs terres et surtout leurs familles.

_________________
Brygh_ailean
La maison se vidait peu à peu. La brune sortit une première fois, profitant que tout le monde se bousculait sur la place Petit Pierre pour la défense nord. Elle n'oubliait pas qu'elle défendait à mains nues, attendant toujours que le clergé l'autorisa à porter une arme. Elle était donc clerc avant tout et son devoir de clerc était clair. Apporter un réconfort spirituel et moral aux défenseurs :

Ô Seigneur, réconforte ces frères qui partent en guerre avec Ta grâce et protège la paix de tout mal. Donne leur la grâce et la pureté, qu'ils bannissent tout ce qui est indigne de Tes éloges et contraire à tes commandements. Aide-les à combattre pour qu'ils comprennent l'importance de la paix, et s'ils se laissent envahir par le mal, chasse la Créature sans Nom de leurs cœurs et freine leur colère.
Amen


Retour à la maison, pour les dernières instructions. Déjà Pattricia se préparait à rejoindre l'est, Ben également. Lucie sembla un instant désemparée, puis l'instant d'après elle disparaissait avec Sachiko. Bonne chose, après tout.

A son tour, elle pouvait se préparer. Attacher ses cheveux à la va-vite dans une tresse à l'incertaine régularité. Remettre des "habits d'homme" pour pouvoir mieux circuler. Troquer ses bottes qui lui avaient fait atrocement mal la veille contre des godillots en cuir souple de chez elle. Regard désapprobateur de Sperber, l'effet souhaité était donc réussi.

Ne restait plus qu'à gravir rapidement les marches à la porte Neuve pour surplomber la campagne. Petit regard en arrière juste pour voir : là bas, le dispensaire ; plus loin l'université. Ramenant les yeux plus près, juste au pied de la muraille quasiment, c'est à dire sur sa propre maison, elle aperçut des ombres sur le toit.


Sachiko ! Foutrecul ! Qu'est ce que tu fous là ?
Bébé Pat ! Vouloir regarder !


Le sang de la grande ne fait qu'un tour.

Ventre-dieu ! Quoi ?
Tata, je peux regarder…Je suis grande tu sais !
Non, tu ne peux pas regarder ! Et c'est moi qui suis la grande… Alors…


La clarté des arguments frappe comme une réalité, tout autant que les fanfaronnades de certains défenseurs, qui ont le don de l'agacer. Comme à son accoutumée, elle se contente pourtant d'un soupir.

Lucie ! Tu rentres immédiatement !
Naan ! Je veux regarder !
Lucie ! Tu m'obéis toute de suite !
M'ame Bryn… Ca bouge…


D'un geste elle écarta le propos du garde.

Tu m'as comprise ?

Et l'écho lui retourne des sanglots des violons d'un petit bout blond.

Fianchtre ! Lucie, tu redescends ou c'est la fessée !
M'ame Bryn, visiblement ça bouge en bas…
Tu m'entends ?


Et l'écho ne renvoie plus rien. Le silence est de mise.
Je descendrais pas.
Il faut parer, argumenter, piquer là où ça fait mal.
Je vais dire à Ben d'écrire à Armoria que tu n'es pas une petite fille sage !
Pfff…Il la connaît même pas.
Si d'abord ! Il a été comte !

Nouveau silence. Là ça devrait avoir marché.
Bon ça va je redescends.
Petit geste de victoire de la grande.
M'ame Bryn, s'il vous plait…
La grande se retourne vers le garde à côté d'elle.
Oui quoi, encore ? Qu'est ce qu'il y a ?
Bah, ça bougeait… j'dirais même que ça a bougé…Pis maintenant c'est déjà loin pour bouger.

La grande regarde vers l'horizon. Quelques culs de canasson et de la poussière.

Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "La légion des nains " dirigée par Smurf.


Ah ben ! On les a loupés…
Ouais, bien loupé j'drais. Qu'est ce que vous êtes chiante quand vous êtes agacée !
...

_________________
Pattricia
Les convives s'étaient évaporés et il avait fallu parer au plus pressé. Commencer par convaincre mini chieuse que tout allait bien se passer, bla bla bla, ensuite attraper son sac dans le vestibule et filer dans un coin se changer. Un dernier baiser à la blondinette, une prise d'avant-bras virile avec la grande et elle avait filé pour sauter sur sa monture et rejoindre le bivouac de l'armée étalé, le long des remparts est dans la capitale.

Les estafettes faisaient quelques allers retours et tenaient le Cap et le 1er Lieut en relations permanentes. Et puis quelque chose avait commencé à remuer dans une ruelle, pas loin de la mairie et du pont qui menait au château. Le 1er Lieutenant avait dispersé les forces et chacun avait avancé pour prendre l'ennemi en tenailles.

L'échauffourée ne dura pas longtemps, les quelques assaillants croisés périrent tous par le fer. La Vindicative fut déçue de ne pas voir Steack Haché dans le lot et se dit que ça serait surement pour la prochaine fois...


- Pss
- Hum ?
- Pss... Lieutenant !
- Ah c'est vous ! Vous pouvez pas vous ramener normalement comme tout le monde ! Vous trouvez ça respectueux de Psster sans arrêt pour me parler ?
- Nan mais des fois que vous seriez nerveuse hein ! Un retournement brusque et j'me prends un coup d'épée dans le buffet.
- Pfff ! Votre confiance m'honore. Vous voulez quoi ?
- Vous dire que l'armée est passée au loin.
- Ha ? Pas de castagne ? Tss... Ça sera sans doute pour demain, y'a du beau linge dans le coin, je pense qu'on va pouvoir festoyer et faire un peu de viande grillée aussi.
- Nan mais c'est quand même angoissant ces manœuvres auxquelles on comprend rien
- Stratégie mon vieux ! Rien d'extraordinaire, vous verrez va y'avoir du feu de joie.
- Ouai, ben sauf votre respect, j'ai pas envie de crever moi !
- Vu le don que vous avez pour vous planquer y'a aucun risque ! Allez, rentrez et préparer de bonnes rations pour tout le monde.
- A vos ordres !


Puis plus bas, en le regardant s'éloigner...

- Ahh ça pour courir se planquer à l'abri du camp, il file comme le vent pas de souci.

Les cadavres furent ramassés par les fossoyeurs et portés près de la fosse commune du cimetière. Un prêtre viendrait faire une bénédiction au cas où et, sans réclamation d'ici 24 h, ils seraient ensevelis.
_________________
Vassilissa
[Et de Périgueux, ça donne quoi ?]

C'était un bordel sans nom. La couverture de laine gisait sur le parquet, au même titre que ses vêtements, et le feu s'était éteint depuis belle lurette. Par l'étroite fenêtre, un pâle rayon de soleil venait visiter les lieux, glissant sur le corps nu de la Blonde, allongée sur le lit. Elle grogna "C'est pas l'heure !", avant de se retourner brusquement, plongeant presque dans la tignasse blonde perdue à ses côtés. Elle recula aussitôt, les yeux agrandis de surprise, tentant de recoudre les bribes de la soirée de la veille. Le sang qui battait dans ses tempes apportait à lui seul pas mal d'explications : elle avait bien trop bu. Curieuse, elle se pencha au dessus du dormeur, pour voir à quoi ressemblait son visage, et sourit en reconnaissant trois pauvres poils de barbe, qui en faisait sûrement le plus jeune de ses hommes.
Fichtre, pourquoi lui ? Sans doute parce qu'elle n'était pas tellement plus vieille, finalement... Mais un blond ? Elle n'avait jamais essayé encore, ne les trouvant pas assez ténébreux pour servir de héros à ses rêves d'aventure.
Perdue dans ses pensées, elle le regardait dormir, et un à un les souvenirs revinrent, amenant avec eux leur flopée d'émotions. Elle l'avait désiré, elle se souvenait maintenant. Après une soirée passée à découvrir qu'ils étaient du même blond...

Elle s'ébroua. Il n'y avait pas eu que ça. Son bras droit la lançait comme après Alençon, quand elle avait reçu ce coup d'épée barbare. Et elle ne put s'empêcher de baisser les yeux, soudain terriblement inquiète. Mais sa peau n'avait pas le moindre petit bleu, la plus discrète égratignure. Il n'y avait là que grosses courbatures après l'émeute d'hier. Elle étira lentement ses membres endoloris, fouillant dans sa mémoire.
La lettre de Bretagne, qui l'avait trouvée là, les échauffourées en taverne, l'ambiance tendue de Périgueux qui se préparait à la guerre, et les voyageurs qui tombaient sous les coups d'une armée cachée et invisible.
La Blonde se rappelait les lumières au château, et les premières bagarres quand ils étaient entrés. Tout avait dégénéré bien trop vite, et dans le vacarme et les cris elle n'avait pas vraiment compris s'ils avaient réussi à remporter au moins le pavé de la cour... Pressés par la milice et les dizaines de défenseurs, ils avaient reculé ô loin derrière les grilles, qui s'étaient refermées en les laissant dehors.

La révolte avait échoué, entrainant avec elle les rêves de quelques uns. Vass, nostalgique, avait fait demi-tour dans la lueur des torches. Le Blond l'avait rejointe, fatigué lui aussi, lui rappelant, taquin, qu'il lui avait promis de la raccompagner. Elle s'était laissée faire, et ils étaient rentrés.
Ses yeux cherchèrent encore, machinalement, le corps de son amant dans le lit retourné... Elle ne se rappelait pas s'ils avaient prévu une suite à tout ça, ou si tout s'arrêtait une fois passé la porte. Elle haussa les épaules, il serait temps de voir quand le soleil serait haut... quand elle serait loin. Et sans un bruit, elle passa ses vêtements et arrangea ses cheveux. Il était grand temps d'aller aux nouvelles !
Attrapant une miche, et avec un dernier regard pour l'homme qui dormait, elle quitta la chambre.

Dans toutes les tavernes les gens criaient leur joie. Périgueux avait tenu...

_________________
Mon cœur est l'Hydre, avis aux amateurs !
Jaidelachance
[ Un peu plus loin dans les bois, une dégénérée suit le mouve ]


Allez les enfants, on rentre, on rentre !


Frappant dans ses mains à travers les buissons pour rassembler ses petits camarades, la Jaid cherchait les enfants qu'on lui avait promis pour la colonie de vacances.
Bon en fait elle n'avait repéré qu'une petiote parmi le groupe venu d'Artois et d'ailleurs, mais comme toutes ces années de vie militaire avaient laissé des traces ( des grosses ) assez indélébiles dans l'éponge gluante qui lui servait de cerveau, ce détail n'avait somme toute que peu d'importance : Ils étaient dans le Périgord, la nuit était fraîche, et c'était tout ce qui comptait. Alors au loin, on l'entendait encore :



Bah les enfants vous êtes où ? Qu'est-ce qu'on va faire de tous ces écureuils bouillis qui vous attendent ?


Déjà en temps normal, c'est-à-dire de naissance, la Jaid n'avait jamais été bien futée. Il suffisait qu'on lui raconte que la nuit est blanche ou que l'herbe est bleue pour qu'elle le croit, vous voyez le genre ... mais alors sortie de son contexte militaire où plus personne n'était là pour lui dire ce qu'elle devait faire et surtout comment elle devait le faire, c'était devenu la cata.
Toutefois, s'il était une qualité que l'on pouvait attribuer à la Beuvry, enfin, tout au moins ne pas lui enlever, c'était son odorat incroyable qui l'avait déjà tiré des situations les plus périlleuses.
Si si.
Il suffisait que l'analphabète dresse le nez un peu vers le haut, et elle pouvait vous sentir un pet de garenne ou une armée Périgourdine à environs quarante noeuds à la ronde.
En l'occurence, ce qu'elle flairait pour le moment tandis qu'elle cherchait toujours à rassembler les gosses, c'était une forte odeur de mâle à travers les buissons.



** Sniff Sniff , flpflpflp **


Aucun doute : Un mâle en rut venait de lever la patte, pour ça, la Jaid ne s'y trompait jamais.


... Smurf ?


Oui. Rien qu'à l'urine elle pouvait vous reconnaître tel ou tel homme.
Incroyable je vous ai dit. Elle pouvait même sentir un peu plus loin les effluves de Fifi et aussi celles du vieux bouc, ce dernier ayant la particularité de porter admirablement bien son nom.



Smurf, les écureuils sont pr^ ...


... Mais voilà que le roi des nains sortait de son buisson en hurlant un " A l'assaut !!!! " qui ne prêtait plus à la réflexion ( car Jaid réfléchissait jusqu'alors, ou plutôt elle essayait ) mais à l'action : Immédiatement elle sortit son épée du fourreau et se précipita au rythme de la meute en direction d'un couple qui souhaitait certainement leur chaparder leurs écureuils bouillis.


Citation:
26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.



Lorsque les deux marauds furent mis hors d'état de nuire, elle leur flanqua encore quelques coups de pieds.


Pas possible ça, on n'a pas idée de gâcher un repas collectif !!!



C'est vrai quoi ... En plus ils bouffent comme des ogres les GO de la colonie, on voit bien que c'est pas eux qui s'occupent des gamelles ...

_________________
Maeva83


"ASSSSSSSSSSOOO!!"

Bon sang, mon crie de guerre!
Plus question de lambiner, faut y'aller! Leur mettre la pâtée!


Le Smurf lui avait promis un sac à main périgourdin, si elle tapait où et quand il le fallait!
C'est comme à la Soule, qu'il lui avait dit, je donne l'assaut, tu fonces, tu poutres, tu dégommes tout sur ton passage et comme prime de match t'auras un sac à main!
Clair qu'elle allait pas refuser, en plus comme son chevalier l'agrippait aux braies, z'étaient deux à foncer, c'est deux sacs qu'elle ramènerait la vilaine!


Planqués au cœur de leur Bosquet, la Maé et son Chevalier avançaient en rampant, ventre à terre, une technique très personnelle et ultra-sophistiquée pour pas se faire pisser dessus par le premier nain venu.

Elle tirait en poussant sur les coudes, et le chevalier les propulsait, mains sous ses fessard, en fredonnant des paillardes...

Ils étaient là à quelques centimètres d'eux lorsque le forgeron amaigri donna le signal!


Citation:
26-02-2011 04:05 : Vous avez frappé Adama. Ce coup l'a probablement tué.
26-02-2011 04:05 : Vous avez frappé Adama. Ce coup l'a probablement tué.
26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.


Tape! Cogne! Frappe! Fais en de la chaire à pâtée! Assssoooo! Asssssooo!!Ça bouge encore, on relâche pas! On cogne, on cogne faut marquer le but bon sang! Pense à ton sac à main vilaine! Pour une fois qu'on te promets kek chose!

_________________


Smurf
Comment on est perdu? On est pas perdu, on à prit un raccourci voilà tout! Mais forcément si on me dérange toutes les 5 minutes... après le château de Périgueux il fallait tourner à gauche puis droite pour se poser tranquillement dans les champs... mais comme... *tourne la carte dans le bon sens*... Damned! On à été joué! Demi-tour!!!

La légion des nains se promenait dans la campagne dans un joyeux boucan, se racontant des blagues sur son cousin, l'enfance d'Armoria, ou chantonnant la dernière compilations des "chansons pour aller en prison".

Perdu? Oui mais pas trop, car Périgueux il l'avait vu, et de près, mais ne s'attarda pas trop à coté de la porte, la ville bouillonnait telle qu'une fourmilière dans laquelle on venait de donner un coup savate. Petit détour par une porte dérobée, et entrée secrète dans les murs du chateau pour une entrevue avec la Comtesse afin de décider du sort de son peuple de bisoubisous consanguins se complaisant dans un style des plus pompeux qui découragerait n'importe qui, ne passant pas sa vie derrière des bouquins pour s'évader de sa vie sans saveur, de s'épanouir dans une vie simple.


Des choses intéressantes avaient été dites, et Smurf cogitait sec et JPOUF!

On est perdu chef?
--Bri.le.guant
26-02-2011 04:05 : Vous avez frappé Adama. Ce coup l'a probablement tué.
26-02-2011 04:05 : Vous avez frappé Hildegarde. Ce coup l'a probablement tué.
26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.






[Une nuit calme, enfin au début]

La forêt, la forêt et...la forêt !

Baaah ! Rha la dague de la forêt ! Des arbres, des arbres, des abres là , des arbres ici, des passants, des arbres encore, des ar....des...des passants ?!

Bouhahahaha ! Intelligent comme une vessie de truie, Bri et son nez glissèrent furtivement jusqu'à la route des passants où il énonça :

"Passants, victimes, cadavres, apprenez,
Que c'est par cet homme au grand nez,
Que finit pour vous le chemin, cet appendice,
Ridicule voie que vous considérez comme un indice
Et que vous, idiots, appelez sobrement la "vie"
Bêtises que ceci pour vous à la seconde où je vous vis."


Les ombres des passants s'étaient figées.

"La vie ? Qu'est-ce ? Les religieux disent ça spirituelle,
Y croyez vous en ces gens en robes et dentelle ?
Je vous apporte la réponse, à vous d'y croire,
Déplorables marauds ! car la face sans gloire
De vos pauvres minois de freluquets
Devant ma lame en seront surement moins coquets.

Je ne sortirais pas avant, par convenance,
Ma lame pas très bien lavée, la conscience
D'offrir ici et maintenant la vérité de la vie à votre œil,
Qui se traduit en réalité par votre simple deuil !"


Mais le pauvre bougre qui se plaisait à rimer voyait déjà sur ses cibles ses amis fondre et les découper sans rechigner !

"Bougres ! Veillez à m'en laisser donc un bout !
Que je puisse moi aussi jouir de ce tabou !"


Et c'est ainsi que, moustache au vent notre idiot fondit sur les et découpa un peu plus ce qu'il restait des victimes.
Aleen
Nuit noire, petit groupe avançant furtivement, frôlement, respiration courte, sens aux aguets, bruissements de feuilles, montée d'adrénaline... soudain l'attaque fond sur eux.

bruit de ferrailles,
A l'attaque !!!!! un cri qui les libère, ils se jettent à corps perdus sur l'adversaire, se mettent en défense
en cercle pour parer de tous les côtés, se déploient en avançant, la bataille fait rage


Aleen pousse un cri qui vient du ventre

Vous n'auriez pas du, SUS A EUX PAR SAINT GEORGES !

elle pourfend, pique, fend, taille dans la chair, elle voit rouge, elle pense à un autre temps, cette odeur de sang ses amis tombés non il ne nous auront pas pas cette fois non

L' affrontement fut de courte durée deux morts à leur actif. Elle essuya son épée, la remit au fourreau prit les papiers des deux attaquants, laissèrent les corps sur le bas côté demain il sera temps de les enterrer


Citation:
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par Dagoon.
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Orick95. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Sernays et de Orick95.
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Darkan02. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par Darkan02.


Aleen comme toujours après la bataille avait la gorge sèche, elle s'adossa contre un arbre reprit sa respiration alla voir ses compagnons, pas de blessé cette fois-ci merci Aristote !!!

fourbus ils reprirent le chemin du campement

_________________
Malbrouk
[Une nuit sous les étoiles...]

Cataclop Cataclop Cataclop...

Qu'était ce donc ? Une armada de valeureux chevaliers au service de la veuve et de l'orphelin sur de magnifiques destriers parcourant les terres ennemis à l'affût de méchants écorcheurs semant la terreur dans quelques bourgades peuplées de braves et honnêtes habitants ?

Cataclop Cataclop Cataclop

Pas tout à fait, en fait, il s'agissait du vieux bouc à la belle et unique dent qui adoucissait les traits bruts d'un visage quelque peu usé par trop d'abus de boissons diverses et variées sans oublier les cures de jusquiames noires dont il aimait les effets à des moments qui ne s'y prêtaient pas forcément.

Cataclop Cataclop Cataclop

Usant de son imagination toujours fertile, il s'était confectionné deux jolies petites boîtes en fer qu'il tapait l'une contre l'autre non sans un certain sens de la mélodie afin de rajouter un peu de charme à cette excursion touristique merveilleusement organisée par le mirifique Smurf au talent indéniable pour faire découvrir au sombre inculte que Malbrouk était la faune et la flore en des lieux plus éloignés

Cataclop Cataclop Cataclop

Qu'il aimait ce son, ça lui rappelait la belle époque où Jaid la pucelle le conduisait au combat dans son armée du poulailler afin d'affronter tous les ennemis de l'Artois, peu importe le fait qu'il haïssait les chevaux qui n'étaient, à son goût, que sales bestioles chiants partout sans respect du pauvres soudard et de ses chausses déjà assez usées comme ça pour ne pas avoir à sentir le crotin en plus...oui, peu importe car ce fond musical donnait un peu plus de tempérament à cette nouvelle aventure

Cataclop Cataclop Cata... Paffff !!! SCHLINGGG !!! Aieuuhhh !!!

Ce brave Malbrouk était parfois incompris, il s'en était fait une raison et c'est après un coup bien placé en ses merveilleux attributs qu'il se retrouva poussé dans l'herbe sans ses deux boîtes à cataclop...
Silence qu'on lui avait dit
On attend qu'on lui avait dit
Et on tape sur les premiers péquins venus qu'on lui avait dit

Belle végétation en ce temps pourtant hivernal, il allait apprécier sous peu la faune en la personne d'un jeune couple se promenant gaiement, main dans la main, près de ses compagnons de voyage.
Et c'est avec une curiosité non cachée qu'il contribua à étudier les autochtones mordillant de ci de là la chair tendre de ces amants quelque peu affolés par tant d'attention


Citation:
Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.


Ravi d'avoir goûté à la jouvancelle avec moults précautions, il fut tout désarmé d'apercevoir son Smurf en colère qui ne manquait pas de s'exprimer avec ce précieux vocable qui lui était propre

Eh défection... on s'est encore planté, ils viennent du Limousin. On va encore se faire engueuler... Bon, repartez dans vos arbres, le prochain qui passe on lui demande ses papiers et après on lui décolle la peau des fesses pour en faire des sacs à main.

Diantre, ce vieux bouc de Malbrouk comprenait cet émoi légitime, lui même se sentait trahi d'avoir été trompé sur la marchandise...
Des Limousins dans le Périgord, manquait plus que ça...
Idée en tête, sourire niais en prime, il se saisit de ses deux boîtes métalliques pour mettre un terme à un silence pesant suite à ce premier échec en s'appliquant avec un ultime


Cataclop...

Des regards furieux sur sa personne plus tard, Malbrouk savait quand il fallait s'éloigner pour éviter la mauvaise humeur de certains compagnons plus sensibles à la pleine lune que d'autres...

C'est donc la mine déconfie qu'il repartit, écoutant la sage recommandation du gentil Organisateur passablement déçu, se pencher dans la flore périgourdine à défaut d'en étudier la faune...

Après tout, le lubrique n'en était pas à une nuit près pour tremper son biscuit dans le rustique, cette nuit avait été limousine et pas forcément désagréable, fallait voir le bon côté des choses et ça, Malbrouk savait le faire grâce à Jaid la Pucelle

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Hector_
Bon sang que c'était long. L'atmosphère était pesante depuis des jours. Tout le monde attendait une attaque qui ne venait pas. Alors qu'il avait résisté à foutre des séries de claques en permanence du conseil, il était chaud bouillant à la tombée de la nuit le jeune soldat. Il ne valait mieux pas le croiser lorsqu'il était chaud comme ça. Les chiens qui aboient sont aussi les plus inoffensifs. Les grandes bailles sont aussi celles qui se planquent quand le danger approche, il avait déjà connu cela en Rouergue. Cela ne l'étonnait même plus, lui qui rêvait d'unisson au moins lorsque l'ennemi était dans les terres. Beaucoup allaient mourir pendant que certains venaient emmerder leur monde avec des histoires d'impôts. Le jeune homme avait bien envie de leur faire bouffer des écus.

Après quelques gorgées d'hydromel, il était de nouveau concentré sur son métier, tuer. Il avait une approche du combat assez solitaire, ressentant le besoin de faire le vide plutôt que de chercher à prendre du bon temps avant une mort possible. Il préférait donc rester seul, assis sur sa couche pendant que les autres se regroupaient.

Il finit par sortir de sa tente pour rejoindre son chef, le sénéchal Benduguesclin, au moment de partir. Après avoir tapé dans la main de ses camarades, comme pour s'entre soutenir, ils prirent la direction du sud de la ville, déterminés comme jamais.

Les remparts étaient garnis d'archers, des torches les illuminaient, c'était splendide. L'armée était au sein des murs, prête à se déployer en fonction de l'assaut. Le silence régnait dans les rangs, le doute s'installait dans les esprits.

Alors que tout le monde attendait un assaut classique. Une petite troupe surgit de la ville pour attaquer la porte, probablement pour permettre au gros des troupes d'entrer. Manque de chance, l'armée n'était pas bien loin. Aux ordres, les épées sortirent de leur fourreaux toutes en même temps et l'affrontement débutait.

Bien évidement, les assailants n'avaient aucune chance et leur tentative était vouée à l'échec, mais ce n'était que l'entrée, le plat principal suivra. Les coups d'épées pleuvaient, tous plus violents les uns que les autres, et les assaillants tombèrent rapidement sous les coups.


Citation:
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Dagoon. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par Dagoon.
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Sernays. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Orick95. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Sernayset deOrick95.
27-02-2011 04:08 : Vous avez frappé Darkan02. Ce coup l'a probablement tué.
27-02-2011 04:08 : Vous avez été attaqué par Darkan02


Le jeune Hector était recouvert du sang qui avait giclé des combats. Parmis ce sang, il y avait celui d'un de ses amis, mais il ne s'en était pas aperçu, ne le reconnaissant pas sous le feu de l'action.

Le calme régnait donc de nouveau. Les survivants furent emmenés afin d'être soignés et emprisonnés.

Mais tout d'un coup...Cela s'agitait en haut des remparts. Les défenseurs se mirent tous à parler, un petit vent de panique gagna les troupes.


Sénéchal, je vais voir ce qui se passe, je reviens.

A l'acquiescement de son supérieur, il accourra en haut des remparts. L'armée ennemie était là, ils voyaient les torches au loin...Une marée de torches. Quelque en soit la finalité de cette guerre, le nombre de morts sera énorme d'un coté comme de l'autre. Cela en fera des orphelins...

Mais surprise...L'armée n'attaqua pas, elle ne faisait que passer. Peut être avaient-il pour idée d'impressionner et ainsi faire fuir les moins courageux? En tout cas, le combat sera pour un autre jour.

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Chevalier°bayard
Citation:

26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.





Toujours accroché aux braies de sa Maé (rhaaaaa ce qu'il aimait couvrir ses arrières ^^), planqués dans les fourrés dans la forêt, attendant le signe de Smurf, le chevalier avait réagi un chouïa trop tard... au cri Assssssoooooo, Maé partit imméidatement et se jeta avec les autres sur les voyageurs... mais avec une telle rapidité qu'il ne sut pas suivre... et les bougres ne lui laissèrent rien! Pas une côte à féler, un coeur à transpercer, un membre à couper, un doigt à casser ou des entrailles à étriper... rien... même pas une verrue à couper...

Pffff... même pô juste, toujours les mêmes qui s'amusent... et en plus, Smurf il s'était trompé c'était même pas des périgourdins... l'accent sans doute... ou le bruit que faisait Malbrouk et ses boîtes en fer ? Ou l'autre qui tuait en vers ? Allez savoir...

Alors que Maé faisair déjà deux entailles sur l'arrière de son bouclier, il alla ré-affuter son épée pour le lendemain, espérant participer aussi à l'action...
En plus, il avait un peu mauvaise conscience... envoyer comme ça Dagoon et Sernays en éclaireur, seuls face à l'armée ennemie... la blague était un chouïa méchante... surtout qu'Orick les avait suivi... il sentait que ça allait encore lui retomber sur le râble... Bref, il fallait être bien en forme pour le lendemain...

Mais le lendemain... refrustration... pas d'armée en face!!!

De nouveau, pas de combat épique, pas d'odeur de sang, rien... Et le château, qui hier était sur sa droite, était aujourd'hui sur sa gauche... Bigre!

Il passa sa tête par-dessus celle de Maé, et cria en direction de Smurf:


On est perdu chef?
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