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Info:
La première déclaration portant sur la position des armées impériales dans la guerre dite de Savoie date du 14 janvier 1459. Celle de la République Réformée, annonçant ladite guerre date du 13 mars 1459.

[RP] Déclaration des alliés

White


[Campement de la coalition, devant les remparts de Genève]

Déjà 2e matin à Genève, l'air frais et l'humidité du matin venait assaillir le corps de toute part. Le Sénéchal n'avait encore pratiquement pas dormit de la nuit, se vautrant sur des cartes, des calculs de ravitaillement et des théories de défense...

Il sortit de la tente et regarda les murs de la ville qui se dressait dans le léger brouillard qui venait du Lac. Il sortit un grand parchemin, leva la tête et se dirigea d'un pas lent mais décidé vers la porte principale de la ville.

Il s'arrêta devant et y planta son parchemin :

Citation:

Aux habitants honnêtes de Genève
À l'ensemble des Cantons libre d'Helvétie
À ceux qui savent différencier la vérité de la fourberie

Salut!

Depuis l’agression sauvage, barbare et injustifiée qu’un groupe de brigands Genevois a commise contre la ville Savoyarde d’Annecy, les autorités Genevoises n’ont eu de cesse de faire de la propagande mensongère à notre encontre !

Vous, honnêtes Genevois et honorables Helvètes, nous vous en prions : servez-vous de votre jugement et voyez clair dans le jeu de ces manipulateurs qui vous contrôlent et vous utilisent ! Depuis trop longtemps, les Lions de Juda et les autres organisations criminelles utilisent Genève et l’Helvétie à des fins personnelles ! Comme si la ville ou les Cantons leur appartenaient !

Les Lions sont plus puissants que jamais à Genève. Et, le hasard n'y étant sans doute pour rien, la moitié des membres du conseil de Berne est issue de Genève! Avoyers de toute l'Helvétie, réveillez-vous ! Genève est le chancre qui ronge votre pays!

L’Helvétie doit prendre ses responsabilités face aux agissements de Genève. Le double discours doit cesser ! Genève a commencé cette guerre seule, de son propre chef. Elle doit en assumer seule l'issue, à moins que la Confédération Helvétique ne s'impose et prenne des mesures fortes garantissant à ses voisins que ce canton ne sera plus jamais une source d'ennuis pour tous les royaumes.

Si nos armées sont ici, devant les murs de la ville, c'est sur ordre de notre Empereur, en réponse à cette agression de Genève sur une ville de l'Empire! Nous ne pouvons laisser Genève nous attaquer, voler nos terres, piller une ville, tuer nos habitants et ne pas les attaquer sous prétexte qu'à ce moment-là, les autres Cantons - arguant du fait que c'est la Confédération dans son ensemble qui est attaquée - se décideront à bouger pour défendre Genève.

Nous l’avons déjà dit et nous le répétons à nouveau, aucun autre Canton ne doit s’inquiéter. Nous ne voulons pas la guerre, mais la paix ! Aucun Canton, hormis Genève, n’est visé par nos armées et aucun de ces Cantons ne sera la cible d’attaques militaires de l'Ost savoyard ou de ses alliés.

Nous déclarons Genève zone de guerre, et cette zone s’étend jusqu’à 20 lieues au nord de la ville (incluant le nœud #559). Toute personne, peu importe sa nationalité ou son groupe d’appartenance, voulant sortir ou entrer de ce territoire s'exposera aux conséquences les plus graves ! Pour avoir l’autorisation de passer, vous devrez en faire la demande et avoir de sérieuses raisons!

Nous tenons à dire aux autorités de Fribourg que nous comprenons votre besoin tout à fait légitime de sécurité et de protection, qui vous a fait lever une armée, surtout suite à la révolte à laquelle votre ville a dû faire face et que nous déplorons sincèrement. Sachez cependant que tout mouvement suspect de votre armée en direction de la zone de guerre, de la Franche-Comté ou de la Savoie sera interprété comme une déclaration de guerre.

Nous vous informons aussi que des armées italiennes sont en route en ce moment. Certaines arriveront à Annecy dans quelques jours, d’autres se posteront à l’embranchement des routes entre Sion et Annecy, en attente. Nous espérons que cette situation se règlera rapidement !

Les yeux du monde regardent dans notre direction en ce moment ! Des centaines de volontaires venant des quatre coins des Royaumes ont afflué en Savoie et tous les jours nous amènent encore plus de soutien ! On dit souvent que ce sont les causes justes qui rassemblent le plus de monde, la nôtre est de celles-là.

Que vos Hérauts compulsent leurs registres armoriaux et fourbissent leurs yeux et leur mémoire car voici que s'avancent les bannières de ceux de nos Parents, Amis et Alliés et les oriflammes, penons et enseignes de leur Suite, Vassaux, Chevaliers et Gens d'armes pour combattre le mal à Annecy et reprendre notre ville aux Genevois :

Le Duché de Savoie
Le Duché du Lyonnais-Dauphiné
Le Duché de Bourgogne
Le Comté de Languedoc
La Franche-Comté
Le Duché de Lorraine
Le Royaume des deux Siciles
Le Duché de Milan
Le Duché de Modène
L’Ordre des Chevaliers Francs
L’Ordre de Santiago
L’Ordre des Chevaliers Teutoniques
L’Ordre des lames
L'Ordre du temple
L'Ordre de Saint Michel
La brigade fantôme
Les Gardes Épiscopales française et italienne
Le Cercle du lys
La Compagnie de Saint-Maurice
L’Ordre des Portes Glaives

Et tous les autres volontaires venus de leur propre chef, mus par le désir de tout homme aspirant à la justice, à la paix et à la prospérité de la vie d’autrui. Ces gens ne sont pas venus par obligation, mais selon leur volonté propre, motivés qu'ils sont par le trop plein de la coupe d'avanie que remplissent tous les jours un peu plus les Lions et leurs acolytes.

En ces temps troublés, nous nous tenons au pied des murs de la ville de Genève pour dire non à la propagande,
En ces jours terribles, nous nous dressons sous ses remparts pour dire non à l’injustice,
En ces heures de tumultes, nous nous assemblons devant ses portes pour dire non à ceux qui nous ont plongés dans la tourmente!

Au nom de la vérité,

Le 13ème jour de janvier de l'an de grasce 1459.


Sénéchal White
Au nom de l'Empire et de ses alliés




(version allemande devrait suivre dans la journée)

_________________

La force d'une armée se mesure dans la solidarité de ses soldats!
--Lablatte
Le noeud 559? Boudiou mais c est toute l'Helvetie francophone qui est zone de guerre alors! Meme Berne est menacé par ces armées impies

Ah ben, ma bonne dame, heureusement que c'est que le canton de Genève qui les interesse; qu'est ce que ca serait sinon, la loi martiale jusqu'à Bâle?

Et ces gens voudraient faire la loi sur le territoire Helvète et interdire aux armés de bouger? On est plus maître chez soi ma parole.
White
(tel que promis plus haut)




Citation:
Für die ehrlichen Bewohnern von Genf
Zu der Gesamtheit der freien Bezirke von Helvetien
Zur Denjenigen, die die Wahrheit des Betruges unterscheiden können

Unseren Grüss!

Seit dem wilden, barbarischen und ungerechtfertigten Angriff dass eine Gruppe von Genfer Straßenräubern gegen die Stadt Annecy von die Savoye begangen hat, haben die Genferinnen Mächte nicht aufgehört, eine lügnerischen Propaganda gegen uns zu machen!

Sie, die ehrlichen Genfer und die ehrenhaften Helvetier, wir bitten Sie: benutzen Sie Ihr Urteil und sehen Sie klar im Spiel dieser Manipulatoren, die Sie prüfen und Sie benutzen!
Die Löwen von Juda und den anderen kriminellen Organisationen benutzen seit sehr (zu) lange Genf und Helvetien zu persönlichen Zwecken! Als ob zu ihnen die Stadt und die Bezirke gehörten!

Die Löwen sind mächtiger als jemals in Genf. Und der Zufall ist sicher umsonst nicht dort aber die Hälfte der Verwaltungsmitglieder von Bern kommt aus Genf!
Schultheisser ganz Helvetiens, wachen Sie auf! Genf ist der Schanker, der Ihr Land zerfrisst!

Helvetien muss seinen Verantwortlichkeiten gegenüber die Aktionen der Machenschaften von Genf nehmen. Die doppelte Rede sollte aufhören! Genf hat diesen Krieg allein und aus freiem Willen begonnen. Sie wird das Ergebnis allein annehmen müssen oder Es muss sein daß die Helvetische Konföderation sich durchsetzt und starken Maßnahmen ergreift um seinen Nachbarn zu garantierenden, daß dieser Bezirk eine nie wieder eine Quelle von Langweilen für alle Königreiche sein wird.

Wenn unsere Armeen heute vor den Wänden der Stadt stehen ist das in Auftrag von unserem Kaiser und in Beantwortung dieses Angriffes von Genf auf einer Stadt des Reiches!

Wir können Genf uns nicht lassen angreifen, unsere Ländereien stehlen, eine Stadt plündern, unsere Bewohner töten und die Stadt Genf nicht angreifen, weil die anderen Bezirke, im Falle einer Angriff auf Genf beschließen werden, Genf zu schützen denn sie denken daß es die Gesamtheit der helvetischen Konföderation ist die angegriffen wird.

Wir haben es schon gesagt und wir wiederholen ihn erneut, kein anderer Bezirk soll sich beunruhigen. Wir wollen keinen Krieg, sondern Frieden! Kein Bezirk, außerdem Genf, ist von unseren Armeen gezielt und keiner dieser Bezirke wird das Ziel militärischer Angriffe der savoyardischen Ost oder seiner Verbündeten sein. Wir erklären dass Genf eine Kriegszone ist und dass diese Zone sich bis zu 20 Meilen über den Norden der Stadt erstreckt (den Knoten 559 einschließend).


Jede Person - welche seine Nationalität oder seine Zugehörigkeitsgruppe ist – dass dieses Territoriums ausgehen oder eintreten will, wird den ernstesten Folgen ertragen müssen!
Um gehen zu können, werden Sie die Anfrage machen sollen und seriöse Gründe haben sollen!

Wir wollen den Mächten von Freiburg sagen daß wir ihre ganz gesetzmäßiges Schutz- und Sicherheitsbedürfnis verstehen und daß wir dieses Bedürfnis dass Ihnen ermuntert hat eine Armee zu heben, um einem Aufstand zu trotzen den wir aufrichtig bedauern, auch verstehen.

Wissen Sie jedoch, daß jede verdächtige Bewegung Ihrer Armee in Richtung der Kriegszone, der Franche-Comté oder die Savoie wie eine Kriegserklärung interpretiert werden wird.

Wir informieren Ihnen auch, daß italienische Armeen im Moment auf dem Weg sind. Manche werden in einigen Tagen in Annecy ankommen, andere werden sich in der Verzweigung der Wege unter Sion und Annecy postieren, und werden in diesem Ort warten. Wir hoffen, daß sich diese Situation schnell klären wird!

Die Augen der Welt sind gegenwärtig auf uns befestigt! Hunderte Freiwillige aus den vier Ecken der Königreiche sind im Savoie geströmt und jeden Tag bringt uns noch mehr Unterstützung! Man sagt oft, daß eben die gerechten Gründe die meiste Leute versammeln und die unsere ist eine.

Daß ihre Herolde in ihren Registern der Wappen nachschlagen, daß sie ihre Augen und ihr Gedächtnis reinigen. Weiter unten finden Sie die Fahnen unserer Eltern, unsere Freunde und Verbündeten und die Fahnen und die Schilder von ihrer Folge, ihren Vasallen, Rittern und Soldaten, dass nach Annecy gekommen sind um das Übel zu bekämpfen und unsere Stadt den Genfern zurückzunehmen:

Das Herzogtum der Savoie
Das Herzogtum der Lyonnais-Dauphiné
Das Herzogtum von Burgund
Die Grafschaft von Languedoc
Die Franche-Comté
Das Herzogtum von Lothringen
Das Königreich von beidem Sizilien
Das Herzogtum von Mailand
Das Herzogtum von Modena
Die Ordre der Fränkischen Ritter - (L’Ordre des Chevaliers Francs)
Die Ordre von Santiago - (L’Ordre de Santiago)
Die Ordre der Teutonischen Ritter - (L’Ordre des Chevaliers Teutoniques)
Die Ordre die Klinge - (L’Ordre des lames)
Der Templer Ordre – (L'Ordre du temple)
Die Ordre des Heiligen Michaels – (L'Ordre de Saint Michel)
Die französischen und italienischen Bischöflichen Bewachungen – (Les Gardes Épiscopales française et italienne)
Der Kreis der Lilie – (Le Cercle du lys)
Der Phantom Brigade
Die Gesellschaft des Heiligen Moritz – (La Compagnie de Saint-Maurice)
Die Ordre der Schwert Träger – (L’Ordre des Portes Glaives)

Und alle anderen Freiwilligen, die auf ihrer eigenen Initiative gekommen sind. Sie sind alle vom Wunsch jedem Mann in Bewegung gebracht, der nach der Gerechtigkeit, nach dem Frieden und nach dem Gedeihen des Lebens von anderen strebt
Diese Leute sind nicht von Verpflichtung gekommen sondern aus ihrem eigenen Willen; Sie waren durch den mit dem Beschimpfungsschneiden vollen Überschuß motiviert, das die Löwen und ihre Gehilfen jeden Tag etwas mehr erfüllen

In dieser verwirrter Zeiten stehen wir am Fuß der Wände der Stadt von Genf, um NEIN zu sagen gegen die Propaganda,
In diesen schrecklichen Tagen stehen wir unter seiner Befestigungsanlage, um NEIN zu sagen gegen die Ungerechtigkeit,
In diesen Aufregungsstoßzeiten versammeln wir uns vor seinen Türen, um NEIN zu sagen gegen denjenigen die uns gequält haben!

In Namen der Wahrheit,

Der 13. Tag von Januar des Heiligen Jahres 1459.

Seneschall White
In Namen des Reiches und seiner Verbündeten



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La force d'une armée se mesure dans la solidarité de ses soldats!
Nashia


L'affiche fut lue et relue par la Nashia, son sourire s'étalait sur ses lèvres, un sourire franc et heureux. Elle se retourna vers le sieur qui semblait grogner sur le fait qu'ils n'étaient pas maitre chez lui... La noblionne aux traits tirés lui adressa un franc sourire.

A qui le dite vous mon cher ! A qui le dite vous!

Nashia lui adressa un sourire et un clin d'oueil avant de filé.

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo...
Mère de Juliette l'abeille et Ronan
Lemagefreng
Il lu l'affiche. Mais on lui avait signalé des mouvements de troupe près de Lausanne.

Il devait préparer les esprits à la défense, même s'il n'y avait pas de danger.
Tatoumi
Le parchemin lu, l'insulte faite aux cantons souverains helvètes qui étaient pris pour des imbéciles par les signataires méritait réponse.

Citation:
A tous mes frères et soeurs helvètes,
Aux genevois épris de liberté,
A mes collègues avoyers et conseillers,

Encore une fois, le territoire de notre confédération est convoité.
Encore une fois, la guerre de religion est prise comme prétexte.

Quelle insulte de dire qu'il n'y a que des genevois au conseil confédéral, sous-entendu des membres du Lion !
Quelle méconnaissance du pouvoir helvète, de la constitution des listes, du rôle du conseil confédéral.
Ils ne peuvent imaginer autre fonctionnement que leurs institutions duchistes, royales, impériales, pardonnons-les.

Le fait est que le conflit est entre le gouvernement de Genève et le gouvernement de Savoie.
Une simple histoire de liberté de passage....

Ils en font une guerre de religion....
Ce n'est pas la première croisade que subit Genève.
Quelqu'en soit le denouement, chaque genevois vivra pour sa liberté, chaque helvète aussi, même sous l'occupation impériale.

Tatoumi,
Avoyère de Genève,
Commissaire aux mines.


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Tatoumi
Et pour nos amis comtois :

Citation:
Nous, conseil des Bourgeois de Genève, déclarons que :

- Le traité de paix qui lie la Franche-Comté et la République de Genève,
- la parole donnée par le Franc-Comte qu'il respecterait la souveraineté de Genève,

viennent d'être violés par l'arrivée aux portes de Genève d'une armée franc-comtoise.

Nous, Genevois, sommes les amis de la Franche-Comté. Cette armée comtoise à nos portes est donc une armée scélérate, qui viole les engagements de son propre peuple et de son Chef.
Son action s'apparente dangereusement à celle de l'armée de Pendarric il y a 2 ans : la Franche-Comté avait alors été à feu et à sang pendant de longs mois, jusqu'à la signature de l'honorable traité de paix qui nous lie.

Ami Franc-Comte, amis Franc-Comtois !

Nous en appelons à votre sens de l'honneur, et de la parole donnée. Nous avons confiance en vous :
Jamais vous ne laisserez votre honneur et votre sécurité bafoués par l'action d'une armée scélérate. Nous vous faisons confiance pour ramener le capitaine Goclad à la raison, et ses soldats à la maison.

Aristote sera témoin de la sincérité de vos paroles et de vos actes.

Pour le conseil des Bourgeois de Genève,
Tatoumi, avoyère de Genève.


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Tatoumi
Et pour réexpliquer encore une fois, et remettre les coucous à l'heure :
Citation:
A tous ceux qui liront ces lettres, salut et que la bénédiction de Deos et ses prophètes soient sur vous

L’Empereur assiège aujourd’hui Genève.

Il argue faussement d’une agression surprise, belliqueuse et religieuse de Genève envers la Savoie, quand le Phare de l’Aristotélicité réclamait depuis longtemps la fin des proscriptions iniques de la Savoie qui abattait à vue les honnêtes combourgeois genevois. Quand la diplomatie genevoise se démenait comme diable en eau bénite pour négocier avec les paranoïaques noblions de Savoie, qui confondent marchands de poissons et chevaliers-brigands.

L’empereur, sous la dictée de Victor de Cernex, a déclaré qu'il destituerait tous les nobles de l'empire qui ne prendraient pas part à la libération de la Savoie. Que voilà belle conception des libertés germaniques !
En outre, ses armées sont donc payées par les impôts des paysans, artisans et notables des villes d’Empire, pour lui permettre d’être le conquérant qu’il croit être.

Outre appauvrir ses sujets, il les mène donc à la boucherie face à l’infanterie la plus redoutable du continent pour profiter de son nouveau jouet, mais aussi piller et rançonner la Confédération sous prétexte fallacieux.

Armoria, princesse vanillée française, assiège Annecy vaillamment prise par l’armée genevoise il y a trois semaines. Armoria, qui avait déjà humiliée l’Empire lors de sa précédente prétendue croisade l’an passée, où pour paraît-il sauver le Béarn elle attaquait une Genève sans défense en foulant aux pieds les libertés germaniques avant d’aller ravager la Provence d’une guerre de six mois.
Pendant que le Béarn, malgré les menaces réitérées d’excommunication romaines, accédait avec bon sens aux demandes genevoises. Elle voyait aussitôt finir avec soulagement la guerre qu’elle avait provoquée.

La Savoie continue de pratiquer la seule diplomatie qu’elle connaisse : « Moi vois, moi tue ». Alors que les offres de négociations genevoises n’ont cessé à aucun moment, en vain hélas !

Que voyons-nous maintenant ?

Nous voyons les citoyens confédérés, aux frontières de leur patrie, défendant les terres que leurs familles ont cultivées depuis des temps immémoriaux. Je les vois qui protègent les foyers où l’on prie, tous ensemble, pour le salut des êtres chers.

Nous voyons ces centaines de villages de la Confédération où les moyens de subsister sont tirés du sol avec tant de peine, mais où toutes les joies primordiales de l’homme n’en existent pas moins, ces villages où les jeunes filles rient et où les enfants jouent.

Nous voyons qui s’avance vers eux, pour les massacrer, la machine de guerre impériale, avec ses élégants chevaliers saxons cliquetant et claquant des talons, avec ses experts en bûchers des OMR, excités à la perspective du pillage et de l’asservissement d’une douzaine de cantons. Je vois également la masse sinistre, abrutie, soumise et brutale de la soldatesque française qui s’abat lourdement comme un essaim de sauterelles.


Il ne s’agit pas de se battre pour Annecy ou de combattre pour Genève.
Nous nous battons pour préserver la Confédération, mais même l’Aristotélicité entière de cette peste qu’est la tyrannie, ici impériale, française et romaine, et pour défendre tout ce que l’Aristotélicien a de plus sacré.

Non, il ne s’agit pas d’une guerre pour la domination, pour l’agrandissement de Genève ou pour un profit matériel, pour une cause religieuse ; il ne s’agit pas d’une guerre qui priverait une nation de sa lumière ou qui l’écarterait du progrès, qui lui imposerait des convictions qui ne sont pas les siennes.
Il s’agit, maintenant, et parce que les OMR, Armoria et l’Empereur interviennent au mépris de toute légitimité ou légalité, d’une guerre destinée à établir, par notre résistance, sur des fondements inaltérables, les libertés de l’Aristotélicien, une guerre destinée à établir et restaurer la dignité de l’Aristotélicien.

Nous faisons face à la plus terrible des épreuves. Nous avons devant nous maints longs mois de lutte et de souffrance.

Vous demandez ce qu’est notre politique ? Je peux vous le dire : c’est faire la guerre, sur mer, sur terre, par tous les moyens, avec toute la puissance et avec toute la force qu’il plaira à Deos de nous donner ; faire la guerre contre une tyrannie monstrueuse, sans égale dans le sinistre et lamentable catalogue du crime humain.

Vous me demandez quel est notre but ? Je vous réponds d’un mot : la victoire, la victoire à tout prix, la victoire en dépit de toute terreur, aussi longue et difficile que puisse être la route, la victoire ; car sans victoire, il n’est point de salut.
Seuls s’il le faut, pendant des années s’il le faut.

Nous réunissons des hommes et des femmes de tous duchés, de tous partis, de toutes opinions. Nous avons pu être en désaccord et nous opposer par le passé ; mais un même et unique lien nous unit à présent ; la volonté de conduire la guerre jusqu’à la victoire, et de ne jamais nous soumettre à la servitude ni à la honte, quels qu’en puisse être le prix et la souffrance.

Cette période est des plus terrifiantes. C’est également, sans doute aucun, la plus sublime. Côte à côte, sans autre renfort que celui de leurs amis et parents dans tous les cantons et dans les vastes duchés qui nous entourent ; les peuples de la Confédération et les Aristotéliciens libres, côte à côte, se portent l’un l’autre pour sauver, non seulement la Confédération, mais l’Aristotélicité toute entière de la tyrannie la plus infâme et la plus vile qui ait jamais obscurci et souillé les annales de l’histoire.

Des paroles ont été écrites pour appeler et encourager les fidèles serviteurs de la Vérité et de la Justice : « Armez-vous et soyez valeureux, et soyez prêts pour la bataille ; car mieux vaut périr au combat que de voir outrager notre nation et notre autel. Que la Volonté du Seigneur s’accomplisse, sur la terre comme au ciel ».

Car nous ne faiblirons ni ne faillirons.
Nous tiendrons jusqu’au bout. Nous nous battrons en Annecy, à Genève. Nous nous battrons dans les étables et les jardins. Nous nous battrons dans les combes et les vallées avec une confiance et une force croissantes, nous défendrons notre cause quel qu’en soit le prix.

Nous nous battrons dans les prairies, nous nous battrons dans les forêts et dans les rues, nous nous battrons dans les maisons, dans les cuisines, dans les potages, dans les fromages, sous l’orage, les nuages ou dans la neige, dans les marais et les pics alpins.

Nous ne nous rendrons jamais.
Et si –ce que je ne crois pas un instant possible-, nous nous trouvions défaits, alors, nos amis au-delà des montagnes poursuivraient le combat jusqu’au moment choisi par Deos où ils obtiendraient enfin l’objet absolu de notre quête : le rétablissement des libertés, le signal tant attendu du retour à la paix grâce à notre victoire.


Tatoumi, avoyère de Genève.



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Gillan
Que d'affiches! Glover les détaille les unes après les autres et grimace à la lecture de la prose impériale.

Les armées assiègent Genève. La belle affaire! Une chose est de pièger le Lion. une autre est d'entrer dans la fosse pour s'en saisir.

Puis un rictus

Que croient ils faire en déclarant le territoire Genevois zone de guerre? Tout territoire était déjà zone de guerre pour les bourgeois de cette bonne ville, qui se faisaient faucher comme les blés murs par les troupes brigandes des Comtés.
Je le sais mieux que quiconque, moi qui fut laissé pour mort dans une terre ou jamais je ne commis de forfait. Qui n'avait d'autre crime sur la conscience que d'être de Genève.
Ils ne font que re-serrer encore un peu la corde qu'ils nous avaient mis au cou. Quand on pousse au désespoir une population, il ne faut pas s'étonner de la voir réagir brutalement.


Une phrase attire particulièrement son attention :
Citation:
Nous l’avons déjà dit et nous le répétons à nouveau, aucun autre Canton ne doit s’inquiéter. Nous ne voulons pas la guerre, mais la paix !


Et en écho il cite avec ferveur le 52ème article :


Qu'ils disparaissent donc tous, ces faux prophètes qui disent au peuple : « Paix, paix ! » Malheureusement, il n'y a pas de paix !


Alcalnn
Le Vieux duc lu l'affiche de la sainte nitouche de Genève...:

-Et bien pour une histoire de méconnaissance, on peut dire que elle ne connait vraiment rien! Et qu'est ce que prend la princesse! Au final, c'est du vent, de la brasse... Les Genevois n'ont rien à faire de la Confédération, les Génevois tout ce qui les intéresse c'est rapiner partout, ramener tout chez eux et surtout qu'on vienne pas leur demander des comptes après.. Allez compagnons, aujourd'hui on libère Annecy et demain nous irons à Genève -et seulement à Genève- empaler ce genre de torchon dans leurs céans... Au moins la partie la plus intelligente de leur individu sera t elle moins pleine de méconnaissance...
_________________
Armoria
As-tu apporté les clous, Roland, pour afficher le mot de la duchesse ?

Fe les zai, hacer pupa Alteffe.

Roland ?

Oui, hacer pupa Alteffe ?

Je ne t'ai pas déjà dit de ne pas mettre les clous dans ta bouche quand tu dois afficher ?

*Ptfiouh* Désolé, Votre Altesse, j'avais oublié.

*soupir* Je sais, Roland, je sais... Allez, affiche, va.

Près d'eux, un homme lisait à voix haute le dernier placard.

Oh, Votre Altesse, ils parlent de vous ! fit Roland entre deux coups de marteau.

Eh oui, que veux-tu, j'ai un nom qui marque les esprits, ça attire l'œil, de suite.

La duchesse va être jalouse, si elle sait qu'on pense ici que c'est vous qui avez décidé de lever des troupes...

Hmmm ? Possible, oui. Peu me chaut, en vérité. Au pire, nous ne le lui dirons point, et voilà tout.

Mais vous n'allez pas démentir, Votre Altesse ?

Démentir quoi, mon bon Roland ? Ce mensonge-là, ou le tout ? Si je devais démentir tout ce qui est faux là-dedans, autant arracher le placard, ce sera plus rapide. J'ignore si les impies de genève la maudite savent que j'ai démissionné de ma charge de Grand Maître de France : et puis, sans me connaître, peut-on vraiment croire qu'Armoria de Mortain se contente parfois d'obéir aux ordres ? Bah !

Le valet pouffa à cette idée.

Ah, tu vois, même toi tu as du mal à te le figurer... Alors que tu sais que précisément, c'est le cas.

Voilà, Votre Alteffe, v'ai fini.

Roland ?

Oui, Votre Alteffe ?

Il te reste des clous, non ?

Oui, Vot Alteffe.

Alors retire-les de ta bouche, et rentrons : tu me prépareras mon bain vespéral.

Citation:





Par Sainct-André et Sainct Bynarr


Aux fiers bourguignons, à nos alliés qui combattent à leurs côtés

Je continue à prier chaque jour pour tous les bourguignons, nobles, civils et soldats qui sont à la guerre.

Notre CAC oeuvre nuit et jour pour envoyer de la nourriture là où il en manque, sous peu un MA devrait venir à votre rencontre.

Nos juristes travaillent également pour faire régner l'ordre en Bourgogne, beaucoup de marauds et d'indélicats tentent de forcer nos frontières et ont du mal à comprendre les annonces, pourtant nous nous épuisons à faire en sorte que nul ne soit ignorant de la loi martiale.

Nos conseillers militaire, notre prévost, notre connétable travaillent sans relâche pour que l'ordre soit maintenu sur nos terres.

Chacun de nos conseillers est à pied d'oeuvre pour que la Bourgogne resplendisse, nos coeurs battent à l'unission avec le vôtre et saigne quand il y a des blessés dans nos rangs.

Sachez que la Bourgogne entière est fière de vous, vous qui portez si haut nos couleurs.

Je suis ravie et fière que vous ayez réussi à déloger cette armée d'hérétiques de la ville d'Annecy, essayez de ramasser le maximum de crânes que vous trouverez au pied des remparts, après les avoir exposés à la vue de tous il serait de bon ton d'en orner nos fenêtres, telles des gargouilles, voir d'en faire une fontaine avec, je ne connais rien de plus décoratif que des crânes d'hérétiques, ils pourraient également servir de pots de chambres, ramenez aussi quelques ossements, bientôt j'apprendrai à compter à mon fils, cela sera utile.

J'ai hâte de voir revenir nos troupes victorieuses!

Que le Très vous garde et veille sur vous

Angelyque de la Mirandole
Duchesse de Bourgogne




_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Notwen
Reçu de l'Ambassadeur Franc-Comtois auprès de la République souveraine de Genève :

Imladris a écrit:
A la République Souveraine de Genève et à ses habitants
Aux habitants de Franche-Comté

J'ai pris la plume ce soir pour vous exprimer ma tristesse par les évènements de ces derniers jours. J'en profiterais également pour vous expliquer la vision d'un Comtois pour ce conflit.

Ce conflit entre la République de Genève et la Savoie a ses prémisses depuis longtemps... D'une part les actions illégales de certains genevois sur les terres de Savoie dont la dernière en date était celle de Medso. De l'autre part, les traques perfides des armées savoyardes, les freins à la liberté de circulation et de commerce et les couacs de la diplomatie savoyarde.

Ces actions ont entrainé l'exaspération de Genève. Au lieu de continuer à palabrer, ils ont préféré passer à l'action et déclarer la guerre à la Savoie. Cette action, je la déplore mais je peux la comprendre.

La Franche-Comté ne souhaitait pas prendre part dans ce conflit. Elle avait la Paix de Dole avec Genève et un traité d'alliance avec la Savoie. Par mon biais, la Franche-Comté a proposé une médiation entre Genève et la Savoie.

Cette médiation a échoué dès les premières annexions faites par Genève que la Franche-Comté a condamné fermement et c'est pour libérer Annecy que nous sommes intervenu militairement, sans violer le territoire confédéral.

Ces derniers jours, sous la houlette de son représentant, après l'ultimatum Sa Majesté Impériale , a autorisé le sénéchal de Savoie d'entamer toutes les actions possibles pour mettre fin à cette histoire... Pour ma part la seule action possible était que la Savoie accepte les préalables demandés par Genève en échange d'un retrait des armées genevoises... L'intransigeance de la Savoie surement aidé en sous-main par des comploteurs n'a pas permis cela... Et je le déplore.

Les actions menées par l'armée Franc-Comtoise n'a pas reçu l'aval du Parlement. Les parlementaires élus par les francs comtois n'ont pu s'exprimer pour ou contre une action directe en terre étrangère.

Certains comtois sous couvert de l'allégeance ont décidé de mener une armée à Genève et violer la paix de Dole qui avait amené une période de paix en Franche-Comté. A ceux qui pensent qu'une allégeance doit être suivie à la lettre, je dis qu'ils ont tort. Chacun a un devoir de service armé, d'aide et de conseils. L'Empereur en autorisant ce type d'actions a-t-il eu tous les conseils possibles? Ne l'a-t-on pas influencé dans un sens plutôt qu'un autre? Quand une action semble illégitime, il est de notre devoir de nous y opposer. Il est amusant que ceux qui parlent de la voix du peuple sont les premiers à se coucher sur un ordre impérial. La moindre des politesses aurait été de permettre au Parlement de s'exprimer sur ce sujet. De plus, pourquoi la Franche-Comté devait violer un accord alors que d'autres ne se bougent même pas (i.e. la Lorraine).

En attendant, ceux qui ont poussé à cette action ont, sous le couvert de l'honneur, déshonoré une parole donnée. La Franche-Comté a respecté sa parole à la Savoie en envoyant une armée libéré Annecy... La Franche-Comté a craché sur sa parole à Genève en autorisant de faire le siège de la Savoie.

Certes, il n'est pas dans l'intention de la Franche-Comté de suivre les sirènes de certains fanatiques et d'attaquer la cité de Genève... Néanmoins, le mal est fait...

Il faut avoir le courage de ses opinions, de respecter sa parole donnée et de dire non quand cela ne nous sied pas... La Franche-Comté est devenue pleutre en suivant aveuglément un ordre.

En tant qu'ambassadeur comtois auprès de la République de Genève, je tiens à présenter mes excuses aux genevois pour ne pas avoir su faire respecter la parole donnée lors de la paix de Dole

Au peuple comtois, je tiens à présenter mes excuses pour ne pas avoir su argumenter suffisamment bien au Parlement pour empêcher cet acte déshonorant.

Imladris van Ansel
Vicomte de Voiteur
Seigneur de Charency

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Notwen de la Concorde aristotélicienne pour un monde de Paix et de Fraternité,
Doyenne de la Faculté de Théologie de l'Univ. de Berne,
Ancienne Chancelière,
http://chrrserk.xooit.com/t3237-Guide-comment-etudier-efficacement-en-Voie-de-l-Eglise.htm
Morganes


Après qu'on lui ait lu tous les parchemins la jeune fille se sent à nouveau pousser des ailes
Même le ventre vide elle sait maintenant qu'elle continuera à faire ce qu'elle doit faire


Je vais poursuivre mon combat pour qu'Annecy
Une véritable savoyarde ne se rend jamais même si parfois le doute s'installe dans son esprit

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Morganes
Izaac
Ce jour béni de Deos, est proclamé la fin de la guerre dite de Savoie.

Citation:


Le Conseil Ducal de Savoie, en la personne de son Duc,
La République de Genève, en la personne de son Avoyer,

A qui lira,


  • Proclamation d'une trêve de trois mois, à daté des sceaux apposés.

    Nous, Gouvernement souverain de la République de Genève et du Duché de Savoie,

    Proclamons une Trêve honorable entre les belligérants de la Guerre dite "de Savoie".

    Reconnaissons les torts commis à chacun des protagonistes et nous retenons d'en demander réparation, pour la Paix, pour la durée de la Trêve.
    Amnistions les prisonniers de guerre encore engeolés chez les genevois, de par la Convention de Genève sur les prisonniers de guerre et chez les savoyards de part la volonté du Conseil Ducal.
    Promettons le départ réciproque de tout soldat d'un territoire n'étend pas sous l'autorité de son Etat Major, pour s'en retourner chez lui, à compter de la signature de cette Trêve.
    Jurons sur l'honneur de condamner fermement et réciproquement toute atteinte, par révolte ou assaut commis par nos ressortissants respectifs, aux pouvoirs temporels légitimement élus des signataires de ce traité.
    Assurons que la Savoie reconnait la souveraineté de la Confédération Helvétique en terre helvètes, de sa voix et de son avis seul, adoptant dès à présent, une attitude neutre vis à vis de la situation à Genève et ailleurs. Notons cependant que les armées Helvètes ne sont pas tolérées en territoire savoyard pendant la durée de la trêve, au vu des évènements de ses derniers mois.
    Pratiquons, pour la durée de la trêve, la jurisprudence comtoise en matière de liste et circulation des gens, à savoir, selon la coutume fleurie de Franche Comté

    - On ne fracasse les gens qu'en cas de :
    - loi martiale globale avec passages par les armes ou loi martiale locale,
    - mise en place de la procédure de talion, pour faire simple quand un méchant a commis un méfait sur le territoire de l'un des signataire et qu'il a filé avant que le juge ne lui ait mis la main dessus, on l'inscrit sur la liste de nos armées. Cette mesure qui ne liste que ceux qui échappent au juge, afin d'éviter la double peine, est provisoire durant le temps de la trêve, soit trois mois.
    - On ne fracasse plus les gens quand :
    - ils sont membres officiels d'une organisation tant qu'ils n'ont commis aucun méfait sur les terres des signataires.
    - ils ont commis des méfaits chez nos voisins ou alliés, sauf si leur dossier est transmis en vertu d'accords judiciaires antérieurs au méfait.
    - c'est vendredi pour les genevois
    - c'est le dimanche en terre aristotélicienne romaine.

    Nous, cosignataires, assurons de nous retrouver au plus tard dans trois mois à daté du scel de ce document afin de faire bonne paix entre braves.


Fait à Chambéry, le 12 Mars 1459,

Pour la République de Genève, l'Avoyer Powerjeff




Pour le Duché de Savoie, le Duc



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P4. Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière

--Bisounours


Tout ça pour ça ... bah dis donc!!!!
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