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[RP]Quartier des Ambuleurs Marchants

Max_premier


Rue des Ambuleurs Marchants :

28-
29- Missnelly
30-
31-
32-
33-
34-
35-
36- Max
37-
38-
39-
40-
41-
42-
43-
44- Aubane de Champagné (résidence secondaire )
Max_premier


36 rue des Ambuleurs

Essoufflé mais heureux de remonter la rue de son quartier où il n’avait plus mis les pieds depuis pas mal de temps. En y réfléchissant bien, depuis l’épidémie à l’hôpital en fait ça fait vraiment un bail pensa-t-il mais maintenant le voilà revenu de chez les moines.

Ceux-ci avaient été particulièrement habiles car en si peu de temps, l’herboriste avait repris le corps qu’il avait même en un peu plus enrobé mais vu l’état où il était arrivé, il n’allait pas se plaindre. Le repos, les repas faits de légumes, fruits variés, des produits de l’élevage tout près et de quelques spécialités au secret bien gardé par les moines avaient eu raison de toute sa fatigue et de sa mauvaise condition. De plus, il avait profité de quelques naissances pour acheter et ainsi rembourser en partie leur bon soin deux petits cochons tout roses qu’il menait aujourd’hui bon train jusqu’à leur enclos.


La fin du mois d’août arrivait à grands pas et bientôt le froid avec son vent d’automne nécessiterait que tous les villageois se nourrissent plus richement. Il comptait bien revendre ses bêtes bien engrossies peut-être à sa belle qui l’attendait pour qu’elle en fasse de beaux morceaux de viande. Ils serviraient comme elle aimait le dire à ce que la force revienne chez les pauvres car elle s’évertuait à vendre sa viande au plus bas prix.

Elle lui manquait tant, que même en menant ses cochons, il pensait à elle. Quelques coups de trique encore et le voilà arrivé. Les porcelets poussés gentiment mais fermement, de l’eau tirée au puit et une bonne auge de maïs pour leur repas et voilà, journée finie mais dans quel état.

Il se regarda :
hum, pas très propre tout ça. Faut que j’arrange ça… Il tira à nouveau de l’eau et en entrant dans sa maison qui sentait un peu le renfermé, se décida à faire un grand feu pour y mettre le chaudron à chauffer. L’eau chauffait et il en profita pour regarder ce qu’il allait mettre de propre, toutes portes et fenêtres ouvertes pour aérer. L’eau à point, il versa le tout dans le grand baquet de bois et le voilà à faire ses ablutions en chantonnant, heureux de vivre et d’y voir clair, comme disait feu sa mère. La tête en ébullition avant de repartir vite rue du bois.
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Max_premier


Devant le 40 : L'herboristerie de Lillaka

Irella a écrit:
Elle prit la direction de l'herboristerie en courant. Sûrement y trouverait-elle une aide.

Arrivée dans la rue des ambuleurs, elle poussa la porte de l'échoppe dans laquelle flottait les odeurs des plantes médicinales et reprit son souffle.


Il y a quelqu'un? Max? Dame Lillaka? Etes-vous là?


Il avait juste repoussé la porte avant, laissant tout le reste au bon vouloir du vent qui maintenant finissait de le sécher. Il avait eu le temps d'enfiler des braies propres et ses chausses et reconnaissant la voix d'Irella dans la rue, il enfila prestement sa chemise déposé sur sa couche.


Je suis là, je suis là, un instant... Il ouvrit la porte fermant à la hâte ses boutons de chemise et se dirigea vers chez Lillaka où se tenait l'herboristerie.

Bonjour Irella, comment.... sa question à peine entamée resta en suspens à voir le regard de la diaconesse... un soucis ? C'est urgent ? Je viens de revenir de chez les moines et je m'apprêtais à rejoindre Myriam mais euh....
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Irella
La porte s'ouvrit sur Max. Dieu merci, il y avait quelqu'un, ses prières avaient été entendues. A peine l'herboriste l'avait-il saluée qu'il s'enquérait de sa visite, devinant certainement à sa mine déconfite l'urgence de la situation.

Bonjour Max... Vous êtes là, Dieu soit loué! J'ai trouvé un enfant, dans la rue, salement amoché. Mais vous savez mon impuissance face aux maux du corps... Alors... si vous pouviez faire quelques chose pour lui.

Elle continuait à jeter des regards impatients vers la porte, espérant qu'ils ne tarderaient pas à passer le seuil.
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Max_premier
Un enfant, salement amoché. Les mots ne firent qu'un tour dans sa tête et le voilà chemise au vent qui repart chez lui.

Il imaginait déjà son fils retrouvé dans les mêmes conditions laissé dans la rue et se moqua bien alors de l'allure qu'il avait pour courir et voir ce qu'il pouvait faire.

Sa sacoche en cuir accrochée en bandoulière, une paire de drap propre et un tas de chiffon lancés sur son épaule, il claqua la porte derrière lui et sauta devant Irella.


Voilà, je suis prêt allons-y. Il se trouve où ? Est-ce-loin ? Il faut que je cours devant ? Faut prévenir quelqu'un d'autre ? il est connu cet enfant ? Y'a pas mal d'enfant ici et je les connais un peu, ils peuvent être envoyé près des parents. Il passa justement devant l'un deux, un qui l'avait bien aidé à plusieurs reprises.

Tiens, viens vite avec nous toi, on va avoir besoin de toi... mais oui, t'aura quelques pièces comme d'habitude, allez vite. Je vais l'envoyer aussi prévenir Myriam pensa-t-il en courant presque, tachant de ne pas perdre Irella en route.
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Irella
Il ne lui fallut pas longtemps pour réaparaître. Saccoche prête et quelques linges en main, Max la précéda en claquant la porte. Il courait vite le bougre! A peine eut-elle le temps de lui dire que l'enfant était en compagnie de Lantarius, rue des roses, que déjà il s'élançait, les pans de sa chemise battant au vent.

Essayant de le suivre, elle courait aussi vite que possible, tenant le bas de sa jupe pour ne pas se prendre les pieds dedans.

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Max_premier


36 rue des Ambuleurs

Max avait déjà pas mal avancé dans ce qu'il avait prévu pour ses noces, il avait commandé à un menuisier, le nécessaire pour monter quelques tentes dans le petit jardin jouxtant sa maison. De l'autre côté de son terrain à cochons pour ne pas que les invités soient incommodés, quoique lui, il trouvait pas que ses cochons soient sales mais bon, l'habitude sûrement.

Le voilà donc charriant piquets et mât afin de faire de ce lieu, un vrai lieu de réception. Une couturière, lui avait aussi donné un coup de main, faut dire que les aiguilles, il connaissait un peu mais plus dans les chairs que dans le tissu, chacun son métier.

Le voilà donc déchargeant le tout de sa charrette empruntée pour l'occasion.




Il se recula pour voir le résultat et sourit... heureux de voir la tête de sa belle, quand elle découvrira la surprise, car il n'en avait soufflé mot.



Tout content, il en monta une autre plus petite qui servirait aux préparatifs du buffet.

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--Alpaide
La voilà, menant tambour battant, c'est qu'elle avait été choquée Alphy... il n'avait même pas pris la peine de lui envoyer une invitation à elle... son... sa... enfin elle quoi... et voilà qu'elle voit placardé devant l'hospital et devant l'église, c'est vrai qu'elle passait rarement par là, l'avis de mariage du grand nigaud.

Oh mais le bougre, il va voir de quel bois je me chauffe non mais oh... tout ça pour les beaux yeux de sa ... enfin non, c'est vrai elle est gentille... parfois... sauf quand elle attend un mioche mais bon... elle était pas bien là. Je dois pardonner qu'il a dit le grand Aristote, alors je pardonne... mais là, lui... je vais pas le louper.

Oh hé !!!!! Hé Oh !!!! Maxounet !!!! t'es où ? Te planque pas hein ? Je vais te trouver moi... Elle s'avança tranquillement, chez lui, c'était chez elle et elle vit la belle tente bleue toute montée.

Ouahhhhh mais t'as fait les choses bien dis donc... mais euh... où t'es passé ? Elle s'avança encore et vit une autre tente plus petite et y'avait un homme devant occupé à quoi déjà ? éplucher ? non déplumer quelques volailles.

Oh toi là... tu peux me dire où il est le Max ? Elle vit la tête renfrognée de l'homme.. oui... oui.. ''jour mais bon.. je cherche ton patron, l'es où ?

Alpaïde pour vous servir.
Bourru_le_villageois
Oh mais oh toi là.. tu te crois où ?

T'es qui d'abord ? tu crois que M'sieur Max l'a que ça à s'occuper ?.... des donzelles ? Il se marie demain, faut pas venir lui tourner la tête ici hein ? Par contre moi... si tu veux, je suis tout seul, tu peux venir là, tout près de moi et m'aider à plumer ces satanées volailles en attendant M'sieur Max.


Il fit un grand sourire où il manquait beaucoup de dents mais c'était la vie et tapa près de lui sur le banc en bois, montrant là, une place disponible en poussant le jeunot qui était son "bras droit".
Max_premier
Il avait eu vent de soucis la veille entre le villageois qu'il avait engagé et Alpaïde mais quand il était rentré le soir, tout était arrangé apparemment, enfin, il ne vit plus personne.

Trop d'occupation de toutes façons et la couturière qui n'avait toujours pas fini sa tenue. Bon c'était un peu de sa faute, il l'avait prévenu tardivement et surtout, était peu disponible pour les essayages.

La journée, il ne l'avait pas vu filer et voilà que les cloches sonnaient à tout va et lui qui était encore là, les cheveux trempés par le passage au puits.


Oh là... là.... Irella va me tuer... Oh là.... là.... Myriam va me tuer aussi... je vais mourir deux fois ce soir. Il court vers l'église
Pour ne pas surcharger ce topic, le mariage continuera après l'église ici. Merci à Bradwen.

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Bradwen
Il avait retardé cette visite depuis bien trop longtemps. Il le devait à Max et il le savait. Il le devait en tant qu'ami. Il le devait mesme en tant que diacre. Mais surtout il le devait en tant qu'homme. Tout simplement.

Aussi, presque une semaine et demi après le 11 Septembre 1458, Bradwen avait enfin trouvé le courage de faire ce que sa conscience lui demandait,
à savoir aller rendre visite à Max.


Pourquoi avant tant attendu ? Les mots... les mots ne venaient pas. Bradwen ne savait comment aborder le sujet avec son ami. C'était un sujet délicat et le paysan n'était pas spécialement connu comme étant un habile orateur.

En chemin, il avait répété milles discours. Milles façons de présenter les faits. Milles facettes d'une mesme situation complexe et difficile. Et finalement, il n'en n'avait conservé aucune. C'est dans cet état d'esprit qu'il se présenta, ce soir, par une fine pluie devant la maison de Max... trois coups à la portée frappés

TOC ! TOC ! TOC !
Aziliz
[Entre la Cérémonie avortée et l'arrivée de Bradwen]

Aziliz avait longtemps suivi Honoré Saint Cyr dans le méandre des ruelles, des chemins toujours l'espoir la guidant, il ne pouvait en être autrement sa Marraine ne pouvait pas disparaître de cette façon, c'était impensable !

La nuit tombait Clément commençait à pleurer, il avait faim, il voulait sa Mère, Liz était épuisée tant par la fatigue que par le désespoir, elle avait fini par le chemin de ronde autour des remparts avec Syriuss, ils avaient cherché en vain personne, s'étaient reposés sur un banc ne trouvant ni l'un ni l'autre les mots pour se réconforter. En repartant Clément sentant la lassitude de Liz se laissa quand même porter par Syriuss, alors s'accrochant à son bras rassurant ils repartirent cette fois-ci en direction de l'habitation de Max, il fallait que le p'tiot retrouve son père.

Une fois arrivés, elle toqua à la porte entendit un "entrez" poussa la porte et ils se retrouvèrent non pas devant Max mais face au visage décomposé de la nourrice qui devait s'occuper de l'enfant.

- Bonjour Dame, nous vous ramenons Clément qui espérait comme nous retrouver sa maman.... mais malheureusement aucune trace de la mariée.... elle prit des bras de Syriuss l'enfant puis l'embrassant avec émotion le rendit à cette dernière... nous vous laissons vous occupez de lui il a faim, dit-elle tristement comme si la faim était la principale inquiétude de l'enfant qui sentait bien la tension de tous les êtres qui l'entouraient, ils saluèrent et repartirent le coeur lourd.

Syriuss sentant l'accablement qui envahissait Aziliz passa son bras autour de ses épaules et l'entraîna dans la nuit qui les enveloppa.

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Syriuss
Syriuss avait un secret que seule une personne savait , en déposant l'enfant il comprit le malheur qui frappait Max

En donnant son fils à la nourrice , il pensa ce qu'il avait avoué à Myriam
oui il avait été comme Max , il avait soigné par les plantes , par les simples il avait son savoir de la vie , quand il avait Clément dans ses bras il faisait qu'y penser et de se dire
Syriuss reprend ton vrai métier et laisse celui de soldat aux soldats , toi tu as autre chose a faire

et oui il est amoureux le grand et oui il va quitter le Maine , mais pas seul
Il prit doucement celle qu'il aimait par l'épaule et l'emmena dans la nuit vers un autre endroit , celui qui fait rêver ,celui de l'amour de deux êtres qui s'aime , un endroit ou il allait faire comme il avait dit à Myriam
là ou j'irais je ferais comme Max , je ferais le bien et il savait que Liz etait d'accord
Max_premier


Dans la nuit du 11 septembre.

Max était passé rapidement avant de repartir dans les rues, il avait donné ses directives à Bourru qui devait maintenir l'endroit propre et les victuailles à l'abri des bêtes. Tout ranger si possible au frais du sous sol de la propriété et il lui confia une bourse pour qu'il paye comme il se devait les aides engagées même si le banquet était annulé.

Ensuite il s'était rendu près de la nourrice qui gardait Séchant toujours mal en point le pauvre et lui avait demandé de l'amener tranquillement ici. C'est ici que tout le monde allait se rendre lui semblait-il pour avoir des nouvelles. Max avait vu pour un minimum de confort, surtout pour l'aider à faire un bon feu qui assainirait sa maison qu'il n'habitait plus depuis qu'il avait partagé la vie de Myriam.


Et c'était lorsqu'il était reparti sans qu'il le sache que Clément fut rapporté par Aziliz et Syriuss la filleule de Myriam et son compagnon. Un jeune enfant presque bébé et un autre blessé ici, la nourrice devrait se débrouiller, Max était loin de penser à cela pour l'instant, il était reparti vers la rivière, endroit qu'il n'avait encore pas fouillé.



Bien plus tard

Il faisait des aller-retours toujours, car il avait fait un pacte improbable avec une personne peu recommandable. Lui qui n'aimait pas la violence, qui ne pensait qu'à aider son prochain, le voilà à négocier ses soins pour avoir un espoir encore. Il profitait du peu de temps qu'il restait ici pour soigner l'enfant et s'occuper un peu de Clément mais il le savait, pour l'instant, seule la nourrice pouvait être réellement utile pour son fils et il n'avait pas le choix de toutes façons. Il reprenait quelques herbes, des fioles, sans mot dire, il avait promis et il repartait sans que l'on sache vraiment où il allait.

C'est ainsi qu'un soir, alors qu'il s'apprêtait à repartir, il entendit toquer à sa porte. Il ouvrit celle-ci et vit avec joie le visage du diacre, devenu depuis un ami.

Bradwen !!! Je suis content de te voir. Un peu gêné car il avait peu de temps, il lui posa la seule question qui en ce moment lui vint à l'esprit.

Tu vas bien ? Pas de soucis ?

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Bradwen
La question de Max lui parut surréaliste, mais elle eut l'effet de faire oublier au paysan ses craintes sur la façon de tourner ses mots.

Si... si j'allions bien ? Pour sûr Max ! Mais j'me permets d'vous r'tourner la question. Allez-vous bien ? Et Clément ? Max... j'voulions vous dire : l'3 ch'min d'Melleray vous s'ra toujours ouvert si vous avez b'soin d'aide. J'voulions vous assurer d'mon aide et d'mon support. Si vous avez b'soin d'moi pour discuter, pour effectuer des r'cherches, pour s'occuper d'clément ou tout aut'chose qui soit en mon pouvoir, n'hésitez point à d'mander Max... Ce s'ra avec plaisir que j'répondrai à vot'demande !
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